You also want an ePaper? Increase the reach of your titles
YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.
PersPectives<br />
Journal du salon - 6 <strong>octobre</strong> <strong>2011</strong><br />
SOMMAIRE<br />
Portraits de métiers 2<br />
Egalité hommes et femmes<br />
L’hôtellerie et l’accueil<br />
reportage 3<br />
Dans le monde des <strong>machines</strong><br />
et des robots<br />
en images 4-5<br />
Les instantanés de Céline Müller<br />
et Christophe Rossier<br />
Programme 6<br />
Les événements du jour,<br />
heure par heure<br />
interview 7<br />
Richard Kohler, responsable<br />
de l’événementiel <strong>à</strong> Rouge FM.<br />
impressions 8<br />
La parole aux visiteurs<br />
EDItORIAL<br />
Pour un monde meilleur<br />
Nouveauté <strong>à</strong> saluer cette année au Salon des<br />
métiers, la présence de trois Organisation<br />
non gouvernementales (ONG), qui œuvrent<br />
dans l’humanitaire. Nous avons discuté avec<br />
l’une d’entre elle, « Nouvelle Planète », qui<br />
s’occupe d’entraide internationale. Cette ONG<br />
fête aujourd’hui ses 25 ans. Cela doit être une<br />
expérience exceptionnelle et hors du commun<br />
de s’investir pour les défavorisés. De plus, cela<br />
permet d’avoir une autre vision du monde.<br />
Concrètement, les participants s’impliquent<br />
dans des pays victimes de la pauvreté, comme<br />
Haïti, le Gabon, l’Inde ou les Philippines. La responsable<br />
du stand nous a donné l’envie de nous<br />
engager dans le futur et nous serions prêtes <strong>à</strong><br />
entrevoir un séjour humanitaire.<br />
Nous adressons un grand bravo <strong>à</strong> cette dynamique<br />
association et nous félicitons le salon<br />
d’ouvrir ses portes <strong>à</strong> l’action humanitaire, car le<br />
monde en a besoin.<br />
Lise Clerc et Elena Gamboni<br />
6 <strong>octobre</strong> <strong>2011</strong><br />
<strong>Des</strong> <strong>machines</strong><br />
<strong>à</strong> <strong>tout</strong> <strong>faire</strong><br />
Christophe Rossier<br />
De la mise en bouteille <strong>à</strong> la mécanique de précision, les robots modernes sont devenus de véritables ordinateurs programmés<br />
pour n’importe quelle tâche. Plongée dans un monde d’automatisme et de mystère... Page 3
Portrait<br />
Hôtellerie<br />
L’art de l’accueil<br />
Michaël Weihs, spécialisé dans la restauration,<br />
nous explique les quatre CFC possibles.<br />
Cuisinier, employé de commerce, intendance<br />
(s’ occuper des chambres) et spécialiste en<br />
restauration. Ce sont quatre métiers très différents,<br />
et les horaires peuvent varier du soir au<br />
matin, les week-ends et les jours fériés. « Il est<br />
possible que nous ayons des décalages avec nos<br />
proches », déclare-t-il. Ce qui lui a plu dans ce<br />
métier, c’ est le savoir vivre, la bonne atmosphère<br />
et la politesse des clients. Il faut aussi connaître<br />
les aliments et les menus que le restaurant offre<br />
et avoir de bonnes connaissances en œnologie<br />
(l’ étude du vin). Il est éventuellement possible<br />
de travailler dans divers restaurants, par<br />
exemple dans une brasserie ou un hôtel haut de<br />
gamme.<br />
Bureau de l’égalité<br />
homme-femme<br />
Halte <strong>à</strong> la discrimination<br />
Leur mission : éliminer <strong>tout</strong>e forme de discrimination<br />
directe ou indirecte fondée sur le sexe.<br />
Bernadette Toti et Nils Kapferer sont l<strong>à</strong> pour<br />
parler notamment de la prévention par rapport<br />
aux violences conjugales. En Suisse, plus d’une<br />
femme sur cinq est violentée par un conjoint au<br />
cours de la vie. « Les femmes nous appellent,<br />
