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sommaire<br />

informations pratiques p. 2<br />

distribution p. 3<br />

synopsis p. 4<br />

notes d’intention p. 5<br />

note d’intention de l’auteur, Frédéric Pommier p. 5<br />

note d’intention du metteur en scène, Jorge Lavelli p. 6<br />

biographies p. 7<br />

Frédéric Pommier, texte p. 7<br />

Jorge Lavelli, conception, mise en scène et lumières p. 7<br />

Dominique Poulange, collaboration artistique p. 7<br />

Rodolfo Natale, scénographie p. 8<br />

Fabienne Varoutsikos, costumes p. 8<br />

Gérard Monin, lumières p. 8<br />

distribution<br />

Francine Bergé p. 9<br />

Raoul Fernandez p. 9<br />

Catherine Hiegel p. 10<br />

Francis Leplay p. 10<br />

Sophie Neveu p. 11<br />

Liliane Rovère p. 11<br />

la saison 2012-2013 de l’Athénée p. 12<br />

1


informations pratiques<br />

du jeudi 21 mars au samedi 13 avril 2013<br />

mardi à 19h, du mercredi au samedi à 20h I relâche les lundis et dimanches<br />

matinées exceptionnelles : dimanche 7 avril à 16h et samedi 13 avril à 15h<br />

tarifs : de 7 à 32 €<br />

- plein tarif : de 14 à 32 €<br />

- tarif réduit* : de 12 à 27 €<br />

*plus de 65 ans et abonnés pour les spectacles hors-abonnement (sur présentation d’un justificatif)<br />

- tarif jeune -30 ans** : de 7 à 16 €<br />

**50% de réduction sur le plein tarif pour les moins de 30 ans, et les bénéficiaires du RSA<br />

(sur présentation d’un justificatif)<br />

- groupes / collectivités et demandeurs d’emploi : de 10 à 25 €<br />

autour du spectacle :<br />

dialogues : À l'issue de la représentation, Frédéric Pommier et l'équipe artistique vous retrouvent au<br />

foyer-bar pour échanger à chaud sur le spectacle.<br />

mardi 2 avril I entrée libre<br />

hors les murs : En partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, conférence sur l'humour<br />

noir et l'ironie réaliste, en présence de Frédéric Pommier et Jorge Lavelli.<br />

site Richelieu (auditorium Colbert), entrée au 2 rue Vivienne 75002 Paris<br />

mercredi 3 avril 12h30 > 14h | entrée libre<br />

Athénée Théâtre Louis-Jouvet<br />

Square de l’Opéra Louis-Jouvet 7 rue Boudreau 75009 Paris<br />

M° Opéra, Havre-Caumartin I RER A Auber<br />

réservations : 01 53 05 19 19 - www.athenee-theatre.com<br />

Venez tous les jours au théâtre avec le blog de l’Athénée : blog.athenee-theatre.com<br />

et rejoignez-nous sur Facebook et Twitter.<br />

Téléchargez l’appli iPhone ou consultez notre site mobile m.athenee-theatre.com<br />

service de presse Athénée Théâtre Louis-Jouvet : Opus 64<br />

Valérie Samuel, Arnaud Pain et Claire Fabre<br />

a.pain@opus64.com I c.fabre@opus64.com - 01 40 26 77 94<br />

2


le prix des boîtes<br />

texte Frédéric Pommier<br />

mise en scène Jorge Lavelli<br />

création du texte<br />

conception, mise en scène et lumières Jorge Lavelli<br />

collaboration artistique Dominique Poulange<br />

scénographie Rodolfo Natale<br />

costumes Fabienne Varoutsikos<br />

lumières Gérard Monin<br />

avec<br />

Francine Bergé la Grande<br />

Catherine Hiegel la Petite<br />

Francis Leplay le Docteur<br />

Raoul Fernandez le Monsieur Dame<br />

Sophie Neveu la Tutrice<br />

Liliane Rovère l’Auxiliaire de vie<br />

production : Robin production, le méchant théâtre<br />

coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet<br />

3


synopsis<br />

C’est l’histoire de deux sœurs, deux vieilles filles à chats qui fonctionnent comme un vieux couple en<br />

permanence à la limite de la séparation : une caresse, un coup de griffe, une insulte, un mot doux, une<br />

pointe d'humour, une de cynisme... Elles s’aiment autant qu'elles s’horripilent.<br />

Puis le temps les rattrape : le passé, les regrets, la grande Histoire, la maladie. La mémoire<br />

s’échappe, le cerveau s’envole, les autres les volent... Illustration d’une société qui, parfois, délaisse<br />

et dévore ceux qui perdent la tête.<br />

Dans cette pièce, il y a donc les deux sœurs, la Grande et la Petite, mais on croise aussi le Docteur,<br />

l’Auxiliaire de vie, la Tutrice et un Monsieur Dame se présentant comme un ami. On parle d’un enfant,<br />

seul prénom prononcé. On évoque une madame Jeunesse, qu’on ne verra jamais.<br />

