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Plaquette ALAN PROD 2017-06-22

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<strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong><br />

En partenariat avec<br />

ALCIDE CORPORATE<br />

& MARTY EST UNE ENTREPRISE<br />

SAS DEDIÉE IRPP / ISF<br />

Un investissement dans la SAS <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> présente un risque de perte en capital*<br />

Et une conservation des titres de 5 ans minimum pour maintenir l’avantage fiscal<br />

*Vous êtes invité à en prendre connaissance et notamment la rubrique “facteurs de risques”<br />

en page 25. Document non-contractuel à caractère promotionnel. Toute reproduction<br />

sans l’accord écrit dûment signé de la société Alcide Corporate est strictement interdite.


Là Où On Va - LOOV


Sommaire<br />

Société ALCIDE COPORATE page 4<br />

Société de production MARTY EST UNE ENTREPRISE page 5<br />

Société par actions simplifiée <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> page 7<br />

Résumé de l’offre d’investissement dédiée ISF / IRPP page 8<br />

Stratégie d’investissement page 10<br />

Principes fondamentaux page 12<br />

L’exploitation des films page 14<br />

Le catalogue de films page 16<br />

Là Où On Va page 20<br />

Prévisionnel de recettes page <strong>22</strong><br />

Analyse des droits aux remontées de recettes page 23<br />

Prime au succès page 23<br />

Bilan prévisionnel ISF / IRPP page 24<br />

Principaux facteurs de risques page 25<br />

Récapitulatif des frais page 26<br />

Caractéristiques clés page 26<br />

Contacts page 27<br />

3


1 ALCIDE COPORATE<br />

www.alcidecorporate.com<br />

QUI SOMMES-NOUS ?<br />

Alcide Corporate est un acteur spécialisé dans l’identification, l’administration et la structuration de projets, en France,<br />

dédiés aux investisseurs français ou étrangers.<br />

Alcide Corporate est membre de l’ORIAS sous le N° d’immatriculation 13002395.<br />

Alcide Corporate réunit les compétences et le savoir-faire de spécialistes avec son excellente connaissance du marché<br />

français et des besoins d’investisseurs nationaux et internationaux.<br />

Ces compétences sectorielles et transverses assurent un accompagnement complet et sur-mesure pendant toute la durée<br />

des investissements.<br />

NOS MISSIONS:<br />

Offrir des solutions d’investissements et un accompagnement sur-mesure<br />

Alcide Corporate apporte un conseil sur les secteurs porteurs implantés sur le territoire français, et sélectionne, auprès de<br />

partenaires réputés, des solutions d‘investissement innovantes et fiables.<br />

La mission d’accompagnement se poursuit pendant toute la durée d’existence de la société (véhicule d’investissement).<br />

Alcide Corporate assure le suivi administratif auprès des autorités compétentes ainsi que le suivi administratif comptable et<br />

juridique liés à la structure d’investissement, en accord avec ses partenaires ainsi que la ou les directions opérationnelles.<br />

Alcide Corporate est également en charge des reportings adressés aux investisseurs et synthétise de façon objective et<br />

indépendante les informations qu’elle reçoit des différentes directions opérationnelles.<br />

Comprendre, adapter et anticiper<br />

Ces trois mots clés sont au cœur de la philosophie d’Alcide Corporate.<br />

Une équipe de professionnels identifie les besoins et les attentes, et définit les projets pour ensuite proposer une solution<br />

personnalisée.<br />

Pour pouvoir apporter une solution parfaitement adaptée, il est impératif de comprendre la personne qui est placée au<br />

cœur de la relation.<br />

Ce sens du service et cette approche sur-mesure sont au cœur de l’approche d’Alcide Corporate et lui permet de s’adapter<br />

à toutes les individualités.<br />

Ce métier requiert aussi une parfaite compréhension des économies, française et mondiale, et de leurs enjeux, afin d’anticiper<br />

les grandes tendances à venir et orienter la clientèle vers les secteurs porteurs.<br />

Investir dans l’économie réelle<br />

Alcide Corporate a fait le choix d’orienter ses investissements vers l’économie réelle qui reposent sur des actifs tangibles<br />

avec des entreprises innovantes dont l’activité consiste essentiellement à la production de biens et services sur le territoire<br />

français.<br />

Ces investissements, exploitables sur le long terme, représentent une valeur patrimoniale garante de la protection des<br />

intérêts financiers des investisseurs.<br />

4


NOTRE PARTENAIRE <strong>PROD</strong>UCTEUR<br />

2 MARTY EST UNE ENTREPRISE<br />

Production déléguée<br />

Marc Brunet fonda MARTY fin 2009 après plusieurs années d’activité en tant que producteur exécutif et directeur de production<br />

dans plusieurs sociétés de production parisiennes. MARTY produisit une cinquantaine de publicités et clips vidéos avant de<br />

se lancer dans la production de fictions courtes et longues. Les deux premiers longs métrages pour le cinéma sont sortis<br />

en salle en 2016.<br />

<strong>2017</strong><br />

Là où on va - LOOV (En développement)<br />

Tournage fixé en mai-juin <strong>2017</strong><br />

Long métrage écrit par Marc Brunet et Jérôme de Gerlache<br />

Réalisation : Jérôme de Gerlache<br />

Comédiens : Théophile Baquet, Elise Diamant,<br />

Eugénie Derouand, Isabelle Gélinas<br />

Tournage en Thaïlande (aide financière acquise)<br />

L à o ù o n v a - LO OV<br />

Le chant de la terre (En développement)<br />

Tournage prévu au deuxième semestre <strong>2017</strong><br />

Long métrage écrit par Vanessa Filho et Diastème<br />

Réalisation : Vanessa Filho<br />

Comédiens : Béatrice Dalle, Noémie Schmidt, Roman Kolinka<br />

Tournage en région Pays de la Loire (aide financière acquise)<br />

Johnny B. Goode<br />

Long métrage écrit et réalisé par Maurice Barthélémy<br />

Comédiens : Viggo Mortensen, Rosamund Pike<br />

L e c h a nt de la te r r e<br />

Équinoxes (En développement)<br />

Long métrage écrit par Julien Colonna et Audrey Ismaël<br />

Réalisation : Julien Colonna<br />

Comédiens : Paul Hamy, Ella Rumpf, Dominique Blanc<br />

5


2016 - Sortie salles<br />

Heart of glass<br />

Long métrage documentaire réalisé par Jérôme de Gerlache<br />

Distribution : Zelig Films<br />

Ventes internationales: Doc & Film<br />

Sélections et récompenses :The Youth Prize aux Escales documentaires de la<br />

Rochelle, Sélections aux festivals internationaux de New York, Docutah,<br />

Saint Louis, Los Angeles, Montreal, Erie, Breckenridge, Dakar,<br />

Ellensburgh, New Delhi, Hong Kong, …<br />

Ventes : Déjà vendu dans plus de 20 pays et sur les réseaux aériens<br />

Hostiles<br />

Long métrage réalisé par Robin Plessy<br />

Comédiens : Elise Diamant, Ludovic Mollé<br />

Distribution : Zelig Films<br />

Ventes internationales : Wide House<br />

Sélections et récompenses : Meilleur Film au festival international de Vera Cruz,<br />

