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Dossier de presse - Théâtre La Licorne

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présente<br />

au<br />

Champ<br />

<strong>de</strong><br />

mars TexTe<br />

Pierre-Michel TreMblay<br />

Mise en scène Michel MonTy


Pierre-Michel Tremblay<br />

Auteur<br />

Auteur prolifique, Pierre-Michel Tremblay signe <strong>de</strong>s textes pour la scène théâtrale et humoristique autant que<br />

pour le petit écran. On lui doit les pièces Quelques Humains, Le Rire <strong>de</strong> la mer et Mille feuilles, produites avec succès par<br />

la compagnie <strong>de</strong> théâtre Les Éternels pigistes dont il est l’un <strong>de</strong>s membres fondateurs. Il est également l’auteur <strong>de</strong> Coma<br />

Unplugged, une production du <strong>Théâtre</strong> <strong>de</strong> <strong>La</strong> Manufacture qui a remporté, lors <strong>de</strong> sa création en 2007, les Masques Production<br />

Montréal et Musique, ainsi que le Prix <strong>de</strong> la critique. <strong>La</strong> pièce a aussi fait l’objet d’une traduction et sera présentée en anglais<br />

cette année par Talisman <strong>Théâtre</strong>.<br />

Également membre fondateur du Groupe sanguin, il a codirigé la collection « Humour » chez <strong>La</strong>nctôt Éditeur. Pas surprenant<br />

que <strong>de</strong>s humoristes <strong>de</strong> renom tels Jean-Michel Anctil, Michel Barette, Marie-Lise Pilote et le tan<strong>de</strong>m Lévesque-Turcotte aient<br />

fait appel à lui pour les textes <strong>de</strong> leurs spectacles ! Dans ce domaine, mentionnons qu’il a été metteur en scène et coscript-éditeur<br />

du premier spectacle solo <strong>de</strong> Jean-Thomas Jobin. Pierre-Michel Tremblay est coauteur <strong>de</strong> plusieurs séries télévisées populaires<br />

telles Le Grand Blond avec un show sournois, Délirium, <strong>La</strong> Petite séduction, Le Fric show et Un gars, une fille. Récemment,<br />

il a scénarisé la websérie Neuroblaste pour Radio-Canada.<br />

Mot <strong>de</strong> l’auteur<br />

Ceci est une histoire inventée. Elle prend sa source<br />

dans le vertige que j’ai à me faire parler <strong>de</strong> guerres<br />

sans arrêt <strong>de</strong>puis plus <strong>de</strong> trois mille ans. C’est pour<br />

le moins irritant. Et encore, je suis chanceux, je<br />

n’ai pas à la faire, à la subir, à en être victime. <strong>La</strong><br />

gran<strong>de</strong> majorité <strong>de</strong>s êtres humains aimeraient<br />

mieux ne pas être en guerre et pourtant… En<br />

plus, elle engendre <strong>de</strong> la culture : <strong>de</strong>s romans, <strong>de</strong>s<br />

films, <strong>de</strong>s jeux vidéo, <strong>de</strong> la mo<strong>de</strong>. On est tous « à<br />

boute » <strong>de</strong> la guerre. Mais ça continue…<br />

Ceci est une histoire inventée, mais je ne m’en suis pas<br />

remis qu’à mon imaginaire ( il n’est pas si fiable qu’il en a<br />

l’air ). J’aimerais remercier tous les journalistes d’ici qui sont<br />

allés à Kandahar. Mon ami Pierre-Yves pour m’avoir découpé<br />

l’article <strong>de</strong> « son » New York Times sur les très jeunes soldats <strong>de</strong> retour<br />

à la maison. Ma blon<strong>de</strong> qui avait le réflexe <strong>de</strong> m’enregistrer les<br />

reportages télé sur le sujet. <strong>La</strong> docteure Christiane Routhier<br />

pour son livre « Évaluation psychologique <strong>de</strong>s traumatismes<br />

militaires ». Le journaliste Jean-Paul Mari pour son<br />

livre « Sans blessures apparentes ». L’historien Franco<br />

Cardini pour son livre « <strong>La</strong> culture <strong>de</strong> la guerre ». Le<br />

metteur en scène, les concepteurs et les acteurs du<br />

spectacle qui s’engagent toujours à fond. Jean-Denis<br />

Leduc et Denis Bernard pour l’intérêt et le respect<br />

sans complaisance que vous portez à mon travail.<br />

Qu’avons-nous pour apaiser les douleurs <strong>de</strong>s<br />

guerres ? Bien peu <strong>de</strong> choses… Et dans ce bien<br />

peu <strong>de</strong> choses : les histoires inventées.