Premier tableau : chez la Grande<br />

Deuxième tableau : chez la Petite<br />

Troisième tableau : chez les Vieux<br />

Quatrième tableau : chez les Fous<br />

Frédéric Pommier<br />

4


notes d’intention<br />

"Avant, les biscuits tenaient mieux dans les assiettes."<br />

Ce texte est né en 2006. Une nuit d’avril. Deux mois plus tôt, elles étaient parties. D’abord Marie-Madeleine.<br />

Puis Marie-Anne. L’aînée, puis la cadette. À dix-huit jours d’intervalle. Elles étaient des amies d’enfance de<br />

ma grand-mère et je les aimais beaucoup. J’ai vécu chez Marie-Madeleine l’année de ma terminale. J’avais<br />

seize ans. Elle me préparait mon café le matin, me questionnait sur mes notes et sur mes professeurs,<br />

m’emmenait à la crêperie, me tricotait des écharpes… Marie-Anne n’habitait pas loin. Elle venait<br />

déjeuner tous les jours et tous les jours, les deux sœurs ne cessaient de se disputer. Pour une bricole,<br />

un détail : la taille de leur père, la taille d’une tumeur, la qualité d’une quiche, la date des bombardements,<br />

la couleur du costume d’un chanteur d’opéra… Pour une bricole, un détail, il arrivait qu’elles se balancent<br />

des horreurs à la figure. Parfois même des casseroles. Elles ne faisaient rien l’une sans l’autre et pourtant<br />

ne se supportaient plus, chacune renvoyant à l’autre le miroir de sa vie ratée. Elles n’ont pas eu de mari.<br />

Pas d’enfant. Uniquement des chats. Quand je les ai connues, Marie-Madeleine et Marie-Anne étaient des<br />

vieilles filles à chats.<br />

Ensuite, je me suis éloigné pour mes études et le travail. Avec Marie-Madeleine, on s’est alors écrit, on<br />

s’est téléphoné. Je lui racontais mes projets. Elle me racontait ses journées, sa vie et celle de ses<br />

chats : Praline qui perd ses poils, Caramel qui devient agressif, Mickey qui tombe malade... Puis c’est<br />

elle qui est tombée malade. Je l’ai constaté en revenant m’installer près de chez elle quelques années<br />

plus tard. Elle a commencé à perdre la mémoire. À perdre l’équilibre. À devenir un peu grossière. Et elle<br />

s’est retrouvée confrontée à des murs. Le mur du corps médical. Celui des services sociaux. Celui du<br />

système des tutelles. Marie-Anne s’est cognée aux mêmes et je m’y suis cogné aussi. "Qui êtes-vous ?",<br />

me demandait-on lorsque je venais aux nouvelles. "Et à quel titre êtes-vous là ?" Ce à quoi je répondais<br />

que j’étais là, tout simplement. Pas autant qu’il l’aurait fallu, mais j’étais là. Et j’ai vu. J’ai vu Marie-<br />

Madeleine devenir incapable d’habiter toute seule. Ses meubles vendus. Sa maison liquidée. J’ai vu<br />

la tutrice liquider sa maison et brader tous ses meubles. Puis, j’ai vu Marie-Anne tomber malade à<br />

son tour, mais continuer à se battre pour qu’on s’occupe de sa sœur. Laquelle a été transférée dans une<br />

maison de retraite. De plus en plus perdue. Effrayée. Un moineau. Ne reconnaissant plus personne, ne<br />

sachant presque plus parler. Ni marcher. Se laver. S’habiller. Parfois, on l’habillait. Parfois, on l’oubliait.<br />

Jusqu’à ce qu’elle se mette à crier. Quelqu’un qui crie, c’est dérangeant. Vous comprenez, monsieur,<br />

les autres pensionnaires se plaignent, ils ne peuvent plus dormir ! Pour que les autres puissent dormir,<br />

elle a donc été internée dans un hôpital psychiatrique. J’ai vu le délabrement des lieux et celui de<br />

Marie-Madeleine. Les bleus sur ses bras. Le personnel froid et les vêtements qui disparaissent,<br />

en même temps que les souvenirs.<br />

Cette nuit d’avril 2006, je ne saurais dire exactement ce qui m’a amené à écrire. Peut-être le besoin de<br />

raconter ce que j’avais vu. Peut-être aussi l’envie de rendre hommage à ces deux femmes et de les<br />

faire revivre… Au départ, c’est d’ailleurs leurs prénoms que j’avais écrits. Ensuite, je les ai effacés et<br />

le texte est devenu pièce. Marie-Madeleine est devenue la Grande et Marie-Anne, la Petite. Deux<br />

sœurs sur le chemin de la mort. Raconté comme cela, ce n’est pas drôle. La mort n’est jamais<br />

très drôle. Mais parce que l’on est au théâtre, on peut tordre les choses et les retordre encore pour<br />

pouvoir en rire, même si le rire est jaune, quand il n’est pas totalement noir.<br />

Je crois que Le Prix des boîtes n’est pas une pièce sur la fin, mais plutôt sur le coût de la vie.<br />

