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Editos - Lisieux

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<strong>Editos</strong><br />

Quand le monde souffre, que les temps sont perturbés, la culture a plus que jamais<br />

du mal à garder sa place et l’art est souvent considéré comme un luxe. En réalité, si<br />

le monde est compliqué il n’en est que plus riche en questions, questions les plus<br />

vives sur le temps et le lieu où nous vivons. D’où la nécessité du théâtre, porteur de<br />

toutes ces questions mais aussi de notre désir de sens et, comme toute forme d’art,<br />

moyen de lucidité.<br />

Cette nouvelle saison qui s’annonce sera comme la précédente, non une galerie de<br />

spectacles juxtaposés les uns aux autres, mais un rassemblement dans la diversité.<br />

L’offre est large et variée avec un certain nombre de fils conducteurs permettant de<br />

relier entre elles les différentes formes de l’expression artistique.<br />

Cette richesse des propositions et ce travail de toute une équipe ont permis d’instaurer<br />

avec vous une relation de confiance qui contribue à faire de notre Théâtre un lieu de<br />

rencontres, de débats, de convivialité, bref un lieu vivant.<br />

C’est aussi un lieu qui nécessite des moyens financiers et pour qu’il soit accessible<br />

à tous, la Puissance publique doit venir en aide au citoyen. Jusqu’alors, la Communauté<br />

de communes supportait en majeure partie le financement de notre théâtre aidé<br />

également par le Conseil général. Nous allons prochainement signer avec le Conseil<br />

régional une convention assortie d’une subvention pérenne. C’est pour nous une<br />

reconnaissance du travail accompli. Nous espérons que l’Etat s’associe également<br />

au financement du théâtre, outil culturel incontournable du Pays d’Auge dont <strong>Lisieux</strong><br />

est la “capitale”.<br />

En attendant la soirée d’ouverture qui s’annonce festive, je vous souhaite, au nom<br />

du Conseil d’administration, une très belle et très heureuse saison de théâtre !<br />

Martine Brège,<br />

Présidente de l’Association Théâtre de <strong>Lisieux</strong> Pays-d’Auge<br />

2


Encore une fois entendu cette phrase rabâchée, éculée, convenue et décidément,<br />

et surtout à ne pas prendre au sérieux : “Il en faut pour tous, pour le plus grand nombre”.<br />

Le sérieux, on le garde pour le spectateur, pour lui faire découvrir des artistes<br />

authentiques et dans le respect que l’on a de sa capacité à être curieux, à s’émerveiller,<br />

à s’interroger parfois, et à accepter de ne jamais sortir indemne d’une salle. “Pour<br />

le plus grand nombre” nous forcerait à faire du saupoudrage, comme on donne un<br />

onguent pour empêcher que l’on se gratte. Moi, je veux qu’il se gratte, le spectateur,<br />

qu’il se manifeste, qu’il ait conscience que la Culture n’est pas ce qu’on lui dit, (dicte),<br />

qu’il vaut mieux parler d’art, car là est la création, là est la beauté. “L’art comme création,<br />

quelles que soient son époque et sa nationalité, est supérieur à la culture comme<br />

consommation, si contemporaine soit-elle”. Il ne faut pas envisager l’art comme un<br />

luxe, mais surtout, et plus encore peut-être aujourd’hui, comme une nécessité.<br />

Considérons que le lieu du théâtre est l’endroit de résistance aux idées toutes faites,<br />

à la pensée unique, au consensus permanent. Arrêtons de parler systématiquement<br />

de divertissement, cela devient dégradant et avilissant que de réduire l’art à de la<br />

gaudriole digeste et lénifiante ! Il est vrai que cela permet d’évacuer les problèmes<br />

fondamentaux, “L’essentiel est sans cesse menacé par l’insignifiant”. Alors il nous<br />

faut être vigilant, attentifs aux artistes vivants encore, mais éternels, je crois. Ouvrir<br />

plus encore nos portes aux richesses du monde en considérant que ce monde est<br />

unique, fait “de femmes et d’hommes vivants” et qu’il est le lieu où existe l’infinité des<br />

différences.<br />

Les différences seront marquées par une large part donnée aux paroles de femmes<br />

à travers leurs positions, leurs engagements, leurs meurtrissures que ce soit Antigone,<br />

Louise Labé, Camille Claudel, Frida Kahlo, Michelle Guigon, Noëlle Renaude, servies<br />

par des artistes d’exception. Différence encore dans les propositions du québécois<br />

Daniel Danis, du belge Jean-Marie Piemme, du nord-américain Neil Labute, du colombien<br />

Gabriel-Garcia Marquez ; différence toujours dans l’accueil de Toni Kitanovski et du<br />

Cherkezi Orchestar et dans les métissages musicaux Jean-Marc Padovani/Ali Alaoui,<br />

De Caelis/Alia Sellami, L’Ensemble de Basse Normandie/Saïd Chraïbi.<br />

L’art à l’école ne peut être que bénéfique car il sert de niveleur sensible, et puisqu’il<br />

faut engager le spectateur de demain, dans le désir, l’effort peut-être, sans doute<br />

même, en ne cédant jamais à la facilité, sur le chemin de la vie et du monde, un<br />

choix de six propositions pour vingt-cinq représentations, ponctueront la saison.<br />

Et puis échappées du caravansérail, les petites formes, dites nomades, se déplaceront<br />

dans treize communes, devenant ainsi de véritables relais citoyens entre le Théâtre<br />

marqué encore du sceau bourgeois de l’infranchissable et les lieux improbables de<br />

longues dates, fréquentés.<br />

La création enfin, avec les résidences et les accueils, notamment de deux projets<br />

Faust et Métamorphoses, car un plateau où ne se fabrique pas l’œuvre à venir, c’est<br />

comme un plancher qui s’enfonce ! Le Théâtre, dans son soutien sans faille aux<br />

créateurs, aux artistes en mouvement se doit de maintenir, en refusant les concessions<br />

à la médiocrité, le niveau et l’accès à la beauté “pour tous et pour le plus grand nombre”.<br />

“En maintenant la beauté, nous préparons ce jour de renaissance où la civilisation<br />

mettra au centre de sa réflexion, loin des principes formels et des valeurs dégradées<br />

de l’histoire, cette vertu vivante qui fonde la commune dignité du monde et de<br />

l’homme, et que nous avons maintenant à définir en face d’un monde qui l’insulte”.<br />

Albert Camus, L’homme révolté<br />

3<br />

Eric Louviot, Directeur


musique<br />

Présentation de saison<br />

avec La Fanfare Ziklezmer<br />

Cette nouvelle présentation de saison ne nous verra pas déroger à la règle de notre rituel de<br />

retrouvailles. Elle sera donc festive, apéritive, et décontractée, nous vous ferons découvrir nos<br />

coups de cœur, de foudre même (car de très grands acteurs et musiciens éblouiront notre<br />

saison), et partager ensemble avec les artistes invités ce moment très attendu de la rentrée.<br />

Ce vendredi 25 septembre donc, à partir de 19 heures, nous vous espérons nombreux à<br />

venir festoyer au son de la Fanfare Ziklezmer.<br />

Il y aura à rêver, à manger, à boire et à écouter !<br />

La Fanfare Ziklezmer<br />

Dans l’esprit des fanfares des Balkans, la Fanfare Ziklezmer propose un répertoire de musique<br />

klezmer. Cette musique emprunte à celle des balkans et à la musique tsigane comme à toutes<br />

les musiques populaires d’Europe centrale. Jouée lors des cérémonies, elle est le plus souvent<br />

une musique de fête et de danse. C’est la richesse de ces influences que les musiciens nous<br />

font découvrir et apprécier sur scène.<br />

Samuel Belhomme : trompette<br />

Rémy Garçon : saxophone soprano<br />

Séverine Lebrun : euphonium<br />

Yann Letort : saxophone alto<br />

Geoffroy de Schuyter : trombone<br />

Patrick Tréol : tuba<br />

Pascal Vigier : batterie mobile<br />

Une production TSEKH avec le soutien de Art’Syndicate.<br />

4<br />

vendredi 25 septembre - 19h00<br />

durée : entre 2 et 3 heures<br />

entrée libre


Les Blérots de R.A.V.E.L.<br />

Franck Tilmant : contrebasse, oud, tuba<br />

Mathieu Soyer : violon, hélicon et chant<br />

Alice Noureux : accordéon, harmonium<br />

indien, cloche et chant<br />

Frédéric Joiselle : guitare, banjo, trombone et<br />

chant<br />

Yvan Ackermann : batterie, percussions, udu<br />

Claire Moulin : trompette<br />

Camille Mayer : saxophone ténor, clarinette<br />

et clarinette basse<br />

Une production La Tambouille - Zamora Productions<br />

5<br />

mardi 6 octobre - 20h30<br />

durée : 1h40<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

variétés<br />

R.A.V.E.L. signifie “Renouveau Artistique Volontairement Élaboré par des Loosers”.<br />

Les Blérots de R.A.V.E.L. est un groupe français de chansons comiques, fondé en 1996.<br />

Initialement, le groupe était une troupe de théâtre de rue interprétant une comédie musicale,<br />

et ne devant durer que le temps d'un été. Mais cette expérience semblant intéressante, ils<br />

décidèrent de s'engager dans la voie de la musique.<br />

Treize ans plus tard, Les Blérots de R.A.V.E.L. n’en finissent pas de jouer... salles de concerts,<br />

théâtres et festivals ont remplacé le trottoir, leur goût du spectacle et du partage est le même.<br />

Ces huit musiciens-comédiens à l’énergie survoltée ne laissent personne indifférent. Ils sont<br />

atypiques et déambulent dans une ambiance festive, entre musique d’Europe de l’Est, chanson<br />

française, ska et jazz.<br />

Ravelement de Façade leur nouveau spectacle nous permet de laisser germer dans nos<br />

têtes le petit grain de folie décalée qu’on a tous. Un plateau nu, une quinzaine d’instruments,<br />

trois abat-jour tombés du ciel… Nous voilà suspendus à leurs gestes et aux corps qui se croisent,<br />

se rapprochent et s’échappent comme des feux follets, sur un espace de jeu où chacun se<br />

fait complice de l’autre.<br />

L’album Ravelement de Façade, dont la sortie<br />

est prévue en décembre, sera en vente en<br />

exclusivité et à un tarif préférentiel, à tout<br />

porteur de billet, le jour du concert.<br />

© D.R.


théâtre d’objets pour mignonnettes, contenants et contenus<br />

Le Casier de la Reine<br />

de et par Fred Ladoué - par la Compagnie Fred Ladoué<br />

Une relecture éthylique des Trois Mousquetaires.<br />

Suivez les aventures trépidantes du chevalier d’Armagnac, et de ses comparses les trois<br />

Mousquetaires, Martini, Porto et Calvados, partis à la recherche des douze bouteilles de<br />

Fernet-Branca de la Reine.<br />

Mais du palais de Louis XIII jusqu’à la distillerie du Duc Buckingham, nos héros ne sont pas à<br />

l’abri des pièges tendus par le Cardinal de Richelieu, l’Éminence Rouge. On ne se méfie<br />

jamais assez de la Prohibition Espagnole !<br />

En lien avec Sleeping Beauty ce spectacle rentre dans le cadre TAM TAM - Les dessous de la<br />

Marionnette.<br />

6<br />

vendredi 16 octobre - 19h30 et 22h00<br />

cafétéria du théâtre<br />

durée : 25 minutes<br />

entrée libre<br />

jauge limitée (40 pers., réservation conseillée)<br />

© D.R.


Sleeping Beauty<br />

de et par Colette Garrigan - par la Compagnie Akselere<br />

7<br />

théâtre-objets-ombres (à partir de 13 ans)<br />

Dans un restaurant, la table est dressée. La serveuse accueille les convives et leur sert une<br />

histoire. Celle d’une princesse d’aujourd’hui livrée à elle-même dans un royaume où il vaut<br />

mieux se déplacer en bande que seule. Le chômage et la famine ont dévasté le pays et les<br />

dangers sont grands dans cette banlieue de Liverpool.<br />

A partir du conte La Belle au bois dormant, Colette Garrigan, avec son esprit incisif, développe<br />

une histoire actuelle toute de tendresse et d’humour noir, où les “Belles” sont élevées dans<br />

des pavillons de banlieue et où la seringue remplace la quenouille, plongeant notre princesse<br />

dans un sommeil profond.<br />

Colette Garrigan dresse ici un portrait redoutable des rêves d’une adolescente qui vacille<br />

entre candeur et réalisme.<br />

texte et mise en scène : Colette Garrigan<br />

regards complices : Pascaline Herveet et<br />

Robin Frédéric<br />

collaboration artistique : Jean-Louis Heckel et<br />

Valéria Millewski<br />

musique : Pascaline Herveet<br />

création lumière : Laurent Filo et<br />

Franck Bourget<br />

théâtre d’ombre : Colette Garrigan<br />

décor : Mathieu Delangle<br />

costumes : Isabelle Gastellier<br />

Une coproduction Théâtre Les Bambous, scène conventionnée de<br />

Saint Benoît - Centre dramatique de l’Océan Indien - Saint Denis, Ile<br />

de la Réunion, avec le soutien du Centre régional des arts de la<br />

marionnette de Dives-sur-mer, du Docteur Gérald Viquesnel du<br />

département d’anesthésie-réanimation du CHU de Caen, du Cirque<br />

du Docteur Paradi et de Annick Verel.<br />

Spectacle accueilli avec l’aide de l’Office de Diffusion et d’Information<br />

Artistique de Normandie.<br />

Un spectacle sur-vitaminé prenant son<br />

inspiration dans les contes pour enfants,<br />

ceux de princes et de princesses notamment.<br />

Dans le cadre TAM TAM - Les dessous de la<br />

Marionnette.<br />

en matinée scolaire :<br />

jeudi 15 octobre - 10h00 et 14h30<br />

vendredi 16 octobre - 10h00<br />

en soirée :<br />

vendredi 16 octobre - 20h30<br />

durée : 50 minutes - tarif unique : 5 €<br />

© Philippe Moulin


musique<br />

Quatuors<br />

musique de Haydn, Beethoven, Mendelssohn<br />

par L’Ensemble de Basse-Normandie<br />

Dans le quatuor N° 1 opus 54 de 1789, Haydn développe et épanouit avec tact, l’art si ténu<br />

de conversation musicale soulignant l’éloquence ciselée d’œuvres qui ne sont plus destinées<br />

au salon mais au concert, faisant la démonstration d’une grâce et d’un idéal de la société<br />

typiquement viennoise.<br />

Le septième et vertigineux quatuor de Beethoven est une provocation parce que dans le<br />

prolongement des réalisations précédentes, des cassures (dimension, traitement des instruments,<br />

basse harmonique élevée tout à coup en soliste) viennent en contrarier la structure tout à fait<br />

classique.Il reçut d’acerbes critiques : “une mauvaise farce de toqué, une musique de cinglé”.<br />

