fait partie du bilan de la journÃ©e annuelle de - CREVALE

Journée de réflexion 

Plusieurs voix sur la voie de la persévérance 

4 mai 2011 

Rapport de synthèse

PRÉSENTATION GÉNÉRALE 

Il y a 10 ans déjà se tenait le premier colloque régional multisectoriel, intitulé « Ensemble faisons des PAS pour la Prévention de l’Abandon Scolaire ». 

Depuis, bien des efforts ont été consentis pour améliorer le taux de diplomation chez les jeunes de la région. Il y a eu, à certains égards, des remontées 

notables, mais il n’en demeure pas moins que beaucoup reste à faire. 

Après 10 ans de mobilisation et de concertation, il apparaissait opportun pour le CREVALE de prendre un moment pour faire le point, partager une même 

lecture de la situation tout en respectant les particularités de chacune des MRC pour définir les besoins et les priorités en matière de persévérance scolaire 

et de réussite éducative. La cinquième journée de réflexion du CREVALE, tenue le 4 mai dernier à Joliette, a donc été organisée dans cette perspective. Il 

est à souligner que le CREVALE avait prévu dans son plan de développement 2008-2013 de réfléchir, avec les milieux, au besoin de faire converger 

davantage efforts et interventions afin de les rendre plus efficaces. Enfin, soulignons également que l’arrivée de Réunir Réussir dans la région exigeait aussi 

la tenue d’un exercice collectif de priorisation afin de mieux connaître les besoins des MRC et de la région pour ainsi mieux aiguiller le financement qui sera 

éventuellement disponible. Intitulée Plusieurs voix sur la voie de la persévérance, la Journée fut une réussite avec tout près de 150 participants, provenant 

des six MRC de la région et de divers secteurs d’activité. 

Depuis ses origines, le CREVALE travaille avec ses partenaires au développement des liens école-famille-communauté. Les journées de réflexion du 

CREVALE ont souvent alimenté ce thème, dont l’importance a été maintes fois soulignée dans la littérature, notamment dans l’analyse de l’abandon 

scolaire de la région produite en 2006. La journée de réflexion du 4 mai a fait écho à un consensus partagé : il faut maintenant faire un pas de plus, un pas 

permettant de mieux structurer nos efforts collectifs dans la prévention de l’abandon scolaire. 

Le travail qui a été proposé au cours de la Journée fut celui d’amorcer un travail de réflexion permettant de dégager des priorités pour la région et pour 

chacune des MRC en s’appuyant sur un modèle de réflexion et de planification qui a fait ses preuves au Québec, le modèle Famille-écolecommunauté/Réussir 

ensemble (FECRE). Ce modèle ouvert et inclusif permet de mettre en action tous les acteurs afin « qu’ils tapent ensemble sur les 

même clous ». L’une de ses caractéristiques est d’impliquer concrètement cinq systèmes dans la persévérance scolaire et la réussite éducative, à savoir le 

jeune, la famille, la classe, l’école et la communauté, en les faisant travailler sur des facteurs de protection. C’est un modèle qui nourrit la cohérence et la 

complémentarité et implique chacun des systèmes vers la poursuite d’un objectif commun : favoriser la persévérance et la réussite scolaires. 

Objectifs et programme de la Journée 

La Journée poursuivait les objectifs suivants : 

1. Se familiariser avec le modèle FECRE, plus spécifiquement sur son aspect écosystémique et sa démarche. 

2. Identifier des constats en matière de persévérance scolaire propres à chaque MRC et à la région. 

Identifier des priorités d’action sous forme de facteurs de protection.Le programme de la Journée était le suivant : 

1

- Retour sur 10 ans de mobilisation 

- Présentation vidéo d’un vox pop effectué auprès de jeunes, d’enseignants, de parents et d’employeurs pour savoir ce qu’ils considèrent essentiel à la 

persévérance et à la réussite scolaires 

- Conférence par François Blain sur le modèle FECRE 

- Atelier de constats sur la MRC, ou la région, et de priorisation de facteurs de protection 

- Brève plénière 

- Conférence de clôture par Richard Desjardins 

CONTENU DE LA JOURNÉE DE RÉFLEXION/FAITS SAILLANTS 

La conférence de monsieur François Blain a porté sur les grandes lignes du programme FECRE, à savoir ses principales constituantes et son évaluation. On 

peut prendre connaissance du contenu de la présentation au crevale.org (section Concertation/Régionale). 

S’il fallait retenir un seul élément du modèle FECRE, ce serait sans doute celui de l’écosystémie, c'est-à-dire l’interrelation des cinq systèmes suivants dans 

la responsabilité de la persévérance et de la réussite scolaires : jeune, famille, classe, école, communauté. C’est à partir de ce modèle écosystémique que 

furent par la suite tenus les ateliers, un « régional » et six « MRC ». 

Au cours des ateliers, le travail fut organisé en quatre étapes d’identification : 

1. Constats issus de l’analyse des données disponibles au sein des organismes de la communauté et de l’expérience « terrain » des participants; 

2. Constats sur l’offre de services du territoire avec ses forces et limites; 

3. Constats prioritaires retenus (problèmes) pour chacun des cinq systèmes; 

4. Facteurs de protection choisis (qui viennent répondre au problème retenu au point 3). 

L’étape 1 avait pour objectif de dresser un portrait réel de la MRC sans pour autant viser l’exhaustivité. Il fallait s’assurer d’avoir des constats pour chacun 

des systèmes (jeune, famille, classe, école, communauté). Un certain nombre de données statistiques étaient présentées aux participants dans leur grille 

de travail. L’étape 2 servait à préciser les qualités et les faiblesses de l’offre de services des organismes en matière de persévérance scolaire. Celles-ci 

pouvaient être décrites, entre autres, en fonction d’un groupe de personnes non jointes (ex. : parents du secondaire), d’un groupe d’âge (ex. : enfants de 

10 à 12 ans) ou d’un type d’activité (ex. : peu d’activités culturelles pour les enfants, peu d’activités de formation pour les intervenants). Comme 

précédemment, l’intérêt de cette étape était de dresser un portrait réel de la MRC sans pour autant viser l’exhaustivité. Ensuite, à l’étape 3, les participants 

devaient identifier ce qui, des étapes précédentes, leur semblait avoir plus d’impact sur leur territoire. Autrement dit, ils devaient se poser la question 

suivante : « Pour chacun des systèmes, quel est le constat sur lequel il faudrait davantage se pencher pour tenter de trouver des solutions ». Enfin, 

l’étape 4 demandait aux participants de choisir, à partir du tableau des facteurs de protection, un facteur par système pouvant réduire les problèmes 

identifiés dans les constats prioritaires. 

2

Il est à noter également qu’à la fin de l’atelier, les participants furent invités à se prononcer sur la question suivante : Quelles suites voyez-vous à l’exercice 

d’aujourd’hui 

Les pages suivantes présentent, pour chacune des MRC et pour la région, le nom des participants aux ateliers, les données qui ont servi de point de départ 

à la réflexion (pour l’étape 1), les résultats des ateliers (étapes 1, 2, 3 et 4), et les réponses à la question Quelles suites voyez-vous à l’exercice 

d’aujourd’hui Les résultats présentés sont préliminaires dans la mesure où il s’agissait d’un premier exercice d’appropriation et de réflexion. Les MRC et 

la région pourraient décider de poursuivre l’exercice et, par conséquent, de bonifier leurs résultats. 

