Bonjour, voilà mon témoignage, j'espère qu'il vous conviendra

Ils ont choisi la filière technologique en
électrotechnique, nos anciens élèves
présentent, dans leurs termes, leur
perception de cette filière et ce qu'ils
deviennent.
Quentin Bruyère, Promotion 2009
Bonjour, je suis Bruyère Quentin, j'étais un élève du Lycée Pierre-Gilles de Gennes, j'y
ai passé mon BAC STI génie Electrotechnique.
Après ce BAC qui est assez intéressant, vous avez la possibilité d'intégrer une multitude
de cursus différents ou simplement continuer dans la filière de l'électrotechnique.
Pour ma part, je viens d'intégrer l'Epitech (European Institute of Information
Technology) qui est une grande école d'expertise informatique (Titre homologué
par l'Etat - niveau 1 (CNCP) ).
J'ai donc, comme vous avez du le comprendre, choisi une filière totalement différente
et le fait de sortir de STI ne m'a posé aucun problème.
Ce BAC est comme les autres, je dirais même qu'il est fait pour les gens qui n'ont pas
forcément la possibilité d' aller en S mais de pouvoir sortir avec un BAC scientifique qui
est certes plus restreint au niveau de la poursuite d' étude mais pas moins intéressant.
Après ce BAC vous avez la possibilité de poursuivre sur une faculté, DUT, BTS ou
encore école préparatoire pour intégrer une école d'ingénieur (ne vous inquiété pas, il y
a des écoles préparatoires spécifiques pour les élèves sortant de STI, mais cela ne veut
pas dire moins efficaces que les autres, souvent après au sein de l'école d'ingénieur
nous ne voyons quasiment aucune différence de niveau.
Je viens ici témoigner en la faveur du BAC STI qui pour moi a été une très bonne
expérience même si ce n'était pas dans cette voie que je me voyais travailler, un BAC
avec une ouverture de portes dans la poursuite des études beaucoup plus grande que ce
que les gens pensent."

Coraline QUIEVRE, Promotion 2008
Je suis Coraline Quièvre et j'ai eu mon BAC Electrotechnique au lycée Pierre Gilles de
Gennes (et même avec une mention !) et je suis actuellement en BTS Commerce
International à Aix en Provence.
Et oui ! Malgré que ce soit une filière technologique il y a des filles, et je peux vous dire
que certaines fois c'est plus un avantage qu'un inconvénient.
J'ai choisi de faire un bac STI Génie électrotechnique car au départ je voulais devenir
ingénieur, je m'étais renseignée et avec cette filière c'est possible (à condition d'avoir
de bons résultats).
Donc me voila partie pour deux ans dans une classe où il n'y avait que des garçons, et
avec des grands moments de solitude comme lorsque qu'au premier cours de Mécanique
je pose la question: "Monsieur c'est quoi un piston ?" (alors que pour toute ma classe le
mot piston faisait parti de leurs premiers mots prononcés). Et oui moi dans le camion
Barbie on ne pouvait pas ouvrir le capot !
Le fait d'avoir fait cette filière m'a permis de me formater l'esprit, et d'acquérir une
certaine manière de voir les choses. Ce que j'ai aimé dans cette filière c'est
d'apprendre comment les choses qui nous entourent tous les jours, dont on se sert,
fonctionnent. En plus d'être intéressantes, les classes de ce BAC ont souvent de très
bonnes ambiances.
L'avantage par rapport aux Bac généraux c'est que l'on peut obtenir de bonnes notes en
bossant un minimum.
On peut penser qu'un BAC comme celui-là nous ferme beaucoup de portes, mais ce n'est
pas vrai, car nous n'avons pas tous continués dans le domaine de l'électrotechnique et
cela ne nous pénalise pas. La seule erreur à ne pas faire lorsque nous entrons en
première c'est d'abandonner sa 2ème langue vivante, car celle-ci peut servir lors
des admissions post-bac.
Le mieux c'est de faire ce BAC dans un lycée comme le PGDG car il y a de très bons
profs et une superbe ambiance, c'est quand même mieux de travailler dans des
conditions comme celles qu'on a eues.
De plus les profs de STI Génie électrotechnique entretiennent le contact avec les
anciens élèves en organisant chaque année un rassemblement des anciens.
Encore un grand merci à tous mes anciens profs et à ce lycée.
Quièvre Coraline