Ce à quoi le compositeur répondait : “ce n’est pas pour vous, mais pour les temps à venir”…<br />

Dans le quatuor opus 12 de Félix Mendelssohn, dès l’introduction lente du premier mouvement,<br />

construite entièrement autour d’une même formule mélodique, l’influence de Beethoven se<br />

fait sentir. Ensuite le rondo-sonate emprunte un thème du quatuor opus 127 de Beethoven,<br />

transposé et remanié avec une expression propre à Mendelssohn. Les trois thèmes de ce<br />

mouvement adoptent le même caractère lyrique, ce qui amène le compositeur à donner aux<br />

sections transitives une fonction contrastante, véritable innovation formelle à l’époque.<br />

Joseph Haydn<br />

quatuor en ut majeur op. 54 n° 2<br />

Ludwig van Beethoven<br />

quatuor n° 7 en fa majeur<br />

Félix Mendelssohn<br />

quatuor op. 12 en mi bémol majeur<br />

Corinne Basseux : violon<br />

Jean-Yves Ehkirch : violon<br />

Alexeï Popov : alto<br />

Aurore Doué-Debart : violoncelle<br />

8<br />

mardi 20 octobre - 20h30<br />

église - Ouilly-le-Vicomte<br />

mercredi 21 octobre - 20h30<br />

église - Le Mesnil-Simon<br />

durée : 1h30, tarifs : plein 8 €<br />

réduit 5 € (- 26 ans et demandeurs d’emploi)<br />

jauge réduite (réservation conseillée)<br />

© D.R.


Kiwi<br />

de Daniel Danis - par la Compagnie Daniel Danis<br />

9<br />

vendredi 23 octobre - 20h30<br />

durée : 1 heure<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

théâtre<br />

Dans le bidonville d’une métropole effectuant un grand nettoyage en vue de l’accueil des<br />

prochains jeux olympiques, une orpheline de douze ans se fait adopter par une bande<br />

d’adolescents qui vivent dans une grotte. Ils s’y sont inventés une famille, “la famille verte” car<br />

ils portent tous des noms de légumes. Rebaptisée Kiwi, elle oubliera vite son ancienne vie. Elle<br />

travaillera dur à la subsistance de ses nouveaux compagnons et, après s’être “mariée” selon<br />

les lois de la “Famille”, elle apprendra auprès de Litchi, son “mari”, la survie, les vols, les passes,<br />

les échappatoires et le rêve d’un chez soi meilleur.<br />

conception, texte et mise en scène :<br />

Daniel Danis<br />

avec : Baptiste Amann, Marie Delhaye et<br />

Stéphane Nota (chef opérateur)<br />

concepteur sonore et musique en direct :<br />

Jean-Michel Dumas<br />

régie vidéo : Emmanuel Debriffe<br />

conseiller au projet et auteur des images<br />

documentaires : Benoît Dervaux<br />

vidéaste, montage des images pré-filmées :<br />

Cécile Babiole<br />

Une coproduction Le Manège, Centre dramatique de Belgique -<br />

Le Grand Bleu de Lille - l’Université arts et sciences de Montréal -<br />

le Fresnoy, Studio national d’art contemporain de Tourcoing -<br />

la Commission internationale du théâtre francophone - Les Coups<br />

de Théâtre de Montréal - l’ERAC de Cannes, le Centre des arts<br />

scéniques de Belgique. Avec le soutien du Fonds d’insertion pour les<br />

jeunes artistes dramatiques, de la Drac et Région Provence-Alpes-<br />

Côte d’Azur, de La Manufacture, scènes contemporaines et Audience<br />

Production.<br />

Éditeur et agent théâtral du texte représenté : L’Arche<br />

Spectacle accueilli avec l’aide de l’Office National de Diffusion Artistique.<br />

Kiwi est un théâtre-film construit comme un<br />

conte où l’utilisation de la technologie fait sens.<br />

Sur scène se juxtaposent des séquences<br />

pré-filmées et un mouvement de caméra<br />

“vision de nuit” en direct qui traque les<br />

souvenirs de Kiwi et son ami de cœur Litchi.<br />

Malgré la noirceur du thème, c‘est une<br />

immense bouffée d’air et d’espoir.<br />

Une pièce bouleversante, un spectacle original<br />

et absolument nécessaire[...]<br />

L. Martinelli, Les Trois Coups<br />

© Krista Boggs


spectacle de danse (à partir de 5 ans)<br />

Pétales du temps<br />

inspiré de Momo, de Michael Ende - par la Compagnie AlleRetour<br />

“L’histoire des voleurs du temps et celle de la petite-fille qui rendit aux hommes le temps dérobé.”<br />

Pétales du temps est l’histoire de Momo, une enfant qui se bat contre des créatures étranges<br />

appelées les hommes gris, déterminés à détruire la vie des hommes en leur volant le temps.<br />

Le temps de jouer, de parler, de s’amuser. Le temps perçu par leur cœur.<br />

Dans sa quête, Momo est aidée par une tortue magique appelée Cassiopée, qui l’emmène à<br />

la rencontre de Maître Hora, le gardien du temps. Ce dernier lui explique comment détruire<br />

les hommes gris et sauver ainsi le monde de la tristesse.<br />

Pétales du temps est un spectacle débordant d’énergie et d’images, où le rythme des corps<br />

s’accorde au rythme du temps. La danse qui s’en dégage reste visuelle et attachante et<br />

s’adresse à tous, des plus petits aux plus grands. Les personnages hauts en couleur de ce<br />

récit se posent, se transforment et nous donnent à voir un monde merveilleux, hors du temps.<br />

Momo est l’histoire d’une quête et appartient de ce fait aux œuvres initiatiques et universelles<br />

comme Le Petit Prince ou John Livingstone, le goéland.<br />

chorégraphie et univers sonore :<br />

Jesús Hidalgo<br />

avec : Emanuela Ciavarella, Matthieu Coulon,<br />

Delphine Demont et Mira Ton<br />

scénographie et lumières : A'Teliers<br />

costumes : Sophie Ongaro<br />

et la participation de Jean-Bernard Caux<br />

La compagnie est subventionnée par le Ministère de la culture et de<br />

la communication - Drac de Basse-Normandie, le Conseil régional<br />

de Basse-Normandie, le Conseil général du Calvados, la ville de Caen<br />

et soutenue par l’Office de diffusion et d’information artistique de<br />

Normandie.<br />

10<br />

en matinée scolaire (primaire) :<br />

vendredi 13 novembre - 10h00<br />

en soirée :<br />

vendredi 13 novembre - 20h30<br />

durée : 50 minutes - tarif unique : 5 €<br />

© Christophe Cormier


Blanche et Mary's<br />

par le Tanit Théâtre<br />

scénographie et mise en scène :<br />

Éric Louviot<br />

La Compagnie est subventionnée par la Direction régionale des<br />

affaires culturelles de Basse-Normandie, la Région Basse-Normandie,<br />

le Conseil général du Calvados et la ville de <strong>Lisieux</strong>.<br />

11<br />

théâtre<br />

Blanche Aurore Céleste de Noëlle Renaude avec : Patricia Jeanneau<br />

Blanche rêve en couleur. C’est dans son propre reflet qu’elle voit passer les images pressées<br />

de tous ces hommes qui se sont arrêtés dans sa vie un instant ou plus longtemps.<br />

Fausse naïve ou véritable optimiste, Blanche ne se laisse jamais aller au désespoir, mais<br />

prend la mesure du temps passé et se raconte de bouts de rien, de bouts de tout…<br />

Mary’s à minuit de Serge Valletti avec : Marie-Laure Spéri<br />

Maryse, fait partie de ces gens simples, un peu paumée, un peu seule, un peu en marge et<br />

rêve sa vie, la fantasme souvent et nous la livre sans fausse honte, sans même trop de pudeur<br />

et avec le désir toujours présent, pressant de rompre le silence qui existe entre soi et les autres,<br />

ce silence angoissant qui peuple trop souvent ses nuits et ses jours.<br />

Son regard jamais ne nous lâche et les mots qu’elle incise d’éclats de rire et de larmes rentrées<br />

sortent télescopés, des fois expectorés et des fois pudiquement retenus.<br />

On pense à Beckett et à tous les dingues qui soliloquent la nuit des temps. Mythomanes ? Artistes<br />

frustrés ? Ce spectacle montre que ces funambules de la parole et de l’absurde sont aussi des<br />

réservoirs d’expression artistique, d’admirables sources de théâtre.<br />

A. Campion, Le Journal du Dimanche<br />

mercredi 18 novembre - 20h30<br />

salle des fêtes - le Mesnil-Guillaume<br />

vendredi 20 novembre - 20h30<br />

salle des fêtes - Hermival-les-Vaux<br />

samedi 21 novembre - 20h30<br />

salle des Associations - Coquainvilliers<br />

durée : 2 heures avec entracte - tarifs : plein 8 €<br />

réduit 5 € (- 26 ans et demandeurs d’emploi)<br />

jauge réduite (réservation conseillée)<br />

© Kévin Louviot


Rencontre pour lire<br />

La Der des Der...<br />

voir page 40...<br />

12<br />

© Loïc Faucheux


Neige<br />

de Maxence Fermine - par la Compagnie Emera<br />

adaptation, mise en scène et chorégraphie :<br />

Marie Laure Spéri<br />

avec : Maria Belloir, Frédéric Pichon,<br />

Olivier Herveet et Luc Schillinger.<br />

lumières : Fabrice Auvray<br />

scénographie : Isabelle di Gennarro<br />

assistée de Christian Delattre<br />

costumes et maquillage : Maria Adelia<br />

composition musicale : Guylaine Cosseron<br />

Une coproduction de La Brèche, Centre national des arts du cirque<br />

Cherbourg-Octeville - la ville de Jouy le Moutier - du Théâtre du<br />

Préau de Vire.<br />

13<br />

théâtre - cirque - arts plastiques<br />

Au Japon en 1884, le jeune Yuko choisit de devenir poète contre l’avis de son père, prêtre<br />

shintoïste gardien de la tradition, et compose des haïkus (courts poèmes de 3 vers et 17 syllabes)<br />

inspirés par la neige.<br />

Un poète de la cour, séduit par les travaux de Yuko, lui conseille de rejoindre le vieux maître<br />

Soseki qui l’aidera à colorer et à parfaire ses poèmes.<br />

En chemin, Yuko tombe amoureux d’une femme prisonnière dans les glaces depuis longtemps.<br />

Elle va se révéler un lien entre les deux artistes. Et c’est dans une relation faite de respect, de<br />

silences et de signes que l’image obsédante de la femme funambule, Neige, réunira ces deux<br />

hommes.<br />

Il s’agit là d’un conte initiatique, servi par un spectacle inventif d’une grande beauté où pureté,<br />

élégance, légèreté, n’empêchent pas l’humour, et où l’amour tout simplement équilibre les<br />

antagonismes, fait se rejoindre les opposés.<br />

On en sort épanoui avec le sentiment d’avoir<br />

touché ne serait-ce que l’espace de la<br />

représentation à l’essentiel, et s’être réconcilié<br />

dans ce court laps de temps, avec la vie.<br />

mardi 24 novembre - 20h30<br />

durée : 1h10<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

© D.R.