Note importante au lecteur 

Les résultats présentés ici sont un compte rendu intégral des ateliers. Aucune précision sur le sens/propos n’a été apportée par le CREVALE dans la 

reproduction des résultats (particulièrement pour les étapes 1 et 2). 

3

Atelier MRC D’AUTRAY 

Animateur et secrétaire d’atelier 

Animateur : Luc Winter CSSSNL / CLSC St-Gabriel (Centre de Services sociaux et de santé du Nord de Lanaudière) 

Secrétaire : Caroline Camiré CREVALE 

Participants à l’atelier 

François Boisvert 

Marie-Christine Buisson 

Hélène Chalifoux 

Yves Côté 

Julie Cromer 

Guylaine Émery 

Daniel Frappier 

Linda Gougeon 

Marjorie Legrand 

Pierre Pagé 

Nathalie Panneton 

France Perron 

Pierre Poulin 

Robert Proulx 

Solange Tougas 

Lydia Tremblay 

Commission scolaire des Samares 

École secondaire l'Érablière 

Carrefour jeunesse emploi de D'Autray-Joliette 

Table des partenaires du développement social de Lanaudière 

Bureau de Julie Cromer, orthopédagogue 

Déclic 

École secondaire Pierre-de-Lestage 

Services Canada 

Relais jeunesse de Lavaltrie 

Institut de coopération pour l'éducation des adultes 

SADC de D'Autray-Joliette 

École secondaire de la Rive 

CSSSNL 


Déclic 

Place Jeunesse Berthier 

4

MRC D’AUTRAY (résultats étapes 1 et 2 de l’atelier) 

Systèmes 

Données quantitatives et qualitatives disponibles, 

connaissances et expériences « terrain » des participants 

Offre de services sur le territoire (forces et limites) 

Enfant, élève, jeune 

adulte 

Famille 

Classe 

• MRC, taux décrochage, sexes réunis : 33,3 % (n=407) (Lanaudière : 

27,3 %) 

• MRC, taux diplomation, sexes réunis : 61,8 % (n=947) (Lanaudière : 

67 %) 

• CS des Samares, proportion des épreuves ministérielles réussies en 

français : 90,8 % (des Affluents : 94,8 %) 

• Données par pôle intéressant dans le cadre d’une MRC comme 

D’Autray avec ses trois pôles distinctifs. 

• Au niveau des Samares, augmentation de la diplomation (région). 

Jusqu’en 2008, baisse (garçons conservent un plus faible tôt). 

• Réalité du travail chez les jeunes de plus en plus présente. La 

moitié travaille plus de 15 heures/semaine (7 % à 10 % qui font 

entre 25 et 30 heures). 

• Sentiment d’appartenance noté (Berthier/Brandon – Lavaltrie) 

• CS des Samares, pourcentage de familles où aucun des deux 

parents n’est diplômé : 10,6 % (Affluents : 7,8 %) 

• MRC : pourcentage de personnes ayant un faible revenu après 

impôt : 8,9 % (Lanaudière : 8,2 %) 

• MRC : pourcentage de familles monoparentales : 26,9 % 

(Lanaudière : 24,9 %) 

• Détérioration de l’indice de défavorisation matérielle ou sociale 

dans la MRC de D’Autray observée dans 41 % des familles 

• Naissance avec handicap, problèmes de santé, hospitalisation en 

hausse, plus de facteurs (taux plus élevé) qui « freinent » l’arrivée 

à l’école 

• Hausse du nombre de naissances depuis les cinq dernières années 

• Plus de problèmes sévères par classe 

• Enseignants et enseignantes plus sensibles à l’individu vs la classe 

Forces : 

• Les maisons des jeunes travaillent en saines habitudes de vie 

• Deux groupes en alpha dans la communauté (modèle) 

• Activités d’éveil à la lecture et à l’écriture 

Forces : 

• Parent d’abord (« petits succès ») travaille avec le communautaire, 

l’école et les parents 

• Valorisation du rôle de père 

• Service en orthophonie pour la petite enfance, pour les familles 

défavorisées en priorité 

Forces : 

• Plus de services spécialisés 

École 

• IMSE 5, 6, 7 = 2 écoles primaires (sur 13) + 0 école secondaire (sur 

3) 

Limites : 

• Formation professionnelle pratiquement inexistante 

5

• IMSE 8, 9, 10 = 9 écoles primaires (sur 13) + 3 écoles secondaires 

(sur 3) 

• Dans D’Autray tous les pourcentages sont en deçà de la moyenne 

lanaudoise. 

• Présence de la SIAA (stratégie d’intervention Agir autrement) 

• Éducation aux adultes : fort taux d’absentéisme et plus marqué que 

celui concernant l’ensemble du territoire 

• Augmentation du taux d’absentéisme aux niveaux secondaires 4 et 

5 

Communauté • Taux de chômage MRC : 7,2 % (Lanaudière : 5,6 %) 

• Détérioration de l’indice de défavorisation matérielle ou sociale 

dans la MRC de D’Autray observée dans 41 % des familles 

• Développement économique le plus faible de la région 

• Réalité du travail chez les jeunes de plus en plus présente 

• 50 % d’entreprises plus sollicitées 

• Phénomène d’isolement, éloignement des services, réseaux 

déficients, linguistique 

• Hausse démographique plus faible malgré Lanaudière, qui est 

parmi les régions qui connaîtront une hausse 

• Employeurs sensibles mais non pratiquants en matière de 

conciliation travail-études 

• La MRC compte une population relativement âgée, exception faite 

de la ville de Lavaltrie, où de plus en plus de jeunes familles 

s’installent. 

• Service en orthophonie pour les familles défavorisées en priorité 

mais pas de lien avec les écoles en ce moment 

Forces : 

• Les petits déjeuners offerts aux jeunes 

• Écoles près de la communauté (ex. : St-Didace réussit très bien) 

• Intervention différentielle 

Forces : 

• Partenariat important dans la communauté (Lavaltrie) 

• Intervenants sur le terrain travaillent de concert (réintégration des 

jeunes) 

• Réseau de bibliothèques 

• Présence des pôles dans les comités 

Limites : 

• Transport collectif « pauvre » 

• Services régionaux plutôt que locaux (probation, violence, service 

orthophonique, etc.) 

• Pression plus forte sur les organismes en raison de l’augmentation 

de la défavorisation 

6

MRC D’AUTRAY (résultats étapes 3 et 4 de l’atelier) 

Systèmes Constats prioritaires retenus Facteurs de protection choisis 



Famille 

• Défavorisation sociale et matérielle 

• Faible taux de diplomation 

• Faible scolarisation des parents 

• Revenu familial faible 

• Perception de sa compétence 

• Saines habitudes de vie 

• Revenu et scolarité 

Classe • Hétérogénéité des groupes • Pédagogie de la coopération (importance de la relation maître-élève) 

École 

Communauté 

• Haut taux d’absentéisme (gr. adultes + 4 e , 5 e sec.) 

• Équipe-école plus sensibilisée au contexte dans lequel elle 

évolue (beaucoup d’écoles à l’IMSE élevé) 

• Contexte social (chômage, isolement et pauvreté élevés) 

• Réalité du travail chez les jeunes (importance de la 

conciliation travail-études) 

• Services non académiques 

• Direction et leadership 

• Mobilisation face à l’école 

• Conciliation travail-études 

Quelles suites voyez-vous à l’exercice d’aujourd’hui 

• Démarche intéressante, ayant permis de conscientiser les différents intervenants, mais devra être davantage vulgarisée sur le plan des 

concepts. Une question demeure : comment travailler ensemble Modèle difficile mais pouvant permettre de centraliser les efforts. 

