FESTIVAL DES ARTEFACTS - Festival des Artefact - La Laiterie
FESTIVAL DES ARTEFACTS - Festival des Artefact - La Laiterie
FESTIVAL DES ARTEFACTS - Festival des Artefact - La Laiterie
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<strong>Festival</strong> <strong>des</strong> arteFacts<br />
d u 1 1 a u 2 8 a v r i l à s t r a s b o u r g<br />
cHarlie WiNstoN<br />
sKrilleX<br />
HF tHiéFaiNe<br />
siMPle PlaN<br />
MetHod MaN<br />
selaH sue<br />
grouNdatioN<br />
cœur de Pirate<br />
KilliNg joKe<br />
sKiP tHe use<br />
tHe sHoes<br />
zola jesus<br />
+…<br />
à la laiterie<br />
au z é N itH<br />
s trasbourg<br />
e uroP e<br />
W W W . F e s t i v a l . a r t e F a c t . o r g<br />
liceN ce Quatre 4.0: 1020030–1020031 c a N dide — <strong>des</strong>igN ed by sa*M *ael — iMPressioN l ézard graPHi Q ue
<strong>FESTIVAL</strong> <strong>DES</strong> <strong>ARTEFACTS</strong><br />
D U 1 1 A U 2 8 A V R I L 2 0 1 2 À S T R A S B O U R G<br />
MERCREDI 11 AVRIL<br />
MANSFIELD.TYA + ZOLA JESUS<br />
BALTHAZAR + CHAPELIER FOU<br />
MATT ELLIOTT + GREENSHAPE + CALLMEKAT<br />
POP FOLK ROCK ELECTRO AMBIENT<br />
19H00 ouverture <strong>des</strong> portes<br />
10 € + FRAIS*<br />
À LA LAITERIE<br />
VENDREDI 13 AVRIL<br />
ORELSAN + C2C + PUPPETMASTAZ<br />
BLAKE WORRELL<br />
RAP ELECTRO HIP HOP<br />
19H30 ouverture <strong>des</strong> portes<br />
COMPLET<br />
VENDREDI 20 AVRIL<br />
SKRILLEX + BIRDY NAM NAM<br />
SIMPLE PLAN<br />
PONY PONY RUN RUN<br />
FOREIGN BEGGARS<br />
STUCK IN THE SOUND + WE THE KINGS<br />
POP PUNK INDIE ROCK ELECTRO<br />
30 € + FRAIS*<br />
N o licence spectacle : 2-1020030 3-1020031<br />
JEUDI 12 AVRIL<br />
SKIP THE USE + THE SHOES<br />
NASSER + ELECTRIC SUICIDE CLUB<br />
ELECTRO POP ROCK<br />
19H00 ouverture <strong>des</strong> portes<br />
20 € + FRAIS*<br />
SAMEDI 14 AVRIL<br />
KILLING JOKE + AND ALSO THE TREES<br />
BLACK BOX REVELATION + SIDILARSEN<br />
ROCK WAVE INDUS GOTHIC<br />
19H30 ouverture <strong>des</strong> portes<br />
25 € + FRAIS*<br />
AU ZÉNITH STRASBOURG EUROPE<br />
SAMEDI 21 AVRIL<br />
CHARLIE WINSTON<br />
SELAH SUE + HF THIEFAINE<br />
CŒUR DE PIRATE<br />
CARAVAN PALACE<br />
IZIA + REVOLVER<br />
POP SOUL FOLK CHANSON ROCK<br />
30 € + FRAIS*<br />
DIMANCHE 22 AVRIL<br />
GROUNDATION + METHOD MAN<br />
CHINESE MAN FEAT TUMI + NNEKA<br />
KY-MANI MARLEY + PEUPLE DE L’HERBE<br />
TARRUS RILEY + BEAT ASSAILANT<br />
REGGAE DUB HIP HOP SOUL<br />
27 € + FRAIS*<br />
*Tarif unique / debout assis (placement libre) prix mentionnés hors frais de location et prix<br />
majorés en caisse du soir, INFORMATIONS, BILLETTERIE ET PROGRAMMATION À SUIVRE SUR :<br />
W W W . F E S T I V A L . A R T E F A C T . O R G
<strong>FESTIVAL</strong> <strong>DES</strong> <strong>ARTEFACTS</strong> 2012<br />
Le <strong>Festival</strong> <strong>des</strong> <strong>Artefact</strong>s est le premier grand festival<br />
consacré aux musiques actuelles dans la région. Créé en<br />
1996, il se déploie, sur deux semaines depuis 2008, à la<br />
fois au Zénith de Strasbourg et à <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie.<br />
Le <strong>Festival</strong> <strong>des</strong> <strong>Artefact</strong>s offre un « grand format »<br />
aux artistes et aux publics qui font l’actualité de<br />
la <strong>La</strong>iterie tout au long de l’année. Son affiche<br />
internationale rassemble chaque année entre<br />
25 000 et 30 000 spectateurs.<br />
Le festival intègre également l’événement Scènes d’Ici, qui<br />
met en valeur la scène musicale région ale et travaille à<br />
son rayonnement. Depuis deux ans, le festival s’est doté<br />
d’une programmation artistique dans le domaine <strong>des</strong><br />
arts de la rue et veille à sa responsabilité écologique,<br />
intégrant notamment la dynamique Agenda 21.<br />
Ainsi donc le <strong>Festival</strong> <strong>des</strong> <strong>Artefact</strong>s se déploie-t-il<br />
cette année sur deux semaines , 2 lieux et 3 temps forts :<br />
- Entre le 11 et le 14 avril : à <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie, place forte<br />
de l’aventure d’<strong>Artefact</strong>, lieu de tant de ses plus<br />
beaux huis-clos.<br />
- Entre le 20 et 22 avril : au Zénith Strasbourg Europe,<br />
de nouveau investi trois jours durant et dans lequel<br />
nous aimons à re-créer un espace-temps, grand<br />
format ourlé du rouge de conteneurs signatures et<br />
recréera notamment son dock promenade (espace<br />
extérieur aménagé proposant aux festivaliers<br />
interpellations artistiques, impromptus, rêveries sur<br />
transats ...)<br />
- Et du 26 au 28 avril à <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie pour ses Scènes<br />
d’Ici.<br />
Dans une programmation qui voit plus loin que ses<br />
têtes d’affiches et s’articule, autour <strong>des</strong> courants artistiques<br />
qui font l’actualité de <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie, le <strong>Festival</strong> <strong>des</strong> <strong>Artefact</strong>s<br />
propose un grand format en plusieurs temps, à chaque<br />
fois thématiques - gestes de programmation qui <strong>des</strong>sinent<br />
les moments aux festivaliers<br />
<strong>La</strong> séquence à <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie - lieu central de nos<br />
tribulations depuis 18 ans et investi pour l’occasion de<br />
l’esprit du <strong>Festival</strong> - présentera une succession de soirées<br />
thématiques dont on sait par experience la singularité.<br />
Le 11 avril, une programmation pléthorique fera se<br />
croiser MANSFIELD.TYA au spleen insondable et sans<br />
doute ineffable, glissé dans une poésie aux désinvoltures<br />
trompeuses, ZOLA JESUS qui <strong>des</strong>sine une évidence pop<br />
sous ses accents gothiques, sophistications électroniques<br />
et dépouillements acoustiques, BALTHAZAR qui tire de<br />
singuliers reliefs de son plat pays natal, CHAPELIER FOU,<br />
violoniste d’origine, travaillant l’électronique et<br />
l’électroacoustique, la texture et l’architecture, la<br />
mélancolie et la jubilation, GREEN SHAPE qui déploie<br />
ses folk-rêves d’Amérique, MATT ELLIOTT élaborant une<br />
architecture sonore composée de peu dans un fragile<br />
arbitraire pour permettre à la voix de se laisse aller au cri<br />
ou convoquer le silence, CALLmeKAT qui plie un<br />
instrumentarium insondable à la drôle d’esthétique lo-fi<br />
de précision pour habiller d’une brume mélancolique, ses<br />
compositions en apparence légères et sucrées.<br />
Le 12 avril invitera quelques fleurons d’une scène<br />
musicale jouissivement lancée à tombeaux ouverts pour<br />
percuter tous les Hall of fame… ainsi SKIP THE USE, né<br />
<strong>des</strong> cendres d’aventures punk passées, THE SHOES au<br />
répertoire généreux et jubilatoire gorgé de bombinettes<br />
électroniques qui ont su séduire le néo-Swinging London,<br />
NASSER trio trublion oeuvrant pour une planète Marseille<br />
qui virerait électro et furieuse, ELECTRIC SUICIDE CLUB,<br />
combo jeune et pressé, abordant chacun de ses concerts<br />
comme si c’était le dernier, dans une inaltérable décharge<br />
de rock’n’roll électrique.<br />
Le 13 avril, c’est devant une salle comble (la soirée<br />
est complète) que se produiront ORELSAN enfant du hiphop,<br />
comme d’autres furent les enfants du Jazz et<br />
croquant la rue, respirant sa vibration et l’interpellant à<br />
force de lyrics miroirs, PUPPETMASTAZ, revue de ce<br />
cabaret à la gaîté lyrique, orchestrée par Gonzales et<br />
qui renouvelle l’excitation hip-hop par l’absurde, C2C<br />
(ex-Coups2Cross), collectif de 4 Dj’s, acteur fondateur de<br />
la « scratch music » (ou turntablism), qui joue l’originalité<br />
et plie la maîtrise technique au profit de la musicalité,<br />
BLAKE WORRELL, échappé du bestiaire Puppetmastaz et<br />
qui torture théâtralement funk-rock érudit, dub-step et hiphop<br />
au bénéfice d’une signature éminemment pop.<br />
Le 14 avril autour de KILLING JOKE - qui aurait pu<br />
depuis longtemps livrer son corps à la science; cependant,<br />
trop vivant pour les fossoyeurs, c’est le groupe qui tient<br />
lui-même le scalpel et procède ainsi à son auto dissection<br />
et AND ALSO THE TREES - qui dépasse les clichés et<br />
s’inscrit donc dans une trajectoire à la beauté pop en<br />
groupe “trop anglais pour les Anglais” selon les propos<br />
de John Peel -, on retrouvera THE BLACK BOX<br />
REVELATION trublions typique de la scène flamande,<br />
déboulant Trash-vocals et raw-guitars en avant et<br />
SIDILARSEN, formation de métal moiré osant tour à tour<br />
le verbe en français, les amours hip hop ou électroniques<br />
et les abandons mélodiques.<br />
Investissant de nouveau le Zénith, le <strong>Festival</strong> <strong>des</strong><br />
<strong>Artefact</strong>s revient à une séquence de trois journées du 20<br />
au 22 avril 2012.<br />
… la journée d’ouverture du <strong>Festival</strong> <strong>des</strong> <strong>Artefact</strong>s<br />
veillera tard en invitant SKRILLEX en petit prodige<br />
électronique qui met le monde en marche en concassant<br />
électronica, bass dubstep, micro-sampling et rythmique<br />
post-warp, SIMPLE PLAN formation majeure de la scène<br />