© Thierry Desmarquest<br />

musique<br />

Déserts et autres pièces du XXI e<br />

musiques de Bell, Hersant, Levinas, Machuel, Bacri<br />

par l’Ensemble De Caelis et Alia Sellami<br />

Bien que le concert soit articulé autour de cinq pièces contemporaines de compositeurs<br />

vivants pour voix “a cappella”, écrites pour l’ensemble De Caelis, il y aura toujours un petit vis<br />

à vis de musique ancienne pour marquer les passerelles existantes entre des formes de<br />

musiques historiquement et temporellement éloignées.<br />

Après la création de Déserts sur des poésies de Laurent Gaspar, dont la minéralité s’enrichira,<br />

pour ce concert, du souffle et de la voix de la chanteuse tunisienne Alia Sellami, l’Ensemble<br />

De Caelis explore actuellement les questions de la textualité et de la notation. C’est sur des<br />

textes extraits de La chair de l’homme de Valère Novarina que Michaël Lévinas a composé<br />

ces Trois Chansons…, en s’imprégnant de l’univers vocal et des spécificités techniques de<br />

l’Ensemble De Caelis. Thierry Machuel a choisi les textes de l’écrivain anglaise Kathleen Raine<br />

pour traiter des rituels de passage, du cycle de la vie et de la mort, quant à Nicolas Bacri, c’est<br />

suite à un choc esthétique à l’écoute de ces voix “du ciel” qu’il a composé Hope dont la création<br />

mondiale se fera au Théâtre de <strong>Lisieux</strong>.<br />

Partenariat CRD samedi 28 novembre :<br />

Master Class (voir page 42)<br />

direction artistique : Laurence Brisset<br />

l’Ensemble De Caelis :<br />

Laurence Brisset : mezzo<br />

Florence Limon : soprane<br />

Estelle Nadau : soprane<br />

Léna Orye : mezzo<br />

Caroline Tarrit : mezzo<br />

avec la participation de la chanteuse<br />

tunisienne Alia Sellami.<br />

Avec l’aide de L’IMEC et du Tanit Théâtre.<br />

14<br />

Déserts de Jonathan Bell<br />

Calliope de Philippe Hersant<br />

Trois Chansons pour la loterie Pierrot de<br />

Michaël Levinas<br />

The Invisible Kingdom de Thierry Machuel<br />

Hope de Nicolas Bacri<br />

vendredi 27 novembre - 20h30<br />

durée : 1h30<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)


Espagne d’hier et d’aujourd’hui<br />

Voyage musical à travers l’Espagne du XIII e au XXI e siècle<br />

par l’Ensemble De Caelis<br />

l’Ensemble De Caelis :<br />

Laurence Brisset : mezzo<br />

Florence Limon : soprane<br />

Estelle Nadau : soprane<br />

Léna Orye : mezzo<br />

Caroline Tarrit : mezzo<br />

15<br />

samedi 28 novembre - 20h30<br />

église - Courtonne-la-Meurdrac<br />

durée : 1h15 - tarifs : plein 8 €<br />

réduit 5 € (- 26 ans et demandeurs d’emploi)<br />

jauge réduite (réservation conseillée)<br />

musique<br />

Ce voyage musical à travers l’Espagne, chanté “a cappella”, débute au XIIIe siècle avec des<br />

extraits du manuscrit de Las Huelgas, conservé dans son lieu d’origine, le monastère de<br />

cisterciennes de Santa Maria la Real à Burgos.<br />

Il se poursuit avec des Canciones et Villanescas du compositeur le plus illustre de Séville,<br />

Francesco Guerrero (1528-1599).<br />

C’est avec Vana Speranza, pur joyaux du compositeur sévillan, que Enrique Muñoz Rubio lui<br />

rend hommage en composant pour l’Ensemble De Caelis en 2007 l’œuvre éponyme.<br />

[…] L’Ensemble De Caelis “au sujet des cieux” se distingue par le côté lumineux de son approche<br />

musicale, cette ferveur simple et souvent poignante que nos gentes dames distillent toujours avec<br />

une grâce très féminine, harmonieuse comme un dessin de vitrail… mais “loin du ciel” est une autre<br />

traduction possible car les voix saturées de lumière peuvent aussi chanter la finitude et les plaisirs<br />

terrestres dans leurs aspects les plus charnels… X. Lacavalerie, Télérama<br />

En première partie, courte pièce donnée<br />

par des élèves du cycle 3 des écoles<br />

de <strong>Lisieux</strong> (voir page 43)<br />

Harmonia Mundi partenaire<br />

Anonymes du codex de Las Huelgas<br />

Canciones et Villanescas Espirituales de<br />

Francisco Guerrero<br />

Vana Sperança de Enrique Muñoz


théâtre<br />

Chat en poche<br />

de Georges Feydeau - par la Compagnie Catherine Delattres<br />

Voyez-vous, mes amis... que vous achetiez des navets ou que vous traitiez avec un ténor...<br />

demandez toujours à voir la marchandise... on ne sait jamais ce que l’on risque à acheter chat<br />

en poche. Pacarel - acte 3<br />

Pacarel a fait fortune “dans la fabrication du sucre par l'exploitation des diabétiques”. Cette simple<br />

notation, nous donne une idée de la folie qui règne dans la maisonnée de ce bon commerçant<br />

qui a engagé “chat en poche” (acheté sans avoir vérifié) un ténor, dans l'espoir de faire jouer<br />

un ouvrage de sa “fille chérie” à l'Opéra de Paris… On lui organise un accueil triomphal digne<br />

du grand ténor qu’il est supposé être. Notre jeune homme simple étudiant en droit de<br />

Bordeaux venant saluer de la part de son père de vieilles connaissances parisiennes, prend<br />

ses nouveaux amis pour de charmants originaux qui ont la manie de vouloir lui faire interpréter<br />

des airs d’opéra. Au malentendu initial s’ajoute une méprise secondaire : une femme courtisée<br />

est prise pour une autre, les fils s’emmêlent, les gaffes et les quiproquos s’enchaînent, et il faudra<br />

trois actes délirants pour que chacun retrouve la raison…<br />

avec : Sophie Caritté, Bernard Cherboeuf,<br />

Nicolas Dégremont, Thomas Germaine,<br />

Jean-François Levistre, Maryse Ravera,<br />

Mélissa Rayé et Laurent Savalle<br />

scénographie : Ludovic Billy<br />

costumes : Corinne Lejeune<br />

lumières : Jean-Claude Caillard<br />

Une production de la Compagnie Catherine Delattres, compagnie<br />

conventionnée avec la ville de Rouen et la Région Haute-Normandie,<br />

subventionnée par la Drac de Haute-Normandie et les départements<br />

de Seine-Maritime et de l’Eure. Avec le soutien de l’Adami.<br />

16<br />

Quelle énergie ! Pas une seconde de répit pour<br />

les comédiens qui, sur une mise en scène<br />

délirante de Catherine Delattres, apportent le<br />

grain de folie nécessaire pour que la pièce de<br />

Feydeau fasse encore rire aujourd’hui. C’est<br />

réussi. L’Est Éclair<br />

jeudi 3 décembre - 20h30<br />

durée : 1h50<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

© D.R.


Paupières<br />

d’après L’Araignée de Louise Bourgeois - par la Compagnie Itra<br />

avec : Sophie Lamarche Damour<br />

lumières : Nicolas Girault<br />

musique : Henryk Gorecki<br />

décor et costume : Sophie Lamarche Damour<br />

regards extérieurs : Marine Fourniol et<br />

Coralie Banchereau<br />

La Compagnie Itra est soutenue par le Ministère de la culture et de<br />

la communication - Drac de Basse-Normandie, le Conseil régional<br />

de Basse-Normandie, le Conseil général du Calvados (Odacc) et<br />

l’Office de diffusion et d’information artistique de Normandie.<br />

17<br />

vendredi 11 décembre - 20h30<br />

durée : 1 heure<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

danse<br />

Dans un espace intime, un cocon rouge, une forme inhumaine fait place. Se mouvant sous<br />

cette structure tentaculaire, les yeux clos, une femme retient l’attention. Elle s’anime peu à<br />

peu, par gestes saccadés. Comme si elle irradiait l’espace scénique de sa présence et son<br />

corps insecte tient le spectateur en haleine.<br />

L’araignée, sa taille monumentale, sa matière, créent une sensation d’emprisonnement,<br />

d’oppression et à la fois de protection. Étrange cabane sur le moment ? Et si cette bête existait ?<br />

Frêle, perchée et presque sans poids, elle semble cependant toute puissante par sa large<br />

assise, sa grandeur et ses huit pattes. Elle trouble.<br />

Certaines araignées sont pratiquement aveugles et ne perçoivent que des vibrations et des<br />

ondes. C’est cette direction de travail, pour investir ce corps de femme-insecte-arachnéen, en<br />

aveugle, que nous propose la chorégraphe et danseuse Sophie Lamarche Damoure.<br />

Spectacle magnifique !<br />

© Virginie Meigné


spectacle musical, jeune public (à partir de 6 ans) - création<br />

Il Trio Improbabile (ma non troppo)<br />

par Mélodie Théâtre<br />

Il Trio Improbabile, ensemble de musique contemporaine expérimentale traditionnelle, représente<br />

la France au festival de Vilcitatownstat. Il y exécute son oeuvre fétiche La Malédiction d’Écho.<br />

L’irruption incongrue d’un lapin cymbaliste perturbe fortement le concert et entraîne malgré<br />

eux les musiciens dans des univers fantastiques ou décalés : une fête foraine, une forêt sous<br />

la pluie, un cirque avec dompteur, une meute de loups hurlants…<br />

Le pilotage des machines (roue du temps, piano du souvenir, castagnettes hargneuses, moules<br />

rieuses…) est effectué par informatique, ce qui leur permet de jouer les morceaux les plus<br />

divers et donc aux musiciens de dialoguer avec elles.<br />

L’idée de créer ce spectacle, est née de l’univers ludique et poétique d’une exposition de<br />

machines musicales Mécanophonie, construite par Denis Brély, membre fondateur et décorateur<br />

de la troupe. Celle-ci accompagnera d’ailleurs le spectacle.<br />

Les personnages :<br />

Rémi de la Touche : compositeur de l’Œuvre<br />

Flora Martin-Duchesne : chanteuse très expressionniste, émotive<br />

Samson Petit : sert souvent de tampon entre le maestro et la chanteuse<br />

Lewis Carott : petit personnage cymbaliste<br />

conception et interprétation :<br />

Catherine Raffaeli, Denis Brély et<br />

Pierre Gaudin<br />

lumières : Xavier Delestre<br />

costumes : Élisabeth Payen<br />

Mélodie Théâtre est une compagnie de théâtre musical conventionnée<br />

par la Drac et le Conseil régional de Haute-Normandie, la Communauté<br />

de communes de la vallée de l'Andelle et soutenue par la ville de Boos.<br />

18<br />

en matinée scolaire (CP et CE) :<br />

jeudi 17 décembre - 10h00 et 14h30<br />

vendredi 18 décembre - 14h30<br />

durée probable : 55 minutes<br />

en soirée :<br />

vendredi 18 décembre - 20h30<br />

durée probable : 1h10 - tarif unique : 5 €<br />

© Éric Nuhm


Faust<br />

d’après Goethe - par la Compagnie L’Élan Bleu<br />

adaptation, texte et mise en scène :<br />

Olivier Poujol<br />

distribution en cours<br />

Une coproduction Compagnie L’Élan Bleu - Le Trident, scène nationale<br />

de Cherbourg-Octeville, avec le soutien de la Drac de Basse-Normandie,<br />

du Conseil régional de Basse-Normandie, du Conseil général de la<br />

Manche, de la ville de Cherbourg-Octeville, du Théâtre de <strong>Lisieux</strong><br />

Pays d’Auge et du Théâtre Roger Ferdinand de Saint-Lô.<br />

19<br />

mardi 12 janvier - 20h30<br />

durée : en création<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

théâtre - création<br />

- Qui es-tu donc, à la fin ?<br />

- Je suis une partie de cette force qui, éternellement, veut le mal, et qui, éternellement, …<br />

accompli le bien. Johann Wolfgang von Goethe, Faust<br />

Dans un espace épuré où tout semble surgir de nulle part, les procédés de destruction et le<br />

célèbre pacte se jouent dans cette version entre trois seuls protagonistes : Faust, Méphisto et<br />

Marguerite. Le trio se livre à un jeu malsain où la magie noire et la manipulation prennent les<br />

formes contemporaines d’avatars, d’images virtuelles, de transformations à vue.<br />

Dans l’adaptation de ce conte fantastique, les forces maléfiques surgissent du réseau et par<br />

le réseau. De leur rencontre virtuelle à leur contact charnel, Faust et Marguerite amorcent leur<br />

descente aux enfers, orchestrée par un Méphisto magique et jubilatoire qui nous entraîne,<br />

nous immerge dans des illusions sonores et visuelles, à travers les frontières du surnaturel,<br />

vers un au-delà chimérique.<br />

Que le spectateur ne s’y trompe pas ; il ne ressortira pas indemne de cette dangereuse rêverie<br />

poétique. On ne convoque pas le diable pour rien !<br />

Les pauvres gens ne soupçonnent jamais le diable, quand même il les tiendrait à la gorge.<br />

Johann Wolfgang von Goethe, Faust<br />

© D.R.


variétés<br />

La Vie va où ?<br />

de et par Michèle Guigon - par La Compagnie du P’tit Matin<br />

Quand on marche dos à la lumière on est guidé par son ombre. Michèle Guigon<br />

Seule en scène, son regard (parfois) grave ou drôle, sur la vie, Michèle Guigon mène sa vie<br />

comme une (en)quête ; et elle n'est pas prête à lâcher l'affaire. Elle se pose une foule de questions.<br />

Des questions sur le temps qui passe, sur la mémoire, sur l’enfance, sur notre société, sur certains<br />

accidents, des fois graves, de l’existence… Et elle peut parler des petits riens ou de la mort,<br />

son humour ravageur fait mouche, et on rit toujours…<br />

Pourvue d’un petit escabeau, d’un gros accordéon, celle qui fit ses débuts aux côtés de<br />

Jérôme Deschamps offre aujourd’hui en partage un joyeux récit de vie. Un récit très personnel,<br />

puisque c’est dans sa propre histoire que cette amoureuse des mots a puisé pour écrire et<br />

interpréter son troisième solo.<br />

Un spectacle rare, tout palpitant de finesse, d'intelligence.<br />

La Guigon est une artiste qui ne s’oublie pas. V. Hotte, La Terrasse<br />

[…] On a l’impression que c’est votre cœur que vous nous donnez. L. Adler, France Inter<br />

