Annonceur Hebdo-Litho (Page 1) - Sorel-Tracy Région

L'
annonceur
NNoouuss vvoouuss ppllaaççoonnss aauu ccœœuurr ddee ll''éévvéénneemmeenntt
Vol. 7 No. 12 Édition du 26 août au 8 septembre 2009 25 000 exemplaires
PHOTO SÉBASTIEN LACROIX
Près de 2000 partisans
venus saluer le retour
du hockey à Sorel PAGE 2
PHOTO SÉBASTIEN LACROIX
Le Challenge 255
atteint le cap des
20 000 visiteurs PAGE 4
PRENDRE SA SANTÉ EN MAINS
CAHIER SPÉCIAL À CONSERVER
PAGES 13 À 20
PHOTO FREEZEFRAME STUDIO

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L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
ACTUALITES
Par Sébastien Lacroix
Près de 2 000 personnes sont
venues saluer le retour du hockey
junior majeur, dimanche dernier,
au Colisée Cardin de Sorel-Tracy,
là où le dernier match de la LHJMQ
à y être joué datait d’une trentaine
d’années.
En plein été, avec une chaleur
intense à l’extérieur, une foule
estimée à 1 837 spectateurs a
assisté à un match hors-concours
opposant les Tigres de Victoriaville
aux Olympiques de Gatineau.
Évidemment, comme il s’agissait
d’un match d’exhibition, la foule
n’était pas aussi enthousiaste que
lorsqu’il s’agit de « leur » équipe,
mais a tout de même réservé un
bel accueil aux deux équipes.
Comme les Tigres étaient
l’équipe «locale» puisque c’est l’organisation
qui a accepté de venir
FESTIVAL DES GROS CASQUES DE YAMASKA DU 28 AU 30 AOÛT
PHOTO SÉBASTIEN LACROIX
Si le Colisée Cardin répond déjà davantage aux normes que quelques équipes de la LHJMQ, les rénovations
consisteraient à surélever les estrades jusqu'à la hauteur de la passerelle pour éliminer le problème
des piliers en acier, installer une vingtaine de loges, ajouter une rangée à l'arrière, profiter de l'espace libre
entre la bande et les estrades et installer des bancs jusqu'en haut, à une des extrémités.
Du junior majeur présenté à Sorel-Tracy
jouer au Colisée, la foule était
derrière eux. Même des partisans
des Tigres, qui affichaient leurs
couleurs, avaient fait le voyage
depuis Victoriaville.
Les Sorelois étaient aussi venus
voir jouer Philippe Michael-Devos,
le capitaine des Tigres. Le joueur
originaire de Sorel ne les a pas
déçus, inscrivant le but d’assurance
en deuxième période en plus d’être
nommé la première étoile du
match, ce qui lui a d’ailleurs valu
des applaudissements nourris.
Le match, qui s’est soldé par un
pointage de 3 à 1 en faveur des
Tigres, était organisé par le comité
de relance des Éperviers, nom
d’une concession de la LHJMQ qui
est disparue depuis 1981. Une partie
des profits dégagés a été versée au
hockey mineur.
Ce match faisait partie d’une
opération charme envers le public
pour le produit de la LHJMQ et
d’une étude de marché qui est
menée par le comité depuis juin
dernier et qui sera remise à la ligue
d’ici trois semaines. Un sondage
était mené sur place pour tâter l’intérêt
des amateurs à se procurer
des billets de saison.
Selon le promoteur René Cournoyer,
plus de 1 500 billets de saison
sont déjà réservés tout comme 1 6
des 20 loges. Pour satisfaire aux
normes de la LHJMQ, la Ville s’est
déjà engagée à apporter les améliorations
nécessaires pour augmenter
le nombre de sièges à 3 600 et la
capacité d’accueil à 4 400, avec les
places debout.

FESTIVAL DES GROS CASQUES - YAMASKA DU 28 AU 30 AOÛT
19h00 Bingo (entrée sur le site gratuite)
Organisé par l'AFÉAS (Salle Léo-Théroux)
21h00 Groupe Hommage aux aînés
24 h 00 André Richard, chansonnier
L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
10h00 à 16h00 Jeux gonflables ; possibilité de jeux d’eau (Place Desjardins)
11h00 à 17h00 Salon des artisans (extérieur)
13h00 Début des tirs de tracteurs modifiés (professionnel)
Remis au dimanche en cas de pluie
14 h 30 à 17 h 30 Groupe Baqqhus
17h00 Tir surprise
18h00 Souper méchoui. Coût : 14 $
18 h 00 à 20 h 30 Bob Sawyer et Christian Demers
21h00 à 24h00 Groupe Many-More
24 h 00 André Richard, chansonnier
10h00 Messe sous le chapiteau (Gratuit)
11h00 Déjeuner du festival 7 $ en vente sur place
11h00 à 17h00 Ouverture du salon des artistes et artisans
11h30 Inscription : exposition de voitures antiques,
sports (1983 et moins) et modifiées, coût : 5 $, une entrée sur le site
gratuite par voiture, les autres passagers doivent payer leur entrée.
12h00 Journée à Réjean Country-western et folklore, Orchestre Equinox
Invités : Katherine Poirier (12 h), Joffre St-Germain (13 h)
Steeve Desmarais (14 h et 19 h jusqu’à 20 h), Pierre Guillemette (15 h)
Stéphanie Labbé (16 h), Diane Morin (17 h), Claire Brossard (18 h)
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L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
Par Sébastien Lacroix
Une aide financière d’un montant
de 1 422 248 $ provenant du
Programme d’infrastructures
Québec-Municipalité (PIQM) a été
octroyée à la Municipalité de Baiedu-Febvre
pour la construction
d’un centre communautaire multifonctionnel.
Le projet consiste à construire un
bâtiment qui abritera une patinoire,
un restaurant, un vestiaire et un
local d’entreposage ainsi qu’une
route asphaltée d’une longueur de
300 mètres.
Ce projet permettra de mieux
desservir spectateurs et participants
lors d’événements importants
comme Regard sur l’Oie blanche et
Challenge 255, en plus de bénéfi-
cier aux activités sociales et de
loisirs de la communauté tout au
long de l’année.
Pour la réalisation du centre
communautaire multifonctionnel,
dont les travaux se prolongeraient
jusqu’en juillet 2010, la Municipalité
de Baie-du-Febvre ajoute un
montant de 711 124 $ pour porter le
total des investissements à
2 133 372 $.
Le ministre des Affaires municipales
et des Régions et ministre
responsable du Centre-du-Québec,
Laurent Lessard, s’est dit heureux
de la concrétisation de ce centre
multifonctionnel qui, selon lui,
permettra de contribuer au développement
économique de Baiedu-Febvre,
et qui aura d'importantes
retombées touristiques et
PHOTO SÉBASTIEN LACROIX
LE CHALLENGE 255 ATTEINT LE CAP DES 20 000 PERSONNES - (S.L.) Le Challenge 255 de Baie-du-
Febvre a été un succès sur toute la ligne. Selon les organisateurs, 20 000 personnes ont assisté aux activités
offertes du 14 au 16 août derniers. En tout, 120 compétiteurs ont pris part aux courses, une
cinquantaine de camions étaient inscrits au Show'n Shin et une vingtaine de kiosques d'artisans se
sont installés dans les rues. L'avenir de l'événement, qui a été remis en question à quelques reprises par
le passé, semble maintenant être assuré, compte tenu de l'annonce faite par le ministre Lessard, le 19
août dernier (voir ci-dessous), mais c'était peut-être la dernière édition à avoir lieu sur la route 255.
BAIE-DU-FEBVRE
Investissement de plus de 2 millions $
La Municipalité ira de l'avant avec la construction d'un centre
communautaire multifonctionnel et d'une route de 300 mètres
économiques pour la région du
Centre-du-Québec.
De son côté, le maire de Baie-du-
Febvre, M. Claude Biron, s’est
réjoui de l’appui du gouvernement
du Québec à la réalisation de ces
projets qui permettent à sa municipalité
de renouveler ses infrastructures
et d’offrir des services essentiels
à la communauté.
Rappelons que ce projet est la
suite logique de la décision du
gouvernement d’interdire la tenue
du Challenge 255 sur une route
provinciale et de le déplacer sur un
circuit hors-route, ainsi que de la
volonté de la Municipalité de
centraliser ses services à la
communauté en un seul et même
endroit.

CENTRE-DU-QUÉBEC
Des travaux d'inventaire
forestier sont en cours
(S.L.) Jusqu’au 27 novembre, de consultants en génie
forestier, mandatés par le ministère des Ressources
naturelles et de la Faune pour mesurer 172 placettes
permanentes et 750 placettes temporaires au Centredu-Québec.
Une placette est une unité
d’échantillonnage circulaire qui couvre une superficie
de 400 mètres carrés. À l’intérieur de chacune d’entre
elles, les forestiers recueilleront des renseignements
concernant les essences, la qualité et l’état de santé
des arbres. Ils effectueront aussi un relevé de la
végétation des sous-bois, noteront les caractéristiques
du sol et détermineront l'âge et la hauteur de neuf des
arbres qui y croissent. Après avoir analysé les données,
les forestiers offriront un portrait représentatif des
forêts de la région. Depuis le début des années 1970,
les forêts du Québec font périodiquement l'objet
d'inventaires forestiers systématiques. Les inventaires
permettent d'estimer la superficie des peuplements
forestiers et les volumes de bois sur pied qu'ils
renferment, ainsi que d'en suivre l'évolution.
BAS-ST-FRANÇOIS
Un petit été pour les animateurs
du Camp de jour
(S.L.) Cet été, les animateurs du Camp de jour du Bas-
St-François ont dû accepter une réduction de cinq
heures de travail par semaine. La baisse d’environ
30 % des inscriptions versus le nombre d’animateurs
embauchés - six au total - est le principal facteur qui
a justifié cette décision de la coordonatrice des loisirs
et des municipalités de Pierreville et Saint-Françoisdu-Lac
ainsi que de la communauté d’Odanak. Après
avoir entendu les protestations des animateurs, le
maire André Descôteaux a conclu qu’il fallait se
pencher sur les raisons entourant cette baisse des
inscriptions afin d’y apporter les correctifs nécessaires.
DRUMMONDVILLE
De nouveaux autobus pour le
service de transport en commun
(S.L.) C’est le 16 août dernier, à midi, que les nouveaux
autobus utilisés pour le service de transport en
commun de Drummondville sont entrés en fonction.
Pour se les procurer, la Ville de Drummondville a fait
affaires avec deux entreprises locales soit Girardin
autobus, pour la fabrication, ainsi que le transporteur
Multi-Transports Drummond, avec qui elle a conclu
une entente de 5 ans. Les nouveaux autobus peuvent
accueillir jusqu’à 28 passagers et ils continuent d’offrir
le service de transports en commun selon le même
horaire et les mêmes tarifs, et ce, sur les cinq
parcours actuellement disponibles.
L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
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L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
570 000 $ pour la MRC de Bécancour
Aide financière du ministère des affaires
municipales pour soutenir la diversification
et le développement
(S.L.) Le ministère des Affaires
municipales, des Régions et de l’Occupation
du territoire, Laurent
Lessard, a accordé une aide financière
de 570 000 $ à la MRC de
Bécancour afin de soutenir la poursuite
de sa démarche de diversification
et de développement.
Cette aide financière est
accordée dans le cadre du Fonds
soutien aux territoires en difficulté
qui découle du Plan d’action gouvernementale
à l’intention des municipalités
dévitalisées rendu public
l’automne dernier.
Le Plan d'action gouvernemental
à l'intention des municipalités dévitalisées
est doté d’une enveloppe
supplémentaire de trente-huit
millions de dollars sur cinq ans.
Il a été préparé à l’intention des
municipalités qui ont besoin d’un
soutien supplémentaire pour maintenir
ou créer les conditions
(S.L.) La Municipalité de Sainte-
Monique recevra précisément
281 998 $ d’ici la fin de l’année,
incluant un premier versement de
141 000 $ provenant du transfert
d’une partie des revenus de la
taxe fédérale sur l’essence et de la
contribution du gouvernement du
Québec, qui a été annoncé début
août.
Cette annonce a été faite en
présence du ministre des Travaux
publics et des Services gouvernementaux,
M. Christian Paradis,
ainsi que du ministre des Affaires
municipales, des Régions et de
l’Occupation du territoire et
ministre responsable du Centredu-Québec,
M. Laurent Lessard.
Avec ces fonds, la Municipalité
de Ste-Monique réalisera des
travaux d’infrastructures liés à
l’aqueduc, aux égouts et à la voirie
qui sont jugés prioritaires, soit
l’installation d’un débitmètre à la
station de pompage d’eau potable,
l’inspection de conduites d’égout
propices à leur développement
économique. Il vise notamment à
contrer des difficultés telles que le
taux de chômage élevé, les faibles
revenus, l’exode et le vieillissement
de la population.
« Les municipalités dévitalisées
peuvent compter sur un accompagnement
sur mesure de la part du
gouvernement pour trouver des
solutions adéquates et durables à
leur situation », mentionne l’attaché
de presse du ministre Laurent
Lessard.
Rappelons que le Fonds soutien
aux territoires en difficulté a été mis
en place en 2006 afin d’appuyer les
municipalités et les MRC qui, malgré
des efforts consentis par le gouvernement
au cours des dernières
années, ont besoin d’un soutien
supplémentaire pour maintenir ou
créer les conditions propices à leur
développement économique.
Sainte-Monique recevra 282 000 $ pour
ses travaux d'infrastructures
ainsi que la réfection de la voirie et
l’asphaltage du rang Bas-de-la-
Rivière et du rang des Érables.
« La Municipalité de Sainte-
Monique peut désormais compter
sur des versements déjà déterminés,
ce qui facilitera la planification
des travaux d'infrastructures
à réaliser », estime le ministre
Laurent Lessard.
Dans son Plan d’action économique,
le gouvernement du Canada
a annoncé que des fonds supplémentaires
de 12 milliards sur deux
ans allaient être dégagés. Ces
fonds s’ajoutent aux sommes
consenties dans le cadre du Fonds
de la taxe sur l’essence desquelles
le Québec doit recevoir 1,151
milliard $ entre 2005 et 2010.
Dans le Plan québécois des
infrastructures, qui prévoit plus de
41,8 milliards de dollars pour la
période de 2008-2013, ce sont 3,6
milliards de dollars qui sont
réservés à la mise aux normes des
infrastructures municipales.

PHOTO FRANÇOIS BEAUDREAU
Du 20 au 27 août, le ministère des Transports du Québec poursuit des travaux de remplacement d'un
ponceau sur la route 226, à Pierreville, ce qui entraîne sa fermeture complète entre le boulevard Industriel
et la rue Tremblay.
(S.L.) Le ministère des Transports
du Québec a continué ses travaux
sur la 226 au cours des derniers
jours. On les voit ici (sur la photo),
en train de procéder au remplacement
d’un ponceau qui a nécessité
une entrave complète à la circulation
entre le boulevard Industriel et
le rue Tremblay, du 20 au 27 août.
Avant le début de ce chantier,
qui a forcé les automobilistes circulant
dans ce secteur à faire un
détour par la route de la Grande
Ligne, plusieurs travaux d’asphaltage
ont été effectués sur la route
226 entre Pierreville et St-Grégoire.
À plusieurs endroits, qui étaient
devenus difficilement carrossables
avec le temps, une nouvelle couche
d’asphalte d’environ trois pouces a
été étendue, comme ç’a été le cas
sur les kilomètres séparant la route
255 et la sortie du village de La
Visitation.
La distance entre l’embranchement
de la route 259 qui va vers
Nicolet (rang du Petit-St-Esprit) et
l’entrée du village de Ste-Monique
a aussi été retapée. Tout comme la
L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
Plusieurs chantiers sur
les routes de la région
Des travaux de pavage à plusieurs endroits
7
route entre La Visitation et Baiedu-Febvre,
les accotements en
gravier sont passés sous les
rouleaux compresseurs.
Une autre couche d’asphalte a été
aussi entendue sur plus d’une
centaine de mètres, à partir du
milieu du village de Grand-St-Esprit
jusqu’à sa sortie vers Ste-Monique.
Les travaux d’asphaltage ont repris à
partir du bas de la côte de Grand-
Saint-Esprit jusqu’à la jonction de la
route avec St-Célestin.
Une partie de la route 155 (rue
Lacharité) entre la rue Marquis à
St-Célestin et le boulevard Port-
Royal à St-Grégoire a aussi été
remise à neuf pour un plus grand
confort de roulement pour les automobilistes.
Le ministère des Transports a fait
d’autres travaux d’asphaltage dans
le comté de Nicolet-Yamaska, cet
été, dont les deux courbes qui
mènent de Baie-du-Febvre à Pierreville
sur la route 132, ainsi que la
poursuite des travaux sur la route
143, entre St-François-du-Lac et
St-Pie-de-Guire.