Frédéric Pommier<br />

(janvier 2013)<br />

5


J’ai lu Le Prix des boîtes et ai pensé que son jeune auteur signait là son acte de naissance.<br />

L’ouvrage raconte une histoire qui a la vertu de pouvoir s'interpréter de manières diverses, voire<br />

opposées. Comme dans les bonnes pièces de théâtre, plusieurs interprétations s’offrent aux lecteurs,<br />

qui s’ouvriront plus tard aux spectateurs. D’abord parce que nous sommes dans un temps dramatique<br />

suspendu et qu'on nous introduit dans les coursives de la vieillesse et du doute. Sommes-nous à la fin<br />

d’une aventure ou, au contraire, assistons-nous à la naissance d’un épisode perdu d’un roman<br />

fantastique décalé du réel et pourtant, si étrangement proche?<br />

Nous allons mourir, sans doute et sans faute. Mais, comment s’organise cette transition, ce passage,<br />

ce moment sans temps à comptabiliser et mémoriser?<br />

Une dramaturgie sincère et directe structure l’émotion de ses personnages avec sensibilité<br />

et humour. Tout devient familier, tout devient proche : nous sommes attachés à la destinée de leurs<br />

sorts. Guidé par un regard oblique, un paysage opaque surgit doucement, qui nous interpelle et nous<br />

questionne. La réalité prend le pas sur la fiction.<br />

Le style de Frédéric Pommier et son sens de la liberté ont attisé en moi l’envie de travailler sur<br />

cet ouvrage. Il n’y a pas de message qui se dégage ; pas plus que des comportements avec des clés<br />

de lecture ; une ligne fraîche et poétique naît de savoir conjuguer le malheur et le combat contre le<br />

temps qui passe ; on rêve de Tchekhov, de Copi ; la fraternité cherche sa place.<br />

Je ne saurais répondre à la question de la "nouveauté" de la pièce. Je voudrais que les chemins de<br />

liberté qu’elle nous trace puissent prendre plusieurs sens à la réalisation. La violence a sa place dans<br />

ce spectacle ainsi que la surprise. Et bien évidemment l’humour.<br />

... Et puis tout cela nous renvoie au théâtre. Toujours au théâtre.<br />

Jorge Lavelli<br />

(mai 2012)<br />

6


iographies<br />

Frédéric Pommier – texte<br />

Né en 1975, Frédéric Pommier est journaliste et chroniqueur sur France Inter et pour M, le magazine<br />

du Monde. Après une licence de philosophie et des études musicales, il obtient une maîtrise en sciences<br />

et techniques du journalisme et intègre la Maison de la Radio. Il débute à la rédaction de France<br />

Culture, où il présente les journaux. Puis, il rejoint France Inter, où il couvre pendant sept ans l’actualité<br />

politique avant de se voir confier la revue de presse. Par la suite, il présente "Le Pop corner" et<br />

collabore à plusieurs émissions ("Esprit critique", "Et pourtant elle tourne", "Comme on nous parle",<br />

"5/7 Boulevard", "Downtown"), émissions pour lesquelles il écrit notamment des textes de chansons et<br />

des feuilletons radiophoniques ("Les Amants du boulevard" et "18 bis boulevard Hache-Cœur"). Il est<br />

par ailleurs l’auteur de deux essais sur le langage médiatique et les expressions politiques : Mots en toc<br />

et Formules en tic – Petites maladies du parler d’aujourd’hui (éd. Le Seuil, 2010) et Paroles, paroles –<br />

Formules de nos politiques (éd. Le Seuil, 2012). Le Prix des boîtes (éd. Actes Sud, 2013) est sa première<br />

pièce de théâtre.<br />

Jorge Lavelli – conception, mise en scène et lumières<br />

Les premières réalisations de Jorge Lavelli, metteur en scène de théâtre et d’opéra, explorent le<br />

répertoire contemporain. Ainsi, il introduit en France le théâtre de Witold Gombrowicz, dirige les nouvelles<br />

pièces de Fernando Arrabal, Copi, René de Obaldia, Peter Handke, Carlos Fuentes, Harold Pinter, Serge<br />

Rezvani, Roberto Athayde et monte Oskar Panizza, Eugène O’Neill, Milos Bulatovic, Mikhaïl Boulgakov...<br />

sans délaisser les classiques tels Sénèque, Calderón, Corneille, Goethe, Tchekhov, Claudel, Lorca et<br />

Shakespeare. En 1969, il crée à Avignon une première forme de “théâtre musical” avec Orden, de<br />

Pierre Bourgeade et Girolamo Arrigo, et initie un autre pan de travail dédié à l’opéra. Il met en scène des<br />

œuvres de compositeurs de notre temps sur les plus grandes scènes internationales : Ravel, Debussy,<br />

Bizet, Stravinski, Bartók, Prokofiev, Richard Strauss, Janácek, Von Einem, Sutermeister, Ohana, Nono,<br />