mais des hommes aussi, souligne Nils Kapferer.<br />
Il ne faut pas penser que il n’ y a que les femmes<br />
qui subissent du harcèlement ! Il est vrai que<br />
80% des d’entre elles l’endurent, mais 20%<br />
des hommes aussi ». Leur grand domaine est de<br />
stopper la violence, mais aussi d’expliquer que<br />
<strong>tout</strong> le monde peut <strong>faire</strong> ce qu’il veut et qu’ il n’ y<br />
a pas de métier réservé <strong>à</strong> un sexe. Le bureau est<br />
neutre et ses décisions et avis ne sont pas orientés<br />
politiquement. En résumé, le bureau de l’égalité<br />
(BEFH) s’ emploie <strong>à</strong> concrétiser l’égalité des<br />
chances et des salaires dans le monde du travail.<br />
Propos recueillis par : Pauline Humbert et Emilie Morin<br />
Le mystère<br />
des robots<br />
<strong>Des</strong> robots exerçant <strong>tout</strong>e sorte d’opérations<br />
complexes défilent sous nos yeux. L’ un d’entre<br />
eux déplace des flacons, comme dans une usine<br />
d’embouteillage. Un autre usine des pièces en<br />
aluminium. Théo le teste, pendant que Marc<br />
prend des notes. Grâce au robot, Théo crée un<br />
élément qui va servir <strong>à</strong> ouvrir des bouteilles. Ces<br />
robots sont de véritables ordinateurs qu’il faut<br />
programmer avec des codes spéciaux.<br />
Pour les personnes aimant la robotique et toucher<br />
<strong>à</strong> <strong>tout</strong>e sorte de <strong>machines</strong>, la profession<br />
de polymécanicien est faite pour vous ! Pour le<br />
devenir, l’une des voies possible est l’ETML, école<br />
de technique et des métiers de Lausanne, justement<br />
spécialisée dans les métiers manuels,<br />
dont la mécanique. Assez connue <strong>à</strong> Lausanne,<br />
l’ETML a une très bonne réputation pour former<br />
les jeunes qui veulent se lancer dans cette profession.<br />
C’est une école technique qui regroupe<br />
plusieurs domaines, comme l’informatique, la<br />
poly mécanique, l’électronique, l’automobile,<br />
l’ébénisterie, la menuiserie, la pneumatique et<br />
l’automatique. Avec <strong>à</strong> la clé autant de métiers.<br />
Coup de projecteur par exemple sur le métier<br />
d’électronicien. Il consiste <strong>à</strong> la programmation de<br />
divers robots et <strong>machines</strong> automatiques. Pour ce<br />
métier, il faut avoir une grande connaissance de<br />
l’informatique.<br />
« Pour être mécanicien,<br />
il faut<br />
avant <strong>tout</strong> aimer<br />
le travail manuel »<br />
Pour être mécanicien, il faut avant <strong>tout</strong> aimer la<br />
pratique et le travail manuel. La fabrication de<br />
certaines <strong>machines</strong> est faite par des élèves et<br />
dure plusieurs années, car c’ est un travail complexe<br />
et en plus, <strong>à</strong> certaines périodes, ces élèves<br />
fonts d’autres tâches plus importantes, qui font<br />
aussi partie de leur formation. Comme réparer<br />
des <strong>machines</strong> défectueuses ou modifier celles<br />
qui sont déréglées.<br />
Pour se former <strong>à</strong> l’ETML, il faut <strong>faire</strong> un test d’aptitude<br />
qui dure environ deux jours. Ensuite, si le<br />
test est réussi, vous devrez <strong>faire</strong> un entretien<br />
avec des professeurs pour savoir si vous serez<br />
pris ou pas. La durée de l’ETML peut être variable,<br />
entre 3 <strong>à</strong> 4 ans selon le métier choisi. « Je trouve<br />
que l’ETML est une bonne école, car il y a une<br />
bonne ambiance de travail avec des élèves motivés<br />
», affirme Raphaël Martinez, en quatrième<br />
année de polymécanicien.<br />