Meilleur film étranger au festival international de Los Angeles<br />

Ventes : Déjà vendu dans plus de 30 pays<br />

H e a r t o f g l a s s<br />

2015<br />

Une bonne affaire<br />

Court métrage réalisé par Denis Larzillière<br />

Comédiens : Mathieu Busson, Nabiha Akkari<br />

Distribution et Ventes: Origine Films<br />

Sélections et récompenses : Lauréat de plus de trente prix dans<br />

de nombreux festivals internationaux - Prime à la qualité du CNC<br />

Ventes : Vendu dans plus de 60 pays (Canal +, TV5 monde, Sky, BBC, …)<br />

et sur les réseaux aériens<br />

H o st i l e<br />

2014<br />

C comme Couteau<br />

Court métrage réalisé par Amandine Maugy<br />

Comédiens : Anamaria Vartolomei, Ferdinand Milon<br />

Distribution et Ventes : Eroin<br />

Ventes : Vendu dans plus de 20 pays (TV5 monde, TSR, Sky, …)<br />

6


UNE OFFRE D’INVESTISSEMENT DEDIEE IRPP / ISF<br />

3 <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong><br />

ALCIDE CORPORATE et MARTY EST UNE ENTREPRISE joignent leurs compétences afin de développer une offre premium<br />

dédiée aux partenaires de la société ALCIDE CORPORATE, la SAS <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong>.<br />

Cette SAS dédiée IRPP / ISF permet d’obtenir des avantages fiscaux en contrepartie d’une durée DE BLOCAGE DES FONDS<br />

DE 5,5 ANS MINIMUM ET POUVANT ALLER JUSQU’AU 31/12/2024.<br />

Accessible à partir de 10 000€ (souscription minimale), <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> permet de bénéficier de l’avantage IRPP<br />

et/ou d‘un double avantage ISF :<br />

1/ Réduction d’IRPP<br />

Défiscaliser l’IRPP <strong>2017</strong> en loi DUTREIL.<br />

Le dispositif défiscalisant IRPP DUTREIL PME <strong>2017</strong> autorise les redevables de l’impôt sur le revenu des<br />

Personnes Physiques (IRPP) de déduire 18% des sommes investies dans le capital de certaines PME<br />

françaises et européennes.<br />

Les plafonds des versements déductibles sont de 50 000€ (pour un célibataire) pour une réduction<br />

d’impôt maximale de 9 000€. Pour un couple marié ou pacsé, le plafond passe à 100 000€ pour une<br />

réduction d’impôt maximale de 18 000€.<br />

2/ Réduction d’ISF<br />

Défiscaliser l’ISF <strong>2017</strong> en loi TEPA.<br />

Loi du 21 août 2007 en faveur du Travail, de l’Emploi et du Pouvoir d’Achat, abrégée TEPA.<br />

Le dispositif défiscalisant TEPA ISF PME <strong>2017</strong> autorise les redevables de l’Impôt de Solidarité sur la<br />

Fortune (ISF) de déduire 50% des sommes investies dans le capital de certaines PME françaises et<br />

européennes.<br />

Les plafonds des versements déductibles sont de 90 000€ pour une réduction d’impôt maximale de<br />

45 000€.<br />

3/ Exonération d’ISF<br />

Par ailleurs, le souscripteur bénéficie, dans la limite du plafond, d’une exonération d‘ISF égale à 100 %<br />

des sommes investies pendant toute la durée de détention, conformément aux dispositions de l’article<br />

885 I ter du CGI.<br />

7


UNE OFFRE D’INVESTISSEMENT DEDIEE IRPP / ISF<br />

4 RESUMÉ<br />

Participer au financement de l’industrie audiovisuelle et cinématographique, à l’appui de professionnels responsables<br />

et engagés, et bénéficiez d’une réduction de votre impôt.<br />

Le tableau ci-dessous correspond à des versements respectifs de 50 000€ (Plafond IRPP) et 90 000€ (plafond ISF).<br />

A noter qu’un investissement TEPA ISF peut être couplé à un investissement en loi DUTREIL.<br />

Réduction IRPP<br />

Réduction ISF<br />

Taux de réduction 18% du montant souscrit 50% du montant souscrit<br />

Investissement maximum 50 000€* 90 000€<br />

Réduction Maximum 9 000€ (18% x 50 000€) 45 000€ (50% x 90 000€)<br />

*Les plafonds des versements déductibles sont de 50 000€ (pour un célibataire) pour une réduction d’impôt maximale de 9 000€.<br />

Pour un couple marié ou pacsé, le plafond passe à 100 000€ pour une réduction d’impôt maximale de 18 000€.<br />

8


FRISE CHRONOLOGIQUE<br />

Schéma d’investissement (exemple):<br />

<strong>2017</strong>* 2018** Blocage fiscal***<br />

*<strong>2017</strong> :<br />

Investissement de 45 000€ (IRPP) et/ou 90 000€ (ISF) ;<br />

Réduction conséquente d’ISF <strong>2017</strong> de 45 000€ (50%x90 000€) et par la suite à chaque 1er janvier, exonération de<br />

