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Biographie des artistes Violaine Morinville a une Maîtrise en danse ...

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<strong>Biographie</strong> <strong>des</strong> <strong>artistes</strong><br />

<strong>Violaine</strong> <strong>Morinville</strong> a <strong>une</strong> <strong>Maîtrise</strong> <strong>en</strong> <strong>danse</strong> de l'UQAM<br />

(spécialisée <strong>en</strong> Qi Gong). Elle a fondé le programme <strong>danse</strong> et<br />

couleurs, le groupe Qi Motion (avec installations chorégraphiques)<br />

et <strong>une</strong> plateforme de diffusion: 20-20 interarts, <strong>danse</strong>+arts. Elle<br />

offre <strong>des</strong> stages et performances pour divers événem<strong>en</strong>ts ou<br />

festivals internationaux. Elle explore l'av<strong>en</strong>ue de la vidéo<strong>danse</strong> et<br />

est nouvellem<strong>en</strong>t chroniqueuse de <strong>danse</strong> à la radio.<br />

Blog: 20-20interarts.blogspot.com<br />

Johanna Bi<strong>en</strong>aise a reçu sa formation <strong>en</strong> <strong>danse</strong> jazz, classique et<br />

contemporaine à Aix-<strong>en</strong>-Prov<strong>en</strong>ce (France). En 2001, elle obti<strong>en</strong>t un<br />

diplôme d'état de professeure de <strong>danse</strong> contemporaine puis se<br />

perfectionne <strong>en</strong> tant qu'interprète au c<strong>en</strong>tre chorégraphique national de<br />

Montpellier. Installée à Montréal depuis août 2002, elle s'est jointe à la<br />

compagnie FLAK de José Navas de 2002 à 2004, pour la création, la<br />

tournée et l'adaptation télévisuelle d'Adela, mi amor. On a pu par la suite<br />

la voir dans le travail de chorégraphes et metteurs <strong>en</strong> scène<br />

indép<strong>en</strong>dants: Tracy McNeil, Monique Romeiko, Erin Flynn, Katya<br />

Montaignac, Anne-Sophie Rouleau. De 2006 à 2007, Johanna participe<br />

<strong>en</strong> tant qu'interprète et collaboratrice au projet de recherche-création de<br />

l'Abécédaire du corps dansant, dirigé par Andrée Martin, qui a été<br />

prés<strong>en</strong>té à Montréal, Paris, Mexico et Santiago de Chile. Elle a<br />

égalem<strong>en</strong>t été membre de la 2 e Porte à Gauche de 2006 à 2009 au sein de<br />

laquelle elle a participé à différ<strong>en</strong>ts projets de création in situ (7 1/2 à<br />

Part., 9 1/2 à Part., Blind date : un r<strong>en</strong>dez-vous chorégraphique, The Art<br />

(prononcez dehors) I et II). Parallèlem<strong>en</strong>t à sa carrière d'interprète<br />

Johanna a obt<strong>en</strong>u <strong>une</strong> maîtrise <strong>en</strong> <strong>danse</strong> à l'UQAM <strong>en</strong> 2007 et poursuit<br />

un doctorat <strong>en</strong> Étu<strong>des</strong> et Pratiques <strong>des</strong> Arts sout<strong>en</strong>ue par le FQRSC et le


CRSH. Dans le cadre de ses recherches, Johanna a réalisé <strong>en</strong> 2010 un<br />

projet de <strong>danse</strong> solo intitulé X3 mettant <strong>en</strong> jeu l’univers de trois<br />

chorégraphes : Kelly Ke<strong>en</strong>an, George Stamos et Anne-Marie Pascoli.<br />

Maryse Carrier // Interprète<br />

Formée à Québec, Maryse <strong>danse</strong> avec la compagnie Danse Partout<br />

p<strong>en</strong>dant trois ans. À Montréal et à Toronto, elle travaille avec<br />

plusieurs chorégraphes comme Jean-Pierre Perreault, Tom Stroud<br />

et Bill James. De 1990 à 1993, elle <strong>danse</strong> avec Montanaro Danse<br />

et à l’été de 1992, elle obti<strong>en</strong>t <strong>une</strong> bourse et poursuit son<br />

<strong>en</strong>traînem<strong>en</strong>t à New-York. Depuis qu’elle s’est jointe à Montréal<br />

Danse <strong>en</strong> 1993, Maryse a ajouté à sa formation de <strong>danse</strong>use <strong>des</strong><br />

cours de chant, de théâtre et a obt<strong>en</strong>u un diplôme <strong>en</strong> maquillage<br />

artistique. En 1999, elle joue dans La dernière Scène de Louis<br />

Champagne, <strong>une</strong> production de Mom<strong>en</strong>tum prés<strong>en</strong>tée au MAI. En<br />

2004 et 2006, Maryse joue dans les Maisons de la Culture de<br />

Montréal et à la salle Fred Barry La Maison de Bernarda mise <strong>en</strong><br />

scène de Marie-Josée Gauthier. En février 2010, elle collabore<br />

avec l’artiste Nathalie Claude pour le projet de recherche<br />

chorégraphique Cher Dear Deer prés<strong>en</strong>té à Montréal.<br />

À l’automne 2010 , après 17 années passées à <strong>danse</strong>r et tourner <strong>en</strong><br />

