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Le traitement endodontique des dents primaires dans les cabinets ...

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I recherche _ endo <strong>dents</strong> <strong>primaires</strong><strong>Le</strong> <strong>traitement</strong> <strong>endodontique</strong><strong>des</strong> <strong>dents</strong> <strong>primaires</strong> <strong>dans</strong> <strong>les</strong><strong>cabinets</strong> dentaires généralistesAuteur_ Dr Robert Teeuwen, AllemagneTotal 1 VitA 2 Dev/MoA 3 MoA 4 r.c.f./Fist 5 r.c.f. kons Total 3–5 Total 2–5n % n % n % n % n % n % n % n %Total 559 460 29 37 22 11 70 99Auteur 216 38,6 170 37,0 11 37,9 14 37,8 19 86,4 2 18,2 35 50,0 46 46,5Docteur adjoint 343 61,4 290 63,0 18 62,1 23 62,2 3 13,6 9 81,8 35 50,0 53 53,5Ne se sont pas présentésaprès le <strong>traitement</strong>66 11,8 47 10,2 8 27,6 7 18,9 2 9,1 2 18,2 11 15,7 19 19,2sans non-présentation 493 413 21 30 20 9 59 80Extraction 71 14,4 55 13,3 1 4,8 7 23,3 5 25,0 3 33,3 15 25,4 16 20,00–23 mois 17 23,9 11 20 – 2 28,6 3 60,0 1 33,3 6 40,0 6 37,5≥ 24 mois 54 76,1 44 80 1 5 71,4 2 40,0 2 66,7 9 60,0 10 62,5Échec 28 5,7 18 4,4 5 23,8 3 10,0 1 5,0 1 11,1 5 8,5 10 12,50–23 mois 22 78,6 14 78 4 80,0 2 66,7 1 1 4 80,0 8 80,0≥ 24 mois 6 21,4 4 22 1 20,0 1 33,3 – – 1 20,0 2 20,0Tableau I_Thérapie N2 <strong>des</strong> <strong>dents</strong><strong>primaires</strong> 1992–1998.1 VitA = amputation vitale =pulpotomie ;2 Dev/MoA = amputation mortellepost-dévitalisation ;3 MoA = amputation mortelle <strong>des</strong><strong>dents</strong> gangrenées ; seulement lachambre pulpaire est obturée au N2 ;4 r.c.f./Fist = obturation de canalradiculaire avec fistule artificielle ;5 r.c.f. kons = obturation de canalradiculaire, <strong>traitement</strong> conservateur)._<strong>Le</strong> <strong>traitement</strong> <strong>endodontique</strong> le plus courant<strong>des</strong> <strong>dents</strong> <strong>primaires</strong> est la pulpotomie, qui est utilisée<strong>dans</strong> le cas de carie ou de lésion iatrogéniqueou traumatique de la pulpe. Une condition préalablepour cette procédure, selon le règlement de laSociété allemande de médecine dentaire buccaleet d’orthodontie (DGZMK), 1 est que le patient nedoit présenter aucun symptôme clinique. Conformémentaux lignes directrices britanniques 2 et àWeisshaar, 3 cette condition est encore respectée<strong>dans</strong> <strong>les</strong> cas d’inconfort temporaire ou de douleurcourte et spontanée.Divers matériaux sont utilisés pour la pulpotomieet la pulpectomie. La préparation standardpour la pulpotomie reste toujours le formocresol– 19 % de formaldéhyde, 35 % de cresol, 15 % deglycérine, 31 % d’eau distillée—utilisé <strong>dans</strong> une dilutionà 1:5. Weisshaar 3 a signalé qu’en 1989, 92,4% <strong>des</strong> dentistes pédiatriques au Canada et 76,8 %<strong>des</strong> dentistes pédiatriques <strong>dans</strong> le monde entier,utilisaient le formocresol pour la pulpotomie. Bienqu’il existe toujours <strong>des</strong> désapprobations quant àl’utilisation du formaldéhyde, Tagger et Tagger 4pensent que la pulpotomie avec le formocresolaide à la conservation <strong>des</strong> <strong>dents</strong> <strong>primaires</strong> et surpassetoute autre méthode actuelle.Dans son compte-rendu en 2002, la DGZMK aconseillé l’utilisation de l’hydroxyde de calcium–Ca(OH) 2 –pour la pulpotomie. 1 Toutefois, <strong>les</strong> lignesdirectrices britanniques de 2006, considèrent ce<strong>traitement</strong> comme étant inapproprié. 2 De plus, el<strong>les</strong>soulignent que la pulpotomie avec 15,5 % de sulfatede fer (Astringedent, Ultradent), est aussi efficacequ’un <strong>traitement</strong> de cinq minutes avec le formocresol.Cependant, le sulfate de fer agit seulement demanière hémostatique, lorsqu’il est appliqué pendant15 secon<strong>des</strong> sur la pulpe qui saigne. Ensuite, <strong>les</strong>ulfate de fer est retiré de la cavité de la pulpe etl’oxyde de zinc–eugénol est appliqué directementaux canaux radiculaires. <strong>Le</strong>s lignes directrices britanniquescitent une étude de cas où 55 % de larésorption interne – similaire au Ca(OH) 2 –et 71%d’oblitération du canal radiculaire de manière radiologiqueont pu être obtenus avec cette méthode14 Iroots1_2012