[…] Pas de doute, le théâtre c’est aussi cela ! On marche, on suit, on est ému. Michèle Guigon, ce<br />

n’est pas n’importe qui. J.L. Jenner, Figaroscope<br />

Avec une humanité à fleur de peau, Michèle Guigon parle de l’existence, de ses difficultés et de ses<br />

bonheurs, sans tabou, avec ironie et générosité. Télérama<br />

coécriture et mise en scène : Susy Firth<br />

collaboration artistique : Anne Artigau<br />

chansons, musique et accordéon :<br />

Michèle Guigon<br />

lumières : Marie Vincent<br />

Une coproduction Compagnie du P’tit Matin et Espace 1789 de<br />

Saint-Ouen.<br />

20<br />

vendredi 15 janvier - 20h30<br />

durée : 1h30<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

© Chantal Dépagne - Palazon 09


Erendira<br />

traduction : Claude Couffon<br />

adaptation et mise en scène :<br />

Sarkis Tcheumlekdjian<br />

avec : Magali Albespy, Pierre-Marie Baudoin,<br />

Azad Goujouni, Déborah Lamy, Aude Pellizzoni,<br />

Aurélien Portehaut et Catherine Vial<br />

musique originale : Gilbert Gandil<br />

décor et masques : Judith Dubois<br />

univers sonore : Bertrand Neyret<br />

lumières : Justine Nahon et Guillaume Noël<br />

création vidéo : Catherine Demeure<br />

voix off : Augusto Millan<br />

Ce spectacle a reçu le soutien du Conseil régional et de la Drac<br />

Rhône-Alpes et de l'Adami.<br />

21<br />

mardi 19 janvier - 20h30<br />

durée : 1h10<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

théâtre poétique<br />

d’après L’Incroyable et triste histoire de la candide Erendira et de sa grand-mère<br />

diabolique de Gabriel Garcia Marquez - par la Compagnie Premier Acte<br />

Erendira est un cruel conte initiatique : la jolie et fragile Erendira, orpheline, est méthodiquement<br />

exploitée par sa despotique grand-mère, personnage mythique et diabolique aux allures de<br />

souveraine d’un royaume imaginaire, pour laquelle elle travaille. Un soir, épuisée, elle s’endort<br />

chandelle en main… Au matin, la maison a entièrement brûlé. Erendira est alors forcée par sa<br />

grand-mère à se prostituer jusqu’à lui rembourser sa maison. La clientèle afflue du monde<br />

entier, pour découvrir la merveilleuse Erendira.<br />

Ce spectacle parle avec fougue de l’oppression et des sentiments mêlés qu’elle génère, entre<br />

amour et haine, entre soif de liberté et charme amer de la dépendance... Et l’amour qui sauve…<br />

Peut-être… Il recèle des trésors d’inventivité : un piano devient un camion de trafiquant d’oranges,<br />

une baignoire rouillée à roulette figure une carriole tirée par un âne et s’y alternent, contes,<br />

chansons, et moments franchement clownesques ou le rythme et les spectateurs s’emballent.<br />

Le plus beau spectacle vu cette saison.<br />

C’est aussi l’un des plus magiques, et celui<br />

qui porte le plus aux rêves.<br />

N. Gabriel, Lyon Figaro<br />

Immersion totale et pleine de bonheur dès les<br />

premiers instants. Du théâtre comme nous<br />

aimerions en voir encore et encore.<br />

M. Hautbois, Le Progrès<br />

© David Anémian - Déclics et des Claps


théâtre<br />

Frida Kahlo<br />

d’après son journal et sa correspondance - par le Panta Théâtre<br />

Frida Khalo, née en 1907 et décédée en 1954, est la plus célèbre artiste mexicaine. Elle sera<br />

l'épouse du célèbre muraliste mexicain Diego Rivera. Ses œuvres très colorées, imprégnées<br />

de culture populaire comptent d'innombrables autoportraits qui retracent son calvaire suite à<br />

un terrible accident d'autobus à l'âge de 18 ans, la laissant lourdement handicapée.<br />

Je me souviens d’elle, de la maison bleue, dans ce Mexique des années 30, de son lit, de ses<br />

pinceaux et sur le lit son corset de plâtre. Corps brisé… C’était comme une apparition. Une<br />

déesse aztèque. J’étais étrangement fascinée comme envoûtée avec une terrible envie de<br />

disparaître, de me fondre en elle.<br />

Et s’il fallait tout lire, tout voir, tout comprendre, tout savoir d’elle pour au bout du chemin se<br />

rencontrer. L’image d’une femme seule, disant cette autre femme seule. Véro Dahuron<br />

Je peins non mes rêves, mais ma propre réalité. Frida Kahlo<br />

Jeu épuré, franc, énergique. C’est un soir de lumière, très émouvant… Le Monde<br />

Beau moment de théâtre, un hommage émouvant à une femme libre. Le Journal du Théâtre<br />

Une magnifique leçon de force de caractère et aussi d’optimisme donnée par une comédienne de<br />

haut niveau. Du grand art. Nouvelle de Wallonie<br />

conception et jeu : Véro Dahuron<br />

direction d’acteur : Guy Delamotte<br />

costumes : Cidalia Da Costa<br />

lumières : Philippe Hérail et Fabrice Fontal<br />

accessoires : Olivier Thiebault<br />

régie : Christel Rochet<br />

Le Panta Théâtre est conventionné par le Ministère de la culture -<br />

Drac de Basse-Normandie, subventionné par le Conseil régional de<br />

Basse-Normandie, le Conseil général du Calvados - Odacc et la ville<br />

de Caen.<br />

22<br />

mardi 26 janvier - 20h30<br />

durée : 1h20<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

© Frida Kahlo


Irrégulière<br />

23<br />

vendredi 29 janvier - 20h30<br />

durée : 1h05<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

musique - textes<br />

Spectacle musical initié par Norah Krief et Frédéric Fresson autour des Sonnets<br />

et Élégies de Louise Labé - par la Compagnie Sonnets<br />

C’est du théâtre. C’est de la chanson. C’est surtout de l’amour : celui inscrit dans la langue de<br />

Louise Labé, femme poète du XVI e siècle, dont l’audace, dans l’expression du désir, est encore<br />

un scandale. Une langue de chair, mise en musique pour lui restituer toute sa force vitale.<br />

Cette voix, ce chant, ce souffle initient alors une parole inédite : celle de Nora Krief inventant à<br />

son tour, avec les musiciens et les mots de Pascal Collin, une autre manière d’affirmer, contre<br />

toute bienséance, le désir affranchi d’une femme d’aujourd’hui. C’est la rencontre d’une poétesse<br />

hors norme et d’une actrice hors norme.<br />

Entre purs moments d’émotion, passages décalés, les mots du désir et ceux de l’amour, Norah Krief<br />

évolue, légère, troublante, blessée, comblée. Du pur plaisir pour le spectateur.<br />

M.-J. Ballista, Le Berry Républicain<br />

avec : Norah Krief<br />

Frédéric Fresson : clavier<br />

Daniel Largent : percussion, basse<br />

Mathias Lévy : violon, saxophone, guitare<br />

textes : Louise Labé et Pascal Collin<br />

composition musicale : Frédéric Fresson<br />

arrangements : Daniel Largent et Mathias Levy<br />

mise en scène : Michel Didym et Pascal Collin<br />

assistante à la création : Arzela Prunennec<br />

lumière : Paul Baureilles et Johan Olivier<br />

son : Olivier Gascoin<br />

Une production de la Maison de la culture de Bourges/scène nationale,<br />

en coproduction avec l’Allan/scène nationale de Montbéliard, avec<br />

le soutien de la Mousson d’été de Lorraine, des Bains-Douches de<br />

Lignières, de la Région Centre, du Théâtre national de Bretagne et<br />

du Théâtre 71, scène nationale de Malakoff.<br />

Allant sans filet au charbon et tutoyant le<br />

public, c’est avec rage et délicatesse, humour<br />

et audace que Norah Krief évoque cette poésie<br />

du désir qui submerge… Un moment rare.<br />

J.-D. Burtin, La République du Centre<br />

© Élizabeth Carecchio


théâtre<br />

Blanche Aurore Céleste<br />

de Noëlle Renaude - par le Tanit Théâtre<br />

L’histoire de Blanche est une fuite en avant rocambolesque et mélancolique. C’est une femme<br />

mûre qui se souvient. Elle a cherché toute sa vie son grand amour et en a essayé plusieurs.<br />

Elle nous raconte sa vie de femme libre et nous croque tous les hommes qu’elle a connu,<br />

dans un récit pathétique et loufoque.<br />

Blanche rêve en couleur. Et tout cela déteint. D’avoir eu tous les hommes, elle devient toutes<br />

les femmes, et tout en préparant un repas ordinaire, elle contemple sans aménité, sur le plan<br />

de travail inox de sa cuisine, son visage de femme maintenant à l’automne de sa vie. C’est<br />

dans son propre reflet qu’elle voit passer les images pressées de tous ces hommes qui se<br />

sont arrêtés dans sa vie un instant ou plus longtemps, mais jamais le cousin Marcel, marin du<br />

tour du monde, tellement désiré. Fausse naïve ou véritable optimiste, Blanche ne se laisse<br />

jamais aller au désespoir, elle prend la<br />

mesure du temps passé et se raconte de<br />

bouts de rien, de bouts de tout, de fleurs<br />

d’hortensias, de faux tapis d’orient, de laisse<br />

à chien bi-colore et de robe à pois bleutés…<br />

scénographie et mise en scène :<br />

Eric Louviot<br />

avec : Patricia Jeanneau<br />

La Compagnie est subventionnée par le Ministère de la Culture et de<br />

la Communication (DRAC de Basse-Normandie), la région Basse-<br />

Normandie, le conseil Général du Calvados, la ville de <strong>Lisieux</strong>.<br />

24<br />

mardi 2 février - 20h30<br />

salle des Droits Humains - Beuvillers<br />

mercredi 3 février - 20h30<br />

salle des fêtes - Glos<br />

jeudi 4 février - 20h30<br />

salle des fêtes - Courtonne-la-Meurdrac<br />

vendredi 5 février - 20h30<br />

salle Delépine - Saint-Martin-de-la-Lieue<br />

samedi 6 février - 20h30<br />

salle des fêtes - Le Pré-d’Auge<br />

durée : 1 heure - tarifs : plein 8 €<br />

réduit 5 € (- 26 ans et demandeurs d’emploi)<br />

jauge réduite (réservation conseillée)<br />

© Kévin Louviot


Les Petites Absences<br />

de Sylvie Robe - par le Théâtre du Signe<br />

avec : Fanny Catel-Chanet, Sylvie Robe et<br />

Stéphane Peliccia<br />

mise en scène : Marco Bataille-Testu<br />

écriture chorégraphique : Lolita Espin-Anadon<br />

musique : quatuor à cordes de l’Ensemble<br />

de Basse-Normandie<br />

composition musicale : Alain Bonardi<br />

vidéo : Nicolas Girault<br />

scénographie : Laurent Mandonnet<br />

lumières : Thalie Guibaults<br />

costumes : Fanny Mandonnet<br />

Une co-production Comédie de Caen, Cdn de Normandie - Le Préau,<br />

Cdr de Vire - L’Ensemble de Basse-Normandie, avec le soutien de la<br />

Drac de Basse-Normandie, du Conseil régional de Basse-Normandie,<br />

du Conseil général du Calvados, de la ville de Caen, de l’ODIA<br />

Normandie, en partenariat avec le Cube, centre de création numérique<br />

d’Issy-les-Moulineaux et l’Ircam.<br />

Spectacle accueilli avec l’aide de l’Office de Diffusion et d’Information<br />

Artistique de Normandie.<br />

25<br />

théâtre jeune public (à partir de 8 ans)<br />

Les menteries du dehors qui foutent la tête à l’envers dans le sac à patouille, faut laisser<br />

Cyprien tranquille, c’est pas un jour pour lui, c’est un jour de pluie.<br />

Depuis la disparition de son père, pilote d’avion, Cyprien a des troubles du comportement, et<br />

un accès particulier au langage. Il semble retenu dans un monde intérieur, a des visions,<br />

échappe au réel. Il faut le rappeler au monde. Sa sœur sait faire cela. Ils sont en lien profond.<br />

C’est le thème de l’absence qui est abordé dans ce spectacle ; l’absence qui initie la quête et<br />

la recherche d’identité, permet tous les fantasmes, engendre toutes les douleurs, alimente<br />

souvent le doute. Ici le père volant, parti, disparu dans sa machine volante pour aller où ?<br />

Dans le prolongement de ses créations<br />

précédentes, le Théâtre du Signe place au<br />

cœur de son dispositif artistique : le théâtre,<br />

la danse, la musique, la vidéo, en se penchant<br />

plus particulièrement sur les technologies<br />

nouvelles, véritables extensions du jeu de<br />

l’acteur.<br />

en matinée scolaire (CM) :<br />

mardi 9 février - 14h30<br />

jeudi 11 février - 10h00 et 14h30<br />

en soirée :<br />

mardi 9 février - 20h30<br />

durée : 1 heure - tarif unique : 5 €<br />

© Fanny Mandonnet


théâtre<br />

Dialogue d'un chien avec son maître<br />

sur la nécessité de mordre ses amis<br />

de Jean-Marie Piemme - par le Théâtre National de Belgique<br />

“C’est l’histoire d’un type… comme dirait Coluche. Ou plutôt de deux types. Ou plus exactement<br />

d’un type et d’un chien. Ou plus exactement de deux grandes gueules avec deux gros cous,<br />

deux “dikkeneke” comme on dit à Bruxelles ou deux “hâbleurs” comme on dit ailleurs”. C’est<br />

avec ces mots que Philippe Sireuil, le metteur en scène du Théâtre National de la Communauté<br />

française à Bruxelles présente la pièce.<br />

Donc, c’est l’histoire… d’une rencontre improbable entre un homme, Roger portier d’un hôtel<br />

de luxe, solitaire, logeant dans la précarité d’une caravane, et d’un chien errant, à la langue<br />

bien pendue et au vocabulaire choisi, dressé sur ses deux pattes, devenu expert en l’art de<br />

provoquer des carambolages, et en recherche d’un maître.<br />

Avec humour, férocité et tendresse, ces deux personnages tentent de trouver leur place dans<br />

une société où indifférence et exploitation nous rabaisse quelquefois au niveau de l’animal…<br />

une dialectique décapante sur la condition humaine !<br />

Voici une pièce du tonnerre ! Il suffit d’un texte qui turbule et qui trucule et de deux acteurs surdoués…<br />

pour en dire beaucoup sur les déchets humains que fabrique notre société d’abondance et leur<br />

besoin d’amour et leur colère aboyée… Ce n’est pas seulement mordant, c’est juste et délicat, une<br />

vraie pâtée de roi… Le Canard Enchaîné<br />

mise en scène et scénographie :<br />

Philippe Sireuil<br />

avec : Philippe Jeusette et Fabrice Schillaci<br />

musique : David Callas<br />

costumes : Catherine Somers<br />

lumières : Jean-Claude Caillard<br />

Une production du Théâtre National de la communauté française à<br />

Bruxelles, avec la collaboration de La Servante, asbl.<br />

Le texte de la pièce est publié aux Éditions Actes-Sud.<br />

26<br />

mardi 2 mars - 20h30<br />

durée : 1h30<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

© Danielle Pierre


Liqaa<br />

Ali Alaoui : percussions<br />

Majid Bekkas : guembri, chant<br />

Philippe Léogé : piano<br />

Jean-Marc Padovani : saxophones<br />

Une production de Soléart Productions.<br />

27<br />

mardi 9 mars - 20h30<br />

durée : 1h30<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

musique<br />

Voici une belle rencontre ! Celle de quatre passionnés de musique ou plutôt de “musiques”.<br />