Amérique du nord , du sud et <strong>en</strong> Europe avec Montréal Danse ,<br />

Maryse quitte la compagnie mais poursuit avec eux “Danse contre<br />

la viol<strong>en</strong>ce”. C’est un projet qui mise sur l’<strong>en</strong>seignem<strong>en</strong>t du<br />

mouvem<strong>en</strong>t aux femmes <strong>en</strong> maison d’hébergem<strong>en</strong>t. Elle veut<br />

maint<strong>en</strong>ant continuer à <strong>danse</strong>r mais <strong>en</strong> mettant son énergie sur <strong>des</strong><br />

projets personnels.<br />

Isabel Mohn<br />

Originaire de Berlin, Isabel Mohn s’installe à Montréal <strong>en</strong> 1995 pour<br />

parfaire sa formation <strong>en</strong> <strong>danse</strong>. Diplômée de LADMMI, l’école de <strong>danse</strong><br />

contemporaine, <strong>en</strong> 1999, elle <strong>en</strong>trepr<strong>en</strong>d dès lors <strong>une</strong> carrière de<br />

chorégraphe-interprète indép<strong>en</strong>dante. Parmi les nombreux stages de<br />

perfectionnem<strong>en</strong>t qu’elle a suivis au cours <strong>des</strong> dernières années, Isabel<br />

s’est notamm<strong>en</strong>t r<strong>en</strong>due au Japon pour étudier le Butoh auprès du maître<br />

Kazuo Ohno. Ses créations, Le Petit Coin Bleu ou Dreams of Love and<br />

Murder, Petite <strong>danse</strong> <strong>en</strong> fa#, My One and Lonely (vu par le journal ICI<br />

comme un <strong>des</strong> meilleurs spectacles de l’année 2002), Là-bas, et Perfect<br />

Stranger ont été prés<strong>en</strong>tées sur la scène montréalaise (<strong>en</strong>tre autres à


Tang<strong>en</strong>te et dans les Maisons de la culture), mais aussi <strong>en</strong> Finlande et à<br />

Terre-Neuve. Sa dernière création, The Home Project, est <strong>une</strong><br />

collaboration <strong>en</strong>tre <strong>artistes</strong> canadi<strong>en</strong>s et allemands. Elle et a été prés<strong>en</strong>tée<br />

à Tang<strong>en</strong>te et à Schwankhalle à Brême <strong>en</strong> Allemagne au printemps 2010.<br />

La r<strong>en</strong>contre humaine est au coeur de ses créations. Explorant ce thème<br />

avec humour et s<strong>en</strong>sibilité, Isabel prés<strong>en</strong>te souv<strong>en</strong>t ses pièces dans <strong>des</strong><br />

espaces et configurations autres que traditionnels pour créer un rapport<br />

nouveau avec le public. À travers <strong>une</strong> approche ludique qui intègre <strong>des</strong><br />

élém<strong>en</strong>ts de <strong>danse</strong>, de théâtre et de performance, elle vise à rejoindre<br />

autant un public averti que néophyte.<br />

Louliko Shibao<br />

Louliko est diplômée <strong>en</strong> 2008 de LADMMI, École professionnelle de<br />

<strong>danse</strong> contemporaine de Montréal. Elle obti<strong>en</strong>t par l’OQWBJ le privilège<br />

de participer à <strong>des</strong> stages de perfectionnem<strong>en</strong>t <strong>en</strong> <strong>danse</strong> à Bruxelles.<br />

Développant un intérêt particulier dans les <strong>en</strong>jeux physiques<br />

qu’impliqu<strong>en</strong>t les arts martiaux et l’improvisation, elle continue son<br />

<strong>en</strong>traînem<strong>en</strong>t avec la Capoeira et fait partie de la ligue d'impromouvem<strong>en</strong>t<br />

Les Impru<strong>danse</strong>s depuis 2006. Elle participe à <strong>une</strong> œuvre<br />

chorégraphique de Lucie Grégoire, "Le Retour du Temps", travaille pour<br />

le dramaturge Daniel Danis dans "La Trilogie <strong>des</strong> Flous", pour Marie<br />

Béland dans le projet "Les Précéd<strong>en</strong>ts" et pour Roger Sinha dans la<br />

reprise de "B<strong>en</strong>ches". De plus, Louliko pr<strong>en</strong>d part dans nombreuses<br />

interv<strong>en</strong>tions et performances de la compagnie Human Playground.<br />

C’est avec cette dernière qu’elle <strong>danse</strong> lors du Festival Juste pour Rire<br />

dans "Auto- Fiction", un trio humain pour <strong>une</strong> voiture, chorégraphié par<br />