canadienne, lancée en quête de l’éternel Teen Spirit,<br />
BIRDY NAM NAM met la virtuosité DJ au service d’une<br />
iconoclasterie durablement dansante, PONY PONY RUN<br />
RUN qui aura d’ores et déjà fourni depuis à l’époque<br />
quelques-uns de ses refrains ainsi que FOREIGN<br />
BEGGARS, SUCK IN THE SOUND et WE THE KINGS<br />
qui, So London, Tellement Paris ou Absolument US,<br />
ouvrent ce jour le plus long…<br />
<strong>La</strong> kaleïdoscopique deuxième journée du <strong>Festival</strong><br />
accueillera CHARLIE WINSTON, «Like a Hobo » au cœur<br />
d’un triomphal never ending tour et qui affiche la grâce<br />
décontractée de celui qui vous fait croire que c’est chez<br />
vous qu’il va se fixer;<br />
SELAH SUE <strong>La</strong>dy of Soul toute en luxuriances pop et<br />
âpretés raggamuffin, HUBERT FELIX THIEFAINE accordant<br />
une singulière étape strasbourgeoise à son Homo Plebis<br />
Ultimae Tour, COEUR DE PIRATE battant pavillon folk<br />
pour bourlinguer au gré d’effets papillons qui en font une<br />
figure de l’époque, CARAVAN PALACE qui, de ville en<br />
ville et de crise en fracture propose les accouplements<br />
passionnés <strong>des</strong> musiques électroniques et du swing<br />
manouche, IZIA, maîtresse fille définitivement électrique<br />
et REVOLVER tout en rêveries néo-psychédéliques.<br />
<strong>La</strong> troisième journée , aux langueurs espérées, est<br />
emmenée par GROUNDATION qui, teinte son jamaïcan<br />
skank d’harmonies jazz et de swing funky. On y<br />
retrouvera METHOD MAN, fondateur du Wu Tang Clan,<br />
qui fait rimer la virtualité <strong>des</strong> comics avec un quotidien<br />
tellement ancré dans le réel qu’il en devient presque<br />
abstrait, CHINESE MAN intégrant TUMI et mixant à 4<br />
platines, NNEKA, née sur le delta du Niger, exilée<br />
volontaire à Hambourg, fonctionnant à l’instinct et<br />
navigant au cap, KY-MANI MARLEY qui, depuis qu’il est<br />
rentré en musique, n’a eu de cesse que de dépasser le<br />
territoire de la stricte influence du père pour s’aventurer<br />
notamment en terres hip-hop, r’n’b voire funk, LE PEUPLE<br />
DE L’HERBE, tribu réinventant par l’électronique les scènes<br />
de France et de Navarre pour de bien festives cérémonies<br />
druidiques, TARRUS RILEY l’un <strong>des</strong> artistes les plus<br />
prometteurs de la nouvelle scène de Jamaïque et BEAT<br />
ASSAILANT qui propose une relecture libre mais pétrie<br />
de respect <strong>des</strong> préceptes hip-hop – et, au-delà, de ce qui<br />
fit l’identité <strong>des</strong> musiques noires.<br />
Prolongeant de manière événementielle le travail<br />
d’accompagnement effectué tout au long de l’année dans<br />
le cadre du Centre de Ressources d’<strong>Artefact</strong>, le <strong>Festival</strong><br />
<strong>des</strong> <strong>Artefact</strong>s sera complété cette année par une séquence<br />
de 3 Scènes d’Ici présentant au public une dizaine<br />
d’artistes de la région et proposant également aux artistes<br />
une série d’ateliers, tables ron<strong>des</strong> et interventions de<br />
professionnels.<br />
WWW.<strong>FESTIVAL</strong>.ARTEFACT.ORG P. 3
*prix mentionnés hors frais de location / placement libre <strong>FESTIVAL</strong><br />
<strong>DES</strong> <strong>ARTEFACTS</strong><br />
MERCREDI 11 AVRIL 2012 / À LA LAITERIE<br />
MANSFIELD.TYA<br />
21h50 - 22h50<br />
MANSFIELD.TYA / Grande salle : Il y a une petite<br />
dizaine d’années, Carla Pallone (violon, piano,<br />
harmonium, chant) et la sexy sushi Julia <strong>La</strong>nöe<br />
(chant, piano, batterie) forment Mansfield Tya. Le<br />
patronyme hommage à June Mansfield, l’épouse<br />
d’Henry Miller, en dit probablement long sur les<br />
mon<strong>des</strong> intérieurs de deux jeunes femmes effrontées<br />
et frondeuses. On se plaira notamment à y lire<br />
leurs amours pour le verbe, ses jeux minimalistes<br />
ou licencieux et ses exigences. Autant annoncer<br />
la couleur d’entrée de jeu en effet, il est bien plus<br />
question d’exigence que de déjante ludique dans ce<br />
projet qui affirme le premier degré avec courage. Un<br />
spleen à proprement parler insondable et sans doute<br />
ineffable traverse le répertoire méticuleusement<br />
assemblé au fil <strong>des</strong> trois disques du duo et celui qui<br />
lui tend l’oreille se trouve aspiré par la mélancolie<br />
joueuse de clowneries désespérées glissées dans<br />
une poésie aux désinvoltures trompeuses.<br />
ZOLA JESUS / Club : Pour s’extirper en artiste de<br />
son Wisconsin natal, Nika Roza Danilova aura donc<br />
choisi un intitulé étrangement évocateur… Zola<br />
Jesus a pourtant eu tôt fait de dépasser les clichés<br />
que ce patronyme — tout comme l’aura baignant<br />
la demoiselle aux allures de concept — pouvait le<br />
laisser entendre.<br />
Il aura suffi pour cela en effet de trois albums nourris<br />
d’une pop singulière dont les accents gothiques<br />
ne cachent pas les évidences et qui cabote sans<br />
cabotiner le long d’un littoral tout en sophistications<br />
électroniques et dépouillements acoustiques. Tout est<br />
affaire de glissements et la rencontre, décidemment,<br />
ne saurait se jouer qu’entre elle — aisément<br />
POP FOLK ROCK ELECTRO AMBIENT<br />
19h00 ouverture <strong>des</strong> portes<br />
10 € + FRAIS*<br />
disponible sur toutes les fenêtres du net — et vous.<br />
Une rencontre que nous prolongerons avec bonheur<br />
sur la scène de <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie…<br />
BALTHAZAR / Grande salle : Quintet de Courtrai,<br />
Balthazar creuse son sillon avec l’opiniâtreté de ceux<br />
qui savent qu’aucune autre route ne s’offrira à eux<br />
que celle qu’ils inventent. Ce parcours en rappelle<br />
d’autres qui donnent encore un relief singulier au<br />
plat pays et Balthazar pourrait bien séduire sur la<br />
durée un public qui n’en imagine pas tant.<br />
CHAPELIER FOU / Club : Tant qu’à porter le<br />
chapeau, Louis Warynski aura choisi le rôle du<br />
chapelier, dans une approche carollienne du<br />
terme. Un patronyme qui n’éclaire sans doute guère<br />
qu’en biais la démarche de ce violoniste d’origine,<br />
échappé <strong>des</strong> pratiques savantes pour s’immerger<br />
en pop sans se renier et qui fabrique, pièce à<br />
pièce, une œuvre musicale faite de marqueteries<br />
sonores miniatures convoquant l’électronique et<br />
l’électroacoustique, la texture et l’architecture, la<br />
mélancolie et la jubilation. Une quête du merveilleux<br />
saisi sur le vif.<br />
GREENSHAPE / Grande salle : Comme dans<br />
un plan séquence de Clint Eastwood ou John<br />
Schlesinger, le boxeur super welter de Valenciennes<br />
se campe devant le micro, face caméra et tutoie<br />
Nick Drake et Leonard Cohen. Entré en folk comme<br />
d’autres refusent les ordres, Greenshape trouve dans<br />
ses rêves d’Amérique, matière à ouvrir <strong>des</strong> voies de<br />
traverse peuplées de anti-héros qu’il porte en lui et<br />
trimballe sur disque comme à la scène.<br />
ZOLA JESUS<br />
00h00 sur scène<br />
BALTHAZAR<br />
23h15 - 00h15 CHAPELIER FOU<br />
22h30 - 23h30<br />
MATT ELLIOTT<br />
21h00 - 22h00<br />
CALLmeKAT<br />
19h30 - 20h20<br />
«LES SOIRÉES »<br />
GREENSHAPE<br />
20h20 - 21h20<br />
MATT ELLIOTT / Club : Figure souvent imposée par<br />
les circonstances, exercice de style, fausse bonne<br />
idée, le principe du concert solo, s’il est auréolé du<br />
mythe de l’intouchable dépouillement, peut faire<br />
débat. <strong>La</strong> question s’efface d’elle-même lorsqu’il est,<br />
comme c’est ici le cas, avant tout question pour les<br />
artistes de s’offrir la nécessaire place à la rencontre<br />
avec le spectateur. Loin <strong>des</strong> principes d’efficacité,<br />
l’architecture sonore ne repose que sur quelques<br />
fragments jugés déterminants dans un fragile<br />
arbitraire ; la voix s’offre alors toutes les amplitu<strong>des</strong>,<br />
se laisse aller au cri ou convoque le silence.<br />
CALLmeKAT / Club : Depuis Copenhague, Katrine<br />
Ottosen, plie un instrumentarium insondable à la<br />
drôle d’esthétique lo-fi de précision qui enveloppe<br />
ses compositions. Légères et sucrées en apparence,<br />
ces dernières habillent l’espace d’une brume<br />
mélancolique qui vient troubler les repères.<br />
Die Musikstile Pop, Ambient und Folk versprechen<br />
ruhige Musik, Rock und Elektro lassen es gern etwas<br />
lauter werden. Heute stehen sechs Acts aus vier Ländern<br />
auf der Bühne und vereinen Europa musikalisch.<br />
WWW.<strong>FESTIVAL</strong>.ARTEFACT.ORG P. 4
*prix mentionnés hors frais de location / placement libre<br />
<strong>FESTIVAL</strong> <strong>DES</strong> <strong>ARTEFACTS</strong><br />
JEUDI 12 AVRIL 2012 / À LA LAITERIE<br />
SKIP THE USE<br />
22h10 - 23h20<br />
NASSER<br />
23h40 - 00h50<br />
SKIP THE USE : Née en terres lilloises <strong>des</strong><br />
cendres d’aventures punk passées sous intitulé<br />
Carving, Skip The Use n’aura guère mis de<br />
temps pour s’imposer dans le <strong>La</strong>ndernau<br />
- jusqu’à être nominé en 2012 dans la<br />
catégorie Révélation Scène de l’Année sur la<br />