Sylvain GARNIER, Promotion 2008
Après avoir effectué une seconde option MPI (Mesures Physiques et Informatiques) à
Gap, j'ai choisi d'intégrer une première STI - Génie Electrotechnique - au lycée PGDG à
Digne (aucune filière générale ne m'intéressait).
L'option MPI m'a permis d'avoir quelques facilités au début de la première STI ELT.
Il suffit ensuite de suivre attentivement les cours, accompagné d'un travail personnel
moins important (pour ma part) qu'en filière générale.
L'augmentation des heures de Travaux Pratiques en terminale (études de nombreux
systèmes, réalisation de câblages, mise en place d'automatismes, ...) permet d'appliquer
pratiquement tout ce qui a été vu en cours, et donc de comprendre plus facilement des
matières comme l'électrotechnique, la mécanique ou encore la physique.
Et me voilà avec mon BAC STI ELT - Mention Bien (!) - en poche.
Ensuite, beaucoup de portes s'offrent à vous.
J'ai choisi pour ma part de préparer un Diplôme Universitaire de Technologie (DUT) -
Génie Electrique et Informatique Industrielle (GEII1) - à l'IUT1 de Grenoble.
Le bac STI ELT m'a permis d'avoir des aisances pour les travaux pratiques, mais il m'a
fallu ensuite beaucoup plus de travail personnel pour suivre dans les matières
"scientifiques" : analyse mathématique (démonstrations des formules apprises en STI),
physique appliquée...
Grâce à ma présence dans tous les cours, j'ai pu valider ma 1ere année de DUT.
J'envisage l'année prochaine d'effectuer un DUETI (année supplémentaire à
l'étranger), pour, pourquoi pas, revenir avec une Licence Pro.
Puis il faut bien dire que l'ambiance installée par les profs au PGDG, ainsi que leur
présence permettent facilement de s'en sortir, même pour les élèves les plus en
difficulté.
Je conseille donc vivement à tous ceux qui hésitent encore d'intégrer cette filière,
poursuite d'études envisagées ou non !
Sylvain (promo 2008).

Alex MARCANGELLI , Promotion 2009
Ce que m'a apporté la filière S.T.I.
La S.T.I tout d'abord ce n'est pas une filière c'est une manière de voir les choses.
Premièrement la S.T.I permet d'appréhender le monde différemment , cela permet
d'entraîner son esprit à comprendre le fonctionnement de tout ce qui nous entoure car
par exemple on ne fait pas de la mécanique pour faire de la mécanique , on l'applique à du
concret , on peut toucher ce que l'on étudie et avec cela on développe cette capacité à
sentir les choses.
Pour ma part au début ce fut un échappatoire à une «voie de garage» , ayant fait un BEP
avant j'étais destiné à un bac pro mais grâce à la filière S.T.I me voilà en D.U.T génie
thermique et énergie , m'offrant beaucoup plus de perspectives de carrière. Ce fut une
passerelle très bénéfique pour moi et sans elle cela aurait été impossible.
De plus ces deux années furent très enrichissantes, tant sur le plan relationnel ( car une
ambiance de S.T.I c'est forcément une très bonne ambiance ) que scolaire ( car les
domaines enseignés sont très intéressants et ne m'ont jamais ennuyé). Les professeurs
«mis à notre disposition» font tout pour nous aider (et croyez moi cela ne dure pas dans
le supérieur) pour que l'on réussisse et c'est une chance.
Enfin , maintenant que je suis en D.U.T l'enseignement tiré de la S.T.I me sert au
quotidien dans toutes les matières , car les notions abstraites ne le sont plus grâce à la
manière particulière de voir celles-ci. Dans les matières plus techniques et appliquées je
suis très à l'aise car c'est une reprise des matières de notre spécialité de première et
terminale S.T.I ( par exemple dans mon cas : «Bureau d'étude» , c'est de l'étude de
construction S.T.I ).
En conclusion les filières Scientifiques et Technologiques Industrielles (STI) sont des
fenêtres ouvertes sur la compréhension de notre monde et de son fonctionnement et
j'encourage quiconque à les emprunter.
MARCANGELI Alex