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L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
(S.L.) Charcuterie, velouté de
tomates et de basilic, foie gras,
suprême d’oie, laitue mesclun,
fromages, dessert, thé ou café seront
au menu de la douzième édition de la
Grande Tablée des Oies de Baie-du-
Febvre, un grand banquet gastronomique
qui se tiendra le 17 octobre
prochain au Centre communautaire
de Baie-du-Febvre.
Comme à tous les ans, la Grande
Tablée est une occasion en or pour
les gens de savourer non seulement
l’oie de Baie-du-Febvre, mais aussi
plusieurs produits régionaux.
Le thème de l’événement « La
Grande Tablée des Oies au Centredu-Québec,
goûtez-y! » est en lien
avec la campagne régionale « Le
Centre-du-Québec, goûtez-y! »
menée par le ministère de l'Agriculture,
des Pêcheries et de l'Alimentation
du Québec (MAPAQ) et
qui encourage la consommation des
denrées régionales et des produits
agro-alimentaires.
Aussi, ce sont des chefs de la
région qui apprêteront l’un ou l’autre
des huit services de ce souper
gastronomique, dont Jean-Guy
Houle de La Baraka et Josiane
Boucher du Galoto, mais aussi
Gérard Germain des Ailes Buffalo,
Josée-Pierre Durand du Poivre Noir,
Martin Lamothe du Globe-Trotteur,
Fred Chapuis et Éric Cajolet de l’Auberge
des Gouverneurs.
Les chefs auront l’aide des élèves
en cuisine et service de restauration
du Centre de formation Paul-
Rousseau, du Pavillon Marie-Rivier
de Drummondville et du Centre de
formation professionnelle André
Morissette de Plessisville.
« Ce souper s’adresse aux gens
qui ont le goût de faire une découverte
gourmande, de faire du
réseautage, d’offrir à des clients ou
PHOTO SÉBASTIEN LACROIX
Lucie Rioux, Denise Renaud, Jacques Côté, Guylaine Fréchette, Judith Laprise et Simon Théroux sont les
principaux organisateurs de la Grande Tablée des Oies qui aura lieu le 17 octobre à Baie-du-Febvre.
12 e édition de l'événement gastronomique
par excellence de Baie-du-Febvre
(S.L.) La lettre ouverte concernant
le règlement municipal sur le Bruit
et l’ordre pour faire taire les
canons effaroucheurs d’oiseaux
signée par le comité formé d’Éric
Gagnon, Michèle Devet, Nadia
Turgeon et Yvette Dubé a porté
fruit.
À la suite de sa publication dans
la dernière édition de L’annonceur,
et après avoir fait parvenir
une réclamation en dommages et
intérêts à la municipalité, le
comité a obtenu un cessez-le-feu.
Selon ce que nous a rapporté
l’une des plaignantes dans cette
affaire, Mme Michèle Drevet, les
coups de canons effaroucheurs,
qui claquaient chaque jour, de 8h
à 20h, par intervalle de 60
secondes, ont maintenant cessé.
Dans une lettre qu’elle fait
parvenir au comité, la Municipalité
de Pierreville laisse entendre
qu’une étude conjointe a été
entreprise par l’UQAM et l’UPA,
à des amis une soirée mémorable
où on peut prendre le temps
d’échanger tout en découvrant des
produits de chez-nous », explique la
coordonnatrice Guylaine Fréchette.
L’animation de la soirée sera
assurée par Francis Dubé et l’ambiance
musicale par le groupe Trop
Loin d’Irlande.
Pour réserver une place, il faut
communiquer avec Mme Fréchette
au 450 783-6996. En tout, 300
personnes pourront prendre part à
ce souper gastronomique au coût
de 90 $ par personne, incluant deux
bouteilles de vin par table de 8 à 10
personnes.
Enfin, Jacques Côté, le président
du comité organisateur, a
mentionné qu’avec l’aide de la
Réserve mondiale de la biosphère
du Lac St-Pierre, une analyse est
entreprise pour rendre l’événement
gastronomique encore plus vert.
BAS-SAINT-FRANÇOIS
Canons effaroucheurs d'oiseaux: Le comité a eu gain de cause
en juin 2009, afin de trouver des
méthodes alternatives aux canons
effaroucheurs utilisés par les
producteurs de petits fruits pour
protéger leur récolte en faisant
fuir les oiseaux.
La Municipalité espère que les
résultats de l’étude fassent en
sorte que les désagréments qu’ont
à subir les résidents voisins des
maraîchers, de quatre à six
semaines par année, soit bientôt
chose du passé.

L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
Pour ses 25 ans de vie politique, Louis Plamondon invite la population
Lors de cet anniversaire, le député convie les gens pour une fête populaire au parc Regard-sur-le-Fleuve
Par Sébastien Lacroix
Toute la population de Bas-
Richelieu-Nicolet-Bécancour est
invitée à une grande fête populaire
qui se tiendra au Parc Regard-surle-Fleuve
à Sorel-Tracy, le 4
septembre prochain, de 17h à 21h.
« Au départ, il y a un comité qui
m’a approché pour célébrer mon
25 e anniversaire de vie politique.
J’ai refusé et j’ai décidé que c’est
moi qui va organiser une fête pour
remercier la population de m’avoir
fait confiance pendant 25 ans »,
raconte le député Louis Plamondon
qui a été élu pour la première fois le
4 septembre 1984, puis réélu à sept
autres reprises, et ce, par des majorités
imposantes de 17 256 voix en
moyenne.
La fête populaire du député
promet de plaire aux personnes de
tous les âges. Pour les enfants, il y
aura des maquillages, une troupe
d’amuseurs publics ainsi que six
jeux gonflables géants. Pour les plus
vieux, de 17h30 à 19h30, il y aura
de la danse en ligne avec l’orchestre
de Guy Rousseau et quatre
musiciens. À 19h30, le groupe Les
Mouches du Capitaine doit livrer un
spectacle en plein air faisant la
rétrospective des belles chansons
québécoises.
Une courte cérémonie hommage
à Louis Plamondon d’environ 10 à 15
minutes se tiendra à 20h30 avant
qu’un gigantesque feu d’artifice audessus
du fleuve St-Laurent,
accompagné d’une trame sonore,
viennent conclure l’événement.
SUR UN AIR D'ÉLECTION
Les festivités du 25 e anniversaire
de vie politique de Louis
Plamondon se tiendront sur un air
d’élection puisque les parties d’opposition
attendent les recommandations
du comité bi-partie sur la
réforme de l’assurance-emploi.
« Nous allons voter selon les intérêts
du Québec avec les conséquences
que ça aura », avertit le
président du caucus. Comme l’a fait
valoir son chef Gilles Duceppe, de
passage à Trois-Rivières la semaine
dernière, les attentes du Bloc sont
claires quant à la réforme de l’assurance-emploi.
Les règles d’accès
doivent être modifiées et le délai de
carence éliminé.
« Nous recommençons à siéger le
14 septembre. La prochaine journée
d’opposition aura lieu le 28
septembre et, dépendamment du
vote, il pourrait y avoir des élections
le 9 novembre. On se tient
prêt et notre organisation est déjà
en place », mentionne Louis
Plamondon.
UN PEU D'HISTOIRE
Même s’il a supporté le « OUI »
au référendum de 1980, la carrière
politique de Louis Plamondon a
véritablement débuté le 4
septembre 1984 alors qu’il est élu
député de Richelieu à la Chambre
des communes du Canada, succédant
au libéral Jean-Louis Leduc.
De 1984 à 1990, il siégera en tant
que député progressiste-conservateur
et critiquera à quelques
reprises les décisions de son propre
parti. Il sera toutefois un ardent
partisan de l’Accord du Lac Meech
proposé par Brian Mulroney.
Après l’échec de cette réforme
constitutionnelle et après avoir
déclaré que la souveraineté-association
entre le Québec et le
Canada serait « logique et raisonnable
», il démissionne du caucus,
en juin 1990.
Siégeant comme député indépendant
quelques mois, il se rallie à
Lucien Bouchard et quelques
autres députés pour fonder le Bloc
Québécois. C’est d’ailleurs Louis
Plamondon qui a été président du
comité organisateur du congrès de
fondation du Bloc Québécois au
Cégep de Sorel-Tracy, en 1991.
Au départ, le parti devait servir à
négocier l’indépendance entre le
Québec et le Canada.
Malgré l’échec du référendum de
1995, il a été élu aux élections fédérales
de 1993, 1997, 2000, 2004,
2006 et 2008 en promettant de
défendre les intérêts du Québec à
Ottawa.
Sa dernière élection lui a d’ailleurs
valu de présider l’ouverture
de la Chambre des communes
puisqu’il en était devenu le doyen.
Au cours de sa carrière, il a siégé
sur toutes sortes de comités parlementaires
et pris de nombreuses
positions, dont sa vive opposition au
projet de loi sur la clarté référendaire
proposé par Stéphane Dion.
Il a aussi publié un livre de 88
pages intitulé « Le mythe Paul
Martin », en 2003, dans lequel il
accuse le Premier ministre de
négligence envers les citoyens à
faible revenu, de favoriser les intérêts
du Canada anglais et de
devenir un allié du président
américain George W. Bush.
9
PHOTO GRACIEUSETÉ LOUIS PLAMONDON
Louis Plamondon en 1984, alors
qu'il se présentait pour la
première fois devant l'électorat
de la circonscription fédérale qui
s'appelait à l'époque Richelieu.

10 L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
Le Manège militaire, rue St-Louis à Drummondville.
PHOTO FRANÇOIS BEAUDREAU
Drummondville souhaite le maintien du Manège militaire
(S.L.) Le conseil municipal de la Ville
de Drummondville demande aux
autorités fédérales et aux responsables
du Manège militaire de
maintenir la vocation de l’immeuble
actuel et les activités qui s’y tiennent.
C’est que la présence du Manège
militaire d’un sous-groupe du 22 e
régiment des Forces armées canadiennes
à Drummondville constitue
certainement un atout en matière
de Sécurité civile municipale.
D’abord, les ressources humaines
sont formées et organisées en cas
de désastre majeur, mais les équipements
de transport et l’expertise
de reconstruction d’urgence sont
aussi situés à cet endroit.
Le personnel est d’ailleurs
entraîné pour la recherche en forêt
et les équipements mobiles sont
disponibles au besoin. Même les
ressources locales en communication
permettent un lien avec les
plus hautes instances.
Pour le conseiller Alain Martel,
qui a proposé cette résolution qui a
fait l’unanimité du conseil et qui a
été acheminée au député fédéral
du comté de Drummond, M. Roger
Pomerleau, le Manège militaire
« joue un rôle important dans notre
société ».
Comme le fait valoir la résolution,
en plus d’accroître le sentiment
de sécurité de la population,
le Manège militaire constitue un
lieu de rassemblement où les
jeunes peuvent acquérir de la discipline,
parfaire leur expérience et
acquérir une formation.

EDITORIAL
VERS LE DÉBUT D'UNE
NOUVELLE ÈRE ?
Par Sébastien Lacroix
Avez-vous déjà
entendu parler du
Calendrier Maya et
des changements qui
doivent avoir lieu
autour de l’année
2012 ? Selon L’Essentiel,
une revue en
spiritualité et en
écologie globale, qui nous parle de la
fin d’un cycle et du début d’une
nouvelle ère, les changements
devraient commencer à s’opérer en
septembre 2009. Y croyez-vous ?
Moi, je crois que l’humanité est
mûre pour vivre en harmonie avec
son environnement.
D’abord, la notion de développement,
qui avait été introduite à
l’époque de Vatican II et qui devait
devenir un moyen pour arriver à faire
la paix, est maintenant devenue du
développement durable. Aujourd’hui,
nous ne pensons plus qu’à développer
pour développer, mais nous le faisons
en ayant en tête
toutes les répercussions
que ça aura.
C’est un pas en
avant.
Je crois que la
prise de conscience
généralisée pour que
les hommes protègent
l’eau, l’air, la
terre et les animaux
et vivent dans un
monde d’amour et
de paix est déjà
commencée. Depuis
quelques années,
jamais n’a-t-on autant
parlé de ces enjeux.
Pour les enfants des hippies, il n’est
plus question de guerre, mais de
mission de paix et de reconstruction
comme c’est le cas en Afghanistan ou
comme ç’a été le cas en Croatie, ou
en ex-Yougoslavie, quand les Casques
bleus sont intervenus.
De plus, les questions environnementales
sont à l’avant-plan des
discours politiques et les citoyens du
monde se préoccupent davantage de
leur impact sur l’environnement.
Après avoir constaté les trous dans
la couche d’ozone, les effets qu’entraînent
le réchauffement de la
planète et les nombreux animaux en
voie de disparition où les espèces
aquatiques menacées, les hommes se
sont servis de la science pour tenter
de freiner la détérioration de notre
planète.
Je crois que c’est ce qui est sur le
point de changer et la prise de
VVaa-tt-oonn rrééppéétteerr lleess
eerrrreeuurrss dduu ssiièèccllee
ddeerrnniieerr?? GGuueerrrreess
mmoonnddiiaalleess,,
ssuurrccoonnssoommmmaattiioonn,,
rréécceessssiioonnss,, éévvoolluuttiioonn
àà oouuttrraannccee ddeess
ddiifffféérreenntteess
tteecchhnnoollooggiieess,, eettcc..
conscience est amorcée. La réduction
des gaz à effet de serre, la gestion des
matières résiduelles, le recyclage,
l’efficacité énergétique ou la protection
du territoire agricole, par
exemple, ont été plus que jamais au
cœur de nombreuses discussions au
cours du début des années 2000.
Des concepts comme les bandes
riveraines pour retenir les sédiments
en bordure des cours d’eau, les haie
brise-vent pour retenir les particules
dans l’air et enrichir nos sols, l’herbicyclage
qui s’avère un engrais naturel
pour nos pelouses en plus de réduire
le tonnage de déchets enfouis, la
production d’électricité par la
biomasse de la décomposition des
déchets, l’énergie éolienne qui tire
profit des vents, la production de
biogaz ou la notion d’agriculture biologique,
par exemple, ont été mis à
l’avant-plan.
Avec la fin du début des années
2000, dans quelques mois, et le début
des années ’10, je crois qu’un changement
est à la veille de s’opérer. Va-ton
répéter les
erreurs du siècle
dernier ? Guerres
mondiales, surconsommation,récessions,
évolution à
outrance des différentes
technologies,
etc. J’espère que
non.
J’espère que la
guerre au terrorisme
est sur le point de
s’essouffler. J’espère
que plus jamais une
nation se croira
supérieure à une
autre. J’espère que
nous rétablirons, par exemple, le
stock de perchaudes dans le lac St-
Pierre. J’espère que nous consommerons
les produits qui poussent ou qui
sont fabriqués chez-nous plutôt que
de les importer des quatre coins du
globe.
J’espère aussi que nous réduirons
nos émissions de gaz à effet de serre
de façon à respecter Kyoto. J’espère
que nous trouverons une alternative à
l’essence, un combustible fossile non
renouvelable, pour nous déplacer.
J’espère que nous réutiliserons les
déchets nucléaires pour produire de
l’électricité.
J’espère que la prochaine décennie
- voire le prochain siècle - sera
consacrée à trouver des moyens de
minimiser l’impact que nous avons sur
la Terre, pour permettre aux
prochaines générations de continuer
de vivre en paix et en harmonie. Amen.
vacances d’été 2009
JOCELYNE HAMEL .................................................................. ÉDITRICE
FRANÇOIS BEAUDREAU ............................................ ÉDITEUR ADJOINT
SÉBASTIEN LACROIX ............................ JOURNALISTE ET ÉDITORIALISTE
THERESA WATSO ........................................ CONSEILLÈRE EN PUBLICITÉ
DOMINIC BELLEROSE .................................. CONSEILLER EN PUBLICITÉ
HEBDO LITHO .................................................................. IMPRESSION
POSTES CANADA ET DIFFUMAG .................................... DISTRIBUTION
L’ANNONCEUR DU BAS-SAINT-FRANÇOIS
108, RUE MAURAULT, PIERREVILLE (QUÉBEC) J0G 1J0
TÉLÉPHONE : 450 568-3186 TÉLÉCOPIEUR : 450 568-5475
COURRIEL : LANNONCEUR@LANNONCEUR.CA
L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
Ça paraît que la planète se
réchauffe... «ça va amener plus
de vagues de chaleur», qu’ils
disent, «plus de sécheresses»...
LESCOURRIELSDESLECTEURS
Changer d'adresse ou comment perdre de son identité…
Maintenant que c'est à mon tour
de léguer mon village à mon enfant,
je dois avouer que je ne suis pas
très fier de ce que je laisse derrière
moi. Quand j'étais haut comme ça,
le lac était encore raisonnablement
propre et la rivière aussi. Les sols
étaient impeccables et l'air aussi.
Aujourd'hui, je laisse à mes
descendants des problèmes environnementaux
majeurs tel l'envasement
du lac, l'érosion générale
des berges, l'appauvrissement des
sols, encore des coupes à blanc,
l'incapacité de faire appliquer
certains règlements sans compter
de nouveaux problèmes sociaux.
Je suis de ceux qui espèrent
qu'on protège le caractère singulier
de mon coin de pays.
La spécificité de mon village
n'est pas seulement dans ces lieux
où ses personnes mais aussi dans
les mots qui le définissent : Grande-
Terre, Pont de la Rivières aux
Vaches, Petit Chenal, Ile St-Jean,
Chemin de la Traverse, Haut de la
Rivière etc.
Route 143; c'est un mot et un
chiffre vide de sens pour un
chemin qui par du fleuve St-
Laurent et qui se rend jusqu'à
Standstead en Estrie près de la
frontière américaine. Rien à voir
avec St-François du Lac.
Le nom «Haut de la Rivière»
faisait partie des mots qui définissaient
mon appartenance.
Comment se fait-il que personne
n'a cogné à ma porte pour me
demander si je voulais le changer?
Cela s'est fait dans le plus pur
style de la « salle paquetée ». La
démocratie, que dalle.
Pour ce qui est des pauvres
livreurs étrangers qui se sont
DÉPÔT LÉGAL BIBLIOTHÈQUE NATIONALE
DU QUÉBEC - ISSN 1705-9437
11
perdus dans les labyrinthes du Haut
de la Rivière, bonnes nouvelles, les
recherches continuent.
Pour ceux qui rêvent de gratteciels,
d'autoroutes ou de barrages
géants, je crois que vous devriez
commencer par vous occupez de la
misère anonyme que vous aimez
bien ignorer ou de la pollution qui
tue à petit feu notre environnement.
Que nous le voulions ou non,
nous vivons à l'heure de la mondialisation
avec si peu de ses bons
côtés et tant de ses mauvais. Et nos
enfants . . .
Je m'engage à rester sur le quivive
au cas où quelqu’un décide un
bon matin de changer le nom de
mon village pour St-François-Ville
parce que ça fait moderne.
René Boucher
St-François du Lac

