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MON<br />
PREMIER AMANT<br />
FICTION ÉRECTION V PAR ÉTIENNE<br />
J'ai 25 ans et j'ai toujours été attiré<br />
par <strong>le</strong>s hommes noirs. Ma première<br />
aventure sexuel<strong>le</strong>, je l’ai eu non seu<strong>le</strong>ment<br />
avec un homme noir, mais un vrai<br />
étalon… J'avais à peine 17 ans, c'était<br />
avec Marc, <strong>le</strong> plus jeune des amis de<br />
mon père que je regardais toujours<br />
avec insistance. Pour mon plus grand<br />
bonheur, il m'avait invité en vacances<br />
chez lui dans <strong>le</strong>s Cantons de l’Est. On<br />
ne s’était pas vu depuis longtemps,<br />
j'avais grandi, j'étais devenu un grand<br />
gars blond assez athlétique.<br />
Je me souviendrais toujours que <strong>le</strong> <strong>le</strong>ndemain<br />
de mon arrivée, au bord de la<br />
piscine j’étais en train de bronzer alors<br />
que Marc est arrivé de sa randonnée à vélo<br />
matina<strong>le</strong>. Tout en me regardant, il a en<strong>le</strong>vé son<br />
bermuda et j’ai découvert de grosses couil<strong>le</strong>s et<br />
une queue pars mal longue bien que pas bandée,<br />
qui se termine par un gland pres de deux fois<br />
l’épaisseur de la tige. Ça semblait évident, il<br />
s'exhibait avec plaisir et me regardait avec un<br />
regard amusé, puis il a plongé dans la piscine et<br />
nagé sur <strong>le</strong> dos, comme pour me forcer à admirer<br />
sa queue veinée.<br />
Il me dit: «Viens! Plonge! Enlève aussi ton maillot!»<br />
Sur <strong>le</strong> coup, je n'ai pas osé, parce que je bandais,<br />
bien que ça ne se voyait pas trop dans mon<br />
bermuda amp<strong>le</strong>. J’ai plongé quand même, puis il<br />
est arrivé près de moi et m’a caressé la queue à<br />
travers <strong>le</strong>s bermudas et s’est esclamé, avec son<br />
accent français: «Mais tu bandes!» Je lui ai rétorqué<br />
: «C'est quand j'ai vu ta queue. Je rêve à<br />
ça depuis des années…»<br />
Il a plongé sous l'eau, baissé mon maillot et<br />
s’est mis à me sucer, pas mal mieux que <strong>le</strong>s<br />
quelques fil<strong>le</strong>s que j'avais connues. Après<br />
quelques minutes de léchage intense, il m’a retourné<br />
et j’ai senti sa grosse queue glisser dans<br />
ma raie du cul. Après quelques minutes de ce<br />
jeu, on est sorti de l’eau et il a mis un condom,<br />
puis a collé son gland à mon anus et l’a enfoncé<br />
doucement tout en me caressant <strong>le</strong>s épau<strong>le</strong>s, <strong>le</strong>s<br />
pectoraux et <strong>le</strong> bas du ventre. Son gland, complètement<br />
décalotté, tel<strong>le</strong>ment il était gorgé de<br />
sang, avait pris une dimension très importante —<br />
en diamètre, près du doub<strong>le</strong> de la tige avec une<br />
circonférence de près de 7 pouces. J’ai senti sa<br />
queue entrer en moi, millimètre par millimètre<br />
étirant à <strong>le</strong>ur maximum <strong>le</strong>s musc<strong>le</strong>s anaux de<br />
mon cul au passage du gland.<br />
Quand son gland fut bien entré, j’ai constaté à<br />
ma plus grande surprise que la dou<strong>le</strong>ur momentannée<br />
que j’avais éprouvée quand <strong>le</strong> gland de<br />
Marc avait ouvert <strong>le</strong> passage, avait cédée la<br />
place à un immense plaisir intérieur. Je me<br />
dé<strong>le</strong>ctais de chaque frottement de son gland sur<br />
<strong>le</strong>s parois intérieures de mon cul en tortillant<br />
tout mon corps,<br />
Il m’a ramoné ainsi pendant plus de 20 minutes,<br />
me déboîtant <strong>le</strong> cul tout en me branlant. Pendant<br />
de longues minutes, j’ai été pris de convulsions<br />
orgasmiques et j'ai éjaculé dans l'eau à<br />
plusieurs reprises avant qu'il ne jouisse à son<br />
tour, remplissant <strong>le</strong> condom de son sperme<br />
chaud.<br />
On est sorti de l'eau, on s'est séché puis on est<br />
allé dans sa chambre pour s’étendre l’un contre<br />
l’autre. Après un long moment, il s’est mis à me<br />
sucer à nouveau, en prenant ma queue entière<br />
dans sa bouche. Il arrivait, la bouche p<strong>le</strong>ine, à<br />
passer sa langue sur mes couil<strong>le</strong>s. C’était très<br />
bon. Il m’a alors demandé «J'aime bien ta<br />
queue. Enfi<strong>le</strong>s-moi, maintenant!», avant de se<br />
mettre à plat ventre. Je me suis placé au-dessus<br />
de lui et l’ai pénétré sans peine en enfonçant<br />
ma queue jusqu'aux couil<strong>le</strong>s d’un seul coup.<br />
Je l’ai pistonné, il aimait ça et se trémoussait<br />
tel<strong>le</strong>ment que j’ai jouis rapidement sans pouvoir<br />
me retenir. Il s’est retourné pour que je puisse<br />
l’embrasser. Sa queue encore bandée, dardait