nUITS SONORES dossier de presse

INDIE & ELECTRONIC FRENCH FESTIVAL
11E ÉDITION 7 – 12 mAI 2013, LYON
lumineuses une centaine de projets artistiques
non réalisés avant de les mettre à l’eau, lors d’un
étonnant happening sonore, sur l’île Barbe. Ou
comment transformer l’échec et le deuil en un
devenir.
HOUSE CREAM TRUCk
À la manière des block parties made in NYC, le
House Cream Truck diffuse un parfum de house
music un peu partout en ville pendant Nuits sonores.
Du soft street clubbing itinérant couvert de glace
valant leur pesant de noix de cajou. Sunshine !
TONIGHT TONIGHT
Amateurs de culture alternative mêlant vision
futuriste SF et électro, cet événement - qui ferait un
très bon sujet pour le magazine Tracks sur Arte - est
fait pour vous. Le temps d’une nuit, plongez dans
l’univers du Steampunk (que certains appellent
rétrofuturisme) et son esthétique forte à base
d’engrenages, de pistons qui se mélangent au cuir
ainsi qu’aux étoffes victoriennes, aux dreadlocks,
aux chaussures cloutées et lunettes d’aviateurs
chromés. Le tout sur fond d’electro en tendance
swing et indus. S’ils avaient pu, Jules Verne et
Georges Méliès auraient été de la partie, c’est
certain.
LE PLUS GRAND BBq DE FRANCE
Comment dire... Tout est dans le nom. Au menu : un
joli plateau à tendance nu disco assuré par la team
lyonnaise de Macadam Mambo (dont certains édits
font fondre Dj Harvey) et un immense barbecue,
encore plus grand que ceux que l’on trouve à
Buenos Aires : 25 mètres de long, 9 heures de
grillades continues (de la curry wurst berlinoise, en
passant par les brochettes de boeuf ou les genoux
de porc à la Tchèque). C’est bon, vous avez trouvé
votre cantine pendant le festival.
L’ÉLECTRO SALADE
Un projet hipster comme on les bichonne sur Extra! : un
grand banquet, gratuit, réalisé exclusivement avec les
fruits et légumes disqualifiés, invendus ou de troisième
main. Et surtout confectionnés avec et par le public.
Un événement Extra! qui sensibilise au gaspillage
alimentaire et réunit les gens, les générations. Mais qui
met aussi en avant les fondamentaux de la philosophie
de vie du Do It Yourself : partage, sensibilisation, action
et recyclage.
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PUT YOUR GUM UP
Des affiches collées un peu partout en ville et sur les
lieux principaux de Nuits sonores en journée comme
en nuit. Sur ces posters, des questions simples :
«Avez-vous passé une bonne soirée ?», «Avez-vous
rencontré la fille ou le garçon de votre vie durant la
nuit ?», «Quel artiste avez-vous préféré ce soir ?».
Pour voter, rien de plus simple : prenez un chewinggum,
Émile. Mâchouillez. Et collez-le sur la réponse
directement sur l’affiche.
POLATIONSHIP
Objet de curiosité et d’amusement, le Polaroid fait
naître une relation particulière entre le photographe
et son sujet. De cette relation est née une série
inédite de portraits des artistes Nuits sonores
rencontrés par Pierre Humbert dans les coulisses
de l’édition 2012. Polationship propose donc une
exposition festive autour des clichés réalisés par ce
dernier. Et se veut une ode au safari photo : louez un
polaroïd, allez shooter le festival et venez partager
vos propres clichés autour d’un brunch qui va bien.
COURT-CIRCUIT DANS LE PRÉ
Dans 2500 ans, lorsque les historiens du futur
se pencheront sur le programme Extra!, ils se
demanderont pour quelles raisons mystiques nous
avons bien pu programmer pareil événement. L’idée :
relocaliser une vraie ferme des Monts-du-lyonnais
(avec sa basse-cour, sa paille, etc.) en plein cœur
de Lyon, pendant le festival. Vente de produits
locavores, mais surtout scène et set-up dj installés
sur un tracteur Massey Fergusson.
OYSTER SONORE
Ce projet, on se demande bien pourquoi personne
n’y a songé plus tôt : une cabane à huîtres (avec,
derrière la bourriche, ni plus ni moins que l’un des
meilleurs écaillers du monde), du blanc bien frais et
un soundsystem malin alimenté par une poignée de
djs du cru. Le tout dans un lieu à la cool. On a envie
de dire qu’une chose : just do huître !
BERLIN MON AMOUR, DIE BIENNALE
Une déclaration d’amour à la ville et à la scène
musicale de Berlin (avec un live de Pole ainsi qu’un
dj set de Barbara Preisinger). Le tout, dans le cadre
magique du Musée Gadagne (TBC). L’amitié lyonnoberlinoise
se construit sur des bases fortes, c’est le
moins que l’on puisse dire.