100% de l’investissement initial, soit 90 000€ dans cet exemple, de l’assiette taxable ISF et sur toute la durée de<br />

détention des titres de la SAS.<br />

**2018 :<br />

Réduction d’IRPP de 8 100€ (18% x 45 000€)<br />

Exonération de 100% de l’investissement initial, soit 90 000€ dans cet exemple, de l’assiette taxable ISF et sur toute<br />

la durée de détention des titres de la SAS.<br />

***Blocage fiscal :<br />

Aucune cession des parts n’est possible avant le 01/01/2023 et pouvant aller jusqu’au 31/12/2024 dans le cas d’un<br />

rachat par la SAS <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> des parts des associés pour le montant disponible de trésorerie dans la SAS en<br />

intégrant les éventuelles remontées financières déjà effectuées pour le compte des actionnaires.<br />

L’avantage fiscal est accordé en contrepartie d’un blocage minimum des parts pendant une durée de 5 ans et pouvant aller<br />

jusqu’au 31/12/2024, délai légal permettant de bénéficier de l’avantage fiscal. Toutefois, compte tenu d’un délai estimé à<br />

18 mois pour céder les droits acquis et des cycles des remontées des recettes cinématographiques, la SAS recommande<br />

de retenir par prudence un blocage de 7 ans.<br />

Tout investissement quel qu’il soit comporte toujours un risque significatif. De ce fait, tout investisseur doit s’assurer au<br />

préalable que ses ressources financières seront suffisantes pour lui permettre d’assumer ce risque.<br />

À ce titre nous vous invitions à prendre connaissance de l’ensemble des informations disponibles sur les risques liés<br />

à l’investissement dans cette SAS à la page « Principaux Facteurs de Risques » de ce document.<br />

9


5 STRATÉGIE D’INVESTISSEMENT<br />

POURQUOI INVESTIR DANS LE CINÉMA FRANÇAIS?<br />

La France est le premier producteur en Europe et le troisième au monde (après les Etats-Unis et l’Inde) en valeur et en<br />

volume. Il y a eu une reprise des investissements en 2015 avec prés de 300 films produits après trois ans de baisse, ce qui<br />

est unique en Europe. Le marché se porte convenablement et le cadre législatif français permet de soutenir cette industrie.<br />

En effet, le pays s’est doté à la sortie de la Seconde Guerre mondiale, et au cours des années suivantes, d’un système fort<br />

qui soutient de manière pérenne l’industrie du cinéma.<br />

De nombreux acteurs participent au financement des films : des chaînes de télévisions qui ont des obligations d’acquisitions<br />

de films français et européens, des distributeurs (des sociétés qui vont être mandater pour distribuer le film en salle et<br />

s’occuperont notamment de la promotion et du marketing de l’oeuvre), des vendeurs internationaux qui seront en charge<br />

de négocier le film sur les marchés mondiaux (American Film Market, Berlin, Cannes etc.), des SOFICA, le CNC (centre<br />

national du cinéma) au travers entre autres du compte de soutien et aussi les PME AUDIOVISUELLES comme la société<br />

<strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong>.<br />

Tout ces organismes participent au soutient de l’industrie cinématographique française et de l’emploi dans la filière. En<br />

France, la grande majorité des films sont faits par des sociétés de production indépendantes qui ont peu de capital.<br />

En effet, en 2015 le coût médian des films d’initiative française (tous genres confondus) ayant obtenu un agrément de<br />

production est de 3,19 millions d’euros (source CNC : Les coûts de production des films en 2015).<br />

« LES FILMS A PETITS BUDGETS<br />

PLUS FACILEMENT RENTABLE QUE CEUX A GROS BUDGETS »<br />

Contrairement aux idées reçues les films à petits budgets (de moins d’un million d’euros à cinq millions d’euros) sont<br />

beaucoup plus facilement rentabilisés que les films à gros budget (plus de dix millions d’euros).<br />

Les films à plus petit budget présentent généralement une structure de coût bien plus maitrisé. Ils ne sont pas, pour la<br />

plupart des cas, portés par une ou plusieurs star(s) du grand écran qui s’accompagnent de cachets qui impactent<br />

significativement le coût de production du film et affectent ainsi sa rentabilité finale. Idem pour les sommes allouées à la<br />

distribution et à la publicité de l’œuvre audiovisuelle où un film à petit budget n’engagera pas les mêmes dépenses pour<br />

effectuer sa promotion.<br />

Ci-après l’exemple des 3 films français les plus rentables, tous budget confondus, sortis en salle durant l’année 2015.<br />

On peut constater que les deux premières places sont occupées par deux films à petit budget, respectivement de<br />

1,2 millions d’euros pour le premier et 1,3 million d’euros pour le second de ce classement.<br />

10


TOP 3 DES FILMS FRANÇAIS LES PLUS RENTABLES SORTIS EN 2015*<br />

• 1. LA LOI DU MARCHE – RENTABILITÉ DE +195%<br />

(6,2 millions d’euros de recettes pour 1,2 million de budget)<br />

Succès surprise du mois de mai avec 964 000 entrées, LA LOI DU MARCHE est sans doute le plus bel exemple<br />

d’un cinéma français engagé qui peut trouver son public. Surtout avec un coût de production qui permet<br />

rapidement la rentabilité ;<br />

• 2. MUSTANG – RENTABILITÉ DE +86%<br />

(2,9 millions d’euros de recettes pour 1,3 millions de budget)<br />

Le film qui représentera la France aux Oscars a connu une jolie carrière avec 458 000 entrées pour un tout petit<br />

budget de 1,3 million €. A l’image de LA LOI DU MARCHE, un nouvel exemple d’une production maîtrisée et de<br />

qualité ;<br />

• 3. BABYSITTING 2 – RENTABILITÉ DE +83%<br />

(20,5 millions d’euros de recettes pour 9,4 millions de budget)<br />

Bien évidemment on est loin des 165% de rentabilité du premier volet… Universal a triplé le budget pour cette<br />

suite mais avec un succès encore plus important en salles avec 3,2 millions d’entrées ;<br />

*ratio entre les recettes qui reviennent au distributeur (environ 38% des recettes globales) calculées sur le prix moyen du<br />

billet de cinéma (6,4 euros selon le CNC) et le budget des films. Le chiffre calculé permet d’établir quel pourcentage du<br />

budget est récupéré par le distributeur (et ensuite les différents intervenants qui ont participé au financement du film)<br />

après la sortie du film en salles. Source des chiffres : cbo-boxoffice.com, Allocine, Wikipedia.<br />

