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Dossier de presse - Théâtre du Rond-Point

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<strong>Dossier</strong> <strong>de</strong> <strong>presse</strong><br />

Musée Haut, Musée Bas<br />

Ecrit et conçu par Jean-Michel Ribes<br />

Du mardi 21 septembre au vendredi 26 novembre 2004 –<br />

Service <strong>de</strong> Presse<br />

Hélène DUCHARNE/ Anaïs Ascari<strong>de</strong><br />

01 44 95 98 47/01 44 95 98 33<br />

helene.<strong>du</strong>charne@theatre<strong>du</strong>rondpoint.fr<br />

Théâtre <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong> 2 bis, avenue Franklin Roosevellt 75008 PARIS<br />

1


Musée haut- Musée bas<br />

Écrit et conçu par Jean-Michel Ribes<br />

avec<br />

Jean-Damien Barbin, Emeline Bayart, Catherine Beau, Mylène Bonnet,<br />

Patrick Dutertre, Annie Grégorio, Christian Hecq, Micha Lescot, Patrick<br />

Ligar<strong>de</strong>s, Anne Saubost, Eric Verdin, Béatrice Warrand<br />

Décor Patrick Dutertre<br />

Costumes Juliette Chanaud<br />

Lumière Marie Nicolas<br />

Chorégraphie Jean-Clau<strong>de</strong> Gallotta<br />

Vidéo Eric Vernhes<br />

Concepteur son Samuel Gutman<br />

Musique Jean-Clau<strong>de</strong> Camors / Le groupe Strigall<br />

Accessoires Valérie Lesort<br />

Assistants à la mise en scène Patrick Cartoux et Kéa Ostovany<br />

Assistante à la chorégraphie Béatrice Warrand<br />

Pro<strong>du</strong>ction Théâtre <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong>, compagnie Jean-Michel Ribes, Félix Ascot.<br />

Avec la participation artistique <strong>du</strong> Jeune Théâtre National. En partenariat avec le Cours<br />

Florent<br />

Durée environ 2 heures<br />

Salle Renaud-Barrault (745 places)<br />

Du mardi 21 septembre au vendredi 26 novembre à 20h30<br />

Les dimanches à 15h00<br />

Relâche les lundis, dimanche 26 septembre, mardi 19 octobre et jeudi 11<br />

novembre<br />

Réservations 01 44 95 98 21 ou 0 892 701 603 (0,34 euros/min)<br />

2


Musée haut, Musée bas<br />

Musée-Haut Musée-Bas<br />

J’avoue j’ai passé comme un fou dans les salles glissantes <strong>de</strong>s musées<br />

André Breton<br />

Dans cette histoire <strong>de</strong> musée, je ne veux ni donner <strong>de</strong> leçons, ni faire <strong>de</strong><br />

commentaires, seulement explorer ce lieu où se rencontrent les muses, où se<br />

mêlent l’art et la vie, les mortels et les immortels, dans un ballet émouvant et<br />

absur<strong>de</strong>. J’ai voulu que le public traverse le spectacle comme il visite un<br />

musée, sautant <strong>de</strong> la Peinture Hollandaise aux Dadaïstes, <strong>de</strong>s Antiquités<br />

grecques aux Impressionnistes…c’est à dire en traitant chaque scène dans un<br />

style <strong>de</strong> théâtre aussi différent que l’est celui <strong>de</strong>s salles <strong>de</strong> musée. Conscient<br />

que l’art est partout, dans le métro comme à Beaubourg, qu’une sorte<br />

d’esthétisation générale recouvre la cité et s’empare <strong>de</strong>s gens et <strong>de</strong> leur<br />

langage sans qu’ils s’en ren<strong>de</strong>nt compte (il y a une voiture Picasso, n’importe<br />

quel acte est surréaliste et que dire <strong>de</strong> ce tee-shirt baroque) un peu comme la<br />

psychanalyse l’a fait dans les années 1960, je me suis amusé avec cette<br />

diffusion tout azimut <strong>de</strong> l’art. D’autre part dans le combat qui oppose nature et<br />

culture, j’ai choisi Venise et je pense que le discours lénifiant <strong>de</strong> l’écologie<br />

comme salvation <strong>de</strong> l’homme est non seulement barbant mais dangereux pour<br />

l’art, c’est-à-dire l’artifice, qui nous a sorti <strong>de</strong>s cavernes et nous a sauvé <strong>de</strong><br />

que le scoutisme vert veut essayer <strong>de</strong> nous refourguer.<br />

Quand je sens qu’il y a dans ma démarche une volonté <strong>de</strong> démontrer, j’arrête<br />

tout.<br />

Le commentaire analytique terrorise les auteurs, qui se retrouvent pétrifiés<br />

comme <strong>de</strong>s lapins <strong>de</strong>vant <strong>de</strong>s phares ! Le raisonnement tue la pensée. Au<br />

musée, c’est pareil. Si on nous explique ce que représente La naissance <strong>de</strong><br />

Vénus <strong>de</strong> Botticelli, on ne peut plus se retrouver face à elle dans un état créatif.<br />

Le vrai danger est là : ce qui est expliqué est plus petit que ce qui est. Il faut<br />

aller ailleurs, il faut sauter dans le vi<strong>de</strong>. On nous dit ce qu’il faut bouffer, ce<br />

qu’il faut penser et quel temps il va faire. Il y a un trop-plein <strong>de</strong> réalité.<br />

Lâchons-nous !<br />

3


Biographie <strong>de</strong><br />

Jean-Michel Ribes<br />

Auteur, metteur en scène, réalisateur, né à Paris, Jean-Michel Ribes fon<strong>de</strong> en<br />

1966 avec le peintre Gérard Garouste et le comédien Philippe Khorsand, la<br />

compagnie <strong>du</strong> Pallium. En 1974 avec Michel Berto, la compagnie Berto-Ribes.<br />

Depuis 1997, dans le cadre <strong>du</strong> Festival d’Avignon, il anime pour la SACD Texte Nu,<br />

manifestation <strong>de</strong>stinée à promouvoir l’écriture dramatique contemporaine. En<br />

automne 2000, les auteurs dramatiques fon<strong>de</strong>nt « les Ecrivains Associés <strong>du</strong><br />

Théâtre » dont Jean-Michel Ribes est prési<strong>de</strong>nt. En novembre 2001, il est nommé<br />

par le Maire <strong>de</strong> Paris et le Ministre <strong>de</strong> la Culture : Directeur <strong>du</strong> Théâtre <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<br />

<strong>Point</strong> pour y développer l’écriture dramatique d’aujourd’hui.<br />

Au théâtre, Jean-Michel Ribes est l’auteur et le metteur en scène d’une quinzaine<br />

<strong>de</strong> pièces parmi lesquelles Fraises musclées (1970), Il faut que le Sycomore coule<br />

(1971), Je suis un steak (1972), Par <strong>de</strong>là les marronniers (1972), L’Odyssée pour<br />

une tasse <strong>de</strong> thé (1974), On loge la nuit, Café à l’eau (1975), Dieu le veut (1975),<br />

Omphalos Hôtel (1975) (Prix <strong>de</strong>s jeunes auteurs), Tout contre un petit bois (1976)<br />

(Prix <strong>de</strong>s U et Prix Plaisir <strong>du</strong> Théâtre), Jacky Parady (1978), Batailles (en<br />

collaboration avec Roland Topor) (1983), Révoltes (1986) (avec Jean Tardieu et<br />

Arnold Wesker), La Cuisse <strong>du</strong> Steward (1990), Monsieur Mon<strong>de</strong> (1997) et Théâtre<br />

sans animaux (2001, Molières <strong>du</strong> meilleur auteur, <strong>de</strong> la meilleure pièce comique<br />

et <strong>du</strong> meilleur second rôle pour Annie Grégorio).<br />

Jean-Michel Ribes a également mis en scène <strong>de</strong> nombreuses pièces dont Le Gros<br />

oiseau <strong>de</strong> Jean Bouchaud (1978), L’Ouest le vrai <strong>de</strong> Sam Sheppard (1984),<br />

Hiron<strong>de</strong>lle <strong>de</strong> saucisson <strong>de</strong> François Rollin (1986), L’Anniversaire d’Harold<br />

Pinter (1987), Le Pont <strong>de</strong>s Soupirs d’Offenbach (1987), La Cagnotte d’Eugène<br />

Labiche à la Comédie-Française (1988), Cirque à <strong>de</strong>ux <strong>de</strong> Barry Creyton (1994),<br />

Brèves <strong>de</strong> comptoir <strong>de</strong> Jean-Marie Gourio (1994) (Grand Prix <strong>de</strong> l’humour noir),<br />

Rêver peut-être <strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong> Grumberg (1999) (Grand Prix <strong>de</strong> la critique<br />

« meilleure création théâtrale en langue française », six nominations aux<br />

Molières), TEDY <strong>de</strong> Jean-Louis Bourdon (1999), Les Nouvelles Brèves <strong>de</strong><br />

comptoir <strong>de</strong> Jean-Marie Gourio (1999), Amorphe d’Ottenburg <strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong><br />

Grumberg à la Comédie-Française (2000), Jeffrey Bernard est souffrant <strong>de</strong> Keith<br />

Waterhouse (2000), La Priapée <strong>de</strong>s écrevisses <strong>de</strong> Christian Siméon (2002),<br />

L’Enfant Do <strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong> Grumberg (2002), Le Complexe <strong>de</strong> Thénardier <strong>de</strong><br />

