Les Dessous de la Taupe 2012 - Ensta

Les langues vivantes
• LV1
A l’écrit comme à l’oral, tu seras évalué sur la qualité de ton expression, ta réflexion sur un
sujet (en général récent) et sur ta connaissance de l’actualité des pays dans lesquels la langue
est parlée. Pendant tes deux années, essaie de lire la presse étrangère, d’écouter de temps en
temps la radio pour exercer ta compréhension orale et entraîne-toi régulièrement aux
différents exercices écrits (version, thème, contraction croisée, expression écrite, synthèse).
Voici un descriptif des types d’épreuves :
- Version : consiste en la traduction d’un texte de la langue d’origine vers le français.
- Thème : exercice inverse.
- Contraction croisée : le candidat doit produire un résumé d’un texte français
contemporain, souvent journalistique, dans la langue choisie.
- Expression : il s’agit de quelques questions (généralement une ou deux) auxquelles tu
vas devoir répondre en développant un avis argumenté et structuré sur un thème de société.
- Synthèse : à partir d’au moins trois documents en langue étrangère, tu dois rédiger
une synthèse dans la langue choisie, en faisant apparaître les arguments clefs de chaque
article et en les confrontant.
• LV2
Certaines prépas proposent à leurs élèves de poursuivre l’étude d’une LV2. Toutefois, que tu
arrêtes la LV2 en prépa ou non, tu peux toujours la présenter aux concours si tu le souhaites.
Les épreuves sont souvent semblables à celles de la LV1 (renseigne-toi auparavant).
L’évaluation se fait en général à l’oral et seuls les points au-dessus de la moyenne comptent.
Remarque : à l’ENS, le latin et le grec ancien sont acceptés comme deuxième langue.
Le matériel
Pour éviter l’angoisse de dernière minute (« j’ai ma calculatrice, mais est-ce que j’ai des
piles de rechange ? »), tu peux faire une liste des choses à emmener pour les concours.
Pense à prendre un goûter, pour le repos du guerrier.
En bref :
Physique 1 PC 2011 Concours Mines-Ponts
« Une épreuve de concours, c’est comme une course d’endurance. D’abord une bonne préparation
physique, en travaillant les fondamentaux : montées, descentes, plats, relances ; c'est-à-dire le cours.
Seule une réelle maîtrise du cours et des applications permettent de passer à un exercice plus difficile
(Comment finir un marathon si on ne court pas régulièrement). Il faut être rapide, mais pas trop, pour
ne pas faire d’erreurs de lecture d’énoncé et donc être rapidement essoufflé. Il faut aussi être lucide,
c’est trop bête de tomber en effectuant des erreurs de signe ou de calculs.
Souvent le candidat oublie que son pire ennemi est lui-même… et que le deuxième est sa calculatrice.
Une puissance sans la maîtrise n’est rien…
Enfin le facteur chance (parties du programme…) est indéniable mais comme le souligne Louis Pasteur :
« La chance ne sourit qu’aux esprits bien préparés ».
Nous souhaitons que ces quelques conseils favorisent la réussite des futurs candidats qui ne pourra
passer que par une préparation sérieuse et régulière. »
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