Gautier GIACOMELLI, Promotion 2005
Je suis aujourd'hui entre ma deuxième et ma troisième année, aux Arts & Métiers.
"Entre" car j'ai fini la deuxième mais pas encore commencé la troisième. En effet cette
année sera blanche, car le premier semestre j'effectue un stage dans un des labos du
centre de Bordeaux, spécialisé dans l'usinage à grande vitesse des matériaux
aéronautiques. Une expérience en recherche d'ores et déjà riche d'enseignements, car
à la pointe des préoccupations industrielles. Le deuxième semestre, à partir de février,
je pars à l'étranger - je ne sais pas encore où - jusqu'en octobre, afin de peaufiner mon
cursus international.
Tant que j'y pense, je vous livre donc mon témoignage :
"En regardant mon parcours, une certitude s’impose : ce choix, celui de m’orienter
en STI fut le bon.
Après ma seconde généraliste, au PGDG, j’ai choisi la filière STI. Probablement
parce que l’enseignement pratique m’attirait plus. Le besoin de concret en quelque
sorte. Je me suis ainsi retrouvé en Génie Electrotechnique, et j’ai obtenu mon bac
STI Génie Electrotechnique avec mention très bien en juin 2005.
J’étais décidé à poursuivre ce beau parcours en école d’ingénieur. Après plusieurs
entretiens pour rejoindre des filières intégrées, je me suis finalement orienté
vers une classe prépa, obligatoirement TSI, à Marseille.
Les deux années de Maths Sup puis Maths Spé ne furent certes pas des plus
passionnantes, mais elles me permirent d’atteindre le niveau nécessaire à la
présentation des concours d'entrée aux grandes écoles. A ce stade je savais déjà
quelle école rejoindre, et je l’ai obtenue.
Je suis maintenant aux Arts et Métiers, une école dont la renommée n’est plus à
faire, et je suis pleinement satisfait de mon parcours. Après deux ans de tronc
commun en mécanique et gestion industrielle, j’ai rejoint la spécialité aéronautique
et espace à Bordeaux.
Alors oui, je pense avoir le recul nécessaire pour pouvoir affirmer que la filière
technologique fut la bonne orientation. Elle ne limite pas les orientations futures,
pas plus qu’elle ne contraint à rester « en bas de l’échelle ». Ses débouchés sont
vastes, ses enseignements, un atout pour des études supérieures en technologie.
Et, définitivement, le monde de l’industrie a besoin de techniciens, de
technologues."
J'espère que cela motivera les jeunes à l'orientation en STI.

TRUCHET Romain, Promotion 2007
Je suis Romain, je suis arrivé à Digne avec un cursus scolaire plutôt particulier, car je
suis venu d'un BEP électrotechnique, il y a peu de personnes qui passe par ce chemin
pour arriver au Bac (j'étais le seul de la classe à être issu d'un BEP et nous étions 2 sur
la promo). Je me suis trouvé en BEP car en 3 eme dans mon collège on nous a dit que pour
aller en 2 de il fallait une certaine moyenne (que je n avais pas) sinon ça serait trop dur
pour nous de suivre, donc je me suis dirigé vers ce BEP Electrotechnique, là-bas j'avais
largement le niveau car en fait en 3 eme je ne travaillais pas, je me contentais du minimum.
Je savais que c'était ma voie car l'électricité m'a tout de suite beaucoup plus, donc je
travaillais et avais de bonnes notes. Donc je me dirige vers des études courtes. En BEP,
voyant que j'avais des facilités, mes profs m'ont tout de suite dit de ne pas aller en Bac
PRO, mais plutôt de faire un Bac STI, j'ai donc choisi le lycée PGDG et je suis rentré en
1ere STI Electrotechnique.
J'appréhendais plutôt car, logiquement, on passe par une 1 ere d'adaptation. Mais à Digne
les profs sont proches des élèves, ils te poussent. Ils ont tous une grande expérience et
savent te mettre dans les meilleures conditions pour réussir.
Même en arrivant de BEP je pensais que j'allais avoir beaucoup de difficultés à tout
assimiler, je me suis trompé. Je me suis trouvé au niveau des meilleurs, qui eux, venaient
du cursus normal, mais pour ça il a fallu un peu de travail et surtout beaucoup d'écoute
durant le cours. J'avais l'avantage sur les autres au niveau technique, car je savais
câbler proprement une platine, utiliser des outils, je tenais ça de mes 2 ans de BEP, il
est vrai que là où je pense que la différence se manifeste le plus, entre la 2 de et le BEP
c'est au niveau des maths. Il y a des moments où j'étais complètement perdu, mais ça se
travaille et j'ai réussi à avoir 10 au Bac, même si je n'avais jamais eu la moyenne durant
les 2ans.
Comme je disais les profs t'aident beaucoup et je me rappelle surtout les dernières
semaines avant l'examen où ils sont peut-être plus stressés que toi, car ils veulent ta
réussite, ils t'ont porté jusque là et ils ne veulent pas d'échec de ta part. Alors ils
viennent te voir et te demande si tu as tout bien compris, si tu ne voulais pas
d'explications en plus, ils viennent même durant leur temps libre pour te faire des cours
en plus, pour revoir certains cours, c'était surtout en physique et en mécanique que j'ai
vu cela.
Donc, j'ai passé mon Bac et je l'ai eu avec mention "Assez Bien ", avec une certaine
satisfaction, car même en venant d'un BEP, j'ai fait mieux que d'autres qui ont suivi un
cursus normal.
Je ne me suis pas arrêté là, j'ai continué en BTS, toujours en électrotechnique, au lycée
des Rempart à Marseille, j'ai aussi validé ce diplôme.
Je suis la preuve que l'on peut réussir même en venant d'un BEP. A Digne, je n'ai que de
bons souvenirs, ça m'a permis de prendre de l'assurance en moi, car j'étais à l'internat,
(là aussi on y passe de bons moments) loin de chez moi, mais tout ce passe bien car
comme c'est un petit établissement tout le monde se connaît et l'administration
s'occupe bien de toi, ils t'encadrent très bien.
Je ne regrette rien de mon passage au lycée Pierre Gilles de Gennes, je ne garde que de
bons souvenirs.
Romain TRUCHET

