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Inspiration,
L’hymne à la légèreté
Lunaire
n 3
Janvier 2021
Loreleï N.
Chacune danse, ondule,
Dans l’unique but de toucher et
de décrocher la lune.
La danse ou comment tutoyer
les étoiles
Danseuses
Etude de la psychologie du jeu ou la civilisation des
loisirs
« Les gens qui considèrent leur métier comme un
jeu réussissent mieux que ceux qui s’enferment dans un
travail routinier»
Lenore Terr, professeur de psychiatrie
Depuis notre plus jeune âge, on nous apprend à jouer pour pouvoir
développer des qualités qui nous servent pour affronter le monde extérieur
et qui nous apprend à nous adapter. D’après Freud, Le jeu reflète la vie psychique
de l’enfant et l’aide dès son plus jeune âge à s’adapter aux frustrations
de la vie. Le jeu est alors vu comme un moyen d’étude de ses connaissances et
de son savoir-faire. Il relie la pensée à l’action. Il existe de nombreux types de
jeux qui travaillent chacun une qualité particulière (mouvement et équilibre,
éprouver des sensations, raisonner, créer des émotions multiples etc). Mais
pourquoi lorsque l’on devient adulte nous n’arrivons plus à jouer ?
Être adulte serait alors de ne pas sourire, ne pas jouer, ne pas pleurer, ne pas
éprouver d’émotions, ne pas mélanger principe de plaisir avec principe de réalité.
On entend dire que les créatifs savent eux s’amuser et sourire, savent
que la réalité est flexible. Si on pousse ce raisonnement encore plus loin, celui
qui n’a pas joué depuis longtemps n’arrive plus à éprouver des émotions et
l’esprit se mécanise ?
“Renouez avec votre enfant intérieur” - Margaret Paul
On a tous au fond de nous un enfant, qui ne demande qu’à profiter, s’amuser,
faire des bêtises. On nous dit de grandir, mais garder son âme d’enfant c’est
gardé la curiosité que l’on a quand on est petit, garder cette énergie et cette
spontanéité. Soyons enfant et nous vieillerons mieux.
La typoggraphie est basée sur des ronds qui se rapportent aux
balles avec lesquelles on a pu jouer, une typo tout en rondeur pour la gaïeté et
l’amusement. La légèreté.
Instant de vie
Je profite de ce magazine sur le thème
de la joie, la légèreté, le fait de respirer et de se
retrouver, pour rappeler que ce qui nous permet
d’être heureux assez rapidement est le fait
de sourire. Un vrai sourire ou un faux sourire ont
le même effet sur le cerveau. Les instants de vie
qui nous ont marqué, dans le bon sens, nous font
sentir bien pour quelques instants, nous rappeler
que l’on est vivant. On vie en partie pour voir les
gens sourire, car les sourires sont communicatifs.
Et donc quel meilleur exemple d’instants de joie
que le sourire.
Tout est construit autour de lui, et on espère
qu’il se dessine sur les lèvres des personnes
qui nous sont chères.
« Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup,
Il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le
donne,
Il ne dure qu’un instant, mais son souvenir est parfois
éternel,
Personne n’est assez riche pour s’en passer,
Personne n’est assez pauvre pour ne pas le mériter
[...]»
Un sourire - Raoul Follereau
Janvier 2021
Sans doute la
quasi globalité de cette
double page racontera
des anecdotes fictives,
ou peut-être pas, à vous
Commencement
Bon pour l’instant
je ne sais absolument pas
quoi raconter comme
histoire... Je crois que
je devais être inspirée
quand l’idée m’est venue
mais franchement
là, c’est le vide total les
loulous... Donc bon, plutôt
que laisser du texte
en latin, pour la mise en
page, je raconte juste
que je n’ai pas d’idées
pour l’instant pour remplir
mes petites colonnes
hihi. J’espère avoir une
idée parce que là on est
le 31/01/2021 et que je suis
censée le mettre en ligne
demain mdr. Donc bon,
ça se trouve une idée va
me venir.
Mais SINON ! Je
peux vous recommander
une petite histoire assez
courte que j’ai écouté y’a
d’en juger. Mais leur but est juste
de vous divertir un tout petit et
peut-être vous faire esquisser un
petit sourire. J’ai envie de vous
passer un peu de mon énergie
pour qui vous aillez cette magnifique
chose silencieuse qui se
dessine sur vos lèvres.
En vrai, en ce
moment, il y a de plus
en plus d’encouragement
d’acceptation de
soi, de bodypositive etc.
C’est cool franchement.
Il ne faut jamais s’oublier,
et ne pas oublier
de dire aux autres que
l’on tient à eux. Donc
c’était un peu une évidence
que ce magazine
soit sur ce thème. Et
que ça reste important
de sourire, que ça soit
un vrai sourire ou un
faux d’ailleurs, ça aura
dans tous les cas des
bienfaits sur le corps/
cerveau. Même sans ne
penser qu’aux résultats
sur notre corps, il y a
des gens qui n’ont aucun
sourire dans la journée
et je trouve ça aspas
longtemps et j’ai du
saouler tout le monde
avec cette histoire. C’est
une des histoires du livre
L’arbre des possibles de
B.Werber. Il raconte le
foot du futur. Alors ok
dit comme ça ça vend
pas du rêve, mais en vrai
c’est Hunger Game version
foot (enfin les seuls
principes qu’il reste du
foot c’est le ballon et
le fait que la main soit
interdite). Mais sinon,
permi de tuer, d’envoyer
le ballon avec des
pompes à pneus dans
d’autres pays, de lui faire
prendre le train. Et j’en
passe. Franchement, j’ai
plus rigolé sur cette histoire
que sur La métamorphose
de Kafka. En
même temps je ne sais
pas pourquoi j’écoute ça.