Liebermann, mais aussi Rameau, Charpentier, Haendel, Beethoven, Gounod (Faust, qui restera au<br />

répertoire de l'Opéra de Paris pendant vingt-huit ans), Verdi, Puccini, Bellini, Mozart… Directeur fondateur<br />

du Théâtre national de la Colline de 1987 à 1996, fidèle à son intérêt et à sa prédilection pour un théâtre<br />

vivant inscrit dans notre temps, il choisit de le consacrer à la découverte et à la création d’auteurs du XX e<br />

siècle. Depuis, il continue tant au théâtre qu’à l’opéra notamment en France et en Espagne avec : L’Ombre<br />

de Venceslao de Copi au Théâtre du Rond-Point en 2001, Le Désarroi de Monsieur Peters d’Arthur Miller<br />

au théâtre de l’Atelier, en 2002, Babel 46 de Xavier Montsalvatge au Teatro Real de Madrid la même<br />

année, puis au Liceu de Barcelone, en 2004, L’Avare de Molière (Centro dramático Nacional de Madrid, en<br />

2010, et en tournée dans toute l’Espagne). Il monte Polieukt de Zygmunt Krauze, création mondiale à<br />

l'Opéra de chambre de Varsovie en 2010 (présenté au théâtre du Capitole de Toulouse en novembre 2011).<br />

Jorge Lavelli obtient le prix de la meilleure création lyrique du Syndicat national de la critique pour la<br />

saison 2011-2012. En 2012, il met en scène Die lustige Witwe de Franz Lehár, à l’Opéra-Garnier et Rienzi<br />

de Richard Wagner, au théâtre du Capitole.<br />

Dominique Poulange – collaboration artistique<br />

Dominique Poulange débute au théâtre comme actrice. Jusqu'en 1978, elle joue principalement au théâtre<br />

et tourne pour la télévision et le cinéma. À partir de 1979, elle participe à la plupart des mises en scène de<br />

Jorge Lavelli au théâtre et à l'opéra. Par ailleurs, elle travaille avec Patrice Chéreau, Manfred Karge et<br />

Matthias Langhoff. De 1987 à 1996, elle est adjointe à la direction, chargée de l'artistique au Théâtre national<br />

de la Colline et collabore aux mises en scène de Jorge Lavelli : Le Public de Federico Garcia Lorca, La Visite<br />

7


inopportune de Copi, Opérette de Witold Gombrowicz, Heldenplatz de Thomas Bernhard, Macbett d’Eugène<br />

Ionesco, Slaves de Tony Kushner... Depuis, elle poursuit sa collaboration auprès lui avec : Seis personajes en<br />

busca de autor de Luigi Pirandello, Mère courage et ses Enfants de Bertolt Brecht, Pelléas et Mélisande de<br />

Claude Debussy, L'Ombre de Venceslao de Copi, Babel 46 de Xavier Montsalvatge, L'Enfant et les Sortilèges<br />

de Maurice Ravel, La Hija del Aire de Calderón, Merlin ou la Te re dévastée de Tankred Dorst au festival de<br />

Fourvière à Lyon et à la MC93 de Bobigny. Elle continue de travailler avec Jorge Lavelli sur des spectacles<br />

tels que Rey Lear de Shakespeare (2006), Chemin du ciel (Himmelweg) de Juan Mayorga (2007), Œdipe roi<br />

de Sophocle (2008), Le Garçon du dernier rang de Juan Mayorga (2009), Simone Boccanegra de Verdi (2009),<br />

L’Avare de Molière (2010), Polyeukt de Zygmunt Krauze (2010-2011), Lettres d'amour à Staline de Juan<br />

Mayorga (2011), Rienzi de Richard Wagner (2012)… Elle est elle-même metteure en scène et monte Tricoter<br />

à Pontoise de Mathieu Falla, Le Siège de Leningrad de José Sanchis Sinistera, L'Olimpiade de Cimarosa,<br />

L'Olimpiade de Galuppi (2006)… Elle traduit de l'espagnol Bonbon acidulé de Ricardo Sued (éd. Actes Sud-<br />

Papiers), L'Ombre de Venceslao de Copi (éd. Théâtrales), Venise de Jorge Accame, Le Garçon du dernier<br />

rang et Lettres d’amour à Staline de Juan Mayorga (éd. Les Solitaires intempestifs).<br />

Rodolfo Natale – scénographie<br />

Diplômé de la Escuela national Superior de Bellas Artes à Buenos Aires et de l’École nationale supérieure<br />

des Beaux-Arts de Paris, Rodolfo Natale est également artiste plasticien et scénographe. Ses secteurs<br />

d’activité sont nombreux : le théâtre, l’opéra, la danse, la mode et l’événement. Concernant le théâtre,<br />

il collabore avec de nombreuses personnalités comme Jorge Lavelli, Philippe Adrien, Michel Dydim,<br />

Daniel Mesguisch, Jacques Weber… Il est nominé en 1997 aux Molières pour Kinkali d’Alain Bedouet, mis<br />

en scène par Philippe Adrien et, en 2007, pour Histoires d’hommes de Xavier Durringer, mis en scène par<br />