7

Atelier MRC JOLIETTE 

Animateur et secrétaire 

Animateur : Bernard Malo CSSSSNL (CLSC Joliette) 

Secrétaire : Ann-Marie Picard CREVALE 

Participants 

Violaine Bélanger 

Claire Bélanger 

Christine Cormier 

Josée Emery 

Annie Gagnon 

Jérôme Gauthier 

Roch La Salle 

Nicole Nepveu 

Isabelle Ouimet 

Louise Patry 

Marie-Josée Perreault 

Julie Riopel 

Carole Vezeau 

Avenir d'Enfants 

Centre Santé et Services Sociaux du Nord de Lanaudière 

Service Canada 

CS Formation professionnelle 

Troupe Arlequin 

Office des personnes handicapées du Québec 


Carrefour jeunesse emploi de D'Autray-Joliette 

CS Formation professionnelle 

Centre multiservice des Samares 

École secondaire Barthélemy- Joliette 


Cégep régional de Lanaudière à Joliette 

8

MRC JOLIETTE (résultats étapes 1 et 2 de l’atelier) 

Systèmes 






Famille 


• MRC : taux décrochage, sexes réunis : 29,6 % (n=565) 


• MRC : taux diplomation, sexes réunis : 66,9 % (n=1392) 

(Lanaudière : 67 %) 

• CS des Samares, proportion des épreuves ministérielles 

réussies en français : 90,8 % (des Affluents : 94,8 %) 

• Vulnérabilité 

• Cumul de facteurs de risque 

• Sentiment de victime, résistance à recevoir des 

commentaires, perte de connaissance de soi 

• Influence des pairs 

• CS des Samares : pourcentage de familles où aucun des 

deux parents n’est diplômé : 10,6 % (Affluents : 7,8 %) 

• MRC : pourcentage de personnes ayant un faible revenu 

après impôt : 10,8 % (Lanaudière : 8,2 %) 



• Secteurs diversifiés (inégalités) : clivage 

• Méconnaissance des services/désillusion face aux services 

• Familles éclatées, difficultés familiales 

• Absence de perspectives (ici et maintenant), difficulté à se 

projeter dans l’avenir (vision à court terme seulement). 

• Manque de compétences parentales pour soutenir les 

jeunes en difficulté 

• Milieu clos 

• Rigidité, profilage 

• Lourdeur accentuée pour l’enseignant 

• Anxiété chez les enseignants, perte du sentiment de 

compétence 

Limites : 

• Mobilisation des parents de jeunes en détresse 

• Choc des valeurs entre intervenants et jeunes en difficulté 

• Services en santé mentale (secteur adulte) 

Forces : 

• Intervenants qui créent un lien signifiant avec les jeunes 

Forces : 

• Guichet liaison-jeunesse (accessibilité aux services) : meilleure 

organisation 

• Beaucoup de services s’adressant à la famille 

Limites : 

• Difficultés de communication 

• Rétablir les ponts avec les parents 

9

École 

• IMSE 5, 6, 7 = 2 écoles primaires (sur 13) + 1 école 

secondaire (sur 3) 

• IMSE 8, 9, 10 = 9 écoles primaires (sur 13) + 2 écoles 

secondaires (sur 3) 

• Écoles avec population hétérogène 

• Difficulté à composer avec les parents difficiles (choc 

culturel) 

• Ouverture et accueil : variable selon l’école (l’individu fait 

la différence) 

• Volonté d’adaptation 

• Résilience devant un système toujours en changement 

• Difficulté à demeurer cohérent avec toutes les demandes 

et les changements 


• Multiculturalisme 

• Donne de plus en plus de sens à la persévérance scolaire; 

consciente que tous y gagnent 

• De plus en plus ouverte dans la collaboration avec l’école 

• Défi sur le plan de la communauté « Employeur » 

• Meilleure cohésion entre les intervenants 

• Désir d’implication, augmentation du niveau d’exigence 

• Perception négative d’une partie de la population quant à 

la responsabilité unique de l’école dans la persévérance 

scolaire 

Forces : 

• Meilleure cohésion 

• Meilleures sensibilisation et conscientisation quant à l’importance de 

la qualification 

• Beaucoup d’efforts faits pour la concertation 

Limites : 

• Concertation des actions : il existe encore un écart entre l’approche 

et l’action. 

10

MRC JOLIETTE (résultats étape 3 et 4 de l’atelier) 




• Choc des valeurs (choc culturel entre jeunes et 

intervenants qui ne sont pas du même milieu) 


Famille • Difficulté à communiquer avec les parents • Implication des parents à l’école 


École 

Communauté 

• Poursuivre le travail afin d’améliorer la cohérence des 

actions (la concertation) 



• Faire connaître les résultats de la Journée et les ramener au comité PAS 

• Travailler par école et non par MRC pour obtenir une meilleure concertation des actions 

• Besoin de chargés de projets pour appliquer la démarche 

• Besoin de clarifier le mandat de chacun des intervenants impliqués 

11

Atelier MRC MATAWINIE 

Animatrice et secrétaire 

Animatrice: Christine Paquet CSSSNL (CLSC St-Jean-de-Matha) 

Secrétaire : Julie Blanchette CREVALE 

Participants 

Valentina Acosta 

Marie-Josée Bastien 

Annie Bastien 

Hubert Beaulieu 

Jean François Coutu 

Martine Desgranges 

Béatrice Goumard 

Lynne Harpin 

Lina Laforest 

Carole Longpré 

Louise Mathieu Mills 

Mélanie Riverin 

Bernard Werner 

Centre local de développement Matawinie 

CPE La Chenille 

Bureau coordonnateur La Chenille 

Direction des écoles St-Louis et Ste-Anne 

École secondaire Des Montagnes 

Carrefour jeunesse-emploi Matawinie 

PANDA Lanaudière nord 

Bureau de Nicolas Marceau 

Bibliothèque Dr Jacques Olivier 

ABC du Respaix 

La maison du pain d’épice 

Gît'Enfants 

Gît'Enfants 

12

MRC MATAWINIE (résultats étapes 1 et 2 de l’atelier) 

Systèmes 







(Manawan : 95,7 % / Lanaudière : 27,3 %) 


(Manawan : 7,3% / Lanaudière : 67 %) 

• CS des Samares : proportion des épreuves ministérielles 


• 10 % des enfants atteints par le TDAH (trouble de déficit 

de l’attention avec ou sans hyperactivité) ont des besoins 

non comblés (PANDA). 

• Proportion plus élevée d’élèves avec des troubles de 

comportement. Beaucoup d’investissement pour des 

élèves que l’on peut difficilement « réchapper » (école 

L’Érablière) 

• Troubles de comportement arrivent tôt et sont ciblés tôt 

(Git’Enfants). 

• Perte de l’estime de soi 

• La perception de la capacité n’est pas développée et 

travaillée assez tôt. 

• Enfants avec difficultés portent cette étiquette. L’accueil 

de ces enfants connaît des ratés. 

