Broch. in-8° de 10 p., signée à la fin. Le Général Fleury venait d ...

HUZ — 663 — HUZ
quelques anciens ouvrages de vétérinaire;
par M. Huzard, de l'Institut
Royal de France. Paris, Imp.
de M m " Hussard (née Vallat-la-
Chapelïe), 1827.
Broch. in-8° de 24 p.
Huzard a aussi publié plusieurs opuscules
sur les races bovine et ovine. Mais
l'énumération ci-dessus de ceux de ses
ouvrages qui ont été tirés à part ne donne
qu'une faible idée de ses travaux, presque
tous disséminés dans diverses publications
périodiques ou autres. C'est ainsi qu'il a
contribué à la rédaction des notes savantes
qui ont été ajoutées à l'éd 0 " de 1806 du
Théâtre d'agriculture d'Olivier de Serres,
qu'il a collaboré au Dictionnaire d'Agriculture,
à celui d'Histoire naturelle publié
par Déterville, au Cours et surtout
aux Annales d'agriculture. Plus de 300
articles du Dictionnaire de médecine de
l'Encyclopédie Méthodique lui sont dus,
et pendant vingt ans il rédigea les rapports
sur les Concours de Mémoires de
Médecine vétérinaire. Il a aussi publié
d'intéressants articles de Bibliographie
et avait réuni douze volumes in-f° de
rapports et de procès-verbaux, imprimés
et manuscrits, sur des questions d'arbitrage,
de garantie et de jurisprudence
vétérinaire.
HUZARD (Jean-Baptiste) dit
HUZARD fils.
Vétérinaire français, fils du précédent,
1793-1878. Elève d'Alfort, de 1812 à 1814,
il y devint répétiteur et quitta l'Ecole
en 1818 pour s'établir à Paris. Dans de
nombreux voyages, il fit à l'étranger une
étude particulière des questions chevalines.
Ses travaux et surtout le nom de
son père lui ouvrirent les portes de plusieurs
Sociétés savantes : il était membre
de l'Académie de médecine, delà Société
centrale d'Agriculture, du Conseil de
Salubrité, et fut l'un des fondateurs de
la Société centrale de Médecine vétérinaire.
La similitude de ses prénoms avec
ceux de son père est cause qu'on les
a quelquefois confondus et qu'on a commis,'dans
les catalogues ou les bibliographies,
de fréquentes erreurs pour
l'attribution de leurs ouvrages.
Notice sur les Chevaux Anglais
et sur les Courses en Angleterre, lue
àlaSociété royale et centraled'Agriculture,
le 7 mai, et à VAcadémie
royale des Sciences, le 28 Juillet
1817, par M. Huzard fils, Médecin
vétérinaire, Correspondant de la
Société royale et centrale d'Agriculture,
Membre adjoint au Conseil
de Salubrité. Paris, M' ue Hu\ard
(née Vallat-la-Chapelle), 1817.
Broch. in-8° de 51 p. Les 9 dernières
contiennent le rapport fait par Silvestre
à l'Académie des Sciences au sujet de la
Notice et l'approbation de cette Compagnie.
Huzard, qui venait de faire un voyage
d'études en Angleterre, rend justice
à l'institution des courses et à la supériorité
des chevaux anglais, mais il n'approuve
pas leur usage comme étalons
améliorateurs en France.
Esquisse de Nosographie vétérinaire
par Huzard fils (Extrait du
nouveau Dictionnaire d'Histoire
naturelle), 1818.
1 vol. in-8° de 141 p.
Au moment de l'impression du Dictionnaire
de Déterville, Huzard avait fait
tirer pour lui quelques exemplaires de
l'article Médecine vétérinaire en en modifiant
le titre. C'est l'éd 0 " ci-dessus,
à peu près disparue. Il la fit, deux ans
plus tard, réimprimer sous le même titre,
avec quelques corrections et additions.
Esquisse de Nosographie vétérinaire
par J.-B. Huzard fils, Médecin-vétérinaire,
Correspondant de
la Société royale et centrale d'Agriculture.
Seconde Edition. Paris,
M me Hu\ard et che\Déterville, 1820.
1 vol. in-8° de 342 p. dont la plus
grande partie est consacrée aux maladies
du Cheval.
L'ouvrage a été contrefait à Bruxelles
en 1820 et réimprimé en 1822
sous forme à.'Extrait du Nouveau
Cours complet d'Agriculture. Nouvelle
Edition.
Quelques observations sur l'Introduction
d'un ouvrage intitulé :
Cours théorique et pratique de
marèchallerie vétérinaire, par
M. Jau\e, Vétérinaire, etc., par
J.-B. Huzard fils, Médecin-Vétérinaire,
Paris, M me Huzard, 1818.
Broch. in-4 0 de 23 p.
Cette critique, souvent judicieuse, ne
fut pas du goût de Jauze, qui publia
aussitôt une Réponse à un opuscule...
dans laquelle il désigne Huzard sous le
titre de « Monsieur le jeune vétérinaire ».
(Voy. Jauze.)
Des assemblées agricoles en