Quatre “touche à tout” qui tentent avec bonheur d’ouvrir à l’autre, leur propre champ musical<br />

et cela avec détermination et passion.<br />

Chacun d’entre eux s’est frotté à d’autres cultures musicales même si le jazz et l’improvisation<br />

semblent constituer le lien qui les réunit aujourd’hui.<br />

Leur répertoire : une série de compositions et d’airs traditionnels re-composés, de rythmes et<br />

de chants revus et corrigés par l’immense talent de ces quatre virtuoses, heureux de partager<br />

libérer ce territoire d’échanges entre les musiques ‘savantes’ et les musiques ‘populaires”.<br />

Partenariat CRD mardi 9 mars : Master Class (voir page 42)<br />

Harmonia Mundi partenaire<br />

© Yan Thiaudière


théâtre - marionnettes (à partir de 10 ans)<br />

Une Antigone de papier<br />

tentative de défroissage du mythe - par la Compagnie Les Anges au plafond<br />

Faire revivre Antigone aujourd’hui, c’est réentendre un cri, une révolte brute. Antigone est<br />

butée, quasi-muette, obtuse. Elle refuse, c’est tout. Antigone refuse l’arbitraire. Sa présence et<br />

ses actes appellent à désobéir à la Loi si cette Loi est injuste. Aucune négociation, pas de<br />

compromis face à cette rebelle ! Ce qui n’était qu’un abus de pouvoir se révèle porter les germes<br />

de l’autoritarisme.<br />

Dans notre histoire, le symbole de la loi arbitraire édictée par Créon sera… un mur… une<br />

muraille, les remparts de Thèbes. C’est le mur que nous portons dans nos têtes, où s’arrête<br />

notre compréhension du monde, où commence la peur de l’autre.<br />

avec, au cœur de l’arène : Sandrine Lefebvre<br />

en alternance avec Véronica Votti, Martina<br />

Rodriguez, Doro thée Ruge et Camille Trouvé<br />

sous le regard et sous la plume de :<br />

Brice Berthoud<br />

construction marionnettes : Camille Trouvé<br />

composition musicale : Sandrine Lefebvre et<br />

Martina Rodriguez<br />

scénographie, régie : Dorothée Ruge<br />

création lumière : Gerdi Nehlig<br />

décors : Olivier Benoît et Saleme Ben Del Kacem<br />

costumes : Séverine Thiébault<br />

et la précieuse participation d’Einat Landais,<br />

Magali Rousseau et Véronique Iung<br />

Une coproduction Les Anges au Plafond - Théâtre 71, scène nationale<br />

de Malakoff - Théâtre Jeune public de Strasbourg - Espace Jean<br />

Vilar de Ifs - Centre Marcel Pagnol de Bures sur Yvette - Théâtre de<br />

Corbeil-Essonnes - Théâtre du Chaudron Cartoucherie de Vincennes,<br />

avec le soutien de la Drac Île de France.<br />

Spectacle accueilli avec l’aide de l’Office National de Diffusion Artistique.<br />

28<br />

Antigone reste cette partie indomptée de nous<br />

même qui ne cherche pas à comprendre<br />

l’historique, la genèse de cette frontière. Et qui<br />

fonce. Quitte à envoyer son manipulateur<br />

dans le décor…<br />

en matinée scolaire :<br />

jeudi 18 mars - 14h30<br />

vendredi 19 mars - 14h30<br />

en soirée :<br />

mardi 16, jeudi 18 et<br />

vendredi 19 mars - 20h30<br />

salle des Associations - Coquainvilliers<br />

durée : 1h22 - tarifs : plein 8 €<br />

réduit 5 € (- 26 ans et demandeurs d’emploi)<br />

jauge réduite (réservation conseillée)<br />

© D.R.


Charles Gonzalès devient…<br />

Camille Claudel d’après les lettres de Camille Claudel<br />

conception, réalisation et interprétation :<br />

Charles Gonzalès<br />

création lumières : Mohamed Maaratié<br />

technique : Joachim Defgnée<br />

costumes : Ateliers de l'imprimerie<br />

Un spectacle présenté par Acte 2, un département d’Atelier Théâtre<br />

Actuel. Avec le soutien de D. B. Mots Bouts - Théâtre Poème de<br />

Bruxelles - ACERMA<br />

29<br />

mardi 23 mars - 20h30<br />

durée : 1h20<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

théâtre<br />

Charles Gonzalès retrace à travers ce spectacle le véritable itinéraire de Camille Claudel<br />

depuis le début de sa rencontre destructrice avec Rodin jusqu’à la fin de sa vie, enfermée<br />

dans une maison d’aliénés, pendant plus de trente ans.<br />

Sa liaison avec Rodin, ses combats pour s’affirmer en tant qu’artiste de son temps, ses rapports<br />

avec son frère Paul et le conflit permanent avec sa mère, font de cette femme exceptionnelle,<br />

une artiste sacrifiée sur l’autel de l’injustice. L’histoire d’une descente aux enfers.<br />

Au-delà du sujet, dramatique, théâtral, la singularité de ce spectacle s’affirme dans le choix<br />

d’un homme pour incarner Camille Claudel. Il ne s’agit pas de travestir, ici, comme au<br />

théâtre japonais ; la femme transparaît au travers de l’acteur. Cette distanciation nous donne<br />

immédiatement accès au plus intime de ce personnage brisé.<br />

J’ai intitulé le spectacle Charles Gonzalès… devient Camille Claudel pour bien montrer la différence<br />

entre l’être et le devenir d’une interprétation théâtrale. Il ne s’agit pas là d’une construction<br />

romancée de la vie de Camille, mais d’une mise en voix, en corps et en lumière d’un choix de<br />

lettres liées à la période créative et amoureuse, puis à celle de la persécution, pour finir par<br />

celles adressées à sa mère… Charles Gonzalès<br />

Un spectacle inoubliable à ne surtout pas<br />

manquer, d’une rare qualité, bouleversant<br />

jusqu’aux larmes. On est immédiatement tout<br />

entier dans la pensée de Camille Claudel.<br />

Charles Gonzalès est fascinant.<br />

A. Héliot, Le Figaro<br />

© D.R.


cirque - danse - clown<br />

Un Amour<br />

textes de François Cervantes<br />

par les Compagnies Thierry Thieu Niang et l’Entreprise<br />

Comme dans un poème d’amour, deux présences, se découvrent, se dévoilent : elle, le clown<br />

bille lunaire, petite voix et cheveux de pois, lui le danseur ; elle au début un peu sauvage, lui<br />

au début un peu silencieux.<br />

Lui pour la première fois va parler sur scène, elle va apprendre à déconstruire et à danser. Elle,<br />

Arletti alias Catherine Germain et lui Thierry Thieu Niang le chorégraphe marseillais. Ils se sont<br />

rencontrés en novembre 2007 lors de la carte blanche de lui au Théâtre des Salins. Il invite<br />

alors elle, et très vite naît l’idée de danser ensemble, de concevoir un duo.<br />

Une mise en jeu de deux présences, la rencontre à rebours d’un clown et d’un danseur, d’une<br />

femme et d’un homme qui s’apprivoisent dans une histoire qui transcende les différences.<br />

Deux artistes exceptionnels pour une histoire d’amour ?<br />

Un amour est construit à la manière d’un poème pour lequel François Cervantes aurait posé les<br />

premiers mots et le premier espace de jeu. François Rancillac, plus tard, Laurent Fréchuret et enfin<br />

Patrice Chéreau viendraient continuer et<br />

transformer le travail en cours pour qu’enfin<br />

Catherine Germain et Thierry Thieu Niang nous<br />

racontent cet amour.<br />

mise en scène : Catherine Germain et<br />

Thierry Thieu Niang<br />

avec les regards de : François Cervantes,<br />

François Rancillac, Laurent Fréchuret et<br />

Patrice Chéreau<br />

lumières : Stéphane Salmon<br />

avec : Catherine Germain et<br />

Thierry Thieu Niang<br />

Une production L’Entreprise - Compagnie François Cervantes, Zébulon<br />

et Compagnie Thierry Thieu Niang. Une coproduction Les Salins,<br />

scène nationale de Martigues - Théâtre de Sartrouville, Centre<br />

dramatique national - Comédie de Saint-Étienne, Centre dramatique<br />

national - La Brèche, Centre des arts du cirque de Basse<br />

Normandie, avec le soutien du Théâtre Massalia / Friche La Belle de<br />

Mai à Marseille et du Cndc de Châteauvallon.<br />

30<br />

Spectacle accueilli en co-réalisation avec La<br />

Brèche, Centre des arts du cirque de Basse-<br />

Normandie, dans le cadre du festival Spring<br />

2010.<br />

mardi 30 mars - 20h30<br />

durée : 1 heure<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

© Christophe Raynaud de Lage


Métamorphoses<br />

jeu de rôles mythologiques pour cinq acteurs et un musicien<br />

d’après Ovide - par Habaquq et Compagnie<br />

31<br />

théâtre - création<br />

Ovide est un auteur latin du premier siècle après J.C. Les Métamorphoses constituent son<br />

ouvrage le plus célèbre. Un immense poème qui réunit plus de 800 personnages, monstres<br />

ou dieux, et qui reprend les grandes histoires de la mythologie gréco-romaine, comme<br />

Narcisse, Icare ou Médée.<br />

Cinq comédiens et un musicien “électro” proposent un voyage au travers de cette œuvre fleuve<br />

d’Ovide. La langue fluide du poète prend chair dans les corps et sur la scène, tandis que les<br />

sons créés en direct en révèlent les pulsions, les tensions, les torsions.<br />

Avec quelques accessoires et un mélange des genres qui mêle la radicalité de la tragédie à<br />

des instants de pure loufoquerie, la troupe traverse le sens profond de l’œuvre : la vision d’un<br />

monde cohérent où tout est relié, avec la tentative permanente des hommes de s’extraire de<br />

leur condition d’êtres pulsionnels.<br />

traduction française : Georges Lafaye<br />

adaptation et mise en scène : Jérémie Fabre<br />

musique et univers sonore : Matthieu Garczynski<br />

scénographie : David Camoni et<br />

Jérémie Fabre<br />

avec : Sabrina Bus, Marine Duséhu,<br />

Agnès Fabre, Carles Romero Vidal et<br />

Paul Tilmont<br />

Une production d’Habaquq et Compagnie, avec le soutien de la Drac<br />

et du Conseil régional de Basse-Normandie, du Conseil général de<br />

la Manche, de la Fabrique Éphéméride de Val de Reuil, du Jeune<br />

Théâtre National, du Préau de Vire, de la Compagnie Dodéka et du<br />

Centre dramatique national de Sartrouville.<br />

Spectacle accueilli avec l’aide de l’Office de Diffusion et d’Information<br />

Artistique de Normandie.<br />

Métamorphoses est un spectacle jubilatoire<br />

et ludique. Il célèbre le théâtre et sa capacité<br />

à nous éveiller et à nous transporter.<br />

mardi 6 avril - 20h30<br />

durée : en création<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

© D.R.