Famille • CS des Samares : pourcentage de familles où aucun des 

deux parents n’est diplômé : 10,6 % (des Affluents : 

7,8 %) 





• Choc culturel. Ce qui est parfois acceptable pour une 

famille ne l’est pas pour la société. 

• Problèmes de santé mentale et habiletés sociales 

déficientes 

• Travail à faire sur plusieurs générations 

13

Classe • Les enseignants ne sont pas tous portés sur la motivation. 

École • IMSE 5, 6, 7 = 0 école primaire (sur 13) + 0 école 




• Prendrait un arrimage CPE/primaire/secondaire. 

• Reddition de comptes difficile des organisations 

communautaires 

• Instabilité du personnel 


• Il y a une concertation mais elle est à parfaire. Tous les 

organismes ne sont pas présents, concertés et impliqués. 

• Importance de l’implication de l’utilisation du potentiel 

de communauté (exemple de la municipalité de 

St-Michel) 

• Concernant les jeunes de la Manawan, il faudrait faire 

une étude pour voir comment ils sont intégrés. Un 

nombre croissant de ceux-ci sont dans des centres 

jeunesse, aux prises avec des difficultés d’adaptation. 

• Les changements de pratiques sont difficiles et longs et 

ne se font pas de manière simultanée. Le fait que le 

territoire soit étendu complique la concertation. 

• Manque de ressources 

• Les portes ne sont pas toujours ouvertes; il faut chaque année 

recommencer la sensibilisation (ABC du Respaix). 

14

MRC MATAWINIE (résultats étapes 3 et 4 de l’atelier) 




Famille 


École 

Communauté 

• Il faut travailler l’estime de soi et le sentiment de 

compétence. 

• Concertation mal organisée (difficulté d’arrimage entre les 

organismes et objectifs de concertation flous) 




• Établir un leadership en concertation 

• Relancer la communauté pour réfléchir à nos mécanismes de concertation en persévérance scolaire 

15

Atelier MRC MONTCALM 


Animatrice: Marie-Josée Lépine CSSNL-CLSC St-Esprit 

Secrétaire : Marie-Claude Durand Comité de promotion de la réussite scolaire dans Montcalm 

Participants 

Jean-François Aubin 

Geneviève Babin 

Pascale Brabant 

Johanne Champagne 

Yves DeBlois 

Mathieu Forget 

Isabelle Fraser 

Sylvana Gingras 

Lynne Harpin 

Nicole Labelle 

Geneviève Lange 

Émilie Langlais 

France Lanoue 

Michèle Lapointe 

Carole Leclair 

Nathalie Lépine 

Darlie Pierre-Louis 

Martin Pinard 

Flavie Robitaille 

Josée Saint-Jacques 

Françoise Semerniakoff 

Ghislain Thuot 

Centre local de développement Montcalm 

Municipalité de Saint-Jacques 

Carrefour jeunesse-emploi de Montcalm 

École secondaire de l'Achigan 

École du Carrefour-des-Lacs 


Centre multiservice des Samares 


Bureau de Nicolas Marceau 


Centre In'Afu 

Buffet-Accès-Emploi 

Regroupement bénévole Montcalm 

CSSSNL (CLSC St-ESPRIT) 

Association carrefour Famille Montcalm 

Municipalité de Sainte-Julienne 

Buffet-Accès-Emploi 

Action Montcalm 


Association Carrefour Famille Montcalm 

Carrefour jeunesse-emploi de Montcalm 

École du Havre-Jeunesse 

16

MRC MONTCALM (résultats étapes 1 et 2 de l’atelier) 

Systèmes 






Famille 





• CS des Samares : proportion des épreuves ministérielles 


• Présence de jeunes ayant des problèmes de santé 

mentale et d'enfants à risque non identifiée 

• Proportion élevée de jeunes ayant une faible estime de 

soi et de la difficulté à construire son identité; des 

problèmes de comportement et de faibles habiletés 

sociales et personnelles; peu d'adultes significatifs auprès 

d'eux; retards d'apprentissage en lecture et écriture 

• CS des Samares : pourcentage de familles où aucun des 

deux parents n’est diplômé : 10,6 % (des Affluents : 

7,8 %) 


après impôt : 8 % (Lanaudière : 8,2 %) 



• Présence élevée de familles vivant de l’isolement et sans 

modèle 

• Proportion élevée de familles vivant de gros problèmes 

(toxicomanie, négligence, violence conjugale) 

• Difficulté des familles à concilier travail et famille 

• Pauvreté économique et sociale (poches de pauvreté) 

• Méconnaissance des ressources 

• Plusieurs parents ont des parcours et des histoires 

personnelles difficiles (ayant vécu des échecs scolaires). 

• Crainte des parents d’être jugés 

• Faible scolarité des parents 

• Volonté des parents à l’égard de la réussite de leurs 

enfants 

• Impact positif des stratégies de lecture mises en place dans de 

nombreuses écoles 

• Difficulté à joindre les familles 

• Peu de ressources en santé mentale pouvant soutenir les familles 

• L’intervention auprès des parents vise peu à leur redonner du 

pouvoir. 

17


• Volonté des écoles et des ressources à communiquer 

avec les parents 

• Nombre élevé d’élèves dans une classe vivant des 

difficultés (complexité de ces difficultés) 

• Manque de stabilité du personnel 

• Ouverture des enseignants aux changements de 

pratiques et bonne connaissance des interventions 

• Compétences limitées des enseignants sur des problèmes spécifiques 

École • IMSE 5, 6, 7 = 5 écoles primaires (sur 12) + 0 école 




• Raccrochage élevé à l’éducation des adultes 

• Contraintes à l’accessibilité pour l’éducation aux adultes 

(transport) 

• Difficulté du passage primaire-secondaire 

• Impact d’initiatives porteuses, telles que Paré, Agir 

autrement, aide aux devoirs, etc. 

Communauté • Taux de chômage MRC : 8 % (Lanaudière : 5,6 %) 

• Difficulté à diffuser et à rendre les ressources accessibles 

• Faible sentiment d’appartenance à la MRC 

• Ouverture des écoles aux ressources de la communauté 

• Préjugés sur le rôle des organismes dans le milieu 

• Échange de pratiques et partage d’expertise par bassin 

• Faible mobilisation des entreprises 

• Manque de financement 

• Présence du CPRSM 

• Difficulté à gérer intimidation/violence/taxage 

• Défi de maintenir les jeunes après un retour aux études 

• Complémentarité et concertation dans le milieu 

18

MRC MONTCALM (résultats étapes 3 et 4 de l’atelier) 




• Santé globale 

• Retard d’apprentissage 


• Compétences en lecture et écriture 

Famille • Collaboration des parents • Implication des parents à l’école 


École 

Communauté 


• Rencontre en juin prochain pour déterminer les suites 

19

Atelier MRC L’ASSOMPTION 

Animateurs et secrétaires 

Animateurs : Sylvie Nault CSSSSL / CLSC Repentigny (Centre de Services sociaux et santé du sud de Lanaudière) 

