BS 205 FR-dossier

Mars 2019 - N°205
MAGAZINE
DÉVELOPPEMENT
DES COULISSES
DISNEYLAND PARIS
INTERNATIONAL
WOMEN'S DAY
DISNEYLAND PARIS
EVENT GROUP
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3 EN IMAGES
6 TOP 4
Des prochains événements
7 SANTÉ AU TRAVAIL
L’importance du diagnostic précoce
8 DOSSIER
À votre santé !
23 DÉVELOPPEMENT DES COULISSES
Tetris géant ponctué d’effets
dominos permanents
26 ÉGALITÉ
Penser équitablement,
bâtir intelligemment,
innover pour le changement
28 STRATÉGIE
Découvrez Disneyland Paris Event Group !
30 SPECTACLES
Rassemblez-vous pour une saison héroïque
31 THE WALT DISNEY COMPANY
Place aux femmes dans l’univers Marvel
32 PROGRAMME AMBASSADEURS
#Ambassagram
33 DLP2020
Les mines planchent sur nos files d’attente
34 NOS HISTOIRES
Il était une fois… The Steakhouse
35 LE CONSEIL DU MOIS
Mission Handicap pour vous aider
36 SÉCURID
La sécurité, c’est moi
37 CASTMEMBERLAND
Les clés du logement
38 #ENBREF
39 CONCOURS & AVANTAGES
SOMMAIRE
8
23
VOUS SOUHAITEZ APPORTER
VOTRE TÉMOIGNAGE EN VUE
DE FUTURS ARTICLES ?
ÉCRIVEZ À :
DLP.COM.INTERNE@DISNEY.COM
28
26
10-31-1247
Certifié PEFC
pefc-france.org
Directeur de la publication : Clément Révérand
Directrice de la publication déléguée : M.-E. La Van Manh
Rédactrice en chef : M. Chapelle Flores
Conception du numéro : V. Russo
Graphisme : A. Bossy
Rédacteurs : J. Afonso Santiago, R. Baudon, L.Cayuela,
A. Elbaz, C. Gonier, M.-E. La Van Manh, Giona Prevete,
C. Reneaume, V. Russo, E.Werts
Adresse postale :
Communication Interne
1, rue de la Galmy - 77700 Chessy, France
Courriel : dlp.com.interne@disney.com
Backstage, le magazine des Cast Members de
Disneyland Paris est gratuit et réservé à usage interne.
Aucune reproduction autorisée sans accord préalable.
© Disney/Pixar © 2019 MARVEL. © & TM 2019 Lucasfilm Ltd.
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8 BACKSTAGE
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DOSSIER
À VOTRE SANTÉ !
Le projet de réforme de la santé a été présenté par le gouvernement le mois dernier.
À Disneyland Paris, c'est une équipe pluridisciplinaire qui compose notre pôle Santé au
travail : médecins, infirmiers, secrétaires médicaux, psychologue, assistantes sociales, etc,
ils sont une trentaine à s’assurer de notre bonne santé physique mais aussi psychique :
suivi de santé, étude de postes sur le terrain, prévention des risques, campagne de
sensibilisation et de prévention sur les sujets de santé publique (grippe saisonnière,
cancers, déspistages, etc.). Ils dispensent également des formations réglementaires
(bruit, postures et gestes, agents chimiques CMR*).
Retrouvez dans ce dossier les portraits de ces femmes et de ces hommes dont le
premier souci est de « rétablir, préserver ou promouvoir la santé dans tous ses éléments,
physiques et mentaux, individuels et sociaux. » (Cf. Serment d’Hippocrate).
* cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction.
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10 BACKSTAGE
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DOSSIER
QUOI DE NEUF
DOCTEUR ?
S’ils ont tous prononcé le serment
d’Hippocrate, nos docteurs en médecine ont
décidé d’officier en entreprise. Portraits de ces
praticiens qui portent aussi facilement
le name tag que le stéthoscope.
