Les Liaisons Dangereuses - Mont de Marsan
Les Liaisons Dangereuses - Mont de Marsan
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Le Théâtre du Petit Saint Martin et RMG Prod<br />
présentent au<br />
THEATRE DU PETIT SAINT MARTIN<br />
17, rue René Boulanger 75010 Paris<br />
(Métro : Strasbourg St Denis, Parking : Conservatoire <strong>de</strong>s Arts et Métiers)<br />
<strong>Les</strong> <strong>Les</strong> <strong>Liaisons</strong> <strong>Liaisons</strong> <strong>Dangereuses</strong><br />
<strong>Dangereuses</strong><br />
ou la fin d’un mon<strong>de</strong>...<br />
D’après le chef-d’œuvre <strong>de</strong> Pierre CHODERLOS <strong>de</strong> LACLOS<br />
Adaptation <strong>de</strong> Régis MARDON et Pascal-Emmanuel LUNEAU<br />
Direction artistique : Patrick COURTOIS<br />
Costumes : Camille LAMY et Marlène ROCHER<br />
Décors : Catherine PARMANTIER<br />
Avec :<br />
Marie DELAROCHE, Michel LALIBERTE,<br />
Eloïse AURIA, Céline DUHAMEL et Guylaine LALIBERTE<br />
Dates, jours et heure <strong>de</strong> représentations :<br />
A partir du 27 septembre 2011, du mardi au samedi à 21h00 et samedi à 16h00<br />
Durée du spectacle : 1h30<br />
CONTACTS :<br />
TOURNEE : Sabine Desternes + 33 6 11 91 38 57<br />
diffusion@courantsdartprod.fr<br />
sabine.<strong>de</strong>sternes@maproduction.fr<br />
PRODUCTION : RMG PROD<br />
Gilles <strong>de</strong> La Rochefordière + 33 6 09 44 97 18<br />
g.<strong>de</strong>larochefordiere@megsa.fr<br />
PRESSE: Denis Sublet + 33 6 87 02 69 41<br />
SUTI COMMUNICATION<br />
pmkl@aliceadsl.fr
AVANT-PROPOS<br />
<strong>Les</strong> <strong>Les</strong> <strong>Liaisons</strong> <strong>Liaisons</strong> <strong>Dangereuses</strong><br />
<strong>Dangereuses</strong><br />
<strong>Dangereuses</strong><br />
ou la fin d’un mon<strong>de</strong>...<br />
Roman publié en 1782, « <strong>Les</strong> <strong>Liaisons</strong> <strong>Dangereuses</strong> » narre le duel pervers <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux aristocrates du<br />
siècle <strong>de</strong>s Lumières, libertins et manipulateurs. Considérée comme un chef-d’œuvre <strong>de</strong> la littérature<br />
française, cette œuvre majeure du XVIII e siècle s’inscrit dans la tradition du libertinage <strong>de</strong> mœurs<br />
et du roman d'analyse psychologique portant à un <strong>de</strong>gré <strong>de</strong> perfection la forme épistolaire. Aucun<br />
élément n'est gratuit, chaque épistolier a son style et la polyphonie <strong>de</strong>s correspondances croisées<br />
continue aujourd’hui à fasciner les lecteurs...<br />
SYNOPSIS<br />
Cette adaptation du chef d’œuvre <strong>de</strong> Pierre CHODERLOS <strong>de</strong> LACLOS dévoile avec subtilité les<br />
secrets d’alcôve <strong>de</strong> la perfi<strong>de</strong> Marquise <strong>de</strong> MERTEUIL et <strong>de</strong> son acolyte, le cynique Vicomte <strong>de</strong><br />
VALMONT. Ces <strong>de</strong>ux aristocrates libertins, manipulateurs et pervers orchestrent avec délectation la<br />
perdition <strong>de</strong> leurs proies... et à travers leurs correspondances, se dévoilent progressivement.<br />
Quand la séduction <strong>de</strong>vient un art raffiné du jeu <strong>de</strong> la chasse ! Un tableau au vitriol <strong>de</strong> la<br />
