David ANCELIN - Documents d'artistes
David ANCELIN - Documents d'artistes
David ANCELIN - Documents d'artistes
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PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Transmission, 2009<br />
Aluminium brossé, rustol, béton, 210 x 150 x 500 cm<br />
Avec le soutient du Centre National des Arts Plastiques et Art-O-Rama, Marseille
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Pont à bascule, 2009<br />
Aluminium, Plexiglas, serre-câbles et cables en acier, 30 x 300 x 210 cm<br />
Avec le soutient du Centre National des Arts Plastiques<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Sans titre, 2009<br />
Pantalon, bottes et ceinture en cuir, 40 x 40 x 140 cm (avec socle)<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Asphalt jungle (1/2), 2009<br />
(vue du rez de chaussée et du sous-sol)<br />
Echelle de piscine, béton, pavés, 160 x 110 cm / Echelle de piscine, béton 65 x 35 cm<br />
Avec le soutient du Centre National des Arts Plastiques<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Œ<br />
<strong>David</strong> Ancelin est un aristotélicien convaincu. Il a parfaitement intégré que « la totalité est plus que la somme des parties ». Il sait donc<br />
qu’assembler des objets entre eux ne se résume pas à un assemblage disparate et bricolé mais introduit, au-delà de la narration et de<br />
l’esthétique, une métaphysique. Regard de l’être sur l’être, de ses liens aux objets, à l’extérieur et à son dépassement, mouvement, mémoire,<br />
et expérience, tel pourrait être le programme complexe de son œuvre. Pourtant, par l’absurde et l’émotion, tout devient intelligible. Au-delà du<br />
physique, il y a l’imaginaire.<br />
Les œuvres de <strong>David</strong> Ancelin ressemblent à des accidents volontaires. Qu’il prenne les matériaux bruts (néons, motoculteur, tabouret de bar)<br />
ou qu’il les retravaille (casque de moto, raquette de tennis), il demeure dans un rapport de construction. La fabrication de ses sculptures ne<br />
passe pas par un dégrossissement de la matière mais, au contraire par agglomération, confrontation et superposition de celle-ci. L’artiste<br />
s’échappe du ready-made duchampien par la mutation effective en atelier, alors que la forte implication narrative du résultat tend vers<br />
l’installation. Une tension salutaire qui fait qu’il navigue entre deux eaux, construisant patiemment son propre courant. Les associations ne<br />
surprennent pas seulement par leur apparence rocambolesque mais aussi par la simplicité d’action et la justesse recherchées. L’artiste ne<br />
peut se permettre le luxe d’introduire le hasard dans son œuvre, ses constructions s’appuyant sur le déséquilibre. Il teste ainsi la résistance<br />
de l’objet, son irréductible présence, et la notre par la même occasion. Tout semble dès lors prêt à chavirer, sur le bord. La froideur du calcul,<br />
d’ingénieur pop, est d’ailleurs reprise dans une gamme chromatique précise, métallique, a-sentimentale. La récurrence d’éléments tels que la<br />
lumière ou le reflet ne réchauffe que peu le rapport distancé qu’il pose entre le spectateur et l’œuvre. Pourtant, il ne refuse pas l’esthétique,<br />
bien au contraire. Le fini impeccable, l’harmonie des compositions, la justesse des dégradés monochromes, l’équilibre de l’ensemble,<br />
permettent de relier les pièces entre elles par l’émotion première et visuelle.<br />
Une place singulière peut être accordée à ses affiches sérigraphiées. Si elles reprennent des jeux d’opposition habituels chez lui,<br />
communication standardisé vs. tirage limité, graphisme mécanique vs. écriture manuelle, élitisme de l’exposition vs. dimension populaire<br />
du poster (Art Chantry, Mark Arminski), elles annoncent une relecture historique (constructivisme, Art Nouveau) et colorée qui les diffère des<br />
œuvres tridimensionnelles.<br />
<strong>David</strong> Ancelin ne construit pas seulement. Il élabore, échafaude des histoires qui ajoutent une part de rêve à l’objectivation du réel amené par<br />
l’objet sculptural. Une sorte de contrepoids émotionnel. Il est étonnant de constater comment, dans un univers pourtant très codé, balisé (mer,<br />
terre, ville) et tiré du quotidien, les histoires créées permettent de se perdre dans des dédales de possibilités. Le parcours entre les œuvres<br />
invite à une déambulation où se mêlent trois niveaux de lecture et de pérégrination : la créativité quasi instinctive de l’artiste, l’entrée dans<br />