12 L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
DRUMMOND
Roger Pomerleau réagit aux propos
de Serge Ménard sur le financement
des événements touristiques
Par Sébastien Lacroix
Le député Roger Pomerleau a
réagit aux propos tenus par le
président de l’Association libérale
fédérale de son comté, M. Serge
Ménard, qui semble mettre la faute
sur le député pour le non-renouvellement
des subventions de
350 000 $ allouées au Mondial des
cultures et de 250 000 $ au spectacle
«AO La Fantastique légende».
Le bloquiste Roger Pomerleau
refuse de porter le blâme pour ce
manque à gagner de 600 000 $
pour la région en 2009, qui devait
provenir du gouvernement fédéral,
mais renvoie plutôt la balle aux
libéraux fédéraux qui, selon lui,
n’ont pas tiré de leçons du scandale
des commandites.
« À l’époque, la ministre libérale
du patrimoine Liza Frulla, malgré
ses engagements répétés, n’a rien
fait qui vaille. Bien qu’elle ait laissé
entendre qu’elle réglerait le
problème de financement des
Légendes, elle a fini par avouer, en
réponse aux questions de ma
prédécesseure Pauline Picard,
qu’elle ne pouvait rien faire »,
raconte-t-il.
« Si Liza Frulla, pourtant ministre
d’un gouvernement libéral, a été
incapable d’agir, que pourrait alors
faire de plus un simple député issu
de la même formation ? L’histoire
fait étalage de nombre de cas
attestant qu’un élu du Québec au
sein d’un parti fédéraliste à Ottawa
ne peut faire autrement que d’endosser
la vision « canadian » et ainsi
défendre Ottawa au Québec »,
estime le député Roger Pomerleau.
PHOTO FRANÇOIS BEAUDREAU
Le député Roger Pomerleau
Il dénonce lui aussi le fait que le
financement demeure toujours
aléatoire et partage les préoccupations
de Serge Ménard quant à la
situation difficile - voire précairedans
laquelle les événements
touristiques du grand Drummondville
pourraient se retrouver.
Il appuie sans relâche les propositions
de son parti sur la question
du financement des événements
touristiques.
« On a fait la démonstration de la
nécessité d’implanter un programme
normé, doté d’une enveloppe
budgétaire spécifiquement dédiée,
avec des critères d’admissibilité
précis, un échéancier pour la
présentation d’une demande d’aide
financière ou de partenariat et un
délai pour l’obtention d’une
réponse. C’était la leçon à tirer de la
mauvaise gestion du programme
des commandites. Les libéraux ne
l’ont pas fait; les conservateurs
encore moins », a-t-il poursuivi.

L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
SANTEETMISEENFORME
Déclin au fil du temps de la
proportion des médecins formés à
l'étranger qui pratiquent au Canada
PHOTO WENDELL FRANKS
13
Depuis les années 1970, le pourcentage de médecins formés à
l'étranger qui pratiquent au Canada a considérablement diminué. Un
nouveau rapport publié par l'Institut canadien d'information sur la santé
(ICIS) montre que le nombre de médecins diplômés à l'étranger au sein de
la main-d'oeuvre des médecins canadiens a diminué, passant de 33 %
dans les années 1970 à 22 % en 2007.
Cette baisse, qui a été observée dans l'ensemble des provinces et des
territoires, pourrait être essentiellement attribuable au vieillissement et
au départ à la retraite de la cohorte des médecins britanniques et irlandais
qui ont commencé à pratiquer il y a quelques décennies, ainsi qu'à
la faible proportion de nouveaux médecins formés à l'étranger qui viennent
pratiquer au Canada. Le rapport indique également que plus du
quart (27 %) des médecins du Canada formés à l'étranger ont grandi au
Canada, mais ont étudié outre-mer.
« Les résultats de cette étude sont révélateurs », affirme Geoff
Ballinger, gestionnaire, Ressources humaines de la santé à l'ICIS. « Le
Canada est reconnu pour attirer les médecins des autres pays; toutefois,
la proportion de ces médecins est en diminution depuis 1975 ».
Les médecins formés à l'étranger sont plus susceptibles de
pratiquer en milieu rural dans la plupart des provinces.
L'étude a révélé que le nombre de médecins formés à l'étranger varie
d'une province à l'autre, ainsi que dans les milieux urbains et ruraux. En
2007, le Québec (10,7%) et l'Ile-du-Prince-Edouard (13,8%) affichaient les
plus faibles proportions de médecins formés à l'étranger au sein de leur
main-d'oeuvre, et la Saskatchewan (48,8%) et Terre-Neuve-et-Labrador
(35,2%), les plus élevées. L'étude révèle aussi que les médecins formés à
l'étranger qui ont commencé à pratiquer dans les années 1990 étaient
beaucoup plus susceptibles de changer de province ou de territoire au
cours des 10 années suivantes que ceux qui ont commencé dans les
années 1970. Dans toutes les provinces, à l'exception de l'Ontario et du
Québec, les médecins en milieu rural étaient plus susceptibles d'être des
médecins formés à l'étranger que les médecins des régions urbaines. Les
médecins diplômés à l'étranger représentent plus de la moitié (52,8 %) des
nouveaux médecins qui commencent à pratiquer en régions rurales ou
éloignées et environ le quart (25,6 %) de l'ensemble des médecins en
régions rurales ou éloignées.
Changements dans les pays d'où proviennent le plus grand
nombre de médecins formés à l'étranger qui pratiquent au Canada
Dans les années qui ont suivi la Deuxième Guerre mondiale, les écoles
de médecine canadiennes avaient comme défi de répondre aux besoins
croissants de la population d'après-guerre. Le Canada était considéré
comme un endroit attrayant où vivre et un nombre relativement élevé de
médecins formés à l'étranger ont choisi d'émigrer ici. Par conséquent,
entre la fin des années 1960 et le début des années 1970, le nombre d'autorisations
d'exercer délivrées par le Canada à des médecins diplômés à
l'étranger était supérieur au nombre de médecins diplômés au pays, et la
plupart des médecins formés à l'étranger provenaient de l'Angleterre et
de l'Irlande.
De 2003 à 2007, la majorité des nouveaux médecins (69,0 %) qui
pratiquaient au Canada avaient été formés dans des écoles de médecine
canadiennes. On assiste alors à une période de transition des principaux
pays de provenance des médecins diplômés à l'étranger, soit de
l'Angleterre et l'Irlande à l'Afrique du Sud (13,9 % de tous les nouveaux
médecins diplômés à l'étranger), l'Inde (8,6 %) et l'Egypte (6,3 %).
Le Canada a enregistré une baisse du nombre de médecins étrangers
actifs venus de pays membres de l'Organisation de coopération et de
développement économiques (OCDE). En revanche, tous les pays non
membres de l'OCDE, exception faite de l'Inde et de Hong Kong, ont
connu une augmentation.
« Les médecins formés à l'étranger représentent une proportion
décroissante de la main-d'oeuvre des médecins au Canada; toutefois,
les médecins provenant des pays en développement représentent une
proportion de plus en plus élevée au sein de ce groupe », souligne John
David Stanway, analyste principal, Ressources humaines de la santé à
l'ICIS, et auteur principal du rapport. (Source : ICIS)

14 L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
SANTEETMISEENFORME
PHOTO THERESA WATSO
Création d'une coopérative de santé à Massueville
Les responsables de la coopérative cherchent présentement à
s'adjoindre les services de médecins
Par Sébastien Lacroix
Les résidents de Massueville, St-
Aimé, St-David, St-Hugues, St-
Louis, St-Marcel, St-Robert, Ste-
Victoire et Yamaska pourront
recevoir des services médicaux à la
nouvelle Coop de solidarité santé
Jean-Jacques-Falardeau qui est
située dans le presbytère de la rue
de l’Église à Massueville.
Si les clients de la coopérative ne
pourront pas pour l’instant avoir
accès à un médecin de famille, les
responsables de l’organisme
travaillent pour munir la clinique
des services de médecins.
La clinique a tout de même été
officiellement ouverte, le 12 août
dernier, avec les services d’une
infirmière clinicienne et d’une infirmière-auxiliaire,
soit Véronique
Brousseau et Sonia Hébert.
« L’ouverture de la clinique avec
la présence d’infirmières nous
permet de travailler au recrutement
de médecins », explique
Denis Marion, le président du
conseil d’administration et le maire
de Massueville.
Grâce à une entente avec le
Centre de Santé et des Services
Sociaux Pierre-De Saurel, la Coop
Jean-Jacques-Falardeau offre ainsi
le service de prélèvements, tout
comme à St-David et Yamaska. Ces
deux points de service seront d’ailleurs
maintenus.
La coopérative offre aussi à ses
membres les services de pansements,
d’injections, les suivis d’hypertension,
du diabète, de dépistage
et de consultations avec un
pharmacien ou une infirmière.
« D’autres services sont en développement,
car le projet n’en est
qu’à ses débuts », poursuit M.
Marion.
UNE GRANDE MOBILISATION
Déjà, la Coop de solidarité santé
Jean-Jacques-Falardeau compte
sur 400 membres provenant de 13
municipalités rurales différentes et
le projet a vu le jour grâce à la
concertation du milieu.
« Ce projet est né de la démarche
de revitalisation engagée à Saint-
Aimé et Massueville il y a quelques
années. Nous avons alors demandé
aux municipalités environnantes de
se joindre au projet et la réponse a
été immédiate, positive et enthousiaste.
Notre Coop est un vrai projet
régional et rural », se réjouit Denis
Marion.
Cette concertation s’est traduite
entre autres par une contribution
du Pacte rural de la MRC de Pierre-
De Saurel pour un montant de
65 000 $ au montage financier,
alors que la Caisse Desjardins des
Chênes lui verse une subvention de
5 000 $.
«Chaque personne qui accepte
de devenir membre de la Coop
s'assure que notre clinique pourra
poursuivre ses activités et se développer
en offrant, au fur et à
mesure, de nouveaux services.
Prendre sa santé en main est la
meilleure façon de faire correspondre
les services à nos besoins.
C'est une nouvelle façon d'approcher
les services de santé », estime
M. Marion.
Quant aux services offerts, les
responsables de la coopérative
pourront compter sur la collaboration
et le soutien tant des CSSS
Pierre-De Saurel et Richelieu-
Yamaska que de la Corporation de
développement communautaire de
Pierre-De Saurel.
« Notre ambition est de favoriser
la meilleure concertation possible
des ressources du milieu. Nous
ferons de même du côté de Saint-
Hyacinthe. Tout cela est très stimulant
parce que nous sommes en
train de créer quelque chose de
nouveau pour les citoyens de nos
municipalités rurales », poursuit la
coordonnatrice et infirmière-auxiliaire,
Sonia Hébert.
Le 12 septembre, la Coop de solidarité
santé Jean-Jacques-Falardeau
présentera la première
Journée Santé sous le thème «Je
prends ma santé en main». Une
dizaine de kiosques seront installés
sous la Halle, dans le Carré Royal à
Massueville, et de nombreuses
activités seront organisées pour les
personnes de tous les âges.
JEAN-JACQUES FALARDEAU
Le conseil d’administration de la
coopérative s’est aussi dit fier de lui
donner le nom du Dr Jean-Jacques
Falardeau, décédé en mars 2008,
qui a été le dernier médecin de
campagne à avoir pratiqué à St-
Aimé-Massueville.
« Les temps ont changé et la
médecine a pris de nouveaux
visages, mais il est approprié que
celui du Dr Falardeau reste attaché
à cette démarche à laquelle il a été
lié, qu’il a appuyée et encouragée
en étant un des fondateurs de notre
coopérative, a commenté Denis
Marion. La coopérative de santé
que nous avons créée s'inscrit dans
le prolongement de l'engagement
du Dr Falardeau envers sa communauté.
En donnant son nom à la
Coop, nous nous assurons que
demeure vivante la mémoire de
son travail ».