Milan Gervais.<br />

Sa curiosité <strong>des</strong> pratiques d’ici et d’ailleurs l’amène souv<strong>en</strong>t sur les<br />

routes du Canada, de l’Europe et de l’Asie. En 2009, Louliko réalise<br />

avec le souti<strong>en</strong> du CALQ <strong>une</strong> recherche <strong>en</strong> <strong>danse</strong> au Japon et participe<br />

au stage int<strong>en</strong>sif Deltebre Dansa <strong>en</strong> Espagne.<br />

Daniel Soulières<br />

Dynamique au sein du milieu de la <strong>danse</strong> montréalaise depuis plus de<br />

tr<strong>en</strong>te ans, Daniel Soulières est le fondateur et directeur artistique de la<br />

compagnie Danse-Cité qu’il a créée, le 25 mai 1982.<br />

Daniel Soulières est l’interprète de 191 créations pour <strong>une</strong> cinquantaine<br />

de chorégraphes, qui totalis<strong>en</strong>t près de 1000 spectacles sur scène<br />

prés<strong>en</strong>tés <strong>en</strong> Amérique, <strong>en</strong> Australie et <strong>en</strong> Europe. Il est soliste, <strong>en</strong>tre<br />

autres, pour les chorégraphes Louise Bédard, Danièle Desnoyers, James


Kudelka, Jean-Pierre Perreault et Linda Rabin.<br />

Par ailleurs, Daniel Soulières partage l’univers « perreauesque » p<strong>en</strong>dant<br />

plus de vingt ans. Depuis la chorégraphie-r<strong>en</strong>contre Dix minutes <strong>en</strong> 1980<br />

(dev<strong>en</strong>ue par la suite un solo), il a dansé la plupart <strong>des</strong> œuvres du<br />

chorégraphe Jean-Pierre Perreault.<br />

Daniel Soulières travaille avec plusieurs metteurs <strong>en</strong> scène, notamm<strong>en</strong>t<br />

D<strong>en</strong>is Marleau et Gilles Maheu. Il est de la distribution de quinze films,<br />

notamm<strong>en</strong>t Sullivan de Françoise Dugré (2010), Élégie de Bernar Hébert<br />

(2004), La fin de la voix d’Olivier Asselin (2002) et Mozart, l’<strong>en</strong>fant de<br />

la musique de Raymond St-Jean (1999). Daniel Soulières est aussi<br />

chorégraphe.<br />

Nika Stein<br />

Nika Stein a obt<strong>en</strong>u son baccalauréat <strong>en</strong> <strong>danse</strong> à l'Université Concordia<br />

et sa maîtrise <strong>en</strong> <strong>danse</strong> au Texas Woman's University.<br />

Professionnellem<strong>en</strong>t, elle s'id<strong>en</strong>tifie comme chorégraphe/interprète<br />

interdisciplinaire. Ses créations célèbr<strong>en</strong>t la vie dans le s<strong>en</strong>s du processus<br />

fondam<strong>en</strong>tal qui se manifeste à travers les corps vivants et<br />

l'<strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>t tout <strong>en</strong> s'opposant aux structures et pratiques sociétales<br />

qui empêch<strong>en</strong>t l'expression de la vie. Nika est prête à transc<strong>en</strong>der les<br />

frontières <strong>des</strong> disciplines particulières dans la recherche d'un vocabulaire<br />

et d'un contexte qui va correspondre à ses int<strong>en</strong>tions chorégraphiques.<br />

Ses œuvres principales sont:<br />

Chorégraphie qui mène à la satisfaction, 2004<br />

Un voyage de libération à travers différ<strong>en</strong>ts émotions allant <strong>des</strong> plus<br />

souffrantes comme la peur et la peine à la circulation du plaisir dans le<br />

corps.<br />

Accumulation…, ça pr<strong>en</strong>ds du temps, 2006<br />

Une performance exécutée dans les <strong>en</strong>droits extérieurs, sur l'herbe, les<br />

roches, la boue, etc. Son but est l'accumulation de l'énergie dans le corps<br />

à partir de la relation fondam<strong>en</strong>tale avec la Terre.<br />

Les Filles, 2007<br />

Une performance interdisciplinaire ayant lieu dans <strong>une</strong> chapelle,<br />

accompagnée d'orgue et de chant. Nika s'installe <strong>en</strong> Vierge Marie sur un<br />

fauteuil pour accueillir <strong>des</strong> filles (interprétées par <strong>des</strong> je<strong>une</strong>s femmes de<br />

différ<strong>en</strong>tes origines ethniques) dans ses bras.


L’accessibilité de l’expéri<strong>en</strong>ce du mouvem<strong>en</strong>t à divers populations dans<br />

l’optique d’empowerm<strong>en</strong>t est l’<strong>une</strong> <strong>des</strong> préoccupations majeures de Nika<br />

Stein comme artiste. Nika travaille comme facilitatrice <strong>des</strong> ateliers<br />

d’expression corporelle et de <strong>danse</strong> depuis 1998. Prés<strong>en</strong>tem<strong>en</strong>t Nika<br />

anime les ateliers d’expression créative pour les femmes autochtones au<br />

C<strong>en</strong>tre <strong>des</strong> Femmes de Montréal.

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