Michel Dydim. Au cinéma, il travaille pour, entre autres, Agnès Varda, Bertrand Arthuys, Christian Chaudet<br />

dans Le Rossignol avec Nathalie Dessay… Dans le domaine de la danse et des scènes internationales, il<br />

travaille pour Maguy Marin (Les Sept Péchés capitaux à l’Opéra de Lyon), Marie-Claude Pietragalla<br />

(Giselle, Opéras de Marseille et de Paris). Dans la mode, il conçoit des défilés et des événements pour<br />

Cerruti, Hermès, Cartier, Christian Dior, ou encore Givenchy ; dans l’événementiel, pour Renault, B.M.W.,<br />

Volkswagen, France Télécom, Michelin, Microsoft… En tant qu’artiste plasticien, il participe à de<br />

nombreuses manifestations, expositions personnelles et collectives en Europe et aux États-Unis.<br />

Fabienne Varoutsikos – costumes<br />

À la suite d’études de lettres et d’une licence de théâtre à la faculté d’Aix-en-Provence, Fabienne<br />

Varoutsikos complète sa formation dans le domaine du costume de scène. Après quelques années au<br />

festival d’Avignon, elle travaille pour le théâtre et l’opéra dès 1990, comme chef d’atelier et assistante<br />

costumière, entre autres pour le Théâtre Nanterre-Amandiers sur des créations de Matthias Langhoff,<br />

Tadeusz Kantor, Jean-Pierre Vincent, Georges Aperghis, Heiner Goebbels. À partir de 1994, elle signe<br />

des créations pour Jean-Pierre Vincent, Eloi Recoing, Richard Dubelski, etc. 1995 marque sa rencontre<br />

avec Stuart Seide, puis Patrick Sommier. Plus récemment, les projets avec Joseph Nadj, Miquel<br />

Barceló, Jorge Lavelli lui permettent de continuer à explorer de nouveaux univers du spectacle vivant.<br />

Gérard Monin – lumières<br />

Diplomé de l'Ensatt en 1970, Gérard Monin poursuit sa passion pour le théâtre en faisant partie des Tréteaux<br />

de France de 1971 à 1974. Puis il rejoint la compagnie Renaud-Barrault jusqu’en 1992. Il collabore<br />

régulièrement avec Jorge Lavelli, notamment sur des spectacles tels que L’Ombre de Venceslao de Copi<br />

en 2001, Le Désa roi de M. Peters d’Arthur Miller en 2002, Chemin du ciel (Himmelweg) de Juan Mayorga<br />

en 2007, ainsi que les deux spectacles créés au Théâtre de la Tempête, Le Garçon du dernier rang en 2009 et<br />

Lettres d’amour à Staline en 2011, toujours de Juan Moyorga. En 2010, il travaille avec le dessinateur de<br />

bandes dessinées Enki Bilal qui met en scène Suspection au Théâtre du Rond-Point.<br />

8


distribution<br />

Francine Bergé – la Grande<br />

Issue d’une famille d’artistes, Francine Bergé s’initie très jeune à la danse classique, puis à l’art<br />

dramatique. Elle entre au Conservatoire et obtient le premier prix de tragédie. Elle intègre ensuite la<br />

Comédie-Française mais n’y reste qu’un an. Tout au long de sa carrière, cette tragédienne joue dans<br />

des pièces d’auteurs du théâtre classique tels que Jean Anouilh (Antigone, L’Hurluberlu en 1961,<br />

Cher Antoine en 1969, Tu étais si gentil quand tu étais petit en 1972, Le Voyageur sans bagage<br />

en 1973), William Shakespeare (Othello, Richard II, Péricles, prince de Tyr en 1957, Hamlet en 1961,<br />

Roméo et Juliette en 1977), Albert Camus (Le Malentendu, en 1964), Jean Giraudoux (Électre, en<br />

1971), Euripide (Médée, en 1989). Elle travaille notamment avec Jean-Louis Barrault dans Le Soulier<br />

de satin de Paul Claudel, Jean Meyer sur des pièces de Molière, Roger Planchon dans Bérénice de<br />

Jean Racine en 1966 – dans le rôle de Bérénice (elle recevra quatre ans plus tard le Prix du syndicat<br />

de la critique en tant que meilleure comédienne), Richard III – dans le rôle de Lady Anne (festival<br />

d’Avignon 1966). Elle joue à plusieurs reprises au festival d’Avignon : en 1974, sous la direction de<br />

Marcel Maréchal et Bernard Ballet (La Poupée de Jacques Audiberti, Hölderlin de Peter Weiss),<br />

en 1983, sous la direction d’Anne Delbée (Entre la raison et le désir... Trois tragédies de Jean Racine<br />

de Jean Racine) et en 1990, sous la direction d’Alain Timar (Rencontre de Peter Nadas). En 2003, elle<br />

est nommée pour le Molière de la meilleure comédienne pour sa prestation dans Jeux de scène de<br />