déca<strong>de</strong>nce aristocratique à la veille <strong>de</strong> la Révolution française, interprété avec conviction par cinq<br />
comédiens inspirés dans une mise en scène intense et délicate...<br />
NOTE D’INTENTION<br />
<strong>Les</strong> liaisons dangereuses… La fin d'un mon<strong>de</strong>, la naissance d'un nouveau chapitre <strong>de</strong> l'histoire.<br />
Cho<strong>de</strong>rlos <strong>de</strong> Laclos écrit cette œuvre au seuil <strong>de</strong> la révolution française. Nous n'avons pas pu<br />
résister au plaisir <strong>de</strong> l'imaginer comme un visionnaire. Ainsi nous trouvons Madame <strong>de</strong> Rosemon<strong>de</strong><br />
à l'attente <strong>de</strong> l'heure <strong>de</strong> la guillotine. Elle écrit. Des lettres. Des lettres ô combien dangereuses, car<br />
elles relatent toute la passion, la cruauté, l'inconséquence d'une époque qui disparaîtra sans doute<br />
avec elle. Elle transmet, elle excuse, elle humanise ce qu'elle a vécu.<br />
Il est fascinant <strong>de</strong> constater toutes les merveilles qui se cachent à peine dans les lignes <strong>de</strong> ces<br />
lettres si précieuses. Laclos y abor<strong>de</strong> nombre <strong>de</strong> sujets capitaux, l'éducation, la religion, la<br />
condition <strong>de</strong> la femme, la lâcheté <strong>de</strong>s hommes, la brutalité aveugle <strong>de</strong>s révolutions ou <strong>de</strong>vrais-je<br />
dire <strong>de</strong> l'évolution <strong>de</strong> notre société. Et ce qui fascine le plus c'est l'incroyable actualité <strong>de</strong>s faits. La<br />
Révolution gron<strong>de</strong> encore, toujours. Notre insouciance nous conduira-t-elle encore une fois à notre<br />
perte ?<br />
C'est cette étrange rémanence <strong>de</strong> « l'humain » qui nous attire vers cette œuvre. Lisez, écoutez,<br />
voyez et dites moi quel personnage <strong>de</strong> cette histoire peut se ressentir comme parfaitement,<br />
profondément heureux. N'est-ce pas étonnant cette permanence <strong>de</strong> l'être humain à pouvoir être si<br />
proche du bonheur sans pour autant y accé<strong>de</strong>r.<br />
Tout est là. Comme toujours au théâtre, la clef est dans l'humain. Et c'est avec un plaisir non<br />
dissimulé que les comédiens et moi-même avons travaillé sur la faiblesse <strong>de</strong>s personnages et non<br />
sur leur apparente force. Qu'est-ce qui nous brise ? Qu'est-ce qui nous pousse à la cruauté ?<br />
La structure même <strong>de</strong> l'adaptation nous invite à l'intimité. Oui, c'est bien un voyage au fond d'elle<br />
même qu'entreprend Rosemon<strong>de</strong> la nuit <strong>de</strong> sa disparition programmée. Oui, c'est son auto<br />
séduction qu'espère Valmont à travers toutes ces femmes. Oui, c'est à la maîtrise <strong>de</strong> son <strong>de</strong>stin<br />
que travaille Merteuil en manipulant la vie <strong>de</strong>s autres. Oui, c'est au bonheur simple et profond que<br />
veut croire Tourvel. Oui, c'est à la découverte <strong>de</strong> la vie qu'aspire quant à elle Cécile <strong>de</strong> Volanges.<br />
Tant <strong>de</strong> buts, tant <strong>de</strong> <strong>de</strong>stins, tant <strong>de</strong> souffrance, tant <strong>de</strong> masques ne peuvent nous conduire qu'à<br />