José Pliya (2002) et Le Jardin aux betteraves <strong>de</strong> Roland Dubillard (2004).<br />

En 2001, pour l’ensemble <strong>de</strong> son œuvre, Jean-Michel Ribes reçoit le prix « Plaisir<br />

<strong>du</strong> Théâtre » et en 2002 le Grand Prix <strong>du</strong> Théâtre <strong>de</strong> l’Académie Française.<br />

4


A la télévision, Jean-Michel Ribes a réalisé quelques uns <strong>de</strong> ses spectacles, ainsi<br />

que <strong>de</strong>s films dont il est le scénariste parmi lesquels : Personne me regar<strong>de</strong> dans<br />

la rue (France 2), Merci Bernard (Série <strong>de</strong> trente émissions pour France 3, écrites<br />

avec Roland Topor, Gébé et Pierre Desproges <strong>de</strong> 1982 à 1984), M’as-tu vu ? (Six<br />

épiso<strong>de</strong>s pour TF1 - 1987), Palace (Neuf émissions écrites avec Roland Topor,<br />

Gébé, Jean-Marie Gourio, François Rollin pour Canal + et France 2 - 1988), B<br />

comme Bolo (avec Jean Carmet pour TF1 - 1993), Un an après (1994),<br />

Audimeurtre (1995), Les Brèves <strong>de</strong> comptoir (Canal+ - 1995), Faisons un rêve <strong>de</strong><br />

Sacha Guitry (pour Canal + et France 3 - 1995), Coup <strong>de</strong> théâtre et Coup <strong>de</strong> Maître<br />

(TF1 – 1996), Le Professeur Rollin (Warner Diffusion - 1998), Rêver peut-être<br />

(TPS - 1999), Les Nouvelles Brèves <strong>de</strong> comptoir (Canal + - 2000), Théâtre sans<br />

animaux (France 3 – 2002) et Le Complexe <strong>de</strong> Thénardier (Arte – 2004).<br />

Au cinéma, Jean-Michel Ribes a écrit et réalisé Rien ne va plus (1979), La Galette<br />

<strong>du</strong> roi (coscénariste Roland Topor - 1985), Chacun pour toi (coscénariste Philippe<br />

Madral - 1992).<br />

Jean-Michel Ribes a publié J’ai encore oublié St Louis (Presse <strong>de</strong> la Cité), Merci<br />

Bernard (Editions Balland et Actes Sud-Babel), Les Candidats auxquels vous avez<br />

échappé (Safrat), Monologues, Bilogues, Trilogues (Editions Actes Sud-Babel),<br />

Palace (Editions Actes Sud-Babel), Le Menu <strong>de</strong> Frango Twix (Cratère), La Petite<br />

O.N.U. fantaisie humanitaire (Pocket) et, <strong>de</strong>rnièrement, Sursauts, brindilles et<br />

pétard (Editions Grasset).<br />

Ses pièces <strong>de</strong> théâtre sont publiées aux éditions Actes Sud-Papiers et à L’Avant-<br />

Scène.<br />

5


Biographie <strong>de</strong><br />

Alexandre Aubry<br />

Au théâtre, Alexandre Aubry a joué sous la direction <strong>de</strong> Gildas Bour<strong>de</strong>t (Séjour<br />

pour huit à Tacedia – 2003), Jean-Michel Ribes (L’Enfant Do – 2002), Didier<br />

Bezace (Fey<strong>de</strong>au Terminus - 2001, Fey<strong>de</strong>au un conte - 2001, Léonie est en avance<br />

- 2000, Feu la mère <strong>de</strong> Madame - 2000, On purge bébé - 2000, Noce chez les<br />

petits bourgeois - 1998, Gran<strong>de</strong>ur et misère <strong>du</strong> troisième Reich – 1998 et C’est pas<br />

facile - 1996), François Bourcier (Don Quichotte – 2000), Georges Werler<br />

(Monsieur Schpill et monsieur Tippeton – 1996), Jean-Marie Lecoq (Les Trois<br />

mousquetaires ou le petit d’Artagnan).<br />

Au cinéma, Alexandre Aubry a joué sous la direction <strong>de</strong> Pierre Boutron (Messieurs<br />

les enfants), Edouard Niermans (L’Enfant <strong>de</strong>s terres blon<strong>de</strong>s), Antoine <strong>de</strong> Caunes<br />

(Les Morsures <strong>de</strong> l’aube), François Favrat (Le Rôle <strong>de</strong> sa vie) et dans une<br />

pro<strong>du</strong>ction chinoise (Le Dieu <strong>de</strong>s joueurs II).<br />

Pour la télévision, Alexandre Aubry a joué sous la direction d’Arnaud Selignac<br />

(Opération Arc <strong>de</strong> Triomphe CMT Nerval – 1998) et pour Evamag (Jamais sans<br />

mon fils - 1999).<br />

Alexandre Aubry a également participé au spectacle Un animal nommé cheval<br />

(numéro <strong>de</strong> dressage et casca<strong>de</strong>s), à la Feria <strong>de</strong> Bézier (numéro avec un cheval), au<br />

Festival <strong>de</strong> Châlon sur Saône (numéro avec dromadaires et chevaux), et au<br />

spectacle 2000, Le Temps d’une nuit (Texte et mise en scène <strong>de</strong> Gil Galliot,<br />

Nanterre).<br />

En tant que casca<strong>de</strong>ur, Alexandre Aubry est apparu dans Quand j’avais cinq ans je<br />

m’ai tué (Jean-Clau<strong>de</strong> Sussfeld), Le Gône <strong>du</strong> Chaaba (Christophe Ruggia), Une<br />

femme en blanc (Aline Isserman), Le Mon<strong>de</strong> d’Angelo (Pascal Kane), Margot <strong>de</strong>s<br />

claires (J.M. Seban), La Traversée <strong>du</strong> phare (Thierry Redler) et Navarro (Patrick<br />

Jamain).<br />

Biographie <strong>de</strong><br />

Émeline Bayart<br />

CNSAD, promotion 2003, Jeune Théâtre National jusqu’en 2006.<br />

Dans le cadre <strong>de</strong>s ateliers <strong>de</strong> 3 ème année présentés en public, Émeline Bayart a joué<br />

sous la direction <strong>de</strong> Hélène Vincent (Peines d’amour per<strong>du</strong>es ? d’après William<br />

Shakespeare), Jean-Paul Wenzel (13 objets, étu<strong>de</strong> sur la servitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> Howard<br />

Barker) et Cécile Garcia-Fogel (Dom Juan revient <strong>de</strong> guerre et Foi, Amour et<br />

Espérance <strong>de</strong> Ödön von Horváth).<br />

Au théâtre, Émeline Bayart a joué sous la direction <strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong> Penchenat<br />

(L’Endroit <strong>du</strong> cœur <strong>de</strong> Philippe Meyer – 2003) et Jean-Michel Rabeux (Récital <strong>de</strong><br />

chansons réalistes et Pauvre folle, Phèdre d’Eugène Durif - 1999).<br />

6


Émeline Bayart a suivi un stage à la FEMIS sous la direction <strong>de</strong> Philippe Garel<br />

(2003).<br />

Biographie <strong>de</strong><br />

Jean-Damien Barbin<br />

Formé au Conservatoire <strong>de</strong> Nantes puis <strong>de</strong> Paris, Jean-Damien Barbin n’a cessé<br />

<strong>de</strong> jouer au théâtre aussi bien <strong>de</strong>s oeuvres classiques (Shakespeare, Racine,<br />

Marivaux Hugo…), que contemporaines (Edward Bond, Hélène Cixous, Olivier<br />

Py, Nathalie Sarraute, Jon Fosse…).<br />

Au théâtre, Jean-Damien Barbin a joué sous la direction <strong>de</strong> Jacques Mauclair,<br />

Michel Bouquet, Daniel Mesguish, Philippe Noël, Xavier Maurel, Alain Milianti,<br />

Olivier Py, Jacques Lassalle et d’Éric Vigner notamment dans « …Où boivent les<br />

vaches » <strong>de</strong> Roland Dubillard au Théâtre <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong>.<br />

Jean-Damien Barbin a également tourné pour la télévision et le cinéma<br />

notamment, avec Jean-Paul Rappeneau et Francis Girod.<br />

Jean-Damien Barbin a mis en scène Notre Besoin <strong>de</strong> consolation est impossible à<br />

rassasier <strong>de</strong> Stig Dagerman au CDDB, en décembre 2000.<br />

Biographie <strong>de</strong><br />

Catherine Beau<br />

Étu<strong>de</strong>s littéraires. Maîtrise d’histoire et <strong>de</strong> géographie.<br />

Catherine Beau anime différents stages et ateliers sur le théâtre contemporain,<br />

au sein <strong>de</strong> lycées professionnels, d’écoles <strong>de</strong> théâtre, auprès <strong>de</strong> comédiens<br />

amateurs et professionnels (en collaboration avec Peuple et Culture<br />

notamment), au lycée agricole Les Vaseix <strong>de</strong> 1995 à 1998, à l’Académie théâtrale<br />

<strong>de</strong> l’Union, à l’Ecole <strong>du</strong> Cirque.<br />

Catherine Beau a créé en 1994, avec Eugène Durif, la compagnie «l ’Envers <strong>du</strong><br />

Décor».<br />

Cette compagnie a mis en scène Gouttes dans l’océan <strong>de</strong> Fassbin<strong>de</strong>r, Les Eaux<br />

dormantes, Para<strong>de</strong>s éphémères, De nuit, il n’y en aura plus d’Eugène Durif,<br />