Victor Haïm, mis en scène par Marcel Bluwal. Elle débute sa carrière au cinéma en 1956, avec Elena<br />

et les Hommes réalisé par Jean Renoir dans lequel elle a un petit rôle, puis, en 1962, elle obtient le<br />

rôle principal dans Les Abysses de Nikos Papatakis aux côtés de sa sœur, Colette. À la télévision, elle<br />

joue la Belle Jardinière dans Rocambole (1965) réalisé par Jean-Pierre Decourt mais aussi, plus<br />

récemment dans Soeur Thérèse.com et Plus belle la vie. Parallèlement à sa carrière à la télévision,<br />

elle continue de travailler pour le cinéma avec des réalistaeurs tels que Roger Vadim, Jacques<br />

Rivette, Joseph Losey, Claude Sautet, Alain Resnais... Récemment, au théâtre, Francine Bergé a joué<br />

dans Phèdre de Racine, mis en scène par Renaud Marie Leblanc (2009) et dans Le Nombril de Jean<br />

Anouilh, mis en scène par Michel Fagadau. Francine Bergé était sur la scène du Théâtre La Bruyère<br />

avec Marcel Maréchal en septembre 2012 dans Cher Menteur, mis en scène par Régis Santon.<br />

Raoul Fernandez – le Monsieur Dame<br />

Raoul Fernandez est tout aussi bien acteur, chanteur que costumier. Il suit une formation à<br />

l’université Paris VIII – Saint-Denis auprès de Michelle Kokosowski au département théâtre<br />

pendant cinq ans, aux ateliers couture de l’Opéra-Garnier durant les directions de Rudolf<br />

Noureev et Patrick Dupont ; il participe à des stages à Baltimore et New York sur le cabaret et<br />

le music-hall grâce à une bourse de l’Unesco, d’éclairage et scénographie avec le Centre<br />

universitaire international de formation et de recherche dramatique (CUIFERD) à Nancy. Il joue<br />

au théâtre sous la direction notamment de Stanislas Nordey dans Les Présidentes de<br />

Werner Schwab, Quatorze pièces piégées et plus d’Armando Llamas, Tartuffe de Molière<br />

(Dorine), Porcherie de Pier Paolo Pasolini, Incendies de Wajdi Mouawad ; il joue également dans<br />

Igor et Caetera de Laurent Javaloyes, mis en scène par Pierre Maillet, dans Les Ordures, la ville<br />

et la mort de Rainer Werner Fassbinder, dans L’Enfant criminel de Jean Genet par Roger Des<br />

Près, dans deux pièces de Copi (Le Frigo, Les poulets n’ont pas de chaises et Eva Peron) et<br />

L’Excès-l’usine de Leslie Kaplan, toutes trois mises en scène par Marcial Di Fonzo Bo. Il crée des<br />

costumes de théâtre et, également, pour l’opéra, au Covent Garden à Londres, au festival<br />

d’Aix-en-Provence, à Amsterdam, aux opéras de Hambourg, de Berlin, de Montpellier, de Paris<br />

9


pour l’Opéra Bastille, d’Oslo… Dernièrement, il crée les costumes pour La Métamorphose<br />

d’après Franz Kafka à l’Opéra de Lille. Comme acteur, il joue dans Les Justes d’Albert Camus et<br />

dans Le Funambule de Jean Genet, mise en scène signée Cédric Gourmelon. Il joue dans<br />

Des Femmes - tragédies de Sophocle mis en scène par Wajdi Mouawad et dans Se trouver de<br />

Pirandello dans une mise en scène de Stanislas Nordey.<br />

Catherine Hiegel – la Petite<br />

Catherine Hiegel se forme auprès de Raymond Girard et Jacques Charon. Elle entre au<br />

Conservatoire national d’art dramatique, concours 1968, où elle suit les classes de Jean Marchal<br />

puis de Lise Delamare. Elle entre à la Comédie-Française en 1969, devient sociétaire en 1976,<br />

puis sociétaire honoraire en 2010. À la fois metteure en scène, comédienne au théâtre, au cinéma<br />

et à la télévision, la carrière de Catherine Hiegel est riche, foisonnante et longue. À la Comédie-<br />

Française, elle signe ses premières mises en scène aux côtés de Jean-Luc Boutté avec<br />

Le Misanthrope de Molière (1975), Georges Dandin du même auteur (1999), Le Retour de Harold<br />

Pinter (2000), L’Avare (2009) de Molière. Au théâtre, elle débute en 1968 dans L’Amour propre de<br />

Marc Camoletti mis en scène par l’auteur. Elle joue à la Comédie-Française, en 1978,<br />

La Villégiature de Goldoni sous la direction de Giorgio Strehler (adapté pour la télévision l’année<br />

suivante par Pierre Badell) et, toujours du même auteur, dans La Locandiera mise en scène<br />

signée Jacques Lassalle en 1983 (et adapté pour la télévision l’année suivante par Yves-André<br />

Hubert). Elle est, en 1985, dans la création de Quai ouest de Bernard-Marie Koltès par<br />

Patrice Chéreau. Dirigée par Jorge Lavelli dans Une visite inopportune de Copi en 1988, elle<br />

poursuit son travail à ses côtés pour la création, en 1989, de La Veillée de Lars Norèn et, en 1990,<br />

pour celle de Greek de Berkoff, également au Théâtre de la Colline. Cette même année, elle joue<br />

