Poids et prix de vente des animaux charolais en 2011 - Chambre d ...

Sommaire 

AVANT PROPOS 1 

COMMENTAIRES ET PRIX MOYEN SUR LA CAMPAGNE 

• Echantillon global 3 

• Sous-échantillon avec démarches de qualité 5 

EVOLUTIONS MENSUELLES DES PRIX ET POIDS DE VENTE 

• Des mâles maigres 7 

• Des jeunes bovins 8 

• Des boeufs finis 9 

• Des génisses maigres 10 

• Des génisses finies 11 

• Des vaches 12 

VALORISATION DES VACHES ET DÉMARCHES DE QUALITÉ 13 

ANNEXES 15 

• 1a à 11b : Résultats détaillés de l'échantillon global par catégories, 

évolution des prix de 2005 à 2011 et répartition mensuelle des effectifs vendus. 

• 12 à 18 : Résultats détaillés selon les démarches de qualité. 

• 19 : Répartition des animaux de l'échantillon global par catégorie de vente. 

Ont contribué à ce dossier… 

• Rédaction : 

Daniel LAFAYE, Louis-Marie de BOURAYNE, Vincent 

DOAL, Claude VINCENT, Guy MURON, Christian 

BOURGE, Frédérique MARCEAU, Bruno MAUGUE, 

Thierry LAHEMADE, Jérôme LAVIRON, Jean-Paul 

BELLAMY. 

• Maquette : 

Katia BRULAT

Avant propos 

Ce document présente la synthèse globale des prix payés aux éleveurs et des poids de vente des 

animaux commercialisés en 2011 dans le Bassin Charolais. Elle a été réalisée à partir de 

653 314 données commerciales - dont 499 810 bovins de race charolaise - fournies par les 

organismes présentés sur la carte ci-dessous. 

Le traitement de ces données, l'analyse et la rédaction de ce document ont été réalisés par le 

Réseau d'Elevage Charolais. 

Nous remercions vivement les responsables des organismes, leurs techniciens et informaticiens, 

qui en rendant possible la constitution d’un large échantillon de données commerciales, ont permis 

une analyse des ventes de la campagne 2011 sur le bassin charolais. 

SICAGEMAC 

58800 CORBIGNY 

Président : GUILLIEN Philippe 

SICAFOME 

58290 MOULINS ENGILBERT 

Président : GAUTHIER Bernard 

Directeur : TARDIVON Martial 

CADRAN CHATEAUMEILLANT SA 

18370 CHATEAUMEILLANT 

Président : BLINET Jacky 

Directeur : CHARTRON Éric 

CCBE 

23000 GUERET 

Président : CHAZETTE Philippe 

Directeur : BOUIN Jean-Michel 

SICABA 

03160 BOURBON L'ARCHAMBAULT 

Président : GALOPIER Serge 

Directeur : MARY Luc 

SOCAVIAC 

03430 VILLEFRANCHE D'ALLIER 

Président : PICANDET Daniel 

Directeur : JOURNE Henri-Emmanuel 

Organismes ayant fourni les données commerciales 

et leurs responsables 

CIALYN 

89400 MIGENNES 

Président : PINET DES ECOTS Yves 

Directrice : BRETON Séverine 

36 

23 

45 

18 

03 

63 

58 

89 

42 

71 

BOURGOGNE ELEVAGE 

21150 VENAREY LES LAUMES 

Président : GAMBINO Franck 

Directeur : MILLOT Michel 

21 

COVIDO - BOVICOOP 

63440 CHAMPS 

Président : DESNOYER Jean-Luc 

Directeur : BESSE Jean-Yves 

SICAGIEB 

03340 MONTBEUGNY 

Président : CHOPIN Maurice 

Directeur : AUZELLE Joël 

ELVEA 21-89 

4, Rue Hubert Languet 

21350 VITTEAUX 

Président : DEROYE François 

ELVEA 71 

ZA Champ du Village 

71120 CHAROLLES 

Président : MOREL Jean-Michel 

CHAROLAIS HORIZON 

71600 VITRY EN CHAROLLAIS 

Président : FONTENIAUD Guy 

Directeur : CHAINTRON François 

GECSEL 

71120 CHAROLLES 

Président : LARGY Yves 

Directeur : MILLOT Michel 

ACTIS Bovins 

42300 ROANNE 

Président : PLASSE Philippe 

Directrice : NIGAY Marie-France 

15 1 

2

15 

La situation de marché dégradé en 2010 pour les bovins commercialisés maigres s’est poursuivie 

sur le 1 er 2 

semestre 2011. 

Quant à la viande finie, le redressement des cours entamé fin 2010 a continué tout au long de 

l’année 2011. 