Cabaret mobile et portatif (création 96), Cabaret <strong>de</strong>s bonimenteurs vrais (texte<br />

<strong>de</strong> Guy Alloucherie et d’Eugène Durif – création 97 au Parc <strong>de</strong> la Villette),<br />

Maison <strong>du</strong> peuple (d’Eugène Durif – création 98 au Festival <strong>de</strong> Luzège) et<br />

Couples, variations (au petit Odéon à Paris, création 2000).<br />

Catherine Beau et Eugène Durif ont mis en scène Quel est ce sexe qu’ont les<br />

anges, d’après <strong>de</strong>s textes <strong>de</strong> Jean-Pierre Brisset (création 1997 au festival <strong>de</strong>s<br />

Francophonies , festival <strong>de</strong> Québec), Filons vers les îles Marquises (création<br />

7


1999, CDN <strong>du</strong> Limousin), Les Clampins songeurs, d’après <strong>de</strong>s textes <strong>de</strong> Ch.<br />

Fourier, avec <strong>de</strong>s musiques d’Antoine Rosset, Jean-Chritophe Cornier, Jean-<br />

Marie Gérintes, Divertissement bourgeois d’Eugène Durif, Les Grenouilles qui<br />

vont sur l’eau ont-elles <strong>de</strong>s ailes ? d’après Jean-Pierre Brisset (création 2002 au<br />

Théâtre <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong>) et Le Plancher <strong>de</strong>s vaches d’Eugène Durif.<br />

En tant que comédienne, Catherine Beau a joué dans les spectacles créés par la<br />

Compagnie « l’Envers <strong>du</strong> Décor » Le Cabaret <strong>de</strong>s Bonimenteurs vrais, Quel est<br />

ce sexe qu’ont les anges ?, Divertissement Bourgeois, Les Grenouilles qui vont<br />

sur l’eau ont-elles <strong>de</strong>s ailes ?, sous la direction <strong>de</strong> Robert Cantarella (Grand et<br />

petit <strong>de</strong> Botho Strauss – crétion 1999 à la Scène Nationale d’Aubusson puis<br />

repris au Théâtre Gérard Philippe <strong>de</strong> Saint-Denis), Eric Lacasca<strong>de</strong> (Phèdres –<br />

création 1998 à la Comédie <strong>de</strong> Caen), Jean Lacornerie et Jean-Louis Hourdin<br />

(Même pas mort, créé en 2003 à Genève).<br />

Biographie <strong>de</strong><br />

Mylène Bonnet<br />

CNSAD, promotion 2001, Jeune Théâtre National jusqu’en 2004, professeurs<br />

Jacques Lassalle et Dominique Valadié.<br />

Dans le cadre <strong>de</strong>s ateliers <strong>de</strong> 3 ème année présentés en public, Mylène Bonnet a joué<br />

sous la direction <strong>de</strong> Caroline Marcadé (L’Inquiétu<strong>de</strong> <strong>de</strong> Valère Novarina),<br />

Catherine Marnas (Qui je suis ?, parcours Pasolini) et Olivier Py (Au mon<strong>de</strong><br />

comme n’y étant pas d’Olivier Py).<br />

Au théâtre, Mylène Bonnet a joué sous la direction <strong>de</strong> Françoise Maimone (Ivanov<br />

d’Anton Tchekhov – 2003), Philippe Adrien (Le Mala<strong>de</strong> imaginaire <strong>de</strong> Molière–<br />

2001, 2003), Noël Casale (Homme à homme <strong>de</strong> Noël Casale d’après Le Germe <strong>de</strong><br />

Tarjei Vesaas– 2002), Kestakaboche (Pour Lucie <strong>de</strong> Hyam Zaytoun – 2000) et <strong>de</strong> la<br />

compagnie Carton Pâte (En trois ligne tu fais un corps).<br />

Mylène Bonnet a également joué dans Phèdre <strong>de</strong> mémoire <strong>de</strong> Marie Vitez (2002,<br />

2003), Salomé d’Oscar Wil<strong>de</strong> (2002), B.M. Koltès à partir <strong>de</strong> l’œuvre <strong>de</strong> Koltès<br />

(1998) et Concil d’Amour au balcon <strong>de</strong> O. Panizza et J. Genet (1998).<br />

Mylène Bonnet a participé à l’ensemble <strong>de</strong> lectures <strong>de</strong> pièces contemporaines<br />

islandaises dirigé par Nabil El Hazan : L’Islan<strong>de</strong> côté théâtre (2004).<br />

Mylène Bonnet a suivi un stage à la FEMIS sous la direction <strong>de</strong> Karim Didri.<br />

8


Biographie <strong>de</strong><br />

Annie Gregorio<br />

Au théâtre, Annie Gregorio a joué sous la direction <strong>de</strong> Roger Louret (J’ai vingt ans,<br />

L’Épreuve, Il était une fois la farce, Le Mé<strong>de</strong>cin malgré lui, Les Précieuses<br />

ridicules, Les Femmes <strong>de</strong> bonne humeur et Sus aux zazous), Jean-Pierre Rumeau<br />

(Le Pédant joue et Dernier show en Cochinchine), Jean Darnel (Madame<br />

Marguerite), Stéphane Hillel (Coiffures pour dames), François Petit (Samedi,<br />

dimanche, lundi), Jacques Echantillon (Une Folie), Guy Louret et Muriel Robin<br />

(Dernier show en Cochinchine), Bernard Murat (Drôle <strong>de</strong> couple et La Puce à<br />

l’oreille), Robert Fortune (La Poudre aux yeux), Daniel Roussel (Hôtel <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux<br />

mon<strong>de</strong>s), Jean-Michel Ribes (Théâtre sans animaux, Molière meilleure<br />

comédienne dans un second rôle - 2001) et Pierre Mondy (Remue ménage).<br />

Au cinéma, Annie Gregorio a joué sous la direction <strong>de</strong> François Leterrier<br />

(Tranches <strong>de</strong> vie), Pierre Granier-Deferre (Cours privé), Nicolas Ribowski<br />

(Périgord noir), Pierre Dupouey (Vincennes Neuilly), Jean Poiret (Le Zèbre),<br />

Francis <strong>de</strong> Gueltz (Les Ténors), Bernard Murat (Désir), Gérard Oury (Fantôme<br />

avec chauffeur et Le Schpountz), Jean-Pierre Ameris (Les Aveux <strong>de</strong> l’innocent et<br />

C’est la vie), Gérard Jugnot (Fallait pas), Jeannot Szwarc (Les Sœurs Soleil),<br />

Stéphane Clavier (La Voie est libre), Manuel Boursinhac (Un pur moment <strong>de</strong><br />

Rock’n Roll) et Clau<strong>de</strong> Duty (Bienvenue au gîte).<br />

Pour la télévision, Annie Gregorio a joué sous la direction <strong>de</strong> Maurice Failevic<br />

(L’Arbitrage <strong>du</strong> ravi et Monsieur Pic), Jacques Krier (L’Ombre <strong>de</strong>s bateaux),<br />

Dominique Guimont (Main basse sur l’automobile), Youri (La Morte qui<br />

assassina), Eric Le Hung (Fossoyeurs <strong>de</strong> la nuit), François Dupont Midy (Bébé<br />

express), Joyce Bunuel (Maigret se trompe), Nina Companeez (L’Allée <strong>du</strong> roi),<br />

Jean-Louis Lorenzi (L’Orange <strong>de</strong> noël), Sébastien Graal (Un petit grain <strong>de</strong> folie),<br />

Alain Tasma (Un printemps <strong>de</strong> chien et Rastignac), Dominique Tabuteau<br />

(Monsieur justice, Meurtre sur ordonnance, Sous l’aile <strong>du</strong> corbeau et Meurtre<br />

pour <strong>de</strong>ux), Jean-Pierre Améris (L’Amour à vif), Caroline Huppert (Silence<br />

coupable), Henri Helman (La Tramontane), Philippe Roussel (Le Refuge), Denis<br />

Malleval (L’Affaire Caroline), Laurence Katrian (Mort d’un juge), Christiane<br />

Leherissey (Mary Lester), Pierre Joassin (Chère Marianne), Elisabeth Rappeneau<br />

(Sparring Partners), Didier Albert (L’Ange déchu, L’Enfant roi et La Peur <strong>de</strong><br />

l’autre), Marc Angelo (La Déchirure et Une mort si douce) et Denys Granier-<br />

Deferre (Ambre a disparu).<br />

9


Biographie <strong>de</strong><br />

Christian Hecq<br />

I.N.S.A.S. (Bruxelles), Prix Lauréat <strong>de</strong> l’Union <strong>de</strong>s artistes. EVE <strong>du</strong> Meilleur<br />

acteur belge pour l’année 1989.<br />

Au théâtre, Christian Hecq a joué sous la direction d’Isabelle Pousseur (Les<br />

Acteurs <strong>de</strong> bonne foi <strong>de</strong> Marivaux), Bernard <strong>de</strong> Coster (César et Cléopatre <strong>de</strong><br />

Bernard Shaw), Alain Louafi (Le Cirque <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Mauriac), Michel Dezoteux<br />

(Noce chez les petits bourgeois <strong>de</strong> Bertold Brecht, La Mission <strong>de</strong> Heiner Müller,<br />

Le Songe d’une nuit d’été <strong>de</strong> Shakespeare, Brecht machine et Ciment <strong>de</strong> Heiner<br />