foi de quelques premières parties fameuses et<br />
furieuses, d’une Boule noire et autre Bataclan.<br />
THE SHOES : Hoxton Square… Après Eastend…<br />
plus au Nord encore, là où s’invente<br />
une partie du Future Sound Of London… Sur<br />
Google Map, le trajet qui mène de la cantine<br />
d’un collège de Reims au never-endingswinging-London<br />
a de quoi laisser rêveur… <strong>La</strong><br />
ville a pourtant adopté le groupe comme l’un<br />
<strong>des</strong> siens et The Shoes y a enregistré un premier<br />
album gorgé de bombinettes électroniques qui<br />
lui vaut toutes les louanges de part et d’autres<br />
de la Manche. Généreux et jubilatoire,<br />
snobant avec morgue toutes les dépressions,<br />
le répertoire de The Shoes pourrait bien sauver<br />
ELECTRO POP ROCK<br />
19h00 ouverture <strong>des</strong> portes<br />
20 € + FRAIS*<br />
quelques âmes égarées et jambes ankylosées<br />
en ces temps de grand désarroi.<br />
NASSER : <strong>La</strong> planète Marseille virerait-elle<br />
électro et furieuse ? Elle réagit en tout cas avec<br />
délice aux coups de boutoirs de Nasser qui est<br />
devenu en quelques mois une figure centrale<br />
de la ville. Les perspectives du trio trublion<br />
ne se limitant pas à l’ombre portée de Notre<br />
Dame de <strong>La</strong> Garde, Nasser s’envisage citoyen<br />
du monde, [il] emmen[e]ant son spectacle<br />
global sur toutes les scènes qui s’offrent à lui.<br />
Dont acte.<br />
ELECTRIC SUICIDE CLUB : « Come on die<br />
young », qu’il disait (paraît-il)… Les trois<br />
d’Electric Suicide Club, suivent à la lettre une<br />
maxime que d’aucun attribue à Iggy Pop. Ils<br />
ont en tout cas le talent d’être jeunes et pressés,<br />
abordant chacun de leurs concerts comme<br />
si c’était le dernier. Une pure décharge de<br />
rock’n’roll électrique.<br />
THE SHOES<br />
20h40 - 21h40<br />
ELECTRIC<br />
SUICIDE CLUB<br />
19h30 - 20h20<br />
Das <strong>Festival</strong> <strong>Artefact</strong> steigt nicht nur<br />
ein Wochenende lang in der großen<br />
Veranstaltungshalle Le Zénith, sondern lädt in die<br />
<strong>La</strong>iterie vorher auch interessante Newcomer der<br />
französischen Musikszene ein. Die Bands am<br />
heutigen Abend sind die aktuellen Vertreter <strong>des</strong><br />
Genre Elektro-Pop-Rock.<br />
WWW.<strong>FESTIVAL</strong>.ARTEFACT.ORG P. 5
*prix mentionnés hors frais de location / placement libre<br />
<strong>FESTIVAL</strong> <strong>DES</strong> <strong>ARTEFACTS</strong><br />
VENDREDI 13 AVRIL 2012 / À LA LAITERIE<br />
ORELSAN<br />
22h00 - 23h30<br />
ORELSAN / Grande salle : Hard-core sous<br />
X, game over et binge drinking, le No Futur<br />
pavillonnaire aura posé les repères d’une<br />
époque sur laquelle il ne reste plus parfois<br />
qu’à se cogner la tête pour donner forme aux<br />
douleurs qu’on connaît à la vivre. Orelsan est<br />
un enfant du hip-hop, comme d’autres furent<br />
les enfants du Jazz et c’est depuis la fenêtre<br />
du-dit pavillon qu’il croque la rue, respire sa<br />
vibration et l’interpelle à force de lyrics miroirs.<br />
Le Chant <strong>des</strong> Sirènes de celui que Plus Rien<br />
n’Etonne flirte avec la critique sociale et renvoie<br />
à la face de l’époque ses traumatismes.<br />
C2C : C2C (ex-Coups2Cross) est né en 1998<br />
de la réunion de 4 Dj’s français : Greem,<br />
Atom, Pfel et 20Syl.<br />
Acteur fondateurs de la « scratch music » (ou<br />
turntablism), ce collectif joue l’originalité et plie<br />
la maîtrise technique au profit de la musicalité.<br />
Chacun <strong>des</strong> membres joue alors de sa platine<br />
comme d’un instrument, recréant ainsi tour à<br />
tour une batterie ou une basse, scratchant un<br />
riff de guitare ou cisaillant les cuivres...pour<br />
C2C<br />
23h50<br />
RAP ELECTRO HIP HOP<br />
19h30 ouverture <strong>des</strong> portes<br />
COMPLET<br />
réinventer ainsi la forme classique du groupe<br />
dans un effet feed back entre le geste musical<br />
et la machine.<br />
PUPPETMASTAZ / Grande salle : Orchestré<br />
par Gonzales et autres trublions du même<br />
acabit, Puppetmastaz est au hip-hop ce que<br />
le Muppet Show fut au Music Hall américain.<br />
Cette formule itinérante offre une musique<br />
régénérée et excitante. Chaque revue de<br />
ce cabaret à la Gaîté Lyrique renouvelle<br />
l’excitation par l’absurde, blakeboulant les<br />
clichés gangsta rap et ramenant au cœur du<br />
débat quelques préceptes originels.<br />
BLAKE WORRELL / Club : Echappé du<br />
bestiaire Puppetmastaz, Blake Worrell a pris<br />
forme humaine et pourtant quasi cartoonesque<br />
en latino moustachu émigré à Berlin. Derrière<br />
l’évidente auto-dérision, l’affaire est sérieuse et<br />
parfois grave, torturant funk-rock érudit, dubstep<br />
et hip-hop au bénéfice d’une signature<br />
éminemment pop et d’une théâtralisation<br />
polyphonique du lyric.<br />
PUPPETMASTAZ<br />
20h10 - 21h40<br />
BLAKE<br />
WORREL<br />
21h40 - 22h00<br />
23h30 - 23h50<br />
Der junge Rapper Orelsan gilt als der französische<br />
Eminem. Zum einen mag das an seinen<br />
Texten liegen, zum anderen an sehr ähnlichen<br />
Problemen, die ihm seine Musik eingebracht hat.<br />
Nach seinem Debütalbum Perdu d’avance aus<br />
dem Jahre 2009 gab es empörte Reaktionen von<br />
Feministinnen und Politikern. Das schmälert aber<br />
nicht sein musikalisches Können.<br />
Das französische DJ-Quartett C2C macht<br />
hammergeile Musik und tritt immer in Schwarz-<br />
Rot-Schwarz-Rot auf. Dazu gibt es von ihnen die<br />
beste Scratch DJ Session, die ein Partygänger<br />
je gehört hat. C2C haben schon mehrfach die<br />
DMC DJ-Weltmeisterschaft gewonnen.<br />
Hingehen, denn die deutschen Puppetmastaz<br />
runden diesen gelungenen Abend ab, zumal sie<br />
ihren alten Kollegen Blake Warrell auf der Bühne<br />
begrüßen werden!<br />
WWW.<strong>FESTIVAL</strong>.ARTEFACT.ORG P. 6
*prix mentionnés hors frais de location / placement libre <strong>FESTIVAL</strong><br />
<strong>DES</strong> <strong>ARTEFACTS</strong><br />
SAMEDI 14 AVRIL 2012 / À LA LAITERIE<br />
KILLING JOKE<br />
22h15 - 23h45<br />
BLACK BOX<br />
REVELATION<br />
21h00 - 22h15<br />
KILLING JOKE / Grande salle : Exutoire ou<br />
bûcher <strong>des</strong> vanités, l’espace scénique voit<br />
Killing Joke se livrer corps et âmes.<br />
Il suinte <strong>des</strong> prestations du groupe une folie<br />
que celui-ci discipline pour donner corps à<br />
une musique qui, par de nombreux aspects,<br />
anticipa les préceptes de la scène techno<br />
hardcore.<br />
Jouant les funambules sur lame de rasoir,<br />
Killing Joke aurait pu depuis longtemps livrer<br />
son corps à la science ; cependant, tant que<br />
c’est le groupe qui tient lui-même le scalpel et<br />
procède ainsi à son auto-dissection, c’est qu’il<br />
est trop vivant pour les fossoyeurs.<br />
AND ALSO THE TREES / Grande salle<br />
: Heureusement débarrassé <strong>des</strong> pauvres<br />
oripeaux cold-wave, paradoxalement étriqués,<br />
que les années 80 lui avaient collé sur le dos,<br />
And Also The Trees aura donc misé sur le long<br />
cours pour dépasser les clichés.<br />
And Also The Trees progresse donc résolument<br />
depuis 30 ans, sans brusquerie mais avec<br />
l’autorité de celui qui a choisi de tracer lui-même<br />
sa route, au mépris <strong>des</strong> cartes d’état-major et<br />
ROCK WAVE INDUS GOTHIC<br />
19h30 ouverture <strong>des</strong> portes<br />
25 € + FRAIS*<br />
au seul gré de ses aspirations. Ce concert à <strong>La</strong><br />
<strong>La</strong>iterie s’inscrit donc dans cette trajectoire à la<br />
beauté pop, d’un groupe anglais “trop anglais<br />
pour les Anglais” selon les propos de John Peel<br />
et qui persiste à s’inventer.<br />
BLACK BOX REVELATION / Club : Black<br />
Box Revelation est à compter au nombre de<br />
ces trublions dont regorge la scène flamande.<br />
Trash-vocals et raw-guitars en avant, le<br />
duo effectu[e]a une série de hold-up plus<br />
spectaculaires les uns que les autres [.] lors<br />
de ses apparitions à Dour, Werchter et au<br />
Pukkelpop ou sur les on<strong>des</strong> de Studio Brussel.<br />
Retour en terres laitières alors qu’il se murmure<br />
que la mémoire de notre bonne ville fume<br />
encore de son précédent passage.<br />
SIDILARSEN / Club : Ce fut donc une Machine<br />
Rouge pour le groupe né il y a quinze ans<br />
dans la ville rose… Son metal moiré ose tour<br />
à tour le verbe en français, les amours hip-hop<br />
ou électroniques et les abandons mélodiques.<br />
Sidilarsen en sort une nouvelle fois grandi au<br />
moment d’investir de nouveau les scènes.<br />
AND ALSO<br />
THE TREES<br />
20h15 - 21h45<br />
SIDILARSEN<br />
23h45 - 01h00<br />
Besuch alter Freunde von der britischen Insel<br />
kündigt sich an. Mit der Post-Punk-Band Killing Joke<br />
und der Rockband And Also The Trees kommen<br />
zwei Gruppen in den Saal, die die moderne<br />
Rockmusik in den letzten 30 Jahren mit ihren<br />
Songs positiv beeinflusst haben. Die Musikfans<br />
dürfen sich auf einen tollen Konzertabend freuen,<br />
zu dem auch The Black Box Revelation und<br />
Sidilarsen beitragen werden.<br />