une sorte de mythologie populaire fantasmée et la redécouverte d’un imaginaire intime, voire intimiste. Qu’ils soient ironiques ou absurdes,<br />
froids et mélancoliques, décalés ou scénarisés, les vagabondages insidieux, constitutifs d’une approche romancée de la sculpture, forment la<br />
particularité de son travail. Romanesque, pas romantique. On n’est pas si loin de tableaux photographiques de Jeff Wall qui seraient passés<br />
à la 3D, entre fixité et mouvement, réalisme et construction de la réalité. Il n’est dès lors pas surprenant de retrouver des titres issus de la<br />
machine à rêve hollywoodienne (Titanic, Out of Africa), ou entrapercevoir, dans sa Music Box, autant du Valstar Barbie de Claude Lévêque<br />
(un autre « metteur en scène ») que de la Red Room de <strong>David</strong> Lynch. Une mise en scène qui frôle la théâtralisation sans jamais sombrer dans<br />
le décor. Dans ce cinéma qu’il annonce pourtant Free Entrance, rien ne semble donné ni gratuit. Les œuvres dialoguent entre-elles dans un<br />
méta langage inspiré de rapports intuitifs, les volumes s’incarnant en acteurs muets. Il faut dès lors se préparer à entrer en communication<br />
directement avec l’objet, l’artiste ayant mis en scène sa propre disparition, une paire de bottes et un pantalon retroussé abandonnés sur<br />
le comptoir, jouant l’absence par la présence, passager furtif. Un ajustement de tous les instants, d’une précision hitchcockienne, qui seul<br />
permet un dépassement par le réel de celui-ci, vers un au-delà. D’où un retour à la Métaphysique... d’Aristote.<br />
<strong>David</strong> Ancelin bâtit son œuvre sur la dualité. Il aime à traverser, revenir et faire basculer. Son pont retourné, rappelant les ponts Meccano<br />
type Tyne Bridge de Chris Burden, ou encore son tourniquet de cartes postales délivrant des clichés nocturnes peints comme des souvenirs,<br />
illustrent ce mode de fonctionnement. Seulement voilà, il ne fabrique pas des oppositions factices ou convenues (même si l’univers du catch<br />
ne serait peut-être pas inintéressant à analyser dans cette lecture). Il demeure singulier jusque dans ces couples de confrontations. Pas des<br />
opposés mais des mariés heureux. C’est ainsi que le lisse des surfaces se dispute à la violence sourde et contenue, que le silence appelle la<br />
musique, que la ville devient une nature dans laquelle il plonge ses racines (Asphalt Jungle), que la sculpture embr¬¬¬asse l’architecture,<br />
que le réel défie l’imaginaire et que le fini joue l’infini autant que le détachement. Il invente un néo-minimalisme vivant. Manipulant le<br />
design comme les clichés industrialisés, tout fuit comme ce train fou, sans fin, glisse, et fait tourner le réel. Une impression du quotidien,<br />
pas le quotidien lui-même, propice à l’apparition du fantastique. On pourrait même aller plus loin et dire qu’il structure un réel inacessible,<br />
réorganisant l’espace sur une base lacanienne du schéma RSI (réel-symbolique-imaginaire); à l’écoute du retournement, de l’inversion et du<br />
miroir. Mais on pourrait également envisager la piste de Lacan via l’influence surréaliste, une réalité absolue comme étant la fusion du rêve et<br />
du réel. Et se laisser déborder à notre tour, alors que tout paraît contenu, par l’émotion et la sensibilité. Tout simplement.<br />
Finalement, afin de mieux appréhender cet univers et pénétrer les arcanes de cette démarche singulière, il semble qu’il faille, sans<br />
appréhension, être prêt à « préférer ce qui est impossible mais vraisemblable à ce qui est possible mais incroyable ».<br />
Benjamin Bianciotto, 2009
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
By night, 2009<br />
Tourniquet, reproduction de peintures<br />
acryliques en cartes postales, 65 x 210 cm<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Œ<br />
Teardrop sea, 2009<br />
Seau, perruque, buste, masque et tuba de plongée, boucles d’oreilles, résine d’inclusion,<br />
35 x 70 cm<br />
Vues de l’exposition Free Entrance, galerie a., Nice 2010
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
One Way Ticket, 2010<br />
Série “By Night”, affiche de l’exposition, tirage offset sur papier,<br />
260 x 370 cm<br />
The Train, 2009<br />
Vidéo en boucle sur 7 écrans vidéo, bande son, 20 chaises<br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Par la manière dont il cite le cinéma de genre des années 50, <strong>David</strong> Ancelin place le lieu d’apparition des images à mi-chemin entre l’espace<br />
