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Le Toussonnais Déchaîné - n°152 janvier 2020

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Janvier

2020

N°152

déchaIné

ISSN0982-8702

Messages codés pour nos agents

Plein de trucages en 2020

Jean-Paul à Lannion

Pions infortunés

La routine épuise les vieilles biques

Le bac provoque des drames

Le vieux roux cherche à médire

Servir avant de se servir

Devises municipales

Point deVue Images du monde rural toussonnais par le gentil Foyer Rural de Tousson (Seine et Marne)

Forêt de Fontainebleau : le massif des Trois Pignons, notre « Mt St Michel » de la varappe et des balades, est

menacé. Une pétition (>5600) a mis en suspend ce projet. Consultez www.avenirduvaudoué.fr pour tout savoir !


INGREDIENTS

Sans conservateur conformément à la législation,

sans colorant, ne contient pas de

gluten, traces de glucides possible, traces de

lipides (bintje) et/ou de fricadelles éventuelles.

Non pasteurisé et sujet à fermentation.

Contient des idées. L’abus de lecture

ne tue pas, consommez sans modération….

P1

Alerte aux Trois Pignons

P2

La page égocentrique

P3

La Marmite des Rencontres

P4

Ces activités vous attendent

P5

actu des Foyers Ruraux, Rézo

P6 et 7

citoyenneté et histoire

billet d’humeur

P8

La vie des bénévoles

P9

Atelier d’écriture

P10

Flagy, le village cinéphile

P11

l’actu du ciné-club

P12

Promeneurs du Net

P13

Rubrique épicière

Jeux de société avec les étudiants

de l’ IUT Fontainebleau

L’édito du président !

P14 et 15

Le Cri de la Betterave énervée

P16

Un Café-musiques, c’est quoi ?

les beaux concerts à écouter !

Ours du Toussonnais Déchaîné 77123 TOUSSON cedex

Odile, 1 passage de la Tête des Trains. Edité par le Foyer

Rural de Tousson. Rédac' chef Pierrot. Directeur de Publication

Pascal. Relecture et correctages des articles à plusieurs :

au coin d’un bar, tant pis pour les fautes. Photos : Pierrot,

Christian, Daniel Denis Maquette/compo : Pierrot. Dessin du

titre : J. Robuchon. Ont participé : Yannick, Colette, Océane,

Pierrot, Steve, Maryse, étudiants Mosa IUT, emprunt à Nicolas

Fillon (Rep77) Bosses grises à Jojo la Comtesse (tous les

mercredis dans le Canard Enchaîné, retrouvez-là !).

Le courrier des lecteurs est ouvert et les articles bienvenus.

Ecrivez-nous par la Poste, pigeon voyageur, courriel...

Les lettres anonymes doivent être signées par leur auteur.

(boîte au fond de la cour à droite) Photocopié à 153 ex. en N&B

ou en couleurs sur notre bécane. Les meilleures pages se font

à l’usine. Janvier 2020 dépôt BN par Pascal. Téléchargeable

en pdf sur le site. (durée de chargement variable)

Q

L’article égocentrique

Depuis le 1er novembre, Océane Forge a rejoint le FR pour 8 mois.

ue dire pour commencer cette rubrique… Et bien le premier jour n’a pas été de tout repos

! Quand on vous dit lorsque vous arrivez, « ce soir, soirée moules / frites », on est en

droit de s’inquiéter… Et effectivement, il le fallait ! Un plat de moules par ci, une portion

de frites par là, et le premier jour ressemble à un marathon qui ne s’arrête jamais sur plusieurs

heures… Heureusement, Pierrot est présent pour rassurer en disant que ce ne sera

pas tous les jours comme cela ! Étonnamment, cette petite phrase était nécessaire au vu de

la soirée qui venait de se produire !

Avec deux mois de recul aujourd’hui, je peux maintenant vous affirmer que c’était

exceptionnel ! Le travail y est très enrichissant, et c’est tout l’intérêt de ce Service Civique qui se confirme.

Le fait d’être si je puis dire « tout terrain » apporte une autre vision et m’apprend sur différents plans.

Ainsi, j’ai pu animer un stage de percussions brésiliennes sur deux jours par exemple. Les niveaux y

étaient différents mais cela a permis à des personnes n’osant pas jouer d’un instrument de musique à

essayer et y prendre du plaisir, ou à des personnes qui elles, au contraire, avaient déjà commencé l’apprentissage

d’un instrument d’appréhender la musique sous un autre angle.

D’autres tâches viennent notamment s’ajouter comme celles dans le bureau, comme de l’informatique, de

la communication ou encore de la comptabilité auprès de Maryse. Une fois encore, cela permet de voir un

côté plus administratif qui est essentiel au bon fonctionnement du lieu bien évidemment. Tous ces apprentissages

sont alors des plus dans une compréhension globale de la structure.

Une autre facette me tenant particulièrement à cœur est celle de la programmation musicale du

Foyer. C’est sans doute en grande partie pour cela que j’ai choisi de venir faire ce Service Civique en particulier.

Le fait de côtoyer Pierrot permet de voir la gestion que celui-ci applique dans le choix des groupes,

les envies du public, les propositions des musiciens,…et de tirer la somme de tout cela afin de proposer la

meilleure programmation possible. Toujours dans cet aspect musical, j’ai pu notamment commencer à

apprendre à gérer une table de mixage récemment.

Il me semble que ce Service Civique pourra donc m’aider dans les choix vers lesquels je veux

m’orienter dans le futur, à savoir vraiment du côté musical, et me permettra d’appréhender d’autres approches

comme la production, le journalisme, la gestion administrative d’une structure,…

Pour conclure, je ne vous embêterai donc pas à vous faire toute la liste des activités que l’on y fait,

mais une chose est sûre et sur laquelle je peux vous écrire, si vous voulez devenir bénévole, aider Pierrot

et tous les membres de l’équipe, allez-y sans vous poser de questions, vous y serez toujours bien reçu et

vous aurez l’occasion de passer un très bon moment !

Partenariat avec l’IUT Fontainebleau, licence pro Mosa

Nous accueillerons Imane Lemfadti du 10 février au 19 mai

Dans le cadre de la Licence professionnelle Management des Organismes du Secteur Associatif

et de l’Economie Sociale et Solidaire, nous accueillerons Imane Lemfadti pour un stage de 4 mois. Elle

participera aux activités du FR tout en rédigeant son mémoire.

D’autre part, depuis octobre, un groupe de 4 étudiants de l’IUT travaille sur un projet tuteuré que vous

pourrez découvrir page 13. Certains adhérents les ont déjà rencontré pour répondre à leurs questions.

Changement de coordinateur salarié

Steve Vinh-San est parti vivre sa vie à la Réunion d’où il est originaire

Arrivé en Service Civique en 2008, il a pris la succession du poste de

coordinateur de Julien Pinardon, (recruté grâce au dispositif Emploi

Tremplin de la Région IdF), aujourd’hui directeur du Festival de la Chanson

Francophone de Tadoussac au Québec. Steve quitte le Foyer Rural

après 10 ans de présence, pour s’installer à la réunion avec se femme

qui est médecin. Les salariés du FR voguent au-delà des frontières...

Des bons vœux en créole….

Mi embrass zot tout et mi souhaite a zot un bon ané 2020

ek bonèr, santé, l'anmou ! Na'rtrouv !

Le poste de coordinateur salarié

Recrutement en suspend pour l’instant...

Le départ de Steve pour la Réunion a été anticipé un an et demi avant et son poste mis en recrutement en

avril 2019. Une quinzaine de candidatures dont 4 ont été vues en entretien. Hélas, la personne retenue était

finalement assez éloignée de nos attentes aussi nous n’avons pas prolongé au-delà de la période d’essai.

Les bénévoles très investis pallient à toutes les tâches de coordinateur, assez prenantes en ces temps de

demandes de subventions, ce qui est du même coup une belle découverte de la polyvalence du poste.

Remercions la DDCS77 qui a mis également mis en suspend notre poste Fonjep.

LE CONSEIL D’ADMINISTRATION VOUS SOUHAITE UNE BONNE ANNEE

Eila Boissonnier, Isabelle Hayat, Laura Nezondet, Maryse d’Aboville, Véronique Gérard,

Pierrot Beltante, Yannick Baccro, Christian Papin, Pascal Bernard, Julien Boinay, Gilou Brunel,

Arthur Benchamal, Emmanuel Derrouet, Olivier Kergrais… rendez-vous à l’assemblée générale !

Tél. : 01 64 24 76 37

contact@latetedestrains.com

latetedestrains.com & et sur Face Book


LA MARMITE DES RENCONTRES espace de vie sociale

Des nouvelles de notre Marmite…. On a dû s’organiser autrement….

ous avons dû nous organiser autrement depuis

la rentrée de septembre 2019, notamment pour

les ateliers créatifs parents-enfants du fait de la

baisse des effectifs. En effet, c’est surtout avec

l’appui des assistantes maternelles que cela marchait

bien. Hélas, les enfants qu’elles gardent sont

trop jeunes pour ces activités, nous avons donc dû

arrêter. On espère reprendre, c’était très bien.

Nous tenons particulièrement aux activités avec la

présence des parents qui vont dans le sens de nos

engagements avec la CAF77. Nous comprenons

qu’une garderie serait sans doute plus adaptée du

fait que les parents travaillant, ils ne peuvent évidemment

être présents. Cela dit, nous pourrions

difficilement, pour des raisons administratives (et de

coût) entreprendre un tel projet sur une journée.

Cela dit les autres activités (couture, gym, art floral…)

marchent bien et des participants bénévoles

prennent en charge leur organisation, ce qui décharge

les autres bénévoles du Conseil d’administration.

Merci à eux.

Nous avons porté nos actions sur les périodes scolaires

avec un certains succès excepté pour ces

vacances de Noël, très peu suivies par les enfants...mais

davantage par des adultes qui ont donc

pratiqué des activités prévues pour les très jeunes !