TOUT SOUS UN MÊME TOIT
OUVERT À TOUS MEMBRES ET NON-MEMBRES
AFFLICTION * TAPOUT * WARRIOR * EXTREME COUTURE * KIMURAWEAR
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11:00 À 21:00
SAMEDI 10:00 À 16:00
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BENOIT GAUDET * STÉPHANE MONAST * YANICK BERGERON * STEVE BOUTHILLETTE * KEVEN GAGNÉ
GHYSLAIN BERGERON * YANICK BENOIT * CARL LEMIRE * STÉPHANE VIGNEAULT
JEAN-FRANÇOIS BÉDARD * GUY LAMONTAGE * RÉJEAN GROULX * PASCAL BOUDREAU
BRIGITTE BOISJOLI * JONATHAN LÉVEILLÉ * NANCY CODERRE * TITO BASANEZE
STEVE BACON * YVES LEMELIN
YANICK BERGERON
PROPRIÉTAIRE ET
ENTRAÎNEUR CHEF
NUTRITIONNISTE
BAR SANTÉ
SUP. ALIMENTAIRES
THÉRAPEUTES SPOR-
TIF
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Nancy Coderre
SANTEETMISEENFORME
Baie-du-Febvre
Grand-St-Esprit
La-Visitation-de-Yamaska
Nicolet
Odanak
Pierreville
Saint-Aimé
Saint-David
St-Elphège
St-François-du-Lac
St-Gérard-Majella
Ste-Monique
St-Pie-de-Guire
St-Robert
Ste-Victoire-de-Sorel
St-Zéphirin-de-Courval
Sorel-Tracy
Wôlinak
Yamaska
POINTS DE CHUTE
BÉCANCOUR
Auberge Godefroy
CLSC sec. Gentilly
SAQ sec. Gentilly
Metro sec. St-Grégoire
Resto 55 sec. St-Grégoire
Stratos sec. Gentilly
Subway sec. St-Grégoire
Nicolet
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L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
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À chaque parution,
25 000 exemplaires de L’ annonceur
sont distribuées à
Drummondville
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Rôtisserie St-Hubert
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Caisse Pop. (Côte
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Cinéma Fleur de Lys
Épicerie St-Jean-Baptiste
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Rona l'Entrepôt
Disponible aussi à
Ste-Angèle de Laval
Saint-Wenceslas
15

16 L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
SANTEETMISEENFORME
Éclosion de C. difficile à l'Hôtel-Dieu de Sorel
Quatre personnes sont décédées et onze sont en isolement
Par Sébastien Lacroix
Le Centre de santé et de services
sociaux (CSSS) Pierre-De Saurel
informait la population, le 7 août
dernier, alors qu’une éclosion de
Clostridium difficile a été observée
à l’Hôtel-Dieu de Sorel et que l’ensemble
des mesures déjà en place
avaient été resserrées et étaient
appliquées de façon rigoureuse par
tout le personnel.
En vue d’optimiser les mesures
de prévention et de contrôle de l’infection,
les visiteurs qui se présentent
à l’établissement sont donc
priés de respecter les consignes
d’hygiène normales ainsi que sept
consignes bien précises.
Il y a d’abord le lavage des mains
au gel en entrant et en sortant de
l’hôpital. De plus, le CSSS demande
que les heures de visite soient
respectées et qu’il n’y ait qu’une
seule personne à la fois. Pour visiter
les patients en isolement, il faut
porter des gants, une blouse et se
laver les mains à l’eau et au savon.
Les personnes présentant des
symptômes de fièvre, toux et diarrhée
sont priées de ne pas se
présenter. Il est aussi recommandé
de limiter les visites des enfants de
moins de 12 ans et suivre les directives
de l’agent de sécurité ou du
personnel soignant pour permettre
aux usagers de recevoir les meilleurs
traitements possibles dans un
environnement sécuritaire.
« Nous travaillons en étroite
collaboration avec la Direction de la
santé publique et nous tenons à
rassurer la population à l’effet
qu’actuellement, l’ensemble des
mesures reconnues est appliqué de
façon rigoureuse : investigation,
suivi constant, audits et mesures de
contrôle prescrites. Nous sommes
confiants que ces efforts donneront
des résultats positifs très prochainement
», affirme M. Benoit
Marchessault, directeur général du
CSSS, par voie de communiqué.
Selon les responsables du Centre
du santé, onze personnes ayant une
PHOTO THERESA WATSO
infection de C. difficile ont été
aussitôt mises en quarantaine et
rassemblées sur la même unité de
soins et leur situation évoluait de
façon positive.
Malheureusement, depuis le
début de l’été, quatre personnes
présentant un état de santé
précaire sont décédées après avoir
contracté le C. difficile.
La direction de l’Hôtel-Dieu
affirme toutefois que les analyses
ne permettent pas d’établir un lien
direct entre ces décès et le C. difficile
qui affecte une population âgée
avec de multiples maladies
sévères.

SANTEETMISEENFORME
L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009 17

18 L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
SANTEETMISEENFORME
La réputée psychologue et auteure des ouvrages à succès « Les Psytrucs
», Suzanne Vallières, sera de passage au Cégep de
Drummondville le 23 septembre prochain pour donner quelques
conseils aux parents d'enfants de 4 ans.
Pour les parents d’enfants de 4 ans,
des «Psy-trucs» existent!
La salle Georges-Dor du Cégep
de Drummondville accueillera, le
23 septembre prochain, dès 19 h,
la réputée psychologue et auteure
d’ouvrages à succès Suzanne
Vallières, le temps d’une conférence
intitulée «Les Psy-trucs
pour les 4 ans». Les propos de
Mme Vallières seront tirés de ses
volumes «Les Psy-trucs» (2008) et
«Les Psy-trucs pour les 3-6 ans»
(2009), en plus de ses observations
reliées à ses activités professionnelles.
Dans ses conférences, Suzanne
Vallières, qui collabore fréquemment
avec différents médias,
démythifie certaines notions relatives
à l'évolution de l'enfant et
livre, le plus simplement du
monde, des conseils qui faciliteront
la vie des parents.
À Drummondville, Mme
Vallières abordera notamment les
bonnes méthodes d’intervention à
adopter avec son enfant ainsi que
l’importance du monde imaginaire
pour les enfants.
Les billets en vue d’assister à
cette conférence sont d’ores et
déjà en vente au local 1332 du
Cégep de Drummondville, au coût
de 15 $ en prévente (20 $ après le
11 septembre).
Pour en savoir plus à propos de
cette activité à ne pas manquer
organisée par le service de la
formation continue et des services
aux entreprises du Cégep de
Drummondville, il suffit de
composer le 819 478-4671, poste
téléphonique 359.
(Source: Cégep de Drummondville)

Opération de vaccination des ratons
laveurs, des moufettes et des renards
Par Sébastien Lacroix
Du 17 au 21 août, des équipes du
ministère des Ressources naturelles
et de la Faune (MRNF) ont
survolé à basse altitude un territoire
d’environ 11 000 kilomètres
carrés pour larguer 925 000 appâts
vaccinaux, en Montérégie et en
Estrie, afin de renforcer l’immunisation
des ratons laveurs, des
moufettes et des renards contre la
rage du raton laveur.
Ce sont principalement
les zones boisées et agroforestières
qui ont été
ciblées par l’opération
tandis que les zones
habitées ont été évitées.
En tout, trente-cinq
municipalités de l’Estrie
et cent vingt-six municipalités
de la Montérégie
ont été survolées, dont
Massueville, St-Aimé,
St-David, St-Gérard-
Majella, St-Joseph-de-Sorel, St-
Ours, St-Robert, St-Roch-de-
Richelieu, Ste-Anne-de-Sorel,
Ste-Victoire-de-Sorel, Sorel-Tracy
et Yamaska, ainsi que les TNO
(territoires non organisés) aquatiques
de la MRC du Bas-Richelieu.
Il s’agissait de la troisième année
consécutive que le gouvernement
du Québec procédait à l’épandage
d’appâts vaccinaux sur les territoires
de la Montérégie et de l’Estrie.
LA SITUATION S'AMÉLIORE
Le premier cas de raton laveur
infecté par la souche virale de la
rage du raton laveur a été décou-
(S.L.) Pour assurer le succès de
l'opération de vaccination des
ratons laveurs, des moufettes et
des renards et se protéger contre
la rage du raton laveur, une
maladie mortelle qui peut se transmettre
d'un animal à l'humain - les
citoyens sont invités à suivre quelques
consignes de sécurité.
D’abord, les appâts vaccinaux
étant destinés aux animaux
sauvages, il faut éviter de les
manipuler, même s'ils sont sécuritaires
pour les personnes, les
animaux ou l'environnement.
Ces appâts ressemblent à un
sachet de ketchup verdâtre. Leur
enveloppe est très résistante et se
confond à l’environnement. En cas
de contact avec un appât perforé
ou brisé, il faut composer le
numéro qui apparaît au dos des
appâts ou joindre le service Info-
Santé au 8-1-1.
Il est aussi recommandé de
consulter un vétérinaire pour faire
vacciner contre la rage les
La rage du
raton laveur,
une maladie
mortelle qui
se transmet
de l'animal à
l'humain
vert à Dunham, dans les Cantonsde-l’Est,
en juin 2006. En 2007,
soixante-six animaux porteurs ont
été rapportés, soit cinquante-neuf
ratons, six moufettes et un renard
et cette proportion serait
demeurée à peu près la même en
2008, selon le MRNF.
« Depuis le début de 2009, seulement
deux cas de rage du raton
laveur ont été observés au Québec,
soit deux mouffettes retrouvées
dans le secteur de Saint-Georgesde-Clarenceville.
C'est
une diminution importante
par rapport à l'an
dernier à pareille date et
cela semble indiquer que
nos interventions portent
fruit », souligne M. Pierre
Canac-Marquis, coordonnateur
des opérations de
contrôle au ministère des
Ressources naturelles et
de la Faune.
« On note aussi une
diminution du nombre de signalements
par les citoyens, mais même
si la situation semble s'être
améliorée, il est primordial de
continuer à signaler les animaux
suspects, commente Frédérick
Lelièvre, responsable des activités
de surveillance au MRNF. Les
résultats sont encourageants, mais
la présence de cas de rage du raton
laveur au sud de la frontière ainsi
que la proximité des régions
densément peuplées de la Rive-
Sud du Saint-Laurent commandent
des interventions énergiques et
constantes, de même qu'une haute
surveillance soutenue ».
Quelques conseils aux citoyens
animaux de compagnie, notamment
les chiens et les chats, qui
peuvent transmettre la rage à
l'humain s'ils sont contaminés par
un animal sauvage infecté.
Il ne faut jamais approcher les
animaux inconnus. En cas de
morsure, dépêchez-vous à laver la
plaie à grande eau et au savon
pendant 10 minutes et communiquer
ensuite avec Info-Santé.
Afin d'éviter de propager la
maladie dans d'autres régions, il
ne faut pas non plus tenter de
capturer les animaux sauvages
(ratons laveurs, mouffettes,
renards ainsi que tous autres
mammifères) pour les relocaliser.
Enfin, signalez les ratons
laveurs, mouffettes ou renards qui
sont morts, désorientés, paralysés
ou anormalement agressifs en
communiquant avec Services
Québec au 1 877 644-4545 ou en
remplissant le formulaire en ligne
sur le site Internet www.rageduratonlaveur.gouv.qc.ca.
L’ANNONCEUR
SANTEETMISEENFORME 26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009 19

20 L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
LA PUNAISE DES LITS :
À QUOI RESSEMBLE-T-ELLE ?
La punaise des lits possède un
corps ovale, large et plat ainsi
qu’une petite tête élargie. Brune,
sans ailes et mesurant entre 6 et
10 mm, une punaise adulte à jeun
ressemble à un pépin de pomme.
Après avoir mangé, elle gonfle
légèrement et prend une teinte
rouge sang. La nymphe a la même
forme que l’adulte, mais elle est
jaune-blanc.
La présence de cloques sur la
peau et de démangeaisons ou de
taches noires ou brunes sur les
matelas, les draps, les cadres de lit
ou les murs indique souvent une
infestation de punaises des lits. Les
oeufs de punaises sont blancs et
mesurent environ 1 mm (1/25 po)
de long. Ils sont presque impossibles
à voir sur la plupart des
surfaces. La femelle pond au moins
200 œufs au cours de sa vie, à un
rythme de 2 ou 4 oeufs par jour.
Les oeufs ont un revêtement
collant et sont déposés dans les
fissures et les crevasses, derrière
les boiseries et d’autres endroits
semblables. Ils éclosent habituellement
au bout de 6 à 17 jours.
Les nymphes se nourrissent dès
qu’elles trouvent des aliments. Une
punaise des lits doit subir cinq mues
avant de devenir adulte. Les adultes
vivent généralement environ 10
mois, mais ils peuvent vivre un an
et plus dans une résidence qui
offre de bonnes conditions pour la
reproduction, c’est-à-dire des
températures entre 21 et 28 o C. Les
punaises peuvent s’y reproduire
toute l’année. Les punaises des lits
peuvent vivre plusieurs semaines
et même jusqu’à un an et demi
sans manger. Les punaises plus
âgées peuvent vivre encore plus
longtemps sans nourriture.
QUELS DOMMAGES
PEUT-ELLE CAUSER ?
La punaise des lits peut causer
des allergies et des cloques sur la
peau qui démangent. La sensibilité
peut augmenter si l’exposition se
prolonge. La punaise des lits ne pose
toutefois pas de risque important
pour la santé et elle n’est pas un
vecteur connu de maladie transmissible
par le sang. Les morsures
de punaises des lits peuvent ne pas
être remarquées immédiatement,
car elles se nourrissent surtout la
nuit pendant que les gens dorment.
La punaise des lits n’a pas d’ailes
et ne peut voler ni sauter. Cependant,
elle est capable de se cacher
dans des endroits extrêmement
SANTEETMISEENFORME
La punaise de lit : Peut-être ne dormez-vous pas seul
La punaise de lit se retrouve généralement dans les coutures des matelas et des fauteuils. Cet insecte
nuisible s'active la nuit pour se nourrir du sang des humains. Les piqûres de punaise provoquent des
démangeaisons qui peuvent occasionner des troubles du sommeil.
PHOTO LOU SORKIN
Nymphe de punaise des lits
avant et après s'être nourrie.
PHOTO SANTÉ CANADA
Morsure de punaise des lits.
PHOTO SANTÉ CANADA
Punaises des lits cachées
derrière une moulure de caoutchouc.
petits en raison de son corps aplati,
par exemple sous du papier peint,
derrière des cadres, sur des prises
électriques, dans des sommiers,
dans des couvrematelas et sur des
tables de chevet. Longtemps considérée
éradiquée dans la plupart des
zones métropolitaines, la punaise
des lits fait un retour en force. Les
gens voyagent plus que jamais et
les punaises en profitent pour se
faufiler dans leurs vêtements et
bagages. Les punaises sont surtout
présentes là où il y a beaucoup de
mouvements de populations, des
refuges pour sans-abri aux hôtels
cinq étoiles. Elles peuvent aussi être
transportées accidentellement dans
une maison par des objets. Leur
présence ne signifie pas un manque
de propreté.
COMMENT PEUT-ON LUTTER
CONTRE CET INSECTE ?
Étant donné qu’il est difficile de se
débarrasser des punaises des lits, le
recours aux services d’un spécialiste
de la lutte antiparasitaire est une
solution simple. On peut également
décider de traiter les punaises soimême.
Il faut généralement effectuer
plus d’un traitement avec un
produit chimique et on doit le faire
en même temps que l’on utilise des
méthodes de lutte physique. Il faut
être très rigoureux lorsqu’on traite
une infestation de punaises des lits.
Étant donné que les punaises se
déplacent facilement, il faudra
peut-être traiter les pièces contigües.
Enlever ou réduire tout
désordre qui pourrait contribuer au
déplacement des punaises.
TRAITEMENT DES LITS
On doit traiter les matelas
infestés au moyen de la vapeur. Il
faut veiller à ce que la vapeur soit
suffisamment chaude. Éviter le
surplus d'humidité qui causerait la
prolifération de moisissures. Bien
inspecter le lit en examinant les
coutures, le rembourrage et les
crevasses dans le matelas ainsi
que le sommier, le cadre et la tête
du lit. On devra peut-être enlever
le tissu sous le sommier pour vérifier
la présence de punaises. Les
couvre-matelas et les draps
doivent être lavés à l'eau chaude
et séchés à l'air chaud. On doit
passer l'aspirateur dans les aires
infestées avec une brosse. Il faut
ensuite jeter le sac de l'aspirateur
immédiatement après usage et
inspecter la brosse afin d'enlever
toute punaise. La punaise des lits
ne peut pas facilement grimper sur
les surfaces en métal ou polies; elle
ne peut voler ni sauter. Traiter les
pattes du lit afin de garder les
punaises en retrait. Recouvrir les
pattes avec du ruban double-face
ou de la vaseline. On peut aussi
placer les pattes du lit dans des
bocaux en verre ou de boîtes de
conserve en métal.
Il faut parfois se débarrasser du
lit. Des trous ou des traces d'usure
dans le tissu peuvent permettre
aux punaises de pondre des oeufs
à des endroits difficiles d'accès et
il existe des restrictions concernant
le traitement des lits avec des
insecticides.
La punaise de lit est un
insecte brunâtre visible à
l'œil nu qui est réapparu
dernièrement dans la
plupart des grandes
agglomérations nordaméricaines,
dont celle de
Montréal. Les punaises
sont surtout transportées
dans les valises ou les sacs
à main, par les vêtements,
par les meubles,
particulièrement les
matelas. Elles peuvent
aussi se propager d'un
logement à un autre.
TRAITEMENT DES
AUTRES ARTICLES
Examiner attentivement toutes les
tables de chevet, les plinthes, les
commodes, les têtes de lit (particulièrement
celles qui sont
rembourrées), les prises électriques,
les objets rangés près ou
sous un lit, les tapis, les cadres, les
plaques d'interrupteur, l'intérieur
des réveils, des téléphones, des
téléviseurs et des avertisseurs de
fumée, bref tout ce qui est dans la
pièce au moment où l'on observe
une infestation. Les chaises et les
sofas rembourrés peuvent aussi
héberger des punaises des lits; on
doit donc y passer l'aspirateur
avec soin et laver toutes les
composantes possibles (coussins,
housses, volants, etc.)
Les petits objets qui ne peuvent
être lavés peuvent parfois être
traités au moyen de la chaleur
(températures supérieures à 50 o C)
ou par congélation. On peut
emballer certains articles dans du
film de plastique et les placer à
l'extérieur lors d'une journée
chaude et ensoleillée ou en hiver,
lorsque la température est inférieure
au point de congélation.
Cependant, il faut que les punaises
soient exposées à de froides
températures durant une période
prolongée (par exemple 4 jours à
0 o C) pour s'assurer de les tuer.
PRÉVENTION - On doit bien
envelopper les matelas afin de
prévenir les infestations de
punaises des lits. On peut les
emballer dans des couvrematelas
à fermeture à glissière
fabriqués par des fabricants de
produits pour les personnes allergiques.
Installer du ruban à
conduits (duct tape) sur la fermeture
à glissière. On peut également
utiliser un film de plastique
pour emballer et sceller les
matelas. Il faut être très prudent
lorsqu'on rapporte à la maison
des meubles, de la literie, des
matelas ou des lits usagés. On doit
les inspecter et les nettoyer avant
de les rentrer dans la maison. En
voyage, inspecter le matelas et la
tête du lit dans la chambre
d'hôtel, ne jamais y apporter un
oreiller de la maison et ne pas
poser les bagages sur le lit.
PRODUITS - Les pesticides à
usage domestique offerts aux
propriétaires contiennent généralement
de la pyréthrine ou de
la terre de diatomées.
Les spécialistes de la lutte
antiparasitaire ont accès à
plusieurs pesticides à usage
commercial. Cela comprend des
produits à pulvériser, des
poudres et des aérosols qui ont
une faible odeur. Le spécialiste
choisira le produit le mieux
adapté à chaque situation.
NOTE - Les infestations de
punaises des lits peuvent être très
difficiles à traiter et de multiples
traitements pourraient s'avérer
nécessaires. Toujours suivre le
mode d'emploi sur l'étiquette
d'un pesticide afin de minimiser
l'exposition et de maximiser l'efficacité
du produit. Surveiller la
situation entre deux applications
de pesticides afin de lutter contre
l'infestation existante et prévenir
une infestation future.
SOURCE PRINCIPALE : SANTÉ CANADA.
INFORMATIONS ADDITIONNELLES : VILLE DE
MONTRÉAL