Avec l’ouverture de nouveaux marchés à l’export, (Algérie, Tunisie, Turquie) la demande s’est 

intensifiée sur le second semestre et a entraîné une hausse significative des cours à la fois pour la 

viande finie comme pour la viande maigre en touchant notamment la commercialisation des mâles 

en fin d’année. Pour autant, l’impact annuel de cette évolution des cours reste mesuré sur les mâles 

maigres, les animaux les plus lourds ayant été commercialisés sur le premier semestre dans une 

conjoncture de prix plus dégradée que celle de 2010. 

Le marché des femelles maigres bénéficie lui aussi de cette embellie de fin d’année mais reste 

moins dynamique que celui des mâles parce qu’impliqué dans des débouchés limités à la France ou 

à une Europe du sud en proie à une situation économique difficile. 

En moyenne, les mâles maigres se sont écoulés à des prix supérieurs de l’ordre de 1 à 2 % à ceux 

de 2010 alors que les cours des femelles ont progressé de l’ordre de 2 à 3 %, mais ils avaient 

fortement chuté sur les années précédentes. 

Les effectifs commercialisés en maigre sont en progression en lien avec des stocks fourragers 

limités par la sécheresse printanière et la poussée des prix sur les intrants. 

Sur la viande finie, le redressement des cours est plus marqué, la demande soutenue en jeunes 

bovins a fait progresser les prix tout au long de l’année sur l’ensemble des catégories. 

En 2011, les cours des jeunes broutards sont supérieurs de 2% à ceux de 2010, les broutards 

lourds et repoussés (part dominante des mâles maigres commercialisés dans le bassin charolais) 

ne progressent que de 1 %. Les taurillons maigres à 2,32 €/kg sont au même prix qu’en 2010. Les 

poids de vente sont voisins de ceux de 2010, en revanche les effectifs de mâles maigres 

commercialisés sont en hausse. 

Le prix des génisses maigres a progressé de 3% pour les plus jeunes et 2% pour les plus âgées. 

Les effectifs commercialisés sont, comme pour les mâles, en hausse par rapport à 2010. 

Les cours des jeunes bovins se relèvent de 9% (3,48 € contre 3,20 en 2010, 3,21 en 2009). La 

baisse des disponibilités en vaches de réforme laitières et l’ouverture de nouveaux débouchés sont 

à l’origine de ce rebond. Les débouchés vers les pays émergeants demandent à être confirmés dans 

l’avenir avant de parler d’un retour à la sérénité sur le marché de la viande. Le poids de vente 

enregistré reste proche de celui de 2010, hormis pour les jeunes bovins vendus en vifs pour lesquels 

le poids est supérieur de 7 % sur un effectif en hausse par rapport à 2010. Cette hausse s’explique 

par la vente en vif de jeunes bovins vendus habituellement en carcasse. 

Les vaches finies suivent la même dynamique que celle des jeunes bovins et enregistrent une 

hausse de prix en moyenne de 5%. Le poids moyen de carcasse poursuit sa progression et 

atteint 425 kg. 

Les génisses finies commercialisées au poids moyen de 397 kg (identique à 2010), voient leurs 

cours progresser de 4%, à 3,60 €/kg, (3,47 en 2010). 

Les cours des bœufs finis augmentent de l'ordre de 4 %, les effectifs commercialisés sont 

toujours en recul.

MALES 

Broutards : (16655 têtes) 

Poids et prix moyens des bovins charolais 

observés sur la campagne 2011 

(1) cf. page 9 pour les résultats en fonction des démarches de qualité. 

Poids Prix au kg Prix/tête 

299 2.55 763 

ventes de janvier à avril (4683) 296 2.46 727 

ventes de juillet à août (2101) 304 2.55 776 

ventes de septembre à décembre (8367) 299 2.62 784 

Broutards lourds et broutards repoussés: (143307 têtes) 

417 2.38 994 


ventes de mai à août (25466) 404 2.46 995 

ventes de septembre à décembre (63801) 410 2.50 1026 

Taurillons maigres : (18214 têtes) 

443 2.32 1029 

ventes de mai à juillet (12184) 442 2.27 1006 

ventes d'août à novembre (4963) 440 2.45 1078 

Jeunes bovins vendus en vif : (6909 têtes) 

636 2.19 1396 

ventes de janvier à juillet (4143) 626 2.08 1300 

ventes d'août à décembre (2766) 651 2.37 1541 

Jeunes bovins vendus en carcasse : (26667 têtes) 

430 3.48 1497 

ventes de janvier à mars (7046) 427 3.46 1476 

ventes d'avril à juin (8517) 427 3.31 1415 

ventes de juillet à décembre (11104) 435 3.62 1573 

Bœufs finis y compris labellisés (1) : (3407 têtes) 

481 3.47 1670 




15 3

FEMELLES 

Broutardes : (49288 têtes) 

Poids et prix moyens des bovins charolais 

observés sur la campagne 2011 

(2) cf. pages 11 et 13 pour les résultats en fonction des démarches de qualité. 