Michel Monty<br />

Metteur en scène<br />

Michel Monty n’en est pas à ses premières armes <strong>de</strong> mise en scène. Pour le <strong>Théâtre</strong><br />

<strong>de</strong> <strong>La</strong> Manufacture, il a mis en scène les pièces Trois dans le dos, <strong>de</strong>ux dans la tête <strong>de</strong><br />

Jason Sherman, Antarktikos <strong>de</strong> David Young, Gagarin Way <strong>de</strong> l’auteur écossais Gregory<br />

Burke, sans oublier <strong>La</strong> Société <strong>de</strong>s loisirs <strong>de</strong> François Archambault, pièce ayant remporté un<br />

immense succès dès sa création, qui fut jouée plus <strong>de</strong> 140 fois.<br />

Au sein <strong>de</strong> Transthéâtre, compagnie qu’il a fondé et dont il est codirecteur, il a écrit et<br />

mis en scène plusieurs <strong>de</strong> ses pièces dont Acci<strong>de</strong>nts <strong>de</strong> parcours, Prise <strong>de</strong> sang, Exodos‐ la<br />

trilogie et Cyberjack. Il a adapté et coréalisé l’adaptation pour la télé <strong>de</strong> cette <strong>de</strong>rnière pièce<br />

( Productions Zingaro ) qui a été présentée sur les on<strong>de</strong>s <strong>de</strong> ARTV et a fait l’objet <strong>de</strong> trois<br />

nominations au gala <strong>de</strong>s Prix Gémeaux en 2003. Michel Monty est également l’instigateur,<br />

avec Brigitte Poupart, <strong>de</strong> Cabaret insupportable 1, 11 et 111 présentés <strong>de</strong> 2007 à 2010 où<br />

<strong>de</strong>s artistes sont invités à créer un numéro présentant un irritant <strong>de</strong> la société mo<strong>de</strong>rne.<br />

En 2008, il présentait sa mise en scène <strong>de</strong> son texte Le Pensionnat, pièce qui revisite le<br />

passé tragique <strong>de</strong>s amérindiens qui ont vécu <strong>de</strong>s séjours forcés dans <strong>de</strong>s pensionnats pour<br />

autochtones.<br />

Menant également une carrière d’acteur, on a pu le voir dans <strong>de</strong> nombreuses pièces <strong>de</strong><br />

théâtre et émissions <strong>de</strong> télévision, notamment dans Tout sur moi, Les Bougon et Catherine.<br />

Enfin, Michel Monty a réalisé son premier long métrage, cette année, intitulé Une vie qui<br />

commence dont il signe aussi le scénario.<br />

Mot du metteur<br />

en scène<br />

Kandahar. Maintenant, nous<br />

connaissons tous le nom <strong>de</strong> cette<br />

ville, située quelque part dans la<br />

banlieue <strong>de</strong> nos préoccupations.<br />

Pourtant, nous sommes en guerre.<br />

Sur la base canadienne <strong>de</strong><br />

Kandahar, le Tim Hortons procure<br />

<strong>de</strong>s beignes aux soldats avec, en<br />

bonus, le réconfort qui vient du<br />

décor immuable d'un restaurant<br />

Tim Hortons. On a beau se préparer<br />

à tuer ou à mourir, le beigne<br />

<strong>de</strong>meure une nécessité qui transcen<strong>de</strong><br />

la sphère alimentaire pour servir<br />

<strong>de</strong> ciment patriotique. Donc nous<br />

sommes en guerre. Parmi ceux qui<br />

font le chemin du retour, il y a ceux<br />

dont la blessure est invisible. Ils ont<br />

leurs quatre membres, toutes leurs<br />

<strong>de</strong>nts, aucune cicatrice, ils ne boitent<br />

pas, ne louchent pas. Pourtant ils<br />

sont cassés, marqués au fer rouge par<br />

l' horreur qu'ils ont vu <strong>de</strong> trop près.<br />

L'insondable horreur qui s'imprime<br />

à l'encre indélébile sur leur mémoire.<br />

Je remercie Pierre Michel pour<br />

sa pièce. C’est toujours rassurant<br />

quand un auteur <strong>de</strong> théâtre inscrit<br />

son écriture dans <strong>de</strong>s préoccupations<br />

actuelles. Son humour distinctif<br />

traverse les scènes et j’espère que vous<br />

aurez le même plaisir à voir la pièce<br />

que nous avons eu à la faire.