NICOLET
Isabelle Coulombe à la
direction de la CDC
(F.B.) Mme Isabelle Coulombe occupe,
depuis le 3 août dernier, le poste de
directrice générale à la Corporation de
développement culturel
de Nicolet (CDC).
Après avoir pris
connaissance des
dossiers importants de
l'organisme, Mme
Coulombe nous a confié
vouloir donner suite aux
projets en cours et
travailler à de nouvelles
Isabelle
Coulombe
initiatives, toujours dans
le but de favoriser le
développement culturel
de la ville de Nicolet.
La Corporation de développement
culturel de Nicolet a pour mission de
favoriser le développement culturel de la
ville de Nicolet. Isabelle Coulombe
officiait auparavant à l'Office de tourisme
de Nicolet-Yamaska à titre de chargée de
projet. Elle s’y était fait remarquée
notamment avec le développement du
projet Balades historiques entre fleuve et
rivière, une initiative qui avait été
récompensée du prix Tourisme culturel
lors de l’édition 2006 du Gal’Art.
MRC DE BÉCANCOUR
Subvention de 47 104 $
pour le transport collectif
(F.B.) La MRC de Bécancour, qui fait
cavalier seul pour le service de transport
collectif depuis le retrait de Nicolet-
Yamaska, se voit accorder une
subvention de 47 104 $ du ministère des
Transports du Québec. C’est ce qu’ont
annoncé conjointement les ministres
Laurent Lessard et Julie Boulet, le 17 août
dernier. Cette subvention est versée dans
le cadre du Programme d’aide
gouvernementale au transport collectif
régional destiné au développement du
transport collectif, lequel permet d’offrir à
la population de meilleurs services de
transport par l’utilisation maximale des
ressources déjà en place, qu’il s’agisse,
entre autres, de transport scolaire, adapté
ou par taxi. L'objectif principal de la
Politique québécoise du transport collectif
est d’accroître de 8 % l'achalandage du
transport en commun d'ici 2012 en
augmentant l’offre de service à la
population de 16 %.
L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
21
Joueur(se)s de quilles recherché(e)s
Le Salon de Quilles le 19-90 à Pierreville,
invite les quilleur(se)s à joindre une ligue
existante ou à démarrer leur propre ligue,
novices ou experts.
Fêtes d’enfants, party de bureau
ou de famille.
Communiquez au 450 568-0219
25 Maurault, Pierreville

22 L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
Beaulac, un nom à retenir
Par Alain Dubois
Ceux d’entre vous qui avez suivi la scène
musicale locale depuis quelques années
savent déjà que les membres du MRC Blues
band y sont allés d’une dernière représentation
en donnant un concert d’adieu
devant leurs fidèles supporteurs à Nicolet.
La dissolution du groupe coïncide avec
l’envol d’une nouvelle carrière, celle de
Guillaume Beaulac, qui a finalement pris la
décision de s’investir totalement dans une
carrière musicale.
Les personnes présentes le 22 mai
dernier à Nicolet ont d’ailleurs participé à sa
démarche en y allant de dons pour aider
Guillaume, ce dernier venait tout juste
d’apprendre qu’il faisait partie de la sélection
officielle du 27 e Festival en chanson de
Petite-Vallée, qui se déroulait du 26 juin au
4 juillet dernier. Pas moins de 326 candidatures
furent étudiées et même s’il n’a pas
été retenu dans la catégorie « chansonneur
», on lui a proposé une place au sein
du groupe d’élus en tant que compositeur.
TREMPLIN
Contrairement à ce qui se faisait auparavant,
ou ailleurs dans d’autres concours, le
Festival en chanson n’est plus une compétition
qui couronne un grand gagnant.
D’être choisi pour faire partie de la sélection
officielle est la récompense en soit.
Guillaume Beaulac en est toutefois revenu
avec deux prix accompagnés de bourses.
Il a en effet reçu le Prix Étoile Galaxie de
Radio-Canada ainsi que le Prix Cogeco du
plus bel air.
Ces dix jours consistaient essentiellement
en une rencontre d’artistes de la
relève avec un passeur, en l’occurrence
personnifié par Paul Piché pour la présente
édition, et d’autres, plus ou moins vieux
routiers, qui sont venus tour à tour
partager leur expérience et leur savoirfaire
avec les douze candidats.
En tant que compositeur, le mandat de
Guillaume comportait deux volets. En collaboration
une candidate parolière, il devait
composer deux musiques, l’une sur les
textes de la parolière alors que l’autre était
complétée ultérieurement par un texte.
Avant même la tenue du festival, la
démarche de Guillaume portait déjà ses
fruits. Bien qu’on lui ait demandé d’être
reclassé dans la catégorie compositeur,
quelques membres du groupe d’artistes
formant l’équipe professorale qui ont fait le
détour par Petite-Vallée avaient pris
connaissance des enregistrements envoyés
par les candidats et ont émis des commentaires
sur ces travaux. Bien que certains
de ces ‘feedback’ se soient perdus en court
de route, l’intérêt démontré par les Pierre
Flynn, Michel Faubert et Edgar Bori de ce
monde était de très bon augure.
Au-delà de l’atelier d’apprentissage, la
participation au Festival constitue une
occasion en or pour tisser des liens avec
des gens du milieu musical. Le fait d’avoir
côtoyé ces artistes établis pourra éven-
tuellement amener bien plus qu’un simple
enseignement au niveau musical. Des liens
se sont tissés et l’occasion était belle pour
établir des relations qui peuvent mener à
des collaborations et participations lors
d’événements futurs.
Du côté de l’industrie, on devine que
différents intervenants en auront profité
pour jeter un coup d’œil, et surtout une
oreille, à cette poignée d’artistes en
devenir. Il s’agissait donc d’une occasion
idéale de se faire un nom, et même si pour
le commun des mortels cette reconnaissance
n’est que très lointaine, il n’en
demeure pas moins que dans le milieu,
cette étape consiste en un réel tremplin
qui permettra à certains d’entre eux de
créer une marque indélébile dans l’esprit
des gens qui façonnent le paysage de la
musique québécoise.
Pour vous donner une petite idée des
lauréats qui sont passés par le Festival en
chanson de Petite-Vallée, certains parmi
les plus connu(e)s se nomment : Nelson
Minville, Isabelle Boulay, Benoit Archambault
(membre de Mes Aïeux), Daniel
Boucher, Thomas Jensen, Catherine Major,
Viviane Audet (qu’on connaît mieux en
tant qu’actrice). Et ici on ne parle que des
lauréats, du temps où on décernait la
palme au gagnant d’un concours.
Enfin, l’expérience de Petite-Vallée en
aura été une des plus intéressante pour
Guillaume Beaulac, et à n’en pas douter, ce
PHOTO ALAIN DUBOIS
stage constitue un pas de plus dans la
direction qu’il a dorénavant choisie de
prendre, celle de la musique, de sa
musique qu’il voudrait bien partager avec
un plus grand nombre d’auditeurs.
DÉCLIC ET CRÉATION
L’appel de la création fut vraiment tardif
pour Guillaume Beaulac. Gratter la guitare
était une habitude acquise à l’adolescence
mais n’a constitué qu’un hobby pendant
plusieurs années. De son propre aveu, le
déclic se serait fait instantanément,
quelque part, probablement sur une
chaîne de travail dans un... abattoir. Alors
qu’auparavant, côté créatif pour lui c’était
‘zéro pis une barre’, tout à coup il se met à
entendre de nouveaux ‘riffs’ de guitare
dans sa tête, à croire qu’il s’est soudainement
mis à capter des ondes d’un poste de
radio imaginaire.
Issu d’une famille de musiciens, il est
frappé par la même malédiction qui afflige
plusieurs membres de la branche Beaulac,
affliction héritée de sa grand-mère qui leur
a légué ce qu’on appelle l’oreille absolue.
D’ailleurs, les premiers mots d’un de ses
professeurs de musique au CEGEP furent :
« Ah non, pas encore un autre Beaulac ».
Malgré ses études, Guillaume n’a toujours
pas appris à lire la musique. Alors, en plus
d’un poste radiophonique qui l’aide à créer
ses mélodies, il a également un « manche
de guitare dans la tête » ainsi qu’une enre-
gistreuse pour reproduire les airs qu’il
entend. Quand même pratique pour un
musicien.
Et pourtant, pendant que les gens de son
entourage le pressait d’aller dans cette
direction, le principal intéressé a longuement
hésité à transformer ce qui fut un
hobby en gagne-pain. Drôle de paradoxe
alors que la plupart des jeunes qui aspirent
à faire carrière dans l’un des nombreux
domaines artistiques doivent généralement
faire face aux réticences de leur
entourage. Les familles Beaulac et Béliveau,
desquelles il est issu, l’ont constamment
encouragé à s’impliquer plus à fond
dans le domaine musical. Si du côté
Beaulac on parle surtout musique, le côté
irlandais des Béliveau apporte une touche
scénique, ce qui fait en quelque sorte un
mélange idéal pour ce genre de carrière.
Avant qu’il se rende à Petite-Vallée, les
spectateurs qui étaient présents aux festivités
de la Saint-Jean-Baptiste, à Nicolet,
ont déjà eu l’opportunité de l’entendre,
alors que l’artiste en avait profité pour
proposer quelques-unes de ses compositions.
Et plus récemment, il se produisait à
Ste-Perpétue dans le cadre du Festival du
Cochon de l’endroit. C’est qu’il planchait
déjà depuis quelques mois sur ses propres
‘compos’ et qu’il jugeait qu’il était temps de
les exécuter devant public.
UN ONGLE D’ORTEIL DANS LA PORTE
Lui aussi originaire de Nicolet, Michel
Pépin (alias Micheal Breen) a rapidement
pris Guillaume sous son aile. Sur la suggestion
de sa mère, amie d’enfance de ce
dernier, Guillaume envoie une copie de ses
travaux au musicien, qui travaille régulièrement
en studio avec Jean Leloup, entre
autres.
Si d’autres personnes à qui il a envoyé
quelques démos étaient prêtes à mettre
immédiatement le chantier en marche, la
démarche plus terre-à-terre de Guillaume
et de son mentor nicolétain les amènent à
prendre plus de temps pour fignoler un
produit qui se doit de mûrir encore un peu
selon le principal intéressé.
Selon ses propres dires, avec ses expressions
bien à lui, il a comme « un ongle d’orteil
dans la porte » qui s’ouvre devant lui.
Il aurait pu précipiter un peu plus les
choses, mais peu importe, il aime ce qu’il
fait et maintenant que sa direction est
prise il n’y a aucune raison de précipiter les
décisions.
Comment qualifie-t-il sa musique ? Un
bon folk rock bien ancré en terre. Des riffs
simples mais efficaces. S’il écoute peu de
musique, il avoue avoir découvert récemment
la celle de Bruce Springsteen, et il
semble qu’il entend des résonnances dans
la musique de l’icône américain qui s’apparente
à ce qu’il fait ou aimerait bien créer.
Quoiqu’il en soit, je vais immédiatement
mettre une note à mon agenda pour une
autre rencontre, quelque part en 2011,
question de voir l’évolution de cette
carrière en devenir.

Communauté
DEUX JEUNES DE LA RÉGION SE RENDRONT AU TOGO
Deux jeunes de la région se rendront au Togo dès la mi-septembre
2009 afin de vivre là-bas une expérience de coopération internationale.
Ce sont Judith Filiatrault de St-François-du-Lac et Samuel
Bergeron de Nicolet, tous deux diplômés du Cégep de Trois-Rivières et
âgés de 19 ans. Vous êtes invités à appuyer ce projet en faisant des
dons, sous la forme d’articles scolaires ou d’argent, qui serviront aux
étudiants togolais. Portez vos dons au vestiaire de St-François-du-Lac,
262-A rang Grande-Terre. Infos : 450 568-3837.
LA RUCHE AIRE OUVERTE
Nous vivons souvent dans un passé souffrant ou un futur inaccessible.
Et pourtant, le moment présent renferme des richesses qui désirent se
faire découvrir. Le mercredi 16 septembre 2009, de 13h30 à 15h30, il
y aura une causerie gratuite offerte à la population de 18 ans et plus
« Vivre aujourd'hui » animée par Mme Sylvie Dufresne à la salle 1 du
Centre Gabrielle Granger, 690 Mgr Panet à Nicolet. Pour information :
La Ruche 819 293-6416 - inscription non nécessaire.
F.A.D.O.Q. - CLUB DE PIERREVILLE
Nous vous rappelons que septembre est le mois du renouvellement des
cartes de membre. Ne manquez pas nos activités : tous les mercredis
à 13h, bingo. Vendredi le 4 septembre - comme à chacun des
premiers vendredis du mois- souper spaghetti à compter de 18h,
danse avec l'orchestre Fascination, goûter et prix de présence; le prix
d'entrée est de 5 $. Lundi le 7 septembre à 13h, partie de cartes et à
19h, partie de galet. Mercredi le 9 septembre, déjeuner à 8h30 au
restaurant Comme chez soi et bingo à compter de 13h, le même jour.
Lundi le 28 septembre, partie de cartes mensuelle à 13h30.
REGROUPEMENT DES PERSONNES SOURDES DE LA MAURICIE
Les cours de langue des signes québécoises (LSQ) de la session automne
2009 débuteront: niveau 1, lundi le 14 septembre 2009 à 18h30; niveau
2, mardi le 8 septembre 2009 à 18h30 et niveau 4, mercredi le 9
septembre 2009 à 18h30, au 1322, Ste-Julie, Trois-Rivières. Cours de
45 heures, pendant 15 semaines à raison de 3 heures par semaine. Coût
160 $, documentation incluse, Les personnes intéressées n'ont qu'à se
présenter à la date du début du cours. Notre professeur se fera un
plaisir de les accueillir. Information: 819 386-2710, demandez Yves.
PROGRAMME D’INITIATIVE PERSONNELLE CONTRE L’ARTHRITE
Venez assister à un cours PIPA (Programme d’initiative personnelle
contre l’arthrite). Du 15 octobre au 19 novembre 2009 à la Table ronde
du sous-sol de l'église St-Pie X, à l’angle des rues Cockburn et Ringuet
(entrée Ringuet) à Drummondville de 13h30 à 15h30. Cette formation de
deux heures par semaine vous est offerte afin de mieux comprendre
votre maladie et son traitement et à trouver des moyens de composer
avec la douleur chronique. Faites vite ! Le nombre de places est limité.
Inscriptions ou informations : Emy Nzau 1 800 321-1433, poste 229.
L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
23

