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Editos - Lisieux

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théâtre<br />

Bash - Latterday Plays<br />

de Neil Labute - par la Compagnie XK Théater Group<br />

Ces trois histoires inspirées de faits divers, écrites par le dramaturge nord-américain Neil Labute<br />

révèlent l’autre côté de l’image glacée du rêve américain.<br />

La pièce est en effet un triptyque constitué de trois récits indépendants, mais qui ont un point<br />

commun : à chaque fois il s’agit de la confession d’un meurtrier ou d’une meurtrière. Ce sont<br />

donc des crimes particulièrement violents qui nous sont peu à peu dévoilés, sur un ton<br />

presque anodin, comme on raconterait n’importe quelle autre histoire, par des personnages<br />

tout à fait ordinaires.<br />

Une triste coïncidence ou un amour déçu, qui font que cette normalité bascule dans la folie.<br />

traduction : Pierre Laville<br />

mise en scène, dramaturgie et adaptation<br />

scénique : René Georges<br />

assisté de : Grazia Di Vincenzo<br />

scénographie : Christine Flasschoen<br />

avec : Edwige Baily, Bruno Mullenaerts,<br />

Lara Persain et Fabrice Rodriguez<br />

musique : Vincent Cahay<br />

lumière : Gilles Bombaert<br />

images : Xavier Istasse<br />

régie : Julien Soumillon<br />

costumes : René Georges<br />

Une production XK Theater Group, en co-réalisation avec le ZUT et<br />

le Théâtre Jardin Passion, avec l’aide du Cifas, du Ministère de la<br />

communauté française (service théâtre), d’Hypothésarts, de Smart<br />

asbl, du Rideau de Bruxelles, de Martine Renders, du Théâtre National<br />

et du Théâtre de la Balsamine.<br />

32<br />

Mais il ne s’agit pas, et c’est là toute la force<br />

de l’auteur, de diaboliser le meurtrier comme<br />

le fait en général la culture américaine. Non<br />

la violence est latente en chacun de nous et<br />

peut surgir chez l’être le plus banal en fonction<br />

des circonstances. Ce sont trois petits polars<br />

finalement, un peu pervers parce que contés<br />

par le meurtrier lui-même.<br />

Cette pièce est à voir absolument !<br />

mardi 27 avril - 20h30<br />

durée : 1h50<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

jauge réduite (réservation conseillée)<br />

© Pierre Bodson

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