Reportage : Marc De Réland et Théo Chevallier<br />
En haut <strong>à</strong> gauche, Théo en train<br />
d’usiner une pièce type<br />
d’une usine d’embouteillage.<br />
2<br />
6 <strong>octobre</strong> <strong>2011</strong> 6 <strong>octobre</strong> <strong>2011</strong><br />
3<br />
rePortage
4<br />
Céline Müller<br />
et Christophe Rossier,<br />
apprentis polygraphe<br />
ont promené leur objectif<br />
au gré des stands.<br />
6 <strong>octobre</strong> <strong>2011</strong> 6 <strong>octobre</strong> <strong>2011</strong><br />
5<br />
en images
Programme<br />
6<br />
9 h – 9 h 15<br />
10 h – 10 h 45<br />
14 h – 14 h 15<br />
15 h – 15 h 45<br />
Jeudi, 6 <strong>octobre</strong> <strong>2011</strong><br />
Mini-défilé de mode<br />
COFoP<br />
La recherche d’une place d’apprentissage<br />
Comment trouver une place ? Comment présenter<br />
son dossier ? Comment se présenter <strong>à</strong> l’entretien ?<br />
<strong>Des</strong> responsables de l’engagement des apprentis<br />
dans divers domaines partagent leur expérience<br />
pour vous conseiller.<br />
Mini-défilé de mode<br />
COFoP<br />
La recherche d’une place d’apprentissage<br />
Comment trouver une place ? Comment présenter<br />
son dossier ? Comment se présenter <strong>à</strong> l’entretien ?<br />
<strong>Des</strong> responsables de l’engagement des apprentis<br />
dans divers domaines partagent leur expérience<br />
pour vous conseiller.<br />
Zone vivante<br />
La Commission Professionnelle des Coiffeurs Vaudois<br />
(CPCV) présente le monde créatif de la coiffure féminine<br />
et masculine et vous renseigne sur les diverses<br />
formations possibles.<br />
ils font le journal<br />
Un groupe de dix jeunes se sont présentés en<br />
tant que journalistes stagiaires en assumant la<br />
rédaction de ce journal quotidien <strong>tout</strong> au long<br />
de la semaine au Salon des Métiers et de la Formation.<br />
Agés de 15 <strong>à</strong> 17 ans, ces élèves sont<br />
en année de transition <strong>à</strong> l’OPTI (Organisme pour<br />
le perfectionnement scolaire, la transition et<br />
l’insertion professionnelle). Cette dixième année<br />
permet aux élèves de pouvoir définir leur choix<br />
professionnel et de perfectionner leurs aptitudes<br />
scolaires. Cette expérience apportera d’avantage<br />
de connaissances dans le métier de journaliste<br />
aux élèves, qui seront sous la tutelle de professionnels.<br />
Chaque groupe est chargé d’une<br />
tâche bien précise, qui change chaque jour. Nos<br />
journalistes stagiaires auront l’occasion de pratiquer<br />
diverses facettes de ce métier. La rédac-<br />
tion d’articles, comme : l’éditorial, les portraits, le<br />
reportage, l’interview, et la photographie. Ce qui<br />
permettra <strong>à</strong> nos journalistes de pouvoir prendre<br />
connaissance du Salon de manière plus approfondie,<br />
et de vivre au centre de cette manifestation<br />
ainsi que de participer <strong>à</strong> son déroulement. A 13 h<br />
la mise en page doit être terminée, l’impression<br />
des journaux sera effectuée <strong>à</strong> 17 h et la distribution<br />
se fera sur divers sites du Salon des métiers<br />
le lendemain. Leur tâche est celle de promouvoir<br />
divers métiers, donner l’avis des visiteurs et des<br />
entreprises <strong>à</strong> propos du déroulement de l’évènement<br />
et de diversifier chaque jour le journal pour<br />
que les visiteurs puissent se documenter <strong>à</strong> leur<br />
aise.<br />
Loïc Abetel et Marlène Grand<br />
Impressum : Rédaction : Aminé Gillard, Marc De Réland, Emilie Morin, Pauline Humbert, Théo Chevallier, Loïc Abetel, Marlène Grand, Elena Gamboni, Lise Clerc, Estelle Piot. Supervision : Le Régional Mise en page : Thaïs Frochaux,<br />
