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Histoire de babar

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©Nathalie Novi<br />

<strong>Histoire</strong> <strong>de</strong> Babar le petit éléphant<br />

Léo et Marie<br />

Dossier <strong>de</strong> présentation


L’histoire <strong>de</strong> Babar le petit éléphant<br />

Francis Poulenc (1899-1963)<br />

Né dans une famille aisée et favorable à la musique, le jeune Francis apprend le piano dès<br />

l’âge <strong>de</strong> qautre ans, avec sa mère. Ses dons apparaissent si évi<strong>de</strong>nts qu’on le confie très vite à<br />

un professeur. Il joue Mozart et Chopin mais déchiffre avec délice les accords<br />

impressionnistes <strong>de</strong> Debussy qui vont forger son style. Il s’est formé en <strong>de</strong>hor <strong>de</strong>s institutions<br />

officielles mais il eut <strong>de</strong>s professeurs <strong>de</strong> grand renom comme Riccardo Vines, fameux<br />

pianiste et spécialiste <strong>de</strong> la musique mo<strong>de</strong>rne (Debussy, Albéniz, Falla et Ravel).<br />

Un jeune compositeur français au temps <strong>de</strong> la Gran<strong>de</strong> Guerre : le groupe <strong>de</strong>s Six<br />

Nous sommes pendant la guerre <strong>de</strong> 14-18 et alors que les combats font rage sur le front, Paris<br />

cherche à s’étourdir et oublier. Poulenc qui a quinze ans, aime sortir et s’amuser. Il fréquente<br />

le Tout-Paris branché <strong>de</strong>s arts et <strong>de</strong>s lettres. C’et ainsi qu’il va entrer à 17 ans dans le cercle<br />

<strong>de</strong>s admirateurs d’Erik Satie formé autour <strong>de</strong> Jean Cocteau par les jeunes musiciens <strong>de</strong><br />

l’entre-<strong>de</strong>ux-guerres : Darius Milhaud, Georges Auric et Arthur Honneger.<br />

Il est le benjamin, un peu l’éternel enfant, <strong>de</strong> ce qui allait <strong>de</strong>venir le Groupe <strong>de</strong>s Six et<br />

défendre sous la houlette <strong>de</strong> l’inventif Cocteau, la nouvelle musique française : une musique<br />

volontairement joyeuse, claire et adaptée aux exigences d’un public multiforme, pas<br />

forcément spécialiste <strong>de</strong> la « gran<strong>de</strong> musique ». La musique du Groupe <strong>de</strong>s Six et tout<br />

particulièrement celle <strong>de</strong> Poulenc va prendre une apparence <strong>de</strong> simplicité, <strong>de</strong> légèreté<br />

charmante et un peu désabusée, avec un fond soli<strong>de</strong> dans la science <strong>de</strong> l’écriture musicale.<br />

Le choc <strong>de</strong> la Secon<strong>de</strong> Guerre<br />

Alors que Poulenc atteint la quarantaine, les ombres <strong>de</strong> la guerre et <strong>de</strong> l’occupation du<br />

territoire vont conférer à sa musique une plus gran<strong>de</strong> profon<strong>de</strong>ur. Elle conservera sa clarté qui<br />

pourrait être considérée par certains comme <strong>de</strong> la désinvolture. Malgré cette prise <strong>de</strong><br />

conscience, qui débouche sur un grand mysticisme et va renforcer la dimension métaphysique<br />

à sa musique, Poulenc n’en déci<strong>de</strong> pas moins <strong>de</strong> conserver toute sa vie son âme d’enfant et<br />

une musique élégante et désabusée.<br />

C’est en plein conflit, dans les <strong>de</strong>rnières heures <strong>de</strong> la guerre, au cours d’une permission qu’il<br />

écrit la musique <strong>de</strong> Babar. Il séjourne chez <strong>de</strong>s amis à Brive-la-Gaillar<strong>de</strong> lorsqu’il entreprend<br />

<strong>de</strong> composer à l’intention <strong>de</strong>s enfants <strong>de</strong> la maison, pour piano à quatre mains une partition<br />

accompagnant l’<strong>Histoire</strong> <strong>de</strong> Babar, <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Brunhoff, un livre illustré pour enfants paru en<br />

1931.