15 4 


328 2.09 683 




Génisses 18-24 mois maigres : (11748 têtes) 

409 1.98 808 




Génisses finies (30-36 m) y compris labellisées (2) : (34802 têtes) 

397 3.60 1429 




Vaches maigres : (35081 têtes) 

- - 1112 

ventes de janvier à mars (9359) - - 1064 

ventes d'avril à juin (7979) - - 1063 

ventes de juillet à décembre (17743) - - 1159 

Vaches finies y compris labellisées et certifiées (2) : (73304 têtes) 

425 3.23 1373 



ventes de juillet à décembre (35859) 421 3.33 1402

Prix moyens observés sur la campagne 2011 

selon les démarches de qualité (3) 


Vaches sans signe officiel de qualité : (36442 têtes) 

416 3.18 1324 




Vaches certifiées : (15904 têtes) 

435 3.27 1422 




Vaches labellisées : (7569 têtes) 

453 3.41 1545 




Génisses non labellisées : (25380 têtes) 

390 3.49 1361 




Génisses labellisées : (6315 têtes) 

424 3.88 1643 




Bœufs non labellisés : (2191 têtes) 

468 3.39 1586 




Bœufs labellisés : (632 têtes) 

513 3.67 1881 




(3) à partir de sous-échantillons de 59 915 vaches, 31 695 génisses et 2 823 bœufs constitués des données de 

structures qui commercialisent à la fois des animaux avec et sans signe officiel de qualité. 

15 5

Evolution des prix et poids de vente 

au cours de la campagne 

Mâles maigres 

⇒ Jeunes broutards : 

Par rapport à 2010... 

15 7 

En moyenne sur l’année, les jeunes broutards ont été 

commercialisés en 2011 au même poids et à un niveau de 

prix supérieur de 2% à 2010 (2,55 €/kg contre 2,51 en 

2010, 299 kg contre 296). 

Sur la principale période de commercialisation (septembredécembre), 

les volumes commercialisés ont progressé par 

rapport à l’année 2010 dans un contexte de prix plus 

favorables. 

Le prix de 2,62 € sur les quatre derniers mois, est en 

augmentation de 8% par rapport à celui de 2010 (2,42 €), le 

prix moyen à l’animal augmente de 23 €. 

⇒ Broutards lourds et repoussés : 

Vendus en moyenne à 2,38 € le kg vif, la progression de 

prix est faible (+ 1 %), elle est de + 0,03 €/kg par rapport à 

2010. Le poids moyen à la vente est stable et le prix moyen 

à l’animal stagne et s’établit à 994 €/tête contre 984 en 

2010. 

Sur les quatre premiers mois de l’année : le poids s’est 

maintenu mais la dégradation des cours de fin 2010 s’est 

poursuivie début 2011 où le prix a baissé de - 0,15 €/kg 

comparé à début 2010. 

De nouveaux débouchés, trouvés auprès de pays 

émergeants (Algérie, Tunisie, Turquie), ont dynamisé la 

demande en fin d’année (septembre à décembre) et 

expliquent le relèvement des prix. Sur cette même période 

en comparaison avec 2010, les poids sont en légère baisse 

(- 5 kg) mais le prix a progressé de 8% (2,50 €/kg contre 

2,31) soit une plus value par tête de 66 €. 

⇒ Taurillons maigres : 

Le poids de vente (443 kg) augmente de 7 kg par rapport à 

2010 (436 kg), il est proche du poids de 2008 (446 kg). 

Comme pour les broutards sur le début de l’année, les 

taurillons ont subi une baisse du prix du kg vendu de - 0,07 

€/kg sur leur principale période de vente : mai à juillet qui 

correspond aux deux tiers des sorties de taurillons. 

En moyenne annuelle, le prix du kg vif vendu (2,32 €) reste 

identique à 2010 grâce à une amélioration de la 

conjoncture sur la période août à novembre avec un prix 

qui a progressé de + 0,15 €/kg sur cette période par rapport 

à 2010. En conséquence, l’augmentation de poids à la 

vente permet une progression du prix à la tête de + 16 € en 

2011 par rapport à 2010. 

Les résultats détaillés de ces 3 catégories, sont 

rassemblés dans les annexes 1a, 2a et 3a.

Poids en kg carc. 

440 

420 

400 

380 

360 

340 

700 

650 

600 

550 

500 

450 

400 

Jeunes bovins 



Jeunes bovins vendus en carcasse 

J F M A M J J A S O N D 

Poids carc. moyen Prix/kg carc. 

Jeunes bovins vendus en vif 

J F M A M J J A S O N D 

Poids vif moyen Prix/kg vif 

€/kg carc. 

4.2 

4.0 

3.8 

3.6 

3.4 

3.2 

€/kg vif 

2.8 

2.6 

2.4 

2.2 

2.0 

1.8 

1.6 


15 8 

⇒ Avec l’ouverture de nouveaux marchés 

méditerranéens, le nombre de jeunes bovins vendus 

en vif sur l’année 2011, a quadruplé par rapport à 

2010 (de 5% à 21%) aux dépends des jeunes bovins 

finis. Cependant, le volume total de jeunes bovins 

commercialisés reste proche de celui de 2010. 