Mathieu Quesnel<br />

dans le rôle d’Éric<br />

Mathieu est diplômé du Conservatoire d’art dramatique <strong>de</strong><br />

Montréal en 2006. Il a participé à plusieurs productions théâtrales<br />

dont Mika l’enfant pleureur du <strong>Théâtre</strong> <strong>de</strong>s Bouches Décousues,<br />

L’Emmer<strong>de</strong>ur, une production <strong>de</strong> Juste Pour Rire, <strong>La</strong> Fugue du<br />

<strong>Théâtre</strong> Qui va là et L’Odyssée <strong>de</strong> Picouille <strong>Théâtre</strong>. Récemment,<br />

il était <strong>de</strong> la distribution <strong>de</strong> Clotaire Rapaille L’Opéra Rock. À la<br />

télévision on a pu le voir entre autres dans Tranches <strong>de</strong> Vie, <strong>La</strong> Galère,<br />

Les Rescapés, Tout sur Moi, Mirador, Gentleman, Penthouse 5.0,<br />

Virginie et l’Auberge du Chien Noir. Artiste très polyvalent, il a aussi<br />

fait valoir ses talents d’auteur <strong>de</strong>puis 5 ans lors <strong>de</strong>s soirées <strong>Théâtre</strong> Tout<br />

Court d’Absolu <strong>Théâtre</strong> ainsi que dans les Cabarets Insupportables<br />

<strong>de</strong> la compagnieTrans<strong>Théâtre</strong>. En 2009, il a co-signé Les Guerriers<br />

Facebook qui fut présenté à <strong>La</strong> Petite <strong>Licorne</strong>. Il travaille présentement<br />

à l’écriture d’un long-métrage <strong>de</strong>s plus coquins.<br />

« Pis là j’ai vu un p’tit gars, qui<br />

regardait ma boîte, je lui en ai offert une.<br />

T’aurais dû voir<br />

ses yeux… J’pense qu’y venait<br />

<strong>de</strong> goûter au paradis. Des petites<br />

boules <strong>de</strong> bonheur<br />

sucrées man…<br />

Je lui ai donné toute ma boîte, je me<br />

suis pointé « Éric », il s’est<br />

pointé « Massoud », huit, neuf ans.<br />

Du cran, on le voyait dans ses<br />

yeux. On voyait aussi qu’il me<br />

trouvait fort avec mon bel uniforme <strong>de</strong><br />

la couleur du sable pis mon arme... J’ai<br />

pointé la boîte et j’ai dit « come<br />

tomorrow, here », en<br />

pointant le sol.<br />

Il m’a fait signe que oui. Il est<br />

parti avec la boîte.<br />

Le len<strong>de</strong>main,<br />

j’ai acheté une boîte <strong>de</strong><br />

quarante… »


c,n m a ; n ;H<br />

c,nma ; n ;H<br />

« Parce que dans cette musique<br />

( le Klezmer )<br />

y’a <strong>de</strong> la douleur, mais pas juste<br />

<strong>de</strong> la douleur, <strong>de</strong> la joie aussi,<br />

<strong>de</strong> la joie en même temps que la douleur.<br />

Parce que ça me rappelle les films <strong>de</strong> Woody Allen...<br />

Y’m’fait rire, je ris pas assez, hé que je ris pas<br />

assez... parce que la clarinette c’est,<br />

je sais pas… J’ai jamais joué <strong>de</strong> musique...<br />

En ce moment je vois pas ce que je pourrais faire <strong>de</strong><br />

mieux pour me faire du bien… Rire plus peut-être ?<br />

Mais, bon, c’est pas une bonne idée<br />

que tu me donnes <strong>de</strong>s cours.<br />

De toute façon, j’aurais jamais<br />

dû dépenser 3422$ pour ça !<br />

( la clarinette ) ».<br />

sdkfjh gwliury<br />

Josée<br />

Deschênes<br />

dans le rôle <strong>de</strong><br />

Rachel<br />

Josée Deschênes a terminé ses étu<strong>de</strong>s au Conservatoire d’art<br />

dramatique <strong>de</strong> Québec en 1986 et <strong>de</strong>puis, elle n’a jamais cessé <strong>de</strong> nous<br />

surprendre, au théâtre, au cinéma et à la télévision. Au théâtre, elle a joué<br />

dans <strong>de</strong> nombreuses pièces dont Sainte-Carmen <strong>de</strong> la Main ( 93 ) <strong>de</strong><br />