une œuvre magistrale.<br />
Patrick COURTOIS
L’AUTEUR<br />
<strong>Les</strong> <strong>Les</strong> <strong>Les</strong> <strong>Liaisons</strong> <strong>Liaisons</strong> <strong>Dangereuses</strong><br />
<strong>Dangereuses</strong><br />
ou la fin d’un mon<strong>de</strong>...<br />
Pierre CHODERLOS <strong>de</strong> LACLOS<br />
Pierre-Ambroise CHODERLOS <strong>de</strong> LACLOS naît à Amiens en 1741, dans une famille <strong>de</strong> petite<br />
noblesse. Il entre à dix-huit ans comme élève à l'Ecole Royale d'Artillerie et à sa sortie, <strong>de</strong>ux ans<br />
après, il est envoyé à La Rochelle comme sous-lieutenant. Ses origines ne lui permettent pas <strong>de</strong><br />
prétendre d’emblée à <strong>de</strong> hauts rangs dans l’armée, réservés à la plus haute noblesse. Il parvient<br />
quand même jusqu’au gra<strong>de</strong> <strong>de</strong> capitaine et s’illustre en perfectionnant le matériel d'artillerie et en<br />
écrivant <strong>de</strong>s ouvrages <strong>de</strong> stratégie. Il est initié franc-maçon à Toul, vers 1763, dans une loge<br />
militaire, "L'Union", dont il <strong>de</strong>vint Vénérable par la suite, et côtoie <strong>de</strong> très près les loges féminines.<br />
Dès 1777, il s’essaye, sans succès, à divers genre littéraire (poèmes, opéra). Fin 1781, il se met en<br />
congé <strong>de</strong> l’armée pour écrire <strong>Les</strong> <strong>Liaisons</strong> <strong>Dangereuses</strong>. Son roman épistolaire lui permet <strong>de</strong> régler<br />
ses comptes avec une certaine noblesse, et met aussi en avant les relations complexes qu’il a avec<br />
les femmes, qu’il trouve fascinantes mais inaccessibles, bien que féministe convaincu (il rédigera en<br />
1785 un essai prônant l’égalité <strong>de</strong>s droits <strong>de</strong> l’homme et <strong>de</strong> la femme et appelant à une révolution<br />
dans les rapports entre les sexes). Dans ce chef d’œuvre, le mérite <strong>de</strong> LACLOS est aussi d'avoir<br />
porté un regard sans complaisance sur la société <strong>de</strong> son temps, dominée par l'oisiveté, par l'art du<br />
paraître et le culte du plaisir. En 1790, il s’inscrit au Club <strong>de</strong>s Jacobins et s’y implique jusqu’en<br />
1793, date à laquelle il est arrêté. Libéré un an plus tard, il entre dans l’administration, et est<br />
nommé général <strong>de</strong> briga<strong>de</strong> en 1800 par Bonaparte. Il meurt le 3 septembre 1803, à Tarente, lors<br />
d’une épidémie <strong>de</strong> dysenterie.<br />
DIRECTEUR ARTISTIQUE<br />
Patrick COURTOIS<br />
Après quatre années d’étu<strong>de</strong>s au Conservatoire National <strong>de</strong> Bruxelles, Patrick<br />
Courtois, joue « Crucifixion dans un boudoir turc » au Petit Odéon. Puis il<br />
fréquente la Comédie Française (« Monsieur Chasse » <strong>de</strong> Fey<strong>de</strong>au, « La<br />
Comédie <strong>de</strong>s musiciens » <strong>de</strong> Lully, « La Guerre <strong>de</strong> Troie n’aura pas<br />
lieu » <strong>de</strong> Giraudoux…), le Théâtre <strong>de</strong>s Célestins à Lyon… Il joue également<br />