d’exposition et la Grindhouse (En américain, des salles de cinéma spécialisées dans les films d’exploitation).<br />
Ce déplacement induit une déstabilisation générale du visiteur : désorientation spatiale, du fait des réminiscences de l’image et de l’aspect<br />
labyrinthique du lieu, autant que temporelle, le film diffusé n’ayant ni début ni fin.<br />
Comme ce train qui passe sans jamais prendre de voyageurs, le film diffusé semble n’avoir cure du spectateur. Les chaises, absurdes<br />
strapontins, permettent au visiteur de devenir le témoin de sa propre déception.<br />
Communiqué de presse de l’exposition<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
No Duck 2008<br />
Transat en résine, feuilles d’aluminium, caneton naturalisé, 45 x 180 x 70 cm<br />
Eclair 2008<br />
Tubes fluorescents, cables en acier, programmateur, dimensions variables<br />
Vues d’ensemble de l’exposition No duck, RDF Galerie Nice, 2008<br />
NOM ŒUVRES<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
Fraîchement débarqué de l’Atlantique Nord 2008<br />
Sérigraphie sur verre, adhésif, 33 x 54,5 cm<br />
Vues d’ensemble de l’exposition No duck, RDF Galerie Nice, 2008<br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
Lost 2008<br />
Sérigraphie sur plaque d’aluminium, polish, 2 x 3 m<br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Ghost Ship 2008<br />
Sérigraphie sur plaque d’aluminium, polish, 1 x 2 m<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
Accross the Universe 2008<br />
Sérigraphie sur plaque d’aluminium, polish, 2 x 1 m<br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Swimming Pool 2008<br />
Sérigraphie sur plaque d’aluminium, polish, 3 x 2 m<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
Flipper 2006<br />
Aluminium, verre, ampoules et cable électrique, 50 x 150 x 170 cm<br />
Soft Parade 2008<br />
Sérigraphie sur 2 miroirs, 1 x 1 m chaque<br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Plateforme 2008<br />
Sérigraphie sur plaque d’acier inoxydable, 1 x 2 m<br />
NOM ŒUVRES<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Mr X 2008<br />
Sérigraphie sur verre, 39 x 54,5 cm<br />
Sans titre 2008<br />
Faïence, émail, inox, silicone, hauteur environ 90 cm<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Gone With The Wind 2004<br />
Ancre chromée, chaîne, plomb, zinc, acrylique, dimensions variables<br />
Vues de l’exposition Opening (ou les aventures de l’espace), Galerie Olivier Robert Paris, 2008<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
Hamamatsu’79 2004<br />
Moto, miroirs, 213,5 x 122 x 130 cm<br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
Hamamatsu’79 2004<br />
Moto, miroirs, 213,5 x 122 x 130 cm<br />
Vue d’ensemble et détails<br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
Sans titre 2008<br />
Photographie argentique, 50 x 70 cm<br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Vues de l’exposition <strong>David</strong> Ancelin, Karim Ghelloussi, Émilie Perotto, Sarah Tritz, Maison du livre, de l’image et du son François Mitterrand, Villeurbanne<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Flipper, 2008<br />
Métal peint, polycarbonate, guirlande électrique (100m), 300 x 600 x 500 cm (avec socle)<br />
Vue de l’exposition personnelle à la Monnaie de Paris<br />
Œ<br />
L’œuvre Flipper, 2008 présentée par <strong>David</strong> Ancelin à l’Hôtel de la Monnaie est une structure gigantesque de flipper,<br />
bancale, parcourue d’une guirlande lumineuse. Une carcasse haute de près de 5 mètres de haut, reprise de sa précédente<br />
pièce Flipper, 2006. L’agrandissement d’objets du quotidien est un phénomène récurrent de l’art contemporain actuel<br />
et agit, après celui de Claes Oldenburg, au mieux comme une vulgaire copie, au pire comme une tare. Seulement<br />
voilà, Ancelin n’agrandit pas notre quotidien. Il adapte son propre travail au lieu dans lequel il l’expose. Il se réinvente,<br />
s’interroge, se défie lui-même. Une démonstration d’intelligence artistique qui se pose comme un hommage à l’idée<br />
originelle du changement de taille, dans cette simple évocation de flipper. Ce rapport d’échelle implique une double<br />
modification : structurelle tout d’abord, puisque la pièce bascule dans le champ du squelette architectural avec<br />