Florian Hernandez, Promotion 2006
Bonjour à tous, je me présente, Florian Hernandez, je suis rentré au PGDG en 2004 pour
y faire une seconde générale (option ISI – ISP), Suite à ça je me suis dirigé vers un bac
STI électrotechnique par choix, la filière m’intéressait beaucoup plus qu’une section S,
notamment à cause des cours d’atelier plus prononcés (qui d’ailleurs resteront les
meilleurs moments de toute ma scolarité).
Le bac STI ET m’a permis d’avoir des connaissances concrètes sur l’électricité dans
l’habitat, l’industriel et même en mécanique, (connaissances dont je me sers tous les
jours dans mon activité professionnelle). Je ne garde que des bons souvenirs de ces
deux années d’études autant par rapport aux cours qui m’intéressaient que par rapport à
l’ambiance familiale que nous avions les uns par rapport aux autres .
Suite à ce bac j’ai, pour ma part, décidé de réaliser un BTS domotique à nouveau au
PGDG, la domotique est un sujet que nous avions touché du doigt durant le bac et j’avais
envie de me spécialiser dans ce domaine.
Puis finalement après l’obtention de ce BTS je me suis dirigé vers la licence
professionnelle « Electricité et Electronique Appliqué au Bâtiment » encore et toujours
au PGDG (soit un total de 6 ans !), une licence qui m’a permis de savoir exactement ce
que je voulais faire dans la vie, grâce notamment à la réalisation de projets mais aussi
grâce à un stage de 3 mois.
Pour ma part j’ai réalisé mon stage dans un bureau d’étude électricité où j’ai pris la
fonction de technicien d’études. Ce travail consiste à prévoir toute l’installation
électrique pour de gros chantiers (dessins AutoCad, calculs de section de câbles,
création de bilans de puissances…. d’où l’importance de la base de ma formation en STI
ET) et de suivre la réalisation des travaux pour s’assurer du bon déroulement du
chantier au vue de la partie électrique.
Suite à mon stage et à l’obtention de mon diplôme l’entreprise m’a proposé le poste que
j’occupais durant ces trois mois. Proposition que j’ai acceptée.
Je conclurai en disant simplement que, avec le recul, si c’était à refaire, je referai
exactement la même chose. Cette formation était celle dont j’avais besoin et aussi celle
qui m’a mené vers un travail qui me plait.

ARNAUD Guillaume, Promotion 2008
Lors de mon entrée dans la filière technologique en électrotechnique j'arrivais d'une
seconde ISI+ISP qui m'a fait découvrir les aspects techniques des systèmes, de la
conception à la réalisation en passant par l'étude des systèmes.
Dans la filière STI électrotechnique j'ai découvert les tensions et courants forts. Ce
qu'il y a de bien dans cette section c'est que l'on touche à tout (ou pratiquement). Je
dirai que la filière STI ET se nomme "transformation de l'électricité". On a des cours
d'électrotechnique, de mécanique, d'automatisme et de physique appliquée (sans oublier
les matières générales). Pendant ces années j'ai pu voir les réseaux de distribution
électrique, le câblage normalisé des systèmes, l'asservissement des systèmes (contrôle
d'un système à partir d'un ordinateur ou autre), un peu de programmation, des outils de
calcul pour déterminer une force produite par une machine, sa vitesse, des méthodes de
montage... Comme je le disais la filière STI ET touche à tout ce dont un système
a besoin et peu fournir. On l'étudie de la production de l'énergie électrique jusqu'à son
utilisation mécanique (production->acheminement->transformation et commande-
>exploitation mécanique). Je dois dire aussi que l'on a plus d'heures de pratique que de
théorie dans les matières techniques et le nombre d'heures de cours n'est pas excessif
ce qui permettait à la classe de se retrouver au foyer pour faire des parties de cartes
ou d'autres activités de détente.
Cette filaire m’a permis d’accéder à une classe préparatoire aux concours d’entrée dans
les écoles d’ingénieurs plus facilement qu’en passant par une section générale. Ce qui me
permet d’avoir des connaissances techniques pratiques et théoriques ; donc d’être
polyvalent. En ce moment je suis en seconde année de classe préparatoire et la
connaissance que j’ai eu en STI m’a permis d’avancer en technologie. Cette filière m’a
permis d’aller loin dans les études de faire ce que j’aime.
Je dois dire que mes années de lycée en STI ont, pour le moment, été mes meilleurs
années. J’espère que vous les apprécierez autant.
ARNAUD Guillaume