Cyril Warmberg, docteur en médecine, DES (diplôme
d’enseignement supérieur) en médecine du travail et DU
(diplôme universitaire) en biomécanique de l’appareil
locomoteur et du mouvement, en radioprotection appliquée
à la médecine du travail, sur le sommeil et sa pathologie ainsi
qu’en vaccinologie et prévention des maladies infectieuses.
Mais que de formations !
C’est une nécessité pour rester à la page compte-tenu
de l’évolution constante des connaissances dans le
domaine médical.
Si l’on comprend plus facilement ta spécialisation sur
le sommeil pour accompagner nos équipes de nuit,
pourquoi les maladies infectieuses ?
Nos commerciaux, nos acheteurs sourceurs ou encore
nos chefs de produits sont amenés à voyager à l’étranger :
il est indispensable d’avoir une solide connaissance des
vaccins à pratiquer. Il y a par ailleurs une recrudescence
de certaines maladies infectieuses comme la rougeole :
il est important que nous soyons informés et formés,
dans le cas d’une gestion de crise par exemple.
En quoi est-ce important de rester au contact du
milieu médical ?
La médecine ne cesse d’évoluer. Il vaut mieux être au
courant des dernières méthodes d’examens médicaux,
d’aide au diagnostic et des nouveaux traitements. C’est
au regard de ces connaissances que nous sommes
en mesure d’aménager correctement les postes de
travail des Cast Members : un traitement ayant pour
effet secondaire une somnolence peut justifier un
aménagement d’horaires de travail.
PENSEZ-Y !
Lors de votre visite médicale, pensez à apporter
votre carnet de santé, nécessaire notamment
pour éviter une rupture dans le suivi vaccinal.
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DOSSIER
Karen Uzan, docteur en médecine, DES en médecine du travail et DU
de radioprotection appliquée à la médecine du travail, gestion des
urgences en milieu de travail, addictions : morbidités et comorbidités
psychiatriques.
Pourquoi faire le choix d’une spécialité en médecine du travail ?
C’est une spécialité qui permet d’aborder différents domaines d’expertise
(médical, toxicologie, ergonomie, législatif, etc.) et de combiner la pratique
médicale à l’étude des conditions de travail des salariés. Étude des
contraintes posturales, du niveau de bruit, de la luminosité, etc. sont autant
d’axes pour adapter les postes de travail.
Pourquoi continuer à te former sur l’addictologie ?
Je suis parfois confrontée à des situations de dépendance à des produits, le
plus souvent tabac, alcool voire cannabis. Mon but est d’accompagner les
salariés et de sensibiliser l’entreprise pour apporter une réponse adaptée.
Les addictions, ça regroupe quoi ?
Il s’agit d’un mode de consommation inadapté d’une ou plusieurs substances
conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance. C’est
la perte de la liberté de s’abstenir de consommer tabac, alcool, cannabis,
opiacés, psychostimulants, anxiolytiques mais aussi achats compulsifs, jeux
d’argents, sport, sexe, etc.
Quels conseils partagerais-tu ?
Ne pas hésiter à en parler, ce n’est pas un tabou ! Ne pas s’isoler dans sa
consommation. Consommer ne signifie pas forcément être dépendant mais il
est nécessaire d’évaluer sa consommation. En parler à son entourage, à son
médecin du travail, à l’infirmière de santé au travail, à son médecin traitant,
c’est un premier pas.
10 % à 20 %
des accidents
DU TRAVAIL SONT DUS
À L'ALCOOLISME
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DOSSIER
BACKSTAGE 13
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14 BACKSTAGE
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DOSSIER
Gery Cuveillier, docteur en médecine avec DES en médecine du travail et
en médecine générale.