Les vacances de février vont arriver très vite,

nous espérons pouvoir mettre en place un petit

programme qui vous sera communiqué dans les

boîtes à lettres et dans les cahiers

de l’école.

Enfin, nous avons besoin de

vous pour ces activités en direction

des enfants, n’hésitez pas

à rejoindre les bénévoles de

la Marmite des Rencontres,

d’apporter votre aide et vos

idées aussi.

Un de nos engagements auprès de la CAF 77 est de

développer la gestion de l’ EVS avec les parents,

nous en sommes encore assez loin, mais nous y

croyons… les vacances de février seraient un commencement

!

Les bénévoles du conseil d’administration.


Ces activités vous attendent ...

Atelier d’écriture

A l’atelier d’écriture, cette année, on va remettre le

couvert. Et ce dans tous les sens du terme car, bien sur,

on va continuer d’écrire, de créer des textes, les partager,

s’en amuser, jouer avec les mots, mais on poursuit

également la tradition qui consiste à couper le temps de

travail par une pause gastronomique.« Rassasier le

corps et l’esprit. » t’elle pourrait être notre devise.

Si ça vous tente d’essayer…vous êtes tous bienvenus,

rendez vous tous les derniers jeudis de 19h30 à 22h30

environ. Bonne Année 2019

Gym volontaire

Couture créative

Session slow jam

Tous les 3ème dimanche de 15h à 17h30, on étudie

sérieusement la musique trad américaine, bluegrass et

old time avec Mox Gowland (gratuit)

Après-midi irlandais

Tous les mardis, à la salle communale de 19h à 20h.

Echauffement, renforcement musculaire, cardio, stretching….Professeur

: Chantal Bouchet, diplômée d’Etat

Responsable bénévole du cour : Danielle Paquin

Infos et inscriptions sur place ou 06 83 36 71 13

Adhésion au FR (10€) + participation à l’activité

Le 1er cours est offert à l’essai. / matériel fourni

Café des Lumières,

Café-philo, café papotage

Ces rencontres sont organisées en fonction des propositions

des membres de l’association ou bien de partenaires

associatifs, il n’y a donc pas de fréquence régulière.

Nous comptons donc sur vous pour apporter votre

grain de sel… Le lieu fait toujours partie du réseau des

Repaires de l’émission de Daniel Mermet « Là bas si j’y

suis » qui est désormais sur internet..

Labas.org

Atelier Art Floral

Une fois par mois

Cette nouvelle activité dans le cadre de la Marmite

des Rencontres est proposée par Marie Barcque de

Récréation Intérieure, fleuriste professionnelle qui

donne également des cours à Achères la Forêt. Dates

et horaires seront déterminés en fonction des personnes

intéressées. Une participation aux frais de 25€

est demandée pour un cours comprenant la fourniture

des fleurs et accessoires. Vous repartez avec votre

composition. En général le cours à lieu de 19h30 à

20h30 et la date en est fixée d’un cours à l’autre avec

les participants. Si leur nombre augmente jusqu’à une

dizaine, la participation aux frais sera diminuée.

Le cours a lieu le lundi à partir de 18h30 jusqu’à 21h.30

Dates : 20 janvier, 3 et 24 février, 2, 16 et 30 mars.

Cet atelier est placé sous la direction d’Agnès couturière

professionnelle, Vous trouverez un solide accompagnement

dans vos créations de couture ou autres propositions.

Apportez votre machine pour apprendre à l’utiliser

au mieux ainsi que votre petit matériel personnel.

Le Foyer Rural met à disposition quelques outils courants

(ciseaux, mètres etc.)

Pour ceux qui veulent essayer sans avoir de machine,

c’est possible. L’atelier a acquis une machine et une

surjeteuse. Ambiance conviviale et petite pause pique

nique partagé..

Tarifs : 170€ année, 17 séances. 15€ le cours à la

séance. Le premier cours est offert pour faire un essai

Plus adhésion 10€ au FR

Pensez à vous faire aider par votre Comité d’Entreprise

Pour plus d’infos, contactez Eva Boinay, responsable

bénévole du cours ou Agnès Bourgeois, toutes deux

toussonnaises.

Ciné-club

Dans le cadre du cinéma droits institutionnels, cette

activité est réservée aux membres inscrits. La séance a

lieu tous les 3ème mercredi (sauf exception) avec deux

films, le premier à 18h et le second vers 20h30, après le

pique nique partagé. Le ciné-club a pour objectif l’éducation

à l’image, de sensibiliser les participants au

cinéma de différents pays. Donner à réfléchir, ouverture

et curiosité, découvrir les techniques de mise en scène,

montage, plans séquences… rencontres avec des

réalisateurs… Les séances sont gratuites mais une

tirelire est à votre disposition pour des mini dons en vue

d’entretenir le vidéo projecteur.

CINE ENFANTS :

des parents sont demandeurs d’une séance spéciale

enfants. Il reste à s’accorder sur un horaire et

des dates. Choix du film en commun.

Venez nous en parler !

Conseil d’Administration

Le CA est élu lors des assemblées générales mais il

accueille volontiers toutes les personnes qui souhaitent

apporter un soutien, monter un projet dans le cadre du

Café-musiques ou bien dans l’espace de vie sociale La

Marmite des Rencontres. Mais tout simplement aider

lors des événements extérieurs comme les vide greniers

ou encore diffuser les programmes. Si tout cela

existe, c’est parce que des bénévoles s’en occupent !

Tous les 2ème dimanche, on étudie sérieusement le

répertoire irlandais et les instruments trad avec Yves-

Antoine Emmanuelli de 15h à 17h30, puis c’est la

grande session informelle pour les musiciens

« confirmés » à l’image des pubs de Temple Bar !

(Gratuit)

Ateliers créatifs

Parents-enfants

Nous n’avons pu reconduire cette activité qui avait

pourtant bien marché.. Effectif insuffisant. Donc, si des

parents motivés sont partants, l’équipe du FR peut

redémarrer cela rapidement avec une animatrice professionnelle.

Venez nous en parler, nous sommes à votre

disposition. !

Bureau des Jeunes

Une des dernières réunions !

Les anciens se sont éloignés, il n’y a pas eu de relève

après Julien et Arthur… le FR reste à votre écoute….

Comme par exemple le tournoi de foot etc…

Animations globales

Nous avons toujours besoin de coups de main

lors des événements exceptionnels, vide greniers,

festivals, forums, journées fédérales…

Rejoignez-nous !


LA FEDERATION DES FOYERS RURAUX 77

inaugure son nouveau siège à Livry-sur-Seine

rézo

Fédération de

Ciné-club URFOL

Les inscriptions aux stages pendant le festival de

Cannes sont disponibles. Avant fin janvier !

Le samedi 5 octobre 2019, la Fédération des Foyers

Ruraux de Seine et Marne inaugurait son nouveau siège

dans l’ancienne mairie de Livry-sur-Seine en présence de

nombreux élus et des bénévoles des Foyer Ruraux.

En location dans des bâtiments municipaux à Blandy-les-

Tours, la vente d’appartements sociaux, dont le bail venait

à échéance et qui lui appartenaient, a permis à la FDFR

d’acquérir ces nouveaux locaux plus spacieux et d’économiser

ainsi des loyers devenus plus élevés avec le temps.

En autres avantages, il est situé au cœur d’un village

comportant plusieurs commerçants, des associations

dynamiques et une gare RER.

Une grande salle de réunion équipée et disposant d’un

coin cafétaria sera proposée en location à des groupes et

entreprises pour des séminaires, réunions, commissions

etc… histoire de contribuer l’amortissement du bien.

FOYERS RURAUX 77

Place de l’église

Livry-sur-Seine

01 64 64 28 21

www.fdfr77.org

Le Foyer Rural de Tousson représenté au CA de la FD :

Lors de la dernière AG, Pierrot a été élu secrétaire,

Christian, trésorier.

BAFA Session Générale

A vos agendas : du 23 février / 2 mars 2019

en externat à Moisenay !

> Prix : 365€, repas compris !

30€ de réduction pour les adhérents FR*

BAFA Session approfondissement

Du 22 avril au 27 avril en internat (camping)

à La Rochette, camping de la Belle Etoile

Thèmes : veillées, jeux, camping

30€ de réduction pour les adhérents des FR*

*petit coup de pouce supplémentaire pour des

jeunes de Tousson

> Inscrivez-vous vite : 01 64 64 28 21

Du bas de gauche à droite et retour par le haut … les élus invités, les administrateurs (bénévoles) et l’équipe de salariés

Pierrot Beltante (secrétaire) Béatrice Fremond (co présidente) Françoise (co-présidente) Pascale (comptable) Christian Papin(trésorier),

Magalie Chevalot (animatrice FD) Billitis Delalande (graphiste FD) Aurélien Boutet (directeur FD) au dessus : Jérôme Roguez (café associatif)

Mathilde N’Konou (animatrice FD) Dominique Gervais (maire de Livry), Yannick Guillou (maire de St Ouen en Brie), Gaëlle Choquet-

Marchant (directrice CAF77) François Deysson (Pdt des maires ruraux), Aude Luquet (députée circonscription) Alain Bleton (DDCS77)

Le mot de la trésorière du Foyer Rural de Tousson

Le budget réalisé 2019 accuse un déficit de - 5 727 €

D

écembre, c’est le moment des demandes de

subventions et comme toujours, c’est un peu

la panique pour boucler dans les temps, certaines

début décembre, d’autres début janvier ou fin

janvier … Sans compter les informations à préciser

pour la CAF ou bien le Fonjep, des choses que je

découvre. Depuis le départ de Steve, je suis à fond

dans les comptes… croyez moi ce n’est pas toujours

simple.

Le budget réalisé 2019 se monte à 63 838€ de

dépenses pour 58 111 de recettes, il y a un déficit

de - 5 727€.

