FRÉQUENCE PÉKINOISE - Danielle Lefebvre - Agence d'artistes et ...

EXTRAITS DE PRESSE
DES FRÉQUENCES PÉKINOISES QUI TOUCHENT LE MONDE
Jamais de ma vie je n’avais entendu le pipa, cet instrument plus sensible que la harpe,
certainement aussi apaisant que le violoncelle et dont les cordes sont plus sonores que celles de
la guitare. Si j’avais connu cet instrument auparavant, j’aurais appris à en jouer. Il est
magnifique. […] Guan effectuait adroitement et simultanément les changements de timbre, de
hauteur, de volume et de ton. Son toucher et les textures qu’elle créaient lui permettaient de
changer instantanément l’ambiance de la musique.[…] Difficile de s’ennuyer avec le pipa.
L’instrument a une portée mondiale.[…] Ces artistes raffinés effectuaient de sublimes transitions
d’une qualité d’écoute exceptionnelle. Une mélodie si simple, jouée avec tant de magnificence.
[…] J’ai été très étonnée de constater l’ampleur et la diversité des habiletés requises pour
maîtriser l’expression du pipa. C’est le travail d’une vie que d’apprendre cet instrument, jeune
de 2000 ans.
Par Lisa Talesnick – Vernon Morning Star – Décembre 2009
______________________________________________________________________________________________
LA CHINE ÉMERVEILLE NOTRE NATURE; FESTIVAL CLASSIQUE DES HAUTES-
LAURENTIDES
Le 8 août dernier, au cap Lafontaine à Ferme-Neuve, le paysage sonore qui s’est déployé sous
les yeux des amoureux de la nature leur a laissé un magnifique souvenir coloré par des pièces
musicales traditionnelles et classiques de la Chine. Dans l’ambiance conviviale d’une dégustation
chinoise en plein-air, Yadong Guan et Sandie Yip ont fait corps avec le pipa et la cithare zheng
pour le plus grand plaisir des mélomanes de cette magnifique journée.
Devant le splendide panorama flanqué de cette majestueuse Montagne du Diable, Yadong Guan
et Sandie Yip, parées de leurs costumes traditionnels, accordent le pipa et le guzheng. Yadong
Guan et Sandie Yip ont fait don de leur incomparable virtuosité. Transporté dans l’exotisme du
paysage musical, le public s’est laissé distraire par la fraîcheur des effets sonores rimant avec
une brise légère de saison. Architecture de silences, de nuances subtiles dessinées par la
dextérité des doigts. Là où la nature se contemple dans les rimes d’un poème cantonnais, au
cœur d’un folklore ou d’un air classique de ces lointains, nous pouvions voir cette chère
montagne du Diable se travestir au gré de notre plus vaste imagination. Le pipa et le guzheng de
Yadong Guan et de Sandie Yip séduisent jusqu’à l’euphorie. Comblé par l’authenticité de la mise
en scène, on revient de ce festin riche en légèreté.
Le choix, 12 août 2009, Arts Spectacles, Virginie Pelvillain (extraits)
_____________________________________________________________________________
Yadong Guan, pipa
4