à la Comédie-Française dans Le Médecin malgré lui de Molière sous la direction de Dario Fo,<br />

puis deux ans plus tard dans La Serva amorosa de Goldoni sous la direction de Jacques Lassalle,<br />

en 1997 dans Les Reines de Normande Chaumette aux côtés de Joël Jouanneau (au Vieux-<br />

Colombier), dans Les Bonnes de Jean Genet sous la direction de Philippe Adrien, dans Le Malade<br />

imaginaire de Molière mis en scène par Claude Stratz en 2001, dans Savannah Bay de Marguerite<br />

Duras mis en scène par Éric Vigner en 2002, dans Embrasser les ombres de Lars Norèn sous la<br />

direction de Joël Jouanneau en 2004 (au Vieux-Colombier), dans La Maison des morts de Philippe<br />

Minyana mis en scène par Robert Cantarella en 2005, dans Les Précieuses ridicules sous la<br />

direction de Dan Jemmett (au Vieux-Colombier). Elle est dirigée à deux reprises par Marcial<br />

Di Fonzo Bo : en 2008 dans La Petite Fille dans la forêt profonde de Philippe Minyana au Studio-<br />

Théâtre et en 2010 dans le rôle-titre de La Mère de Florian Zeller pour lequel elle reçoit le<br />

Molière de la meilleure comédienne. Plus récemment, en 2011, Catherine Hiegel monte sur la<br />

scène des Bouffes du Nord pour De beaux lendemains de Russel Banks, mis en scène par<br />

Emmanuel Meirieu. Récemment, elle met en scène Le Bourgeois gentilhomme avec<br />

François Morel au Théâtre de la Porte Saint-Martin (2012) où elle avait déjà mis en scène,<br />

en 1987, Les Femmes savantes du même auteur. En 2012, elle joue dans Moi je ne crois pas de<br />

Jean-Claude Grimberg dans la mise en scène de Charles Tordjman et dans Le Fils de Jon Fosse<br />

sous la direction de Jacques Lassalle. Au cinéma, elle est dirigée notamment par<br />

Étienne Chatillez (La vie est un long fleuve tranquille, en 1988), Josiane Balasko (Gazon maudit,<br />

en 1994), Dominique Cabrera (L’Autre côté de la mer, en 1996), Bertrand Blier (Les Côtelettes, en<br />

2002) et Bruno Podalydès (Adieu Berthe, l’enterrement de Mémé, en 2012).<br />

Francis Leplay – le Docteur<br />

Après ses études en sciences politiques puis au Conservatoire national d'art dramatique dont il<br />

sort en 1994, Francis Leplay commence à travailler au théâtre sous la direction de Julie Brochen,<br />

Catherine Marnas et Laurent Gutmann à de nombreuses reprises. Ces dernières années, on a pu<br />

le voir au Théâtre des Bouffes du Nord dans Music-hall de Lagarce, dans La Fausse Suivante de<br />

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Marivaux, deux spectacles mis en scène part Lambert Wilson, et dans Le Bourgeois<br />

gentilhomme, dirigé par Denis Podalydès. Au cinéma, il croise notamment Emmanuel Bourdieu,<br />

Arnaud Desplechin, Pierre Jolivet, Claude Miller, Jérome Bonnell, Marion Vernoux et joue pour<br />

Canal + dans la série Engrenages. Il écrit deux romans, Après le spectacle et Samuel et<br />

Alexandre, respectivement publiés aux éditions du Seuil en 2006 et en 2009.<br />

Sophie Neveu – la Tutrice<br />

Après une licence d’arts du spectacle à l’université de Nanterre, Sophie Neveu est formée au<br />

Conservatoire national supérieur d’art dramatique dans les classes d’Andrzej Seweryn, de Nada<br />

Strancar et de Daniel Mesguich (promotion 2005). Elle joue notamment sous la direction de<br />

Jorge Lavelli, Gilberte Tsaï, Raymond Acquaviva, Jacques Kraemer, Bérangère Jannelle,<br />

Mathew Jocelyn, Emmanuel Ray, Jean-François Mariotti, Olivier Coulon-Jablonka, Laurent Bazin,<br />

Irina Solano, Alexandre Zeff et Aurélie Toucas. On a aussi pu l’entendre en mars 2008 au Théâtre<br />

du Rond-Point, dans une lecture inédite du Journal d’Hélène Berr, aux côtés d’Isabelle Carré.<br />

En juillet 2012, elle est seule en scène au festival d’Avignon dans Kassandra Fukushima, écrit et<br />

mis en scène par Jacques Kraemer. En octobre 2012, elle est la jeune épousée dans John et Mary<br />

de Pascal Rambert, au Théâtre de Vanves dans une mise en scène de Thomas Bouvet.<br />

Liliane Rovère – l’Auxiliaire de vie<br />

Liliane Rovère entre d’abord au cours René Simon où elle obtient au concours de fin d’année le<br />

prix Marcel Achard pour La P… respectueuse et poursuit son apprentissage au cours Tania<br />