Cela s’explique par plusieurs points ; les indemnités

légales de départ du coordinateur (-5600€), une

reconstitution de carrière (convention collective de

l’animation) qui avait été omise (-1600€), l’accueil

d’un stagiaire IUT (-2000€) et une subvention exceptionnelle

en moins (Promeneurs du Net -8000€).

Comme nous sommes économes dans l’ensemble

et que les bénévoles ne sont pas remboursés de

leurs frais (déplacements par ex) ou ils apportent

des contributions en nature, notre trésorerie n’a pas

été en danger. Plus de détails lors de l’AG.

En dépit de cela, les activités du FR s’équilibrent

presque (17 079 de dépenses et 17 435 de recettes)

mais les subventions restent indispensables

pour l’organisation des soirées Café-musiques

(Sacem, cantines), les salaires et cotisations sociales,

l’espace de vie sociale La Marmite des Rencontres.

Si vous êtes intéressé par la compta, venez me

rejoindre…

Maryse.

Réseau des Musiques Actuelles 77

Maison de Quartier

de la Ferme du Buisson

8 passage Louis Logre

77186 NOISIEL

01 60 93 03 15 www.pinceoreilles.fr

Les réseaux départementaux ont fusionnés

au sein du RIF (réseaux Ile de France)

Au sein du RIF, les lieux sont représentés au CA

régional et c’est Steve qui y est co-trésorier avec

Magali Martinelli, directrice MJC Ris Orangis.

CINE ITINÉRANT

MILLY-LA-FORÊT

MILLY-LA-FORÊT salle des fêtes

Boulevard Lyautey, grand parking

Plus d’infos à l’office du tourisme

tarif billetterie CNC 5€ enfants 4€

Infos : noecinema.com


CITOYENNETE ET HISTOIRE

l’assurance santé, la retraite, les congés… ce sont des conquêtes sociales de nos parents et grands

parents : ça n’est pas tombé du ciel tout seul. Il a fallu des grèves comme aujourd’hui pour les décrocher…

les cotisations des travailleurs leurs reviennent sans passer les banques, et ça, ça ne

plaît pas ...

La Sécurité sociale que nous connaissons aujourd’hui

est le fruit d'une longue longue histoire.

Si elle prend ses origines à la fin du 19e

siècle avec la première loi d’assurance sociale

sur les accidents du travail, ce n’est qu’au lendemain

de la deuxième guerre mondiale, en 1945,

qu’elle verra véritablement le jour. Depuis, elle a

connu beaucoup d’évolutions pour s’adapter à

notre époque et à nos besoins.

L’histoire de la Sécurité sociale en quelques

dates clés (non exhaustif ndlc)

1944 Au mois de mars, le Conseil National de la

Résistance propose dans son programme un «

plan complet de Sécurité sociale visant à assurer,

à tous les citoyens, des moyens d’existence

dans tous les cas où ils sont incapables de se

les procurer par le travail ».

agricoles

Accords collectifs interprofessionnels du 8 décembre

créant les régimes de retraite complémentaire des

non cadres (ARRCO)

1966 Création de l’assurance maladie et maternité

des travailleurs non-salariés des professions non

agricoles (artisans, commerçants, professions libérales).

1967 Quatre ordonnances réorganisent le régime

général de la Sécurité sociale. Cette réforme dite

Jeanneney (du nom du ministre des Affaires sociales

de l’époque) assure la séparation financière

des risques dans trois branches distinctes (santé,

vieillesse, famille).

Cette séparation financière est consacrée, au plan

institutionnel, par la création de trois caisses nationales,

la Caisse nationale d’assurance maladie des

travailleurs salariés (CNAMTS), la Caisse nationale

d’assurance vieillesse des travailleurs salariés

(CNAVTS), la Caisse nationale des allocations familiales

(CNAF). La gestion de la trésorerie des différentes

branches est confiée à l’Agence centrale des

organismes de sécurité sociale (ACOSS).

Années 1970 1971

Loi du 31 décembre dîte "Boulin" améliorant les

pensions de vieillesse des salariés du Régime général

et du Régime agricole.

Si l’on cite souvent Pierre Laroque, haut fonctionnaire, dans la création de la Sécurité

Sociale, c’est surtout au ministre Ambroise Croizat que l’on doit les décisions.

1973

Alignement au 1er janvier des cotisations et droits

des régimes de retraite des indépendants avec ceux

des salariés.

1673 : Création du premier « régime de retraite »

pour les marins par Colbert.

1898 Loi du 8 avril assurant la protection contre les

accidents du travail des salariés de l’industrie

(modification du régime de responsabilité civile : le

salarié bénéficie d’une protection générale, son

dommage est réparé soit directement par l’employeur

soit par des caisses permettant la mutualisation

des coûts entre les employeurs).

1910 Loi du 5 Avril créant le premier système interprofessionnel

de retraite au bénéfice des salariés

faiblement rémunérés des secteurs industriels et

agricoles, les retraites ouvrières et paysannes.

1928 Loi du 5 Avril complétée par celle du 30 Avril

1930 créant au bénéfice des salariés de l’industrie et

du commerce le premier système complet et obligatoire

d’assurances sociales (couverture des risques

maladie, maternité, invalidité, vieillesse, décès).

1932 Loi du 11 Mars créant au bénéfice des salariés

de l’industrie et du commerce le premier système

obligatoire de versement d’allocations couvrant les

charges familiales (« sursalaire » familial) financées

par des versements des employeurs.

1945 Ordonnances des 4 et 19 octobre assurant la

création du système de sécurité sociale en France

sur le modèle « bismarckien » (gestion par les partenaires

sociaux, financement par des cotisations à la

charge des employeurs et des salariés) ainsi que la

refonte du système des assurances sociales des

années trente, reconnaissance du rôle complémentaire

des mutuelles. Si l’ordonnance du 4 octobre

crée un régime général ayant vocation à rassembler

l’ensemble des actifs (salariés des secteurs privé et

public, exploitants agricoles, travailleurs indépendants

et secteurs spécifiques d’activité), elle reconnaît

également la possibilité de maintien de certains

régimes particuliers de sécurité sociale préexistants

(régimes dits «spéciaux»).

1946 Le Préambule de la Constitution de la

IVème République reconnaît le droit de tous à «la

protection de la santé, la sécurité matérielle, le

repos et les loisirs».

1947 Accords collectifs interprofessionnels du 14

mars créant les régimes de retraite complémentaire

des cadres (AGIRC)

1948 Loi du 17 janvier instaurant trois régimes spécifiques

d’assurance vieillesse pour les professions

non salariées non agricoles (artisans, professions

industrielles et commerciales, professions libérales).

1952 Loi du 10 juillet créant le régime d’assurance

vieillesse obligatoire des exploitants agricoles, géré

par la Mutualité sociale agricole (MSA).

1956 Loi du 30 Juin instaurant le minimum vieillesse.

1961 Loi du 25 janvier créant le du régime de l’assurance

maladie-maternité-invalidité des exploitants

1974 Simone Veil prononce le 26 novembre un

discours en faveur de l'interruption volontaire de

grossesse à l'Assemblée nationale.

1975 Loi du 4 juillet assurant la généralisation à

l’ensemble de la population active de l’assurance

vieillesse obligatoire


1978 Au 1er janvier, tous les résidents sur le territoire

français bénéficient des mêmes prestations

familiales, la branche famille du régime général est

universelle et concerne l’ensemble de la population

(Loi du 12 juillet 1977).

Loi du 2 janvier instituant un régime particulier pour

les ministres du culte et les membres des congrégations

religieuses et créant un mécanisme d’assurance

personnelle pour la « population résiduelle

» (qui ne relève pas d’un régime de Sécurité sociale

existant).

1982 Ordonnance du 26 mars abaissant l’âge de la

retraite à 60 ans

1986 Loi du 1er décembre créant le Revenu minimum

d’insertion (RMI)

1990 Loi du 29 décembre créant la contribution

sociale généralisée (CSG), prélèvement assis sur

l’ensemble des revenus (d’activité, de remplacement,

des produits du patrimoine et des placements

ou des jeux)

1993 Loi du 22 juillet portant sur l'allongement des

durées de cotisation pour les salariés du secteur

privé.

1996 Ordonnance du 24 janvier créant la contribution

au remboursement de la dette sociale (CRDS)

dont le produit est affecté à la Caisse d’amortissement

de la dette sociale (CADES) chargée de la

gestion des déficits des régimes de sécurité sociale

Loi du 22 février réformant la Constitution de la

Vème République afin de créer une nouvelle catégorie

de lois, les lois de financement de la sécurité

sociale (LFSS), gages de l’association de la représentation

nationale à la détermination de l’équilibre

financier de la Sécurité sociale

1997 Mise en place de la carte Vitale

Billet d’humeur

Par la dame du petit coin

On m’a mis récemment au parfum qu’une

des rubriques du Toussonnais Déchaîné était justement

de pouvoir lancer des coups de gueule…

Je m’y lance donc ! La culture en France

se perd de plus en plus, tout le monde sera d’accord

sur cette idée. Les pouvoirs publics n’injectent plus

d’argent, ne pensent qu’au profit mais oublient tout

le côté humain nécessaire à une population. On

nous parle de déficit en permanence, que les enfants

et les jeunes d’aujourd’hui devront payer nos

dettes de demain… ce leitmotiv revenant sans

cesse sans pour autant changer la réalité de la

situation.

Bref, je m’égare ! La culture est un des

fondements de notre pays. Nous avons une richesse

en terme de musées, dans l’art audiovisuel, cinématographique,

littéraire,… et bien évidemment musical.

Encore une fois, ce simple constat, une majorité

le partagera.

Néanmoins, il semblerait que l’on se

trouve dans une impasse. Quand on écoute la radio

notamment, les stations musicales ne passent que

des « choses » commerciales, oui je dis bien

« choses » et non pas « musiques », car il n’y a que

des velléités commerciales dans ce que l’on entend.