En moyenne annuelle, les cours des jeunes bovins 

vendus en carcasse s’établissent à un prix de 3,48 

€/kg, soit une augmentation de 0,28 € (+ 9%) par 

rapport aux 3 années précédentes. 

Les cours ont fortement évolué sur l’année : au 

premier semestre, les prix ont varié entre 3,47 €/kg 

et 3,23 €/kg au plus creux en juin. Ils ont ensuite 

fortement progressé sur le second semestre pour 

atteindre 3,89 €/kg en décembre, en augmentation 

de 14 % par rapport à fin 2010. 

Les disponibilités en baisse, notamment de jeunes 

bovins laitiers, et la demande soutenue depuis 

septembre de nouveaux marchés comme la Turquie, 

sont à l’origine de cette envolée des prix. 

Le poids de vente reste stable (430 kg contre 432 en 

2010) et l’augmentation des cours fait progresser le 

prix moyen par animal de 115 €. 

⇒ La catégorie jeunes bovins vendus en vif (lots 

d'animaux pesant plus de 550 kg vifs) enregistre une 

augmentation du prix moyen au kg vif de plus de 5% 

(à 2,19 €/kg contre 2,07 en 2010). On observe une 

progression significative du poids moyen de vente de 

ces animaux (636 kg contre 595 en 2010) 

correspondant à l’ouverture de nouveaux marchés. 

Les prix ont évolué parallèlement à celui des jeunes 

bovins carcasse, avec un premier semestre entre 2,18 

€/kg et 2,01 €/kg au plus bas en juin, pour remonter 

progressivement et atteindre 2,41 €/kg en décembre. 


rassemblés dans les annexes 4 et 5a.

Bœufs finis 




915 

⇒ En moyenne sur l'année, le prix du kilo de 

carcasse des bœufs (3,47 €/kg) gagne 0,13 € soit 

+ 4% par rapport à l’année 2010. Comme pour les 

génisses finies, la progression est régulière sur le 

2ème semestre après un début d’année difficile. 

Le poids moyen de vente continue de progresser 

lentement (+2 kg) et au final, la valorisation par 

animal atteint 1 670 € en 2011 soit 70 € de plus 

qu’en 2010. 

Les volumes de bœufs commercialisés sont encore 

en régression, ils ne représentent plus que 4 000 

têtes soit à peine 10 % des mâles finis. 

⇒ Un sous-échantillon de 2823 bœufs, 

commercialisés par 6 structures, permet de préciser 

les résultats de poids et de prix de vente des bœufs 

vendus labellisés et non labellisés. 

• Pour les bœufs vendus en circuit label, qui 

représentent 22 % du volume de l'échantillon, les 

prix se relèvent en moyenne de 0,14 €/kg sur 

l'année (3,67 €/kg en moyenne), soit + 4 % par 

rapport à 2010. 

L’évolution des cours de cette catégorie suit la 

même tendance que celle de l’ensemble des bœufs 

jusqu’en septembre. Sur la fin d’année, le prix des 

bœufs labels augmente moins vite que celui des 

non labellisés. 

• Pour les bœufs non labellisés, le prix moyen au 

kilo s’établit à 3,39 €/kg contre 3,26 en 2010. 

• L'écart de prix entre les bœufs labellisés et non 

labellisés est en moyenne sur l'année de 0,28 € par 

kg de carcasse, il se maintient par rapport à 2010. 

Le poids de carcasse des bœufs labellisés est voisin 

de celui de 2010 et l’écart de poids avec les bœufs 

non labellisés (45 kg en 2011) reste stable, il était 

de 41 en 2010, 38 en 2009. 

A la tête, l'écart de prix entre les bœufs labellisés et 

non labellisés est de + 295 €, en légère progression, 

(+268 en 2010, + 249 en 2009). 

Les résultats détaillés de cette catégorie, sont 

rassemblés dans les annexes 6a, 17 et 18.

Génisses maigres 




15 10 

⇒ Le marché de la génisse maigre de moins de 

12 mois reste difficile. On note cependant une 

hausse du prix moyen au kg de 0,06 € (+ 3%), ce 

qui n’était plus le cas depuis 5 ans. Cette 

amélioration s’est réalisée sur le second semestre 

avec des effectifs commercialisés en hausse, 

évolution à relier avec le contexte de bilans 

fourragers déficitaires. 

La destination préférentielle de ces animaux vers 

les marchés du sud de l’Europe en prise avec de 

graves difficultés économiques (Espagne) explique 

en partie leur évolution plus modérée en termes de 

prix que ce que l’on observe sur les mâles. 