Tu as suivi une formation sur l’hypnose à la Pitié Salpêtrière. Ce n’est pas
commun comme formation médicale…
L’hypnose rejoint le champ des thérapies brèves et son efficacité est parfois
surprenante. J’avais probablement besoin de découvrir ce qui se cachait
derrière cette magie, un peu comme à Disney !
L’appliques-tu au quotidien ?
Le rôle du médecin du travail est essentiellement préventif, je n’ai donc aucune
consultation dédiée en hypnose. Pourtant les champs d’application touchent
parfois à la santé au travail : contrôle de la douleur, troubles du comportement
alimentaire, troubles anxieux, phobies ou encore burnout.
En quoi est-ce différent d’un traitement plus traditionnel ?
On peut constater l’influence des suggestions sur le cerveau grâce aux
imageries cérébrales fonctionnelles. L’hypnose permet alors au patient de
changer de regard, de manière consciente ou inconsciente, sur son problème
et modifie ses comportements.
Comment se passe une consultation d’hypnose médicale ?
On invite le patient à s’interroger sur le problème qui l’amène à consulter
puis on l’accompagne vers un état de « vigilance généralisée ». On pourrait
parler d’une forme de rêverie guidée, permettant au cerveau d’éprouver de
nouvelles possibilités de guérison et de sortir des schémas de raisonnements
toxiques. Ça aide le patient à maîtriser ses émotions ou à faire l’expérience du
lâcher-prise.
« Nous avons besoin de confronter nos
pratiques soit en interne grâce à mes
collègues aux compétences spécifiques,
soit en externe grâce à des
colloques et des formations. »
Géry Cuveillier,
médecin du travail.
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DOSSIER
Céline Ducroq, docteur en médecine avec DES en médecine du travail et DU en
médecine des voyages et en sport et santé.
Pourquoi t’es-tu orientée sur un DU sport et santé ?
L’activité physique contribue à préserver la santé, ce qui en fait un outil intéressant pour le
médecin du travail. Certains médecins prescrivent l’activité physique pour les affections
de longue durée au même titre qu’un médicament !
Notre entreprise présente la particularité de recenser des salariés dont l’activité physique
professionnelle pourrait être liée aux troubles musculo squelettiques et à l’inverse des
Cast Members dont le risque est plutôt lié au manque d’activité et à la sédentarité.
LE SAVIEZ-VOUS ?
L’OMS recommande de pratiquer
au moins 150 minutes d’activité modérée
ou 75 minutes d’activité soutenue par semaine.
Quels sont les dispositifs proposés par notre entreprise pour encourager un mode
de vie plus actif ?
Je pilote un groupe de travail sur le bien-être au travail et sur la sensibilisation aux risques
liés à la sédentarité. Disneyland Paris propose des formations : gestes et postures, yoga
sur chaise ou encore des séances d’échauffement avant la prise de poste.
L’entreprise a également mis en place des structures pour développer l’activité physique
des salariés avec le Parc des sports, les terrains de basket et de pétanque ou encore une
salle de sport pour les résidents de la Boiserie.
Les Cast Members ont aussi la possibilité d’adhérer au Club Dingo pour accéder aux
salles de remise en forme et aux terrains de tennis des Hôtels et Resorts Disney. Enfin des
cours collectifs (Pilates, salsa, zumba) sont proposés via notre comité d’entreprise sur site
pendant la pause déjeuner.
Quels conseils donnerais-tu aux Cast Members peu enclins à faire du sport ?
Tout gain d’activité est bon pour la santé. Il n’est pas nécessaire de pratiquer un sport
intense : prenez les escaliers plutôt que les ascenseurs, favorisez vos déplacements
à pieds, allez voir vos collègues plutôt que d’échanger par mail, c’est déjà de
l’activité physique !
15 000
pas sont effectués
EN MOYENNE CHAQUE JOUR PAR
UN CAST MEMBER EN OPÉRATIONS.
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DOSSIER
NUMERUS
NON CLAUSUS
Outre nos médecins, notre pôle
Santé au travail s'appuie sur
des profils complémentaires
pour répondre aux besoins
des Cast Members.