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*prix mentionnés hors frais de location / placement libre <strong>FESTIVAL</strong><br />
<strong>DES</strong> <strong>ARTEFACTS</strong><br />
VENDREDI 20 AVRIL 2012 / AU ZÉNITH<br />
SKRILLEX<br />
00h00 - 02h00<br />
SIMPLE PLAN<br />
20h10 - 21h30<br />
FOREIGN BEGGARS<br />
02h30 - 04h00<br />
STUCK IN THE SOUND<br />
SKRILLEX : Petit génie, extra-terrestre, voire nouvel Aphex<br />
Twin… les louanges initiées pleuvent sur Sonny Moore depuis<br />
que, en rupture de l’émocore From First to <strong>La</strong>st et sous intitulé<br />
Skrillex, il a entamé une aventure électronique qui concasse<br />
électronica, bass dubstep, micro-sampling et rythmique postwarp.<br />
SIMPLE PLAN : Simple Plan est né au Québec, <strong>des</strong> cendres de<br />
Reset et d’amours néo-punks, osant la langue anglaise pour<br />
les besoins d’un répertoire résolument ancré dans la teenmusic.<br />
Simple Plan prolonge ainsi la trajectoire de ses créateurs,<br />
Pierre Bouvier et Charles Comeau, engagés depuis l’âge<br />
de treize ans dans une aventure musicale commune. Après<br />
quatre albums qui l’ont imposé comme une <strong>des</strong> formations<br />
majeures de la scène canadienne, Simple Plan poursuit sa<br />
quête de l’éternel Teen Spirit.<br />
BIRDY NAM NAM : Délires futuristes quasi baroques,<br />
compositions kaléidoscopiques, grilles d’accords filaires et<br />
mélodies au bistouri, Birdy Nam Nam se situe résolument au centre<br />
de l’univers musical délimité par les quatre maîtres ès- Djeeing<br />
« à la française » qui composent la formation. Loin de l’esprit<br />
<strong>des</strong> Dj battles, Pone, Crazy b, Dj Need et Little Mikee mettent<br />
leur virtuosité au service de la rencontre et du récit proposé<br />
au dance-floor. Leur iconoclaste projet fait désormais style et<br />
leur venue au <strong>Festival</strong> <strong>des</strong> <strong>Artefact</strong>s participe d’un goût pour<br />
l’aventure commune[.] que nous menons au fil <strong>des</strong> années.<br />
PONY PONY RUN RUN : Les intentions addictives étant<br />
clairement affichées au fronton du best seller « You Need Pony<br />
Pony Run Run », on ne s’étonne pas du chemin parcouru par<br />
le groupe que <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie présenta au public strasbourgeois il<br />
y a quelques temps[.] déjà alors qu’il faisait ses premiers pas.<br />
Au-delà du succès galopant et de la course échevelée dans<br />
les gran<strong>des</strong> plaines du « go west » pop, Pony Pony Run Run<br />
aura fourni à l’époque quelques-uns de ses refrains, plaçant<br />
les jalons d’une chevauchée de longue haleine qui repasse<br />
aujourd’hui par nos terres.<br />
POP PUNK INDIE ROCK ÉLECTRO<br />
15h00 ouverture <strong>des</strong> portes<br />
30 € + FRAIS*<br />
FOREIGN BEGGARS : Qui pourrait s’étonner que ce soit au<br />
cœur de Londres, la ville qui ne s’arrête jamais, que MC’s<br />
Orifice Vulgatron et Metropolis, DJ Nonames, le beat boxer<br />
Shlomo (que l’on entend sur Medulla de Bjork) et le producteur<br />
Dag Nabbit aient formé Foreign Beggars.<br />
Intégrant, davantage qu’il ne les mixe<br />
« hip-hop, dub step, human beat box show, ragga, asian<br />
vibes et drum&bass » Foreign Beggars incarne autant qu’il la<br />
nourrit la londonian vibe. Tout ici est affaire de jubilation et de<br />
talent, de détermination et d’instinct. London rules.<br />
SUCK IN THE SOUND : Une autre vie parisienne est possible.<br />
Cachée entre Périph et Grands Boulevards, cloîtrée entre<br />
collection vinyle et expansion numérique, surgissant au hasard<br />
<strong>des</strong> réseaux intimes pour prendre la capitale à partie, cette<br />
ébullition tranquille rompt régulièrement ses quiétu<strong>des</strong> pour<br />
dialoguer à haute voix avec <strong>des</strong> intimités venues d’ailleurs et<br />
souvent fantasmées sur la foi de quelques disques, livres et<br />
photos... Stuck in The Sound compte parmi les fleurons de<br />
cette effervescence à laquelle on se gardera de donner le<br />
nom de scène ou de mouvement pour ne pas l’enfermer dans<br />
un carcan.<br />
WE THE KINGS : After School sessions :<br />
formé par un quarteron d’élèves de la King Middle School,<br />
We The King est l’incarnation du college band embarqué<br />
dans une success story made in USA. Power pop en diable, le<br />
répertoire cherche l’uppercut à répétition, à la scène comme<br />
sur disque. On doit également à We The Kings une web série<br />
et un clip interactif qui défrayèrent la chronique.<br />
SKRILLEX : Skrillex gestaltet neue Sounds und Geräusche,<br />
denn der Mann aus Los Angeles experimentiert wahnsinnig<br />
gern. Zu seinen Einflüssen zählt er Prodigy und Aphex Twin,<br />
aber auch Marilyn Manson sowie Nine Inch Nails. Deren<br />
brachiale Düsternis und Neigung zum Experimentellen hat<br />
Moore förmlich aufgesogen.<br />
SIMPLE PLAN : Das kanadische Quintett Simple Plan kommt<br />
auf unser <strong>Festival</strong> und wird die Besucher mit Leichtigkeit zum<br />
Rocken bringen. Die fünf Musiker sind musikalisch in der<br />
College-Rock-Ecke anzusiedeln.<br />
BIRDY BIRDY<br />
NAM NAM<br />
22h00 - 23h30<br />
PONY PONY<br />
RUN RUN<br />
18h30 - 19h40<br />
17h00 -18h00 WE THE KINGS<br />
15h45 - 16h30<br />
BIRD NAM NAM : Auf der Bühne stehen vier DJs, deren<br />
Leidenschaft das musikalische Experiment ist. Birdy Nam<br />
Nam sind die legitimen Erben von Justice. Ihre Show ist eine<br />
Mischung aus HipHop, Elektro und musikalischer Rebellion.<br />
Da werden die Besucher ihre Ohren auf Empfang stellen!<br />
PONY PONY RUN RUN : Doppelt gemoppelt hält besser. So<br />
dachten sich die Jungs von Pony Pony Run Run, als sie auf<br />
die Suche nach einem Bandnamen gingen. Völlig logisch,<br />
denn in ihrer Pop-Musik geht es um die Idee der stetigen<br />
Wiederholung. Musikalisch leben sie ganz im Geiste von Talk<br />
Talk oder Wet Wet Wet.<br />
FOREIGN BEGGARS : Die vier Londoner versprechen<br />
Vollgas zwischen Hip Hop und Dubstep. Dabei verbreiten<br />
sie eine gute Konzertatmosphäre. Es wummert, wabert,<br />
ballert und donnert aus allen Rohren, während die MCs<br />
Orifice Vulgatron und Metropolis ihre Statements über die<br />
Bühne fegen.<br />
STUCK IN THE SOUND : Vier junge Musiker aus Paris<br />
lieben die Musik von Nirvana, Sonic Youth und den Pixies.<br />
Sie gehen in den Proberaum, spielen in kleinen Bars oder<br />
Clubs und werden schnell die Lieblinge der französischen<br />
Indie-Szene. Das Gastspiel auf dem <strong>Festival</strong> ist die beste<br />
Gelegenheit, die Band kennen zu lernen.<br />
WE THE KINGS : Die vier jungen US-Rocker besuchten einst<br />
die Schule zusammen im sonnigen Florida. Nach Erfolgen<br />
in den USA sind sie seit ein paar Jahren auch international<br />
unterwegs. Der Musikliebhaber darf gespannt sein auf<br />
die Show, in der die Amis zeigen wollen, wer die wahren<br />
Könige sind.<br />
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*prix mentionnés hors frais de location / placement libre <strong>FESTIVAL</strong><br />
<strong>DES</strong> <strong>ARTEFACTS</strong><br />
SAMEDI 21 AVRIL 2012 / AU ZÉNITH<br />
CHARLIE WINSTON<br />
20h50 - 22h10<br />
SELAH SUE<br />
19h00 - 20h20<br />
CHARLIE WINSTON : Avec ses airs de tomber du ferry qui l’a<br />
conduit depuis Ellis Island, Charlie Winston a débarqué un jour<br />
dans votre vie sans crier gare. Vous maussadiez les sol<strong>des</strong> d’avant<br />
la crise, somnoliez entre deux youtuberies ou iphoniez mornement<br />
et soudain [avec]cette chanson, « Like a Hobo », dont l’évidence était<br />
à ce point sidérante qu’on ne pouvait croire qu’elle n’ait été écrite<br />
plus tôt, vous est entrée dans le crâne. Depuis, Charlie Winston a<br />
connu une tournée triomphale, fait du cinéma, signé une bande<br />
originale et pris le temps de composer un fort attendu deuxième<br />
album. Il revient nous visiter avec la grâce décontractée de ces<br />
citoyens du monde qui, le temps d’une soirée et de quelques récits<br />
amusés, vous font croire que c’est chez vous qu’ils vont se fixer.<br />
SELAH SUE : « Je voulais à la fois un disque intime, sombre,<br />
mélodique, mais aussi <strong>des</strong> beats légers et entraînants parfois. Farhot<br />
est un fou de sons digitaux et Patrice, que je connais bien, était<br />
l’homme idéal pour le côté mélodique. Ils furent mes deux complices<br />
en studio. »<br />
<strong>La</strong> déclaration d’intention que signe Selah Sue à propos de son<br />
premier album contient les traits saillants de son rapport à la scène.<br />
Entre luxuriances soul et âpretés raggamuffin – terme dont elle fit<br />
le titre de son premier single – Selah Sue s’invente, singulière et<br />
déterminée à durer.<br />
THIEFAINE : Hubert Félix Thiéfaine accordera, dans le cadre du<br />
<strong>Festival</strong>, une singulière étape strasbourgeoise à son Homo Plebis<br />
Ultimae Tour. Ce spectacle itinérant s’appuie notamment sur le récent<br />
album «Supplément de Mensonge» qui, tout à la fois mélancolique,<br />
espiègle et irrésistiblement mélodique, [qui] marque le retour officiel<br />
de cet artiste singulier, cinq ans après «Scandale Mélancolique”,<br />