L’histoire <strong>de</strong> Babar est imaginée en juillet 1940 à Brive la Gaillar<strong>de</strong> pour amuser la petite<br />

fille <strong>de</strong> l’un <strong>de</strong> ses cousins. Poulenc écrit à cette époque : « j’ai esquissé une série <strong>de</strong><br />

commentaires musicaux d’après les aventures <strong>de</strong> Babar. Je pense les écrire avec l’espoir<br />

d’amuser les grands enfants également ! »<br />

Cinq ans plus tard, toujours aiguillonné par la même petite cousine qui lui <strong>de</strong>mandait : « Et<br />

Babar ? », Poulenc reprend donc ses esquisses du célèbre éléphanteau et annonce à son ami le<br />

compositeur Henri Sauguet : « … il s’agit <strong>de</strong> l’histoire du petit éléphant Babar mise en<br />

musique pour speaker et piano, genre Pierre et le loup <strong>de</strong> Prokoviev, mais avec un texte<br />

beaucoup plus drôle et imprévu. » Conscient <strong>de</strong> la particularité <strong>de</strong> l’<strong>Histoire</strong> <strong>de</strong> Babar, il écrit<br />

également à Darius Milhaud : « Je crois que c’est plus curieux que mon piano habituel ».<br />

En fait, si elle sait se montrer drôle et cocasse quand il le faut, la musique <strong>de</strong> Babar est<br />

profondément poétique et tendre. La fidélité du compositeur au texte <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Brunhoff est<br />

exemplaire. Non seulement il ne trahit ni sa simplicité ni sa limpidité, mais il les enrichit <strong>de</strong><br />

résonnances nouvelles. Malgré l’absence <strong>de</strong> développement <strong>de</strong>s interventions du piano, cette<br />

histoire contient peut-être la meilleure musique pour clavier <strong>de</strong> Poulenc. L’œuvre sera créée<br />

par Pierre Bernac et le compositeur à la radiodiffusion française le 14 juin 1946.<br />

A travers l’histoire <strong>de</strong> Babar, Francis Poulenc crée un mon<strong>de</strong> sonore fascinant, plein <strong>de</strong> clins<br />

d’œil amusés que perçoivent volontiers les « grands ». Mais c’est un mon<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’enfance et à<br />

tous les petits cousins <strong>de</strong> Brive que Francis Poulenc doit sa partition <strong>de</strong> Babar. Elle sera<br />

publiée en 1949 avec la dédicace suivante : « à mes petits cousins Sophie, Sylvie, Benoît,<br />

Florence, Yvan… et mes petits amis Marthe et André, en souvenir <strong>de</strong> Brive. »


Jean <strong>de</strong> Brunhoff, le créateur <strong>de</strong> Babar<br />

L’auteur <strong>de</strong> l’histoire est né la même année que Francis Poulenc, en 1889. Il est peintre. En<br />

1930, il <strong>de</strong>ssine le premier album <strong>de</strong> Babar pour ses <strong>de</strong>ux enfants. Son frère Michel et son<br />

beau-frère Lucien Vogel, enthousiasmés, le publient en 1931, aux Editions du Jardin <strong>de</strong>s<br />

Mo<strong>de</strong>s sous le titre L’histoire <strong>de</strong> Babar le petit éléphant. Le succès est immédiat et Jean <strong>de</strong><br />

Brunhoff continue les aventures <strong>de</strong> son personnage. Il meurt en 1937, les <strong>de</strong>ux <strong>de</strong>rniers<br />

albums seront publiés après. La collection sera reprise en 1945 par son fils, Laurent <strong>de</strong><br />

