Programme final et Recueil des résumés - Centre de recherche ...

4 ème Journée et Prix de la Recherche Clinique – 19 mai 2011 Présentations posters
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P55b
THE CORPUS CALLOSUM: WHITE MATTER OR TERRA INCOGNITA
A FITSIORI, D NGUYEN, A KARENTZOS, J DELAVELLE, M I VARGAS
Neurodiagnostic et Neurointerventionel
Introduction: The corpus callosum is the largest white matter structure in the brain,consisting of 200–
250 million contralateral axonal projections and the major commissural pathway connecting the
hemispheres of the human brain.
Méthode: MRI is the modality of choice for the study of the CC. MRI protocole used was composed of
sagittal T1 or T2 (fluid-attenuated inversion recovery (FLAIR)) weighted imaging, Difussion tensor
imaging (DTI). Contrast medium when tumoral or inflammatory pathologies were suspected.
Résultats: MRI is the modality of choice for the study of the CC. MRI protocole used was composed
of sagittal T1 or T2 (fluid-attenuated inversion recovery (FLAIR)) weighted imaging, Difussion tensor
imaging (DTI). Contrast medium when tumoral or inflammatory pathologies were suspected.
Conclusion: Despite its essential role in interhemispheric communication,there are only a few studies
concerning the CC. As a result, up until now, the CC remains a relatively unexplored region of the
brain, somewhat of a‘‘terra incognita’’ for the clinician and the radiologist. Familiarity with its anatomy
and pathology is important to the radiologist in order to recognise its disease at an early stage and
help the clinician establish the optimal therapeutic approach.
P56
DETECTION DE LA RESISTANCE AUX GLYCOPEPTIDES CHEZ DES SOUCHES MRSA DE
PATIENTS HUG BACTERIEMIQUES.
Pierre Vaudaux Adriana Renzoni Elzbieta Huggler Louis Bernard Daniel P. Lew
Service des Maladies Infectieuses, Département des Spécialités, HUG. Unité des Maladies Infectieuses, Hôpital
Universitaire de Bretonneau, CHRU de Tours, Tours, France.
Introduction: La détection de souches MRSA exprimant une sensibilité réduite aux glycopeptides
(vancomycine, teicoplanine), dénommées GISA pour « glycopeptide-intermediate Staphylococcus
aureus », reste problématique pour la décision d’antibiothérapie. La méthode de référence proposée
par les Comités Européen (EUCAST) ou Américain (CLSI) de Mesures de Sensibilité aux
Antibiotiques est la détermination des concentrations minimales inhibitrices (CMI) de vancomycine ou
teicoplanine en microdilution sur plaques de microtitration. La sensibilité de la méthode de
microdilution est considérée comme sub-optimale pour détecter les GISA.
Méthode: Nous avons évalué la performance du test de microdilution pour détecter les GISA, en
comparant les CMIs de vancomycine et teicoplanine mesurées par microtitration avec celles obtenues
par macrodilution ou en milieu gélosé. 56 souches MRSA, isolées de patients bactériémiques des
HUG entre les années 1995 et 2003, ont été testées.
Résultats: Pour >80% des MRSA, les CMIs de vancomycine et teicoplanine étaient
systématiquement plus élevées (2-4 mg/L) par test de macrodilution ou en milieu gélosé que celles (1
mg/L) mesurées par microdilution. Seulement 3 souches ont montré des CMIs de vancomycine et
teicoplanine de 4 mg/L (seuil de détection des GISA) par microdilution, alors que la macrodilution a
détecté 13 et respectivement 36 souches avec des CMIs de 4 mg/L pour la vancomycine et la
teicoplanine. L’extension du temps d’incubation à 48 h a optimisé la détectio n des GISA, en
permettant la croissance de sous-populations glycopeptide-résistantes caractérisées par une
croissance ralentie.
Conclusion: La sensibilité du test de microdilution recommandé par EUCAST et CLSI est insuffisante
pour une détection efficace des souches GISA.
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