Sabrina Curreli, Aurore Tièche, Sarah Mourtis, Christophe Rossier, Claudia Schaad, Matthias Pillet, Céline Müller, Charles Hänni. Maquette : Olivia Huguenot, Stéfanie Senn, Pierre Andrey, Céline Krattinger, Alessandro Longo,<br />
Rémy Barrière, Roxanne Borloz, Camille Deillon, Nathalie Cotting, Keel Chan, Florence Volet, Déborah Pahud, Mathilde Chappuis. Supervision et Impression: Camille Amigoni, Stéphanie Prud’homme et Roger Ammann, Viscom,<br />
imprimé sur Canon ImagePress C 7010VPS, papier Mega silk, FSC, Demi-mat, couché deux faces, superblanc, 150 gm2 , offert par Antalis SA.<br />
Organisateurs Soutenu par Partenaires médias Sponsors<br />
Pour devenir<br />
animateur radio, il faut<br />
de la créativité<br />
Rencontre avec<br />
Richard Kohler, qui<br />
travaille pour Rouge FM,<br />
responsable de <strong>tout</strong><br />
ce qui est événements<br />
extérieurs. Il explique<br />
le fonctionnement de<br />
Rouge FM et les métiers<br />
de la radio.<br />
Par où passe la radio ?<br />
La radio passe par satellite, il y a des antennes<br />
qui sont sur le Salève. Rouge FM est diffusée<br />
dans la totalité de la Suisse. Quand ils sont dans<br />
une manifestation, ils utilisent swisscom comme<br />
réseau, car ça améliore l’état du message.<br />
Quelle est la formation nécessaire pour <strong>faire</strong> de la<br />
radio ?<br />
On peut <strong>tout</strong> de suite entrer <strong>à</strong> la radio après la<br />
scolarité obligatoire, en faisant par exemple un<br />
CFC d’employé de commerce. Car la radio est aussi<br />
un outil <strong>à</strong> vendre comme <strong>tout</strong>e marchandise. Et<br />
après, on peut se présenter en tant qu’ animateur<br />
radio.<br />
Comment devenir un animateur radio ?<br />
Si on veut devenir un animateur, il faut de la<br />
volonté, de la créativité et de l’ énergie. Mais ce<br />
n’ est pas une chose qui s’ apprend, c’ est une<br />
chose qu’ on a au fond de soi, une envie de communiquer.<br />
Mais c’ est une chose qui s’ améliore<br />
techniquement, ce qui nécessite aussi de maitriser<br />
la technologie.<br />
Quels autres métiers permet la radio ?<br />
Il y a beaucoup de métiers, mais celui qu’on<br />
connait le plus, c’ est l’artistique. Il y a les techniciens,<br />
qui sont de purs techniciens radiophoniques,<br />
et qui s’aident de l’informatique. Puis il<br />
y a les journalistes, dont la formation dure deux<br />
ans <strong>à</strong> Lausanne. Dans cette même école, il y a<br />
aussi possibilité de <strong>faire</strong> un CFC comme animateur<br />
radio.<br />
Pourquoi avez vous commencé dans la radio ?<br />
A Rouge FM, je suis un des plus anciens et j’ai plus<br />
de 50 ans. Je m’occupe de <strong>tout</strong> ce qui est événementiel.<br />
Je suis sort toujours en public, comme<br />
pour couvrir les festivals ou les manifestations<br />
(réd : c’est lui qui anime par haut parleur le salon<br />
des métiers). Je suis donc toujours en direct, et<br />
jamais en studio. Je suis de l’ancienne génération,<br />
j’ai connu le début de la radio privée.<br />
Quel est la différence entre une radio nationale et une<br />
radio privée ?<br />
La radio nationale est financée en partie par l’Etat<br />
alors que la radio privée vit de la publicité.<br />
Avez-vous une équipe qui vous suit ?<br />
Oui mon équipe est essentiellement technique.<br />
Il y a des techniciens qui gèrent les appels, des<br />
techniciens qui viennent mettre le studio mobile<br />
en place. Et moi qui réalise après. On ne fait rien<br />
<strong>tout</strong> seul.<br />