succès critique et commercial incontestable (et incontesté). Ce nouvel<br />
album est produit par Edith Fambuena & Jean-Louis Pierot, tous les<br />
textes en sont comme de coutume écrits intégralement par HFT et<br />
certaines compositions sont signées par JP Nataf, Armand Melies,<br />
Ludéal, Dominique Dalcan, <strong>La</strong> Casa.<br />
CŒUR DE PIRATE : Cœur de Pirate, c’est le nom de la figure de<br />
proue du frêle esquif conçu par la québécoise Béatrice Martin.<br />
Comme d’autres ont appris à marcher sur quelque gaillard d’avant,<br />
elle pratique le piano depuis l’âge de 3 ans, affinant au fil <strong>des</strong> ans,<br />
dans ses roulis et tangages, une écriture personnelle qui navigue<br />
entre maîtrise et naïveté.<br />
REVOLVER<br />
14h30 -15h30<br />
IZIA<br />
16h00 - 17h00<br />
POP SOUL FOLK CHANSON ROCK<br />
13h45 ouverture <strong>des</strong> portes<br />
30 € + FRAIS*<br />
A peine émancipée du groupe Bonjour Brumaire, tout juste passée<br />
par la scène, émergeant <strong>des</strong> eaux Myspace, Cœur de pirate était<br />
venue une première fois jusqu’à nous en toute discrétion, dans<br />
l’intimité de notre club.<br />
B [b]attant pavillon folk, elle bourlingue depuis au gré d’effets<br />
papillons qui nous la ramènent sous format à chaque fois plus<br />
événementiel.<br />
CARAVAN PALACE : De ville en ville et de crise en fracture, Le<br />
Caravan Palace joue sa marieuse interlope et, comme aux heures<br />
lascives que connurent les guinguettes de l’entre-deux-guerres,<br />
propose les accouplements, passionnés à défaut d’être licites, <strong>des</strong><br />
musiques électroniques et du swing manouche.<br />
IZIA : « J’aime bien savoir où je vais, j’aime bien maîtriser. C’est<br />
vrai que quand on compose les morceaux, c’est moi qui valide, les<br />
accords, enfin tout ce qui se passe. Rien ne se fait vraiment sans mon<br />
accord, c’est aussi ma force de caractère de vouloir être un peu sur<br />
tous les fronts, de faire l’album qui me ressemble donc celui dont je<br />
suis contente. J’ai une façon très étrange de composer. Je travaille<br />
sur les sonorités et sur l’effet sur l’inconscient. J’oublie d’abord ce que<br />
je dis totalement et les mots sortent tous seuls, c’est une machine, les<br />
mots sortent seuls sans que je les dirige et parfois ça fait <strong>des</strong> phrases<br />
complètement incohérentes les unes avec les autres. Après je<br />
réécoute ou je me souviens <strong>des</strong> mots qui sont sortis et je construis une<br />
vraie histoire à partir de ces mots-là. Mais c’est vrai, je suis un moulin<br />
à paroles. Mes morceaux sont souvent très autobiographiques. Ce<br />
sont <strong>des</strong> morceaux d’instant. Je ne décris pas une période, mais l’état<br />
dans lequel je suis. »<br />
REVOLVER : Tendues sur <strong>des</strong> corps électriques ou acoustiques,<br />
les cor<strong>des</strong> se font rai<strong>des</strong> pour accompagner les rêveries prépsychédéliques.<br />
Guitare et violoncelle donnent ainsi forme à la “pop<br />
de chambre” de Revolver, groupe so british dans les inspirations<br />
comme dans le texte[.], au point de prolonger, le temps d’une<br />
flânerie en mode mineur, le boulevard de Clichy jusqu’à Carnaby<br />
Street. L’album éponyme <strong>des</strong> Beatles qui aura inspiré Revolver<br />
jusque dans ses ambitions était le fruit de l’immersion en studio <strong>des</strong><br />
Fab Four après qu’ils aient abandonné la scène, le trio parisien<br />
quant à lui s’emploie à y porter son dépouillement sophistiqué. Dont<br />
acte à <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie.<br />
HF THIEFAINE<br />
22h40 - 00h00<br />
COEUR DE PIRATE<br />
17h30 - 18h30<br />
CARAVAN PALACE<br />
00h30 - 01h40<br />
CHARLIE WINSTON : Charlie Winston, britischer Singer-Songwriter<br />
mit einer unverwechselbaren Stimme, ist ein gern gesehener Gast.<br />
Seine Songs sind an Originalität und Abwechslungsreichtum kaum<br />
zu überbieten. Jeder Song hat seine eigene Geschichte, seinen<br />
spezifischen Klang und seinen ganz eigenen Rhythmus.<br />
SELAH SUE : Musikalisch klingt Selah Sue nach Jamaika, dabei<br />
kommt die Sängerin mit der blonden Löwenmähne aus der belgischen<br />
Provinz. Nicht nur in ihrer Heimat ist die junge Dame ein gefeierter<br />
Star und wurde in einer Musiksendung von Arte sogar schon als<br />
„Future Queen of Soul“ geehrt.<br />
HUBERT FELIX THIEFAINE : Geboren 1948 im Jura versuchte der<br />
Sänger Hubert Felix Thiefaine seit den späten 60er in Paris eine<br />
Karriere. Aber erst in den 80er Jahren gelang ihm ein Durchbruch in<br />
der Szene. Jedoch die Tiefe seiner Texte und seine Kritik am Lebensstil<br />
der Gesellschaft verschafften ihm nicht nur Freunde. Thiéfaine blieb<br />
immer ein rebellischer Chansonnier im Rockgewand, ein Poet und der<br />
französische Cousin von Lou Reed.<br />
COEUR DE PIRATE : Eine tätowierte Kanadierin mit Punkvergangenheit<br />
ist in Frankreich der neue Superstar <strong>des</strong> Chanson. Béatrice Martin<br />
aka Coeur de Pirate erobert die Herzen unserer Nachbarn mit<br />
charmanten Klavierballaden und Retro-Popsongs. Die 20-Jährige<br />
aus Quebec mit den knallbunt verzierten Armen bekam für ihr<br />
Debütalbum nur einmal kurz Doppelplatin.<br />
CARAVAN PALACE : Die Pariser Band Caravan Palace taucht mit viel<br />
Erfolg und Gefühl in die Musikgeschichte ein und entstaubt den Swing<br />
der Dreißiger und Vierziger Jahre <strong>des</strong> vergangenen Jahrhunderts.<br />
Dazu mischt die Gruppe zeitgenössische Elektro-Grooves aus Hip<br />
Hop, Dub und House. So zieht der Hype von damals wieder munter<br />
durch die Clubs, ohne dabei an Flair zu verlieren.<br />
IZIA : Die Tochter <strong>des</strong> französischen Altrockers Higelin lässt es gern<br />
krachen. Wenn die junge Dame über die Bühne tobt, dann tobt auch<br />
das Publikum. In Frankreich gilt Izia als die große Hoffnung der<br />
Musikszene, und mit ihren tollen Songs wird sie auch international<br />
den Durchbruch schaffen.<br />
REVOLVER : Revolver sind drei junge Franzosen, die sich im Herbst<br />
2006 trafen und seither aus der Hüfte heraus eine Musik ins Publikum<br />
feuern, die sich auf Elliott Smith oder die Kinks beziehen. Aber auch<br />
die klassischen Komponisten der Renaissance klingen durch. Das<br />
ergibt zusammen eine tolle Mischung.<br />
WWW.<strong>FESTIVAL</strong>.ARTEFACT.ORG P. 9
*prix mentionnés hors frais de location / placement libre <strong>FESTIVAL</strong><br />
<strong>DES</strong> <strong>ARTEFACTS</strong><br />
DIMANCHE 22 AVRIL 2012 / AU ZÉNITH<br />
GROUNDATION<br />
22h10 - 23h20<br />
CHINESE MAN<br />
FEAT TUMI 23h50 - 01h00<br />
KY-MANY MARLEY<br />
17h00 - 18h10<br />
NNEKA<br />
18h40 -19h50<br />
GROUNDATION : Sous le California Sunsplash, Groundation<br />
a fait grandir un reggae d’importation jamaïcaine, sous<br />
influence blue note. Retenant la harangue débridée de Toots<br />
from funky Kingston (« reggae got soul »), Groundation teinte<br />
donc son skank d’harmonies jazz et de swing funky. Reggae<br />
goes to California, everybody feels fine.<br />
METHOD MAN : Clifford Smith a grandi entre Shaolin et Long<br />
Island – figures polyédriques du New York skyline – entre la<br />
virtualité parfois hyper réaliste <strong>des</strong> comics et un quotidien<br />
tellement ancré dans le réel qu’il en devient presque abstrait.<br />
Fondateur du Wu Tang Clan, dont il constitue l’une <strong>des</strong> figures<br />
de proue et compagnon de route rapproché de Redman,<br />
Raekwon et Gosthface Killah, collaborateur à succès de Mary J<br />
Blige, Clifford Smith aura marqué les deux dernières décennies<br />
hip-hop sous intitulé Method Man.<br />
CHINESE MAN FEAT TUMI : Trio aixois, DJ High Ku, Zé Matteo<br />
et Sly D. mixent, à 4 platines, funk, hip-hop, soul. Considérant<br />
les clichés dans un heureux vade retro, le groupe investit le hiphop<br />
pour y découvrir d’inédits recoins sonores.<br />
NNEKA : « Simple fille de Warri » Nneka est née dans une<br />
ville pétrolière sur le delta du Niger. C’est pour échapper aux<br />
écœurantes effluves d’un supposé or noir qu’elle investit le<br />
vinyle <strong>des</strong> albums de Mos Def, Talib Kwali ou <strong>La</strong>uryn Hill ou de<br />
la galaxie Trojan puis, exilée volontaire à Hambourg, pioche<br />
chez les disquaires de Saint Pauli de quoi nourrir une odyssée<br />
toute personnelle. Nneka fonctionne à l’instinct et navigue au<br />
cap, entre sincérité et pluralité, vulnérabilité et spiritualité.<br />
KY-MANI MARLEY : S’il se réclame de son père, disparu alors<br />
qu’il avait 5 ans, Ky-mani n’a eu de cesse, depuis qu’il est rentré<br />
en musique, que de dépasser le territoire de sa stricte influence.<br />
Passé un premier album hommage assumé, il s’aventure depuis,<br />
notamment en terres hip-hop, r’n’b voire funk, <strong>des</strong>sinant une<br />
personnalité originale et un talent complet.<br />
LE PEUPLE DE L’HERBE : Ainsi, depuis quelques années, les<br />
traboules résonnent-elles avec persistance d’une vibration<br />
rythmique faite de beat hip-hop et de chaloupement reggae,<br />
colorée de sonorisations jamaïcaines et cubaines. Responsable<br />