dans « Dormez je le veux ! » , « Restons Courtois », « La Trilogie <strong>de</strong>s<br />
Coûfontaine » <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>l, « Le Grand Macabre » <strong>de</strong> Ghel<strong>de</strong>ro<strong>de</strong>, « Ne te<br />
promène donc pas toute nue » <strong>de</strong> Fey<strong>de</strong>au, et participe à « La flûte<br />
enchantée » <strong>de</strong> Mozart sous le chapiteau du Cirque Alexis Gruss. À la<br />
télévision, on l’a vu <strong>de</strong>rnièrement dans la série « Femmes <strong>de</strong> loi » sur TF1 et il a écrit et réalisé<br />
une série télévisée « Pat et Pat Paparazzis Anonymes ». Au cinéma on a pu le voir dans « La<br />
Rafle » <strong>de</strong> Roselyne Bosch et « Si tu sais le faire, tu peux le faire » <strong>de</strong> Christian Merret-<br />
Palmair. Il met en scène « Le plus heureux <strong>de</strong>s trois » <strong>de</strong> Labiche, « Courtes pièces » <strong>de</strong><br />
Courteline, « <strong>Les</strong> Zoulous » <strong>de</strong> J.-L. Sobota, « Titanik », « <strong>Les</strong> Marie-Marguerite »,<br />
« Phèdre à repasser » <strong>de</strong> Pierre Dac, « La Vengeance d’une femme » <strong>de</strong> Barbey d'Aurevilly,<br />
« Affreux sales et gentils »… Il intervient également comme coach d’acteurs.
LA DISTRIBUTION<br />
<strong>Les</strong> <strong>Les</strong> <strong>Liaisons</strong> <strong>Liaisons</strong> <strong>Dangereuses</strong><br />
<strong>Dangereuses</strong><br />
<strong>Dangereuses</strong><br />
ou la fin d’un mon<strong>de</strong>...<br />
Marie DELAROCHE (Marquise <strong>de</strong> MERTEUIL)<br />
Pianiste <strong>de</strong> formation, elle se découvre une passion pour le théâtre quand elle<br />
rencontre Danièle BOUVIER au Conservatoire <strong>de</strong> Fontenay-sous-Bois, dont elle<br />
suivra les cours pendant <strong>de</strong>ux ans. Ses rôles d’Artémise dans « Grasse<br />
Matinée » d’OBALDIA, <strong>de</strong> la Veuve <strong>de</strong> « L’École <strong>de</strong>s Veuves » <strong>de</strong><br />
COCTEAU lui donnent définitivement l’envie <strong>de</strong> poursuivre dans cette voie. Elle<br />
intègre alors les cours <strong>de</strong> Jean-Laurent Cochet qu’elle suit pendant quatre ans.<br />
Elle y travaille les grands noms du répertoire français, notamment les rôles <strong>de</strong><br />
Jacqueline dans « Le Chan<strong>de</strong>lier » <strong>de</strong> MUSSET, « La Parisienne » <strong>de</strong><br />
BECQUE, la Du Parc dans « L’Impromptu <strong>de</strong> Versailles » <strong>de</strong> MOLIERE. Elle<br />
complète sa formation avec Jack WALTZER à l’Actor’s Studio, à l’Atelier <strong>de</strong><br />
Belleville avec Yvan BACCIOCCHI (mime), et avec Marc ADJAJ, au Magasin. Elle interprète<br />
Joséphine <strong>de</strong> Beauharnais dans « Napoléon Unique » <strong>de</strong> Paul RAYNAL au Tambour Royal, puis<br />
toujours Joséphine, dans « Osée Joséphine » création <strong>de</strong> Jean-Yves DRETZOLIS, au Petit<br />
Hébertot. Dans « Un air <strong>de</strong> Famille » <strong>de</strong> BACRI et JAOUI, elle interprète Yolan<strong>de</strong>, au <strong>Mont</strong>martre<br />
Galabru, puis elle reprend le rôle <strong>de</strong> la Veuve <strong>de</strong> « L’Ecole <strong>de</strong>s Veuves » <strong>de</strong> COCTEAU à<br />
