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Collection of Words An Eclectic - Burnaby School District

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<strong>An</strong> <strong>Eclectic</strong> <strong>Collection</strong> <strong>of</strong> <strong>Words</strong>milieu d’un orage, » disait Marie en versant des larmes sur ses joues. « Isabelle a seulementneuf ans ! Elle est petite et légère. Le vent pourrait facilement l’emporter n’importe où. »« Vient ici ma chère » William a dit en ouvrant ses bras.Marie s’est levée et tamisait dans l’étreinte, sanglotant sur son épaule.« Tout ira bien mon amour. Je vais chercher Isabelle tout de suite. Prends soin deJoséphine et il ne faut absolument pas sortir de la maison. Est-ce que vous vouscomprenez ? » William a expliqué. « Je vais retourner en quelques heures. »En disant ces mots, William a pris ses bottes et son manteau. Il a donné un bisou àJoséphine et à Marie. Finalement, il est sorti de la maison.Après son départ, la maison était étrangement placide. Même si les branches des arbresfrappaient aux fenêtres et le vent hurlait dans la cheminée, Joséphine et Marie ne pouvaiententendre rien sauf les battements de cœurs dans leurs oreilles.***« Isabelle ! Où es-tu ? » hurlait William à travers le vent et la pluie. « Il faut que tu medonnes un signe Isabelle ! »William cherchait d’en haut en bas pour essayer de la trouver. Il fouillait dans les bois etil barbotait dans les rivières tout le long espérant qu’il trouvera Isabelle. Il espérait qu’il latrouvera en vie.Quand il s’approchait à l’école élémentaire d’Isabelle, il n’était même pas sûr s’il était aubon endroit. L’école ne ressemblait plus à une école mais plutôt à un dépotoir de bois et deciment. Une partie du toit était complètement déchiré de sa structure originale et un petit lacboueux entourait l’école.William était étonné. Il n’a jamais vu une scène aussi déprimante que cela.« Ma chère ! Je suis ici ! » criait William ne s’attendant pas à recevoir une réponse.« C’est toi, Papa ? Aide-moi ! J’ai peur et… » disait une toute petite voix ; le reste de sesparoles étaient mangées par l’orage.« Isabelle ? » s’est exclamé William. « Tu es là ? Il faut que tu dises quelque chosed’autre ! »« Papa, j’ai peur ! » sanglotait Isabelle.William s’approchait de la voix. Il pouvait juste voir une tache de sa chemise bleue audessousd’une pile de bois. Il soulevait le bois et petit à petit Isabelle était libérée. William s’estétendu la main à Isabelle et l’a soulevé dans ses bras. Elle était trempée par la pluie et ellefrissonnait irrésistiblement ; mais elle était en vie !William l’emportait jusqu’à ce qu’ils soient rentrés. Quand Marie a vu sa petite fille elle acommencé a pleurer de nouveau mais cette fois ci pour le bonheur car Isabelle était finalementen sécurité !L’orage s’est terminé le moment où Isabelle a mis un pied dans la maison. Toute lafamille était ensemble, et c’était tout ce qui était nécessaire pour vaincre leur crainte.WORDS Writing Project 2008/09 30

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