L’intérêt de la musique n’y est plus, seulement l’appât

du gain à cause d’une industrie utilisant des

rouleaux compresseurs sur tout ce qui ne permet

pas de s’enrichir.

1999 Loi du 27 juillet créant la Couverture maladie

universelle (CMU)

2003 Loi du 21 août portant réforme des retraites

(harmonisation progressive de la durée d’assurance

pour bénéficier d’une pension à taux plein entre les

différents régimes, évolution progressive de cette

durée d’assurance en fonction des gains d’espérance

de vie, créations de dispositifs de retraites

anticipées pour les assurés ayant commencé à

travailler jeune et ayant effectué de longues carrières)

2006 Mise en place le 1er juillet du Régime Social

des Indépendants (RSI, prévu par une ordonnance

du 31 mars 2005) regroupant les régimes d’assurance

maladie des professions libérales, des industriels,

des artisans et des commerçants ainsi que les

régimes d’assurance vieillesse des industriels, des

artisans et des commerçants.

2008 Loi du 1er décembre instaurant le Revenu de

solidarité active (RSA) qui remplace le Revenu minimum

d'insertion (RMI) pour les personnes sans

ressources.

2010 Loi du 9 novembre 2010 sur les retraites. L'âge

légal de départ à la retraite est relevé progressivement

de 60 à 62 ans, de 65 à 67 ans pour une retraite

à taux plein quelle que soit la durée de cotisation.

Un nouveau dispositif de départ anticipé au titre

de la pénibilité est également créé.

2018 Le Régime social des indépendants est rattaché

au Régime général de la Sécurité sociale.

2019/2020 le gouvernement veut instituer la retraite

par capitalisation (points), refus des travailleurs.

Ainsi, l’académie des Victoires de la

Musique ne s’y trompe pas et poursuit ce chemin.

Le 16 octobre 2019, la cérémonie des

récompenses des Victoires du Jazz a eu lieu au

Casino de Paris avant d’être diffusée le 26 octobre

en deuxième partie de soirée, à 22h30 sur France 5.

Le palmarès, superbe dans la qualité des musiciens

(Anne Paceo, David Linx, Vincent Peirani, Naïssam

Jalal,…), était donc prometteur et on aurait pu aisément

s’attendre à une soirée des plus réussies

musicalement…

Hélas, il en fut tout autre. Habituellement,

les Victoires étaient diffusées à plus de minuit, mais

au moins, l’intérêt musical était tout autre. Puisqu’un

effort sur l’heure de diffusion avait été fait, il fallait

donc que des compromis soient effectués également

du côté des lauréats… Ils ne purent jouer qu’à

peine, sans aucune improvisation (essence même

du jazz), avec le moins de musique instrumentale

possible. La cérémonie fut totalement tronquée. On

demanda à Michael Jonasz et sa Boîte de jazz

d’ouvrir la soirée, avant de voir passer des artistes

de variétés comme Clara Luciani ou encore Ben

L’Oncle Soul. Lorsque David Linx chanta, on l’obligea

à se produire avec Bernard Lavilliers, avant de

laisser sa place à Christophe Willem et son massacre

au Sitting on the Top of the Bay d’Otis Redding.

Ce n’était même pas encore le pire dans

cette soirée malheureusement. Plusieurs prix ont été

remis au bar du théâtre, sans personne autour des

lauréats (et encore moins des médias) qui les recevaient.

Le plus frappant dans ces oubliés reste Henri

REGIMES SPECIAUX ?

Selon les métiers, les cotisations sont différentes et

les départs en retraite différents. Il ya t-il des salariés

favorisés par rapport à d’autres ? Le nouveau régime

dit « universel » apporterait l’égalité pour

tous… cependant le travail n’est pas universel ni

égalitaire. Les cheminots ou les agents de la RATP

seraient-ils des privilégiés selon certains ? Pourtant,

on ne connaît pas d’enfants de ministres, de patrons,

de professions libérales qui entrent dans ces

métiers… ils vient plutôt la haute administration….

Force est d’admettre qu’il faudra toujours prendre en

compte les différences de métiers, d’où des régimes

spéciaux ou spécifiques…

Hôtesse de l’air à 70 ans, caissier à Intermarché…

couvreur, élagueur, danseur à l’opéra, footballeur ?

Pendant qu’une partie des salariés jalouse l’autre,

(diviser pour mieux régner, ndlc), les financiers

comme Black Rock, s’arrangent sur notre dos.

Texier, à qui l’on décerna une Victoire d’Honneur

pour « sa contribution à l’histoire du jazz français ».

Comment peut-on en arriver à un tel point ?

Les musiciens ne sont pas restés stoïques

face à cela, puisqu’une « lettre de consternation » a

été ouverte afin de changer cette version des Victoires

du Jazz dans le but de trouver une cérémonie,

au minimum, beaucoup plus représentative. Bien

entendu, le jazz n’est pas la musique la plus lucrative

et n’a pas non plus un rayonnement aussi important

qu’ d’autres genres musicaux, mais il serait

intéressant de remettre en perspective ce positionnement

des institutions

Il ne semble pas possible de se décrire

comme un pays hautement culturel lorsque l’on

traite ses artistes de la sorte. France Télévisions,

groupe télévisuel financé par nos impôts comme

chacun le sait, et le Ministère de la Culture plus

globalement, déclarent qu’ils se doivent d’être un

moteur pour la culture, même faute d’audiences.

Ne doit-on pas s’attendre à autre chose

lorsque l’on prend en compte ces considérations ?

Sinon, assumez clairement que l’aspect économique

sera toujours le plus fort et arrêtez l’hypocrisie.


La vie des bénévoles est un long fleuve pas tranquille...

Paroles de bénévoles #2

Il ne faut surtout pas être allergique à l’origami …

Q

uand t’es bénévole au Foyer Rural de Tousson, que je te dise : Il ne faut surtout pas être allergique

à l’origami … Tu sais bien, cet art plus ou moins japonais qui consiste à plier de façon

complexe une feuille de papier pour, à la fin, obtenir un splendide cheval ou une magnifique

araignée. Non il ne faut pas avoir ces pratiques méticuleuses, précises et exigeantes en horreur

car presque systématiquement ces qualités te seront demandées et mises à contribution.

Je m’explique : Tu viens à la Tête des Trains pour un motif quelconque du genre conseil d’administration,

réception des étudiants de l’I.U.T. qui présentent leur projet tutoré, préparation des prochaines animations

pour les non moins prochaines vacances scolaires et comme tu n’aimes pas arriver en retard, tu arrives

avec un peu d’avance.

Donc quand tu entres il n’y a personne, mais quand je dis : personne, c’est personne de chez personne.

Bon, tu connais la maison et on ne te la fait pas, alors tu grimpes les trois (ou quatre ?) marches qui mènent

au saint des saints bureau, cet endroit quasi mythique où il semble impossible de poser ne serait ce

qu’un timbre-poste tant il est empli de dossiers, couverts de paperasses diverses et en équilibre incertain,

allant du prospectus pour un festival de jazz au programme des concerts de mai 1912 en passant par une

carte d’embarquement pour le Titanic. Mais faisant fi des craintes de te perdre dans cette jungle de papiers

tu toques à la porte et tu entre. Là, c’est garanti, tu trouve Pierrot devant son ordi qui met la touche

finale à une nouvelle affiche et aussi, peut être bien, tu vois Maryse qui planche sur la compta. Une bise

par ci, un check par là tu repères tout de suite une pile de nouveaux imprimés qui semblent posés la par

pur hasard mais qui en vérité t’attendent de pied ferme.

Alors pour te donner une contenance et n’avoir pas l’air de glander, tu te poses sur cette chaise qui justement

était libre et tu t’y colles. J’entends par là que tu prends une par une chaque feuille A4 imprimée

joliment de plein de précieux renseignements recto verso et que tu commences à plier ces papiers en

trois. Pas en deux, ce serait trop facile. Attention tout est réglé d’avance et on t’informe tout de suite de la

marche à suivre. Le premier pli doit être fait en amenant le bord inférieur de la feuille au raz du 1 de 19

décembre ou du A d’Atelier, enfin on te donne le secret des repères à respecter et c’est parti pour des

centaines de A4 à plier. Au final bien sûr tu n’obtiens ni le splendide cheval ni la magnifique araignée

précités, mais tu y gagnes la satisfaction d’avoir œuvré pour la cause et pour un peu tu entonnerais la

larme à l’œil « L’Internationale ». Avec un peu de chance un troisième larron et même un quatrième peuvent

débarquer et sans rien demander, se mettre eux aussi au pliage. Pendant ce temps il reste possible

de parler de l’actualité du Foyer, de régler quelques questions ou tout simplement de dire quelques conneries

pour amuser la galerie.

FORUM DES ASSOCIATIONS DE

MALESHERBES (Loiret) septembre 2018

A l’invitation de la mairie de Malesherbes, nous

sommes présents au forum avec la Base de

Loisirs et les Ateliers du Soleil, de Buthiers. Nos

activités sont complémentaires à ce qui existe à

Malesherbes, remarque Delmira Dauvilliers,

maire, « une bonne raison de vous inviter ».

Nous avons donc de ce fait beaucoup d’adhérents

du Malesherbois pour les activités comme

pour le vide grenier. Et c’est très encourageant !

FESTIVAL DES PASSIONNES AMPONVILLE

Un staff complet : Véronique, Eva, Yannick, Marie, Gérard,

Steve et Isabelle...hélas comme à Tousson, la pluie a fait

fuir le public et on a plié les gaules en début d’après-midi.

Alors être bénévole au Foyer Rural de Tousson c’est ça… mais pas que !