Müller), Steven Berkof (La Métamorphose <strong>de</strong> Kafka), B. Yerles (Semblant -<br />

création <strong>du</strong> Théâtre B), Daniel Mesguich (Boulevard <strong>du</strong> boulevard, L’Histoire<br />

qu’on ne connaîtra jamais et Dom Juan <strong>de</strong> Molière), Jacques Nichet (Domaine<br />

ventre <strong>de</strong> Serge Valetti), Mihai Maniutiu (La Leçon), Virginie Jortay (Hombre), M.<br />

<strong>de</strong> Warzée (Le Père Noël est une or<strong>du</strong>re), Dominique Seron (La Surprise <strong>de</strong><br />

l’amour <strong>de</strong> Marivaux), Charlie Degotte (Il n’y a aucun mérite à être quoi que ce<br />

soit, nomination <strong>du</strong> meilleur acteur belge), Yves Beaunesne (Yvonne, princesse <strong>de</strong><br />

Bourgogne <strong>de</strong> Vitold Gombrowicz), Gildas Bour<strong>de</strong>t (La Main passe <strong>de</strong> Georges<br />

Fey<strong>de</strong>au, Molière <strong>de</strong> la révélation masculine et nomination <strong>du</strong> meilleur second<br />

rôle masculin en 2000), Benno Besson (Le Cercle <strong>de</strong> craie caucasien <strong>de</strong> Bertold<br />

Brecht) et Charlie Degotte (Et Dieu dans tout ça).<br />

Christian Hecq a créé un <strong>du</strong>o comique Achille et Léonie chez Alexandre Bouglione<br />

et fusion avec Achile-Tonic pour un cabaret en Avignon et a présenté La Revue<br />

arabique <strong>de</strong> Charlie Degotte aux Halles <strong>de</strong> Schaerbeek à Bruxelles.<br />

Au cinéma, Christian Hecq a joué sous la direction <strong>de</strong> René Ferret (Le Baptême),<br />

Jaco Van Dormaël (Le Huitième jour), François Boucq (Mea culpa), Albert<br />

Dupontel (Le Créateur), Michèle Rozier (Parlez-moi <strong>de</strong> Malraux), Jean-Paul<br />

Salomé (Belphégor), Aruna Villiers (A ton image), Chantal Akerman (Demain on<br />

déménage) et Renauld Alca<strong>de</strong> (Le Réveil, court-métrage).<br />

Pour la télévision, Christian Hecq a joué sous la direction <strong>de</strong> Josée Dayan (La<br />

Guerre <strong>de</strong>s privés : Deux morts sans ordonnances), Gilles Béhat (Des kilos en<br />

trop, L’Immeuble et Tempête), Catherine Corsini (Jeunesse sans dieu), Yves<br />

Boisset (Le Pantalon), Alain Nahum (Pour faire plaisir à mama), Patrick Dewolf<br />

(Le Profileur, Crimes en série : Le Nettoyeur – En chair et en os – Le Disciple – La<br />

Pêcheresse – Le Voyeur), Dominique Baron (Tous les papas ne font pas pipi<br />

<strong>de</strong>bout et Rosalie), Jérôme Foulon (Il n’y a pas d’amour sans histoire), Henri<br />

Helman (La Double vie <strong>de</strong> Jeanne, Théo et Marie et Lagar<strong>de</strong>re) et Pascal Légitimus<br />

(Crime en série : L’Envoûteur).<br />

Christian Hecq a également participé à <strong>de</strong>s petits films pour Canal + Belgique :<br />

Série Jacktoli.<br />

10


Biographie <strong>de</strong><br />

Micha Lescot<br />

Conservatoire National Supérieur d'Art dramatique <strong>de</strong> Paris promotion 1996.<br />

Au théâtre, Micha Lescot a joué sous la direction <strong>de</strong> Roger Planchon (La Tour <strong>de</strong><br />

Nesle d'Alexandre Dumas et Le Triomphe <strong>de</strong> l’amour <strong>de</strong> Marivaux), Yan Duffas<br />

(Psyché <strong>de</strong> Corneille et Molière), Pierre Diot (Hortense a dit j’m’en fous <strong>de</strong><br />

Fey<strong>de</strong>au), Philippe Adrien (Arcadia <strong>de</strong> Tom Stoppard, Victor ou les enfants au<br />

pouvoir <strong>de</strong> R. Vitrac, nominé aux Molières <strong>du</strong> meilleur Espoir en 1999), Jacques<br />

Nichet (Casimir et Caroline <strong>de</strong> O. von Horvath), Jean-Louis Benoit (Henry V, créé<br />

à Avignon), Denis Podaly<strong>de</strong>s (Je crois d’Emmanuel Bourdieu – 2002), David<br />

Lescot (L’Association <strong>de</strong> David Lescot), Gilles Cohen (Soucis <strong>de</strong> famille <strong>de</strong> Karl<br />

Valentin) et Eric Vigner (« …Où boivent les vaches » <strong>de</strong> Roland Dubillard -<br />

2004).<br />

Pour la télévision Micha Lescot a joué sous la direction <strong>de</strong> Denys Granier-Deferre<br />

(Les Grands enfants), Françoise Decaux (Le Feu sous la glace), Manuel Poirier<br />

(Attention Fragile), Claire Denis (US go home), Jacques Fansten (Les Len<strong>de</strong>mains<br />

qui chantent) et Marcel Bluwal (Music-Hall).<br />

Au cinéma, Micha Lescot a joué sous la direction <strong>de</strong> Roger Planchon (Lautrec),<br />

Didier Hau<strong>de</strong>pin (Le Plus bel âge), Laurent Perreau (Histoire naturelle, prix<br />

d’interprétation au Festival d’Anger) et Claire Denis (Nenette et Boni et Vendredi<br />

soir).<br />

Biographie <strong>de</strong><br />

Patrick Ligar<strong>de</strong>s<br />

Au théâtre, Patrick Ligar<strong>de</strong>s a joué sous la direction <strong>de</strong> Nicole Gros (Victor ou les<br />

enfants au pouvoir <strong>de</strong> Roger Vitrac et La Ron<strong>de</strong> <strong>de</strong> A. Schnitzler), Philippe Réache<br />

(Les Rustres <strong>de</strong> Carlo Goldoni, Le Songe d’une nuit d ‘été <strong>de</strong> William Shakespeare,<br />

Arlequin serviteur <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux maîtres <strong>de</strong> Carlo Goldoni et Douze hommes en colère<br />

<strong>de</strong> R. Rose), Elisa Chicaud (La Famille écarlate <strong>de</strong> Jean-Louis Dabadie, La<br />

Résistible ascension d’Arturo UI <strong>de</strong> Bertold Brecht, L’Atelier <strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong><br />

Grumberg, On ne badine pas avec l’amour d’Alfred <strong>de</strong> Musset, Noces <strong>de</strong> paille <strong>de</strong><br />

F. Valon et Les Dames <strong>du</strong> jeudi <strong>de</strong> L. Bellon), Michel Vuillermoz (Master class <strong>de</strong><br />

D. Pownall et Linge sale <strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong> Grumberg), Bernard Lévy (Entre chien et<br />

loup <strong>de</strong> C. Hein) et dans la mise en scène collective <strong>de</strong> André Le Magnifique<br />

(écriture collective, cinq Molières en 1998).<br />

Au cinéma, Patrick Ligar<strong>de</strong>s a joué sous la direction <strong>de</strong> Bernard Stora<br />

(Consentement mutuel), Didier Le Pécheur (Des nouvelles <strong>du</strong> Bon Dieu), Jacques<br />

Audiard (Un héros très discret), Bruno Podalydès (Dieu seul me voit…et Le<br />

Mystère <strong>de</strong> la chambre jaune), Albert Dupontel (Bernie et Le Créateur), James<br />

11


Huth (Serial Lover et Brice <strong>de</strong> Nice), Pierre Salvadori (…comme elle respire),<br />

Thomas Staib et E. Silvestre (André Le Magnifique, Prix spécial <strong>du</strong> Jury <strong>du</strong> Festival<br />

<strong>du</strong> Film <strong>de</strong> Paris), Zakia et Ahmed Bouchaala (Origine contrôlée, rôle principal,<br />

Grand Prix <strong>du</strong> Festival <strong>du</strong> Film Français <strong>de</strong> Florence et Prix <strong>de</strong> la Critique et Prix<br />

<strong>du</strong> Public <strong>du</strong> Festival <strong>de</strong> l’Alpe d’Huez 2001), Samuel Tasinage (Objectif thune),<br />

Didier Tronchet (Le Nouveau Jean-Clau<strong>de</strong>), Isabelle Nanty (Le Bison), Gilles<br />

Legrand (Malabar Princess), Arthur Joffé (Ne quittez pas), Guillaume Pixie (Le<br />

Souffleur), Jeanne Biras (Au suivant, court métrage), Stéphane Brisset (Le Grand<br />

soir, court métrage) et Hugo Mérival (Gagna, court métrage).<br />

Pour la télévision, Patrick Ligar<strong>de</strong>s a joué sous la direction <strong>de</strong> Jean-Michel Ribes<br />

(Berjac), Marc Angelo (B.R.I.G.A.D. et Lucas Ferre), Denis Amar (La Crim’),<br />

Vincent Monnet (La Crim’) et José Pinheiro (Navarro).<br />

Pour le théâtre, Patrick Ligar<strong>de</strong>s a coécrit André Le Magnifique (Molière 1998,<br />

Meilleur auteur) et pour le cinéma a coscénarisé André Le Magnifique et Madame<br />