l’utilisation de matériaux de construction issus du bâtiment. Humaine ensuite, de part son rapport au spectateur, devenu<br />
pour un temps inadapté, dépassé, inquiet ou émerveillé. Car il y a évidemment une relation au merveilleux qui parcourt<br />
ce flipper. Une sorte de fin de fête triste, une poésie nostalgique.<br />
Flipper, 2008 agit comme un signe, un révélateur de l’approche conceptuelle d’Ancelin. Elle invite le très respectable<br />
Hôtel de la Monnaie dans une danse étrange. Une relation s’installe dans l’espace entre l’œuvre et le lieu comme<br />
entre l’homme et la machine. Un balancement entre deux degrés de passé, deux forces, deux approches du monde<br />
contemporain, deux monumentalités. Cette fusion d’entités doubles se retrouve dans le traitement même de la pièce<br />
qui marie le minimalisme devenu joueur des Incomplete Open Cubes de Sol Lewitt à la mélancolie esthétique de Claude<br />
Lévêque. Plus structure que sculpture, l’œuvre suggère irrémédiablement un passé empreint d’insouciance, de jeunesse<br />
et de rock’n’roll. Un sentimentalisme qui transparaît surtout dans la guirlande d’ampoules issue des bals populaires,<br />
allusion aux anciens frontons de flippers, traversant la structure comme le déploiement du parcours de la balle d’acier.<br />
Une carcasse archivée, conservée ici, mais toujours vivante et lumineuse. Un passé instable, fragile, remémoré par une<br />
œuvre qui, malgré sa massivité, est titubante.<br />
Benjamin Bianciotto
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
Vue d’ensemble de l’exposition à l’espace Diderot, Nantes, 2006<br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Flipper 2006<br />
Aluminium, verre, ampoules électriques 60 m, 170 x 150 x 50 cm<br />
NOM ŒUVRES<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Lucky’ 13 2004<br />
Monoski, caisson lumineux, laque, 195 x 112 x 63 cm<br />
Fly Case 2006<br />
Bois, plexiglas, tubes fluorescents, aluminium, acrylique<br />
Trois modules de 120 x 120 x 15 cm chaque<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Titanic 2002<br />
Métal, verre, caoutchouc, cravate, brassière, acrylique, 71 x 41 x 15,5 cm<br />
White Russian 2006<br />
Tabouret, botte en cuir, linoléum, dimensions variables<br />
Vues de l’exposition à l’espace Diderot, Nantes, 2006<br />
Photographies François Hardel<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
Out Of Africa 2007<br />
Phoenix Canariensis, billes d’argile, terreau, sac à dos, dimensions variables<br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Un Château en Espagne 2007<br />
Assiettes en verre, égoutoir, 65 x 45 x 55 cm<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Goal 2007<br />
Raquette de tennis aluminium, fil de fer galvanisé, boule de pétanque, 69 x 40 x 28cm<br />
Exposition collective IRL galerie-appartement Interface Dijon, 2007<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Avis de grand frais 2007<br />
Motoculteur, tomettes, huile de lin, 60m2<br />
Vue de l’exposition M, nouvelles du monde renversé, Module 1, Palais de Tokyo Paris, 2007<br />
NOM ŒUVRES<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
Free Entrance, 2010<br />
Sérigraphie sur papier, 40 x 60 cm<br />
2010<br />
Sérigraphie sur papier, diptyque, 60 x 80 cm<br />
Commande de <strong>Documents</strong> d’artistes pour le journal 02<br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
No Duck 2008<br />
Sérigraphie sur papier, 40 x 60 cm<br />
Exposition No Duck, RDF galerie, Nice<br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Bubaque 2008<br />
Sérigraphie sur papier, 40 x 60 cm<br />
Exposition collective Bubaque, Lodge des Dauphins, archipel des<br />
Bijagos, Guinée Bissao<br />
Œ
Villeurbanne 2008<br />
Sérigraphie sur papier, 40 x 60 cm<br />
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Opening 2008<br />
Sérigraphie sur papier, 40 x 60 cm<br />
Œ
IRL 2007<br />
Sérigraphie sur papier, 40 x 60 cm<br />
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Espace Diderot 2006<br />
Sérigraphie sur papier, 40 x 60 cm<br />
Exposition personnelle Espace Diderot Nantes<br />
Œ
Le Dojo 2005<br />
Sérigraphie sur papier, 40 x 60 cm<br />
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
L’Icone 2005<br />
Sérigraphie sur papier, 40 x 60 cm<br />
Œ
PRÉNOM<br />
<strong>David</strong><br />
NOM ŒUVRES<br />
<strong>ANCELIN</strong><br />
Wagram 2004<br />
Sérigraphie sur papier, 40 x 60 cm<br />
Œ