Mathieu CRESSIN, Promotion 2009
Je vous fais parvenir mon avis et mon parcours au sein de la filière électrotechnique .
Par la suite d'un BEP électrotechnique que j'ai acquis en 2006 j'ai eu la possibilité
d'intégrer une première STI génie électrotechnique au sein du lycée Pierre-gilles de
Gennes après deux années à suivre cette formation j'ai obtenu mon bac ce qui m'a
permis de pouvoir suivre mon orientation dans une filière qui ouvre un grand nombre de
portes dans le monde du travail (BTS domotique au PGDG).
Pour tous ceux qui vont suivre dans cette formation de l'électrotechnique en venant
d'un BEP ou d'une seconde, ce n'est pas parce-que l'on critique la formation
technologique que celle-ci ne mène à rien à l'arrivée. Au contraire elle est, selon un
travail fourni et une envie de réussir, plus importante que toute autre sorte de BAC
qu'ils soient professionnels ou généraux. Avec une bonne motivation et une envie de
réussir, ce BAC permet une suite intéressante d'études. C’est déjà un grand pas
d'exécuté lors de l'entrée dans le monde du travail.
Il ne faut pas oublier cette formation technologique, celle-ci sauve et permet à des
personnes de faire ce qu'ils veulent faire tout en promettant pour un grand pourcentage
une belle réussite dans l’avenir.

Jean-Denis Coullet, Promotion 2006
Voici mon parcours :
En 2004 je suis rentré au lycée Pierre Gilles de Gennes pour y préparer une seconde
générale, tronc commun SVT option ISI. Ne sachant pas encore vers quel bac
m'orienter, j'ai choisi cette section afin de rester le plus généraliste possible et
surtout de ne pas me fermer de porte. J'ai très vite compris que les filières biologiques
n'étaient pas faites pour moi. A l'issue de cette année de seconde, je me suis orienté
vers un bac STI électrotechnique. Pour moi ce bac présentait le compromis idéal entre
la pratique et la théorie.
Le bac Electrotechnique ne m'a pas paru difficile car les matières enseignées sont
finalement assez diversifiées, il n'y a pas énormément de travail personnel à apporter
en dehors des cours, du moment où l'on est attentif en salle bien entendu.
Un point qui, avec du recul m'apparaît comme important, les moyens que les professeurs
ont mis à notre disposition:
- révisions et récapitulatifs avant l'examen
- cours et exercices disponibles sur Internet
- numéros de téléphone personnels de certains professeurs donnés à l'ensemble
de la classe en cas de questions
- ect...
Ces deux années de préparation au bac ont été très positives pour moi, il y avait une
très bonne ambiance, je me souviens des goûters du vendredi après midi.
Suite au bac électrotechnique j'ai poursuivi dans la même voie puisque je suis rentré en
BTS Electrotechnique à Marseille. J'ai ensuite voulu me spécialiser dans le domaine de
la thermique, j'ai continué mon cursus en licence professionnelle Gestion et Maintenance
d'installations Energétique, à Marseille également.
Les périodes de stages proposés par cette licence se sont révélées concluantes pour
moi puisque j'ai été immédiatement embauché par l'entreprise.
Je travaille donc depuis trois mois dans une société de maintenance basée à Marseille.
Cette société possède plusieurs domaines d'exploitations, celui dans lequel j'interviens
est basé à Alès, il s'occupe de la conception, la réalisation et la maintenance de
générateurs de vapeur.
J'utilise aujourd'hui bon nombre de connaissances acquises en électrotechnique,
l'utilisation de logiciel de dessin, la compréhension de systèmes, le câblage de matériels,
le diagnostic de pannes, le calcul et le dimensionnement d'appareils, ect.

Yohann Fournier, Promotion 2006
A ma sortie de 3ème j'ai d'abord choisi de faire une seconde ES qui s'est soldée par un
échec. Il a donc fallut que je me réoriente. J'ai donc décidé de partir en seconde ISI
ISP au lycée PIERRE GILLES DE GENNES. J'ai trouvé dans cette seconde le plaisir
d'aller au lycée et d'apprendre des choses utiles pour notre avenir. En milieu d'année on
a du se pencher sur les choix pour la classe de première. S SI (Sciences de l'ingénieur) ,
STI génie électrotechnique ou STI génie électronique, trois choix intéressants. Après
mûre réflexion, je n'étais pas destiné pour de longues études, j'ai donc décidé de
choisir une matière abordable à tout type d'élève qui veut bien s'en donner la peine
(STI génie électrotechnique).
J'ai donc fait ma première et ma terminale qui se sont soldées par un succès car j'ai eu
mon bac du premier coup. Ce bac ouvre énormément de portes sur des formations, des
licences, des BTS, et même la possibilité de finir ingénieur. Les études peuvent être
courtes ou longues. Pour ma part j'ai choisi la gendarmerie car ce métier m'attire plus
que ma filière scolaire.
Néanmoins ce bac m'a permis de mûrir plus rapidement car cela demande beaucoup
d'autonomie et quelques responsabilités. On fait beaucoup de cas concrets et c'est très
plaisant d'apprendre en manipulant, il n'y a pas que du "par cœur". De plus l'équipe
pédagogique est proche des élèves et donc cela permet une bonne cohésion dans la
classe. On apprend beaucoup mieux et ça nous donne envie de réussir.
L'année où j'ai passé mon bac on était en tout 45, les deux classes regroupées, il y a
seulement deux élèves qui ont échoué. La filière générale n'est pas forcément la
meilleure.