24 L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
CULTURE
Cocktail culturel
Par Sébastien Lacroix
OH ! EN COULEURS
Une cinquantaine d’artistes et artisans
présenteront leurs œuvres et
travailleront sur les terrains de la
galerie d’art Chez Ger-Art, à Ste-
Eulalie, du 28 au 30 août
prochains, dans le cadre du
symposium Oh ! En Couleurs.
Conférence sur les avantages
fiscaux d’acquérir une œuvre
d’art, portraitiste, atelier pour les
jeunes, encan humoristique, spectacles
de musique, exposition d’anciens
instruments de musique,
brunch, bourses et prix du public
seront aussi au rendez-vous. Les
visiteurs pourront même participer
à une peinture collective.
CULTURE ET TERROIR D'ICI
La troisième édition de la Journée
culture et terroir d’ici se déroulera
le samedi 29 août, de 10h à 16h, au
parc Marguerite-d’Youville de
Nicolet. En cas de pluie, l’activité
sera remise au lendemain. Ce sera
l’occasion pour les artistes, artisans
et producteurs agroalimentaires
de la région de montrer aux visiteurs
ce qu’ils ont de beau et bon
à offrir. Le tout se déroulera dans
une ambiance musicale.
Du cinéma à Nicolet
LA COOP FÊTE SES 10 ANS
La Coopérative de services aux
artistes du Bas-St-François fêtera
ses 10 ans, les 29 et 30 août
prochains, à l’Auberge Blondin de
St-François-du-Lac. Une trentaine
d’exposants seront sur place pour
présenter leurs œuvres lors d’un
symposium organisé sous l’égide
d’un comité composé de Lise
Mongrain, Marjolaine Lachapelle,
Rhéa Pelletier, Nicole Durand et
Rita Beaulieu. Ateliers d’aquarelle,
de peinture ainsi que le tatouage
de la présidente sont aussi au
programme.
FESTIVAL DES GROS CASQUES
Du 28 au 30 août, au parc Léo-
Théroux de Yamaska, les participants
sont invités à fabriquer et à
porter un gros casque qui pourrait
leur mériter un prix. Jeux gonflables,
tire de tracteurs, bingo,
chansonniers, souper, soirée
dansante et journée folklorique
sont aussi au menu de cette fête
populaire. Rappelons que « Gros
Casque » était le sobriquet des
gens de Yamaska, depuis les
années 1920, parce qu’ils portaient
de gros casques de fourrure
lorsqu’ils allaient au marché de
Sorel.
PHOTO GRACIEUSETÉ REVITALISATION NICOLET
(S.L.) Les 9 et 16 août derniers, 330 cinéphiles ont assisté à l’une ou
l’autre des projections cinématographiques proposées par Revitalisation
Nicolet et les marchands du centre-ville de Nicolet. Le film « Mon Ami
Finn », qui raconte l’histoire d’un chien qui se métamorphose en humain
après avoir ingurgité un mystérieux sérum et qui devient populaire à
l’école, a été présenté au Centre des arts populaires de Nicolet, puisque
le ciel se faisait menaçant. Tout de même, 80 personnes ont assisté à ce
film à caractère familial. Le 16 août, l’activité s’est déroulée, comme
prévue, à la Place 21-Mars du centre-ville de Nicolet. Près de 250
cinéphiles ont assisté au film d’animation « Là-Haut » de Disney-Pixar qui
raconte le périple d’un vieil homme grincheux et d’un jeune explorateur
dans une maison attachée à des milliers de ballons. Ces deux soirées de
cinéma ont permis de recueillir six caisses pleines de denrées non
périssables qui ont été remises à la Ressource Aide alimentaire de
Nicolet. Les grignotines et les breuvages en vente sur place ont quant à
eux permis d’amasser 100 $ au profit de Centretien et de La Relance
Nicolet-Bécancour, deux organismes qui viennent en aide aux jeunes.
Par Sébastien Lacroix
Des figures tant artistiques,
industrielles, politiques, religieuses
que sportives, provenant des différents
pôles de la MRC de Nicolet-
Yamaska et qui ont existé à différentes
époques, ont été nominées
pour faire l’objet d’un portrait de la
part de l’écrivain Louis Caron dans
le cadre d’une publication diffusée
à grande échelle.
Du Bas St-François, mentionnons
Paul Comtois, un ancien lieutenant-gouverneur
du Québec, la
famille Thibeault, fabricants de
camions à incendie ainsi que
l’écrivain Edmond Boisvert dit de
Nevers et Ovila Chapdeleine, l’un
des plus grands boxeurs québécois
qui s’est rendu célèbre en
allant faire carrière aux États-Unis
sous le nom de Jack Delaney.
De Nicolet, mentionnons les
noms de Georges Ball, un industriel
en flottage, sciage et
commerce du bois, l’architecte et
entrepreneur Louis Caron, l’offi-
cier de milice et député Patriote
Jean-Baptiste Proulx ainsi que le
peintre et graveur Rodolphe-
Duguay.
La plus grande personnalité de la
série est sans doute l’abbé Calixte
Marquis qui, un peu comme le
curé Labelle dans les Laurentides,
a participé à la colonisation de la
région, aidant à la fondation d’une
douzaine de paroisses dans le coin
de St-Célestin, St-Wenceslas et
Ste-Eulalie.
Mgr Marquis avait aussi ramené
6 000 reliques de Rome pour les
exposer dans la Tour des Martyrs,
construite derrière l’église de St-
Célestin. Pendant une soixantaine
d’années, les gens venaient de
partout en Amérique du Nord
pour rendre un culte aux reliques
des Saints dans ce sanctuaire
unique au monde.
La famille Allard de Sainte-
Monique avec Jean-Victor comme
premier major-général francophone
de l’armée, Anaïs, cofondatrice
des Jeunesses musi-
PHOTO JOCELYN PROULX
Christian Bédard, propriétaire d'une galerie d’art de Montréal, devant la toile L'esprit du jeu, réalisée par
l'artiste Claude Bibeau (1954-1999), et que M. Bédard a offert à la collection de la MRC de Drummond.
La MRC de Drummond reçoit une œuvre de Claude Bibeau
(F.B.) L'œuvre «L'esprit du jeu» de
l'artiste Claude Bibeau vient
rejoindre les créations de Manon
Morrissette, de Francis Bruneau et
de Luc LeClerc, installées dans la
salle du conseil de la MRC de Drummond,
selon ce qu'ont indiqué, le 17
août dernier, messieurs Jocelyn
Proulx et Jean Dufresne, respective-
ment agent de développement
culturel et conseiller en communication
à la MRC de Drummond.
La toile de Claude Bibeau, peintre
d'origine drummondvilloise dont
c’était le 10 e anniversaire du décès
le 30 juillet dernier, a été offerte
gracieusement par Christian Bédard,
propriétaire d'une galerie d'art qui
porte son nom, à Montréal.
«L’adaptation d’images et de
formes puisées dans la culture populaire
et dans l’univers des jeux d’enfants
lui sert à formuler son langage
pictural. Bibeau fait du jeu de la vie
l’enjeu de sa peinture», mentionne
Christian Bédard dans un ouvrage à
propos de l'artiste, publié en 2000.
Nicolet-Yamaska : Douze portraits historiques par Louis Caron
cales, et Irène, cantatrice qui fit
une carrière internationale, ainsi
qu’Ambroise Ouellet, fondateur de
la Fonderie Ouellet à St-Léonard
et Françoise Gaudet, journaliste,
animatrice et communicatrice de
Ste-Eulalie, complète la liste définitive
pour de l’ouvrage intitulé
« Les douze coups de l’horloge ».
« Des recherches sont actuellement
en cours pour étoffer le livre
par quelques clins d’œil à d’autres
personnalités qui n’ont pas été
retenues, c’est-à-dire en faisant
quelque chose sur eux, mais qui
soit plus court qu’un portrait », a
mentionné le préfet Raymond
Bilodeau.
Il a donné en exemple Cliff
« Red » Goupille d’Aston-Jonction,
soit un ancien défenseur qui a pris
part à 222 matchs avec les Canadiens
de Montréal, de 1935 à 1943,
et qui a participé au troisième
match des étoiles de la LNH, au
Forum, en 1939, qui avait été
organisé à la mémoire d’Albert
« Babe » Siebert.

Jean-Pierre Roy,
Serge Péloquin et
Yannic Roy de la
firme Royal Pyrotechnie,défendaient
les
couleurs du
Québec / Canada à
L’International
des Feux Loto-
Québec. Le
22 août dernier, à
la remise des Jupiters
du Concours
international d’art
pyrotechnique de
Montréal, ils ont
remporté le
Jupiter d’or et
celui de la meilleure
bande
sonore.
PHOTO MAURICE PARENT PARMO.CA
Le talent de Serge Péloquin primé au Concours
international d’art pyrotechnique de Montréal
(F.B.) La firme Royal Pyrotechnie revient de la
25 e édition du Concours international d’art
pyrotechnique de Montréal avec une double
récompense, soit le Jupiter d’or pour leur
spectacle «Voilà», présenté à La Ronde, le 25
juillet dernier, ainsi que le Jupiter de la meilleure
bande sonore, réalisée par le Sorelois
Serge Péloquin. Quelques jours avant la
présentation du spectacle, les artificiers soulignaient
d’ailleurs «l’excellente trame sonore
FRÉDÉRICK BARON
26 septembre 2009 à 20 h
Billet 20 $, Membre 17 $
ROBERT CHARLEBOIS
2 octobre 2009 à 20 h
Billet 38 $, Membre 35 $
JEAN-CLAUDE GÉLINAS
(En rodage)
10 octobre 2009 à 20 h
Billet 25 $, Membre 22 $
GUY NANTEL
(En rodage)
23, 24 octobre 2009 à 20 h
Billet 22 $, Membre 19 $
LE TESTAMENT
25 octobre 2009 à 15 h
Billet 22 $, Membre 19 $
LOUISE FORESTIER
30 octobre 2009 à 20 h
Billet 28 $, Membre 25 $
du concepteur Serge Péloquin».
La remise des Jupiters a eu lieu le 22 août
dernier, juste avant la présentation d’un
«tableau» en hommage au regretté Michael
Jackson. Ces reconnaissances, attribuées par
un jury populaire formé de vingt-cinq
personnes, s’ajoutent à un palmarès déjà fort
bien garni pour Royal Pyrotechnie, dont un
«Zeus» récolté en 2004 au Lac-Leamy et un
«Solstice» remporté en 2007 à Québec.
THOMAS HELLMAN
31 octobre 2009 à 20 h
Billet 23 $, Membre 20 $
DAN ET SES BLONDES
5 novembre 2009 à 20 h
Billet 35 $, Membre 32 $
BELCOURTOISIES
D’UN SOIR
7 novembre 2009 à 20 h Bil. 25 $
CHRONIQUES DU
DÉPANNEUR
13 novembre 2009 à 20 h
Billet 20 $
Membre et tous les résidants de la
MRC de Nicolet-Yamaska
2 billets pour 1
ANDRÉE WATTERS
14 novembre 2009 à 20 h
Billet 25 $, Membre 22 $
PHILIPPE LAPRISE
(En rodage)
20 novembre 2009 à 20 h
Billet 20 $, Membre 17 $
KARKWA
21 novembre 2009 à 20 h
Billet 26 $, Membre 23 $
DAVID MARIN
27 novembre 2009 à 20 h
Billet 21 $, Membre 18 $
STEVE STRONGMAN
28 novembre 2009 à 20 h
Billet 22 $, Membre 19 $
THÉÂTRE BELCOURT
23, rue de l’Église, Baie-du-Febvre
Réservation : 450 783-6467 www.theatrebelcourt.com
NICOLAS PELLERIN
4 décembre 2009 à 20 h
Billet 23 $, Membre 20 $
MATT HERSKOWITZ
5 décembre 2009 à 20 h
Billet 22 $, Membre 19 $
HIVER 2010
NOIR SILENCE 6 février
DANIEL BOUCHER 13 février
FRED PELLERIN 25 et 26 février
MARIE-CHANTAL TOUPIN
27 février
LE MALADE IMAGINAIRE
27 mars
MARTIN PETIT
28, 29 mai
L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
Belcourtiser davantage
pour 2009-2010
Choisissez 3 spectacles
marqués d'un soleil
Obtenez 15 % de réduction
Choisissez 4 spectacles
marqués d'un soleil
Obtenez 20 % de réduction
Choisissez 5 spectacles et plus
marqués d'un soleil
Obtenez 25 % de réduction
25
Réduction applicable sur le prix régulier du
billet. * Le nombre de billets achetés doit être
le même pour chacun des spectacles que
vous aurez choisi. * Ne peut être jumelé à
toutes autres promotions.