Yannick Baccro

L’équipe régie technique au concert dans l’église

Océane, Julien et Calvin

Jonathan et Steve au mijotage du rougail saucisses à

l’inauguration du siège de la FDFR77

VIDE GRENIER DU 15 JUIN 2019

Il y avait une bonne équipe sur le pont pour évacuer les

flaques d’eau derrière le château d’eau mais ces efforts ont

été récompensés, il a fait beau, chaud et les sorbets cocos

très rafraîchissants ! Le terrain était complet pratiquement.

Solitude au vide grenier de la fête de Tousson à 7h45… et après la pluie est arrivée. Dommage, il y avait les beaux objets de Daniel.


Atelier d’écriture

L’atelier d’écriture ludique du dernier jeudi du mois

Dans cet atelier, tout le monde est logé à la même enseigne. L'animateur écrit, lui aussi.

Chaque membre lit ses textes devant les autres. Il n'y a pas de jugement.

S'il y a des commentaires, ils sont bienveillants. Si quelqu'un bloque sur un exercice, il a le droit de passer son tour.

Voilà comment il se déroule :

19 heures : petit exercice de cinq minutes pour s'échauffer.

Deux propositions d'écriture d’un quart d'heure à une demi-heure chacune, suivies de leur lecture.

Vers 21 heures, court repas partagé.

Jusqu'à 22 heures 30 : une autre proposition d'une demi-heure, lecture, puis un scriptoclip (j'y reviendrai à la fin de l'article), lecture.

Les exercices proposés sont assortis de contraintes. Elles ne brident pas l'imagination,

comme on pourrait le croire, mais la stimulent ! Des mots, des personnages,

des lieux, piochés au hasard, que l'on doit incorporer dans un texte ; des

objets ou des illustrations pour inspirer un conte, un poème ou un dialogue ; des

articles de journaux à inclure dans un texte sans qu'on puisse les déceler lors

de la restitution ; un échange de lettres entre deux personnages célèbres... La

variété des jeux est infinie !

On s'habitue vite à cette « gymnastique ». Chaque exercice est un petit challenge.

On peut toujours détourner les consignes avec un peu d'astuce. Je dirai

qu'on laisse libre cours à sa fantaisie tout en restant aux commandes !

À la fois chaleureux et stimulant, le groupe a une grande importance. Lors de la

lecture des textes, on reconnaît la patte du poète, du truculent, du sage, du

râleur... Mais quand on doit sortir de sa zone de confort pour répondre à une

proposition qui déstabilise, il arrive qu'on explore de nouvelles contrées. Le gai

luron accouche d'un texte fort, le mystique pond un rap hilarant, le poète une

scène de polar...

textes est pleine d'enseignements. On doit oser se mettre à nu et servir sa

prose en la disant à haute et intelligible voix, avec le ton.

Toutes ces étapes vécues ensemble soudent le groupe. Les nouveaux, même

s'ils ne sont que de passage, sont toujours bien accueillis. Du sang neuf, ça ne

se refuse pas !

Je clos cet article par une recette, celle du scriptoclip, par lequel nous terminons

toujours nos ateliers. Je vous engage à le pratiquer en famille, avec des amis,

avec des enfants car il est aussi créatif que récréatif :

Tout le monde commence un texte libre par le même incipit, par exemple :

« Par la fenêtre ouverte... » ou « La nuit commençait à tomber... »

Toutes les quarante secondes environ, l'animateur demande à un participant de

dire un mot que tout le monde doit incorporer à son texte. Un nouveau mot par

personne, bien sur, en tournant.

C'est fou ce qu'avec les mêmes consignes, on aboutit à des histoires complètement

différentes, souvent déjantées.

Excellent pour décoincer les inhibés du stylo et les bloqués de l'imaginaire !

La restitution des textes est doublement intéressante. Outre le plaisir de la

découverte de la production des autres participants, la lecture de ses propres

Colette Bacro

Une séance mémorable, le stage avec Jean Michel Chevry


FLAGY, LE VILLAGE QUI AIME LE CINEMA

Un maire cinéphile dans le fin fond du 77

C’est à la suite du tournage de BONNE POMME que Jacques Drouhin, maire de Flagy et son équipe, ont eu envie de prolonger l’aventure

cinématographique par un événement autour d’un plateau de cinéma : FESTIVAL PARADISIO est né ainsi : reconstitution de plateaux

de tournage, matériel, expositions, conférences, projections 35 mm, 16 mm, en salle, en plein air… tout public, gratuit… avec

un budget de près de 40 000€ tout de même et de nombreux sponsors pour le soutenir...

« Silence ! Moteur et… Action ! »

Depuis lundi 29 août 2016 et pour encore deux

semaines, la place du petit village de Flagy, 644

habitants, est au cœur du tournage de « Bonne

Pomme ». Le quatrième film de Florence Quentin,

co-scénariste de « La vie est un long fleuve tranquille

», « Tatie Danielle », mais également scénariste

de « Le bonheur est dans le pré », doit mettre

en scène deux géants du 7e art hexagonal : Catherine

Deneuve et Gérard Depardieu, réunis pour la

neuvième fois à l’affiche de cette comédie où l’on

retrouvera également Guillaume de Tonquédec et

Chantal Ladesou.

L’histoire ? Gérard (joué par Depardieu) un garagiste

las d’être une bonne pomme, décide de tout

plaquer pour se réfugier dans un petit village de

l’Oise où il fait la rencontre de Barbara (interprété

par Deneuve), la tenancière de l’auberge locale.

« Mais la famille de Gérard le retrouve, et un

secret bien enfoui ressurgit… » dixit le synopsis

du long-métrage, dont la sortie en salles est prévue

en 2017.

Flagy pas au hasard

« Le choix de la production du film de venir tourner

à Flagy n’est pas tombé du ciel, explique

fièrement Jacques Drouhin, maire (SE) du village et

par ailleurs présidents de l’Association des Maires

Ruraux de Seine-et-Marne. Je me suis toujours

fixé comme priorité de développer la culture à

Flagy, et que notre village soit un espace d’innovation,

d’inventivité, et que cela puisse être reproductible

dans d’autres communes rurales.

C’est pour cela que lors de mon premier mandat,

j’ai souhaité me positionner auprès de la direction

de la commission des films d’Île-de-France

pour savoir si Flagy avait du potentiel pour devenir

un lieu tournage. Il y a quatre ans, des

membres de cette commission sont venus prendre

des photos. Je n’ai plus eu de nouvelles

jusqu’à il y a deux mois et la visite d’une équipe

de repérage pour « Bonne Pomme ». Flagy correspondait

parfaitement au cahier des charges

de la production du film : pas trop de passage de

voitures autour de la place, la présence d’un café

avec en face un garage qui n’existait pas mais

qui a tout de même été fabriqué de toutes

pièces, une église à droite du café et un village

très fleuri. »

Ce jeudi 1er septembre, c’est à midi qu’était entamée

une nouvelle journée de tournage place de

l’Église. Il y a bien sûr la réalisatrice Florence Quentin,

Guillaume de Tonquédec, qui jouera le rôle du

maire du village, Dominique Besnehard, coproducteur

du film, et toute une armée de techniciens.

Devant la caméra, pas de Catherine Deneuve

(absente pour la première semaine de tournage) ni

de Gérard Depardieu (il fera son apparition dans

l’après-midi) à l’horizon, mais un acteur dans le rôle

d’un jeune marié paniqué de trouver portes closes à

l’auberge La Petite Fadette (à l’origine, le caférestaurant

créole Le Queen Mary, entièrement redécoré)

après avoir tapé plusieurs fois à la porte.

Il décroche son téléphone, à la recherche d’une

certaine « Madame Manet », et tombe sur une

standardiste qui l’incite à se rendre au garage sur la

place juste en face du restaurant pour retrouver

« Gérard », qui « saura quoi faire ». Tout ça pendant

que le curé de l’église passe le balai sur le

parvis.

Tournage « extraordinaire »

La scène est répétée plusieurs fois, sous tous les

angles. Et sous le regard d’Abdelkrim, la soixantaine,

figurant amateur « ravi » de pouvoir évoluer

aux côtés de Deneuve et Depardieu, et qui doit

tourner dans l’après-midi un rôle de passant. « Je

suis venu par curiosité et par plaisir, c’est une

belle expérience d’être dans le même film que

des monstres du cinéma », explique le soixantenaire.

Même enthousiasme pour Christiane, 71 ans

et qui s’est déplacée depuis Évry : « Cela m’intéressait

de voir le village transformé, j’aime bien

l’art sous toutes ses formes. »

Trois semaines de tournage avec en guest Deneuve

et Depardieu, c’est « extraordinaire pour un village

comme Flagy » en termes de renommée et de

retombées économiques, assure Jacques Drouhin.

« Cela donne un formidable coup de projecteur

sur notre petite commune, et montre qu’il y a du

potentiel dans le Parc Naturel Régional du Gâtinais.

Il y a de l’animation sur la place, avec beaucoup

de gens curieux, du village et même d’ailleurs,

qui viennent voir ce qu’il se passe. Les

comédiens et les équipes du film sont vraiment

sympathiques et accessibles. J’avoue même

avoir un peu de mal à me concentrer sur mon

travail avec le tournage qui se déroule juste en

face de la mairie (rires). Et financièrement, les

bénéfices sont insoupçonnables. Les gîtes,

chambres d’hôtes et locations des environs ont

tous été réservées sur deux mois pour accueillir

les équipes de techniciens qui sont présentes

depuis début août, ou encore les figurants. Sous

oublier les indemnisations pour la propriétaire

de la maison transformée en garage, de la tenancière

du café-restaurant devenu l’auberge de

« Bonne Pomme », et pour les prises de vues

chez l’habitant. Et si le film marche bien, il va

être traduit dans je ne sais combien de langues

et distribué à travers de nombreux pays. Pour le

tourisme, c’est tout bénef’ ! »

Merci à Nicolas FILLON (Rep 77 2016)


Le ciné-club du Foyer Rural

vous étonne tous les mois !