Backstage vous propose
de les découvrir…
Secrétaire médical, John Renard a un parcours
atypique. S'il n'est pas issu du corps médical, il en
a la vocation avec la volonté d'apporter son aide
à autrui avant tout.
Il se dit « secrétaire médical » mais avouons-le, il est
plutôt jongleur : après avoir fait ses armes sur le terrain et
à la planification, John gère les plannings des médecins
et programme les visites médicales.
Entre les rendez-vous réguliers - anciennes biennales
dont la périodicité varie de deux à cinq ans - les visites à la
demande, les préférences des uns et des autres pour un
médecin particulier, il joue à l’équilibriste pour satisfaire
ses « visiteurs » et optimiser les emplois du temps de
chacun. À cela, il faut ajouter les retards, les « no shows »,
les replanifications et les visites réglementaires plus
fréquentes pour les personnes à risques. John assure
en toutes circonstances et n’est jamais plus heureux
que lorsqu’il parvient à glisser un rendez-vous pour un
Cast Member devant respecter une échéance.
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5 092
Cast Members
formés aux RPS,
TOUS NIVEAUX
HIÉRARCHIQUES CONFONDUS.
LE SAVIEZ-VOUS ?
?
??
Des psychologues cliniciens de Psya
traitent les situations individuelles
par téléphone (0 801 802 213) ou au
cours d’entretiens en face-à-face
(prise de rendez-vous au 4 55 63).
?
Psychologue de formation, Rebecca Douillet est chargée de mission RPS*. Rebecca
a été recrutée pour piloter le déploiement de l’accord en faveur de la prévention des
risques psychosociaux et accompagner l’entreprise sur les thématiques relatives à
ceux-ci.
Quelle formation as-tu suivi ?
Je suis psychologue sociale du travail. Ma particularité réside dans ma double compétence
- psychologie clinique et sociale – qui me permet d’avoir une analyse multidimensionnelle :
individuelle et collective.
Quelle différence entre un psychologue clinicien et un psychologue social ?
Le premier est spécialisé dans le traitement des troubles mentaux et émotionnels (dépression,
troubles du comportement alimentaire, schizophrénie, etc.). Le psychologue social du travail
étudie l’individu dans un groupe et prend en compte les facteurs organisationnels. La sphère
privée n’est pas abordée, on reste dans un cadre professionnel en abordant des sujets relatifs à
l’organisation du travail et aux relations sociales de travail.
Comment interviens-tu ?
J’accompagne l’entreprise dans sa démarche de prévention des risques psychosociaux.
J’apporte mon expertise au service Santé au travail et aux encadrants : conseil, méthodologie,
analyse des situations, possibilité d’intervention en cas de situation dégradée, etc.
Après tes études, pourquoi t’être orientée en entreprise ?
J’ai été confrontée au monde du travail parallèlement à mes études. J’ai constaté qu’en agissant
sur les facteurs de RPS, on pouvait favoriser le bien-être et la productivité.
Tes conseils pour être heureux au travail ?
La communication et le dialogue entre collègues constituent déjà une base solide.
* risques psychosociaux.
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DOSSIER
??
?
LE SAVIEZ-VOUS ?
Sylvia Farcage, assistante de service social,
nous aide à tordre le cou aux idées préconçues.
Disneyland Paris fait partie de l’AEPL
(association des entreprises pour le
logement). À ce titre, tous les
Cast Members bénéficient de
la gratuité des frais d’adhésion
et de gestion lors de la signature
d'un bail via cette bourse aux
logements interentreprises.
Plus d’infos en contactant
Accompagnement Social au 4 43 19.
1.
L’accompagnement social est destiné
aux personnes en situation précaire.
FAUX
Le service propose aide, conseils et informations
dans différents domaines tels que le budget mais
aussi la santé, le logement, les problèmes familiaux
ou encore les démarches administratives.