⇒ Sur le marché de la génisse maigre âgée de 

plus de 12 mois, le prix enregistre une hausse 

moyenne de 0,04 €, (1,98 €/kg contre 1,94 € en 

2010, 1.92 en 2009). Le poids de vente varie peu 

(409 kg en 2011 contre 410 en 2010). Au final la 

valorisation à l’animal gagne 11 € par tête. Les 

volumes mis en marché restent stables par rapport 

à 2010. 

1) Génisses sorties de janvier à avril, (plus de 

22 mois) : sur cette période, le prix (1,86 €) subit 

une nouvelle dégradation pour la 6 ème année 

consécutive de 0,03 €/kg (2,14 € en 2006), alors 

que le poids progresse de 19 kg par rapport à 2010. 

Ce marché exclusivement français, est 

structurellement dégradé (volume, segmentation, 

rapport prix et coût de production). 

2) Génisses maigres sorties de mai à juillet (13- 

16 mois) 

On observe une légère baisse des cours (1,97 €/kg 

contre 1,99 en 2010, 2,25 en 2006), et le prix à la 

tête passe à 719 € contre 727 en 2010. Le poids de 

vente moyen se maintient : 365 kg contre 366 en 

2010. L’effectif commercialisé de ce type de génisse 

est en hausse en lien avec les faibles disponibilités 

fourragères de l’année. 

3) Génisses maigres sorties d’août à décembre 

(17 - 22 mois). Sur cette période, le prix suit 

l’évolution générale du marché du maigre et on 

observe un relèvement de 0,12 €/kg (2,06 €/kg 

contre 1,94 en 2010). Le poids de vente est 

également en hausse (+ 6 kg) et la valorisation à la 

tête augmente en moyenne de 62 € (871 € contre 

809 en 2010). 


rassemblés dans les annexes 7a et 8a.

Génisses finies 




15 11 

⇒ Le volume total de génisses commercialisées 

augmente en 2011 et la part des génisses finies 

(32%) est en retrait d’un point par rapport à 2010. 

Le poids de vente moyen est identique à celui de 

2010 (397 kg) pour un prix moyen annuel en 

augmentation (3,60 €/kg contre 3,47 en 2010), 

confirmant le niveau soutenu de la demande de fin 

d’année qui affecte l’ensemble des marchés. 

On note cependant, que le niveau de valorisation 

pour cette catégorie, est proche de celui de 2010 

sur le premier trimestre, avec des poids voisins 

(405 kg contre 406 en 2010) et des prix de 

3.48 €/kg de carcasse. Sur le second trimestre, on 

observe une augmentation du poids de vente (397 

kg contre 391 en 2010) ainsi que du prix 

3.59 €/ kg contre 3.42 en 2010, entraînant une 

amélioration de la valorisation de + 86 € par tête. 

On observe une évolution similaire sur le second 

semestre. 

⇒ Les données des structures commercialisant 

des génisses labellisées et non labellisées, ont 

permis de constituer un sous-échantillon de 

31 938 animaux. 

• Les génisses labellisées, qui représentent 20 % 

de l’échantillon, ont été vendues à un prix moyen 

de 3,88 €/kg de carcasse supérieur à celui de 2010 

(3.78 €/kg de carcasse). 

• Le prix des génisses non labellisées a été en 

moyenne de 3,49 €/kg de carcasse, il augmente 

par rapport à 2010 (3,37 €). 

L’écart de prix au kg entre les "non labellisées" et 

les "labellisées" est de 0,39 €, il se réduit par 

rapport à 2010 (0,41 €). 

Les génisses finies labellisées ont un poids 

supérieur de 33 kg à celui des génisses non 

labellisées (424 kg contre 390). Cet écart de poids 

reste stable. 

Au final, le différentiel de prix par animal entre 

les génisses labellisées (1643 €) et non labellisées 

(1 361 €) s’établit en 2011 à 282 € contre 270 en 

2010. 

Les résultats détaillés de cette catégorie, sont 

rassemblés dans les annexes 9a, 15 et 16.

Vaches 




12 

15 

⇒ Les vaches maigres ont été commercialisées 

en moyenne à 1 112 € par tête en 2011, soit une 

hausse de 83 € (+ 8%) 

Les vaches maigres représentent 32% des vaches 

commercialisées, pour un poids vif moyen de 

686 kg, égal à celui de 2010. Le prix du kg vif 

suit l’évolution du marché du maigre avec 

notamment une forte progression sur le second 

semestre. En moyenne, il s’établit à 1,64 €/kg de 

poids vif contre 1.54 en 2010 soit + 6,5%. 

La sécheresse de 2011 a obligé les éleveurs à 

déstocker. C’est sur le deuxième semestre que les 

apports de vaches maigres augmentent de façon 

significative. 

⇒ En 2011, le prix des vaches finies, y compris 

celles commercialisées labellisées, est en hausse 

de 0,16 € par kg de carcasse (+5%). Leur prix 

moyen s’établit à 3,23 € par kg de carcasse 

contre 3.07 en 2010. 

