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3.6 4.2<br />
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3.8<br />
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MERCREDI<br />
16 JAN<br />
Creed, l'héritage de Rocky Balboa<br />
21:00<br />
FILM AMÉRICAIN DE R. COOGLER ¬ 2015<br />
¬ 2H15<br />
Fils naturel du défunt Apollo Creed, Adonis Johnson grandit dans des<br />
foyers d'accueil<br />
où il passe le plus clair de son temps à se battre. Un<br />
jour, Mary Anne,<br />
la veuve du boxeur, lui offre de venir vivre chez elle avec<br />
l'idée d'en faire un jeune homme apaisé et respectable.<br />
CRITIQUES PRESSE<br />
• Un film, oui, de boxe, vu mille fois, qui repose sur le schéma<br />
classique du genre . Ennuyeux. (L'Express)<br />
• <strong>Le</strong> seul vrai plaisir du film est de retrouver Sylvester Stal-<br />
avec<br />
lone en Rocky vieillissant, rôle qu'il assume pleinement<br />
humour et quelques<br />
q<br />
clichés. (Studio Ciné Live)<br />
• Stallone se glisse dans le rôle du mythe en déambulateur<br />
avec une modestie qui fait sa noblesse, acceptant la rin-<br />
ciller. Mais la mise en scène conven-<br />
gardise et la mort sans<br />
tionnelle tourne vite à la démonstration pompière, quand<br />
on voudrait de l'âpretéet<br />
du nerf. (<strong>Le</strong> Nouvel Observateur)<br />
AVIS<br />
SPECTATEURS<br />
810 M. B. S. Stallone T. Thompson<br />
JEUDI<br />
17 JAN<br />
<strong>Le</strong> dernier diamant<br />
21:00<br />
FILM FRANÇAIS DE E. BARBIER ¬ 2014 ¬ 1H58<br />
En liberté surveillée, Simon, cambrioleur de haut vol, n'a pas de projet<br />
précis. C'est alors qu'un<br />
ancien complice le contacte et lui propose de<br />
monter le coup de sa vie : dérober le Florentin, diamant mythique estimé<br />
à 40 millions de dollars.<br />
CRITIQUES PRESSE<br />
• Sans originalité dans la mise en scène ni souffle dans le<br />
propos, cette œuvre peine à renouveler un genre ultra cosans<br />
épaisseur<br />
difié. Avec sa BO jazzy, ses personnages et ses répliques appuyées, le résultatt s'apparente en effet<br />
à un ersatz mal digéré d'Ocean's Eleven. (M<br />
Metro)<br />
• Ce Dernier Diamant vient<br />
nous rappeler une fois de plus<br />
que l'enfer du cinéma est pavé de bonnes notes d'intention<br />
et de maladresses filmiques. (Ecran Large)<br />
• Efficace et bien ficelé, sans faire beaucoup<br />
de carats, son<br />
Diamants n'est pas non plus un vulgaire zircon.<br />
(TéléCinéObs)<br />
3.1 3.1<br />
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<br />
3.15<br />
<br />
Yvan Attal<br />
B. Bejo<br />
J. Stévenin<br />
AVIS<br />
SPECTATEURS<br />
600
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