26 L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
SPORTS
HOCKEY COLLÉGIAL
La Fédération québécoise
du sport étudiant
refuse une demande
de dérogation
(S.L.) La Fédération québécoise du
sport étudiant a tenu son bout
dans le dossier de la demande de
dérogation du Collège d’Alma
adressée à la nouvelle Ligue collégiale
de hockey masculin qu’intégreront
Les Rebelles du Collège
de Sorel-Tracy cet automne.
La Fédération a effectivement
refusé qu’un joueur de 20 ans qui
n’a pas étudié au collège l’année
précédente, soit Jean-Simon
Allard, puisse intégrer le circuit.
De la catégorie d’âge Junior,
Allard aurait été des plus âgés du
circuit qui comprendra en grande
partie des jeunes de 17, 18 ou 19
ans. À la Fédération, on maintient
que la demande viendrait à l’encontre
de l’esprit de la ligue qui se
veut une opportunité pour les
jeunes hockeyeurs d’évoluer dans
un circuit compétitif tout en poursuivant
leurs études pour l’obtention
d’un diplôme collégial.
Les dirigeants de la ligue ont
pour leur part fait valoir que
l’étude de faisabilité qu’elle a fait
faire a démontré que le bassin de
recrutement devrait être les jeunes
joueurs provenant du Midget AA.
Ils veulent éviter que la Ligue
collégiale de hockey masculin
devienne un compétiteur pour
d’autres circuits. Ils veulent plutôt
offrir un autre produit pour les
amateurs et une opportunité
nouvelle pour les joueurs.
LHJMQ
De l'action au Centre
Marcel-Dionne
(S.L.) Les cinquante à soixante
joueurs invités au camp des
Voltigeurs de Drummondville ont
pris part à trois parties intraéquipes,
le 18 août à 9h et à 19h,
ainsi que le 19 août à 9h. En
matchs hors-concours, en plus
d’une série aller-retour contre les
Maineiacs de Lewiston les 22 et
23 août, les Voltigeurs recevront
les Tigres de Victoriaville à deux
reprises, le vendredi 28 août à
19h30 et le dimanche 30 août à
16h. Le jeudi 10 septembre à
19h30, le Centre Marcel-Dionne
sera le théâtre du match
d’ouverture de la campagne
2009-2010 de la Ligue de hockey
junior majeur du Québec alors
que les Voltigeurs recevront les
Foreurs de Val-d’Or.
PHOTO RA PUCKFANS GMBH / ÉQUIPE CANADA
Sean Couturier, à l'avant-plan, arbore le numéro 11 sur cette photo prise quelques instants avant la
rencontre qui opposait le Canada à la Suisse, le 12 août dernier, dans le cadre du Tournoi commémoratif
Ivan Hlinka 2009 pour les moins de 18 ans. L'équipe canadienne a ramené de la République Tchèque une
fiche parfaite, signant la victoire à chacune de ses sept sorties sur la glace, dont un gain de 9 à 2 aux
dépens de l'équipe russe, ce qui a permis à Sean Couturier et ses coéquipiers de remporter le titre.
Couturier et le Canada remportent les honneurs
Au sein de l'équipe nationale, l'espoir des Voltigeurs inscrit un but
et deux passes en sept matchs en République Tchèque
Par Sébastien Lacroix
L’espoir des Voltigeurs de Drummondville,
Sean Couturier, s’est fait
discret lors de la conquête du
Tournoi commémoratif Ivan Hlinka
2009 par l’équipe canadienne des
moins de 18 ans où le Canada a
remporté ses sept matchs et
dominé 49 à 11 au chapitre des buts.
Couturier a inscrit un but et une
passe durant les matchs précompétition
dans des victoires de 6
à 1 contre les Américains et de 7 à 1
contre les Slovaques. Il a été tenu
en échec durant la ronde préliminaire,
qui a vu le Canada remporter
des victoires de 3 à 2 contre la
Suède, de 6 à 3 contre les Suisses
et de 9 à 0 contre la République
Tchèque.
Durant la ronde des médailles,
après une victoire de 9 à 2 contre la
Suède dans le match pour la
médaille de bronze, Couturier a
obtenu une aide sur le premier but
du match de la finale qui s’est soldé
par une victoire de 9 à 2 sur la
Russie.
Couturier a donc participé au 14 e
titre de l’équipe canadienne au
championnat d’été des moins de 18
ans sur 19 participations depuis
1991.
UNE FICHE IMPRESSIONNANTE
En plus du Tournoi commémoratif
Ivan Hlinka, en 2008 et en
2009, la formation canadienne a
remporté la Coupe du Monde des
moins de 18 ans, en 2004, 2005 et
2006, la Coupe des Huit Nations, en
2002, la Coupe des Six Nations, en
2001, les Quatre Nations en 1998,
1999 et 2000, les Trois Nations, en
1997, la Coupe du Pacifique en 1992
et 1996 ainsi que la Copa Mexico en
1994.
L’équipe des moins de 18 ans a
aussi remporté deux championnats
mondiaux de la Fédération Internationale
de Hockey sur Glace (FIHG),
en 2008 et en 2003. L’équipe Junior
des moins de 20 ans a pour sa part
remporté l’or à 15 reprises, dont 5
fois consécutives de 1993 à 1997 et
de 2005 à 2009.
Avec ses meilleurs éléments, le
Canada a remporté la Série du
Sommet de 1972, la Coupe Canada
de 1976, 1984, 1987 et 1991 ainsi que
la Coupe du monde de 1996 et
2004.
En 2002, le Canada a remporté
l’Or olympique pour la septième fois
de son histoire. Il s’agissait par
contre de la seule fois où c’est
l’équipe nationale qui a triomphé
aux Jeux, puisque les médailles de
1952, 1948, 1932, 1928, 1924 et 1920
avaient été remportées par des
équipes séniors amateurs d’Edmonton,
Ottawa, Toronto ou
Winnipeg.
Au championnat mondial de la
FIHG qui, depuis 1977, inclut les
joueurs de la LNH dont l’équipe ne
s’est pas qualifiée pour les séries
éliminatoires ou qui a été éliminée
au premier tour, le Canada revendique
19 titres depuis 1920.
Si l’on ajoute les neuf championnats
mondiaux et les deux
médailles d’or olympiques qu’ont
remportées l’équipe féminine, ainsi
que les huit championnats du
monde remportés par l’équipe
paralympique de hockey sur luge,
le Canada détient maintenant 83
titres sur la scène internationale.
LE COMMENTAIRE DE
Sébastien
LACROIX
Sorel 2013
À Québec 2002 ou Vancouver
2010, il faut maintenant ajouter
Sorel 2013 au vocabulaire populaire.
Au même titre que Shawinigan pour
l’organisation des Jeux du Québec
d’été 2012, Sorel entend soumettre
sa candidature pour les Jeux d’hiver
2013. Jusqu’ici, il n’y a pas d’autres
villes qui se sont manifestées pour
accueillir la 48 e finale des Jeux du
Québec. Les mises en candidature
prennent fin en mai 2010. Est-ce
qu’une autre délégation va faire
obstacle au projet? Ce serait
surprenant.
Ce ne serait pas souhaitable non
plus. Avec une finale par année et
encore plusieurs années devant
nous, je crois que les villes et municipalités
des différentes régions du
Québec auront toutes amplement le
temps de recevoir les Jeux du
Québec au cours de leur histoire.
Pour Sorel-Tracy, comme ailleurs,
ce serait à la fois une manne pour
les commerçants locaux, mais aussi
un coup de pouce aux efforts de la
Ville pour attirer de nouvelles
familles et une occasion de motiver
plusieurs jeunes aux sports offerts
dans la région et les familiariser aux
différentes infrastructures sportives
qui sont à leur disposition.
Mais à moins de ne pas présenter
la discipline du ski alpin, ce qui
serait étonnant puisqu’il s’agit d’une
des disciplines les plus pratiquées
chez les jeunes, Sorel-Tracy ne
pourra pas cavaler en solo.
Il lui faudra sans doute composer
avec la montagne la plus près, le
Mont St-Bruno, et ce serait sans
doute l’une des finales les plus
remarquées et les plus vues par les
nombreux skieurs qui fréquentent
cette montagne.
Priver les skieurs du Mont St-
Bruno d’une piste, ou pire d’une
remontée, alors qu’en moyenne
275 000 skieurs par année fréquentent
ce centre, créera certainement
un embouteillage au remonte-pente.
Plutôt que d’attendre pour monter,
peut-être que les skieurs moyens
iront regarder la crème de la crème
des jeunes athlètes québécois.
Les Jeux du Québec de Sorel
2013 devraient peut-être alors s’appeler
les Jeux de la Montérégie-Est,
tout comme ça avait été le cas pour
Repentigny, à l’hiver 2007, avec les
Jeux d’hiver de la MRC de l’Assomption
ou les Jeux de Blainville, Rosemère,
Sainte-Thérèse à l’hiver 2009.

Hugo Houle, de Ste-Perpétue,
en cyclisme
Par Sébastien Lacroix
Cinq des meilleurs athlètes au
pays proviennent du Bas St-François,
de Nicolet-Yamaska ou du
Bas-Richelieu, eux qui ont participé
aux Jeux du Canada d’été qui se
tenaient à Summerside à l’Ile-du-
Prince-Édouard, du 15 au 29 août.
Il s’agit des Pierrevilliens Tommy
Bélisle et Karl De Grandpré, qui
feront un duo en volley-ball de
plage, du cycliste Hugo Houle de
Ste-Perpétue, ainsi que de Marika
Marika Guérin, de Ste-Victoirede-Sorel,
en basketball
Guérin de Ste-Victoire-de-Sorel,
en basketball, et de Marie-Sophie
Nadeau de St-Aimé, en volley-ball.
Pour se qualifier pour les Jeux du
Canada d’été 2009, les athlètes ont
connu des performances exceptionnelles
au sein de circuit où ils ont
côtoyé l’élite. Leurs meilleurs résultats
à vie sont là pour en témoigner.
Pour le Pierrevillien Tommy Bélisle,
il s’agit de rien de moins qu’une
première position au Championnat
provincial collégial en 2009 avec
les Titans du Collège de Limoilou.
Karl De Granpré, de Pierreville,
en volley-ball
Pour son cousin Karl De Grandpré,
il s’agit d’un Championnat provincial
des 24 ans et moins ainsi que
d’un Championnat provincial des 21
ans et moins, en 2008. De Grandpré a
aussi fait ses preuves au sein du
Rouge et Or de L’Université Laval.
Pour le cycliste de Ste-Perpétue,
Hugo Houle, son plus haut fait
d’armes s’est produit l’an dernier
alors qu’il a décroché tour à tour le
titre de Champion canadien junior
sur route et de vice-champion canadien
du contre-la-montre. En 2009,
Marie-Sophie Nadeau, de St-
Aimé, en volley-ball
il a remporté la première étape du
Grand Prix cyclisme de St-Raymond
ainsi que l’étape 1 du Mardi de
Lachine. Et il vient de se démarquer
au Jeux du Canada 2009, terminant
troisième lors d’une course contre
la montre individuelle, le 18 août.
La jeune Marika Guérin de Ste-
Victoire-de-Sorel, a percé l’alignement
de l’équipe de basketball
Québec féminin des 17 ans et
moins. Au terme de la dernière
saison, âgée de 14 ans, elle avait été
élue joueuse la plus utile des
L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
27
Tommy Bélisle, de Pierreville, en
volley-ball
Cinq athlètes de la région participent aux Jeux du Canada
FOOTBALL
L'objectif c'est de gagner à toutes les semaines
Pour la saison automne 2009, le Bleu et Or de La Riveraine vise les premières positions
Par Sébastien Lacroix
L’entraîneur en chef de l’équipe
de football juvénile du Bleu et Or de
la commission scolaire La Riveraine
prend les grands moyens pour que
son club finisse parmi les trois
premières positions.
En fait, la saison d’automne 2009
est l’année de vérité pour le Bleu et
Or. « La saison dernière, nous avons
joué en fonction de cette année »,
commence Pierre Lamarche. En
tout, il y aura environ 30 joueurs qui
étaient en secondaire 4 l’an dernier
et qui sont en 5 cette année. C’est
plus que les autres équipes».
Pour atteindre son objectif, l’organisation
du Bleu et Or a mis l’emphase
sur la préparation. Tous ceux
qui se sont présentés à l’entraînement
convoqué par l’équipe, en juin
dernier, ont été appelés à suivre un
programme comprenant trois
séances de musculation de deux
heures chaque semaine durant les
vacances scolaires.
« C’était un programme
optionnel, mais douze d’entre eux
50 joueurs au camp d'entraînement
Environ 50 jeunes se sont
présentés au camp d’entraînement
et 42 joueurs seront sélectionnés,
les autres seront des
réservistes. « Nous visons
toujours d’avoir deux joueurs par
position. Par exemple, deux
quarts-arrière, six porteurs de
ballon ou huit receveurs de
l’ont suivi à la lettre », indique l’entraîneur.
De plus, le Bleu et Or est l’équipe
qui a amorcé son camp d’entraînement
le plus tôt. Depuis le 11 août,
l’équipe tient trois pratiques par
semaine beau temps mauvais
temps. Malgré les nombreux
travaux sur la ferme, une quarantaine
de joueurs sont présents à
chaque entraînement. Lorsque la
saison sera en marche, le nombre
de pratiques par semaine passera à
quatre. « La plupart des équipes
commencent les pratiques lorsque
l’école recommence, raconte Pierre
passes », explique M. Lamarche.
Selon lui, le quart-arrière Samuel
Guilbert, les porteurs de ballon
Mathieu Plante et Jasmin Dionne,
le receveur Alexis Chassé et les
joueurs de ligne défensive
Gabriel Lafond et, le numéro 99,
Joël Shawnkusam seront les
joueurs à surveiller.
Lamarche. Le fait d’être mieux
préparé pour la saison pourrait jouer
en notre faveur en début d’année ».
UNE BONNE RÉPONSE DE LA
PART DES PARTISANS
Leur premier match de la saison
aura lieu le 12 septembre prochain,
à 13h, à St-Léonard-d’Aston.
Environ 1 500 spectateurs sont
attendus alors que le match se tient
dans le cadre de la première édition
du festival Rock’n’Ball et que les
tournois de balle, de dekhockey, de
volley-ball et de soccer seront
suspendus le temps du match pour
permettre aux participants d’y
assister.
L’an dernier, devant près de 1000
personnes le Bleu et Or avait enregistré
sa seule victoire en sept
matchs lors de son match inaugural
alors qu’il avait massacré, par la
marque de 48-0, les Cowboys de
l’école Paul-Le Jeune de St-Tite, soit
l’équipe qui allait terminé en
dernière position.
L’opposition sera plus forte cette
année lors du match d’ouverture à
domicile puisque le Bleu et Or
affrontera les Gothics de l’école
secondaire Des Pionniers de Trois-
Rivières qui ont pris la 2 e position du
classement général en 2008.
Depuis le retour du football
scolaire dans la région, les spectateurs
ont bien répondu et se déplacent
en grand nombre pour encourager
leur équipe. L’an dernier, de
700 à 800 spectateurs en moyenne
ont assisté au match de l’équipe
juvénile à St-Léonard-d’Aston. Ce
printemps, environ 400 personnes
sont allées voir les matchs de
l’équipe cadette à Nicolet.
Polypus de l’école secondaire
Fernand-Lefebvre de Sorel-Tracy,
soit l’équipe championne de la
Ligue scolaire cadette AAA. En
2007-2008, elle a été nommée sur
l’équipe d’étoiles en plus de remporter
le championnat cadette AAA.
La volleyeuse Marie-Sophie
Nadeau de St-Aimé, inscrite en
volley-ball dans la catégorie élite, a
fait partie de deux équipes qui ont
décroché la deuxième place au
Championnat provincial AAA, soit
en 2007-2008 et en 2008-2009.
DRUMMOND
Michel Gouin à
Ste-Brigitte-des-Saults
(S.L.) L’ultramarathonien drummondvillois
Michel Gouin s’est
rendu à pied à Ste-Brigitte des
Saults, le 22
août dernier,
afin de se
réchauffer les
muscles pour
participer à la
course des lits.
Habitué de
courir pendant
24 heures
ou même
plusieurs jours
consécutifs, il
était difficile
pour lui de se
PHOTO CHANTAL MORIN
Michel Gouin
contenter de
trois petits
kilomètres,
même s’il
fallait les faire en poussant un
lit. Michel Gouin et trois bénévoles
de son club d’ultramarathon
devaient partir de Drummondville
vers 9h et se rendre
à Ste-Brigitte en passant par
la piste cyclable jusqu’à
Saint-Joachim pour ensuite
emprunter la route Gamelin et
faire un bout sur la route 255.
PHOTOS MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORT

28 L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
GOLF
Le Drummond à St-Majorique ou Les Dunes à Sorel-Tracy ?
Par Sébastien Lacroix
C’est après avoir remporté un
tournoi de golf sous la formule
quatre balles meilleure balle, jouant
quatre coups sous la normale, et
après avoir joué mon meilleur golf à
vie, au club de golf de Gentilly (95),
que je me suis senti prêt à tester
deux terrains que je connaissais de
réputation: Le Drummond à St-
Majorique et Les Dunes à Sorel-
Tracy.
Les résultats n’ont pas été là,
mais je peux vous témoigner de la
qualité des deux parcours, en particulier
celui de St-Majorique. Au
club de golf Le Drummond, ce n’est
pas du trèfle qui pousse ici et là
dans les allées à travers le gazon,
c’est de l’herbe. Même le champ de
pratique offre une surface de
frappe comparable aux allées.
Il y a beaucoup d’eau surtout sur
les neuf derniers trous, où elle est
davantage en jeu que sur les neuf
premiers trous. Il y a aussi de belles
grandes trappes de sable à quelques
endroits.
S’il n’y a pas beaucoup de bois, il
y a de l’herbe longue (rough) assez
dense et de l’herbe très longue pour
ceux qui manquent leur coup. Il y a
aussi quelques vallons. La qualité
des verts est excellente et il y a
rarement un coup roulé qui soit
facile.
Une soixantaine de joueurs invités au
camp d'entraînement des Voltigeurs
Par Sébastien Lacroix
En plus de la plupart des
membres de l’équipe championne
de la Coupe du Président en mai
dernier, une trentaine de
nouveaux visages figuraient sur la
liste du directeur général Dominic
Ricard en vue du camp d’entraînement
des Voltigeurs de Drummondville.
Du nombre, sept joueurs de la
région ont été invités au camp. Il
s’agit d’André Bouvet-Morissette
de Bécancour, Jacob Gagnon et
Yan-Anthony Gingras de Drummondville,
ainsi que William Kane,
Jean-Philippe Leduc et Alexandre
Morand et Benjamin Milette de
Trois-Rivières.
À l’inverse, quatre autres joueurs
invités sont d’origine étrangère.
Il s’agit des Américains Brian Harris
et Peter McIntyre, du Suédois
Stanislav Vasiliev ainsi que du
premier choix des Voltigeurs au
La seule chose qu’on peut reprocher
au club de golf Le Drummond,
qui est situé dans un cul-de-sac sur
la sortie du boulevard St-Joseph de
l’autoroute 20, mais vers le nord,
c’est que les arbres manquent de
maturité, soit encore de 10 à 20 ans
de pousse.
Aux Dunes, sur le chemin St-
Roch, qui est accessible par la
première sortie après le pont de
l’autoroute de l’Acier lorsqu’on
arrive de Pierreville, c’est tout le
contraire. Les arbres sont particulièrement
impressionnants, souvent
centenaires.
Il n’y a pas beaucoup d’eau, ni
trop de sable, mais c’est la configuration
du terrain qui vaut le détour.
Les allées sont parsemées de
vallons, ce qui rend l’expérience un
peu plus difficile pour les coups de
départ en flèche ou pour frapper la
balle sans avoir les pieds à la même
hauteur, mais ce n’est pas si pire
que ça.
Les Dunes est aussi composé de
quelques doglegs qui obligent à
jouer de stratégie ainsi que du sable
et des arbres qui protègent les
verts sur quelques trous. Les verts
sont difficiles. Plus souvent qu’autrement
en pente, il faut s’appliquer
pour réussir chaque coup roulé,
même les plus courts.
dernier repêchage européen, et 10 e
au total, le Tchèque Ondret Palat.
Le camp des Voltigeurs compte
aussi sur la présence de trois
joueurs qui ont évolué dans la
Ligue de Hockey Junior Majeur du
Québec l’an dernier, mais qui
étaient dans le camp adverse. Il
s’agit de Mathieu Jean-Bouliane et
Frédérick Piché des Titans
d’Acadie-Bathurst ainsi que Jean-
Christophe Lirette des Rocket de
l’Ile du Prince-Édouard.
Il y a aussi Gabriel Côté,
Benjamin Larabie, Christophe
Laurin, Dwayne Rodrigue et
Matthew Whitaker, qui évoluaient
dans le calibre Junior AAA en
2008-2009, qui tenteront de se
tailler un poste.
Marc-Olivier Brouillard, Francis
Lambert-Lemay, Charles
Marcotte, Antoine Nadeau,
Mathieu Guertin et Jamie
Heselton, qui ont été repêchés par
les Voltigeurs le 6 juin dernier, sont
aussi sur la liste des invités.
Raphael Boudreau, Alexandre
Comtois, Jonathan Oligny, Denis
Paradis, Sébastien Payette, Léo
Podolsky, Christophe Rondeau et
Nicolas Roussin, sont les autres
joueurs issus de la Ligue de Hockey
Midget AAA du Québec.
Philippe Bergeron, Jonathan
Brunelle, Sean Couturier, Marc-
Antoine Desnoyers, Gabriel
Dumont, Maxime Frenette, Olivier
Hotte, Charles Landry, Philipe
Lefebvre, Benoît Lévesque, Ryan
Mckiernan, Marc-Éric Ouellette,
Andrew Randazzo, Antoine Tardif
et Marc-Olivier Vachon sont ceux
qui devront défendre leur poste au
sein de l’équipe.
Marco Cousineau, Christopher
Didomenico et Dmitry Kulikov
figurent encore sur la liste des
Voltigeurs, mais ils devaient aller
tenter leur chance au camp d’entraînement
d’une équipe de la
Ligue nationale de hockey.
DRUMMONDVILLE
Un gala de boxe et de kick boxing en plein air
(S.L.) Le Collège Team Bergeron présente un Super Gala de boxe et de
kick boxing qui aura lieu en plein air et ce, beau temps, mauvais
temps, le dimanche 6 septembre en après-midi, dès 13h, dans la cour
du Boston Pizza du 161 boulevard St-Joseph à Drummondville.
L’événement, qui est sanctionné par la Corporation de KickBoxing et la
Fédération de boxe amateur du Québec, présentera une quinzaine de
combats, dont un combat de championnat « low kick » de 4 rounds
mettant en vedette Jonathan « Thunder » Léveillé et l’aspirant Dave
Bédard. Les billets sont 20 $ en pré-vente ou 25 $ à la porte. Pour
information : 819 477-3868 ou www.teambergeron.ca.
SAINT-LÉONARD-D'ASTON
PHOTOS SÉBASTIEN LACROIX
Si le golfeur
moyen part des
blancs, Le Drummond
offre d'impressionnants
tertres de départ
à partir des noirs.
Même que selon
la disposition des
panneaux en
granit, on croirait
qu'il est fait pour
être joué des
bleus.
Les Dunes offre
lui aussi des
tertres pour
professionnels.
Au 18 e trou, il y
aurait encore de
la place pour
reculer les ors et
faire partir les
pros d'encore
plus loin, mais
c'est la configuration
du terrain
qui est particulière
aux Dunes.
5 000$ en bourses pour le premier Rock'n Ball
(S.L.) Plus de 5 000 $ en bourses seront remis aux équipes gagnantes
de la première édition du Rock’n Ball de Saint-Léonard-d’Aston qui se
déroulera les 11, 12 et 13 septembre. En tout, 54 équipes sont attendues
pour participer aux tournois de balle donnée (invitation homme,
participation mixte), de volley-ball de plage 4 contre 4 (invitation
hommes, invitation femmes et participation mixte), de soccer 7 contre
7 (participation hommes, participation femmes et invitation hommes) et
de hockey-balle à trois contre trois (participation hommes et invitation
hommes). Pour s’inscrire ou pour plus d’information : 819 399-3969 ou
www.rocknball.ca. Sur présentation du passeport, les golfeurs
pourront jouer gratuitement le parcours de six trous à normal 21 de
Saint-Léonard-d’Aston. En plus des événements sportifs, plusieurs
spectacles auront lieu les vendredi et samedi soirs, dont ceux de Nic
Payne, Martin Deschamps, Pépé et son orchestre et The New Cities.

ENTRACTE
MOT MYSTERE
LA BELGIQUE - Un mot de 7 lettres
ATH
BRUGES
EEKLO
EESNEU
ELBOT
ESCAUT
EUPEN
EURO
EVERE
FAGNES
GAULE
GEEL
HAN
Sudoku
IEPER
JETTE
KOT
LASNE
NAMUR
NIEUPORT
OISE
OUPEYE
PANNE
PEKET
PIETRAIN
PILS
REIMS
Niveau de difficulté : Facile
RENAIX
RENON
RIEMST
SENNE
TAMISE
TERVUREN
THUIN
UCCLE
VIRTON
VISE
WATERZOI
Placez un chiffre de 1 à 9 dans chaque case vide. Chaque ligne, chaque
colonne et chaque boîte 3X3 délimitée par un trait plus épais doivent
contenir tous les chiffres de 1 à 9. Chaque chiffre apparaît donc une
seule fois dans une ligne, dans une colonne et dans une boîte 3X3.
MOTS CROISÉS
HORIZONTALEMENT
1. Chaussures de femmes, légères et plates.
2. Se dit quand on part pour longtemps - Grosse
araignée.
3. Travailler - Logement.
4. Dernier roi d'Israël - Se mettent à table.
5. Empêche de tomber - Divinité personnifiant la
Terre mère.
6. À molette ou USB - Direction - Envoyer
ad patres.
7. Grand oiseau échassier migrateur - Détériorer.
8. Épuisé par un ef fort - On y voit des œuvres
d'art - Espace de temps.
9. Rude au goût - Éreintante.
10. Artère - Peut être papillon.
11. Qui n'a pas subi de transformation - Attribué.
12. Qui atteint la perfection - Palmier.
VERTICALEMENT
1. Vieille femme russe - Bismuth.
2. Ils sont encore jeunes - Panthère tachetée.
3. Border d'un ruban étroit - Ce que fait parfois
le paon.
4. Désavantagée - Loi de la Camorra.
5. D'un auxiliaire - Gardé dans sa main.
6. Chef d'Etat égyptien - Cuir côté chair.
7. Préfixe - Habillées.
8. Fibre synthétique - Réunion.
9. Enlève l'eau - À la fin de l'année.
10. Docile - Canal du corps.
11. Morceau de tissu - Combiné.
12. Monnaie antique - Sont parfois pipés.
9269
La CUISINE D'AUJOURD'HUI
Mario Laliberté
Chef exécutif
mario.laliberte@cgocable.ca
SOLUTIONS
L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
Salade de légumes grillés au poulet et penne
4 portions
1 petite aubergine dégorgée en tranches de 1 cm
2 courgettes en tranches de 1 cm
1 gros oignon en tranches de 1 cm
2 poivrons rouges coupés en 2
4 gros champignons (facultatif)
60 ml d’huile d’olive
1 gousse d’ail hachée
500 ml de pâte penne cuites, aall ddeennttee
2 poitrines de poulet ou 1 filet de porc nature ou mariné
Sel et poivre du moulin
La vinaigrette
60 ml de vinaigre balsamique
30 ml de jus de citron
2 gousses d’ail hachées
5 ml de moutarde de Meaux
125 ml d’huile d’olive
60 ml de basilic frais haché
60 ml de ciboulette hachée
1.
2.
3.
4.
5.
6.
5 ml = 1 c. à thé
15 ml = 1 c. à soupe
60 ml = ¼ tasse
250 ml = 1 tasse
1 litre = 4 tasses
Mélanger l’huile, l’ail, le sel et le poivre; bien enrober
les légumes.
Préparer le gril du B.B.Q. pour une cuisson à chaleur
directe et préchauffer à température élevée. Brosser
et huiler la grille.
Faire griller les légumes sur le gril de 4 à 6 minutes.
Faire griller les poitrines de poulet ou le filet de porc
sur le gril de 18 à 20 minutes ou au thermomètre
174 o F [79 o C] (centre de la poitrine de poulet), et
130 o F [55 o C] (centre du filet de porc).
Couper tous les légumes et le poulet ou le porc en
morceaux. Déposer le tout dans un grand bol et
ajouter les pâtes.
Mélanger tous les ingrédients de la vinaigrette. Verser
sur la salade et bien mélanger.
N.B. Pour dégorger l’aubergine, il suffit de la saupoudrer
de sel et de la laisser dégorger 20 minutes.
Solution du mot mystère : ARDENNE
29

30 L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
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O’BOMSAWIN Albert
(1920-2009)
Dans l’avis de remerciements
paru le 12 août, il aurait fallu lire :
Suite au décès de Monsieur Albert
O’Bomsawin survenu le 28 juin
2009 à l’âge de 88 ans et 10 mois.
L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
31

32 L’ANNONCEUR
26 AOÛT AU 8 SEPTEMBRE 2009
MC
Les noms, logos, noms de produits, noms des caractéristiques, images et slogans Hyundai sont des marques de commerce appartenant à Hyundai Auto Canada Corp. et sont utilisés sous licence. Le prix de base de l’an dernier est le prix de location/fi nancement de base de décembre 2008 pour le modèle 2009. Les prix de base de l’an dernier sont : Elantra L 2009, transmission
manuelle (prix de base 2008 : 15 845 $) / Accent L 3 portes 2009, transmission manuelle (prix de base 2008 : 13 595 $). Il n’y avait pas de modèle Elantra Touring 2009 disponible en 2008. † Offres de location sur approbation du crédit des Services fi nanciers Hyundai sur les modèles 2009 neufs en stock : Elantra L 2009, transmission manuelle (maintenant à partir de 11 995 $) /
Elantra Touring L 2009, transmission manuelle (maintenant à partir de : 13 995 $) / Accent L 3 portes 2009, transmission manuelle (maintenant à partir de 9 995 $). Mensualités de location de 168 $ / 198 $ / 158 $ pour 60 / 60 / 60 mois sans obligation au terme du contrat de location. Comptant initial de 1 675 $ / 1 695 $ / 1 525 $. Première mensualité et comptant initial requis à la
livraison. Frais de livraison et de destination, Elantra, Elantra Touring et Accent 2009, 1 495 $ inclus dans les offres de location. Frais d’immatriculation, d’assurance, d’enregistrement au registre des droits (RDPRM au Québec) et toutes taxes applicables en sus des offres de location sont payables au moment de la livraison. Aucun dépôt de sécurité (0 $) pour tous les modèles. Kilométrage
annuel de 20 000 km, 10 ¢ par km additionnel. Les frais de livraison et de destination comprennent les frais de transport et de préparation, d’administration du concessionnaire et un réservoir plein de carburant. 1- Les offres de fi nancement à l’achat pour Elantra L 2009, transmission manuelle (maintenant à partir de 11 995 $) / Elantra Touring L 2009, transmission manuelle (maintenant
à partir de : 13 995 $) / Accent L 3 portes 2009, transmission manuelle (maintenant à partir de 9 995 $) de 3,20 % / 3,20 % / 3,20 % pour 72 / 72 / 72 mois et de 0 % / 0 % / 0 % pour 36 / 36 / 36 mois s’appliquent à l’achat des modèles neufs en stock uniquement. Exemple de fi nancement : 11 995 $ / 13 995 $ / 9 995 $ à un taux annuel de 3,20 % / 3,20 % / 3,20 % équivaut
à des mensualités de 206,17 $ / 236,74 $ / 175,61 $ pour 72 / 72 / 72 mois. Comptant requis de 0 $ / 0 $ / 0 $. Coût de prêt de 1 354,24 $ / 1 555,28 $ / 1 153,92 $ pour une obligation totale de 14 844,24 $ / 17 045,28 $ /12 643,92 $. Exemple de fi nancement : 11 995 $ / 13 995 $ / 9 995 $ à un taux annuel de 0 % / 0 % / 0 % équivaut à des mensualités de 374,72 $ / 430,28 $
/ 319,17 $ pour 36 / 36 / 36 mois. Coût de prêt de 0 $ / 0 $ / 0 $ pour une obligation totale de 13 489,92 $ / 15 490,08 $ / 11 490,12 $. Frais de livraison et de destination inclus. Frais d’immatriculation, d’assurance, d’enregistrement au registre des droits (RDPRM au Québec) et toutes taxes applicables en sus des offres de fi nancement à l’achat. *Prix des véhicules 2009 montrés :
Elantra Limited 2009, transmission manuelle, maintenant à partir de 20 295 $ / Elantra Touring GL Sport 2009, transmission manuelle, maintenant à partir de 20 195 $) / Accent GL 3 portes Sport 2009 automatique, maintenant à partir de 14 895 $. Véhicules en stock limités, le concessionnaire peut devoir commander le véhicule. Offre valide jusqu’à épuisement des stocks. Offres d’une
durée limitée pouvant être modifi ées ou annulées sans avis préalable. 2- Si vous remettez en échange votre véhicule d’année-modèle 1995 ou antérieure – en état de marche, immatriculé et convenablement assuré pour les 6 derniers mois (12 mois en C.-B.) – le gouvernement fédéral vous accordera un incitatif dans le cadre du programme « Adieu bazou ». Sur présentation d’une
preuve par le gouvernement fédéral (acceptée par Hyundai) que votre vieux véhicule est admissible dans le cadre du programme, Hyundai Auto Canada offrira un rabais « air pur » additionnel à l’achat d’un véhicule Hyundai neuf : 500 $ – Accent 2009/500 $ – Elantra berline 2009/500 $ – Elantra Touring 2009/500 $ – Sonata 2009/500 $ – Tucson 2009/500 $ – Santa Fe 2009/1000 $
– Genesis berline 2009/1000 $ – Veracruz 2009/1000 $ – Azera 2009/500 $ – Accent 2010/500 $ – Elantra berline 2010/500 $ – Elantra Touring 2010/1000 $ – Genesis Coupe 2010/500 $ – Sonata 2010/1000 $ – Veracruz 2010. Le rabais comptant « air pur » s’applique sur le prix d’achat, taxes comprises, d’un véhicule Hyundai neuf. En participant à ce programme, vous ne serez
pas admissible à une valeur de reprise pour votre vieux véhicule. Pour plus d’information, sur le programme Adieu bazou, visitez le site www.adieubazou.ca (ou le site www.scrapit.ca pour les résidents de la C.-B.). Certaines conditions s’appliquent. Voir un concessionnaire pour les détails. ** La berline Elantra de Hyundai a obtenu le plus faible nombre de problèmes par 100 véhicules
parmi les voitures compactes selon le sondage 2009 sur la fi abilité initiale des véhicules (2009 U.S. Initial Quality StudySM (IQS)) de J.D. Power and Associates. Sondage effectué auprès de 80 930 propriétaires de véhicules neufs aux États-Unis, évaluant 245 modèles et les opinions des consommateurs après 90 jours de possession de leur véhicule. Les résultats des sondages
propriétaires sont basés sur l’expérience et les perceptions des consommateurs sondés entre février et mai 2009. Votre expérience peut varier. Visitez jdpower.com. *** Plus vaste intérieur de sa catégorie pour l’Elantra Touring basé sur les comparaisons d’Auto Data parmi 124 véhicules dans la catégorie des véhicules compacts (selon l’AIAMC). †† La garantie globale limitée de Hyundai
couvre la plupart des pièces du véhicule contre les défauts de fabrication sous réserve du respect des conditions normales d’utilisation et d’entretien. ††† Certaines conditions peuvent s’appliquer pour le Programme de remise aux diplômés. Le concessionnaire peut vendre à prix moindre. Voir un concessionnaire pour tous les détails.