Michel Tremblay, Jeanne et les anges ( 94 ) du <strong>Théâtre</strong> Niveau Parking,<br />

dont elle est par ailleurs membre fondatrice, Moulin à paroles ( 97 ),<br />

dirigé par Marie-Thérèse Fortin, Fleurs d’acier ( 02 ), sous la direction<br />

<strong>de</strong> Monique Duceppe, ainsi que dans Lentement la beauté et Le vrai<br />

mon<strong>de</strong>, mises en scènes respectivement par Michel Na<strong>de</strong>au et René-<br />

Richard Cyr en 2007. En 2010, Josée a également fait partie <strong>de</strong> la<br />

distribution <strong>de</strong> la pièce Enquête sur le pire <strong>de</strong> Fanny Britt, une création<br />

du <strong>Théâtre</strong> Debout.<br />

Au cinéma, elle a interprété <strong>de</strong>s rôles dans Le Polygraphe <strong>de</strong> Robert<br />

Lepage, Secret <strong>de</strong> banlieue <strong>de</strong> Louis Choquette et Les Aimants <strong>de</strong> Yves<br />

Pelletier.<br />

À la télévision, elle s’est fait connaître du grand public grâce au personnage<br />

<strong>de</strong> Lisondans <strong>La</strong> Petite Vie qui lui valut <strong>de</strong>ux prix Gémeaux : Meilleure<br />

interprétation catégorie humour en 2003 et Meilleure interprétation<br />

féminine dans un rôle <strong>de</strong> soutien en 2000. Par la suite, elle a participé<br />

aux séries <strong>La</strong> part<strong>de</strong>s anges, Mon meilleur ennemi, Il était une fois dans<br />

le trouble et Annie et ses hommes. Nous pouvons la suivre cette année<br />

dans Tranches <strong>de</strong> vie à TVA ainsi quand dans L’Auberge du chien noir et<br />

30 vies à Radio-Canada.


<strong>La</strong>isse-moi juste te faire<br />

mon pitch, OK ?<br />

Paysage désertique… À l’horizon apparaît<br />

un jeep militaire, en bas <strong>de</strong> l’écran on voit<br />

« Kandahar 2007 »<br />

... Soudain, on entend Daniel Bélanger qui chante<br />

« revivre »… Hein ?<br />

Comment ça convenu ?<br />

Ha oui, peut-être que c’est trop<br />

« ON THE NOSE ».<br />

En tout cas, je continue,<br />

donc dans la jeep qui se rapproche <strong>de</strong> l’objectif<br />

on découvre Yves, un jeune militaire et la<br />

bang, explosion …<br />

C’est ça il revient au Québec<br />

et il est en choc post-traumatique…<br />

Comment t’as <strong>de</strong>viné ?<br />

Ah ouais à cause <strong>de</strong> »revivre. »<br />

Tu vois t’es le meilleur, c’est<br />

avec toi que je veux l’écrire ce<br />

film-là. Ça va être notre<br />

« Apocalypse Now ».<br />

Dès sa sortie <strong>de</strong> l’École nationale <strong>de</strong> théâtre, Stéphane Jacques fon<strong>de</strong>, avec Yvan Bienvenue, la compagnie<br />

<strong>de</strong> théâtre Urbi et Orbi, qui s’installe à <strong>La</strong> <strong>Licorne</strong> en décembre <strong>de</strong> chaque année et réjouit les amateurs <strong>de</strong><br />

sensations fortes avec les Contes urbains. Comédien généreux et sensible, il a débuté au <strong>Théâtre</strong> <strong>de</strong> Quat’Sous<br />

<strong>de</strong> façon fracassante dans Nez à nez avec Benoît Brière, une pocha<strong>de</strong> clownesque et hilarante écrite, mise en<br />

scène et interprétée par le duo. Stéphane Jacques a participé à plus d’une soixantaine <strong>de</strong> productions théâtrales,<br />

dont Règlement <strong>de</strong> contes, <strong>de</strong> Yvan Bienvenue ( 1995 ), Le temps d’une vie, <strong>de</strong> Roland Lepage ( 1997 ), Willy<br />