Un petit rappel pour les nouveaux habitants

Le ciné-club fonctionne depuis 1981, d’abord en 16

mm puis depuis 18 ans en numérique. A la différence

d’un cinéma commercial, le ciné-club est une

activité éducative visant à former le regard des

cinéphiles. Des films récents mais aussi des films

anciens du répertoire classique sont proposés.

Ceci est dans le cadre des droits institutionnels

du cinéma non commercial et de notre Fédération

Ciné-club, la Ligue de l’Enseignement UR-

FOL 69 à Caluire. Il faut adhérer au Foyer Rural

pour y participer.

CINÉ ENFANTS

Quelques parents souhaiteraient des

séances pour les enfants…

Hors cadre scolaire, c’est possible. Des

séances ont déjà été organisées avec hélas

un effectif très réduit, ce qui est plutôt décourageant.

Dans un cadre scolaire, c’est

un peu plus compliqué administrativement.

Venez nous en parler, on peut toujours

commencer par des séances le mercredi

matin ou après midi, film à choisir ensemble.

Voulez qu’on organise une petite réunion ?

Contactez Pierrot ou Océane.

Qui vient au ciné-club ? Une petite bande de passionnés

de tous âges, selon les séances, de 10 à 25

participants. Les séances sont gratuites mais une

tirelire est proposée pour l’entretien du vidéoprojecteur.

Rien d’obligé.

Le ciné-club c’est tous les 3ème mercredi (sauf

exception) avec 2 films à 18h et 20h30. Entre les

deux, le pique nique partagé où chacun rivalise de

talents pour rassasier les convives.

Ambiance conviviale et lien cinéphile ravivé !

Prochaines soirées ciné-club

- 18 février / 18 mars / 15 avril / 6 mai /17 mai /15 juillet

- Stages prévus aux vacances scolaires, dates à venir

- Absurde séance de minuit improvisée après un concert

- des soirées improvisées pour des visionnements

- le programme est envoyé par @ aux adhérents inscrits sur cette activité.

Avec l’URFOL 69, notre

fédération ciné-club, on

voit du pays !

Trop tard pour vous inscrire au stage qui se déroule

au festival de Cannes mais pensez à celui

de Marrakech en décembre 2020. (à partir de

450€ la semaine).

En décembre, j’ai pu saluer de la part du cinéclub,

ALI ESSAFI, le réalisateur de « le silence

des betteraves » qui était membre du jury présidé

par TILDA SWINTON au dernier festival de Marrakech.

« le silence des betteraves » a été tourné à Burcy

et nous l’avons projeté il y a 4 ans ans au cinéclub,

en présence de plusieurs acteurs…

Von Tousson.

« Le silence des betteraves », une reprise (grâce à Téléssonne), le 27 janvier 2016, avec les « acteurs »

La séance rurale à Tousson du

15ème FESTIVAL DES NOUVEAUX CINEMAS

Comme tous les ans en juin, Didier Maus,

président du festival, vient nous présenter

en juin une sélection de courts métrages

internationaux. En concurrence avec le

beau temps, la séance de clôture a été

mieux suivie par une douzaine d’habitués

du ciné-club. Et comme toujours, après

les cocktails et grignotages, le « off » avec

des courts apportés par le Erick Serdinoff,

le président des Prospecteurs du 7ème

Art de Montargis. Des vidéos tournées par

des jeunes scolaires qui méritent le détour…

(juin 2019)


PROMENEURS DU NET…

Une présence éducative sur internet

Piloté par la fédération des Centres Sociaux et socio-culturels de Seine et Marne

29 promeneurs du net en Seine-et-Marne… dont des bénévoles du Foyer Rural...

Promeneur du Net

Avec l’évolution des outils de communication

numérique, des smartphones, des réseaux

sociaux, apparaissent des déviances importantes

dans la transmission et la réception des

informations.

Depuis l’annonce de la réforme des retraites,

les grèves ont pris la place des gilets jaunes de

l’année dernière. Il circule sur le net des informations,

notamment sur les violences policières.

Comment faire le tri de ces vidéos

prises sur le vif ? Certaines sont du jour,

d’autres sont des reprises et même étrangères

aux mouvements en cours.

Facebook n’est pas le réseau le plus utilisé par

les jeunes mais davantage par les adultes. Et

par des militants politiques. Si ceux (pour résumer)

à gauche ne cachent par leur orientations,

il n’en est pas de même pour les militants de

droite extrême qui se présentent sous un jour

apolitique, sans couleur etc… Comment décoder

ces messages ?

Pour vérifier une info ?

www.hoaxbuster.com

www.hoax-net.be

www.lemonde.fr/

Verification

Pour retracer l’origine

d’une image publiée ?

Google Reverse Image

Search

www.tineye.com

Attention certains sites comme le

GORAFI ou Nordpresse sont des

sites parodiques et d’humour !

Ne vous faites pas avoir.

Si c’est sur Facebook, c’est que c’est vrai….

Fake News : comment

démêler le vrai du faux ?

A l’ère du tout numérique et de la surutilisation

des réseaux sociaux les informations circulent

à une vitesse vertigineuse.

Ces nouveaux canaux de communication s’affranchissent

de toute barrière et pratiquement

toute censure.

Il suffit d’un clic pour diffuser, partager une

information, de manière impulsive et sans recul.

Cela va tellement vite que l’on ne prend pas le

temps de vérifier l’information, de croiser les

sources.

« Si un grand nombre de personnes partagent

c’est que cette information est

fiable pourquoi je ne la partagerais pas ? »

Où est la vérité ?

Si l’on peut facilement manipuler les images

comment démêler le vrai du faux ?

Des exemples de manipulations… à votre insu

Autre exemple de manipulation politique :

Humainement, on ne peut qu’être sensible à la difficulté de

l’aide soignante. Cependant comment comparer deux activités

qui n’ont rien de commun ?

Le député est élu pour un temps donné (ou réélu) et l’on sous

entend qu’il est payé à rien faire, il dort, il photographie...

8000€ face aux 1200€ de l’aide soignante, brut ou net ?

De plus, ces fauteuils n’ont rien à voir avec l’Assemblée.

Ce montage de deux photos (en plus déformées) n’a qu’un

but, celui d’être antiparlementaire (contre l’Assemblée Nationale).

L’inscription « qui osera partager ? » confirme les intentions

malveillantes qui se cachent derrière cela.

Une aide soignante/infirmière démarre autour de 1700€ brut et

un député 5623€ brut (indemnités). A cela s’ajoute une indemnité

de fonction (env.1400€).

Croiser le plus possibles les informations et de

différentes sources.

Ne pas se contenter d’une publication unique

même si elle est partagée par un grand nombre

de personnes.

Certaines infos peuvent vous faire réagir, vous

émouvoir, mais prendre le temps de s’interroger

sur celle-ci permettra d’éviter qu’elle ne se

propage si elle est fausse.

Avant de partager….

1) je vérifie l’origine de la publication

2) je vérifie le N° de téléphone indiqué

3) je lis les commentaires des autres

4) je prends conscience des titres racoleurs

5) je remarque la chute : « partage si

t’es d’accord » + « j’en connais qui le

feront pas », ce qui indique bien souvent

une fake news.

Une nouvelle religion existe en Ile de France et

vous ne le saviez pas ?

C’est une interprétation évidemment !

Eh oui, BFM TV se surpasse dans le gloubiboulka

amalgameux dans ce montage dont on ignore l’origine..

A priori on pense que c’est au même endroit.

Il oppose une femme venue se rafraîchir au bord de

l’eau, elle est (forcément) musulmane et s’appelle

Sonia ... le bon plan qui suppose une française radicalisée…

Elle n’est pas musilmanienne ?

L’autre photo du montage, tout autant d’origine inconnue,

donne la parole au beau frère de Cherif Kouachi

l’un des assassins de Charlie Hebdo… Apparemment

lui n’est que « francilien », ni musulman, ni catho, ni

autre chose… et il s’appelle « Michaël », étonnant ?

Vous habitez la Musulmanie ou l’Ile de France ?


RUBRIQUE EPICIERE

SAMEDI 15 FÉVRIER 14H30 à 16H30

GOÛTER & JEUX DE SOCIÉTÉ

Une animation proposée par le groupe d’étudiants pour leur projet tuteuré.

L

e dernier café du village, dans sa version

Tête des Trains approche ses 40 ans d’activités

dans la commune. (voir autre article

page 11). Un grand merci à tous les habitués qui

dépensent leurs économies dans l’étude des

transactions commerciales rurales. Certains

hélas doivent redoublent, voir davantage encore.

Merci aussi à ceux qui viennent des autres villages,

sans leur dévouement, il y a bien longtemps

que le village n’aurait plus son café. Enfin,

merci aux musiciens qui viennent jouer pour des

clopinettes et qui assurent la fréquentation du

lieu…

L’heure des comptes a sonné, comme tous les

ans au 31 décembre. Les comptes du café sont

plus complexes que ceux du Foyer Rural aussi

sont ils confiés à une société. (au bas mot pour

1650€ HT (+20%)

Si cela reste difficile de vous donner ces éléments

dans le détails, on peut toujours vous

donner le chiffre d’affaires toutes taxes de 2019

Soit 27 100 € TTC

Ce qui donne un bénéfice théorique autour de

10 000€, grandement utilisé pour les frais de

fonctionnement (vraies charges : énergie, chauffage,

téléphonie, bureautique, entretien etc..),

taxes, achats de petites fournitures et travaux

extérieurs, qui servent par ailleurs au Foyer Rural

qui n’a pas à les régler.

Le patron est un bénévole !

Rosemonde, Nasmaon, Kadir et Rodrigue vous

proposent plusieurs jeux au cours de cet aprèsmidi.