La société <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong><br />

adhère totalement à ce schéma de<br />

coproduction de films à petits budgets qui offrent<br />

des rentabilités potentielles disruptives. Le premier film<br />

du catalogue, LOOV, présente en hypothèse moyenne une<br />

rentabilité prévisionnelle de 88%* (375.665€ de remontées<br />

de recettes pour la société <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> pour un apport de 200k€),<br />

et s’inscrit à ce titre parfaitement dans ce schéma opérationnel.<br />

Voir ci-après les principes fondamentaux d’investissements de la<br />

société <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> en partenariat<br />

avec la société de production<br />

MARTY EST UNE<br />

ENTREPRISE.<br />

*extrait du prévisionnel de remontées de<br />

recettes du film LOOV, correspondant aux<br />

termes du contrat de coproduction entre la<br />

société <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> et la société de production<br />

MARTY EST UNE ENTREPRISE, disponible dans<br />

le détail en page <strong>22</strong> de ce document.<br />

11


6 PRINCIPES FONDAMENTAUX<br />

D’INVESTISSEMENT<br />

La SAS <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> a pour objectif d’investir dans un portefeuille de films en partenariat avec la société de production<br />

MARTY EST UNE ENTREPRISE. Cette stratégie d’investissement s’articule autour de 6 principes fondamentaux :<br />

I Coproduction de films à petit budget…<br />

Comme évoqué précédemment coproduire un film à petit budget représente plusieurs avantages. Le principal avantage<br />

étant que le potentiel de rentabilité est plus élevé qu’en présence d’un film au budget important. La raison est très simple,<br />

un film à faible budget nécessitera un niveau d’exploitation bien inférieure afin d’atteindre son seuil de rentabilité. Ce qui<br />

est particulièrement intéressant pour un investisseur extérieur.<br />

II …qui présente une structure de coût maîtrisée ;<br />

Il est primordial que la structure de coût des films soit maîtrisée. Le CNC applique un principe général où il est impossible<br />

pour le producteur délégué d’accéder à certaines aides pour la production et la distribution de longs métrages si la<br />

rémunération globale de certains intervenants sur un film excède un montant cumulé calculé selon un barème par tranche<br />

de budget. Ce principe général est appliqué pour ce portefeuille de films où l’ensemble des rémunérations des partenaires<br />

doit être en corrélation avec les objectifs économiques des films.<br />

III Une négociation des droits au premier euro et premier rang…<br />

En échange de ses apports en coproduction amenés à financer un portefeuille de films produit par la société de<br />

production MARTY EST UNE ENTREPRISE, la SAS <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> acquiert des droits sur les remontées de recettes issues de<br />

l’exploitation des films financés.<br />

Ces droits sont négociés au premier euro et premier rang. Cela signifie que la SAS <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> dégagera un couloir<br />

prioritaire de remontée de recettes une fois que les commissions et frais opposables, dûment justifiés, des distributeurs<br />

et exploitants mandatés par le producteur, seront prélevés et compensés la société dégagera un couloir prioritaire de<br />

remontée recettes.<br />

12


IV …qui favorise des remontées de recettes potentielles rapides pour les actionnaires ;<br />

Qui dit couloir prioritaire de remontée de recettes dit un potentiel plus élevé de reconstitution du capital pour les<br />

actionnaires mais aussi de gains en capital supérieurs. Les droits négociés par la société <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> selon les contrats de<br />

coproduction avec le producteur délégué mettent en avant la volonté d’une remontée prioritaire des recettes au bénéfice<br />

de la société. L’objectif premier est de sécuriser au plus tôt le retour sur un investissement des actionnaires, puis de<br />

bénéficier dans un second temps de couloir de remontées de recettes toujours significatifs sans limitation de temps ni de<br />

durée.<br />

V ... Faire le choix de soutenir l’industrie cinématographique…<br />

La SAS <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> permet de soutenir l’industrie cinématographique et perpétuer le renouvellement et la création<br />

artistique. Les fonds ainsi levés vont permettre de financer partie d’un catalogue de films, de producteurs, de multiples<br />

réalisateurs, dizaines d’acteur et centaines de parties prenantes et collaborateurs.<br />

VI …en participant à la création d’une œuvre porteuse de sens et de valeurs.<br />

En participant au financement d’œuvres audiovisuelles via l’offre <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> vous donnez du sens à votre impôt et<br />

contribuez à l’expression culturelle française tout en bénéficiant d’avantages fiscaux.<br />

« Avec la société <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> vous pouvez donner un sens à votre<br />

impôt en faisant le choix de soutenir l’industrie cinématographique<br />

et devenir coproducteurs à part entière du septième art. »<br />

A ce titre la société <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> restera propriétaires des droits acquis des films jusqu’à leurs<br />

cessions et ainsi recevra l’intégralité des recettes dues sans limitation de montant ni de durée.<br />

« Conformément aux contrats de coproductions la dénomination sociale d’« <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> » sera mentionnée<br />

au générique de début et au générique de fin des films et dans tout ou partie de la publicité. »<br />

13


7 L’EXPLOITATION DES FILMS<br />

Et ses différents acteurs<br />

La création d’un film se déroule selon plusieurs étapes. Elle peut s’étendre sur plusieurs mois, voire plusieurs années et se<br />

compose de quatre étapes principales.<br />

La première étape est la phase d’écriture et de conception du film, aussi appelée « le développement » qui consiste tout<br />

d’abord à développer une idée, originale ou non, et aboutir à la création d’un scénario.<br />

La deuxième étape correspond à la pré-production et consiste à définir l’ensemble des moyens techniques, humains et<br />

financiers qui vont permettre la réalisation de l’œuvre.<br />

La troisième étape et celle de la production et constitue principalement l’organisation du tournage et du tournage lui<br />

même.<br />

Enfin la post-production comprend, entre autres, le montage, mixage et l’étalonnage du film. Une fois cette étape terminée,<br />

le film est prêt à être exploité.<br />

Les premières recettes d’exploitation d’une œuvre audiovisuelle sont issues des salles de cinéma. Il s’agit de la première<br />

étape de l’exploitation cinématographique d’un film et vient juste après la production et la distribution. Mais comment se<br />

répartit l’argent d’un ticket de cinéma ? La répartition peut se résumer ainsi ;<br />