Sébastien Guernon Corporation de développement communautaire L’Assomption 

Secrétaire : Martin Gauthier CREVALE 

Participants 

Karim Adjailia 

Line Auclair 

Isabelle Breault 

Brigitte Cardinal 

Annie Charest 

Isabelle Claude 

Luc Desautels 

Mélanie Gagné 

Raynald Gagné 

François Girouard 

Éliane Geoffoy 

Amélie Gravel 

Sylvie Hamel 

Ève Lagacé 

Sylvie Lapointe 

Sylvaine Lefebvre 

Isabelle Levasseur 

Linda Mallette 

Chantale Paradis 

Stéphane Paré 

Suzette Perreault 

Sébastien Piché 

Anick St-Denis 

Guy Tapin 

Pierre Themens 

Lucie Vallée 

École secondaire Jean-Baptiste-Meilleur 

École secondaire Paul-Arseneau 

Commission scolaire des Affluents 

Maison des Jeunes de L'Épiphanie 

École secondaire L'Horizon 

UNIATOX 

Cégep régional de Lanaudière à L’Assomption 

Regroupement Santé-vous en forme MRC L'Assomption 

Cégep régional de Lanaudière à L'Assomption 

Carrefour jeunesse-emploi L'Assomption 

PANDA MRC L’Assomption 

Maison des jeunes L'Escapade 


Réseau des bibliothèques de Repentigny/Ville de Repentigny 

École secondaire de l'Amitié 


Table des partenaires en développement social de Lanaudière/Engagement jeunesse 

Chambre de commerce PLG de Repentigny 

Caisses Desjardins de Charlemagne, Les Méandres, Repentigny et St-Paul-L'Ermite 

Centre local de développement MRC L'Assomption 

Corporation de développement communautaire MRC L'Assomption 

Cégep régional de Lanaudière à L'Assomption 

CSSSSL 

Centre IN’AFU 

Travail de rue Repentigny 

Maison des jeunes de Repentigny 

20

MRC L’ASSOMPTION (résultats étapes 1 et 2 de l’atelier) 

Systèmes 



Famille 







• CS des Affluents : proportion des épreuves ministérielles 

réussies en français : 94,8 % (des Samares : 90, 8 %) 

• Absentéisme élevé 

• Pas d’adéquation avec formation, buts ou objectifs du 

jeune 

• Avoir une vision de l’avenir, un objectif, un projet de vie 

• Difficulté pour le jeune à identifier ses acquis, à avoir une 

lecture 

• Les jeunes sont jeunes plus longtemps. 

• Ils filtrent l'info qu'ils transmettent aux parents (plus 

facile pour le parent d'avoir de l'info au primaire qu'au 

secondaire). 

• Fragilisation de la santé mentale, TDAH 

• Décrochent car travaillent plus de 20 heures 

• Pression de rendement par leurs parents 

• Les 8-12 ans sont déresponsabilisés; il faut les rendre 

autonomes. 

• La récompense n'est pas toujours immédiate; la 

persévérance n'est pas toujours au rendez-vous. 

• Ne lisent pas assez. 

• Ne se reconnaît pas au cégep (français, philo : loin de 

leurs objectifs). 

• CS des Affluents : pourcentage de familles où aucun des 

deux parents n’est diplômé : 7,8 % (des Samares : 10,6 %) 


après impôt : 8 % (Lanaudière : 8,2 %) 

• MRC : pourcentage de familles monoparentales : 24 % 


• Absentéisme motivé par les parents 

• Valorisation et priorité accordées à l’école 


• Aide aux devoirs 

• Aider les décrocheurs à raccrocher (manque). Les jeunes qui 

décrochent ne veulent pas des solutions de l’école mais plutôt des 

CJE. 

• La récompense n'est pas toujours immédiate;, la persévérance n'est 

pas toujours au rendez-vous. 

• Méconnaissance du système scolaire par les parents (différentes 

voies de qualification); l’emphase est mise uniquement sur le 

5 e secondaire. 

21

• Surprotection par les parents 

• Reconnaître qu’un jeune peut avoir besoin d’aide 

(menace DPJ) 

• La récompense n'est pas toujours immédiate; la 


• Le parent se sent impuissant, isolé. 

• Difficulté à avoir de l’information de l’école par le jeune 

(le jeune « filtre » les informations) 

• Parent surestime son enfant 

• La récompense n'est pas toujours immédiate ; la 


Classe • IMSE 5, 6, 7 = 5 écoles primaires (sur 12) + 0 école 




• L'évolution du système n'est pas partagée avec le parent. 

« Ne pas aider l'enfant car on pourrait lui nuire à cause de 

nos vieilles méthodes » 

• Peu d’enseignants masculins 

• Activités physiques déficientes ; les garçons en particulier 

aiment être actifs. 

• Reconnaître et favoriser les habiletés parentales 

École • IMSE 5, 6, 7 = 10 écoles primaires (sur 29) + 1 école 




• Absentéisme 

• Faire valoir les bons coups, pas juste les négatifs. 

• Reconnaitre le parent comme 1 er éducateur. 

• Accès aux services 

• Accueillir le parent et l’accompagner 

• Facilité de communiquer avec parent par courriel 

• Le courriel est-il à la portée de tous 

• Difficultés à communiquer par téléphone 

• Mobilisation difficile du personnel en soirée 

• Orientation…ils connaissent le chemin, les préalables 

mais pas la finalité. 

• Reconnaissance des acquis en cours de formation. 

• Cote R, étudiant qui décroche au cégep mais qui ne peut plus revenir. 

Perception que la formation professionnelle est une voie de 

contournement. 

• Pas d’école pour les raccrocheurs 

• SARCA (orientation) 

• Centre d’éducation des adultes; écoles orientantes 

• Parcourir le cheminement particulier (pré-DEP) 

• Peu ou pas de suivi lors du passage primaire-secondaire 

• Manque de services aux clientèles particulières 

22

• Étouffement de l’activité physique 

• Apprentissage du savoir-être 

Communauté • Taux de chômage MRC : 4,6 % (Lanaudière : 5,6%) 

• Analphabétisme 

• Travailleurs qui n’entrent pas le vendredi (jeudi de la 

paie) 

• Accès aux services (médecins de famille) 

• Véhicule des valeurs de rendement 

• Attitude des employeurs face à l’école 

• Conciliation travail-études, valorisation de la formation 

complète du jeune par l’employeur 

• Ils peuvent réussir à raccrocher en formation 

professionnelle, lors d’un stage, mais décrocher quand 

même par la suite (ex. crédit d’impôt à l’employeur). 

• Les employeurs ne savent plus quoi faire avec les jeunes 

(savoir-être). 

• Personnes immigrantes, reconnaissance des acquis, 

intégration 

• CJE a déjà travaillé avec les élèves de 6 e année quand l’argent était 

disponible. 

• Valorisation de l’éducation 

• Mise en place de la coopérative CASA pour jeunes immigrants 

23

MRC L’ASSOMPTION (résultats étapes 3 et 4 de l’atelier) 




• Avoir une vision de l’avenir, de son projet de vie 


Famille • Parent se sent impuissant/isolé (aller chercher de l’aide) • Implication des parents 

Classe • Avoir un climat sain, sécuritaire et motivant • Perception et attitude des enseignants 

École • Difficulté et qualité de la communication • Direction et leadership 

Communauté 

• Conciliation travail-vie-études 

• Importance de l’employeur et des autres implications 

(sports, loisirs, etc.) 

• Mobilisation face à l’école (incluant conciliation travail-études) 


• Profiter de l’élan actuel au sein de la MRC, en raison notamment de la mise en place d’un Chantier sur la persévérance scolaire, pour se 

questionner sur la faisabilité de mettre de l’avant la démarche FECRE. 