Un grand jeu de rôle « LOUP GAROU » mais

également des cartes et le jeu TABU en ligne,

compétition de vocabulaire imaginatif…

Rencontre Café des Lumières

Se faire sa propre idée n’est déjà plus un comportement d’esclave

(Jean-Jacques Rousseau )

Date en cours, suivez nos informations sur le site internet !

« JULIEN ASSANGE EN DANGER DE MORT »

Nous accueillerons prochainement le philosophe Aymeric MONVILLE pour une conférence

autour de son livre « Julien ASSANGE en danger de mort » paru aux éditions Delga.

Ce livre, s’appuyant sur les enquêtes du comité WikiJustice, ne se borne pas à considérer

Julian Assange comme un symbole abstrait de la liberté d’expression et voué à souffrir pour

les péchés de l’Empire U.S. Julian Assange est un prisonnier politique, détenu illégalement et torturé.

Tant qu’il sera emprisonné, nous ne serons pas libres.

Le mot du président (édito si on veut)

Comme le disaient deux gauchistes bien connus

"les usines à rêve ne sont pas là pour grandir les

hommes, mais sont là tout simplement pour gagner

de l' argent" ou encore "on donne de l'argent pour la

culture sans savoir si ça va marcher ou pas, parce

que ça marche pas à tous les coups. On a obligation

de moyens, pas obligations de résultats avec les

finances publiques en matière de culture" (Malraux

et Pompidou, ndlc) Des révolutionnaires ? Mais ça

c’était siècle dernier.

Tout ça pour en arriver à commenter les premières

Le Foyer Rural organisera un petit goûter de boissons

chaudes ou fraîches offertes aux participants.

Mais pensez à annoncer votre venue afin de préparer

ce qu’il faut ! (par tél ou par internet)

Nous vous attendons nombreux,

venez en famille, c’est pour tous les âges !

listes électorales ou l’éducation, la culture sont à

peine évoquées. Reléguées au dernier rang, elles

laissent place à l’occupationnel immédiat et éphémère,

au détriment de l’éducatif qui lui a besoin de

temps…

On ne peut pas, d’un côté relever les incivilités - des

jeunes ou des moins jeunes - ou le manque d’éducation

- si on ne se donne pas les moyens de les

contrecarrer.

Alors, en plus, coincés sans moyen au milieu des

betteraves, l’obscurité peut s’approcher à petits pas,

mais y’ a des derniers mohicans de l’éducation

populaire qui veillent encore…

Des nouvelles de la Réunion...

Après 20 ans loin de la Réunion le retour aux sources est très émouvant. Des images, des odeurs, des

sons qui font remonter de merveilleux souvenirs d'enfance. Elle est toujours aussi belle, accueillante, gourmande

et rayonnante mon île. Voici quelques photos pour vous faire voyager un peu avec moi et envoyer

sur Tousson la chaleur et le soleil de l'île intense. Pour le moment nous avons eu 3 mois de retrouvailles

avec l'île et ma famille qui sont grandes toutes les deux.

Je tiendrais bien entendu, les lecteurs du TD, au courant de la suite de mes

aventures.

Porte a zot toute bien ! Steve.


Par

Gloria

Grand

Reporter

PRUDENCE (Petitpas)

Une nouvelle à la mairie ?

A peine notre ancien maire

parti, vive le maire ! Dans un

interview de l’excellent hebdo

la Rep 77, le nouveau maire

(par intérim, ndlc) nous annonce

qu’il va gérer la commune avec Prudence,

sans doute une nouvelle copine bellifontaine,

nous sommes impatients de la connaître.

On apprend aussi qu’il va faire attention à ne pas

jeter l’argent de la commune par la fenêtre

(interprétation, ndlc), ce qui est un minium auquel

on peut s’attendre. Par la même occasion

on a appris qu’il y avait un cabinet du maire à

Tousson… ce qui est un élément de confort à

peu près attendu lors des longs conseils municipaux.

Pour le reste, « budget maîtrisé, « pas

d’endettement » et cerise sur le cadeau

« compensation à l’euro près de la suppression

de la taxe d’habitation » (en même temps on

peut y croire … ndlc).

On va reculer dans temps morts ...

LES TROIS PIGNONS

EN DANGER !

La forêt des 3 Pignons, c’est

Par colonel

Zamusani

Grand repor-

notre Mt St Michel à nous, avec des milliers de touristes,

randonneurs, varappeurs. Principalement

entre l’ancien chemin de Melun et celui de la Plaine

de la Mée, là où serpentent plusieurs chemins de

randonnée.

Une pétition est lancée… future ZAD 3 Pignons ?

Allez la signer et rejoindre près de 5600 signataires !

http://www.avenirduvaudoue.fr/

BREVES

Par

S. Luce

Grand

Reporter

2 VISITES DE LA COMMISSION DE

SECURITE AU DERNIER CAFE !

En conclusion, il n’y a pas de risques dans le

dernier café du village. A suivre de près !

(par contre, faudrait ranger un peu, ndlc)

LES CAFES DE

VILLAGE

DISPARAISSENT

& autres petits commerces….

Les cafés de village sont une espèce en voie de

disparition et lors des élections les candidats

découvrent la France rurale : un village sans café,

c’est la mort du village pleurent-ils en chœur

(mais peu de cœur toutefois, ndlc).

Le lien social disparaît, le petit service quand on a

oublié un pot de moutarde ou du sel… (oublié de

l’acheter à l’Inter du coin, ndlc) ou encore boire

son p’tit ballon de rouge, prendre un pastis et

discuter entre voisins…

Parce que l’élu (rural) pense qu’une personne va

ouvrir le café tous les jours de 7h du mat’ à 22h…

au cas où… pour environ 2€ de l’heure, hors

cotisations au RSI ? Le gars va attendre le client

pour le dépanner d’un pot de moutarde à 0.85

centimes ?

Sachant que le maire et ses conseillers gagnent

plus par mois (ils ont des indemnités et ne sont

pas bénévoles, rappelons-le, ndlc) qu’un patron

de bistro-épicerie, en zone rurale, on image la

fracture rurale entre ces bonnes intentions électorales

et la réalité du terrain.

1000 CAFES POUR FAIRE REVIVRE LES

VILLAGES DE FRANCE

Jean-Marc Borello, président du Groupe SOS,

(www.groupe-sos.org) - un pote à notre président

Macron quand il était à Sciences Po - qui lutte

contre l’exclusion, a lancé un appel aux 32 000

communes rurales de –3500 habitants pour créer,

relancer, reprendre, réouvrir un café… 1000

projets possibles sous condition que la municipalité

s’engage financièrement mais également qu’il

n’y ait pas déjà un café ou qu’il soit menacé de

fermeture. Enfin, la commune doit proposer un

lieu vacant adapté à la future activité.

Près de 550 communes sont candidates ainsi

qu’un millier de particuliers sont intéressés de

reprendre un lieu multiservices. 60 lieux ont été

visités et pour l’instant seules 24 communes ont

été retenues.

Mais avant tout, le projet est d’établir une activité

commerciale lucrative assurant un salaire (ou 2) -

ça semble évident - l’aspect culturel et associatif

passant largement au second plan.


les potins qui usent….

Message personnel

Les frites me bottent à dit l’escalope à la salade

Par Clovis

Brubaker

Grand reporter

Jamais

content

çui là

Par

DUCONNEAU

grand

reporter

rubrique qui fait bouillir la marmite

Comme tous les 4 ou 5 ans, la visite de la commission

de sécurité est un moment fort de la vie

du café. En effet, depuis l’origine, le lieu reçoit

un avis défavorable d’ouverture au public à

chaque visite. (la palme revient au maire Annie

Méreaux qui la convoquait tous les ans). Il est

assorti de préconisations, pour certaines réalisées

(voir les anciens TD) et d’autres financièrement

impossible à satisfaire.

On sait que la commune aime bien mettre des barrières, mais en a-t-on vraiment besoin d’autant ? C’est vraiment ne pas faire confiance aux

Toussonnais et aux autres ! De plus, le mercredi soir, le camion pizza s’arrête là… comme chacun le sait , c’est exactement ce soir là qu’un

handicapé y stationne! Une reculade encore. Restera plus qu’à installer un comptoir amovible sur les barrières pour manger sur place ! Super !

Si la boucherie dispose de deux places marquées au sol pour le stationnement de sa clientèle, la commune n’est pas trop aux ptits soins de

celle de la Tête des Trains… La commune pourrait au moins offrir les wassingues qui sont en permanence à l’entrée… Quand à la vitrine, elle

est abonnée aux bains de boue. Cet état de fait a déjà été signalé, mais « c’est surtout quand il pleut que c’est mouillé » ..

Par Sœur

Bloody Mary

Grand

reporter

AU DIABLE LA

CITOYENNETE !

Les pères la morale ne sont pas à une contradiction

près ! Argumentant d’un souhait vieux d’un

siècle, le conseil municipal a donc décidé de déplacer

le monument aux morts et de l’installer

dans le cimetière.

Alors que sa présence au centre du village

(presque) permettait d’avoir une pensée (émue ou

pas) pour les anciens, « mort pour la France »,

quand on passait à proximité. Comme si ils étaient

encore parmi nous.

Mais également une sorte de rappel à la citoyenneté

pour toutes les générations à travers l’histoire

locale . Tant pis pour l’éducation civique au quotidien.

D’un autre côté,

un monument

aux vivants est

tout de même

plus sympa.

DES VŒUX MODERNES

EN DUBSTEP, not’ maire est jeune

La gestion de la commune avec

prudence… Tel pourrait être la

phrase clef de notre très cher

maire toussonnais.

Par Captain

Spaulding

Grand reporter

Ce qui est inquiétant en revanche, c’est la représentation

que celui-ci a donné lors de ses vœux à la salle

communale.