Source: bilan CNC 2014* Valeur %<br />

Prix moyen d'une entrée 6,38 € 100,00%<br />

Exploitants 2,98 € 46,70%<br />

TSA 0,68 € 10,72%<br />

TVA 0,34 € 5,30%<br />

SACEM 0,08 € 1,27%<br />

Recettes Brutes Distributeur (RBD) 2,30 € 36,05%<br />

(-) Frais opposables du distributeur en euros<br />

(-) Commission du distributeur %<br />

Recettes Nettes Part Producteur (RNPP) en euros<br />

*Exploitants : salle de cinéma ; TSA : taxe spéciale additionnelle ; TVA : taxe sur la valeur ajoutée ; SACEM : la société des auteurs,<br />

compositeurs et éditeurs de musique gère les droits d’auteurs ;<br />

Dans cet exemple, pour un ticket de cinéma, les Recettes Brutes Distributeur ou RBD représentent 2,30€. Il s’agit en effet de<br />

l’intégralité des sommes versées par les exploitants au distributeur en application des conventions de location sans aucune<br />

déduction y compris les ventes de tout matériel d’édition ou publicité.<br />

14


Le Distributeur va opposer à cette somme (2,30€) les frais qu’il a engagé pour effectuer son mandant de distribution.<br />

Il s’agit principalement des frais d’éditions (tirage de copies, stockage, transport) et des frais de marketing et promotions<br />

ou P&A (achats d’espaces publicitaires, conception et fabrication de matériel publicitaire, organisation d’événements etc.).<br />

Le Distributeur va ensuite appliquer une commission sur le chiffre d’affaires réalisé (les RBD). Cette commission et son taux<br />

applicable est défini contractuellement et consiste en la rémunération du distributeur pour son mandat.<br />

Les Recettes Nettes Part Producteur s’entendent, d’une manière générale, de l’ensemble des recettes encaissées par la<br />

production du film et correspondent aux Recettes Brutes Distributeurs (RBD) nettes des frais et commissions du Distributeur.<br />

Le principe est le même concernant les autres modes d’exploitations de l’œuvre audiovisuelle.<br />

Le producteur va mandater un distributeur, qui peut être différent du distributeur salle ou non, pour vendre le film sur les<br />

marchés nationaux comme internationaux ainsi que pour la commercialisation du film en format Vidéo et VOD. Les RNPP<br />

s’entendront également des RBD nettes des frais engagés et commissions prévus contractuellement pour ces modes<br />

d’exploitations.<br />

« Avec <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> vous bénéficiez d’une conservation des droits aux remontées de<br />

recettes sans limitation de montant (plafond) ni de durée tant que les droits* ne sont<br />

pas revendus avec l’accord des actionnaires.<br />

* les droits aux remontées de recettes constituent l’intégralité des modes d’exploitation<br />

des films en France et à l’étranger, à savoir les exploitations: salle, VoD, DVD, Blu-Ray,<br />

ventes TV, ventes internationales et droits dérivés »<br />

15


LE CATALOGUE DE FILMS (<strong>2017</strong>)<br />

Là Où On Va - LOOV<br />

LE CHANT DE LA TERRE<br />

EQUINOXES<br />

16


Là Où On Va - LOOV<br />

(Voir présentation détaillée ci-après et le dossier de présentation du film joint avec ce document)<br />

En développement<br />

Tournage fixé en mai-juin<strong>2017</strong> ;<br />

Long métrage écrit par Marc Brunet et Jérôme de Gerlache ;<br />

Réalisation : Jérôme de Gerlache ;<br />

Comédiens : Théophile Baquet, Elise Diamant, Eugénie Derouand, Isabelle Gélinas ;<br />

Tournage en Thaïlande (aide acquise)<br />

17


LE CHANT DE LA TERRE<br />

Note d’intention de la réalisatrice Vanessa Filho* :<br />

« le film, tel que je l’imagine, emprunte au genre du thriller psychologique. Huis-clos réunissant quatre personnages<br />

principaux, il développe un climat trouble, un malaise nourri de secrets trop longtemps enferrés. Soutenus et<br />

traversés par une tension constante, sexuelle, le récit et les images qui le composent découvrent des personnages<br />

complexes, aux névroses ambiguës.<br />

L’histoire se déroule au milieu des années 70, dans une grande propriété bourgeoise, au cœur d’une campagne isolée.<br />

Alors que l’époque, la société sont ébranlés par de profondes mutations, impactant notamment le statut des femmes,<br />

ici pourtant, entre ces murs, le temps semble s’être figé - par une sensation que l’immensité des paysages alentour ne<br />

fait que renforcer, confortant l’isolement des quatre protagonistes, empêchés.<br />

Cette histoire est aussi celle d’une vengeance et d’une manipulation, sulfureuse et érotique parfois, orchestrée sur les<br />

six mouvements de la symphonie Lead de Gustav Mahler, Le Chant De La Terre, (traduction de Das Lied von der Erde<br />

/ composée en 1908-1909) qui a donné son titre au film. »<br />

*issue du dossier artistique du film Le Chant De La Terre<br />

Tournage prévu au deuxième semestre <strong>2017</strong> ;<br />

Long métrage écrit par Vanessa Filho et Diastème<br />

Réalisation : Vanessa Filho<br />

Comédiens : Béatrice Dalle, Noémie Schmidt, Roman Kolinka ;<br />

Tournage en région Pays de la Loire (aide acquise)<br />

18


EQUINOXE<br />

Synopsis du film* :<br />

« DARIUS est sous castration chimique depuis plus d’un an. Aujourd’hui à 35 ans, il sort enfin de prison. Colosse<br />

au physique de buffle, au caractère instinctif et pulsionnel, Darius est un funambule avançant sur le fil de sa seconde<br />

chance. En dessous de lui, l’appel du vide, la tentation, la violence. Prêt à chuter. A chaque instant.<br />

Mais DARIUS le sait, tant qu’il continue son traitement hormonal, ses pulsions sont atténuées. Tant qu’il avale quotidiennement<br />

ses comprimés, il n’est pas un danger aux yeux de la société.Il n’est pas véritablement un homme non plus...<br />