Les volumes de vaches commercialisées par les 

mêmes structures sont en augmentation par rapport 

à 2010. La part des vaches finies sur le total de 

vaches (68%) est en baisse de 1 point par rapport à 

2010. 

En 2011, le poids moyen atteint 425 kg de 

carcasse, (+ 3 kg par rapport à 2010). 

Compte tenu de ces évolutions de prix au kilo de 

carcasse, le prix moyen à l’animal s’établit à 

1 373 €. Il est supérieur de 78 € à celui de la 

campagne 2010, après une forte chute subie en 

2009. 

L’écart de prix entre les vaches maigres et les 

vaches finies est de 261 € (266 € en 2010), il 

reste à un niveau comparable à celui connu sur 

les 5 années précédentes. 


rassemblés dans les annexes 10a et 11a.

Valorisation des vaches et démarches de qualité 


et démarches de qualité 

A noter... 

13 

15 

⇒ En 2011, 6 organismes sur 15 

commercialisent à la fois des vaches labellisées, 

sous certificat de conformité de produit (CCP) et 

sans signe officiel de qualité. 

A partir de ces données, un échantillon de 

59 915 vaches a été extrait. Dans ce souséchantillon, 

40 % des vaches sont vendues sous 

signe officiel de qualité (+ 7% par rapport à 

2010). Parmi celles-ci, la part des vaches 

certifiées (67%), est en légère hausse par rapport 

à 2010 (+ 4%). 

• Le prix moyen des vaches vendues sans signe 

officiel de qualité est de 3,18 € par kg (+ 0,18 € 

par rapport à 2010), pour un poids moyen de 

carcasse de 416 kg (contre 414 en 2010, 408 en 

2009, 406 en 2008). 

• Les vaches finies certifiées sont 

commercialisées quasiment au même poids 

qu’en 2010, mais à un prix plus élevé : 435 kg 

de carcasse (+ 3 kg) et 3,27 €/kg (+ 0,15 €). Par 

rapport aux vaches vendues sans signe officiel 

de qualité, l’écart par animal est de 98 € contre 

107 en 2010. 

• Les vaches finies labellisées sont 

commercialisées à un poids voisin de celui de 

2010 : 453 kg de carcasse (+ 2 kg). Leur prix 

(3,41 €) enregistre une hausse de 0,12 €/kg. 

L'écart de prix entre les vaches hors signes de 

qualité et les vaches labellisées est de 221 € (en 

baisse de 22 € par rapport à 2010) pour une 

différence de poids de 37 kg. 

⇒ En résumé, en 2011 les cours se redressent 

sur le second semestre pour l’ensemble des 

circuits. Les vaches vendues sans signe officiel 

de qualité sont commercialisées à 3,18 €/kg de 

carcasse contre 3,00 en 2010, les vaches 

certifiées ont suivi le même mouvement : 3,27 €/ 

kg de carcasse contre 3,12 en 2010. Il en est de 

même pour les vaches vendues labellisées avec 

un prix de vente moyen de 3,41€/kg de carcasse 

contre 3,29 en 2010. 


rassemblés dans les annexes 12, 13 et 14.

Annexes 

15

Synthèse établie à partir des données d'Actis Bovins, Elvea 71, Elvea 21-89, Bourgogne Elevage, Cadran Châteaumeillant SA, Ccbe, Charolais Horizon, Cialyn, Covido-Bovicoop, Gecsel, Sicaba, Sicafome, Sicagémac, Sicagieb et Socaviac





Synthèse établie à partir des données d'Actis Bovins, Elvea 71, Elvea 21-89, Bourgogne Elevage, Cadran Châteaumeillant SA, Ccbe, Charolais Horizon, Cialyn, Covido-Bovicoop, Gecsel, Sicaba, Sicafome, Sicagémac, Sicagieb et Soca 

Bœufs finis 

Évolution du prix mensuel du kg de carcasse 

et répartition mensuelle des sorties de 2005 à 2011 

% des ventes 

annuelles 

€/kg carcasse 

25% 

3,8 

3,6 

3,4 

20% 

3,2 

3,0 

15% 

2,8 

2,6 

10% 

2,4 

2,2 

2,0 

5% 

1,8 

1,6 

0% 

1,4 

JFMAMJJASONDJFMAMJJASONDJFMAMJJASONDJFMAMJJASONDJFMAMJJASONDJFMAMJJASONDJFMAMJJASOND 

2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 

Production de bœufs en recul 

Découplage partiel PMTVA 

Bilan de santé PAC 

Découplage total PAB 

Crise 

économique 

Découplage de la PSBM 

et du complément extensif 

Découplage partiel de la PAB 

Annexe 6 b d'après les données commerciales de structures du Bassin Charolais











Synthèse établie à partir des données d'Actis Bovins, Elvea 71, Elvea 21-89, Bourgogne Elevage, Cadran Châteaumeillant SA, Ccbe, Charolais Horizon, Cialyn, Covido-Bovicoop, Gecsel, Sicaba, Sicafome, Sicagémac, Sicagieb et Socaviac 

89, Bourgogne Elevage, Cadran


Synthèse établie à partir des données d'Actis Bovins, Elvea 71, Elvea 21-89, Bourgogne Elevage, Cadran Châteaumeillant SA, Ccbe, Charolais Horizon, 

Cialyn, Covido-Bovicoop, Gecsel, Sicaba, Sicafome, Sicagémac, Sicagieb et Socaviac. 

