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par <strong>le</strong>s hanches, il replonge avec délices son<br />
membre dans <strong>le</strong> derrière de Martin, prenant<br />
p<strong>le</strong>inement possession de sa chair tendre. Il s’y<br />
enfonce jusqu’aux couil<strong>le</strong>s faisant beug<strong>le</strong>r de<br />
volupté son jeune partenaire en extase.<br />
Pendant que nos compères sont fort affairés à se<br />
satisfaire mutuel<strong>le</strong>ment, <strong>le</strong> temps a filé, et c’est<br />
déjà <strong>le</strong> crépuscu<strong>le</strong>. Sylvain revient au camp avec<br />
<strong>le</strong>s provisions. Il range sa bicyc<strong>le</strong>tte dans la petite<br />
remise, et au moment de franchir <strong>le</strong> seuil du<br />
camp, il est intrigué par <strong>le</strong>s grognements et <strong>le</strong>s<br />
gémissements qui en proviennent. Il découvre<br />
alors son onc<strong>le</strong> et son copain, flambant nus, en<br />
train de s’envoyer joyeusement en l’air. Julien est<br />
étendu sur un des lits et caresse voluptueusement<br />
<strong>le</strong> torse de Martin qui, assis à califourchon<br />
sur <strong>le</strong> corps de l’homme, s’est empalé sur son<br />
pénis et se fait al<strong>le</strong>r l’arrière-train de haut en bas,<br />
visib<strong>le</strong>ment au comb<strong>le</strong> de la satisfaction. Sylvain,<br />
l’air ahuri et faussement scandalisé, reste figé sur<br />
<strong>le</strong> pas de la porte.<br />
L’ayant aperçu, Martin l’invite spontanément à se<br />
joindre à eux. L’ado<strong>le</strong>scent hésite un instant puis<br />
s’approche des deux compères. Julien l’attrape<br />
d’une main, l’attire près de lui et tirant sur son<br />
short, déculotte son neveu d’un seul coup. Il empoigne<br />
<strong>le</strong> sexe à demi bandé du garçon et <strong>le</strong> caresse<br />
doucement. Pendant ce temps, Martin a<br />
re<strong>le</strong>vé la camiso<strong>le</strong> de Sylvain et lui caresse la<br />
poitrine, suçant et mordillant <strong>le</strong>s bouts de seins.<br />
Très excité, Sylvain se joint à la partouze. Il se<br />
débarrasse rapidement de ses vêtements et enfourchant<br />
<strong>le</strong> torse de Julien devant Martin, il pose<br />
son joli derrière lisse sur la poitrine de son onc<strong>le</strong>,<br />
qui éprouve une profonde satisfaction à contemp<strong>le</strong>r<br />
enfin son beau neveu dans son alléchante nudité.<br />
Il lui caresse lascivement <strong>le</strong> ventre et <strong>le</strong>s<br />
cuisses, puis il <strong>le</strong> suce avec adresse, avalant complètement<br />
la queue dressée du jeune homme.<br />
Martin, toujours empalé et jouissant du cul<br />
comme un possédé, caresse Sylvain dans <strong>le</strong> dos,<br />
l’embrasse dans <strong>le</strong> cou, et palpe à p<strong>le</strong>ines mains <strong>le</strong><br />
torse musclé de l’ado<strong>le</strong>scent, insistant sur <strong>le</strong>s petites<br />
pointes dures de ses seins qu’il tripote avec<br />
insistance. Sylvain se laisse faire et goûte avec<br />
une volupté grandissante cette profusion d’attouchements<br />
sensuels.<br />
Au comb<strong>le</strong> de l’excitation, <strong>le</strong> trio de mâ<strong>le</strong>s en rut<br />
atteint l’extase sexuel<strong>le</strong> simultanément. La verge<br />
de Julien explose à longs jets dans <strong>le</strong> rectum de<br />
Martin qui éjacu<strong>le</strong> abondamment dans <strong>le</strong> dos de<br />
Sylvain drainé par la bouche de Julien assoiffé du<br />
sperme chaud de son neveu.<br />
Pendant que Martin va se vider <strong>le</strong>s boyaux dans la<br />
bécosse extérieure, <strong>le</strong>s deux autres rentrent au<br />
cha<strong>le</strong>t.<br />
À peine à l’intérieur, Julien prend son neveu dans<br />
ses bras, col<strong>le</strong> son corps contre lui et l’embrasse<br />
juteusement sur la bouche.<br />
Sylvain ne se fait pas prier pour répondre et s’abandonne<br />
complètement aux caresses pressantes<br />
de son aîné sur ses jolies fesses.<br />
— Mon p’tit salaud, tu m’avais caché ça que tu baisais<br />
avec <strong>le</strong>s hommes! Tu n’as pas honte? Et avec<br />
ton onc<strong>le</strong> en plus!<br />
— J’en avais envie depuis longtemps, mais je n’aurais<br />
pas osé.<br />
— Ça fait longtemps que tu baises?<br />
— C’est Martin qui m’a initié l’an dernier quand je<br />
suis allé chez lui en Provence. Je n’ai rien vu de<br />
mon voyage, on a passé notre temps à baiser et à<br />
fourrer dans la grange de son grand-père ou dans<br />
<strong>le</strong>s champs. Il fallait faire attention car il paraît<br />
qu’il y a des vipères dans <strong>le</strong>s herbes.<br />
— Si jeune et déjà corrompu! ricane Julien.<br />
En même temps, Julien agrandissait l’anus de son<br />
neveu avec son majeur.<br />
— Tu sais, Martin a tel<strong>le</strong>ment <strong>le</strong> feu au cul que<br />
lorsque je n’étais plus capab<strong>le</strong> de bander, je devais<br />
lui fourrer un manche de fourche dans <strong>le</strong> cul<br />
pour continuer de <strong>le</strong> faire jouir.<br />
— Quel cochon, ce Martin! Mais quel baiseur!<br />
Julien serre son neveu contre son corps et, dans<br />
son excitation, lui mord <strong>le</strong> cou, <strong>le</strong>s oreil<strong>le</strong>s, <strong>le</strong> nez,<br />
alouette...<br />
— Mmm, tu sens bon, tu goûtes bon, mon gars.<br />
Depuis que tu restes chez moi, j’ai envie de te<br />
baiser, d’al<strong>le</strong>r me glisser dans ton lit <strong>le</strong> soir et de<br />
te chauffer <strong>le</strong>s fesses. Avoir su que tu étais déjà<br />
débauché, je t’aurais baisé depuis longtemps.<br />
— Moi aussi j’avais envie de toi. Quand tu te promenais<br />
tout nu après ta douche, je te dévorais