Quand vous invitez une personne, vous la choisissez<br />
comment ?<br />
Il y a toujours une bonne raison pour que nous<br />
invitions quelqu’ un. Cette raison est le plus souvent<br />
liée <strong>à</strong> l’actualité. Comme cette semaine, je<br />
vais interviewer le directeur du salon des métiers.<br />
Propos recueillis par : Estelle Piot et Aminé Gillard<br />
Ci-dessus,<br />
Richard Kohler avec Estelle Piot.<br />
6 <strong>octobre</strong> <strong>2011</strong> 6 <strong>octobre</strong> <strong>2011</strong><br />
7<br />
interview
8<br />
La parole<br />
aux visiteurs<br />
Mickaël Calvet<br />
Pré-apprenti menuisier<br />
« Je suis venu avec la<br />
COFEP qui est l’école<br />
où j’effectue mon<br />
préapprentissage. Mon<br />
opinion sur le Salon<br />
des métiers et de la<br />
formation est positive,<br />
car on trouve diversité<br />
et mixité dans les<br />
métiers présentés.<br />
De plus, le climat est<br />
chaleureux et la bonne<br />
humeur est <strong>à</strong> son<br />
comble. »<br />
Julien Borer<br />
Médiamaticien<br />
« C’est une chance<br />
pour les jeunes<br />
d’aujourd’hui, car il y<br />
en a de plus en plus<br />
qui ne savent pas<br />
quoi <strong>faire</strong> sur le plan<br />
professionnel. Et en<br />
général, tous ces<br />
jeunes deviennent<br />
employés de<br />
commerce. Et le fait<br />
que les professeurs<br />
prennent l’initiative<br />
d’amener leurs élèves<br />
leur facilite l’accès <strong>à</strong><br />
cette manifestation. »<br />
Christine Zomer<br />
Professeur <strong>à</strong> l’OPTI<br />
« Je trouve ce Salon<br />
plus spacieux et<br />
interactif, ce qui<br />
donne l’occasion de<br />
découvrir d’autres<br />
métiers que ceux qui<br />
son toujours en tête<br />
de liste. Par exemple,<br />
quand j’ai eu l’occasion<br />
de découvrir mieux le<br />
métier de costu-<br />
Propos recueillis par : Marlène Grand et Loïc Abetel<br />
mière, cela m’a donné<br />
quelques envies de<br />
professions.<br />
Côté stand, je trouve<br />
que c’est bénéfique<br />
pour les jeunes<br />
visiteurs car, comme<br />
on dit : ce qui est<br />
donné par les pairs<br />
est toujours mieux<br />
écouté. »<br />
Jean-Daniel Chaperon<br />
Doyen <strong>à</strong> L’OPTI<br />
(Organisme pour<br />
le perfectionnement<br />
scolaire, la transition<br />
et l’insertion<br />
professionnelle)<br />
« Le Salon des métiers<br />
et une excellente<br />
opportunité pour<br />
les jeunes pour <strong>faire</strong><br />
connaissance avec les<br />
métiers ici présents.<br />
Et d’ouvrir la palette<br />
sur d’autres métiers<br />
qui auraient pu rester<br />
Rosa Vignoli<br />
Elève en classe d’accueil<br />
« Je suis suissesse,<br />
mais j’ai toujours vécu<br />
en Bulgarie. A présent,<br />
j’étudie en classe<br />
d’accueil. Le Salon<br />
des métiers et de la<br />
formation me permet<br />
de me documenter sur<br />
les voies possibles,<br />
ce qui est un plus<br />
pour moi et mon<br />
entourage. »<br />
6 <strong>octobre</strong> <strong>2011</strong><br />
dans l’ombre. Par rapport<br />
<strong>à</strong> l’année passée,<br />
le Salon est plus grand<br />
et beaucoup plus aéré.<br />
J’apprécie aussi tous<br />
les stands actifs qui<br />
sont bénéfiques pour<br />
les jeunes de <strong>tout</strong><br />
horizon. »<br />
Beatriz Carvalho<br />
Elève en classe d’accueil<br />
« Il y a beaucoup de<br />
métiers présentés<br />
et cela m’ aide<br />
beaucoup au niveau<br />
professionnel.<br />
Je suis en classe<br />
d’accueil et ce genre<br />
de manifestation et un<br />
plus pour ma classe<br />
et moi qui sommes<br />
souvent mis <strong>à</strong> part. »