Protagoras enfermé dans les toilettes, <strong>de</strong> Wajdi Mouawad ( 1998 ), L’Enfant-problème, <strong>de</strong> George F. Walker<br />

( 1998 ), Stampe<strong>de</strong>, <strong>de</strong> François Létourneau ( 2001 ) et Les joyeuses commères <strong>de</strong> Windsor, <strong>de</strong> Shakespeare ( 2002 ).<br />

Récemment, on a aussi pu le voir dans En découdre, <strong>de</strong> Luc Tartar ( 2011 ), dans <strong>La</strong> mélodie du bonheur, mise en<br />

scène par Denise Filiatrault ( 2010-2011 ) ainsi que dans Il n’y a plus rien <strong>de</strong> Robert Gravel ( 2009 ). Au champ <strong>de</strong><br />

Mars est la troisième collaboration <strong>de</strong> Stéphane Jacques avec le <strong>Théâtre</strong> <strong>de</strong> <strong>La</strong> Manufacture puisqu’il a participé à<br />

la création <strong>de</strong> Game en 1997 et <strong>de</strong> Gagarin Way en 2003 et 2006.<br />

À la télévision, on l’a remarqué dans Gran<strong>de</strong> Ourse ( 2003 ), Le Négociateur ( 2005 ), Kiki Tronic ( 2007 ), Annie et<br />

ses hommes ( 2007-2009 ), Rock et Rolland ( 2009 ), Toute la vérité et Mauvais Karma ( 2010 ). Son rôle <strong>de</strong> Vincent<br />

Saint-Arnaud dans Virginie ( 2002-2010 ) lui a valu <strong>de</strong>ux nominations aux Prix Gémeaux pour son interprétation<br />

dans un rôle <strong>de</strong> soutien. Nous pouvons actuellement le suivre dans Mirador, à Radio-Canada.<br />

Au cinéma, il a entre autres joué dans 15 février 1839, <strong>de</strong> Pierre Falar<strong>de</strong>au, Camping sauvage, <strong>de</strong> Guy A. Lepage,<br />

Miss Météo, <strong>de</strong> Nathalie Petrowski et Truffe, <strong>de</strong> Kim Nguyen.<br />

Stéphane<br />

Jacques<br />

dans le rôle <strong>de</strong><br />

Marco


en alternance<br />

Justin <strong>La</strong>ramée<br />

dans le rôle d’Antoine<br />

« Wow,<br />

il se passe quelque chose...<br />

Rachel, je vais t’enseigner la musique klezmer...<br />

Parce que c’est un beau défi,<br />

y’ a beaucoup <strong>de</strong><br />

colère en toi. »<br />

Diplômé du Conservatoire d’art dramatique <strong>de</strong> Montréal en 2003, Justin <strong>La</strong>ramée a <strong>de</strong>puis participé à plus <strong>de</strong> 25 productions<br />

théâtrales. Comme acteur, on a pu le voir, entre autres, dans les productions Edmond Dantès au <strong>Théâtre</strong> Denise-Pelletier, L’Affiche et Le<br />

Pensionnat à l’Espace Libre, Cérémonials à Espace Go, Contes urbains à <strong>La</strong> <strong>Licorne</strong>, L’éblouissement du chevreuil au <strong>Théâtre</strong> d’Aujourd’hui<br />

( JCG ) et dans Les Cabarets Insupportables présentés au Lion d’Or. Cofondateur, directeur général et codirecteur artistique <strong>de</strong> Qui Va Là,<br />

il co-crée Toutou Rien ( Coup <strong>de</strong> coeur Télé-Québec 2008 ) et <strong>La</strong> tête blanche à <strong>La</strong> Petite <strong>Licorne</strong> et tourne présentement <strong>La</strong> Fugue ( Prix<br />

Opus 2011, Cochon d’or 2010 ) sur la scène nationale et internationale.<br />

Justin manie également la plume et sa première pièce Transmissions se voit récompensée du prix Gratien-Gélinas en 2008. Il la mettra en<br />

scène en 2010 Aux Écuries. Il avait dirigé précé<strong>de</strong>mment l’équipe <strong>de</strong> 4 fois Mélanie ½ un autre <strong>de</strong> ses textes qui s’est mérité le Grand Prix<br />