En voulant jouer un côté moderne et tout propret, il y eu

tout de même un choc des cultures entre les habitants

et ce qu’il nous avait concocté. Pour ne pas à devoir

faire les si longs discours interminables de tradition,

notre maire a donc choisi la stratégie du renouveau :

Entre une enceinte qui n’arrêta pas de grésiller en

permanence (soi-disant causée par les téléphones

portables… ) avant que l’on décide de l’arrêter, et donc,

de ne plus entendre le maire ; un diaporama d’une

dizaine de minutes pour montrer les activités et travaux

effectués pendant l’année accompagné de dubstep

(vous savez, la musique électronique que les jeunes

adorent en ce moment… je vous avais prévenu, choc

des cultures) ; les professionnels de la politique toujours

en action ; et des habitants plus pressés de se

diriger vers le buffet que d’écouter le discours, quelle

soirée…

Je n’ai qu’une chose à dire face à ce petit résumé des

vœux… bonne année et à l’année prochaine !

Ce 22 juillet, contrairement aux précédentes, il

n’y avait qu’un pompier, rejoint par le maire. A la

suite de la visite, le pompier déclarait que le lieu

était sans risque et a actualisé le dernier

compte rendu de visite…

Une contre visite d’un autre pompier a eu lieu

début septembre, celui-ci spécialisé dans les

lieux comme le nôtre.

Il en ressort que la TDT ne présente aucun

risque, qu’il y a même des équipements lumineux

en plus, que l’accès handicapé est correct.

Et qu’il est incompréhensible qu’un avis défavorable

existe depuis 38 ans…

Mais là on entre un peu dans l’absurdité de la

situation… Les normes sont définies par la

jauge, soit jusqu’à 50 personnes et ensuite de

50 à 300, la TdT se situant autour de 80 dans la

grande salle (+ 26 côté café + 20 petite salle)

soit au total environ 130 personnes… mais

théorique car les 3 salles ne fonctionnent pas

en même temps….c’est d’une évidence….

Le pompier propose de déclasser l’établissement

en ERP de base, soit jusqu’à 50 personnes

ce qui enlèverait l’avis défavorable

d’ouverture au public et ôterait aussi tous les

contrôles (?)

Cependant, si l’on considère qu’il y a à chaque

soirée musique 4 bénévoles + 5 à 10 musiciens

(voir 18)… il reste à peine 35 spectateurs pour

« amortir les frais » sachant que le budget

d’une soirée est au minimum 450/600€ (voir

jusqu’à 850) + Sacem + cantine et boissons...

Vous imaginez demander 25 ou 30€ pour une

soirée ?

Autrement dit, nous continuerons à remplir

la salle au mieux de sa jauge (jusqu’à 80

environ) en nous mettant donc dans l’illégalité…

Du point de vue d’un paranoïaque, il n’y aura

plus qu’ à faire constater les infractions, à pénaliser

par des amendes, voir à exiger la fermeture

du lieu pour non respect de la norme …

(c’est peut-être le but ?)

le ptit côté absurde des choses… !


Qu’est-ce qu’on fait ce soir, chéri ?

Qu’est-ce que j’peux faire, j’sais pas quoi faire..

t’as qu’à aller à la Tête Trains, j’r’garde le foot

Samedi 1er février 21h

LUDOVIC DE PREISSAC

Participation 13€, 10€ adhérents Foyers Ruraux, MJC

Issu d’une famille de musiciens, c’est à 15 ans qu’il

s’initie au jazz en autodidacte et complète sa formation

musicale au Lycée de Sèvres avant de devenir,

dès l’âge de 20 ans, pianiste de jazz.

Sollicité tout d’abord par des musiciens de jazz

classique comme son père le clarinettiste Philippe

de Preissac, Maxime Saury ou Stéphane Guérault,

c’est avec son premier trio (1987) qu’il développe un

langage plus moderne (lauréat « Jazz à La Défense

» et Concours International de Monaco).

C’est dans ce format en Trio que le pianiste Ludovic

de Preissac peut exploiter et développer son style

nourri de diverses influences. Cela se traduit par

des compositions qui privilégient rythmes latins et

couleurs harmoniques tout aussi bien qu’un jazz

La Tête des Trains Café-musiques ?

Pourquoi Café-musiques ?

Voilà ce qui nous distingue des bars...

Les Café-musiques créés dans

les années 90 par le Ministre de

la Culture Jack Lang puis étendu

au milieu rural par Jacques Toubon,

ont pour but d’associer un

café licence IV et une asso loi

1901, afin encourager les habitants

à participer à son fonctionnement.

Le fait qu’il ait obtenu en

1996 le label « café-musiques »

de la Drac (Direction des Affaires

Culturelles Ile de France) et soit

considéré par le Département de

Seine et Marne comme « lieu

culturel de proximité » est une

reconnaissance de l’engagement

des bénévoles à faire fonctionner

ce lieu autrement.

Aujourd’hui, les salles de musiques

actuelles (SMAC) ont

succédé aux Café-musiques et

sont des équipements inclus dans

une politique culturelle municipale,.

En dépit de notre modeste

taille, il faut être en possession de

la licence de spectacle 2 et 3.

Promouvoir la scène locale, diffuser

des artistes en voie de professionnalisation,

permettre la pratique

musicale, ouvrir sur les

cultures… sont nos orientations

mais également bien accueillir les

musiciens avec du matériel son et

lumière adapté au lieu, une

équipe technique compétente,

établir des feuilles de paye ou

des contrats, offrir une cantine de

bonne qualité, (alors là, ils veulent

tous revenir pour ça, ndlc).

Cela a un coût qui entraîne de

demander une participation aux

frais (10€ pour les adhérents)

indispensable. Les musiciens -

même si on considère qu’ils font

ce qu’ils aiment - travaillent pour

vous et toute peine mérite salaire

! (vous travaillez gratos

vous ?)

Quand nous proposons une soirée

au chapeau, ce n’est pas que

les musiciens sont moins bons,

c’est pour vous encourager à

venir et que les musiciens acceptent

d’être « moins payés » en

quelque sorte pour nous soutenir.

Nous organisons un vrai concert

« à écouter » dans une salle

indépendante du bar et la consommation

de boissons n’est pas

nécessaire. Ce qui nous distingue

des bars du coin plus

ancré dans la tradition. Accompagné par ces fidèles

compagnons, le répertoire laisse place à

une jubilation et l‘envie de jouer

Ludovic de Preissac : piano

Manuel Marchès : Contrebasse

Andréa Michelutti : Batterie

portés sur l’animation musicale et

l’ambiance festive générée, l’entrée

étant gratuite, voire au chapeau

tendu par les musiciens.

Rien à redire, une offre complémentaire

qui satisfait les publics.

Pour se démarquer des bars,

notre programmation fait appel de

plus en plus souvent à des formations

de musiciens intermittents

du spectacle avec des budgets

négociés âprement. De ce fait,

une participation aux frais est

incontournable... Elle reste modeste

grâce à la subvention du

Département, nous tenons à le

rappeler, sans quoi ce ne serait

pas possible. La recette couvre à

peine les dépenses… (quand à la

recette du bar, elle couvre les

frais de structure)

Si la Tête des Trains s’approche

des 40 ans, c’est grâce à plein de

monde, aux habitués de longue

date, à des ptits coups de pouce

ou des gros, des salariés, des

Service Civique et une légion de

bénévoles.

Par

Héloïse de

Valanbreuille

Grand reporter

Il faut le dire, sans

cela, ça n’existerait plus.

Bienvenue à bord !

Samedi 8 février 21h

LES CORDES A LEON

quartet jazz tzigane

Participation 13€, adhérents Foyers Ruraux, MJC 10€

Un quartet tzigane « Les Cordes à Léon » au service

d’un répertoire traditionnel issu de Roumanie,

de Hongrie et de Macédoine. L’accordéoniste et

chanteur Jacky LIGNON, le violoniste virtuose

Vincent PAGLIARIN, le guitariste Olivier Mugot et

le contrebassiste Joël Picard, joueront des musiques

populaires qui parlent au cœur et touchent au

plus profond de l’humain.

Ces mélodies devenues intemporelles qui subliment

la vie à travers l’histoire, les souffrances, mais qui

sont aussi le langage d’une générosité et d’une

transmission orale qui caractérise si bien les

peuples et cultures tziganes.

Samedi 15 février 21h

ALBA NEIVA

quintet latino jazz et bien plus encore

Participation 13€, adh Foyers Ruraux, MJC 10€

Intrigant cocktail que celui de ce jeune quintet parisien : Un

nuage de rythmiques flamenco, une larme de son cubain,

un zeste de samba brésilienne, le tout relevé par les accords

effrénés d’un jazz actuel… Son nom ? Alba Neiva.

Lucile Chriqui au Chant

(qui collabore avec Philippe Baden Powell)

Arthur Alard à la batterie

(qui accompagne entre autres Titi Robin)

Zacharie Abraham à la contrebasse

(qui travaille avec Naissam Jalal)

Maxime Berton au saxophone

(qui accompagne Lou Tavano)

Nils Frechilla à la guitare

(qui a collaboré avec Leila Martial)

Samedi 29 février 21h

ROMAIN VILLET trio

hommage à Oscar Peterson + compos persos

Participation 13€, adh Foyers Ruraux, MJC 10€,

Alliage de swing, d’humour, de haute culture et de basse

galéjade, My Heart Belongs to Oscar ! est la captivante

histoire d’amour de Romain Villet pour le pianiste de jazz

Oscar Peterson. Par quel hasard l’a-t-il découvert ? Pourquoi

l’a-t-il séduit ? Comment l’a-t-il fait plonger dans le

jazz ? Comment ça a changé sa vie ? Ce qu’il lui dois ?

Quels sont les secrets de l’improvisation ?

Vous le saurez grâce à cette histoire que Romain Villet

raconte en musique, en mots et en trio.

Émilien Legendre, batterie Olivier Michel, contrebasse

Romain Villet, piano

Également écrivain, Romain dédicacera son dernier livre

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