Thomas Paul, Promotion 2008
Pour ma part je pense que le bac STI Génie électrotechnique est une super aventure de
2 ans qui permet aux bons comme aux élèves moyens de pouvoir exprimer leur potentiel
dans les matières plutôt techniques et pouvoir en même temps poursuivre un
enseignement général qui malgré des faibles coefficients est très important pour la
suite des études. De son coté l'enseignement technique est très intéressant
(notamment avec les travaux pratiques) et avec un minimum de sérieux, on peut avoir de
très bonnes notes. Voila je pense que le bac STI est vraiment le bac de l'avenir
notamment dans le monde du travail.
L'électrotechnique en plus ouvre de nombreuses portes surtout dans les BTS mais aussi
dans les IUT et les classes préparatoires aux grandes écoles......
Pour ma part j'ai choisi un BTS FEE option D, c'est un BTS dans les énergies qui va me
permettre plus tard de pouvoir accéder à une licence ou même de rentrer directement
dans la vie active.
Enfin le lycée Pierre Gilles de Gennes est pour moi un des meilleurs lycées de la région
car il offre un cadre d'étude très intéressant, c'est un petit lycée où il y a une très
bonne ambiance (surtout à l'internat !!!!)
Et aussi dites aux élèves de terminale STI génie électrotechnique que le 20 sur 20 en
étude de construction est possible......j'en suis la preuve vivante.....

Joris Pasquali, Promotion 2008
2 très bonnes années dans une bonne ambiance, beaucoup de pratique ce qui rend les
choses plus concrètes. (Si on suit bien en classe pas besoin de fournir beaucoup de
travail à la maison). Plus facile que dans la filière générale.
Actuellement je suis en 2 ème année de BTS Mécanique Automatisme Industrielle au
lycée Vauvenargues à AIX avec en vue une licence professionnelle aéronautique ou
automatisme. Les 2 années au PGDG m'ont permis de voir le fonctionnement de
l'électricité et de la mécanique ce qui m'a permis de bien m'intégrer dans une classe
avec une plus forte dominante mécanique.

Antoine Tournier, Promotion 2008
Mes années au PGDG ont été, certes avec du recul, un sacré coup de pied aux fesses qui
me mène aujourd’hui en BTS.
Pour savoir comment mes trois ans ont commencé, c'est simple : En rase motte. (Pour
parler des moyennes.)
Mais le Bac en poche, j'ai enfin compris comment j'ai pu réussir cet épreuve :
Malgré mes lacunes dans les matières magistrales, pour parler de mon cas. J’ai pu me
montrer débrouillard dans des matières autres, en me consacrant sur le travail concret
des études des systèmes que cela soit en automatisme, en mécanique ou encore en
physique appliquée.
Il faut savoir que la motivation d'avoir son Bac passe loin au dessus du lycéen moyen,
qui ne se projette pas plus loin que son prochain repas ou contrôle selon ses tendances
personnelles.
Tout ceci vient du comportement humain. Mais l'enseignement donné avec une
motivation réelle, tel qu'ont pu nous le montrer des professeurs, fait que la quasitotalité
des élèves la section STI électrotechnique 2008 ont su compléter leurs
insuffisances.
Un ami et une connaissance de ma classe sont partis en classe préparatoire aux grandes
écoles, et même ceux dont les moyennes n’étaient pas au top mais suffisantes ont pu
réaliser leur projet, grâce à leurs motivations et rentrer en Fac, en BTS ou en IUT.

Geoffrey Béguet Promotion 2008
Bonjour, je m'appelle Geoffrey Béguet, j'ai été élève pendant trois ans au lycée Pierre
Gilles de Gennes.
En effet en seconde j'ai suivi l'option technique en partant sur une seconde ISI/ISP ce
qui m'a permis d'apprendre les bases des techniques industrielles en général.
Cette seconde m'ayant beaucoup plu, j'ai poursuivi mon cursus scolaire en 1ère et
terminale génie électrotechnique.
Ainsi j'ai pu, durant ces deux ans, acquérir beaucoup d'expérience au niveau technique
sur des systèmes automatisés ainsi que, bien sûr, l'électricité.
Au delà d'un simple bac j'ai acquis une grosse expérience technologique qui est un point
fort lors d'une demande d'emploi sur un CV et aussi à la fin de l'année on obtient une
attestation B1V qui nous permet de réaliser des travaux d'électricité de petite
envergure mais cela reste un atout pour des emplois en début de carrière.
Après l'obtention de mon bac je suis parti en BTS Technico-commercial à Marseille
et actuellement j'y suis en 2ème année.
Dans mon futur métier je ne voulais pas faire que du technique donc j'ai trouver un bon
compromis dans ce BTS car 80% des cours sont du management, marketing, commercial
... et 20% reste sur l'électrotechnique et la mécanique. Ainsi mes connaissances acquises
pendant mes 3 ans de lycée restent présentes tout au long de mon BTS.
Le technique reste une partie importante dans ce BTS car lors de mes épreuves l'aspect
technique doit toujours être présent pour l'obtention du diplôme.
Je vous conseille donc cette voie qui apporte beaucoup sur le plan technique mais aussi
car vous aurez des professeurs très motivés qui seront toujours derrière vous pour
l'obtention du baccalauréat.