Brunhoff, né en 1925, peintre lui aussi, qui complètera les aventures <strong>de</strong> Babar et dirigera<br />

l’adaptation en <strong>de</strong>ssin animé.<br />

Biographie <strong>de</strong> la famille Brunhoff<br />

▪ Le père, Jean (1899-1937), le créateur <strong>de</strong> Babar. Le premier album, L’histoire <strong>de</strong><br />

Babar, le petit éléphant (1931), sera suivi <strong>de</strong> six autres <strong>de</strong> sa main.<br />

▪ La mère, Cécile (1904-2003). C’est elle qui a inventé le personnage <strong>de</strong> Babar, dont<br />

elle racontait l’histoire chaque soir à ses enfants. Elle était aussi pianiste.<br />

▪ Les fils<br />

Laurent (1925) : peintre. Il poursuit l’histoire <strong>de</strong>s pachy<strong>de</strong>rmes après la mort <strong>de</strong> son<br />

père. Il vit à New York.<br />

Mathieu (1926) : mé<strong>de</strong>cin<br />

Thierry (1934) : pianiste. Il a travaillé avec Alfred Cortot à l’Ecole Normale <strong>de</strong> Musique<br />

<strong>de</strong> Paris et a fait ses étu<strong>de</strong>s à la salle Gaveau en 1957. Il mènera une carrière <strong>de</strong> soliste<br />

jusqu’en 1974, date à laquelle il choisit d’entrer dans les ordres. Un coffret <strong>de</strong> 2 CD<br />

(Les rarissimes, EMI) contient certains <strong>de</strong>s enregistrements <strong>de</strong> Chopin, Schumann et<br />

Weber.<br />

L’histoire<br />

Dans la forêt, Babar est un éléphanteau heureux, bercé et éduqué par sa maman. Elle est tuée<br />

par <strong>de</strong> cruels chasseurs, le laissant seul et désemparé.<br />

A la ville, où il fuit la barbarie <strong>de</strong>s chasseurs, Babar arrive dans le mon<strong>de</strong> <strong>de</strong>s hommes. Il est<br />

accueilli avec bonté et générosité par Madame, qui, l’ayant en quelque sorte adopté, lui<br />

apprend les règles <strong>de</strong> la vie en société et surtout lui enseigne la courtoisie et la justice.<br />

Ses cousins, échappés <strong>de</strong> leur forêt rencontrent Babar. Il découvre alors sa véritable famille,<br />

rencontre l’amour et se fiançe à Céleste, la jolie petite éléphante.<br />

Mais n’échappant pas à ses origines, Babar retourne avec ses semblables, dans son élément :<br />

la jungle. Le bonheur <strong>de</strong>s retrouvailles n’est pas long : le Roi <strong>de</strong>s éléphants meurt. Sa parfaite<br />

éducation le fera choisir, par tous, comme le nouveau souverain.<br />

Babar, heureux, épouse Céleste et est couronné Roi <strong>de</strong>s éléphants.<br />

La partition musicale composée par Poulenc et finement orchestrée par Jean Françaix, illustre<br />

avec fraîcheur et dramatisme les divers épiso<strong>de</strong>s <strong>de</strong> l’histoire : la berceuse, les jeux sur la<br />

plage, la mort <strong>de</strong> la maman d Babar, la fuite et l’arrivée au pays <strong>de</strong>s hommes…


Léo et Marie<br />

Leigh Sauerwein, l’auteur<br />

Leigh Sauerwein est née en Caroline du Nord. Elle a eu une enfance européenne car son père<br />

était diplomate. Elle a surtout vécu en Allemagne, en Autriche et en France. Pendant son<br />

adolescence, elle a vécu en Asie, à Formose, et a commencé <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s supérieures à<br />

l’université américaine <strong>de</strong> Paris pour les terminer à l’université <strong>de</strong> Boston. Elle est ensuite<br />

revenue en France, où elle vit avec son mari et ses trois enfants. Passionnée par les indiens,<br />

elle a également publié plusieurs livres sur ce sujet. Son premier livre en anglais, The WAY<br />