Edouard et a écrit Drôle <strong>de</strong> métier (court métrage).<br />

Biographie <strong>de</strong><br />

Anne Saubost<br />

CNSAD, promotion 2001, Jeune Théâtre National jusqu’en 2004, professeurs<br />

Dominique Valadié et Catherine Marnas.<br />

Dans le cadre <strong>de</strong>s ateliers <strong>de</strong> 3 ème année présentés en public, Anna Saubost a joué<br />

sous la direction <strong>de</strong> Caroline Marcadé (L’Inquiétu<strong>de</strong> <strong>de</strong> Valère Novarina), Georges<br />

Aperghis (Autour <strong>de</strong> Hamlet Machine <strong>de</strong> Heiner Müller) et Jacques Lassalle<br />

(Après <strong>de</strong> Jacques Lassalle).<br />

Au théâtre, Anne Saubost a joué sous la direction <strong>de</strong> Christophe Huysman (Les<br />

Repas HYC <strong>de</strong> Christophe Huysman – 2003), Baki Boumaza (Noces à Tipasa, Le<br />

Vent à Djémila, Retour à Tipasa d’Albert Camus – 2002), Amadou Bourou (Pyla<strong>de</strong><br />

<strong>de</strong> Pier Paolo Pasolini), Joris Lacoste et Séverine Batier (Nouvelles révélations sur<br />

le jeune homme) et Gabriel Garran (Autour <strong>de</strong> Kateb Yacine).<br />

Anne Saubost a joué et mis en scène Témoins voyageurs d’après les récits <strong>de</strong><br />

voyages <strong>de</strong> réfugiés.<br />

Au cinéma, Anne Saubost a joué sous la direction <strong>de</strong> Pascal Tessaud (Le Dragon<br />

qui sommeille, court-métrage – 1998).<br />

Anne Saubost a effectué un stage sous la direction <strong>de</strong> Jacques Maillot et Noémie<br />

Lvovsky à la FEMIS.<br />

12


Biographie <strong>de</strong><br />

Eric Verdin<br />

Ecole Supérieure d’Art Dramatique <strong>de</strong> la Ville <strong>de</strong> Paris (1992/ 1995).<br />

Eric Verdin a fondé le Théâtre Gérard Philippe <strong>de</strong> Meaux en 1992, qu’il a codirigé<br />

jusqu’en 1995.<br />

Au théâtre, Eric Verdin a joué sous la direction <strong>de</strong> Marion Bierry (Portrait <strong>de</strong><br />

famille <strong>de</strong> Denise Bonal – 2003 et La Cuisine d’Elvis <strong>de</strong> Lee Hall – 2003 et Après la<br />

pluie <strong>de</strong> Sergi Belbel), J. P. Andréani (Farces sur tréteaux <strong>de</strong> Molière et Courteline<br />

– 2003), Jaka Maré (Bourrage <strong>de</strong> pub, création <strong>de</strong> théâtre invisible – 2003),<br />

Michel Galabru (Moi <strong>de</strong> Labiche – 2003 et Turcaret <strong>de</strong> Lesage - 2000), Elio<br />

Suhamy (Macbeth <strong>de</strong> Shakespeare – 2002), C. Boudé (L’île <strong>de</strong>s esclaves <strong>de</strong><br />

Marivaux – 1996 et George Dandin <strong>de</strong> Molière - 1994), Marie Sylvia Manuel (Le<br />

Bourgeois Gentilhomme <strong>de</strong> Molière – 2001, Les Joyeuses commères <strong>de</strong> Windsor<br />

<strong>de</strong> Shakespeare – 2001 et L’Avare <strong>de</strong> Molière - 1998), J. Seiler (Heureusement que<br />

vous êtes là <strong>de</strong> Roland Dubillard – 2000, Folies concertantes d’après Jarry,<br />

Radiguet et Vian – 1998, Naïves hiron<strong>de</strong>lles <strong>de</strong> Roland Dubillard – 1994 et La Peau<br />

<strong>de</strong>s autres <strong>de</strong> J. Plevnes - 1993), I. Andréani (La Pétillante soubrette <strong>de</strong> Goldoni –<br />

1997 et Le Mariage <strong>de</strong> Figaro <strong>de</strong> Beaumarchais - 1994), P. Delevingne (Le<br />

Mé<strong>de</strong>cin malgré lui <strong>de</strong> Molière – 1998), M. Steen (Les Guerriers <strong>de</strong> Philippe<br />

Minyana – 1998), J. Darnel (On ne badine pas avec l’amour d’Alfred <strong>de</strong> Musset –<br />

1997), C. Rio (Les Fourberies <strong>de</strong> Scapin <strong>de</strong> Molière – 1997), J.P. Hané (Les<br />

Fausses confi<strong>de</strong>nces <strong>de</strong> Marivaux – 1996), E. Rouquette (Vernissage <strong>de</strong> Vaclav<br />

Havel – 1996), L. Collombert (Cucurbitapepo ou La Migraine <strong>du</strong> Siècle <strong>de</strong> Dollé,<br />

Valet et Verdin – 1995), J. C. Dollé (Les Fâcheux <strong>de</strong> Molière – 1995), A. Bourrelier<br />

(La Dispute <strong>de</strong> Marivaux – 1995), P. Giroud (Les Précieuses ridicules <strong>de</strong> Molière –<br />

1994).<br />

Eric Ver<strong>du</strong>n a joué dans Le Killer <strong>de</strong> Jean-Christophe Dollé en 2001 et a participé<br />

à Vous me <strong>de</strong>man<strong>de</strong>z un texte…, création <strong>de</strong> poésie et musique contemporaine<br />

(1999).<br />

Eric Ver<strong>du</strong>n a mis en scène Fibra Austral, opéra <strong>de</strong> J. Radic (Espace Luxembourg<br />

<strong>de</strong> Meaux et tournées - 1998/99), King Arthur, opéra <strong>de</strong> Purcell (Espace<br />

Luxembourg <strong>de</strong> Meaux et tournées – 1995/1996), Roberto Zucco <strong>de</strong> Koltès (T.G.P.<br />

<strong>de</strong> Meaux- 1994), En attendant Godot <strong>de</strong> Beckett (T.G.P. <strong>de</strong> Meaux – 1993) et Les<br />

Bâtisseurs d’empire ou le schmürtz <strong>de</strong> Vian (Meaux – 1991).<br />

Au cinéma, Eric Ver<strong>du</strong>n a joué sous la direction <strong>de</strong> Eric Louis (Amour, court<br />

métrage – 1992), Bertrand Di Cesare (La Mouche, court métrage – 1993),<br />

Christophe Dorgebray (Lettres décousues, court métrage – 1998), Sidney<br />

Goyvaertz (Mangez car ceci est ma cigogne – 2002) et Clotil<strong>de</strong> Morgiève (Trois<br />

petits points, court métrage – 2003).<br />

Pour la radio, Eric Ver<strong>du</strong>n a travaillé avec France culture (Sens interdit <strong>de</strong> A.<br />

Salacrou – 1996) et France Inter (Nuit Blanche/ Nuit Noire et Questions pour<br />

l’histoire <strong>de</strong>puis 2000).<br />

Pour la télévision Eric Verdin a joué sous la direction <strong>de</strong> Georges Folgoas<br />

(Turcaret – 2001).<br />

13


Eric Verdin a enregistré le disque Les Nouvelles révélations <strong>de</strong> l’être sur <strong>de</strong>s textes<br />

d’Artaud et Haïku japonais sur <strong>de</strong>s musiques <strong>de</strong> G. Finzi et C. Chaynes en 2000.<br />

En tant qu’auteur, Eric Verdin a écrit Cucurbitapepo ou la migraine <strong>de</strong> siècle<br />

(coécrit avec Matthieu Valet et Jean-Christophe Dollé) et Claouns (c)rèvent !<br />

(rires) en 2003.<br />

Biographie <strong>de</strong><br />

Jean-Clau<strong>de</strong> Camors (musique)<br />

Violoniste, chanteur, artiste musicien. Premier violon <strong>du</strong> groupe « Le Quatuor »,<br />

<strong>de</strong>puis 1989.<br />

Jean-Clau<strong>de</strong> Camors a créé au sein <strong>de</strong> cette formation <strong>de</strong> nombreux spectacles,<br />

dont notamment :Violons dingues, récompensé en 1994 par le Molière <strong>du</strong><br />

meilleur spectacle musical, Le Diable aux Cor<strong>de</strong>s également récompensé en 1998<br />

par un Molière et une Victoire <strong>de</strong> la Musique, et Sur la cor<strong>de</strong> rêve récompensé en<br />

2003 par un Molière.<br />

Cette formation a efféctuée <strong>de</strong> nombreuses tournées en France et à l’étranger.<br />

Jean-Clau<strong>de</strong> Camors a composé <strong>de</strong>s musiques pour la Danse dès 1978, animé et<br />

accompagné <strong>de</strong> nombreux stages avec divers chorégraphes, dont Carolyn Carlson.<br />

En 1989 Jean-Clau<strong>de</strong> Camors a rencontré Jean-Michel Ribes, auteur et metteur en<br />

scène, pour composer la musique <strong>du</strong> spectacle : Impression d’Europe.<br />

D’autres compositions pour les créations <strong>de</strong> Jean-Michel Ribes se sont alors<br />

succédées : Rêver peut-être <strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong> Grumberg, Teddy, Les nouvelles<br />

brèves <strong>de</strong> comptoir <strong>de</strong> Jean-Marie Gourio, Amorphe d’Ottenburg <strong>de</strong> Jean Clau<strong>de</strong><br />