de ce melting pot végétalien, le Peuple de L’Herbe, une tribu<br />
comme la capitale <strong>des</strong> Gaules n’en avait pas encore connu,<br />
REGGAE DUB HIP-HOP SOUL<br />
11h45 ouverture <strong>des</strong> portes<br />
27 € + FRAIS*<br />
s’adonne sur les scènes de France et de Navarre à de bien<br />
festives cérémonies druidiques.<br />
TARRUS RILEY : Fils du légendaire Jimmy Riley, Tarrus Riley est<br />
la star montante en Jamaïque en 2007. Un album tardivement<br />
révélé par ses deux hits classés dans les charts, l’énorme Beware<br />
et She’s royal, en ont fait l’un <strong>des</strong> artistes les plus prometteurs de<br />
la nouvelle scène de l’île.<br />
BEAT ASSAILANT : « Quand je suis venu à Paris pour la première<br />
fois, j’ai été renversé par l’atmosphère et par la place que prend<br />
la musique ». Embarquant ses vinyles de A Tribe Called Quest,<br />
De <strong>La</strong> Soul, EPMD, Pharcyde, Gangstarr, Brand Nubian, Beat<br />
Assailant quitte du jour au lendemain la Georgie pour s’installer<br />
à l’ombre du Sacré Cœur et laisser libre cour à l’aventure de sa<br />
vie : « se vouer à créer quelque chose de plus grand que soi. »<br />
Cette trajectoire personnelle est devenue aventure collective<br />
autour d’une identité sonore forgée sur scène – relecture libre<br />
et pourtant pétrie de respect <strong>des</strong> préceptes hip-hop – et, audelà,<br />
de ce qui fit l’identité <strong>des</strong> musiques noires.<br />
GROUNDATION : Die <strong>Festival</strong>besucher dürfen wieder<br />
eintauchen in den Reggae-Sound. Groundation kommen aus<br />
den USA mit ausgefeilten Roots-Arrangements im Stile der<br />
goldenen 70er Jahre, sparsam aber effektiv eingesetzten<br />
Dub-Elementen, erfrischenden Jazz-Ausflügen sowie ab und<br />
zu auch mal mit einer krachenden Rock-Gitarre, natürlich<br />
ebenfalls im guten alten Stil.<br />
METHOD MAN : Clifford James Smith «Cliff» alias Method<br />
Man, auch bekannt durch seine Arbeit mit dem WU-TANG<br />
CLAN, gilt als einer der charismatischsten und beliebtesten<br />
MCs der amerikanischen Rap-Musikszene. Bekannt ist er<br />
für seine spektakulären Shows, und sein Gastspiel beim<br />
<strong>Artefact</strong>-<strong>Festival</strong> wird einer der musikalischen Höhepunkte<br />
sein.<br />
PEUPLE DE L’HERBE : Die Hauptgründe für den verdienten<br />
Erfolg der französischen Band Peuple de l’Herbe ist ihr<br />
Bedürfnis, musikalische Barrieren zu durchbrechen und Hip-<br />
Hop, Breakbeat, Rock’n’Roll-Energie sowie kraftvolle Sounds<br />
in ihrer Show einzusetzen. So entsteht eine beeindruckende<br />
METHOD MAN<br />
20h20 - 21h40<br />
LE PEUPLE<br />
DE L’HERBE<br />
15h20 - 16h30<br />
BEAT ASSAILANT<br />
12h30 - 13h30<br />
TARRUS RILEY<br />
13h50 - 14H50<br />
Bühnenpräsenz, egal, ob die Jungs in den kleinsten Clubs<br />
auftreten oder auf den großen <strong>Festival</strong>s. Diese Franzosen<br />
lassen es einfach krachen.<br />
CHINESE MAN FEAT. TUMI : In unserem Nachbarland<br />
liefern zwei Franzosen als Chinese Man auf zwei<br />
Plattentellern ein tolles musikalisches Menü aus Electro,<br />
HipHop und Groove in alle Clubs. Da dieser Mix gut<br />
schmeckt und auch für jede Menge Stimmung sorgt, freuen<br />
wir uns auf das Gastspiel auf unserem <strong>Festival</strong>.<br />
NNEKA : Die Mischung aus Soul, HipHop und Afrobeat ist<br />
das Markenzeichen von Nneka, das Album «Soul ist Heavy»<br />
wird von der Kritik gefeiert. Die Sängerin legt Wert darauf,<br />
mit ihrer Musik nicht für politische Zwecke eingespannt zu<br />
werden, aber viele Songs haben mit ihrer Heimat in Afrika<br />
zu tun und sind eben doch sehr politisch. Zum Beispiel<br />
spielen Themen wie Korruption, Globalisierung oder das Öl<br />
in Nigeria eine wichtige Rolle.<br />
KY-MANI MARLEY : Erst war da Ziggy, dann kam Damian,<br />
und nun steht der nächste Sohn der Reggae-Legende<br />
Bob Marley auf der Bühne. Ky-Mani Marley begann als<br />
Filmschauspieler und erlangte erstmals Erfolg als Sänger<br />
durch eine Coverversion von Eddy Grants altem Hit Electric<br />
Avenue in Zusammenarbeit mit Pras von The Fugees.<br />
TARRUS RILEY : Tarrus Riley ist der Künstlername von Omar<br />
Riley, einem ganz starken Sänger, welcher im Jahr 1979<br />
in der Nähe von New York City geboren wurde. In seiner<br />
noch kurzen Karriere arbeitete er bei seinen Alben schon<br />
mit Damian Marley oder Vybz Kartel zusammen. Der<br />
Reggae-Sänger steht bei vielen <strong>Festival</strong>s auf der Bühne und<br />
trägt seine guten Songs sehr selbstbewusst vor.<br />
BEAT ASSAILANT : Beat Assailant haben alles, was<br />
gute Black Music ausmacht. Die Songs sind voller Witz,<br />
musikalischem Einfallsreichtum und poppigen Melodien.<br />
Der Sound erinnert ein wenig an Bootsy Collins, aber<br />
straffer durch arrangiert und garniert mit einer Priese Prince<br />
sowie schönen Bläsersätzen.<br />
WWW.<strong>FESTIVAL</strong>.ARTEFACT.ORG P.10
LE DOCK PROMENADE<br />
DU 20 AU 22 AVRIL AU ZÉNITH<br />
“Développement éphémère” est une action multipoints<br />
que le <strong>Festival</strong> <strong>des</strong> <strong>Artefact</strong>s déploie cette année au sein de<br />
son Dock Promenade pour accompagner les trois journées<br />
au cours <strong>des</strong>quelles le <strong>Festival</strong> viendra habiter le Zénith.<br />
Filant conjointement la métaphore et les interstices entre les<br />
NO LIMITS TO GROWTH<br />
OLIVIER GODAT<br />
Olivier Godat y installera No LIMITS<br />
to GROWTH, une farandole de silhouettes<br />
humaines végétalisées,<br />
nées de ce carré de pelouse que<br />
nous permettons aux spectateurs<br />
d’habiter exceptionnellement.<br />
« Le temps c’est de la musique, et<br />
le domaine d’où elle émane, c’est<br />
l’avenir…..<br />
Et l’avenir se danse !<br />
Conjurer le sort, donner du courage,<br />
plaire aux dieux, ou regarder<br />
la mort dans les yeux,<br />
Et d’un élégant pas de deux, danser<br />
avec elle.<br />
Une danse macabre, camouflée, une farandole de silhouettes humaines<br />
végétalisées, danse sur le Dock Promenade d’un Zénith, cathédrale<br />
contemporaine a son apogée ;<br />
Ici les esprits se reposent, les corps s’allongent, les âmes respirent, le<br />
temps fait une pause,<br />
Là les cœurs battent la cadence, le rythme s’accélere, les vibrations reprennent<br />
….<br />
concerts, “Développement Ephémère” invite Olivier Godat,<br />
<strong>La</strong> Trappe à Ressort, <strong>La</strong>rkipass, Fred Delavergne et les<br />
spectateurs à participer à la construction d’une parenthèse<br />
collective, nouvel artefact en forme de trace jubilatoire et volatile.<br />
LA TENTE D’EDGARD ET SÉRAPHIN<br />
CIE LA TRAPPE À RESSORTS<br />
<strong>La</strong> compagnie <strong>La</strong> Trappe à Ressorts y<br />
poursuivra ses pérégrinations intrartefacts<br />
avec <strong>La</strong> Tente d’Edgard, implantée<br />
sur le Dock Promenade pour renouveler<br />
l’exercice du close up, le théatralisant<br />
– quitte à interpeller le public. <strong>La</strong> tente<br />
d’Edgar propose aux festivaliers un<br />
moment, mené par Séraphin, qui mettra<br />
fort en péril le sens de la logique et du<br />
possible. Après avoir suivi et clôt <strong>des</strong><br />
étu<strong>des</strong> de botanique, avec une spécialisation<br />
en prairies aléatoires et fleurs revendicatives,<br />
Séraphin a su concilier ses<br />
aptitu<strong>des</strong> professionnelles et ses deux<br />
passions parallèles, la danse imagée et<br />
la poésie musicale fractionnée, en devenant<br />
« Guide de savoir-vivre ensemble<br />
en apprenant quelque chose », ou pas.<br />
http://www.latrappearessorts.com/<br />
L’avenir se danse ! » FOCUS / LARKIPASS<br />
CADAVRE EXQUIS SONORE<br />
& DIFFUSION SOURDINE<br />
FRÉDÉRIC DELAVERGNE ET LA BLUNTED LIBRARY<br />
Fred Delavergne et les sociétaires<br />
de la Blunted Library construiront<br />
un programme sonore participatif<br />
connectant les festivaliers entre<br />
eux durant les trois jours. C’est un<br />
Sound track ambiantique, prolongeant<br />
le format du set Dj-sourdine<br />
au coin du Dock Ppromenade et intégrant,<br />
au fil de la programmation<br />
musicale, la participation <strong>des</strong> festivaliers<br />
(samples de voix et d’interventions<br />
diverses sur la musique).<br />
Pour l 'occasion un dispositif permettant de capter l’ambiance sonore<br />
du festival à travers divers microphones et installations sera mis en<br />
place. Il permettra de réaliser, avec la participation <strong>des</strong> festivaliers, un<br />
cadavre exquis sonore qui sera transformé/remixé par Frédéric Delavergne<br />
et sera diffusé sur le dispositif sonore du Dock Promenade.<br />
http://thebluntedlibrary.tumblr.com/ http://radiocapsule.<br />
com http://www.mixcloud.com/TheBLUNTEDLIBRARY/<br />
Le collectif <strong>La</strong>rkipass développera, en articulation<br />
avec un workshop “Strasbourg<br />
aime ses étudiants”, une expérience autour<br />
du « Focus », un dispositif architectural et<br />
audiovisuel immersif. Au cœur de l'installation<br />
se trouve un vortex, dans lequel se<br />
place le festivalier, isolé momentanément<br />
de la foule, de la nuée, pour se retrouver<br />