Journal des
bonnes nouvelles
Faits Divers
Bon, t’as du comprendre
que l’idée que j’avais au départ pour
cette double page, bah au final j’ai
abandonné parce que ça me plaît
plus. J’voulais redonner le sourire
avec des anecdotes nulles pour
dire que y’avait forcément pire que
nous. Comme par exemple, trois
gars qui ont tenté de voler une carte
bleue. Mais que la personne qu’ils
essayaient de voler bah pas de bol
c’était un policier du Raid avec deux
de ses potes qui étaient plus ou
moins dans le même bail. Et qu’au
final, les aggresseurs ont eu tellement
peur qu’ils ont appelé la police
trois fois pour qu’ils viennent à leur
secours. KARMA. Mais fin bon, faire
ça sur chaque truc ça me gonflait un
peu. Et puis surtout de reprendre
des articles pour juste les rédiger
en mode potins bof bof. Mais sinon,
j’ai appris que la base de la communication,
et que l’échange entre humains
et bien, hihi, c’est notamment
par les potins qui sont là depuis le
début du langage. J’adoore.
Oui y’a une chèvre
à gauche. Je sais pas pourquoi,
je trouve ça trop kiki
et que ça me fait sourire.
Bref c’est pas le sujet.
Bon le coup du «Journal
des bonnes nouvelles»,
c’est un coup foireux. J’aurais
du l’appeler «J’ai oublié
ce que je voulais dire
donc je parle pour rien».
La seule «bonne nouvelle»
(vraiment ?), que je peux
dire, c’est que c’est peutêtre
une année pas folle.
Mais qu’au moins, on a
évité aux 2 millions d’années
de pluie qu’il y a eu
sur Terre avant qu’on se
pointe. Donc coucou papa
qui dit qu’il pleut toujours
en Normandie. BAH C’EST
PAS VRAI. Enfin si, mais y’a
pire.
Bon, le sourire
Petit teasing ?
A moins que je change
d’idées en cours de route, pour
l’instant je suis assez décidée sur
le thème de voyage. Promis c’est
pas pour fouttre le seum ou quoi,
c’est juste pour les couleurs des
pays et tuçatuça.
sez triste de se dire que
dans une génération où
l’on nous a sensibilisé
depuis petit à tout ce
qui touche sensibilité
émotionnelle, harcelement
etc, et que on a
toujours du mal à réagir
à ces comportements.
Que tous les mal-êtres
sont importants et il est
important d’en parler.
Ce petit message ne
vous aura sans doute
pas fait sourire, mais le
plus important c’est la
santé du cigare. Des bisous
les loulous.
Merci
Pour ceux qui suivent mon petit
projet perso, bah simplement merci. Je
me doute bien que vous n’allez pas lire
tout ce que j’ai écrit mais, pour moi ça me
permet d’apprendre à montrer ce que je
fais comme projet perso. Chui timide. Et
puis même hormis ça, ça me permet aussi
de travailler mes cours et de me stimuler.
Créez, il n’en sortira que des choses bien.
Un homme d’influence
Il imaginait ses poèmes comme
des peintures, dépeingnait
l’atmosphère et les émotions
qu’elles lui proquraient. Des
images mentales si fortes
qu’elles résonnent et qu’elles se
transmettent. Dans ses poèmes,
il parle de la relation des individus
les uns au autre, mais la poésie
n’est pas ce que nous avons le
plus en commun. Ce qui est universel,
c’est la musique.
Des mots qui s’enchaînent,
se suivent et qui résonnent en nous.
De sages paroles qui nous balladent.
1
Orgueilleuse musique de l’orage
Qui caracoles, rafale qui siffles à la liberté sur les prairies,
Harpe puissante en cime des fôrets - souffle des montagnes,
Formes humaines dans les brumes - orchestres dans le secret,
Sérénades de fantômes aux instruments vivaces,
Mêlant à la Nature rythmus toutes les langues des nations,
Vous harmonies léguées par de géants compositeurs, vous les
choeurs,
Vous les fuyantes danses insaisissables des religions - à l’orient,
Vous basse profonde des rivières, rugissantes chutes cataractes,
Vous comme canons sonores dans le lointain la cavalerie galope,
Échos des camps qui s’appellent en leurs clairons divers,
Tumultueuses troupes manoeuvrant en plein minuit, qui me
ployez qui me domptez,
Qui pénétrez dans ma chambre somnolente j’y suis seul pourquoi
m’agrippez-vous ?
Walt Whitman
Un petit carnet, inspiré d’une
musique Keane «Somewhere
Only we know», qui permet de
sourire, et d’avoir une trace de
ce qui m’a fait sourire ou passer
un bon moment.
Un petit carnet a regardé
quand ça ne va pas, et même
quand ça va. Ce ne sont que
quelques pages d’un carnet
mental. Avec des mots, des
images, ou bien des moments
que j’ai retenu.
Choses pour lesquelles je suis
reconnaissante:
Les nouvelles rencontres et expériences
Celles qui sont restées dans ma vie
D’avoir grandi
De s’être pardonnée
[...]
Somewhere only we know,
ou la collection d’émotions
Lumière du soir,
et feuilles dorées,
Lumière de fin d’année,
Remplie mon coeur de
gaïeté