Grumberg, Théâtre sans animaux <strong>de</strong> Jean-Michel Ribes, La priapée <strong>de</strong>s écrevisses<br />

<strong>de</strong> Christian Siméon, Le Complexe Thénardier <strong>de</strong> José Pliya et Guy Bedos à<br />

l’Olympia. Jean-Clau<strong>de</strong> Camors a participé avec le Quatuor à l’enregistrement <strong>de</strong>s<br />

musiques <strong>de</strong> Beethoven pour Le Jardin aux betteraves <strong>de</strong> Roland Dubillard.<br />

Jean-Clau<strong>de</strong> Camors a composé les musiques <strong>de</strong> Antigone d’Anouilh et Futur<br />

conditionnel <strong>de</strong> Xavier Daugreilh, mis en scène par Nicolas Briançon et L’amour<br />

est enfant <strong>de</strong> salaud d’Alan Aickbourn, mise en scène <strong>de</strong> José Paul.<br />

Biographie <strong>de</strong><br />

Juliette Chanaud (costumes)<br />

Au théâtre, Juliette Chanaud a créé les décors et les costumes <strong>de</strong> spectacles mis en<br />

scène par Jean-Marie Besset et Gilbert Désveaux (Oncle Paul d’Austin Pendleton–<br />

2003), Jean-Michel Ribes (Gwenaelle Simon – 2000, Les Talons <strong>de</strong>vants <strong>de</strong><br />

Patrick Bosso – 1997 et Cirque à <strong>de</strong>ux <strong>de</strong> Barry Creyton - 1994), Jean-Louis<br />

Bourbon (Derrière les collines – 1997), Jean Benguigui (C’était l’automne <strong>de</strong><br />

14


Jean-Louis Bourdon – 1997), Jacques Decombe (Tout baigne – 1994, Patrick<br />

Timsit au théâtre Tristan Bernard - 1992 puis au Palais <strong>de</strong>s Glaces – 1993) et<br />

Patrick Timsit (M.D.Z. – 1992).<br />

Juliette Chanaud a créé les costumes <strong>de</strong> spectacles mis en scène par Didier Long<br />

(Mathil<strong>de</strong> <strong>de</strong> Véronique Olmi – 2003), Mohamed Rouhabi (Provi<strong>de</strong>nce café –<br />

2003), Jean-Michel Ribes (François Rollin – 2003, L’Enfant do <strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong><br />

Grumberg – 2002, Théâtre sans animaux <strong>de</strong> Jean-Michel Ribes – 2001, Jeffray<br />

Bernard est souffrant <strong>de</strong> Keith Waterhouse – 2000, Nouvelles brèves <strong>de</strong> comptoir<br />

– 1999, Rêver peut-être <strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong> Grumberg – 1998, Brèves <strong>de</strong> comptoir -<br />

1994 et Batailles <strong>de</strong> Roland Topor - 1992), Jean-Marie Besset et Gilbert Désveaux<br />

(Baron <strong>de</strong> Jean-Marie Besset – 2002), Stéphan Mel<strong>de</strong>gg (Alarmes <strong>de</strong> Mickael<br />

Frain – 2000 et Les Lunettes d’Elton John - 1999), Roger Louret (Tu me squattes<br />

– 2000), Jean-Luc Moreau (Ma femme s’appelle Maurice <strong>de</strong> Raffy Shart – 1998 et<br />

Silence en coulisse <strong>de</strong> Michael Frayn - 1993), Clau<strong>de</strong> Confortés (Le Vieux et le<br />

perroquet <strong>de</strong> Gérard Gelas – 1998), John Berry (Qui a peur <strong>de</strong> Virginia Woolf<br />

d’Edward Albee – 1996), Jean Bouchaud (La Chambre d’ami <strong>de</strong> Loleh Bellon –<br />

1995), Isabelle Nanti (Un couple infernal – 1993), Jacques Decombe (Charité bien<br />

ordonnées 1991), Patrick Timsit (El Secundo <strong>de</strong> Bill Baxter – 1990) et Nicolas<br />

Erera (Jango Edouards – 1990).<br />

Au cinéma, Juliette Chanaud a créé les costumes <strong>de</strong> films réalisés par Robert<br />

Guédiguian (Le Promeneur <strong>du</strong> Champs Mars – 2004, Mon père est ingénieur -<br />

2003), Patrick Timsit (L’Américain – 2003, Quelqu'un <strong>de</strong> bien – 2001 et<br />

Quasimodo - 1998), O. Ducastel et J. Martineau (Ma vraie vie à Rouen – 2002,<br />

Drôle <strong>de</strong> Félix – 1999 et Jeanne et le garçon formidable - 1997), Richard Berry (Le<br />

Beau sexe – 2000), Jean-François Richet (De l’amour – 1999), Th. Staib et E.<br />

Sylvestre (André le magnifique – 1999), Philippe <strong>de</strong> Chauvron (Les Parasites –<br />

1998), Jean-Michel Ribes (Coup <strong>de</strong> théâtre – 1996, Coup <strong>de</strong> maître – 1996,<br />

Faisons un rêve – 1995 et Chacun pour toi - 1993), Mathieu Amalric (Mange ta<br />

soupe – 1996), Alain Tasma (Parents à mi-temps – 1995), Bruno Podalydés (Dieu<br />

seul me voit – 1995) et Bernard Nauer (On the road again – 1994).<br />

15


Biographie <strong>de</strong><br />

Patrick Dutertre (décor)<br />

Au théâtre, Patrick Dutertre a créé les décors et costumes <strong>de</strong>s spectacles La Leçon<br />

<strong>de</strong> Ionesco, Propriété condamnée <strong>de</strong> Tennesse Williams, En pleine mer <strong>de</strong><br />

Mrozeck, Phèdre <strong>de</strong> Racine (mise en scène Antoine Vitez), Les Caprices <strong>de</strong><br />

Marianne <strong>de</strong> Alfred De Musset (mise en scène R. Fortune), Perspectives<br />

ultérieures <strong>de</strong> F.X Kroetz (mise en scène G. Atlan), Le Dîner <strong>de</strong> Lina <strong>de</strong> Philippe<br />

Minyana (mise en scène Stéphanie Loïc), Class Enemy <strong>de</strong> N. Williams (mise en<br />

scène J.M Dupuis), Exposition <strong>de</strong> Philippe Minyana (mise en scène P. Tabart),<br />

L’Indien cherche le bronx <strong>de</strong> I. Horowitz (mise en scène Stéphanie Loïc), Le Pont<br />

<strong>de</strong>s soupirs <strong>de</strong> J. Offenbach (mise en scène Jean-Michel Ribes), Le Rire <strong>de</strong> David<br />

<strong>de</strong> Victor Haïm (mise en scène J. Bouchaud), Entrevue au parloir <strong>de</strong> F. Seltz (mise<br />

en scène J. Bouchaud), Tout contre un petit bois, La Cuisse <strong>du</strong> steward <strong>de</strong> Jean-<br />

Michel Ribes (mise en scène Jean-Michel Ribes), La Tête dans les nuages <strong>de</strong> M.<br />

Delaruelle (mise en scène J. Bouchaud), Papier d’Arménie <strong>de</strong> J.J Varougean (mise<br />

en scène A. Bénichou), Désiré <strong>de</strong> Sacha Guitry (mise en scène J. Echantillon), Le<br />

Chasseur <strong>de</strong> lions <strong>de</strong> J. Toméo (mise en scène J.J Préau), Tedy <strong>de</strong> J.C Bourdon<br />

(mise en scène Jean-Michel Ribes), Amorphe d’Ottenburg <strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong><br />

Grumberg (mise en scène Jean-Michel Ribes), La Priapée <strong>de</strong>s écrevisses <strong>de</strong> C.<br />

Siméon (mise en scène Jean-Michel Ribes), Le Complexe <strong>de</strong> Thénardier <strong>de</strong> José<br />

Pliya (mise en scène Jean-Michel Ribes).<br />

Au théâtre, Patrick Dutertre a créé les costumes <strong>de</strong>s spectacles mis en scène par<br />

J.L Martin Barbaz (Antigone <strong>de</strong> Brecht), Antoine Vitez (Pique-nique <strong>de</strong> Claretta<br />

<strong>de</strong> R. Kalinski), Hamma Meliani (Dernière prosopée <strong>de</strong> K. Eddine), R.<br />

Weingarten (Le Loup-garou <strong>de</strong> Roger Vitrac), Jean-Michel Ribes (La Cagnotte<br />

d’Eugène Labiche), Jean-Louis Martinelli (Cal<strong>de</strong>ron <strong>de</strong> Pasolini, Le Jugement<br />

<strong>de</strong>rnier <strong>de</strong> B. H Lévy, Les Marchands <strong>de</strong> gloire <strong>de</strong> Pagnol, Roberto Zucco <strong>de</strong><br />

Bernard-Marie Koltès, L’Année <strong>de</strong>s treize lunes, Voyage à l’intérieur <strong>de</strong> la<br />

tristesse <strong>de</strong> Fassbin<strong>de</strong>r, Andromaque <strong>de</strong> Racine, Germania 3-Les Spectres <strong>du</strong><br />

Mort-homme <strong>de</strong> Heiner Müller, Thomas Bernhard Comédies, Emmanuel Kant<br />

Comédie <strong>de</strong> Thomas Bernhard, Œdipe le Tyran <strong>de</strong> Sophocle, Le Deuil sied à<br />

Electre d’Eugène O’Neill, Catégorie 3.1 <strong>de</strong> Lars Noren, Platonov <strong>de</strong> Tchekov Jenufa<br />