2.
Les assistantes sociales sont soumises
au secret professionnel.
VRAI
Toute personne exerçant la profession d’assistant
de service social est soumise à un code de
déontologie garantissant la confi ance et l’obligation
légale de secret.
3.
L’assistante sociale « fait avec et
pas à la place de ».
VRAI
Nos assistantes sociales facilitent l’autonomie des
salariés. Chaque Cast Member reste acteur de la
résolution de sa démarche.
4.
C’est difficile de se confier
à une « collègue ».
VRAI ET FAUX
Bien qu’également Cast Members, nos assistantes
sociales sont formées pour analyser les situations de
façon objective. Elles vous écoutent avec empathie,
sans être dans l’émotion.
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Pathologies, traitements, législation, notre équipe
Santé au travail se forme en permanence. Exemple
avec Armelle Fontaine, infirmière expérimentée qui
a suivi un DIUST* sur les risques chimiques sortant
major de sa formation !
Quelles sont tes missions ?
Je repère les risques professionnels auxquels nos
Cast Members pourraient être exposés, je réalise des
visites d’information et de prévention.
Pourquoi une formation sur les risques chimiques ?
Je suis la population des services techniques. De
nombreux produits chimiques y sont utilisés chaque
jour. Ce risque est bien connu de l’entreprise et des
actions sont mises en place depuis plusieurs années.
Disneyland Paris a du recul sur le sujet par rapport
à d’autres entreprises car elle a su s’entourer depuis
longtemps d’experts en la matière.
Comment s’est déroulée ta formation ?
Les cours étaient dispensés une semaine tous les deux
mois dans les universités de Bordeaux et Limoges. Après
treize mois de formation, j’ai rédigé un mémoire sur le
métier de décorateur accessoiriste. Une soutenance
orale devant un jury de professionnels est venu clôturer
le cursus. J’ai obtenu la note de 18/20 et suis sortie major
de ma promotion.
Comment mets-tu cet enseignement en application ?
Les Cast Members s’exposent par habitude et parfois par
manque de connaissances sur le sujet. Lors d’entretiens
individuels, j’appréhende la globalité des risques
chimiques. La synthèse de la situation est plus aisée et
les conseils sont ciblés.
35
infirmiers et
infirmières
SE RELAIENT À DISNEYLAND PARIS
(DONT 13 EN SANTÉ AU TRAVAIL).
* Diplôme inter universitaire de santé au travail.
BACKSTAGE 21
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DOSSIER
PÔLE SANTÉ
Tout nouvel embauché(e) bénéficie
d’une visite initiale d’information et
de prévention dans les trois mois
suivant son arrivée.
Certains Cast Members
bénéficient d’un suivi
individuel renforcé (nuit,
exposition aux risques
chimiques, etc.).
La fréquence des visites médicales
suivantes doit s’effectuer au moins tous
les cinq ans (délai raccourci pour les
salarié(e)s dont l’état de santé,
l’âge, les conditions de travail
ou les risques professionnels
auxquels ils(elles) sont
exposé(e)s le nécessitent).
Tout travailleur handicapé peut se voir
préconiser des adaptations de son poste
de travail par le médecin du travail.
Les Cast Members
bénéficient d’un examen
de reprise du travail
après un congé de
maternité, une absence
pour cause de maladie
professionnelle ou une
absence d’au moins
trente jours pour cause d’accident
du travail, de maladie ou d’accident
non professionnel (dans les huit
jours de leur retour).
En 2018, notre pôle
Santé au travail a
effectué près
de 16 000
consultations.
À l’issue d’un arrêt de travail
de plus de trois mois, une
visite de pré reprise peut être
organisée en vue de favoriser
le maintien dans l’emploi.
Chaque Cast Member
peut bénéficier,
à sa demande,
d’une visite médicale.
M.-E. La Van Manh
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