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ACTUALITÉ<br />
LE PREMIER<br />
ACHAT IMMOBILIER<br />
Un premier investissement dans l’immobilier, constitue<br />
un véritable projet de vie. Posez-vous 5 questions<br />
simples avant de vous lancer dans cette aventure !<br />
Nos conseils.<br />
Un achat d’un bien doit être envisagé dans son<br />
ensemble, il convient d’être avisé et déterminé à<br />
chaque étape. Quelles sont vos motivations, dans<br />
quel but souhaitez-vous être propriétaire, de quel<br />
budget disposez-vous ? Vous devez être capable<br />
de répondre à toutes ces questions pour être solide<br />
dans votre engagement. Ce seront d’ailleurs ces<br />
mêmes questions que le banquier vous posera<br />
et auxquelles il faudra répondre de manière<br />
convaincante pour le décider à vous suivre dans<br />
votre projet.<br />
1 – VOS AMBITIONS<br />
Un primo-accédant acquiert un bien principalement<br />
pour deux raisons : en faire sa résidence principale ou<br />
investir en mettant le bien en location. Votre situation<br />
personnelle et vos attentes définiront ce choix.<br />
2 – LE CHOIX DU BIEN<br />
Il faut que vous définissiez une zone géographique<br />
idéale, le mieux étant celle qui correspond à votre<br />
cadre de vie, mais aussi qui montre des signes de<br />
dynamisme et d’évolution pour générer une plusvalue<br />
sur le long terme. Demandez-vous ce qui<br />
vous correspond le mieux : du neuf ou de l’ancien,<br />
les éléments à prendre en compte, les coûts et les<br />
charges ne seront pas les mêmes.<br />
3 – VOTRE SITUATION<br />
Vous aurez grandement plus de chances de<br />
bénéficier d’un accord de prêt de la part de votre<br />
banquier si vous faites preuve d’une situation<br />
© Adobe Stock<br />
familiale, professionnelle et financière stable. Ces<br />
chances sont par ailleurs augmentées si vous disposez<br />
déjà d’une épargne. Néanmoins, les revenus les plus<br />
modestes ou les plus jeunes peuvent accéder eux aussi<br />
à la propriété, des prêts et aides de l’État existent : Prêt<br />
action logement, prêt d’accession sociale… Enfin, il n’y<br />
a pas d’âge pour emprunter, on se lance quand on est<br />
prêt, mais le comportement du banquier et l’offre qu’il<br />
vous proposera dépendront directement de votre statut.<br />
4 – LE CRÉDIT<br />
<strong>Le</strong>s données évoquées ci-dessus détermineront vos<br />
capacités d’emprunt. N’hésitez pas à effectuer une<br />
simulation de crédit sur les sites des prestataires et de<br />
faire jouer la concurrence pour négocier les meilleurs<br />
taux possibles et montants de votre assurance<br />
emprunteur.<br />
5 – VOS AMBITIONS<br />
Avant de finaliser votre promesse de vente, réfléchissez<br />
bien à la suite. Quels travaux seront à réaliser,<br />
l’environnement direct vous plaira-t-il sur le long terme,<br />
quelles seront vos charges énergétiques, sans oublier<br />
les frais de notaire ou l’assurance habitation. Prévoyez<br />
dans la balance tous les aménagements nécessaires.<br />
Si vous n’envisagez pas de conserver le bien jusqu’à<br />
vos vieux jours, sachez toutefois qu’il est déconseillé de<br />
vendre dans les 6 premières années, car le logement<br />
n’aura pas pris assez de plus-value et l’abattement sur<br />
la taxe liée à cette éventuelle plus-value ne sera pas<br />
assez conséquent.<br />
© Adobe Stock