Balachova. Elle débute ensuite sa carrière de comédienne qui s’enrichit d’une quarantaine de<br />

spectacles mis en scène notamment par Jorge Lavelli (pour la sixième fois avec ce spectacle),<br />

Alfredo Arias, Gilles Guillot, Tania Balachova, Alexandre Arcady, Jean Gillibert, Viviane<br />

Theophilides, Pierre Debauche, Pierre Mondy, Jacques Rosny, André Steiger, Regis Santon et,<br />

dernièrement, avec Franck Berthier dans une pièce de Fabrice Melquiot, Gerold Schumann au<br />

théâtre de l’Athénée dans Minetti, pièce de Thomas Bernhard, Fabrice Melquiot. Au cinéma,<br />

Liliane Rovère tourne dans plus d’une cinquantaine de films. Elle joue à plusieurs reprises pour<br />

Bertrand Blier, Bertrand Tavernier, Robert Enrico et Sam Karmann. Elle travaille également avec<br />

Jacques Renard, Michèle Rozier, Serge Gainsbourg, Martine Dugowson avec qui elle obtient un<br />

prix d’interprétation pour le film En faisant le ménage, j’ai retrouvé Albert, Jeannot Schwartz,<br />

Fred Zinneman, Maroun Bagdadi, Christine Pascal, Stephane Brize, Tonie Marshall,<br />

Emmanuel Finkiel, Cedric Klapish, Chantal Akermann, Dominik Moll, José Alcala … À la<br />

télévision, elle participe à 68 téléfilms. La comédienne dirige, par ailleurs, un atelier d’acteurs et<br />

une classe de conservatoire municipal ; elle a traduit un roman de série noire de l’américain<br />

ainsi qu’une autobiographie et une pièce de théâtre. Passionnée par l’écriture, elle a à son actif<br />

une pièce de théâtre en cours de production, un spectacle solo, deux court-métrages de cinéma,<br />

dont un qu’elle a réalisé. Elle écrit actuellement le scénario de son premier long métrage.<br />

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athénée saison 2012-2013<br />

la mouette*<br />

texte Anton Tchekhov<br />

mise en scène Christian Benedetti<br />

27 sept > 13 oct 2012<br />

oncle vania*<br />

texte Anton Tchekhov<br />

mise en scène Christian Benedetti<br />

28 sept > 13 oct 2012<br />

miss knife chante olivier py<br />

récital<br />

musiques Stéphane Leach et Jean-Yves<br />

Rivaud<br />

textes Olivier Py<br />

18 > 27 oct 2012<br />

übü király (ubu roi)<br />

texte Alfred Jarry<br />

mise en scène Alain Timar<br />

13 > 18 nov 2012<br />

les enfants terribles<br />

opéra de Philip Glass<br />

d’après le roman de Jean Cocteau<br />

direction musicale Emmanuel Olivier<br />

mise en scène Stéphane Vérité<br />

23 nov > 2 déc 2012<br />

la voix humaine<br />

opéra de Francis Poulenc<br />

d’après la pièce de Jean Cocteau<br />

mise en scène Vincent Vittoz<br />

5 > 15 déc 2012<br />

croquefer ou le dernier des paladins<br />

opérette bouffe de Jacques Offenbach<br />

livret Adolphe Jaime et Étienne Tréfeu<br />

suivi de<br />

l’île de tulipatan<br />

opéra bouffe de Jacques Offenbach<br />

livret Alfred Duru et Henri Chivot<br />

direction musicale Christophe Grapperon<br />

mise en scène Jean-Philippe Salério<br />

Compagnie Les Brigands<br />

20 déc 2012 > 13 janv 2013<br />

en attendant godot<br />

texte Samuel Beckett<br />

mise en scène Bernard Levy<br />

18 > 27 janv 2013<br />

fin de partie<br />

texte Samuel Beckett<br />

mise en scène Bernard Levy<br />

7 > 16 fév 2013<br />

histoire du soldat<br />

conte musical d’Igor Stravinski<br />

texte Charles-Ferdinand Ramuz<br />

mise en scène Roland Auzet<br />

avec Thomas Fersen<br />

21 fév > 2 mars 2013<br />

le prix des boîtes<br />

texte Frédéric Pommier<br />

mise en scène Jorge Lavelli<br />

21 mars > 13 avril 2013<br />

blanche-neige<br />

opéra de Marius Felix Lange<br />

d’après le conte des frères Grimm<br />

direction musicale Vincent Monteil<br />

mise en scène Waut Koeken<br />

Orchestre Lamoureux<br />

20 > 26 avril 2013<br />

ariadne auf naxos<br />

opéra de Richard Strauss<br />

livret Hugo von Hofmannsthal<br />

direction musicale Alphonse Cemin et<br />

Maxime Pascal<br />

Ensemble Le Balcon<br />

14 > 19 mai 2013<br />

l’autre monde ou les états et empires de la<br />

lune<br />

texte Savinien de Cyrano de Bergerac<br />

mise en scène Benjamin Lazar<br />

23 mai > 8 juin 2013<br />

* en alternance<br />

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