Home (Farrar, Straus & Girou, 1994), publié aux Etats-Unis, et a eu un succès considérable.<br />

Elle écrit d’autres ouvrages sur les instruments <strong>de</strong> musique : Les rêves du petit cheval à la<br />

découverte du piano (2007), la guitare (2008), la clarinette (2008).<br />

L’histoire<br />

Enfin les vacances ! Comme tous les étés, Léo et Marie se retrouvent dans la maison rose près<br />

du la. Aussitôt arrivé, Léo se précipite dans la forêt toute proche, Marie lui emboîtant le pas.<br />

Léo très occupé à chercher son ami le merle ne se rend pas compte que Marie s’éloigne et<br />

finit par disparaître.<br />

Bientôt, tout le mon<strong>de</strong> est prévenu et part à la recherche <strong>de</strong> la fillette mais la nuit tombe et<br />

l’orage gron<strong>de</strong>… Avec l’ai<strong>de</strong> <strong>de</strong>s animaux, Léo finira par retrouver Marie. Une histoire <strong>de</strong><br />

Leigh Sauerwein et Paule du Bouchet qui permettent <strong>de</strong> découvrir les principales familles<br />

d’instruments qui composent un orchestre (cor<strong>de</strong>s, bois, vent, cuivres et les percussions).<br />

Si les instruments à cor<strong>de</strong> sont particulièrement présents, la famille <strong>de</strong>s percussions saura faire<br />

éclater un orage <strong>de</strong>s plus terribles, tandis que les vifs et doux appels <strong>de</strong> la flûte, symbolisant la<br />

voix du merle, vont nous gui<strong>de</strong>r avec Léo à travers bois et champs jusqu'à retrouver enfin<br />

Marie.


L’Orchestre National Bor<strong>de</strong>aux Aquitaine<br />

Avec et autour <strong>de</strong> la voix du conteur, pour illustrer musicalement l’aventure <strong>de</strong> Babar et celle<br />

<strong>de</strong> Léo et Marie, c’est un orchestre classique tout entier qui va se mettre à l’œuvre, avec les<br />

nombreux instruments que le composent.<br />

Les enfants pourront ainsi voir et entendre :<br />

Des violons, <strong>de</strong>s flûtes, hautbois, clarinettes, bassons, cors, trompettes, trombones, tuba,<br />

timbale, percussions, une harpe, un clavier.<br />

Les familles d’instruments :<br />

Dans un orchestre symphonique, les familles sont réparties en quatre groupes d’instruments :<br />

les cor<strong>de</strong>s (les violons, les altos, les violoncelles, et les contrebasses), les bois (hautbois,<br />

bassons, flûtes, clarinettes), les cuivres (les trompettes, cors, trombones) et les percussions<br />

(timbales, tambour, grosse caisse…).


Pistes <strong>de</strong> travail autour <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux concerts<br />

Autour <strong>de</strong> L’histoire <strong>de</strong> Babar<br />

◘ Petit quizz<br />

Comment se prénomme la femme <strong>de</strong> Babar ?<br />

A Céleste<br />

B Isabelle<br />

C Flore<br />

D Pom<br />

De quelle couleur est le costume que porte habituellement Babar ?<br />

A Noir<br />

B Rouge<br />

C vert<br />

D Blanc<br />

Comment s’appelle le petit éléphant cousin <strong>de</strong> Babar ?<br />

A Zéphir<br />

B Alexandre<br />

C Arthur<br />

D Pom<br />

Dans les livres, quel est le nom <strong>de</strong> la ville fondée par Babar ?<br />

A Babarville<br />

B Eléphantoville<br />

C Pachy<strong>de</strong>rville<br />

D Célesteville<br />

Quel conseiller <strong>de</strong> Babar est le plus vieux <strong>de</strong>s éléphants ?<br />

A Cyrius<br />

B Cornélius<br />

C Sévérius<br />

D Stradivarius<br />

Qiui a <strong>de</strong>ssiné le premier album <strong>de</strong>s aventures <strong>de</strong> Babar ?<br />