24

Atelier MRC LES MOULINS 

Animateurs et secrétaires 

Animateurs : Melissa Mofette Carrefour jeunesse -emploi des Moulins 

Yves Leclerc 

CSSSSL (CLSC Terrebonne) 

Secrétaire : Germaine Rioux CREVALE 

Participants 

Julie Benoit 

Danny Boucher 

Josée Bourbonnière 

Kelly-Kim Brisson 

Nancy Clément 

Marie-Caroline Dessureault 

Annie Dionne 

Pierre Doyon 

Vincent Durocher 

Stéphane Gagnon 

Pauline Gascon 

Isabelle Gélinas 

Diane Hamelin 

Annie Létourneau 

Martin Loignon 

Caroline Monette 

Nathalie Ouellet 

Josée Pelletier 

Véronique Rail 

Vanessa Rhéaume 

Pascale Rodrigue 

Gilles Théorêt 

Catherine Therrien 

Mélissa Tsouvaltsidis 

Hugo Valiquette 

Carrefour jeunesse-emploi des Moulins 

Jeune 

CPE Gamin Gamine 



Parent 

Cégep régional de Lanaudière à Terrebonne 

Conseil des commissaires et comité de parents de la CS des Affluents 

Bureau de circonscription de Masson 

École secondaire Léopold-Gravel 

MOMS 



Maisons des jeunes de Terrebonne 

École secondaire Armand-Corbeil 

École des Trois-Saisons 

École secondaire L'Impact 

MOMS 

Jeune 

Jeune 

Café de rue Solidaire 

École des Trois-Saisons 

Étudiante cégep TTS (Techniques de travail social) 

Étudiante cégep TTS (Techniques de travail social) 

Bureau de circonscription de Terrebonne 

25

MRC LES MOULINS (résultats étapes 1 et 2 de l’atelier) 

Systèmes 






Famille 

• MRC : taux décrochage, sexes réunis : 23 % (n=1105) 




• CS des Affluents : proportion des épreuves ministérielles 

réussies en français : 94,8 % (des Samares : 90, 8 %) 

• Déresponsabilisation 

• « Trou » à la fin du premier cycle/démotivation, projet de 

vie manquant 

• Premier cycle : désillusion, peu d’estime de soi 

• CPE : école primaire, pas de lien 

• Mauvaise gestion d’échec, autoévaluation pauvre 

• Beaucoup de garçons se sentent exclus du système, 

programme peu adapté pour eux. 

• A accès à une diversité de services à l’école mais accès 

parfois difficile (paperasse, temps d’accès, etc.). 

• Suivi difficile (à cause des nombreux changements) 

• Services méconnus des jeunes, manque 

d’accompagnement 

• Mieux préparer l’arrivée au secondaire par des activités 

• CS des Affluents : pourcentage de familles où aucun des 

deux parents n’est diplômé : 7,8 % (des Samares: 10,6 %) 



• MRC : pourcentage de familles monoparentales : 22 % 


• Les mères peu scolarisées ont souvent des enfants avec 

des troubles d’apprentissage. 

• Difficulté à joindre les parents 

• Manque d’information des parents, manque de 

communication 

• Manque de temps des parents 

• Essoufflement des parents 

Limites : 

• Accès limité aux différents lieux d’école 

• Manque de ressources en orientation (choix de carrière) 

• Services de motivation scolaire limités 

• Parents présents en « réaction » (mais pas en « prévention »; ils sont 

là pour guérir mais non pour prévenir). 

Forces : 

• Communication par Internet avec les enseignants 

• Conférence offerte aux parents 

Limites : 

• Parent démuni par rapport à sa connaissance 

• Soutien parent-élève absent 

26

• Encouragement tardif 

• Tenue vestimentaire : oui à l’uniforme, à condition que le 

coût soit abordable 

Classe • Le pré-DEP est une force (petit groupe et enseignant stable) 

• Trop de discipline à faire pour les profs, manque de temps agréable 

avec les jeunes 

• Les jeunes ont des droits mais aussi des responsabilités. 

École 





Limites : 

• Services de motivation scolaire limités 

• Diversité de services à l’école peu connue 

• Vitesse de réaction pour droit au service 

• Milieu physique : aménagement à mettre à jour 

• Plus souvent dans la conséquence que dans la valorisation 

• Manque de ressources et de moyens pour les activités parascolaires 

• Pauvreté 

• Manque de technologie mise à la disposition des jeunes 

• Transport en commun : horaires trop tôts et circuits trop longs 

• Trop de clientèle dans certaines écoles 

• Trop compartimentée 

• Permettre une meilleure intégration des élèves de secondaires 1 et 2 

avant de les intégrer aux niveaux suivants (3, 4 et 5). 

• Les programmes sports-études ne sont pas accessibles à tous en 

raison de leur coût. 

• Sentiment d’appartenance faible 

• Intimidation 

• Cohérence parfois absente entre règles scolaires et règles familiales 

• Place des médias sociaux 

• Manque de professionnels 

• Fin du primaire : surveillance trop restrictive empêchant la 

communication 

Forces : 

• Ouverture des écoles face aux organismes en vue du partenariat 

• Au secondaire, les surveillants d’élèves sont de bonnes personnesressources. 

Communauté • Taux de chômage MRC : 4,2 % (Lanaudière : 5,6 %) Forces : 

• La communauté s’implique. 

27

• Bonne communication avec centre hospitalier 

• Présence des organismes jeunesse et guide-école pour les parents 

Limites : 

• Valorise trop les hautes études 

• L’étiquette donnée à certains jeunes et le jugement fait sur eux 

• Manque de moyens et de soutien financier 

• Image sociale des jeunes 

• Manque de cohérence entre la promotion d’une saine alimentation et 

le coût trop élevé 

• La société vit à un rythme accéléré et manque de temps. 

• Banalisation de la toxicomanie, de la violence et de l’alimentation 

• Mauvaise influence des pairs et des modèles (artistes) 

• Manque de connaissances des services dans la communauté et le 

milieu 

• Dédoublement du matériel et des actions 

28

MRC LES MOULINS (résultats étapes 3 et 4 de l’atelier) 




Famille 


École 

Communauté 

• Manque d’accompagnement personnalisé 

• Manque de connaissance de soi 


• Déresponsabilisation 


• Manque d’intérêt et de stimulation 


• Manque de ressources et de moyens 


• Partenariat fort avec ressources du milieu 


• Implication des parents 

• Perception et attitude des enseignants 

• Direction et leadership 

• Mobilisation face à l’école (incluant conciliation travail-études) 

Quelles suites voyez-vous à l’exercice d’aujourd’hui 

• Réalisation d’une étude locale sur les besoins et réalités de la MRC (en cours) 

• Journée de réflexion MRC (sept. ou oct. 2011) 

• Plan d’action local (CPSLM) 

29

Atelier RÉGIONAL 


Animatrice : Lise Ouellet Agence de la santé et des services sociaux de Lanaudière - Direction de santé publique et d'évaluation 

Secrétaire : Claude Bégin Agence de la santé et des services sociaux de Lanaudière - Direction de santé publique et d'évaluation 

Participants 

Sylvie Anctil 

Lauraine Bélisle 

Michel Brien 

Éric Cadieux 

Louise Desjardins 

Daniel Forest 

Martin Fournel 

Albane Goursaud de Merlis 

Dave Harvey 

Chantal Lalonde 

Ginette Lampron 

Catherine Landry-Larue 

Claudette Larouche 

Jacinthe Lussier 

Véronique Michel 

Gautier Njokou 

Luc Parent 

Amélie Roy-Lafrenière 

Jocelyne St-André 

Anne Thériault 

France Veillette 


Ministère de la Famille et des Aînés 


Réunir Réussir 

Agence de la santé et des services sociaux de Lanaudière - Direction de santé publique et d'évaluation 


Le NÉO 

Conférence régionale des élu(e)s Lanaudière 

ARCPEL (Action régionale des CPE de Lanaudière) 

Table des partenaires en développement social de Lanaudière 

Agence de la santé et des services sociaux de Lanaudière - Direction de santé publique et d'évaluation 

ACADEMOS 

Ministère des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire 

RESQ 

UNIATOX 

Ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine 

Ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport/Direction régionale de Laval, des Laurentides et de Lanaudière 

UNIATOX 

Emploi-Québec Lanaudière 

Forum jeunesse Lanaudière 

Bridgestone Canada inc. 