l’Essaïon.<br />
Michel LALIBERTE (Vicomte <strong>de</strong> VALMONT)<br />
Codirecteur du Théâtre Essaïon <strong>de</strong>puis 2006 et <strong>de</strong> l’Aktéon Théâtre <strong>de</strong> 1998<br />
à 2008, Michel a mis en scène plus d’une vingtaine <strong>de</strong> spectacles,<br />
dont « Cuisine et dépendances » <strong>de</strong> BACRI et JAOUI, « Jacques et son<br />
Maître », <strong>de</strong> KUNDERA, « Quartett » d’Heiner MÜLLER,<br />
« La Locandiera » <strong>de</strong> GOLDONI et ces <strong>de</strong>rnières années « Cosette » et<br />
« La Belle et la Bête ». En tant que comédien, Michel compte<br />
une quarantaine <strong>de</strong> pièces <strong>de</strong> théâtre <strong>de</strong>puis 1988, dont « Un Air <strong>de</strong><br />
famille », « Cuisine et dépendances » <strong>de</strong> BACRI et JAOUI, « <strong>Les</strong><br />
Précieuses ridicules » <strong>de</strong> MOLIERE, « Ladies Night ». Il a notamment<br />
travaillé avec Guy-Pierre COULEAU dans « Regar<strong>de</strong> les Fils <strong>de</strong> l'Ulster<br />
marchant vers la Somme » <strong>de</strong> Mc GUINNESS. Cette saison, il jouera dans « Le Coltane » <strong>de</strong><br />
Jérémie FARLEY, « Cavales » <strong>de</strong> Pierre VIGNES mis en scène par Sébastien RAJON. Au cinéma, il<br />
a joué dans « Se souvenir <strong>de</strong>s belles choses » <strong>de</strong> Zabou BREITMANN et « Le Grand rôle » <strong>de</strong><br />
Steve SUISSA. Cet automne il sera dans la série « Mes amis, mes amours, mes emmer<strong>de</strong>s »<br />
sur TF1.<br />
| (LP/A. Auboiroux.)
Eloïse AURIA (Cécile <strong>de</strong> VOLANGES)<br />
Eloïse se découvre une passion pour le théâtre à l’âge <strong>de</strong> huit ans. Après avoir<br />
participé à <strong>de</strong>s cours <strong>de</strong> théâtre au Conservatoire américain <strong>de</strong> Paris, elle suit<br />
sa formation professionnelle aux Cours Florent <strong>de</strong> 2000 à 2004. Elle y<br />
rencontre notamment Georges BECOT avec qui elle collabore sur <strong>de</strong> nombreux<br />
spectacles dont « Horizons Funèbres » (2002), « La belle au bois<br />
dormant » (2004) et « La faim du loup » (2010) dont elle signe la mise en<br />
scène. Elle s’intéresse également au jeu clownesque et suit plusieurs<br />
formations entre 2003 et 2010. Elle a joué <strong>de</strong>s textes classiques au Théâtre<br />
<strong>de</strong>s Cinq Diamants : « <strong>Les</strong> caprices <strong>de</strong> Marianne » <strong>de</strong> MUSSET, et « Celui<br />
qui écoutait le cœur <strong>de</strong> la forêt » <strong>de</strong> TCHEKHOV (2005, 2006). Puis elle a<br />
rejoint en 2006 les Compagnons <strong>de</strong> la Chimère, la troupe d’Arnaud DENIS, avec qui elle collabore<br />
sur <strong>Les</strong> « Fourberies <strong>de</strong> Scapin » (au Lucernaire et au Petit <strong>Mont</strong>parnasse) et actuellement dans<br />
« <strong>Les</strong> Femmes Savantes » où elle assure le rôle d’Henriette. Elle continue à travailler<br />
parallèlement aux Théâtres Aktéon puis Essaïon avec <strong>de</strong>s spectacles Jeune Public, comme « La<br />
Belle et la Bête » et « Cosette » mis en scène <strong>de</strong> Michel LALIBERTE.<br />