A Cécile <strong>de</strong> Brunhoff<br />

B Jean <strong>de</strong> Brunhoff<br />

C Franquin<br />

D Benjamin Rabier<br />

◘ Invention : imaginer et <strong>de</strong>ssiner avec les enfants une ville avec leurs propres lois,<br />

droits et <strong>de</strong>voirs, les habitations… à l’image <strong>de</strong> Célesteville<br />

◘ Voyage en Afrique : partir à la rencontre du pays <strong>de</strong> Babar et <strong>de</strong>s éléphants en<br />

général. Plusieurs activités sont possibles : lectures <strong>de</strong> contes avec <strong>de</strong>s éléphants<br />

(l’éléphant et moi <strong>de</strong> Mario Ramos, Pof l’éléphant d’Edouard Manceau)


Autour <strong>de</strong> Léo et Marie<br />

Le livre CD est édité chez Gallimard Jeunesse. Sur leur site, plusieurs propositions d’activités<br />

extrêmement riches sont faites. N’hésitez pas à aller consulter le site.<br />

En voici quelques exemples, qui supposent que vous ayez le CD ;<br />

◘ Suivez le merle<br />

Au début <strong>de</strong> l’histoire, Léo retrouve le merle qu’il avait sauvé l’an <strong>de</strong>rnier.<br />

Essayons <strong>de</strong> repérer dans la première plage du disque (le récit) les moments où on l’entend<br />

chanter, en se positionnant un peu avant ses interventions et en <strong>de</strong>mandant au enfants <strong>de</strong><br />

signaler le moment où il apparaît.<br />

◘ Les formes étranges <strong>de</strong> la forêt<br />

Ecoutons la première plage du disque, <strong>de</strong> 7’28 à 8’25 ;<br />

Que se passe-t-il ? (la forêt fait peur à Léo, il y voit <strong>de</strong>s formes étranges)<br />

Chercher dans les <strong>de</strong>ssins <strong>de</strong> l’album s’il n’y aurait pas quelques-unes <strong>de</strong> ces fameuses formes<br />

étranges et inquiétantes, au détour <strong>de</strong>s feuillages, ou peut-être même cachées dans les lignes<br />

d’un tronc d’arbre…<br />

En réécoutant ce passage pur s’en inspirer, <strong>de</strong>ssiner <strong>de</strong>s arbres qui auraient aussi <strong>de</strong>s formes<br />

étranges qui font peur…<br />

◘ Ce que nous racontent ici les différents instruments<br />

Dans le disque, le compositeur Philippe Hersant s’est servi <strong>de</strong>s différentes sonorités (timbres)<br />

<strong>de</strong>s instruments pour imager/colorer les différents moments <strong>de</strong> l’histoire. Au fait, on dit aussi<br />

une couleur pour décrire le timbre, le son d’un instrument <strong>de</strong> musique…<br />

▪ La chanson <strong>de</strong> Léo, à la fois douce et enjouée est interprétée par les cor<strong>de</strong>s (le thème relevé<br />

sur la portée étant jouée par les violons).<br />

▪ Les bonds du lapin qui disparaît son évoqués par la clarinette basse.<br />

▪ Le soleil qui se couche nous donne à entendre le chant d’un violoncelle<br />

▪ Quand arrive l’orage, le vent qui siffle et se déchaîne est porté par la mélodie<br />

tourbillonnante <strong>de</strong>s cor<strong>de</strong>s, à laquelle se mêlent les interventions <strong>de</strong> percussions (les éclairs et<br />

la foudre sont parfaitement représentés par les percussions).<br />

▪ Lorsque Léo a envie <strong>de</strong> pleurer, c’est le chant triste d’un cor anglais qui résonne.<br />

▪ Le son féérique <strong>de</strong> la chute d’eau est égrené par la harpe.<br />

▪ Le sommeil paisible <strong>de</strong> Marie est bercé par les douces sonorités du basson.

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