théâtre<br />

Bash - Latterday Plays<br />

de Neil Labute - par la Compagnie XK Théater Group<br />

Ces trois histoires inspirées de faits divers, écrites par le dramaturge nord-américain Neil Labute<br />

révèlent l’autre côté de l’image glacée du rêve américain.<br />

La pièce est en effet un triptyque constitué de trois récits indépendants, mais qui ont un point<br />

commun : à chaque fois il s’agit de la confession d’un meurtrier ou d’une meurtrière. Ce sont<br />

donc des crimes particulièrement violents qui nous sont peu à peu dévoilés, sur un ton<br />

presque anodin, comme on raconterait n’importe quelle autre histoire, par des personnages<br />

tout à fait ordinaires.<br />

Une triste coïncidence ou un amour déçu, qui font que cette normalité bascule dans la folie.<br />

traduction : Pierre Laville<br />

mise en scène, dramaturgie et adaptation<br />

scénique : René Georges<br />

assisté de : Grazia Di Vincenzo<br />

scénographie : Christine Flasschoen<br />

avec : Edwige Baily, Bruno Mullenaerts,<br />

Lara Persain et Fabrice Rodriguez<br />

musique : Vincent Cahay<br />

lumière : Gilles Bombaert<br />

images : Xavier Istasse<br />

régie : Julien Soumillon<br />

costumes : René Georges<br />

Une production XK Theater Group, en co-réalisation avec le ZUT et<br />

le Théâtre Jardin Passion, avec l’aide du Cifas, du Ministère de la<br />

communauté française (service théâtre), d’Hypothésarts, de Smart<br />

asbl, du Rideau de Bruxelles, de Martine Renders, du Théâtre National<br />

et du Théâtre de la Balsamine.<br />

32<br />

Mais il ne s’agit pas, et c’est là toute la force<br />

de l’auteur, de diaboliser le meurtrier comme<br />

le fait en général la culture américaine. Non<br />

la violence est latente en chacun de nous et<br />

peut surgir chez l’être le plus banal en fonction<br />

des circonstances. Ce sont trois petits polars<br />

finalement, un peu pervers parce que contés<br />

par le meurtrier lui-même.<br />

Cette pièce est à voir absolument !<br />

mardi 27 avril - 20h30<br />

durée : 1h50<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

jauge réduite (réservation conseillée)<br />

© Pierre Bodson


Toni Kitanovski<br />

et le Cherkezi Orchestar Borderlands<br />

directeur artistique : Toni Kitanovski<br />

Jasar Rasid : percussion<br />

Asan Rasid : trompette<br />

Hamid Rasid et Vilhen Memedov : tuba<br />

Cerkez Rasid : percussion<br />

Ivan Bejkov : guitare-basse<br />

Toni Kitanovski : guitare<br />

Aleksandar Sekulovski : batterie<br />

Djijan Emin : cor et synthé<br />

33<br />

jeudi 29 avril - 20h30<br />

durée : 1h30<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

musique<br />

Cherkezi Orchestar tient son nom de son patriarche et plus vieux membre du groupe, le<br />

trompettiste de soixante-dix ans Cerkez Rashid. Ses deux fils Asan (trompette) et Ali (saxophone<br />

alto) et lui-même, en sont les principaux solistes.<br />

Les autres membres du groupe, sont issus de longues lignées de musiciens, des familles<br />

entières dédiées à la musique. Ils en sont à la troisième génération !<br />

Leur répertoire est versatile, incluant des mélodies de leur Macédoine natale, de la tradition<br />

tzigane, des compositions originales ainsi que des morceaux de Charlie Mingus et Erik Satie.<br />

Leurs rythmiques, minutieusement arrangées, combinant les rythmes traditionnels tziganes<br />

avec des rythmes reggae, africains, la samba, et “la seconde vague” New orléanaise, amènent<br />

à penser que la mondialisation est une bonne chose.<br />

Pour cette soirée, ils se sont adjoint d’autres musiciens ayant une haute formation en musique<br />

contemporaine, expérimentés en matière de jazz, de musique populaire et de musique classique.<br />

Spectacle accueilli en collaboration avec Balkan-Transit dans le cadre du 6 e Printemps<br />

balkanique.<br />

© D.R.


musique<br />

Al Andalous<br />

le nouveau chemin… - musique de Saïd Chraïbi<br />

par l’Ensemble de Basse-Normandie<br />

L’Ensemble a choisi d’emprunter le chemin d’une des grandes traditions musicales savantes<br />

de l’Orient… La musique arabo-andalouse. Al Andalous est donc la rencontre entre un septuor<br />

dont les cordes constituent l’élément essentiel et une forme instrumentale traditionnelle<br />

regroupant deux oud et deux percussions.<br />

Le soliste et compositeur invité n’est autre que le grand oudiste marocain Saïd Chraïbi, artiste<br />

emblématique de la musique andalou-marocaine contemporaine.<br />

Tout en s’attachant à conserver les arcanes d’une musique séculaire, les compositions de<br />

Saïd Chraïbi sont en quelque sorte une relecture de cette tradition. A travers une orchestration<br />

ou la mélodie est reine, ou improvisation et écriture cohabitent avec subtilité, l’art de l’ornementation<br />

se fait la part belle et tisse une fois de plus un pont habile entre orient et occident, permettant<br />

aux instrumentistes de l’Ensemble d’être l’espace de cette création, des musiciens de l’entre-deux<br />

rives.<br />

Partenariat CRD mercredi 5 mai : Master Class (voir page 42)<br />

et Archipel Culture des Musiques du Monde<br />

Harmonia Mundi partenaire<br />

Saïd Chraïbi : ûd<br />

Karim Habali : ûd<br />

Adel Shams el din : derbouka, rigg, def turc<br />

Benali Tarik : derbouka, rigg, def turc<br />

et le septuor de l’Ensemble<br />

L’Ensemble de Basse-Normandie est subventionné par le Conseil régional<br />

de Basse-Normandie, le Ministère de la culture et de la communication -<br />

Drac de Basse-Normandie), avec la participation des Conseils généraux<br />

du Calvados, de la Manche et de l’Orne.<br />

34<br />

jeudi 6 mai - 20h30<br />

durée : 1h30<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

© D.R.


Toâ<br />

de Sacha Guitry - par La Piccola Familia<br />

35<br />

mardi 11 mai - 20h30<br />

durée : 1h45<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

théâtre<br />

Méconnu, ce texte de Sacha Guitry met en scène un auteur dramatique aux prises avec ses<br />

propres personnages auxquels il donne vie. C’est une pièce autocritique dans laquelle l’auteur<br />

porte un regard objectif et sans complaisance sur lui-même et sur son œuvre. La mise en<br />

scène inventive et pleine d’humour de Thomas Joly rend un parfait hommage à Sacha Guitry<br />

à travers ses thèmes de prédilection : l’amour et ses aléas, l’interrogation du réel, le goût du<br />

merveilleux, le statut de l’artiste… Quand la mécanique de l’interprétation rencontre la mécanique<br />

de la construction, le théâtre y trouve largement son compte et c’est un moment de grande<br />

jubilation.<br />

Sois de ton temps, jeune homme - car on n’est pas de tous les temps, si l’on n’a pas d’abord<br />

été de son époque. Sacha Guitry, Toutes réflexions faites<br />

mise en scène et scénographie :<br />

Thomas Jolly<br />

conseiller à la scénographie :<br />

Claude Chestier<br />

avec : Alexandre Dain, Flora Diguet,<br />

Émeline Frémont, Thomas Jolly,<br />

Julie Lerat-Gersant et Charline Porrone<br />

Une production La Piccola Familia - Le Trident, scène nationale de<br />

Cherbourg-Octeville, en coproduction avec les Producteurs associés<br />

de Basse-Normandie - le Rayon Vert, scène conventionnée de Saint-<br />

Valéry-en-Caux, avec le soutien du Ministère de la culture et de la<br />

communication Drac Haute-Normandie, du Conseil régional de<br />

Haute-Normandie, du Conseil général de Seine-maritime, de l’Odia<br />

Normandie, de l’Adami et du Théâtre National de Bretagne.<br />

Spectacle accueilli avec l’aide de l’Office de Diffusion et d’Information<br />

Artistique de Normandie.<br />

© Nicolas Joubard


théâtre en musique pour les moins de 36 mois<br />

Échos<br />

par le Théâtre du Champ Exquis<br />

D’après les textes Et pit et pat de Jeanne Ashbé, Où je l’ai mis de Benoît Charlat, Petites grimaces<br />

et grands sourires de Carl Norac, Gribouillis gribouillons d’Antonin Louchard, A mots croisés<br />

de Bernard Friot, Pas de Susie Morgenstern.<br />

Le Pas est au centre du propos, Echos le fait entendre dans ses multiples sens : le pas,<br />

matérialisé par l’eau laisse sa trace éphémère… Il résonne physiquement par le son produit<br />

du contact du pied sur le sol : puis il devient le “pas !” du refus, tant utilisé pour dire non !<br />

“Deux marges d’eau délimitent l’espace scénique. Elles deviennent encrier imaginaire, espace<br />

de transition, caisse de résonnances… L’une transparente, pure, vide de tout objet, est l’espace<br />

privilégié d’ELLE. L’eau s’agite, se reflète, suggère la naissance, la vie. L’autre déborde de verres<br />

transparents, de clochettes, de petits objets divers et étranges, c’est l’espace exclusif de<br />

l’AUTRE. La musique aquatique s’y joue en direct, les percussions d’eau soulignent, impulsent<br />

les sons et les mots.”<br />

adaptation et mise en scène :<br />

Laure Rungette<br />

environnement musical aquatique :<br />

Emmanuel Ricard<br />

avec : Déborah Lennie-Bisson<br />

Avec le soutien de la Bibliothèque Départementale de Prêt du Calvados<br />

et avec la complicité de la halte garderie La p’tit Ourse de Blainville sur<br />

Orne.<br />

Le Théâtre du Champs Exquis est subventionné par la Communauté<br />

d’agglomération Caen la mer, le Conseil Général du Calvados, le<br />

Conseil Régional de Basse-Normandie, le Ministère de la Culture et<br />

de la Communication (DRAC de Basse-Normandie).<br />

36<br />

séances réservées aux groupes<br />

(crèche, halte-garderie…) :<br />

jeudi 20 mai - 10h30 et 15h30<br />

vendredi 21 mai - 10h30<br />

séance ouverte à tous :<br />

vendredi 21 mai - 15h30<br />

durée : 40 minutes - tarif unique : 5 €<br />

jauge réduite (réservation indispensable)<br />

© Sylvain Guichard


Gustav Leonhardt<br />

Gustav Leonhardt jouera sur un clavecin<br />

Jacques Braux, 1986<br />

37<br />

jeudi 27 mai - 20h30<br />

durée : 1h30<br />

tarifs : plein 16 €, réduit 8 €<br />

abonnement (voir page 44)<br />

musique<br />

Assister à un concert de Gustav Leonhardt aujourd’hui n’est pas une expérience ordinaire.<br />

Le musicien que l’on va entendre est une légende surnommée le “Pape du Baroque”.<br />

Dans cette carrière toujours plus tournée, avec l’âge, vers l’introspection, les concerts font<br />

événement, d’autant plus attendus que devenus rares. Son dernier passage à Paris au Théâtre<br />

des Bouffes du Nord en 2008, à la fois concert-culte et pèlerinage a permis de vérifier que le<br />

pouvoir de fascination de ce prince du clavier demeurait intact sur le public.<br />

Quatre-vingt-un ans et toujours la même présence lumineuse, la même force d’évidence<br />

chez un musicien qui reste exemplairement discret sur son art. Sans doute, le clavecin<br />

demeure la grande affaire de sa vie, mais trop en parler le navre : “Pour un musicien, tout est<br />

dans l’interprétation et le reste devient vite vain bavardage ; quand on est à son clavecin, on<br />

joue, on ne pense plus !”.<br />

On accourt pour assister à l’un de ses trop rares concerts. Lorsqu’il viendra dans notre ville,<br />

nous savons que ce sera un grand moment, un moment inoubliable, parce que Gustav<br />

Leonhardt, inaltérable et irremplaçable, reste décidément un modèle pour tous les maîtres.<br />

Comme toujours avec Gustav Leonhardt, le programme est un modèle d’intelligence :<br />

Jean-Henri d’Anglebert, Henri Purcell, Jean-Sébastien Bach…<br />

Leonhardt est un prophète inversé : il prédit le passé, seul dans le désert. Jacques Drillon<br />

Partenariat CRD (voir page 42)<br />

Harmonia Mundi partenaire<br />

© D.R.


musique<br />

Les Frères Nardàn<br />

Nardanie automne<br />

C’est en puisant dans ses racines qu’on atteint à l’universel : ce credo en poche, quatre<br />

bas-normands se sont décrétés frères et ont entrepris de nous faire aimer toute la terre ! Le<br />

média est simple, et connu : en avant la musique, espéranto rythmique et harmonique que les<br />

âmes bien nées n’ont pas à apprendre, mais juste à faire jaillir du fin fond de leur sensibilité !<br />

Les instruments, ici, sont autant de passeports : le violon vous bringuebale en Bohême, la guitare<br />

en Andalousie et de l’autre côté du détroit, l’accordéon assure la traversée de la pampa, et le<br />

sax est jazz, forcément jazz !<br />

Et ça marche ! Ca marche parce que ce double carburant de l’amitié et de la curiosité du<br />

monde est le garant des plus performants moteurs : pour les Frères Nardàn, c’est le moteur<br />

à explosion… de joie ! Charly Dupuis<br />

Michael Patry : guitares, ukulélé<br />

Manuel Decocq : violon, ukulélé, percussions,<br />

clarinette<br />

Olivier Riquart : accordéon, mélodica<br />

Jérôme Valognes : saxophones baryton et<br />

soprani, clarinette<br />

Une production des Frères Nardàn, en coproduction avec Mélody Music -<br />

Isaac Azoulay, avec l’aide du Comité de soutien aux musiques actuelles,<br />

du Conseil régional et de la Drac de Basse-Normandie, des Conseils<br />

généraux de la Manche, Orne et Calvados (Odacc) et Chanson à Caen.<br />

38<br />

mardi 1er juin - 20h30<br />

salle Delépine - Saint-Martin-de-la-Lieue<br />

mercredi 2 juin - 20h30<br />

salle des fêtes - le Mesnil-Eudes<br />

jeudi 3 juin - 20h30<br />

salle des fêtes - Ouilly-le-Vicomte<br />

samedi 5 juin - 20h30<br />

salle des fêtes - Saint-Martin-de-Mailloc<br />

dimanche 6 juin - 15h30<br />

église - Saint-Germain-de-Livet<br />

durée : 1h30 - tarifs : plein 8 €<br />

réduit 5 € (- 26 ans et demandeurs d’emploi)<br />

jauge réduite (réservation conseillée)<br />

© D.R.