En douze ans d’incarcération, le seul et unique contact féminin qu’il ait est PAULINE, sa psychiatre. Cette femme le suit<br />

depuis le début, l’aide à surmonter le remord de l’irréparable, à appréhender la vieautrement, le sexe autrement, les<br />

femmes autrement. PAULINE est tout pour DARIUS: Sa mère de substitution. Sa rédemption. Son salut. Régulièrement,<br />

il a rendez-vous dans son cabinet en centre ville. A chaque fois, il attend ce moment avec émotion et tente de gagner<br />

un peu plus son estime. Mais PAULINE part bientôt à la retraite et passe le relais à un autre thérapeute, laissant DARIUS<br />

en proie à ses démons, seul contre tous.<br />

A sa sortie de prison, DARIUS retourne chez son père JEAN, son unique famille. A son arrivée, ce lieu sans femme n’est<br />

plus le refuge de son enfance. Les rapports avec son père se révèlent complexes et gorgés d’une rancoeur que le temps<br />

n’a su apaiser. Les deux hommes, murés dans leurs douleurs sourdes doivent, malgré ces années de souffrance, apprendre<br />

à se dompter à nouveau.<br />

Un soir au détour d’une ruelle, DARIUS croise le chemin d’une jeune fille qui se fait agresser et intervient malgré lui.<br />

Elle s’appelle MARILYNE. Il vient de lui éviter le pire, l’irréparable qu’il a lui même infligé dans son autre vie.<br />

Sa vie passée. A partir de cet instant, MARILYNE, fille légère, et DARIUS, homme sauvage, vont apprendre à s’apprivoiser.<br />

Elle a toujours couché sans retenue avec le premier venu. Lui n’a jamais couché dans les règles du consentement.<br />

Coucher. Sans jamais se lier. C’est cela qu’ils ont en commun. Car ni l’un ni l’autre n’ont jamais fait l’amour. »<br />

*issue du dossier artistique du film Equinoxes<br />

Long métrage écrit par Julien Colonna et Audrey Ismaël ;<br />

Réalisation : Julien Colonna ;<br />

Comédiens : Paul Hamy, Ella Rumpf, Dominique Blanc<br />

19


L(à)O(ù)O(n)V(a)<br />

Film de Jérôme De Gerlache<br />

Ecrit par Marc Brunet et Jérôme De Gerlache<br />

20


SYNOPSIS* :<br />

Louis souffre de mucoviscidose depuis l’enfance. La greffe qui devait le sauver n’a pas prise. Alors qu’il se morfond à<br />

l’hôpital, sa soeur aînée Marie, accompagnée d’une amie, Sarah, viennent par surprise le chercher un soir pour tenir une<br />

promesse, celle de lui faire vivre un inoubliable voyage pour ses 20 ans. Direction : la Thaïlande ! Sans savoir que son état<br />

de santé a empiré, les lles vont lui permettre de vivre enfin une vie intense et insouciante.<br />

NOTE D’INTENTION DU RÉALISATEUR** :<br />

Ce fillm est un tourbillon. Le tourbillon de la vie qui nous emporte. La vie qu’on rêve tous de vivre le temps d’un voyage,<br />

la vie qui va trop vite. Depuis des années je cherche à décortiquer les liens subtils qui unissent les gens, comprendre la mécanique<br />

complexe des relations humaines. Dans la famille, l’amour, et l’amitié. Comprendre ce qui nous unit les uns aux autres.<br />

LOOV est un film manifeste. C’est une déclaration d’amour à tout ce qui compte pour moi dans la vie et le septième art.<br />

Tout ce qui fait de moi ce que je suis. La thématique de la fratrie n’est pas un hasard. La route non plus. Les deux sont les<br />

bases de ma vie. Depuis toujours j’observe la question de l’Être dans la société, et dans la cellule plus intime de ma propre<br />

famille, et de celles que j’ai pu approcher. La place primordiale de l’Autre, de celui qui nous construit et qui fait de nous ce<br />

que nous sommes au plus profond de nous-même. Depuis toujours également, je parcours le monde à la recherche de<br />

l’autre, et de moi- même.<br />

Comme si au bout de cette route, j’allais enfin me trouver. L’amour d’une fratrie est le plus fort et le plus étrange que l’on<br />

puisse ressentir. Il est fort parce qu’il est inconditionnel, que c’est finalement un des seuls qu’on ne choisit pas vraiment,<br />

qui nous tombe dessus. Etrange aussi car parfois, sur le chemin de la vie on peut être absent, se perdre de vue malgré<br />

nous durant des mois, voire des années, mais lorsque l’on se retrouve, tout paraît simple à nouveau comme si nous<br />

n’avions jamais cessé d’être ensemble. LOOV nous parle de cet amour simple, beau, pur, et inconditionnel. Pour le travail<br />

de la caméra, nous serons proches des comédiens privilégiant les focales courtes pour nous sentir avec eux au cœur du<br />

récit. Comme si nous faisions partie de leur bande. Nous serons proches du pays qu’ils traversent également. Avec pour<br />

intention de rendre en images les sensations visuelles silencieuses du récit. Ce qui compose la carte mentale complexe d’un<br />

souvenir. Nous avons le personnage en face de nous mais également la lumière d’un are, la texture d’un végétal, le nuage<br />

de poussière qui traverse la route, la fraicheur d’une tranche de citron sur un verre. Tous ces éléments se trouveront dans le<br />

film comme autant d’éléments qui permettront au spectateur de se projeter avec eux. Je souhaite travailler la lumière avec<br />

le chef opérateur de façon naturaliste, profitant au maximum des lumières naturelles des décors exceptionnels qu’offre la<br />

Thaïlande.<br />

*, ** : La plaquette de présentation du film dont sont issus le synopsis et la note d’intention du réalisateur est transmise en complément<br />

d’informations de la plaquette <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong>. Elle comprend notamment une présentation du réalisateur, de l’équipe technique du<br />

film ainsi que des 3 acteurs principaux.<br />

21


PREVISIONNEL DE REMONTEE DE RECETTES<br />

Ce prévisionnel a été réalisé en collaboration avec <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> et MARTY EST UNE ENTREPRISE conformément aux<br />

termes du contrat de coproduction entre ces deux sociétés. Les hypothèses de travail retenues sur une période de 5 ans<br />

d’exploitations ne consistent en aucune manière en un engament quant aux résultats futurs de la part d’<strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong>.<br />