<strong>de</strong> Janacck, Médée <strong>de</strong> Max Rouquette et Les Sacrifiés <strong>de</strong> Laurent Gaudé), S.<br />

Amouval (Erasme, le voyage à Bâle <strong>de</strong> P. Laville), Alain Fromager (Music-hall <strong>de</strong><br />

Jean-Luc Lagarce).<br />

Au théâtre, Patrick Dutertre a créé les décors, notamment, <strong>de</strong>s spectacles mis en<br />

scène par Roger Planchon (Gilles <strong>de</strong> Rais, Folies bourgeoises, Théâtres d’Arthur<br />

Adamov <strong>de</strong> Roger Planchon), Jean-Michel Ribes (Brèves <strong>de</strong> comptoir <strong>de</strong> Jean-<br />

Marie Gourio) et Didier Long (Mathil<strong>de</strong> <strong>de</strong> Véronique Olmi).<br />

Patrick Dutertre a présenté en 1981 sa première exposition personnelle à la<br />

Maison <strong>de</strong> la Culture Pablo Picasso à Nanterre. Il a travaillé également, à l’image<br />

<strong>de</strong> marque <strong>de</strong> Fashion Group, a réalisé <strong>de</strong>s projets <strong>de</strong> sacs et posters pour<br />

Bloomingdale’s à New-York.<br />

16


Pour l’audiovisuel, Patrick Dutertre a travaillé pour les opéra-vidéos pro<strong>du</strong>its par<br />

l’Ina, <strong>de</strong>s films publicitaires et créé les décors et les costumes <strong>de</strong> la série Palace<br />

réalisée par Jean-Michel Ribes.<br />

Biographie <strong>de</strong><br />

Jean-Clau<strong>de</strong> Gallotta (chorégraphie)<br />

Jean-Clau<strong>de</strong> Gallotta a découvert la danse alors qu’il était étudiant dans l’Ecole<br />

d’Art <strong>de</strong> sa ville d’origine, Grenoble. Il interrompt ses étu<strong>de</strong>s pour expérimenter<br />

<strong>de</strong> nouvelles formes <strong>de</strong> récit exploitant son propre corps et celui <strong>de</strong> danseurs.<br />

Depuis ; Jean-Clau<strong>de</strong> Gallotta a créé <strong>de</strong>s spectacles où se mêlent différentes<br />

disciplines dans <strong>de</strong>s lieux aussi divers qu’éclatés.<br />

A l’occasion d’un séjour à New York à la fin <strong>de</strong>s années 70, Jean-Clau<strong>de</strong> Gallotta a<br />

découvert les univers <strong>de</strong> la post-mo<strong>de</strong>rn dance américaine : Merce Cunningham,<br />

Bob Wilson, Yvonne Rainer, Lucinda Childs, Trisha Brown, Douglas Dunn …<br />

Jean-Clau<strong>de</strong> Gallotta a créé en 1979 le Groupe Emile Dubois, réunissant danseurs,<br />

comédiens, musiciens et plasticiens. Avec <strong>de</strong>s spectacles imaginés en <strong>de</strong>s lieux<br />

spécifiques, le Groupe Emile Dubois est accueilli, en 1980, à la Maison <strong>de</strong> la<br />

Culture <strong>de</strong> Grenoble. Il <strong>de</strong>vient, en 1984, Centre Chorégraphique National <strong>de</strong><br />

Grenoble.<br />

De 1986 à 1990, Jean-Clau<strong>de</strong> Gallotta a assuré la direction <strong>de</strong> la Maison <strong>de</strong> la<br />

Culture <strong>de</strong> Grenoble, rebaptisé Le Cargo et <strong>de</strong>vient ainsi le premier chorégraphe<br />

nommé à la tête d’une Scène Nationale.<br />

Les pièces <strong>de</strong> la compagnie s’égrènent au fil <strong>du</strong> temps : Pas <strong>de</strong> Quatre (1980),<br />

Mouvements et Ulysse (1981), Gran<strong>de</strong>ur Nature (1982), Daphnis & Chloé, Yves P.<br />

et Pandora (1986), Docteur Labus (1988), Les Mystères <strong>de</strong> Subal (1990), La<br />

Légen<strong>de</strong> <strong>de</strong> Roméo et Juliette (novembre 1991 à l’occasion <strong>du</strong> Festival Olympique<br />

<strong>de</strong>s Arts d’Albertville), La Légen<strong>de</strong> <strong>de</strong> Don Juan (juin 1992 pour l’Exposition<br />

Universelle <strong>de</strong> Séville, en copro<strong>du</strong>ction avec le Festival d’Avignon), Ulysse<br />

(version 1993), Prémonitions (1994), La Tête contre les Fleurs (1995), Rue <strong>de</strong><br />

Palanka (1996), Docteur Labus (version 1996), La Rue (1997), Mammame<br />

(version 1998), Presque Don Quichotte et L’Incessante (1999). Les Larmes <strong>de</strong><br />

Marco Polo (2000) ont fait l’objet d’une tournée en Chine, Corée, Thaïlan<strong>de</strong> et au<br />

Japon. En mai 2002, a été créé 99 <strong>du</strong>os au Théâtre National <strong>de</strong> Chaillot. Sa<br />

<strong>de</strong>rnière pièce Trois Générations a été créée en mars 2003 à La Rampe –<br />

Echirolles (création initialement prévue au Festival d’Avignon en 2003).<br />

Plusieurs œuvres <strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong> Gallotta sont au répertoire <strong>de</strong>s Ballets <strong>de</strong> l’Opéra<br />

<strong>de</strong> Paris et Opéra <strong>du</strong> Rhin, Ballets <strong>du</strong> Nord et <strong>de</strong> Lorraine, et celui <strong>du</strong> Théâtre San<br />

Martin <strong>de</strong> Buenos Aires.<br />

Le chorégraphe a développé une collaboration soutenue avec le Japon et<br />

notamment le metteur en scène Tadashi Suzuki. De 1997 à 2000, il a con<strong>du</strong>it le<br />

Département <strong>de</strong> danse <strong>du</strong> nouvel ensemble culturel <strong>de</strong> Shizuoka, formant et<br />

dirigeant une compagnie permanente <strong>de</strong> huit interprètes japonais.<br />

17


Biographie <strong>de</strong><br />

Marie Nicolas (lumière)<br />

Marie Nicolas a suivi une formation à l’école <strong>du</strong> Théâtre National <strong>de</strong> Strasbourg<br />

(section régie) <strong>de</strong> 1978 à 1980.<br />

En tant qu’assistante à la mise en scène, Marie Nicolas a travaillé sur Le Neveu <strong>de</strong><br />

Rameau <strong>de</strong> Di<strong>de</strong>rot mise en scène Jean-Marie Simon, Cartoucherie – 1981, Les<br />

fiancés <strong>de</strong> la banlieue ouest <strong>de</strong> Bruno Bayen et Louis-Charles Sirjacq mis en scène<br />

Bruno Bayen, MC Bobigny – 1981.<br />

En tant qu’éclairagiste, Marie Nicolas a travaillé avec le metteur en scène Bruno<br />

Bayen (Plaidoyer pour les larmes d’Héraclite, <strong>de</strong> Bruno Bayen, Chaillot – 2003, La<br />

fuite en Egypte, <strong>de</strong> Bruno Bayen, Théâtre <strong>de</strong> Gennevilliers – 1998, Weimarland <strong>de</strong><br />

Bruno Bayen, Théâtre <strong>de</strong> la Bastille – 1992, Elle <strong>de</strong> Jean Genet, Théâtre <strong>de</strong><br />

Gennevilliers – 1990, Torquato Tasso <strong>de</strong> Goethe, Odéon – 1989, Œdipe à Colone<br />

<strong>de</strong> Sophocle, Festival d’Avignon – 1987, Chapeau <strong>de</strong> paille d’Italie <strong>de</strong> Labiche,<br />

Comédie-Française - 1986, Faut-il rêver, faut-il choisir ? <strong>de</strong> B. Bayen, Chaillot -<br />

1985, Iphigénie en Tauri<strong>de</strong> <strong>de</strong> Gluck, Opéra <strong>de</strong> Lyon – 1983 et Schliemann <strong>de</strong> B.<br />

Bayen, Chaillot – 1982), l’auteur et metteur en scène Louis-Charles Sirjacq (La<br />

conférence sur Kafka <strong>de</strong> Louis Charles Sirjacq, Théâtre <strong>de</strong> l’Athénée – 1994,<br />

L’odyssée dans un verre <strong>de</strong> gin <strong>de</strong> Lousi Charles Sirjacq, Festival d’Innsbruck –<br />

1993, Duo <strong>du</strong> balcon <strong>de</strong> Louis Charles Sirjacq, Le Maillon – 1990, Léo Katz et ses<br />

œuvres <strong>de</strong> LC Sirjacq, Festival d’Avignon – 1991 et Exquise banquise écrit et mis<br />

en scène par LC Sirjacq, Théâtre <strong>de</strong> Saint-Denis – 1983), Jean-Louis Martinelli<br />

(Les sacrifiées <strong>de</strong> Laurent Gaudé, Théâtre Nanterre-Amandiers – 2004, Médée <strong>de</strong><br />

M. Rouquette, Théâtre Nanterre-Amandiers - 2003 , Jenufa <strong>de</strong> Janacek, Opéra <strong>de</strong><br />

Nancy – 2002, Platonov <strong>de</strong> Tchékhov, Théâtre Nanterre-Amandiers – 2002 et Le<br />