30

RÉGIONAL (résultats étapes 1 et 2 de l’atelier) 

Systèmes 






Famille 

• Taux décrochage, sexes réunis : 27,3 % / (n=4035) (CS 

Samares: 33,4 %, Québec : 24,7 %) 

• Taux diplomation, sexes réunis : 67 % (n=11 353) 

(Québec : 70,5 %) 

• Proportion des épreuves ministérielles réussies en 

français : des Affluents : 94,8 % / des Samares : 90, 8 % / 

(Québec : 94 %) 

• Manque de préparation à l’entrée à l’école 

o Services de garde : disparité de la maturité 

(développement des enfants) 

o Manque de stimulation à la lecture et l’écriture dans 

o 

les milieux défavorisés 

Problèmes de développement (ex. : TED) et 

d’apprentissage sociaux (ex. capacités relationnelles) 

et d’intégration (ex. communautés culturelles). 

• Compétences de l’enfant (estime de soi) 

• Toxicomanie : moins de problèmes au niveau primaire 

mais préoccupante au niveau de la fin du secondaire 

(alcool, drogues) 

• Pourcentage de familles où aucun des deux parents n’est 

diplômé : des Affluents : 7,8 % / des Samares: 10,6 % / 

(Québec : 9,1 %) 

• Pourcentage de personnes ayant un faible revenu après 

impôt : 8,2 % (Québec : 12,5 %) 

• Pourcentage de familles monoparentales : 24,9 % 

(Québec : 27,8 %) 

• Influence différente des parents sur la valorisation 

scolaire 

o Parents ayant moins de scolarité mais qui ont de bons 

revenus (valorisent peu la scolarisation). 

o Parents ayant plus de scolarité avec des bons revenus 

(valorisent haut niveau de diplomation) 

• Difficulté des parents à suivre l’enfant dans son 

Forces : 

• Organismes d’alphabétisation 

• Organismes ÉLÉ (éveil à la lecture et à l’écriture) 

• Offres d’emploi ou offre d’activités parascolaires ou dans la 

communauté 

• Certaines bibliothèques ont des programmes attrayant pour les 

jeunes; insuffisance des services d’aide aux devoirs (provenant 

notamment des organismes communautaires) 

Limites : 

• Insuffisance des services d’orientation par école secondaire 

• Insuffisance des services de base dans les milieux ruraux 

• Insuffisance des services d’aide aux élèves (ex . psycho-éducateurs) 

Forces : 

• Aucune force identifiée 

Limites : 

• Manque de services de garde 

• Maisons de la famille sous-financées; offrent des services insuffisants 

et sont méconnues 

• L’offre des CLSC aux familles en difficulté n’est pas assez rapide (ex. 

prise en charge). 

• Manque d’arrimage, d’ajustement ou adaptation des services, et de 

coordination des services préventifs pour les jeunes familles 

• Offre insuffisante de services de soutien aux familles immigrantes 

• Manque d’adaptation des services de soutien aux différentes réalités 

des familles 

31


apprentissage scolaire 

• Enfants nombreux 

• Difficultés liées aux situations de la famille 

(monoparentalité avec enfant en bas âge, séparation, 

recomposition, déménagement, conciliation travailfamille-études). 

• Gestion de classe déficiente 

o Confiance en soi du professeur, compétence et 

formation académique 

o Perception des attitudes des enseignants pour 

l’éducation (valeurs positives, donne le goût 

d’apprendre) 

o Intégration des jeunes en difficulté dans la classe ou 

avec retard de lecture 

o Ratio profs-élèves 

o Ratio élèves en difficulté trop élevé 

o Manque de spécialistes 

o Qualité relations maître-élève 

• Personnel enseignant qualifié et passionné 

• Classe trop centrée sur elle-même (pas assez de partage 

avec les autres ressources) 

• Manque de transposition des connaissances académiques 

apprises pour le monde du travail (pas d’application 

concrète) 

• Épuisement des professeurs et remplacements 

temporaires 

Forces : 

• Aucune force identifiée 

Limites : 

• Manque de services aux enfants en difficulté d’adaptation (ex. ratio 

profs-élèves) 

• Meilleure formation académique des professeurs 

• Modifier l’offre de services aux professeurs, en accompagnement (ex. 

en cycle) 

• Offre de services en gestion de classe des profs (0-5 ans d’expérience) 

École • IMSE 5, 6, 7 = 27 écoles primaires (sur 101) + 4 écoles 




• Petites écoles : offre de services réduite aux élèves 

• Liens moins forts entre l’école et la communauté (accès 

aux équipements et services offerts) 

• Absence de services de garde en milieu scolaire dans 

certaines municipalités 

Forces : 

• CS S : Offre de services en saines habitudes de vie de l’Agence aux 

écoles (positif) via site Internet. Plus de convergence, de 

complémentarité, de cohésion. 

• CS A : Offre de communautés éducatives aux écoles (services 

• Pas assez de services parascolaires complémentaires offerts par la CS) 

• Offre de services des « École en santé » aux écoles 

• Offre de services « École-communauté » du Forum Jeunesse 

Lanaudière, dont ceux reliés à la participation citoyenne 

• Cyber-mentorat par les écoles 

32

Communauté • Taux de chômage : 7,5 % (Québec : 7,8 %) 

• Communautés pas assez solidaires, peu concertées, 

valorisent peu l’éducation 

o 

Manque de convergence, de cohérence, de 

complémentarité entre les services municipaux et 

scolaires 

• Communautés qui ne disposent pas de politiques 

familiales (offre de services) 

• Manque de valorisation de l’effort et de la rigueur dans la 

communauté 

• Disponibilité actuelle du transport en commun rend 

l’accès difficile aux services. 

Limite ou Force ( ) : 

• Projet Sentinelle école-parent 

Forces : 

• Politiques familiales des municipalités 

• Maintenir campagnes de sensibilisation auprès du grand public 

Limites : 

• Services de transport mal adaptés 

• L’offre de services municipaux au milieu de l’éducation est mal 

connue ou mal utilisée. 