dans le noyau du dôme, en harmonie avec son<br />
propre centre gravitationnel et génèrer un regard co-produit par l'installation.<br />
www.larkipass.com<br />
BABYFOOT / ASSOCIATION BAB<br />
Les habitués le savent, le<br />
Baby-foot est une tradition<br />
du <strong>Festival</strong> <strong>des</strong> <strong>Artefact</strong>s,<br />
portée par le BAB (Baby-foot<br />
Associatif du Bas-rhin). Cette<br />
association fondée il y a 13<br />
ans par une poignée d’accros<br />
à ce jeu, désolés que le Babyfoot<br />
soit mis au ban du dispositif<br />
cafetié et désireux de lui<br />
offrir le refuge dû à son rang,<br />
a créé un local en ce sens. Elle en déplace donc le fleuron au moment<br />
du <strong>Festival</strong>, s’offrant ainsi le plaisir de jouer « à l’extérieur ».<br />
www.francebabyfoot.com<br />
WWW.<strong>FESTIVAL</strong>.ARTEFACT.ORG P.11
LES SCÈNES D’ICI 10<br />
DU 26 AU 28 AVRIL À LA LAITERIE<br />
ème ÉDITION<br />
Temps forts de l'action du Centre de Ressources Musiques<br />
Actuelles et de la Plateforme <strong>La</strong>bels d’<strong>Artefact</strong> PRL, les<br />
Scènes d'Ici du <strong>Festival</strong> <strong>des</strong> <strong>Artefact</strong>s proposent aux publics<br />
et acteurs de la scène musicale d’ici, un événement articulé<br />
autour de plusieurs rendez vous, lors <strong>des</strong>quels, conférences,<br />
ateliers et trois soirées de concerts se succèderont.<br />
ATELIER LABEL MONTER UN PLAN MEDIA SUR UN TEMPS FORT DE SON ACTUALITE<br />
OBJECTIF : Comment communiquer sur l’avant, le présent et l’après d’un temps fort de son actualité (sortie d’album, date<br />
sur un festival national etc.).<br />
INTERVENANT : Jérémy Spellanzon, attaché de presse indépendant, travaille entre autre pour Moriarty, Lena Deluxe, Le<br />
Prix Adami Deezer de Talents, Les FrancoFolies et Le <strong>Festival</strong> International de Jazz de Montréal.<br />
DATE : mercredi 11 avril de 16 h à 18h30 à <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie / Centre de Ressources <strong>Artefact</strong> PRL<br />
ATELIER LABEL DIFFUSION & BOOKING POUR ARTISTES EN DEVELOPPEMENT<br />
OBJECTIF : Comprendre l’environnement de la diffusion et les processus de programmation pour acquérir <strong>des</strong> métho<strong>des</strong> professionnelles<br />
dans la recherche de date de concerts en France et à l’étranger.<br />
CONTENU : Didactique et adapté au développement de chacun, cet atelier aborde l’espace de 2 journées, la connaissance <strong>des</strong> processus<br />
de programmation, les outils pour s’organiser, les réseaux de diffuseurs et les timings pour les contacter, la négociation et les<br />
budgets, l’export et les nouvelles formes de tournée.<br />
INTERVENANT : Christel Ribeiro, artiste, DJ et tourneuse depuis de nombreuses années, elle a développé une approche singulière<br />
de la diffusion <strong>des</strong> projets artistiques.<br />
DATE : jeudi 26 avril et vendredi 27 avril de 10h à 18h heures à <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie / Centre de Ressources <strong>Artefact</strong> PRL<br />
Inscription par mail à : jeanluc@artefact.org ou par téléphone au 03 88 237 232<br />
THE INTERNATIONAL UNPLUGGED ROCK’N’ROLL SOCIETY<br />
Le principe est simple. Des musiciens issus d’une vingtaine de groupes strasbourgeois reprennent en acoustique<br />
<strong>des</strong> classiques du rock’n’roll qui leur tiennent à cœur. Facile sur le papier, cette soirée s’appuie pourtant<br />
sur un large travail de [re]création. Entre préparation et répétition c’est près de 4 à 6 semaines que ces artistes<br />
passeront à la Plateforme <strong>La</strong>bels pour caler l’organisation de cette soirée singulière. Projet porté par HELL<br />
PROD, l’association <strong>des</strong> « DISIDENTES » eux aussi en plein actualité, THE INTERNATIONAL UNPLUGGED<br />
ROCK’N’ROLL SOCIETY dévoile et partage les influences grands angles ou underground de ceux qui font la<br />
richesse de la scène musicale d’ici. http://on.fb.me/theinternationalunpluggedrocknrollsociety<br />
An diesem Abend spielen Musiker der lokalen Szene aus Straßburg „unplugged“ die legendären Klassiker <strong>des</strong> Rock’n’Roll. Ein Konzert nicht<br />
nur für den Opa, sondern auch für alle, die gern gute Songs hören.<br />
PLUS GUEST<br />
http://plusguest.bandcamp.com/<br />
WE ARE LAKE<br />
THE LAST TARGET<br />
http://thelasttarget.bandcamp.com/<br />
Die lokale Band Plus Guest feiert eine Release Party und spielt die Songs ihres<br />
neuen Albums. Dazu gesellen sich als Gäste We Are <strong>La</strong>ke und The <strong>La</strong>st Target.<br />
Heute Abend zeigen Bands aus der Region, dass das Elsass rockt!<br />
CONFÉRENCES & ATELIERS<br />
JEUDI 26 AVRIL / À LA LAITERIE 6 euros* / Portes 20h / Acoustic cover<br />
VENDREDI 27 AVRIL / À LA LAITERIE 6 euros* / Portes 20h / Rock<br />
C’était il y a presque 3 ans, les 6 titres de l’EP <strong>des</strong> tout jeunes PLUS GUEST marquaient<br />
le début de l’histoire du label DEAF ROCK. Aventure artistique doublée<br />
d’une aventure humaine, le label strasbourgeois a depuis lancé ses artistes au<br />
beau milieu de cette nouvelle scène française qui parcourt autant la blogosphère,<br />
que <strong>des</strong> dizaines de milliers de kilomètres sur les routes de France et d’Europe.<br />
Avec « Prime Time », le premier album de PLUS GUEST prévu en sortie nationale<br />
ce printemps, le label entend bousculer durablement les frontières et les esprits<br />
en s’appuyant cette fois sur un chant mélodique, <strong>des</strong> chœurs aériens et une instrumentation<br />
qui réussit à installer le groupe entre testostérone affirmée et subtilité.<br />
Soirée label marquée du sceau « Release Party », ce 27 avril sera aussi l’occasion<br />
d’inviter THE LAST TARGET duo garage strasbourgeois et WE ARE LAKE, prototype<br />
balnéaire né dans la diversité <strong>des</strong> nuits strasbourgeoises.<br />
WWW.<strong>FESTIVAL</strong>.ARTEFACT.ORG P.12
LES SCÈNES D’ICI 10 ème ÉDITION<br />
DU 26 AU 28 AVRIL À LA LAITERIE<br />
SAMEDI 28 AVRIL / À LA LAITERIE GRATUIT* / Portes 20h / Folk rock<br />
PETSELEH<br />
Tout jeune self (home) made man de la scène folk<br />
strasbourgeoise, PETSELEH, qui doit son nom à une<br />
chanson d’Elliot Smith, n’a pour seul bagage qu’une<br />
série de concerts devant ses chats et une expérience<br />
scénique à la médiathèque André Malraux l’été dernier.<br />
C’est en toute intimité qu’il se présentera devant<br />
le public <strong>des</strong> Scènes d’Ici.<br />
http://www.myspace.com/petseleh<br />
MONY&THE HATMEN<br />
Musicien depuis toujours, mais ne s’autorisant à jouer en<br />
public que depuis un an et demi maintenant, on devine<br />
dans les chansons de MONY ses innombrables<br />
heures passées à digérer les cultures blues-folk<br />
<strong>des</strong> 50 dernières années. C’est avec plaisir que les<br />
Scènes d’Ici accueillent ce nouvel artiste, plus en<br />
quête de l’accord perdu que d’une volatile notoriété<br />
numérique.<br />
http://www.myspace.com/monylarry<br />
LUNEVILLE<br />
Projet opportun, LUNEVILLE est né de la rencontre<br />
sur eBay d’un omnichord et d’un directeur de label<br />
mélancolique. Construisant un répertoire de<br />
chansons pop à partir d’instruments jouets <strong>des</strong><br />
désormais lointaines années analogiques, LUNE-<br />
VILLE en parfait avocat du «rien ne se crée, rien<br />
ne se perd de <strong>La</strong>voisier » participe à sa façon à la<br />
réforme de la nomenclature digitale de son époque.<br />
http://luneville.bandcamp.com<br />
DIRTY DEEP<br />
FEAT THOMAS SCHOEFFLER JR<br />
Depuis 1 an, ils écument pour chacun les clubs de<br />
la ville, prêchant la bonne parole d’un blues que l’on<br />
attendait plus à si belle fête dans la polymorphe<br />
scène musicale strasbourgeoise. A l’occasion<br />
<strong>des</strong> Scènes d’Ici, Dirty Deep et Thomas Schoeffler<br />
Jr dérogent à la règle de leurs habituels «one<br />
man band» pour présenter ensemble leurs albums<br />
respectifs qui devraient sortir ce printemps.<br />
http://www.myspace.com/thomasschoefflerjr<br />
Construit en partie sur les cendres <strong>des</strong> Baby Bring Bad<br />
News, le projet de Keys And Promises promet un<br />
rock alternatif entre romance passionnelle et puissance<br />
sonore. Parmi les meilleurs espoirs d’une<br />
scène mulhousienne en pleine effervescence ces<br />
derniers mois (Mouse DTC, Botany Talk Home,<br />
Bhopals FLowers, Enfants Modèles etc.), le<br />
groupe donnera aux Scènes d’Ici l’un de ses premiers<br />
concerts strasbourgeois.<br />
http://bit.ly/yO6XrY<br />
YEALLOW<br />
Bien calé entre pop et rock, poussé par une ambition<br />
au format export, voilà 3 ans et un album que YEAL-<br />
LOW construit peu à peu sa réputation de groupe<br />
anglo-californien à la française. Ponctués de rencontres<br />
et de concerts dans <strong>des</strong> lieux mythiques<br />
(ils ont joués à la Cavern de Liverpool, au Whisky à<br />
Gogo de Los Angeles et enregistré avec Jay Franco)<br />
la trajectoire de YEALLOW passe ce printemps par<br />
une scène de <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie, en attendant une série d’EP<br />
