Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs Florim AJDA, Juro
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En conséquence, le soutien unanime de la Municipalité d’Yverdon à c<strong>et</strong>te résolution<br />
a pour but d’inviter – je dis bien d’inviter - le Conseil d’Etat vaudois à reconsidérer<br />
c<strong>et</strong>te situation, voire à renégocier avec la Confédération.<br />
Concernant les deux autres questions, je ne peux pas répondre avec précision sur le<br />
nombre de personnes concernées à Yverdon-les-Bains, mais je puis vous dire qu’il y<br />
en a.<br />
Pour répondre à la question : « Comment la Municipalité entend-elle protéger les<br />
personnes …. » je l’ai dit tout à l’heure : la Municipalité s’est positionnée dans le but<br />
de soutenir la résolution. Il apparaît donc qu’elle a manifesté là une position à<br />
caractère non politique ; je qualifierai c<strong>et</strong>te position de humaine. Pour le surplus, il<br />
s’agit d’aviser <strong>et</strong> je ne suis pas en mesure de répondre plus avant à c<strong>et</strong>te question<br />
maintenant.<br />
Madame Silvia GIORGIATTI SUTTERLET :<br />
Je remercie Monsieur le Syndic pour sa réponse qui me réjouit. Je suis très fière de<br />
vivre dans une ville qui ne veut pas se cacher les difficultés. Je me réjouis aussi de<br />
voir comment on prendra en main concrètement la cause des gens qui méritent<br />
qu’on défende leurs droits.<br />
<br />
Interpellation de Monsieur Roger RANDIN (Comité d’initiative « La parole aux<br />
Communes »).<br />
Le jeudi 26 août dernier, la Presse Nord Vaudois nous apprenait que le Syndic<br />
d’Yverdon-les-Bains était l’un des douze membres du comité d’initiative « La parole<br />
aux Communes », initiative qui est soutenue par la Ligue vaudoise.<br />
C<strong>et</strong>te initiative propose d’introduire dans la nouvelle Constitution un droit de<br />
référendum des communes. Si ce nouveau droit venait à être accepté, il perm<strong>et</strong>trait à<br />
39 communes vaudoises de lancer un référendum contre n’importe quelle loi ou<br />
décr<strong>et</strong> votés par le Grand Conseil <strong>et</strong> que, de ce fait, ceux-ci soient soumis au vote<br />
populaire. On ne peut pas nier qu’une telle initiative, si elle aboutit, peut avoir des<br />
eff<strong>et</strong>s pervers sur nos finances communales.<br />
Je citerai un exemple :<br />
• Dans le cadre du processus EtaCom, notre Commune vient de bénéficier, ces<br />
deux dernières années, d’un montant de plus de 12 millions provenant du<br />
fonds de péréquation. Le débat au Grand Conseil n’a de loin pas été facile,<br />
plusieurs communes ayant même quitté l’Union des communes vaudoises.