Là Où On Va - LOOV - Apport en coproduction de 200 000€.<br />

Budget global : 972 159€ // Quote-part du budget : 20,57%<br />

Prévisionnel sur 5 ans BAS MOYEN HAUT Données<br />

I - Salle<br />

Entrées France et internationale 70 000 150 000 300 000 2,30 €<br />

Recettes Brutes Distributeur 161 000 € 345 000 € 690 000 € x<br />

Frais opposables + MG 150 000 € 150 000 € 150 000 € forfait<br />

Commission de distribution 48 300 € 103 500 € 207 000 € 30%<br />

RNPP -37 300 € 91 500 € 333 000 €<br />

<strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> (Ier couloir) 0 € 64 050 € 200 000 € 70%<br />

<strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> (2ième couloir) 0 € 0 € 39 900 € 30%<br />

Sous-total <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> 0 € 64 050 € 239 900 €<br />

II - Ventes TV France & internationales<br />

Recettes brutes 325 000 € 650 000 € 1 300 000 €<br />

Frais opposables 25 000 € 25 000 € 25 000 €<br />

Commission vendeur 113 750 € <strong>22</strong>7 500 € 455 000 € 35%<br />

RNPP 186 250 € 397 500 € 820 000 €<br />

<strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> (Ier couloir) 130 375 € 135 950 € 0 € 70%<br />

<strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> (2ième couloir) 0 € 78 465 € 246 000 € 30%<br />

Sous-total <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> 130 375 € 214 415 € 246 000 €<br />

III - Vidéo & VOD France et territoires<br />

Recettes brutes 195 000 € 520 000 € 1 040 000 €<br />

Frais opposables 20 000 € 20 000 € 20 000 €<br />

Commission vendeur 58 500 € 156 000 € 312 000 € 30%<br />

MG 20 000 € 20 000 € 20 000 €<br />

Frais crosscolatéralisés salle -37 300 € 0 € 0 €<br />

RNPP 59 200 € 324 000 € 688 000 €<br />

<strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> (Ier couloir) 0 € 0 € 0 € 70%<br />

<strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> (2ième couloir) 17 760 € 97 200 € 2<strong>06</strong> 400 € 30%<br />

Sous-total <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> 17 760 € 97 200 € 2<strong>06</strong> 400 €<br />

TOTAL Part <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> 148 135 € 375 665 € 692 300 €<br />

Rentabilité prévisionnelle (apport 200k€) -26% 88% 246%<br />

<strong>22</strong>


ANALYSE DES DROITS AUX REMONTÉES DE RECETTES<br />

Les termes du contrat de coproduction entre <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> précise des droits aux remontées de recettes sur deux couloirs.<br />

Le premier couloir représente 70% des Recettes Nettes Part Producteur (RNPP), au premier euro et au premier rang,<br />

jusqu’à récupération de l’apport en coproduction (soit 200 000€).<br />

Le deuxième couloir, c’est à dire après la récupération de l’apport de 200 000€, représente 30% des RNPP et ce sans<br />

limitation de montant ni de durée.<br />

<strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> bénéficie ainsi d’un premier couloir prioritaire de remontée de recettes, avec une quote-part très nettement<br />

majoritaire de 70% qui a pour but de favoriser une reconstitution, dans les meilleurs délais, du capital investit dans l’œuvre<br />

audiovisuelle.<br />

Le second couloir présente une quote-part de remontée de recettes de 30% qui est certes inférieure au premier couloir<br />

mais reste tout de même nettement significative au regard de la part de budget relative du film financé par <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong><br />

(20,57%).<br />

Ce faisant, on constate dans le prévisionnel de recettes en hypothèse moyenne 64 050€ de remontée de recettes pour la<br />

société <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> sur l’exploitation salle (point I - Salle).<br />

Puis concernant l’exploitation Ventes TV France & Internationales (point II - ventes TV), des recettes de 135 950€ sur le<br />

premier couloir des ventes TV. En effet, la SAS <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> prévoit de faire le plein sa quote-part de 70%*, puis comme<br />

prévu contractuellement, de réaliser une remontée de 78 465 € en appliquant sa cote part de 30%.<br />

De cette manière, la quote-part de 70% correspondant aux ventes vidéos & VOD (point III - Vidéo & VOD) est nulle (le<br />

plein étant déjà fait précédemment), et la quote-part de 30% s’applique en conséquence avec une prévision de remontée<br />

de 97 200€.<br />

* Correspondant à 200 00€ de recettes (64 050€ point I - salle +135 950€ point II - ventes TV).<br />

PRIME AU SUCCÈS<br />

En cas de succès commercial d’un film et uniquement dans cette situation, la société ALCIDE CORPORATE bénéficiera<br />

d’une prime au succès. Le montant de cette prime correspondra à 20% des recettes nettes part producteur supérieures à<br />

deux fois le montant investit dans le film et pour chaque film.<br />

Le prévisionnel de recettes du film LOOV présente en hypothèse moyenne des RNPP de 375 665€. Les remontées de<br />

recettes ne représentant pas plus de deux fois l’investissement réalisé (2 x 200 000€ soit 400 000€) il n’y aura pas de prime<br />

au succès. En hypothèse haute le prévisionnel présente des RNPP de 692 300€. Ici, la prime au succès correspond à 20%<br />

de 292 300€ (692 300 – 400 000), soit 58 460€ au bénéfice de la société ALCIDE CORPORATE aprés réception des fonds<br />

par <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong>.<br />

Ce principe de prime au succès s’appliquera pour chaque film coproduit par la société <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong>.<br />

23


BILAN PRÉVISIONNEL ISF/IRPP*<br />

*ce bilan hors taxes présente à titre d’exemple une levée de fonds d’un montant de 300 000€ permettant d’assurer l’apport<br />

en coproduction du film (200k€) ainsi que l’ensemble des frais et honoraires de l’opération pour les 5 ans de détention<br />

minimum des parts sociales pour les actionnaires, selon les 3 hypothèses de remontées de recettes présentées précédemment.<br />

Les hypothèses de travail retenues ne consistent en aucune manière en un engagement quant aux résultats futurs.<br />