<strong>de</strong>uil sied à Electre <strong>de</strong> E. O’Neill, Théâtre National <strong>de</strong> Strasbourg – 1999), Didier<br />

Bezace (Le square <strong>de</strong> M. Duras, Théâtre d’Aubervilliers – 2004, L’école <strong>de</strong>s<br />

femmes <strong>de</strong> Molière, Festival d’Avignon – 2002 et Le Colonel Oiseau <strong>de</strong> H.<br />

Boytchev, Festival d’Avignon – 1999), Jérôme Kircher et Irène Jacob (Je sais qu’il<br />

existe aussi <strong>de</strong>s amours réciproques d’après «Gros câlins » <strong>de</strong> R. Gary, TNB –<br />

2004), Jacques Nichet (Antigone <strong>de</strong> Sophocle, TNT – 2004, Mesure pour mesure<br />

<strong>de</strong> Shakespeare, TNT- 2001, Combat <strong>de</strong> nègres et <strong>de</strong> chiens <strong>de</strong> BM Koltès, TNT –<br />

2001, Silence complice <strong>de</strong> D. Keene, TNT – 1999, Casimir et Caroline <strong>de</strong> Horvath,<br />

TNT – 1999, La tragédie <strong>du</strong> roi Christophe d’A. Césaire, Festival d’Avignon –<br />

1996, Retour au désert <strong>de</strong> BM Koltès, Théâtre <strong>de</strong> la Ville – 1995, Le magicien<br />

prodigieux <strong>de</strong> Cal<strong>de</strong>ron, Corum <strong>de</strong> Montpellier - 1990, Le baladin <strong>du</strong> mon<strong>de</strong><br />

occi<strong>de</strong>ntal <strong>de</strong> Synge, CDN Montpellier – 1989, Le triomphe <strong>de</strong> l’amour <strong>de</strong><br />

Marivaux, Printemps <strong>de</strong>s comédiens Montpellier – 1988, Le rêve <strong>de</strong> d’Alembert<br />

<strong>de</strong> Di<strong>de</strong>rot, CDN Montpellier – 1987 et La savetière prodigieuse <strong>de</strong> FG Lorca, CDN<br />

Montpellier – 1986).<br />

Marie Nicolas a réalisé également <strong>de</strong>s lumières pour Daniel Mesguisch, D.<br />

Pitoiset, J. Dautremay, D. Emilfock et Frédéric Leidgens, M. Deutsch, J.J. Préau,<br />

18


A. Torrès, J.P. Wenzel, J.L. Benoît, C. Lasne, A. Hakim, E. Chailloux, M. Bozonnet,<br />

C. Gauthier, V. Yordanoff et G. Marlon.<br />

Marie Nicolas a réalisé les lumières pour la cérémonie <strong>du</strong> transfert <strong>de</strong>s cendres<br />

d’André Malraux au Panthéon, projet Jean-Paul Chambas-R.Labeyrie-A.Mazet,<br />

1996.<br />

Biographie <strong>de</strong><br />

Éric Vernhes (vidéo)<br />

Après <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s d’architecture avec Paul Virilio, Eric Vernhes s'est orienté vers le<br />

cinéma et a travaillé en pro<strong>du</strong>ction cinématographique aux côtés d’Anatole<br />

Dauman. Celui-ci lui a offert la possibilité d’écrire et <strong>de</strong> réaliser ses premiers<br />

projets <strong>de</strong> fiction et <strong>de</strong> documentaire. Lauréat <strong>du</strong> prix <strong>de</strong> scénarios Michel<br />

d’Ornano <strong>du</strong> festival <strong>de</strong> Deauville, Éric Vernhes s’est essayé à différents type<br />

d’écriture et <strong>de</strong> réalisation pour le cinéma et la télévision puis a fondé sa propre<br />

structure <strong>de</strong> pro<strong>du</strong>ction.<br />

Cherchant <strong>de</strong>s mo<strong>de</strong>s d’expressions plus intuitifs et moins « conçus » que dans<br />

l’audiovisuel conventionnel, il en vient à pratiquer la vidéo expérimentale, puis à<br />

développer <strong>de</strong>s outils informatiques permettant <strong>de</strong> con<strong>de</strong>nser les phases <strong>de</strong><br />

montage, traitement <strong>de</strong> l’image et diffusion en une seule opération. Cette<br />

recherche prendra la forme <strong>de</strong> performances mensuelles, pendant plus d’un an, à<br />

la « Maroquinerie », à Paris, en compagnie <strong>du</strong> musicien Serge Adam. De cette<br />

expérience autour <strong>de</strong> l’interaction image/son est né le collectif « 4.1 » réunissant,<br />

au côté d’Eric Vernhes, Serge Adam, Benoît Delbecq, Gil Coronado et Marc<br />

Chalosse, tous musiciens improvisateurs.<br />

Éric Vernhes a développé également <strong>de</strong>s collaborations avec la scène musicale<br />

conventionnelle (Rodolphe Burger et Alain Bashung pour la Cité <strong>de</strong> la Musique en<br />

2003) puis abor<strong>de</strong> le mon<strong>de</strong> <strong>du</strong> théâtre, notamment avec Jérôme Kircher et Irène<br />

Jacob pour Je sais qu'il existe aussi <strong>de</strong>s amours réciproques d'après Romain Gary<br />

(Bouffes <strong>du</strong> Nord 2004), et Thierry Poquet (Ogre, d'après Larry Tremblay).<br />

Revenant ainsi vers la narration après avoir détourné les technologies numériques<br />

dans le sens d'une "interprétation" en temps réel <strong>de</strong>s images, il s'inscrit dans<br />

cette mouvance <strong>du</strong> "nouveau cinéma" qui se propose <strong>de</strong> faire <strong>de</strong> l'audiovisuel un<br />

spectacle vivant, en se détachant <strong>de</strong> la rigidité <strong>du</strong> montage linéaire et <strong>du</strong> support<br />

enregistré.<br />

19


Informations pratiques<br />

Comment se rendre<br />

au Théâtre <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong> ?<br />

2 bis avenue Frankiln D. Rossevelt 75008 Paris<br />

Tél : 01 44 95 98 00 – Fax : 01 40 75 04 48<br />

Métro : Champs-Elysées Clemenceau (ligne 1 et 13)<br />

Métro : Franklin D. Rossevelt (ligne 1 et 9)<br />

Bus : 28, 42, 49, 73, 80, 93<br />

Parking : 18 avenue <strong>de</strong>s Champs-Elysées<br />

La location est ouverte 14 jours<br />

avant la date <strong>de</strong> représentation<br />

Réservation par téléphone<br />

01 44 95 98 21 <strong>de</strong> 11h00 à 19h00 <strong>du</strong> lundi au vendredi<br />

0 892 701 603 (0,34 euros/min) <strong>du</strong> lundi au samedi <strong>de</strong> 9h à 20h<br />

Fermé les dimanches et jours fériés<br />

Au théâtre<br />

Du mardi au samedi <strong>de</strong> 12h à 19h<br />

Le dimanche <strong>de</strong> 12h à 16h les jours <strong>de</strong> représentations<br />

Sur le site internet<br />

www.theatre<strong>du</strong>rondpoint.fr<br />

Autres points <strong>de</strong> ventes<br />

Fnac, Virgin, Agences, CROUS, Le Kiosque<br />

www.theatreclic.com<br />

www.theatreonline.com<br />

www.lastminute.com<br />

www.divento.com<br />

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Les tarifs<br />

Salle Renaud-Barrault<br />

Plein tarif/28 euros<br />

Groupe (8 personnes minimum), plus <strong>de</strong> 60 ans/18 euros<br />

Deman<strong>de</strong>urs d’emploi/15euros<br />

Moins <strong>de</strong> 30 ans/12 euros<br />

Cartes Imagin’R/8,5 euros<br />

Les horaires<br />

Salle Renaud-Barrault<br />

Du mardi au samedi à 20h30 – Dimanches à 15h<br />

Salle Jean Tardieu<br />

Du mardi au samedi à 21h – Dimanches à 15h30<br />

Salle Roland Topor<br />

Du mardi au samedi à 21h – Dimanches à 15h30<br />

La carte<br />

Autant <strong>de</strong> spectacles que vous voulez, quand vous voulez, à un tarif préférentiel<br />

pour vous et la personne <strong>de</strong> votre choix.<br />

Prix <strong>de</strong> la carte 23 euros, ré<strong>du</strong>it (groupes, plus <strong>de</strong> 60 ans, intermittents,<br />

chômeurs) 20 euros, moins <strong>de</strong> 30 ans 10 euros<br />

Prix d’une place : 16 euros pour le plein tarif, 13 euros pour les tarifs ré<strong>du</strong>it, 7,5<br />

euros pour les moins <strong>de</strong> 30 ans au lieu <strong>de</strong> 28 euros.<br />

L’abonnement<br />

L’abonnement doit compter au minimum 6 spectacles dont 3 en salle Renaud-<br />

Barrault et 1 en salle Jean Tardieu.<br />

Salle Renaud-Barrault /13 euros Salle Jean Tardieu /13 euros<br />

Salle Roland Topor /13 euros<br />

La carte et l’abonnement vous donnent droit à <strong>de</strong>s tarifs ré<strong>du</strong>its au restaurant<br />

et à la librairie <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong>, au cinéma le Balzac, ainsi que chez nos partenaires<br />

le Palais <strong>de</strong> Tokyo, le Palais <strong>de</strong> la Découverte, l’Institut <strong>du</strong> Mon<strong>de</strong> Arabe et la<br />

Villette.<br />

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