Pascal Cauvin Promotion 2007
Pour mon entrée au lycée je me suis dirigé vers une seconde ISI car par la suite je
souhaitais m'orienter vers une voie scientifique, mais au vue de mes résultats je me suis
finalement dirigé vers une première STI spécialité génie électrotechnique car ce bac me
semblait très intéressant et de plus il permettait une poursuite d'études.
Pour ma part j'ai fait ce choix car ce domaine propose une partie théorique mais
également une partie pratique qui permet d'acquérir des connaissances dans le domaine
de l'électricité.
Par la suite j'ai effectué un BTS domotique qui représente une suite logique au bac STI
génie électrotechnique et actuellement je prépare une licence professionnelle
"électricité et électronique appliquée au bâtiment"

Léo Forner. Promotion 2007
Je suis arrivé au lycée Pierre Gilles de Gennes avec l'idée en tête de faire S(SI),
seulement en seconde je ne m'en suis pas vraiment sorti en Maths, donc mes rêves
étaient tombés à l'eau.
C'est à ce moment que j'ai découvert la filière STI, ce qui me convenait très bien car
j'aimais beaucoup plus l'ISI et l'ISP que les matières générales. J'ai donc choisi
d'intégrer STI Génie Electrotechnique car à l'époque l'idée de travailler sur des
courants forts m'attirait plus.
Les cours de langues adaptés m'ont permis de remonter mon niveau et de très bien m'en
sortir par la suite, les cours de maths me paraissaient très faciles, peut-être car j'étais
toujours passionné ! Et les cours plus techniques m'ont plu car j'avais une vraie approche
de la chose (en travaillant directement dans une armoire électrique par exemple). Bref
rien à redire quand à mon choix et puis aucun regret car je ne suis pas sûr que je m'en
serais sorti en S.
Résultats des deux années : Bac avec mention TB, intégration dans une CPGE (classe
préparatoire aux grandes écoles) TSI spécialement destinée aux bacheliers STI.
Je me retrouve donc dans une classe avec des élèves de même niveau, plus accès sur les
maths qu'au lycée. Je finis ma math sup et ma math spé, durant lesquelles on rattrape le
programme de maths et de physique de première et terminale S, et on essaie de suivre
le programme commun de prépa.
Deux années assez difficiles il faut l'avouer, mais encore une fois sans regrets car je
termine dans les premiers de la promo et je suis accepté dans une école d'ingénieurs à
Cergy, dénommée l'ENSEA où nous ne sommes en fait que 6 sur 150 à être bacheliers
STI, le reste étant bacheliers S.
Voilà mon parcours, ce qui signifie que dans 3 ans, je serais ingénieur et ce, grâce à la
filière STI, sans laquelle je n'aurais peut-être juste qu'un BEP !