Vue sur la relève 2009. Sa plus récente pièce, Nous aurons tout vu, a été présentée à Carleton-sur-Mer en Gaspésie, durant tout l’été.<br />

À la télévision, on a pu le voir entre autres dans Maître en scène à ARTV et Télé-Québec et dans la télésérie Les soeurs Elliott à TVA.<br />

Philippe <strong>La</strong>mbert<br />

Diplômé <strong>de</strong> l’École nationale <strong>de</strong> théâtre en interprétation en 1996, Philippe <strong>La</strong>mbert a<br />

participé en tant qu’acteur à plusieurs productions dont Les Justes, d’Albert Camus au <strong>Théâtre</strong><br />

Denise-Pelletier, Willy Protagoras enfermé dans les toilettes, <strong>de</strong> Wajdi Mouawad au <strong>Théâtre</strong><br />

d’Aujourd’hui et Un simple soldat, à la Compagnie Jean-Duceppe. Il était aussi <strong>de</strong> la distribution<br />

<strong>de</strong> Roméo et Juliette et <strong>de</strong> Dom Juan présentées au TNM. Il a aussi mis en scène les pièces Coin<br />

Saint-<strong>La</strong>urent ( 2005 ), Beaver ( 2006 ), Les Points tournants ( 2006 ), J’aurais voulu être un<br />

artiste ( 2008 ) et Rearview ( 2009 ), toutes présentées au <strong>Théâtre</strong> <strong>La</strong> <strong>Licorne</strong>. Cette année, il<br />

réalisera la mise en scène <strong>de</strong> Midsummer ( une pièce et neuf chansons ), une production du <strong>Théâtre</strong><br />

<strong>de</strong> <strong>La</strong> Manufacture, compagnie dont il est adjoint à la direction artistique. Au cinéma, il a entre<br />

autres incarné Joseph Duquet dans le film Quand je serai parti, vous vivrez encore, <strong>de</strong> Michel<br />

Brault, et, pour la télévision, Pierre Arcand, dans la série Asbestos, ainsi que Pouet-Pouet, <strong>de</strong><br />

l'émission et du film Pin-Pon.


Dès sa sortie du Conservatoire d’art dramatique <strong>de</strong> Montréal en 1998, on a pu voir Sébastien<br />

Rajotte sur scène dans Les oranges sont vertes <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauvreau, mise en scène <strong>de</strong> Lorraine Pintal.<br />

Puis, en 2001, il s’est fait remarquer pour son rôle <strong>de</strong> Niki dans Le langue‐à‐langue <strong>de</strong>s chiens <strong>de</strong> roche et<br />

l’année suivante, dans Un tramway nommé désir, <strong>de</strong>ux mises en scènes <strong>de</strong> René‐Richard Cyr. En 2002<br />

et en 2004, il est était dirigé par Frédéric Blanchette dans les pièces Pour faire une histoire courte du<br />

<strong>Théâtre</strong> ni plus ni moins et Cheech, les hommes <strong>de</strong> Chrysler sont en ville, une production du <strong>Théâtre</strong> <strong>de</strong><br />

<strong>La</strong> Manufacture. Il a travaillé avec le <strong>Théâtre</strong> Le Clou tenant <strong>de</strong>s rôles dans les productions L’héritage<br />

<strong>de</strong> Darwin en 2005 et Isbergen 2008. Puis, l’année suivante, il était <strong>de</strong> la distribution <strong>de</strong> Paradixxx, <strong>de</strong><br />

Olivier Choinière et était <strong>de</strong> la tournée <strong>de</strong> la pièce Les Points Tournants avec <strong>La</strong> Manufacture. <strong>La</strong> saison<br />

<strong>de</strong>rnière, il se joignait à l’équipe <strong>de</strong> Chante avec moi un projet théâtral pour 50 acteurs-chanteurs créé et<br />

mis en scène par Olivier Choinière.<br />

Improvisateur <strong>de</strong> talent, Sébastien Rajotte a fait partie <strong>de</strong> différentes ligues d’improvisation dont la LNI.<br />

À la télévision, il est apparu entre autres dans Watatatow, Quadra, Les invincibles, Le négociateur III et<br />

Penthouse 05. Quant au cinéma, Sébastien a tenu <strong>de</strong>s rôles dans les films Le petit ciel <strong>de</strong> Jean‐Sébastien<br />