© Dominique Defatchelles © Jacques Vimard<br />

© Patrick Baillet<br />

Expositions<br />

Si l’artiste est le prêtre du “Beau”, ce Beau doit également être recherché en fonction du<br />

même principe de la grandeur intérieure, que nous avons trouvée partout jusqu’ici. Ce Beau<br />

ne peut se mesurer qu’à l’échelle de la grandeur et de la nécessité intérieure, qui nous a déjà<br />

rendu si souvent service. Est beau ce qui procède d’une nécessité intérieure de l’âme. Est<br />

beau ce qui est beau intérieurement.<br />

Wassily Kandinsky, Du spirituel dans l’art, et dans la peinture en particulier<br />

L’élite romaine et la société ecclésiastique, menée par le cardinal théatin Carafa, sont horrifiés<br />

et, par malheur pour Michel-Ange, le cardinal devient pape sous le nom de Paul IV en 1555.<br />

Il enjoint à l’auteur de détruire son œuvre ou de la “rendre convenable”. Celui-ci réplique au<br />

pape qu’il “fasse du monde un endroit convenable, et la peinture suivra vite le même chemin…”.<br />

Pierre Cabanne, Le scandale dans l’art<br />

Jacques Vimard<br />

Jardins<br />

Huile sur toiles 2008-2009<br />

du samedi 28 novembre au samedi 30 janvier<br />

Jacques Vimard expose également aux mêmes<br />

périodes à la Filature, dans les locaux du Tanit Théâtre.<br />

Dominique Defatchelles<br />

Lignes de crêtes<br />

Acrylique sur toile 2008-2009<br />

du samedi 6 février au samedi 13 mars<br />

Patrick Baillet<br />

Dépositions<br />

Acrylique sur papier 2008 - 2009<br />

du samedi 20 mars au samedi 29 mai<br />

39<br />

Les expositions sont visibles aux jours et heures<br />

habituels d’ouverture du théâtre, du lundi au<br />

vendredi de 10h00 à 18h00 hors vacances<br />

scolaires. Les vernissages ont lieu le premier<br />

jour d’exposition à partir de 18h00.


Cafétéria<br />

L’espace cafétéria chaleureux et convivial est ouvert à partir de 12h00 et chacun peut y trouver<br />

un lieu calme d’échange et de documentation sur la vie artistique et culturelle.<br />

Pique-Nique-Musique : tous les 1ers jeudis de chaque mois, nous vous invitons à un concert<br />

gratuit de 12h30 à 13h30.<br />

Autour d’une restauration rapide et originale, on pourra se laisser surprendre par les propositions<br />

décoiffantes et innovantes des artistes invités tout en déjeunant :<br />

jeudi 5 novembre : Jean-Benoît Culot invite Gaël Horellou (batterie, saxophone)<br />

jeudi 3 décembre : Satu Niiranen - musiques traditionnelles populaires finlandaises<br />

(accordéon et chant)<br />

jeudi 7 janvier : Jean-Benoît Culot invite Hugo Lippi (batterie, guitare manouche)<br />

jeudi 4 février : Gino - Dans l’urgence - variété française<br />

jeudi 4 mars : Jean-Benoît Culot invite Nicolas Leneveu (batterie, contrebasse)<br />

jeudi 1er avril : CRD - improvisations<br />

jeudi 6 mai : Karim Habali - répertoire arabo-andalou (oud)<br />

jeudi 3 juin : Gino Zaffiro - mélodies populaires d’Italie (accordéon et chant)<br />

Raconte qui veut : au rythme des saisons, les “Contes Vallée d’Auge” vous accueillent à<br />

l’heure dite “entre chien et loup” pour un moment de partage, de libre parole. Que vous ayez<br />

envie de dire ou d’écouter, c’est un moment pour prendre le temps de s’asseoir et de goûter<br />

en toute simplicité la musique du conte.<br />

jeudi 5 novembre, jeudi 7 janvier et jeudi 1 er avril : de 19h00 à 21h00.<br />

Rencontre pour lire : la Der des Der<br />

Eh oui ! C’est bien la dernière et unique Rencontre pour lire qui aura lieu au Théâtre de la<br />

Renaissance à Mondeville le vendredi 4 et samedi 5 décembre.<br />

Le Théâtre de <strong>Lisieux</strong> Pays d’Auge a toujours et fidèlement suivi le parcours<br />

de François de Cornière, et c’est pour cette exceptionnelle et dernière<br />

“RPL” réunissant dix auteurs, dix comédiens et neuf musiciens que nous<br />

vous invitons à prendre le bus au départ du théâtre le vendredi 4.<br />

Arrivée<br />

Attention : le nombre de places est déjà très limité : pensez à réserver<br />

avant le 31 octobre.<br />

Tarif unique : 7 €<br />

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Utile<br />

AVERTISSEMENTS<br />

Penser à mettre en veilleuse les sonneries de montres et téléphones mobiles. La salle<br />

est accessible de plein-pied aux personnes handicapées en stationnant le véhicule dans la<br />

cour Jean Massot (nous prévenir de votre arrivée). Merci de ne pas photographier, filmer<br />

ou enregistrer pendant le spectacle. Il est interdit d’introduire des bouteilles dans le hall et<br />

dans la salle. Un billet ne peut-être qu’échangé dans un délai de 48 heures minimum avant<br />

la date ne convenant plus. Un billet n’est remboursable qu’en cas d’annulation du spectacle<br />

par le théâtre. Sa revente à un prix supérieur à celui figurant au recto est interdite par la loi.<br />

LOCATION DU THÉÂTRE<br />

Par convention avec la Communauté de communes, l’association du théâtre (gestionnaire du<br />

bâtiment) met ses services de scène et de salle à disposition des associations ayant leur activité<br />

sur le territoire de la CDC ou des particuliers, en fonction des créneaux restant disponibles.<br />

Renseignements et tarifs sont à prendre au théâtre.<br />

OUVERT À TOUS<br />

Le Théâtre de <strong>Lisieux</strong> est ouvert du lundi au vendredi de 10h00 à 18h00 sans interruption,<br />

sauf durant les vacances scolaires.<br />

Pour connaître le programme, il vous suffit de venir au théâtre ou de nous contacter au<br />

02 31 61 12 13<br />

SOLIDAIRE<br />

L’éloignement de certains quartiers de la ville ne doit pas être un empêchement à se rendre<br />

au théâtre ou plutôt à en revenir : c’est pourquoi un système de co-voiturage solidaire est<br />

organisé pour les spectateurs (sans locomotion) éloignés du lieu de représentation. Il vous<br />

suffit pour cela de le signaler à l’accueil.<br />

NOMADE<br />

Pour rendre le spectacle vivant encore plus accessible, le Théâtre de <strong>Lisieux</strong> Pays d’Auge va<br />

à la rencontre du public en se déplaçant dans les bourgs et villages de la Communauté de<br />

communes. C’est ainsi que cette saison, nous ferons escale à Beuvillers, Coquainvilliers,<br />

Courtonne-la-Meurdrac, Glos, Hermival-les-Vaux, Le Mesnil-Eudes, Le Mesnil-Guillaume,<br />

Saint-Germain-de-Livet, Saint-Martin-de-la-Lieue, Saint-Martin-de-Mailloc, Le Mesnil-Simon,<br />

Ouilly-le-Vicomte et Le Pré-d’Auge.<br />

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Action culturelle<br />

Proposée par le théâtre<br />

Contact : Emmanuelle Viel 02 31 61 04 40<br />

- Pour pénétrer les Coulisses du Théâtre et découvrir l’envers du décor, des visites guidées<br />

gratuites sont organisées tout au long de la saison, pour des groupes constitués : abonnés,<br />

associations, entreprises, scolaires...<br />

- Les Compagnies en résidence (cette année - la Compagnie “Absolument ! Production” du<br />

15 au 26 février) ouvrent au public certaines séances de travail permettant d’être au cœur<br />

du processus de création.<br />

Neige<br />

L’adaptation d’un roman pour la scène n’est jamais chose facile. D’autant que la proposition<br />

artistique allie plusieurs disciplines : théâtre, danse, cirque, peinture. C’est pour répondre aux<br />

interrogations les plus diverses que des rencontres avec les comédiens et la metteure en<br />

scène auront lieu dans la semaine précédant le spectacle. Ces rencontres se dérouleront soit<br />

sur le plateau du théâtre, soit dans les classes intéressées, soit dans les lieux qui le désirent.<br />

Faust<br />

A travers le mythe connu, de la jeunesse retrouvée au prix que l’on connaît, c’est l’exploration<br />

de la science et de la magie qui se décline au service de la représentation. Les nouvelles<br />

technologies et leur pouvoir d’illusions, ainsi que l’utilisation de l’outil Internet et certaines de<br />

ses applications, sont au centre du questionnement : Connaître. Qui, quoi, pour en faire quoi ?<br />

Spécialiste de l’utilisation de ces technologies nouvelles, le metteur en scène se propose de<br />

rencontrer le public, autour de ces thèmes, la semaine précédant le spectacle.<br />

Métamorphoses<br />

Deux types d’interventions dans le milieu scolaire :<br />

- en partant du titre et du thème “Métamorphoses” la compagnie propose des modules<br />

de formes courtes (15 minutes) autour d’une métamorphose avec un comédien et un<br />

musicien.<br />

- la musique du spectacle est composée et interprétée en direct à l’aide d’instruments<br />

électroniques : les lycéens pourront donc avec l’aide du compositeur, M. Garczynski, et<br />

après une présentation rapide de chaque appareil, explorer leur potentialité et leur<br />

dimension créative. vendredi 2 avril.<br />

En partenariat avec le CRD (Conservatoire à Rayonnement Départemental)<br />

Contact : Didier Josien 02 31 48 31 88<br />

Déserts et autres pièces du XXIe Allia Sellami, chanteuse possédant deux cultures et deux traditions, l’une occidentale et l’autre<br />

orientale, enseigne le chant et l’improvisation à l’Université de Tunis tout en terminant son doctorat<br />

(Sorbonne Paris IV) sur “la musique égyptienne des années trente : du cadre privé au cadre<br />

public”. Elle animera une Master Class le samedi 28 novembre de 14h00 à 18h00 au CRD.<br />

Liqaa<br />

Dans le cadre du concert donné par l’ensemble Liqaa, formé par le saxophoniste Jean-Marc<br />

Padovani, venu la saison dernière, une Master Class animée par le percussionniste Ali Alaoui<br />

sera proposée le mardi 9 mars de 16h00 à 18h00 au CRD.<br />

Al Andalous<br />

Karim Habali propose, dans le cadre du programme organisé autour de la musique de Saïd<br />

Chraïbi, une initiation à la pratique du oud, et au déchiffrage de partitions pour cet instrument.<br />

Une Master Class se tiendra donc au CRD le mercredi 5 mai de 14h00 à 17h00.<br />

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Gustav Leonhardt<br />

La venue de Gustav Leonhardt est un événement. Autour de celui-ci, le CRD organise une<br />

semaine baroque du 25 au 29 mai, avec, en son milieu, la venue du “maître” le 27.<br />

Pour les Master Class, les tarifs sont de 25 € - 15 € pour les adhérents Si Bémol, Mood Action,<br />

OHL, MJB, Centre chorégraphique du Pays d’Auge, abonnés du théâtre. Gratuit pour les élèves<br />

du CRD.<br />

En partenariat avec le service culturel de la ville de <strong>Lisieux</strong><br />

Contact : Jean-Bertrand Toraille au 06 13 89 74 06<br />

Des rencontres sont organisées le jour même du concert avec les artistes musiciens invités,<br />

de <strong>Lisieux</strong>.<br />

Espagne d’hier et d’aujourd’hui<br />

Deux classes de Hauteville et du centre vont travailler sous la direction de Jean-Bertrand<br />

Toraille, et ce, dès la rentrée sur une partition fournie par l’Ensemble De Caelis.<br />

L’aboutissement de ce travail sera la rencontre avec les chanteuses pour une répétition sous<br />

forme de Master Class, et l’interprétation de cette courte pièce, en avant-première du concert<br />

de l’Ensemble De Caelis à Courtonne-la-Meurdrac le samedi 28 novembre.<br />

Réservation indispensable, compte tenu de la capacité d’accueil de l’église.<br />

En partenariat avec le cinéma<br />

Après une étude concertée de la saison nouvelle, le cinéma Majestic s’associe au Théâtre<br />

pour programmer, au regard de certains spectacles, des films dont le thème ou l’origine de<br />

réalisation se rejoignent.<br />

En partenariat avec le Tanit Théâtre : Théâtre École<br />

Contact : Tanit Théâtre au 02 31 62 66 08<br />

L’école a moins besoin de professeurs que de maîtres. Le professeur transmet des connaissances,<br />

le maître transmet le doute. Le maître enseigne l’écart considérable qu’il y a en art entre la<br />

certitude d’un savoir, qui est nécessaire, et le risque d’un acte de création qui, lorsqu’il se<br />

pose, n’a pas d’antécédent, car l’interprétation, pour exister, doit être aussi vécue comme une<br />

création. Jacques Lassalle, Pauses<br />

Maître ou professeur. Je préfère ce vieux mot de maître. Contrairement à l’apparence, il est<br />

le plus modeste. Antoine Vitez, Écrits sur le théâtre, I, L’École<br />

Les cours hebdomadaires ont lieu le lundi de 18h30 à 20h30 et de 20h30 à 22h30,<br />

le mardi de 17h30 à 19h30 et de 20h00 à 22h00,<br />

le mercredi de 9h30 à 10h30 et de 10h30 à 12h00.<br />

Ils sont ouverts à tous, enfants et adultes, avec ou sans expérience.<br />

Animés par le Tanit-Théâtre, les ateliers, au nombre de six cette saison, se pratiquent de façon<br />

alternative sur le plateau du Théâtre de <strong>Lisieux</strong> Pays d’Auge et à la Filature, lieu d’implantation<br />

de la Compagnie. Ils sont dirigés par cinq comédiens professionnels faisant partie de l’équipe<br />

artistique de la Compagnie : Arnaud Aubert, Jean-Marc Dupré, Isis Louviot, François-Xavier<br />