• Meilleur arrimage des services offerts par les acteurs concernés par la 

persévérance scolaire 

• Arrimage des fonds pour agir en prévention (ex. Avenir d’enfant, 

Québec en forme) 

• Manque de place dans les services de garde 

33

RÉGIONAL (résultats étapes 3 et 4 de l’atelier) 




Famille 


École 

Communauté 

• Manque de préparation à l’entrée scolaire 



• Compétences en écriture et lecture 

Quelles suites voyez-vous à l’exercice d’aujourd’hui 

• Veut continuer l’exercice, former une communauté éducative sous l’égide du CREVALE, aller jusqu’au plan d’action pour Réunir Réussir 

34

ÉVALUATION DE LA JOURNÉE 

‣ 82 participants ont répondu au questionnaire d’évaluation sur la Journée. Voici leur appréciation : 

Très bien Bien Passable Mauvais 

Accueil 63 % 35 % 2 % 0 % 

Conférence FECRE 47 % 41 % 12 % 0 % 

Vox pop 62 % 35 % 2 % 0 % 

Ateliers (contenu et résultats) 38 % 55 % 7 % 0 % 

Ateliers (animation) 54 % 41 % 5 % 0 % 

Plénière 34 % 59 % 7 % 0 % 

Conférence de clôture 48 % 43 % 9 % 0 % 

Repas et collation 84 % 15 % 1 % 0 % 

Lieux 71 % 28 % 1 % 0 % 

LES SUITES 

Cette journée fut exigeante dans la mesure où le CREVALE invitait tous les participants à se familiariser avec un nouveau modèle de réflexion et 

ultérieurement de travail aux plans local et régional. Au cours des prochaines semaines, le CREVALE rencontrera des acteurs des comités locaux afin de 

discuter des suites qui pourraient émaner de la Journée. Assurément, le CREVALE se fera l’accompagnateur des partenaires qui décideront de poursuivre 

l’exercice au plan local ou régional. Cet accompagnement sera mieux défini au cours des prochaines semaines. 

Aussi, le CREVALE produira un document de référence lié à la persévérance et à la réussite scolaires au cours des prochains mois. Cet outil aura pour 

objectif principal d’alimenter la région sur le sujet, par la présentation de données et d’éléments clés qui faciliteront la compréhension du problème du 

décrochage scolaire, d’une part, mais aussi la planification de stratégies consensuelles pour lutter contre elle, d’autre part. Cet outil pourrait aussi devenir 

une sorte de guide pour l’octroi du financement en provenance de Réunir Réussir. À titre de rappel, une somme de 450 000 $ par année pour des projets 

en prévention de l’abandon scolaire sera disponible pour la région. Plus les priorités de la région seront consensuelles, plus le levier financier offert par 

Réunir Réussir sera au service de projets concertés. 

35

Annexe 

Notes et sources concernant les données quantitatives présentées dans la colonne intitulée Données quantitatives et qualitatives disponibles, 


• Taux de décrochage. Données de 2004-2005 à 2006-2007. N = nombre d’élèves décrocheurs au cours de la période à l’étude. Inclut écoles publiques et 

privées, de langues française et anglaise. Exclut le territoire de la Manawan, sauf indication contraire. 

Source : Décrocheurs parmi les sortants du secondaire. Système lanaudois d’information et d’analyse (SYLIA)/Service de surveillance, de recherche et 

d’évaluation. Direction de santé publique et d’évaluation de Lanaudière, 2009. 

• Taux de diplomation. Données concernant les diplômés, après sept ans, entre juin 2006 et juin 2008. N = nombre d’élèves diplômés au cours de la 

période à l’étude. Inclut écoles publiques et privées, de langues française et anglaise. Exclut le territoire de la Manawan, sauf indication contraire. 

Source : Taux de diplomation au secondaire. Système lanaudois d’information et d’analyse (SYLIA)/Service de surveillance, de recherche et d’évaluation. 

Direction de santé publique et d’évaluation de Lanaudière, 2009. 

‣ Il est important de rappeler ici que le calcul du décrochage et de la diplomation se fait de façon distincte, selon une méthode propre à chacun des 

indicateurs, et que par conséquent leurs résultats ne peuvent présenter une complémentarité parfaite. De plus, en ce qui concerne le taux de 

diplomation et de qualification par cohorte, l'éventail des possibilités n'est pas binaire, mais plutôt tertiaire. 

- Personnes ayant obtenu un diplôme ou une qualification à un moment donné (taux après 5, 6 ou 7 ans après une inscription en 1 re secondaire, 

taux avant 20 ans, taux chez les 20 ans et plus, etc.) (les diplômés). 

- Personnes n'ayant pas obtenu un diplôme ou une qualification et n'étant inscrites nulle part au Québec (les décrocheurs). 

- Personnes n'ayant toujours pas obtenu un diplôme ou une qualification, mais étant inscrites dans une école reconnue au Québec au moment du 

relevé (les persévérants). 

• Proportion des épreuves ministérielles réussies en français. Données de 2009-10. 

Source : Indicateurs nationaux. Données par commission scolaire. Enseignement secondaire, formation générale des jeunes. Ministère de l’Éducation, du 

Loisir et du Sport, 2011. 

• Pourcentage de familles où aucun des deux parents n’est diplômé. Données de 2006. 

Source : La convention de partenariat MELS / Commission scolaire. Portrait des statistiques ministérielles. Ministère de l’Éducation, du Loisir et du 

Sport/Service des indicateurs et des statistiques. Direction de la recherche, des statistiques et de l’information, 2009. 

• Pourcentage de personnes ayant un faible revenu après impôt. Données de 2006. Les niveaux de faible revenu constitués par Statistique Canada 

tiennent comptent de trois conditions : 1. Doit consacrer au moins 63 % de son revenu après impôt aux dépenses de première nécessité, soit 20 points 

de pourcentage de plus que les dépenses de la famille moyenne estimées à 43 %; 2. Tient compte de la taille de l'unité familiale; 3. Tient compte de la 

taille de l'agglomération de résidence. Une fois ces conditions établies, Statistique Canada crée 35 niveaux de faibles revenus (en dollars courants 

reflétant 35 seuils de faible revenu). On peut connaître ces seuils sur www.statcan.gc.ca 

36

Source : Coup d’œil sur la MRC D’Autray, Payette, J. et Simoneau, M. E., Agence de la Santé et des services sociaux de Lanaudière/Service de 

surveillance, recherche et évaluation, 2008. 

• Pourcentage de familles monoparentales. Données de 2006. 

Source : Coup d’œil sur la MRC D’Autray, Payette, J. et Simoneau, M. E., Agence de la Santé et des services sociaux de Lanaudière/Service de 

surveillance, recherche et évaluation, 2008. 

• IMSE/Indice de milieu socio-économique. Indice de défavorisation. De 1 à 10, 10 étant le niveau le plus défavorisé. Indice constitué par la proportion 

des familles avec enfants dont la mère n'a pas de diplôme, certificat ou grade (ce qui représente les deux tiers du poids de l'indice) et la proportion de 

ménages dont les parents n'étaient pas à l'emploi durant la semaine de référence du recensement canadien (ce qui représente le tiers du poids de 

l'indice). 

Source : Ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport. 

• Taux de chômage. Pour les MRC : Données de 2006. Source : Coup d’œil sur la MRC D’Autray, Payette, J. et Simoneau, M. E.. Agence de la Santé et des 

services sociaux de Lanaudière/Service de surveillance, recherche et évaluation, 2008. 

Pour le régional : Données de mars 2011. 

Source : Institut de la statistique du Québec/www.stat.gouv.qc.ca 

37

fait partie du bilan de la journÃ©e annuelle de - CREVALE

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