Lord et Maurice Richard <strong>de</strong> Charles Binamé en plus d’avoir collaboré à <strong>de</strong> nombreux courts métrages.<br />

« Tuer son prochain n’est pas un geste naturel,<br />

le militaire doit apprendre à le faire…<br />

Par exemple, les piranhas<br />

plantent leurs <strong>de</strong>nts dans tout ce qui se présente, mais ils se battent<br />

entre eux à coups <strong>de</strong> queue.<br />

L’armée s’est donc attaquée à combattre la nature<br />

en entraînant le soldat à tuer <strong>de</strong> sang-froid<br />

un membre <strong>de</strong> sa propre espèce. »<br />

Sébastien<br />

Rajotte<br />

dans le rôle du<br />

sergent <strong>de</strong> film


présente<br />

Portés par la conviction que le théâtre doit avoir une inci<strong>de</strong>nce sociale, qu’il a pour rôle <strong>de</strong> provoquer, <strong>de</strong> chercher, <strong>de</strong> risquer, d’interroger,<br />

qu’il doit être accessible à tout public et piquer les curiosités, qu’il doit refléter les valeurs et les idées du mon<strong>de</strong> mo<strong>de</strong>rne, le <strong>Théâtre</strong> <strong>de</strong> <strong>La</strong><br />

Manufacture et son espace théâtral, <strong>La</strong> <strong>Licorne</strong>, partagent une même mission : être un lieu <strong>de</strong> création qui favorise la découverte <strong>de</strong> pièces<br />

récentes et <strong>de</strong> nouveaux auteurs, d’ici ou d’ailleurs, portant un regard neuf et actuel sur notre humanité et sur les enjeux <strong>de</strong> nos sociétés<br />

mo<strong>de</strong>rnes.<br />

Rappelons que <strong>La</strong> Manufacture assure la direction artistique du <strong>Théâtre</strong> <strong>La</strong> <strong>Licorne</strong>, qu’elle fondait en 1981 sur le boulevard Saint-<br />

<strong>La</strong>urent et déménageait sur l’avenue Papineau en 1989. <strong>La</strong> saison 2010-2011 permettait la réalisation <strong>de</strong> travaux <strong>de</strong> reconstruction du<br />

<strong>Théâtre</strong> <strong>La</strong> <strong>Licorne</strong>. <strong>La</strong> saison actuelle est donc la première à se tenir dans le nouveau théâtre.<br />

Équipe <strong>de</strong> <strong>La</strong> Manufacture<br />

Directeur artistique et général DENIS BERNARD<br />

Adjoint à la direction artistique PHILIPPE LAMBERT<br />

Directrice <strong>de</strong> l’administration DANIÈLE DROLET<br />

Directeur technique SIMON CLOUTIER<br />

Directrice <strong>de</strong>s communications et du développement CLAUDIE BARNES<br />

Relations <strong>de</strong> <strong>presse</strong> et promotion GINETTE FERLAND<br />

Chargés <strong>de</strong> production MARIE-HÉLÈNE DUFORT et ANDRÉ RIOUX<br />

Adjointe administrative GAËTANE LAPLANTE<br />

Réception et secrétariat SOPHIE ROCHELEAU<br />

Responsable <strong>de</strong> la billetterie VALÉRIE MICHAUD<br />

Gestionnaire <strong>de</strong> réseaux OLIVIER BOUCHARD<br />

Directeur fondateur<br />

JEAN-DENIS LEDUC<br />

au<br />

Champ<br />

<strong>de</strong><br />

mars<br />

Équipe <strong>de</strong> création<br />

Texte Pierre-Michel Tremblay<br />

Mise en scène Michel Monty<br />

Avec Josée Deschênes, Stéphane Jacques, Justin<br />

<strong>La</strong>ramée, Mathieu Quesnel et Sébastien Rajotte<br />

Assistance à la mise en scène Geneviève Lessard<br />

Décor Patricia Ruel<br />

Costumes Sarah Balleux<br />

Éclairages Guy Simard<br />

Musique originale Jean-François Pednô<br />

Accessoires Francis Farley-Lemieux<br />

Maquillages Suzanne Trépanier<br />

Relations <strong>de</strong> <strong>presse</strong> et promotion Ginette Ferland<br />

Graphisme Ombilicus Mundi<br />

Photographies <strong>de</strong> promotion Rolline <strong>La</strong>porte

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