Céline DUHAMEL (Madame <strong>de</strong> ROSEMONDE)<br />
Depuis la comédie musicale « Le Roi Soleil » où elle interprétait les rôles<br />
d’Anne d’Autriche et <strong>de</strong> La Voisin, Céline DUHAMEL a participé à une dizaine<br />
<strong>de</strong> films dont « <strong>Les</strong> Emotifs Anonymes », « Opération 118 318<br />
Sévices Clients ». Plus récemment, on l’a vu dans le spot <strong>de</strong> la CFCV contre<br />
le viol conjugal. Au cours <strong>de</strong> sa carrière, on la découvre dans <strong>de</strong>s registres<br />
très différents : <strong>de</strong> Molière à Musset en passant par Guitry et Blaise<br />
Cendras... Si sa voix peut paraître familière, c’est parce que qu’elle double <strong>de</strong><br />
nombreux films et séries, notamment « Two Lovers », « Gossip Girl », etc.<br />
Créative, Céline DUHAMEL est aussi à l’initiative <strong>de</strong> plusieurs concepts<br />
événementiels comme « A la Table <strong>de</strong>s Mots », un duo gourmand et<br />
sensuel, « Fémina Liber » sur le combat <strong>de</strong>s femmes artistes à travers les siècles... Elle est<br />
aussi auteur et adaptatrice, « Le Testament <strong>de</strong> Rembrandt » qui sera prochainement à<br />
l’affiche...<br />
Guylaine LALIBERTE (Madame <strong>de</strong> TOURVELLE)<br />
Française d’adoption et <strong>de</strong> cœur, Guylaine a d’abord vécu au Canada.<br />
Comédienne <strong>de</strong>puis 1991, elle est également codirectrice du Théâtre Essaïon<br />
<strong>de</strong>puis 2006 et <strong>de</strong> l’Aktéon Théâtre <strong>de</strong> 1998 à 2008. Guylaine a joué dans une<br />
vingtaine <strong>de</strong> pièces dont, « Jacques et son maître » <strong>de</strong> KUNDERA, « Il<br />
faut qu’une porte soit ouverte ou fermée » <strong>de</strong> MUSSET, « La Babysitter<br />
» d’OBALDIA, « Une Histoire B…. » d’Emmanuel DUPUIS, « Un Air<br />
<strong>de</strong> famille » et « Cuisine et dépendances » <strong>de</strong> BACRI et JAOUI. A la<br />
télévision, elle a tourné notamment dans la série « La Juge est une<br />
femme ». Guylaine a aussi acquis une soli<strong>de</strong> réputation dans le milieu <strong>de</strong>s<br />
spectacles pour enfants avec la création d’une dizaine <strong>de</strong> spectacles et plus <strong>de</strong><br />
<strong>de</strong>ux mille représentations.
<strong>Les</strong> <strong>Les</strong> <strong>Les</strong> <strong>Liaisons</strong> <strong>Liaisons</strong> <strong>Dangereuses</strong><br />
<strong>Dangereuses</strong><br />
ou la fin d’un mon<strong>de</strong>...
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<strong>Dangereuses</strong><br />
<strong>Dangereuses</strong><br />
Presse...Extraits<br />
« Un chef d’œuvre mis en scène avec bonheur ! »<br />
« Une belle réussite ! »<br />
« Un vrai plaisir !<br />
« Un cynisme inspiré... »<br />
« Sulfureux et saisissant ! »<br />
« Une adaptation intelligente et maligne... »<br />
« Un très beau spectacle ! »<br />
« Cynisme et subtilité ; quel bonheur ! »<br />
« Sensuel et démoniaque... A savourer ! »<br />
« On se délecte ! » MFM : « Un régal <strong>de</strong> finesse et <strong>de</strong> perversité. »<br />
« On jubile ! »<br />
« Une représentation qui séduira les amateurs. »