BILAN EXPLOITATION<br />

(hors avantages fiscal)<br />

<strong>2017</strong> À 20<strong>22</strong><br />

Levée de fonds LOOV 300 000 €<br />

Honoraires levée de fonds CIF (5%) -15 000 €<br />

Honoraires levée de fonds ALCIDE CORPORATE (5%) -15 000 €<br />

Forfait Back-office SAS (10K€/an/5ans) -50 000 €<br />

Apport en coproduction -200 000 €<br />

Total des dépenses -280 000 €<br />

Solde de la levée de fonds 20 000 €<br />

Cumul Part <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> sur 5 ans<br />

hypothèse basse 148 135 €<br />

hypothèse moyenne 375 665 €<br />

hypothèse haute 692 300 €<br />

Evolution de l'opération (%) sur 5 ans<br />

hypothèse basse -47%<br />

hypothèse moyenne +34%<br />

hypothèse haute +147%<br />

« Les variations en pourcentage présentées dans le tableau ci-dessus ne<br />

prennent pas en compte les avantages fiscaux ISF (50%) ou IRPP (18%)<br />

dans leurs calculs et reposent donc intégralement sur les prévisons de<br />

performances économiques du film»<br />

24


PRINCIPAUX FACTEURS DE RISQUES<br />

Tout investissement quel qu’il soit comporte toujours un risque significatif. De ce fait, tout investisseur doit s’assurer au<br />

préalable que ses ressources financières seront suffisantes pour lui permettre d’assumer ce risque. A cet effet, nous vous<br />

invitons à prendre connaissance des principaux facteurs de risques suivants :<br />

Risque d’illiquidité<br />

Dans la mesure où aucun engagement de rachat par le Producteur (Marty est une entreprise) ou par ses actionnaires n’est<br />

prévu, la liquidité est assurée par la cession des participations selon les conditions de marché, à l’issue du délai minimum de<br />

conservation de 5 années (toute cession étant interdite avant le 31 décembre 20<strong>22</strong>) et pouvant aller jusqu’au 31/12/2024<br />

dans le cas d’un rachat par la SAS <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> des parts des associés pour le montant disponible de trésorerie dans la<br />

SAS. Ainsi, la SAS recommande de retenir par prudence un blocage des titres pendant 7 ans.<br />

Risque de perte en capital et de rentabilité négative de l’investissement<br />

A ce risque d’illiquidité s’ajoutent des risques inhérents à l’investissement en capital, notamment le risque né d’une mauvaise<br />

appréciation des perspectives d’exploitations du film en portefeuille, d’un retournement du marché sur lequel il est<br />

positionné, et est en conséquence particulièrement sensibles à la conjoncture économique. Le risque maximum est la perte<br />

de la totalité du capital investi.<br />

Risque de défaillance de la Société<br />

Le montant nécessaire à la gestion administrative, comptable et juridique de la société pour les 5 ans minimum de détention<br />

des actions pour les actionnaires sera mis en provision.<br />

Risque lié au niveau de frais (voir le détail des frais ci-après)<br />

Le niveau des frais auxquels est exposé la SAS peut avoir une incidence sur la rentabilité finale de l’investissement et dans<br />

le pire des cas engendrer une perte en capital.<br />

Toutefois, les frais de la SAS <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> ont été évalués au plus prêt des exigences liées au bon fonctionnement de la<br />

société et en toute transparence il apparaît particulièrement important de présenter l’intégralité des frais concernés par la<br />

SAS dans le tableau ci-après.<br />

25


RECAPITULATIF DES FRAIS<br />

Sur un horizon d’investissement de 5 ans<br />

FRAIS <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> ALCIDE CORPORATE<br />

DISTRIBUTEUR<br />

(Conseil en gestion<br />

de patrimoine)<br />

Forfait de 10 000€ HT/ an*/ film<br />

5%* HT des souscriptions réalisées<br />

<strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> -<br />

(gestion administrative, comptable et juridique de la SAS)<br />

5%** HT des souscriptions réalisées<br />

* Forfait de 10 000€ HT / an / film (dix mille euros hors taxes par an) sur 5 ans. Soit un total pour 5 ans de 50 000€ HT (cinquante<br />

mille euros hors taxes). Ce forfait permet d’assurer la gestion administrative, comptable et juridique de la SAS ainsi que les obligations<br />

légales du dispositif qui imposent notamment au moins deux salariés à la clôture de l’exercice qui suit l’augmentation de capital. Les<br />

5 ans correspondant à la durée minimum de détention des parts sociales sans remise en cause de l’avantage fiscal. Plus de détail en<br />

page 6 « résumé de l’offre IRPP/ISF ».<br />

** La société <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong> rétrocédera 5% HT (cinq pour cent hors taxes) des souscriptions réalisées par le distributeur à ce même<br />

distributeur en accord avec la convention de partenariat entre le distributeur et la société <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong>. De même, la société <strong>ALAN</strong><br />

<strong>PROD</strong> rétrocédera 5% HT (cinq pour cent hors taxes) des souscriptions réalisées par le distributeur à la société ALCIDE CORPORATE<br />

en accord avec la convention de partenariat entre la société ALCIDE CORPORATE et la société <strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong>.<br />

CARACTERISTIQUES CLES<br />

Offre d’investissement DEFISCALISATION IRPP / ISF<br />

Dénomination de la société<br />

Siège social<br />

Prix d’émission des actions<br />

<strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong><br />

10, rue de Penthièvre - 75008 Paris<br />

100 euros<br />

Souscription minimale 100 actions, soit 10 000 €<br />

Dépositaire<br />

LCL - Le Crédit Lyonnais, agence sise<br />

20, avenue de Stalingrad VILLEJUIF (94800)<br />

26


CONTACTS<br />

ALCIDE CORPORATE<br />

11 bis, rue Roquépine - 75008 Paris<br />

Tel. : +33 (0)1 41 29 04 35<br />

www.alcidecorporate.com<br />

info@alcidecorporate.com<br />

<strong>ALAN</strong> <strong>PROD</strong><br />

10, rue de Penthièvre - 75008 Paris<br />

Tel. : +33 (0)1 41 29 04 35<br />

829 635 986 R.C.S PARIS<br />

MARTY EST UNE ENTREPRISE<br />

71, rue Caulaincourt - 75018 Paris<br />

Tel. : +33 (0)1 77 12 47 73<br />

http://martyestuneentreprise.com/<br />

Marc Brunet, Producteur : brunet.marc@gmail.com, <strong>06</strong> 23 82 49 43<br />

Aurore De Sousa, Assistante de production : aurore.desousa@gmail.com, <strong>06</strong> 63 60 01 17<br />

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