qui devraient rapidement occuper les « timeline » <strong>des</strong> profils les plus avertis.<br />
http://bit.http://yeallow.bandcamp.com<br />
THE MOORINGS<br />
Né il y a cinq ans comme un projet de pub-band au<br />
pays de la winstub, THE MOORINGS aborde la<br />
maturité avec enthousiasme, développant sur son<br />
premier album, un répertoire personnel que le<br />
groupe emmène jusqu’au cœur de l’Europe et pour<br />
la première fois sur la grande scène de la <strong>La</strong>iterie.<br />
http://www.moorings-band.com<br />
HERMETIC DELIGHT<br />
Discrets lors de l’intime première partie de John &<br />
Jehn au club il y a 2 ans, les cinq d’HERMETIC DE-<br />
LIGHT ont su depuis se construire une solide réputation<br />
de groupe à suivre. Après avoir publié un premier<br />
EP l’hiver dernier et une vidéo qui a fait le tour de<br />
la blogosphère, c’est sur scène que le groupe envisage<br />
2012, avec un passage à <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie en guise<br />
de rampe de lancement vers les festivals d’été.<br />
http://hermeticdelight.bandcamp.com<br />
Das ganze Jahr lang üben unzählige Bands in Straßburg in ihren Proberäumen und träumen von einer großen Karriere im Musikgeschäft. Die <strong>La</strong>iterie hilft beim<br />
ersten Schritt hin zum Ruhm und präsentiert im Saal und im Club einen guten Überblick darüber, was in den Kellern der Europastadt so musikalisch läuft.<br />
WWW.<strong>FESTIVAL</strong>.ARTEFACT.ORG P.13<br />
*Dans la limite <strong>des</strong> places disponibles
INFORMATIONS PRATIQUES<br />
TARIFS ET POINTS DE VENTE LIEUX<br />
TARIFS ( tarifs prévente mentionnés hors frais de location )<br />
MER 11 AVRIL 2012 A <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie loc 10 e / soir 13 e<br />
JEU 12 AVRIL 2012 A <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie loc 20 e / soir 23 e<br />
VEN 13 AVRIL 2012 A <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie loc 22 e / COMPLET<br />
SAM 14 AVRIL 2012 A <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie loc 25 e / soir 28 e<br />
VEN 20 AVRIL 2012 Au Zenith loc 30 e / sur place 35 e<br />
SAM 21 AVRIL 2012 Au Zenith loc 30 e / sur place 35 e<br />
DIM 22 AVRIL 2012 Au Zenith loc 27 e / sur place 32 e<br />
JEUDI 26 AVRIL 2012 A <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie loc 6 e / sur place 8 e<br />
VENDREDI 27 AVRIL 2012 A <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie loc 6 e / sur place 8 e<br />
SAMEDI 28 AVRIL 2012 A <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie GRATUIT<br />
LOCATIONS : FNAC – CARREFOUR – GÉANT – MAGASIN U<br />
INTERMARCHÉ : http://www.fnac.com – http://www.<br />
carrefour.fr<br />
http://www.francebillet.com<br />
0 892 68 36 22 (0.34 euros/min)<br />
BILLETTERIE ARTEFACT : http://billetterie.artefact.org<br />
(sans frais de loc)<br />
RÉSEAU TICKET NET : VIRGIN – AUCHAN – CORA – CULTURA<br />
LECLERC : http://www.ticketnet.fr<br />
0 892 390 100 (0.34 euros/min)<br />
EN LIGNE UNIQUEMENT : DIGITICK : http://www.digitick.com<br />
ALLEMAGNE : Alle Vorverkaufsstellen finden Sie auf www.reservix.de<br />
unter Vorverkausstellen (PLZ eingeben).<br />
Unter anderem bleiben : BZ Karten Service 0049<br />
(0)1805/556656 (0.14€/min)<br />
Gengenbach Aral Tankstelle an der B33 : 07803/42 46<br />
Kehl AMM (Aktiv Musik) : 07851/48 3122<br />
<strong>La</strong>hr Musikhaus Eichler : 07821/92 27 80<br />
Saarbrücken Rex Rotari : 0681/390 8290<br />
STRASBOURG :Boutique culture : 03 88 23 84 65<br />
GRAND EST : Amnéville : LA PRESSE SANSON : 03 87 71 16 30<br />
Office de tourisme : 03 87 70 10 40<br />
BATILLY SOVAB : 03 82 22 57 40<br />
OFFICE DU TOURISME DE MONTBÉLIARD :<br />
03 81 94 45 60<br />
Sarreguemines : BOÎTE À MUSIQUE : 03 87 98 52 46<br />
SUISSE : MAGASINS FNAC – http://www.fnac.ch<br />
LUXEMBOURG : TICKET SERVICE : 0352 40 30 25<br />
BELGIQUE : ARLON LE PARK MUSIC : 032 63 22 42 47<br />
MAGASINS FNAC : 0 900 00 600 (0.45 euros/ min)<br />
http://www.fnac.be<br />
LE ZENITH STRASBOURG EUROPE<br />
1, allée du Zénith<br />
67034 Strasbourg Cedex 2<br />
Tél. : 03 88 10 50 50<br />
TOUTES LES INFOS POUR ACCEDER AU ZENITH:<br />
http://www.zenith-strasbourg.fr/Le-Zenith/<br />
SERVICES SUR PLACE : Bar – Restauration – CB<br />
LA LAITERIE <strong>Artefact</strong> / <strong>La</strong> <strong>La</strong>iterie<br />
13, rue du Hohwald<br />
67000 Strasbourg<br />
Tél. : 03 88 237 237<br />
E-MAIL : info@artefact.org<br />
TOUTES LES INFOS POUR ACCEDER A LA LAITERIE:<br />
http://www.laiterie.artefact.org/<br />
SERVICES SUR PLACE : Bar – CB – Vestiaire<br />
HÉBERGEMENTS<br />
OFFICE DE TOURISME DE STRASBOURG<br />
ET SA REGION<br />
17 place de la Cathédrale - BP. 70020<br />
67082 STRASBOURG CEDEX<br />
Tél. 03 88 52 28 28 – Fax : 03 88 52 28 29<br />
E-mail : info@otstrasbourg.fr<br />
http://www.otstrasbourg.fr/<br />
NOTE AUX SPECTATEURS<br />
Attention, toute sortie est définitive.<br />
Il est formellement interdit de fumer , photographier, enregistrer ou<br />
filmer les spectacles, entrer dans les salles de spectacles munis de<br />
casques de moto, canettes de boissons ou bouteilles , bombes lacrymogènes,<br />
couteaux et autres objets dangereux.<br />
WWW.<strong>FESTIVAL</strong>.ARTEFACT.ORG P.14
ARTEFACT, UN <strong>FESTIVAL</strong> RESPONSABLE<br />
QUAND À SON IMPACT ÉCOLOGIQUE<br />
Ces dernières années, l'urgence <strong>des</strong> défis environnementaux,<br />
notamment climatiques et énergétiques, a permis une large<br />
prise de conscience quant à la nécessité de faire évoluer nos<br />
comportements et nos mo<strong>des</strong> de consommation.<br />
FAVORISER LES TRANSPORTS<br />
ALTERNATIFS<br />
<strong>La</strong> voiture étant une grande pourvoyeuse d'émissions<br />
polluantes, l'équipe du <strong>Festival</strong> vous invite à opter pour <strong>des</strong><br />
transports « doux » (bus, vélo, co-voiturage) en mettant à<br />
votre disposition :<br />
Un parking à vélos gratuit<br />
Des navettes gratuites du tram au Zénith et du<br />
Zénith à la Gare après l'arrêt <strong>des</strong> trams<br />
Un espace d'annonce covoiturage en ligne et sur<br />
le site du Zénith<br />
SENSIBILISER LE PUBLIC<br />
AUX QUESTIONS ÉCOLOGIQUES<br />
Privilégiant le contact avec le public et sa sensibilisation,<br />
notre démarche cherche à créer un espace du «vivre mieux<br />
ensemble» où les principes relatifs aux questions écologiques<br />
sont intégrés autours d’actions et d’échanges avec le public.<br />
Ainsi le festival a mis en place pour la troisième année, et<br />
spécialement pour l’occasion, une Brigade Verte qui veille<br />
à la propreté du site en effectuant un ramassage constant<br />
<strong>des</strong> déchets et sensibilise le public. Nous nous entourons<br />
pour l’occasion du savoir-faire de l’association Strasbourg<br />
Ecologie, cette association a pour objet la promotion de<br />
l’écologie sans parti pris ni préjugés.<br />
www.strabourg-ecologie.org<br />
Les pratiques culturelles n'échappent pas à la règle et<br />
notamment les festivals. Lieux de rassemblement et<br />
d'échanges naturellement inscrits dans une logique de<br />
« développement durable culturel » ils n'en conservent<br />
pas moins un coût écologique, dû à l'importance de leur<br />
fréquentation.<br />
Volontairement engagé pour <strong>des</strong> manifestations plus<br />
respectueuses de l'environnement, le <strong>Festival</strong> <strong>des</strong> <strong>Artefact</strong>s<br />
a intégré la démarche mise en place par l'ADEME (Agence<br />
De l'Environnement et de la Maîtrise <strong>des</strong> Energies) et<br />
l'Agenda 21.<br />
3 axes d'action ont été privilégiés : favoriser les transports<br />
« doux », sensibiliser le public aux questions relatives à<br />
l'écologie, notamment l'émission <strong>des</strong> déchets, et opter pour<br />
une communication au coût écologique raisonné.<br />
<strong>Festival</strong>iers, nous vous invitons a faire partie de ce projet car<br />
sa réussite dépendra aussi de vous !<br />
LA COMMUNICATION<br />
Écueil obligé de l'information <strong>des</strong> festivaliers, les actions<br />
de communication et de promotion ont plusieurs impacts<br />
sur l'environnement : consommation de ressources<br />
naturelles (bois, eau, énergie…), utilisation de produits<br />
chimiques dangereux (solvants, encres…), et production de<br />
déchets papiers. Afin de réduire ces impacts, les outils de<br />
communication (affiches, flyers et programmes...) ont été<br />
pensés et réalisés conformément à ce que préconise les<br />
différents éco-labels existants :<br />
Diffusion raisonnée <strong>des</strong> documents imprimés<br />
Billetterie dématérialisée<br />
Distribution de flyers interdits sur le lieu de<br />
l’événement autre ceux <strong>des</strong> <strong>Artefact</strong>s<br />
Choix d' imprimeurs labellisés et locaux pour<br />
limiter les déplacements<br />
De nombreuses autres actions sont intégrées à la gestion<br />
quotidienne du festival (Priorité aux produits locaux , Huile de<br />
friture récupérée et filtrée pour servir de combustible etc.)<br />
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NOS PARTENAIRES<br />
WWW.<strong>FESTIVAL</strong>.ARTEFACT.ORG P.16