Réseau d’élevage charolais Annexe 19 Mai 2012

Adresses des organismes 

ACTIS BOVINS 197, Rue Charlieu 42300 ROANNE 

BOURGOGNE ELEVAGE Rue de l'Oze 21150 VENAREY LES LAUMES 

CADRAN CHATEAUMEILLANT SA 18370 CHATEAUMEILLANT 

CCBE Courtille 23000 GUERET 

CHAROLAIS HORIZON Les Essards - BP 40 71601 VITRY EN CHAROLLAIS 

CIALYN 7, Rue Jules Rimet 89400 MIGENNES 

COVIDO-BOVICOOP Les Picouts 63340 CHAMPS 

ELVEA 71 ZA Champ du village 71120 CHAROLLES 

ELVEA 21-89 4, Rue Hubert Languet 21350 VITTEAUX 

GECSEL Molaise 71120 CHAROLLES 

SICABA 03160 BOURBON L'ARCHAMBAULT 

SICAFOME Route de Châtillon 58290 MOULINS ENGILBERT 

SICAGEMAC 58800 CORBIGNY 

SICAGIEB Ferme de Montedoux 03340 MONTBEUGNY 

SOCAVIAC Le Chaumat 03430 VILLEFRANCHE D'ALLIER 

CA de l'Allier 60, Cours Jean Jaurès 03017 MOULINS 

CA du Cher 2701, Route d'Orléans 18230 ST DOULCHARD 

CA de la Côte d'Or Pôle Agricole Pouilly-en-Auxois 21320 CREANCEY 

CA de l'Indre 24, Rue des Ingrains 36022 CHATEAUROUX CEDEX 

CA de l'Indre et Loire 38, Rue Augustin Fresnel 37171 CHAMBRAY LES TOURS 

CA de la Loire 23, Bd Charles de Gaulle 42120 LE COTEAU 

CA de la Nièvre 25, Boulevard Léon Blum 58028 NEVERS CEDEX 

EDE du Puy de Dôme 11, Allée Pierre de Fermat 63171 AUBIERE CEDEX 

CA de la Saône et Loire 59, Rue du 19 mars 62 71010 MACON 

CAIAC-EDE 3, Rue Jules Rimet 89400 MIGENNES

Carnet d’adresses 

Daniel LAFAYE 

Chambre d'Agriculture de l'Allier 

60 cours Jean Jaurès - BP 1727 

03017 MOULINS 

Tél. 04 70 48 42 42 

Louis-Marie de BOURAYNE 

Chambre d'Agriculture du Cher - EDE 

2701, Route d'Orléans - BP 10 

18230 ST DOULCHARD 

Tél : 02.48.23.04.00 

Vincent DOAL 

Chambre d'Agriculture de Côte d'Or - EDE 

Pôle Agricole de Pouilly en Auxois 

21320 CREANCEY 

Tél : 03.80.90.89.09 

Claude VINCENT 

Chambre d'Agriculture de l'Indre - EDE 

24 rue des Ingrains 

36022 CHATEAUROUx CEDEx 

Tél. 02 54 61 61 54 

Yann PROUTEAU 

Chambre d'Agriculture de l'Indre et Loire 

38 rue Augustin Fresnel - BP 139 

37171 CHAMBRAY LES TOURS 

Tél. 02 47 48 37 63 

Christian BOURGE & Frédérique MARCEAU 

Chambre d'Agriculture de la Nièvre 

25 bd Léon Blum - BP 80 

58028 NEVERS CEDEx 

Tél. 03 86 93 40 00 

Remerciements : 

Merci aux fournisseurs des données commerciales 

et aux équipes des réseaux d’élevages charolais. 

Nous remercions vivement les responsables des 

organismes cités ci-contre et leurs techniciens et 

informaticiens, qui en rendant possible la constitution 

d’un large échantillon de données commerciales, ont 

permis une analyse des ventes de la campagne 2011 

sur le bassin charolais. 