Malingre et Marie-Laure Spéri.<br />

Inscriptions le samedi 3 octobre à partir de 10h00.<br />

La présentation des travaux de fin d’année est fixée au vendredi 4 et samedi 5 juin 2010.<br />

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Pratique<br />

TARIFS<br />

Plein tarif : 16 €<br />

Tarif réduit : 8 €<br />

(- 26 ans, demandeur d’emploi, RMIste, famille nombreuse, élèves du CRD, Théâtre Ecole et place de côté)<br />

Scolaire avec enseignant : 5 €<br />

Soirée familiale : 5 €<br />

Sous condition de ressources : nous contacter<br />

Soirée décentralisée :<br />

Quatuor ; Blanche et Mary’s ; Espagne d’hier et d’aujourd’hui ;<br />

Blanche Aurore Céleste ; Une Antigone de papier ; Les Frères Nardàn<br />

Plein tarif : 8 € - réduit : 5 € (- 26 ans, demandeur d’emploi)<br />

Cart’@too, Chèques-Vacances, coupons ACEA sont acceptés.<br />

ABONNEMENT<br />

Il est proposé 5 formules d’abonnement :<br />

- l’abonnement à partir de 12 spectacles : 9 € la place<br />

- l’abonnement à partir de 10 spectacles : 10 € la place<br />

- l’abonnement à partir de 6 spectacles : 12 € la place<br />

- l’abonnement “solidaire” sur justificatif (- 26 ans, demandeur d’emploi, RMIste,<br />

famille nombreuse, élèves du CRD et Théâtre Ecole) à partir de 8 spectacles : 5 € la place<br />

- l’abonnement groupé (10 personnes et +) à partir de 8 spectacles : 8 € la place<br />

Dès la parution de ce programme, l’abonnement vous garantit les meilleures places et vos<br />

billets vous sont immédiatement délivrés. La page d’abonnement est un formulaire à découper,<br />

éventuellement à photocopier. Vous pouvez vous abonner par correspondance ou sur place<br />

à partir du mercredi 16 septembre 10h00. Vous choisissez vos places et disposez de vos<br />

billets immédiatement pour toute la saison.<br />

RÉSERVATION<br />

Ouverture de la billetterie pour tous lundi 28 septembre, 10h00. Vous pouvez réserver vos<br />

places directement au théâtre ou par téléphone au 02 31 61 12 13 et envoyer votre règlement<br />

par courrier. ATTENTION ! la réservation doit être honorée dans les 7 jours. Passé ce délai,<br />

elle sera remise en vente. Le soir même, la billetterie est ouverte une demi-heure avant le<br />

rideau.<br />

Les places sont toutes numérotées, mais le placement est libre aux soirées familiales.<br />

HORAIRES<br />

Les représentations commencent à 20h30, sauf pour l’ouverture de saison 19h00 et Échos,<br />

spectacle pour les moins de 36 mois à 15h30. Le théâtre est ouvert une demi-heure avant le<br />

rideau. Pour ne gêner ni le public, ni les artistes, nous ne pouvons garantir aux spectateurs<br />

arrivés en retard les places qu’ils auront réservées.<br />

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Bulletin d’abonnement détachable<br />

VOS COORDONNÉES<br />

1 ère personne 2 e personne (éventuelle)<br />

Nom : .................................................................................. Nom : .........................................................................................<br />

Prénom : ............................................................................ Prénom : ..................................................................................<br />

Adresse : ........................................................................... Adresse : .................................................................................<br />

Code postal : ................................................................... Code postal : .........................................................................<br />

Ville : .................................................................................... Ville : ...........................................................................................<br />

Tél. indispensable : ....................................................... Tél. indispensable : .............................................................<br />

E-mail : ................................................................................ E-mail : ......................................................................................<br />

NOS CINQ FORMULES D’ABONNEMENT<br />

A : abonnement à 12 spectacles : 108 € (9 € la place)<br />

B : abonnement à 10 spectacles : 100 € (10 € la place)<br />

C : abonnement à 6 spectacles : 72 € (12 € la place)<br />

D : abonnement “solidaire” à 8 spectacles : 40 € (5 € la place)<br />

E : abonnement groupé (minimum 10 personnes) à 8 spectacles : 64 € (8 € la place)<br />

VOS CHOIX (cochez les cases correspondantes)<br />

Soirée d’ouverture, entrée libre :<br />

Fanfare Ziklezmer vendredi 25 septembre à 19h00<br />

Début des spectacles : 20h30<br />

Les Blérots de R.A.V.E.L. mardi 6 octobre<br />

Kiwi vendredi 23 octobre<br />

Neige mardi 24 novembre<br />

Déserts et autres pièces... vendredi 27 novembre<br />

Chat en poche jeudi 3 décembre<br />

Paupières vendredi 11 décembre<br />

Faust mardi 12 janvier<br />

La Vie va où ? vendredi 15 janvier<br />

Erendira mardi 19 janvier<br />

Frida Kahlo mardi 26 janvier<br />

Irrégulière vendredi 29 janvier<br />

Votre montant à régler<br />

A : abonnement à 12 spectacles ………… x 108 € = ………… €<br />

B : abonnement à 10 spectacles ………… x 100 € = ………… €<br />

C : abonnement à 6 spectacles ………… x 72 € = ………… €<br />

D : abonnement “solidaire” à 8 spectacles ………… x 40 € = ………… €<br />

E : abonnement groupé à 8 spectacles ………… x 64 € = ………… €<br />

Dialogue d’un chien… mardi 2 mars<br />

Liqaa<br />

Charles Gonzalès<br />

mardi 9 mars<br />

devient… Camille Claudel mardi 23 mars<br />

Un Amour mardi 30 mars<br />

Métamorphoses mardi 6 avril<br />

Bash mardi 27 avril<br />

Toni Kitanovski... jeudi 29 avril<br />

Al Andalous jeudi 6 mai<br />

Toâ mardi 11 mai<br />

Gustav Leonhardt jeudi 27 mai


Je prends en plus hors abonnement :<br />

tarif plein 8 € ou tarif réduit (-de 26 ans, demandeur d’emploi) 5 €<br />

Décentralisés<br />

Quatuor<br />

mardi 20 octobre - 20h30 : Ouilly-le-Vicomte ……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

mercredi 21 octobre - 20h30 : Le Mesnil-Simon<br />

Blanche et Mary’s<br />

……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

mercredi 18 novembre - 20h30 : Le Mesnil-Guillaume ……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

vendredi 20 novembre - 20h30 - Hermival-les-Vaux ……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

samedi 21 novembre - 20h30 - Coquainvilliers<br />

Espagne d’hier et d’aujourd’hui<br />

……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

samedi 28 novembre - 20h30 - Courtonne-la-Meurdrac<br />

Blanche Aurore Céleste<br />

……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

mardi 2 février - 20h30 - Beuvillers ……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

mercredi 3 février - 20h30 - Glos ……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

jeudi 4 février - 20h30 - Courtonne-la-Meurdrac ……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

vendredi 5 février - 20h30 - St-Martin-de-la-Lieue ……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

samedi 6 février - 20h30 - Pré-d’Auge<br />

Une Antigone de papier<br />

……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

mardi 16 mars - 20h30 - Coquainvilliers ……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

jeudi 18 mars - 20h30 à Coquainvilliers ……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

vendredi 19 mars - 20h30 - Coquainvilliers<br />

Les Frères Nardàn<br />

……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

mardi 1er juin - 20h30 - St-Martin-de-la-Lieue ……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

mercredi 2 juin - 20h30 - Le Mesnil-Eudes ……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

jeudi 3 juin - 20h30 - Ouilly-le-Vicomte ……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

samedi 5 juin - 20h30 - St-Martin-de-Mailloc ……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

dimanche 6 juin - 15h30 - St-Germain-de-Livet ……… x 8 € = ……… € ou ……… x 5 € = ……… €<br />

Soirées familiales (tarif unique)<br />

Sleeping Beauty vendredi 16 octobre - 20h30 ………… x 5 € = ………… €<br />

Pétales du temps vendredi 13 novembre - 20h30 ………… x 5 € = ………… €<br />

Il Trio Improbabile vendredi 18 décembre - 20h30 ………… x 5 € = ………… €<br />

Les Petites absences mardi 9 février - 20h30 ………… x 5 € = ………… €<br />

Échos vendredi 21 mai - 15h30 ………… x 5 € = ………… €<br />

FACILITÉS DE PAIEMENT :<br />

Ci-joint un règlement total de ………… €<br />

en 2 fois, à partir de 150 € (1 chèque à la date d’abonnement et le 2 e au 20 novembre)<br />

en 3 fois, à partir de 200 € (1 chèque à la date d’abonnement, le 2 e au 20 novembre, le 3 e au 20 décembre).<br />

Règlement par chèque, espèces et carte-bancaire (au guichet), Chèques-Vacances, coupons ACEA, Cart’@too.<br />

Chèque libellé à l’ordre du “Théâtre de <strong>Lisieux</strong> Pays d’Auge”.<br />

VOTRE PRÉFÉRENCE<br />

Premiers rangs Milieu de salle Balcon<br />

Nous ferons au mieux de vos souhaits par retour de courrier, dans les limites des places disponibles.<br />

Pour cette formule votre numéro de téléphone nous est indispensable.<br />

Les informations contenues dans ce document ne seront utilisées que pour les seules nécessitées de la gestion de l’abonnement et de l’information<br />

envoyée par le théâtre en cours de saison. Elles ne seront ni cédées, ni vendues. Elles peuvent donner lieu à un droit individuel d’accès<br />

auprès du théâtre dans les conditions prévues par la Commission Informatique et Libertés. Programme sous réserve de modifications.


Voisinage<br />

Saison culturelle<br />

de Deauville<br />

samedi 3 octobre présentation de saison<br />

Anne Baquet chanson<br />

vendredi 23 octobre<br />

Pyrame et Thisbé<br />

mise en scène Benjamin Lazar - théâtre<br />

samedi 31 octobre<br />

Claire Diterzi chanson<br />

samedi 7 novembre<br />

Picasso et la danse Compagnie Europa Danse - danse<br />

samedi 12 décembre<br />

May B Maguy Marin - danse<br />

samedi 9 janvier<br />

La Folle soirée Le Cercle de l’Harmonie - musique<br />

samedi 16 janvier<br />

Petites histoires.com Kader Attou - danse en famille<br />

samedi 23 janvier<br />

Juliette Gréco chanson<br />

samedi 6 février<br />

Hommage à Diaghilev<br />

Ballet de Perm - danse (au CID)<br />

mardi 9 février<br />

Roméo et Juliette Compagnie Dodéka - théâtre<br />

samedi 20 février<br />

Le Roi des Papas chanson en famille<br />

samedi 13 mars<br />

Toâ - soirée Guitry Compagnie Picolla Familia - théâtre<br />

samedi 20 mars<br />

Terez Montcalm jazz<br />

Jazzitudes en pays d’Auge 2009 / 2010<br />

Du 22 au 29 août 2010<br />

samedi 3 avril<br />

Don Juan, les 4 saisons<br />

Marie-Geneviève Massé - Compagnie L’Éventail - danse<br />

vendredi 14 mai<br />

David Sire chanson (représentation sur le temps scolaire)<br />

contact Service culturel de Deauville : 02 31 14 02 14<br />

Les Jazzitudes sont devenus un événement national en terme de spécificité et de concept. Organisé par le<br />

Conservatoire à rayonnement départemental, le stage propose des formations de très haut niveau en jazz,<br />

musiques actuelles et danse. C’est aussi le rendez-vous annuel des aoûtiens amateurs de jazz grâce à la présence<br />

régulière d’artistes de renommée internationale comme Sylvain Beuf et Denis Leloup. Ainsi, formation et diffusion<br />

sont étroitement liées et offrent une possibilité unique de création fusionnelle entre amateurs et professionnels.<br />

Hors les murs du Conservatoire, concerts et Jam Sessions sont portés par l’Association Sibémol.<br />

Remerciements<br />

L’Association Théâtre de <strong>Lisieux</strong> Pays d’Auge remercie ses financeurs :<br />

La Communauté de communes de <strong>Lisieux</strong> Pays d’Auge, le Conseil régional de Basse-Normandie,<br />

le Conseil général du Calvados.<br />

L’Office national de diffusion artistique (ONDA) et l’Office de diffusion et d’information artistique<br />

de Normandie (ODIA) soutiennent certaines soirées de ce programme.<br />

Ses partenaires occasionnels :<br />

Les Calvados Boulard, le restaurant L’Atelier et son équipe, L’IMEC, le Tanit Théâtre et<br />

Harmonia Mundi.<br />

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directeur<br />

Eric Louviot<br />

chargée des relations publiques<br />

Emmanuelle Viel<br />

chargée de communication,<br />

secrétariat-billetterie<br />

Claudia Diessler<br />

régisseur général<br />

Alexis Hussenot<br />

régisseur de scène<br />

Bernard Cousture<br />

comptable<br />

Brigitte Collette<br />

entretien, accueil<br />

Michèle Desvaux<br />

accueil<br />

Josette Liabeuf<br />

2 rue au char - BP 95002<br />

14105 <strong>Lisieux</strong> Cedex<br />

réservation : 02 31 61 12 13<br />

administration : 02 31 61 04 40<br />

fax : 02 31 32 38 84<br />

lear@theatre-lisieuxpaysdauge.com<br />

www.cclisieuxpaysdauge.fr<br />

création graphique et réalisation © pictures böx www.picturesbox.com

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