Maxime Javel, Promotion 2008
Bachelier STI génie électrotechnique en 2008, c'est au Pierre Gilles de Gennes que j'ai
acquis lors de ma première et ma terminale, les savoirs nécessaires à l'obtention de
celui-ci avec mention « bien » malgré un travail limité. C'est sans aucune prétention que
je me permets de le signifier car le Bac STI est à la portée de tous, des studieux aux
moins studieux pour qui les cours en travaux pratiques (qui comprennent presque la
moitié de l'emploi du temps) seront un atout pour mieux assimiler les cours et les
mettre en pratique.
Réussir, c'est avoir envie ! L'enseignement dispensé au lycée Pierre Gilles de Gennes est
de qualité et compte des professeurs qui ont de l'expérience et qui savent la partager
avec les élèves.
La promotion dont je faisais partie était hétérogène, il y avait de bons élèves à qui il
suffisait de suivre pour comprendre, d'autres qui étaient bons car ils compensaient leur
manque de facilité par le travail et il y avait aussi des moins bons qui, il faut le dire
travaillaient un peu moins. Ceux-ci ont eu plus de mal que les autres à affronter
l'examen mais en s'y étant préparé plus dur et plus à l'avance, accompagnés par les
professeurs, ont réussi tout de même à obtenir leur diplôme. Il me semble que sur les
deux classes de STI Electrotechnique (soit environ 45 élèves) pour ma promotion,
seulement 2 personnes ne l'ont pas obtenu.
Les cours sont intéressants et s'adressent à des personnes qui aiment apprendre,
comprendre et pratiquer, car comme dit précédemment, les cours sont presque divisés
en deux parties égales en nombres d'heures : partie cours théorie et partie pratique
avec des TP variés en sujet et en matériel.
Pour ma part j'ai voulu faire cette section car cela m'intéressait d'apprendre, d'avoir
des notions de mécanique et d'électrotechnique et ce que j'y ai appris je le mets encore
parfois en application dans ma vie de tous les jours.
Oui, je savais en rentrant dans cette section qu'après l'obtention du bac je changerai
de voie, je n'appréhendais pas cela car je savais qu'en travaillant correctement et
régulièrement je pouvais m'en sortir dans cette section et que ça ne m'ouvrait pas plus
de portes de faire un autre Bac plus difficile comme le Bac S.
J'ai dû néanmoins faire une année de Mise à Niveau en Arts Appliqués pour rattraper le
Bac STI Art Appliqué que je n'avais pas décidé de faire dès la seconde car
géographiquement trop loin, et mes connaissances acquises notamment durant les cours
de Construction m'ont servi dans mes cours de Design en Mise à Niveau.
Je ne regrette pas du tout d'avoir fait ma scolarité au lycée Pierre Gilles de Gennes et
invite les futurs étudiants à venir aux portes ouvertes pour découvrir l'équipe
enseignante, les ateliers, l'ambiance et le lycée en lui même.
Maxime Javel

Basile LEGAL, Promotion 2007
Déjà je peux vous dire que j'ai eu mon BTS Electrotechnique avec mention assez bien
Je suis parti au lycée Pierre Gilles de Gennes, loin de chez moi, car je souhaitais prendre
le couple d’enseignements de détermination ISI/ISP attiré par le coté technologique et
manuel de ces options.
Même si ce ne sont que des initiations, elles m'ont permis de voir des choses nouvelles
alors que la seconde est très générale et ne change pas beaucoup du collège.
J'ai trouvé l'ISP particulièrement intéressante car elle m'a permis d'apprendre des
choses totalement nouvelles ainsi que d'apprendre à fabriquer au travers des travaux
pratiques.
Ces enseignements de détermination m'ont ensuite guidé vers la STI génie
électrotechnique qui a été ma révélation, le domaine électrique est spécialisé mais est
très large en même temps, ce qui permet à tout le monde de trouver son domaine.
J'ai trouvé l'automatisme très intéressant alors que certains préféraient le câblage
ou d'autres la mécanique.
De plus la section STI génie électrotechnique a toujours été connue pour avoir la
meilleure ambiance du lycée même si elle était plutôt, masculine je m'y suis fait de très
bons amis avec qui je suis toujours en contacts réguliers 2 ans plus tard.
Je garde aussi d'excellents souvenirs des professeurs qui ont su nous enseigner sans
nous ennuyer.
Après avoir passé mon bac (notre session a eu 95% de réussite si mes souvenirs sont
bons) je suis partie en BTS Électrotechnique. Je me suis vite rendu compte que les
élèves issus du lycée PGDG avaient des bases bien plus solides que ceux des autres
lycées et là 100% des élèves du PGDG ont eu leur BTS.
Cette année je rentre en licence professionnelle "Automatique et Informatique
Industrielle en spécialité Conduite et Supervision des Systèmes Automatisés", ce qui
complètera mes bases dans le domaine électrique et qui me permettra de travailler dans
de nombreux postes aussi bien dans l'industrie, dans les petits ou grands chantiers que
dans les énergies renouvelables. Aucune crise économique ne peut m'empêcher de
trouver du travail et à l'heure actuelle c'est une grande chance.
Donc même si c'est en partie le hasard qui m'a mené dans cette section, j'en suis très
heureux car ça m'a permis de trouver ma voie et une perspective d'avenir sûre.

Julien Drache, Promotion 2009
Donc pour ma part, je suis très satisfait d'être passé par la filière ISI-ISP puis la
filière génie électrotechnique. Je me suis en fait dirigé vers cette filière pour me
rapprocher de l'Informatique et cela a très bien fonctionné. En fait, je revois en ce
début d'année de BTS pas mal de notions vues durant mes trois années passées au lycée
Pierre Gilles de Gennes qui me permettent maintenant, en IUT Informatique, de
comprendre non-trop difficilement les cours et même d'avoir des notions peu connues
des S (Grafcet, Codes Binaires/Hexadécimal).
Je pense maintenant à l’importance de cette filière quand je revois tous les gens avec
qui j'étais en classe me dire qu'ils sont très heureux de là où ils sont atterris.
Cordialement, Julien Drache.