Bruno MAUGUE 

Chambre d'Agriculture du Puy de Dôme 

11, Allée de Fermat 

63171 AUBIERE CEDEx 

Tél : 04.73.44.45.46 

Thierry LAHEMADE 

Chambre d'Agriculture de Saône et Loire - EDE 

59 rue du 19 mars 62 - BP 522 

71010 MACON 

Tél. 03 85 29 56 13 

Jérôme LAVIRON 

C.A.I.A.C. - E.D.E de l'Yonne 

3 rue Jules Rimet 

89400 MIGENNES 

Tél. 03 86 92 36 35 

Guy MURON 

Chambre d'Agriculture de la Loire - EDE 

23, Bd Charles de Gaulle 

42120 LE COTEAU 

Tél : 04.77.67.80.60 

Jean-Paul BELLAMY 

Institut de l'Élevage 

Département Actions Régionales 

2 Ter rue du Ravelin 

58000 NEVERS 

Tél. 03 86 36 90 44 

Données commerciales fournies par : 

ACTIS BOVINS (42) 

BOURGOGNE ELEVAGE (21) 

CADRAN CHATEAUMEILLANT SA (18) 

CCBE (23) 

CHAROLAIS HORIZON (71) 

CIALYN (89) 

COVIDO-BOVICOOP (03-63) 

ELVEA 71, ELVEA 21-89 

GECSEL (71) 

SICABA (03) 

SICAFOME (58) 

SICAGEMAC (58) 

SICAGIEB (03) 

SOCAVIAC (03)

POIDS ET PRIX DE VENTE 

DES ANIMAUX CHAROLAIS EN 2011 

Ce document présente la synthèse globale des prix payés aux éleveurs et des poids de vente des animaux 

commercialisés en 2011 dans le Bassin Charolais. Elle a été réalisée à partir de 653 314 données 

commerciales - dont 499 810 bovins de race charolaise - fournies par ACTIS BOVINS (42), BOUR- 

GOGNE ELEVAGE (21), CADRAN CHATEAUMEILLANT SA (18), CCBE (23), CHAROLAIS 

HORIZON (71), CIALYN (89), COVIDO-BOVICOOP (03-63), ELVEA 71, ELVEA 21-89, GECSEL (71), 

SICABA (03), SICAFOME (58), SICAGEMAC (58), SICAGIEB (03), SOCAVIAC (03). 

La situation de marché dégradé en 2010 pour les bovins commercialisés maigres s’est poursuivie sur le 

1er semestre 2011. Quant à la viande finie, le redressement des cours entamé fin 2010 a continué tout 

au long de l’année 2011. 

Avec l’ouverture de nouveaux marchés à l’export, (Algérie, Tunisie, Turquie) la demande s’est intensifiée 

sur le second semestre et a entraîné une hausse significative des cours à la fois pour la viande finie 

comme pour la viande maigre en touchant notamment la commercialisation des mâles en fin d’année. 

Pour autant, l’impact annuel de cette évolution des cours reste mesuré sur les mâles maigres, les animaux 

les plus lourds ayant été commercialisés sur le premier semestre dans une conjoncture de prix plus dégradée 

que celle de 2010. 

Le marché des femelles maigres bénéficie lui aussi de cette embellie de fin d’année mais reste moins dynamique 

que celui des mâles parce qu’impliqué dans des débouchés limités à la France ou à une Europe 

du sud en proie à une situation économique difficile. 

LES PARTENAIRES FINANCEURS 

FranceAgriMer 

Le Ministère de l’Agriculture (CASDAR) 

Le suivi et la valorisation annuelle des données 

de l’échantillon national des exploitations suivies 

dans le cadre du dispositif RECP (Socle national) 

sont cofinancés au plan national par FranceAgriMer 

(dans le cadre du soutien aux filières pour l’amélioration 

des conditions de production) et par le Ministère de 

l’Agriculture (CASDAR) dans le cadre du PNDAR 

2009-2013. L’acquisition de données issues d’exploitations 

complémentaires au Socle national ainsi que la réalisation 

d’études ou de valorisations thématiques du dispositif 

relèvent d’autres sources de financement. 

Juin 2012 

Document édité par l’Institut de l’Élevage 

149 rue de Bercy 75595 Paris CEDEx 12 - www.idele.fr - PUB IE : 00 12 54 xxx 

LES RÉSEAUX D’ÉLEVAGE 

POUR LE CONSEIL ET 

LA PROSPECTIVE (RECP) 

Issu d’un partenariat associant l’Institut 

de l’Élevage, les Chambres d’agriculture 

et des éleveurs volontaires, le dispositif 

des RECP repose sur le suivi d’un 

échantillon d’environ 2000 exploitations 

qui couvrent la diversité des systèmes de 

production d’élevage bovin, ovin et caprin 

français. Il constitue un observatoire 

de la durabilité et de l’évolution 

des exploitations d’élevages. 

Ce dispositif permet également 

de simuler les conséquences de divers 

changements (contexte économique, 

réglementations, modes de conduite) 

sur l’équilibre des exploitations. 

Ses nombreuses productions sous forme 

de références ou d’outils de diagnostic 

alimentent des actions de conseil 

et de transfert vers les éleveurs 

et leurs conseillers. 

Crédit photos : J.C. Dupuy (INOVLIM) 

Création : Bêta Pictoris - Réalisation : Katia BRULAT

Poids et prix de vente des animaux charolais en 2011 - Chambre d ...

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