echerche _ endo <strong>dents</strong> <strong>primaires</strong> IFig. 1Fig. 2Fig. 3 Fig. 4de pulpotomie. 2 Peng et al. 5 ont obtenu <strong>des</strong> résultatséquivalents <strong>dans</strong> une méta-analyse de 11 étu<strong>des</strong>comparant <strong>les</strong> pulpotomies au formocresol et ausulfate de fer. <strong>Le</strong>s pulpotomies au sulfate de fer ontmontré un taux de réussite clinique de 78 à 100 %et une réussite radiologique de 42 à 97 %. Dans lecadre de l’analyse, <strong>les</strong> <strong>dents</strong> devaient rester in situpendant au moins 12 mois, afin d’éliminer <strong>les</strong>échecs précoces <strong>dans</strong> <strong>les</strong> étu<strong>des</strong> de base.Selon Einwag, 6 le taux de réussite clinique de90 à 100 %, <strong>des</strong> pulpotomies utilisant un ciment<strong>endodontique</strong> N2 (Ghimas), est le même que celuiobtenu avec la technique de cinq minutes deformocresol, ce qui n'est pas surprenant en raisonde leur composition similaire. Avant la certificationEU du 14 juin 1998, le N2 contenait 7 % deformaldéhyde, ce taux a ensuite été réduit à 5 %.Bürkle 7 a signalé une sensibilité techniquefaible et de bons résultats cliniques pour tous <strong>les</strong>matériaux contenant de l’aldéhyde, tels que leformocresol, le glutaraldéhyde et le N2._Matériaux et métho<strong>des</strong>Une condition préalable au <strong>traitement</strong> était lapossibilité de restaurer <strong>les</strong> <strong>dents</strong> respectives. Uncritère d’exclusion était une mobilité accrue sans résorptionradiculaire avancée. Ainsi, <strong>les</strong> <strong>traitement</strong>s<strong>endodontique</strong>s suivants, effectués entre 1992 et1998, ont été documentés. Un contrôle radiologiqueétait seulement disponible pour <strong>les</strong> amputationsmortel<strong>les</strong> et <strong>les</strong> <strong>traitement</strong>s de canal radiculaire <strong>des</strong><strong>dents</strong> <strong>primaires</strong> gangrenées. Lorsque c’était possible,<strong>des</strong> radiographies de contrôle ont été prises.<strong>Le</strong>s amputations vita<strong>les</strong> (pulpotomies), <strong>les</strong> amputationsmortel<strong>les</strong> et <strong>les</strong> obturations de canalradiculaire, ont été effectuées en utilisant unmatériau d’obturation N2, <strong>dans</strong> <strong>des</strong> conditions relativementsèches. Pour l’obturation du canal radiculaire,du N2 en poudre et du N2 liquide ont étémélangés en une consistance crémeuse et appliquésprès de l'apex, suite à une préparation avec un foretmanuel ou <strong>des</strong> limes <strong>endodontique</strong>s HERO 642(MICRO-MEGA).Figs. 1–4_Patient âgé de 11 ans.Traitement de la seconde molaireprimaire inférieure gangrenée.Fig. 1_19/06/1992 : Pré<strong>traitement</strong>.Fig. 2_19/06/1992 : contrôleradiographique de lar.c.f. incomplète.Fig. 3_12/10/1993 : radiographie decontrôle après 16 mois.Fig. 4_19/06/1992 : fistule à traversla gencive.roots1_2012I15


I recherche _ endo <strong>dents</strong> <strong>primaires</strong>Fig. 7Fig. 5Fig. 8Fig. 6 Fig. 9Figs. 5–9_Patient âgé de 13 ans.Traitement de la première molaireprimaire gangrenée inférieure.Fig. 5_11/04/1995 : pré<strong>traitement</strong> .Fig. 6_11/04/1995 :post amputation mortelle.Fig. 7_11/04/1995 :fistule naturelle représentée.Fig. 8_11/04/1995 :saignement de la pulpe, chambrepulpaire obturée au N2.Fig. 9_17/04/1995 : la fistule a disparu(05/01/1996 : une radiographiepanoramique montre <strong>les</strong> <strong>dents</strong>toujours in situ ; 30/01/1997 : la fichemontre l’éruption d’une premièreprémolaire).Pour <strong>les</strong> amputations vita<strong>les</strong> ou mortel<strong>les</strong>, le N2a été mélangé en une consistance relativement solide.D’abord, <strong>les</strong> caries profon<strong>des</strong> ont été éliminées avecune excavatrice. <strong>Le</strong>s caries restantes ont été excavéesà l’aide d’une fraise sphérique épaisse sansrefroidissement par eau, puis la cavité a été préparéeen éliminant la pulpe coronale à l’aide d’une turbine.Fréquemment, la pulpe restante saigne à partir<strong>des</strong> canaux. Un léger saignement peut être ignoré,mais le N2 doit être appliqué fermement sur la cavitépendant plusieurs minutes, <strong>dans</strong> le cas d’unsaignement plus important. Grâce au niveau deformaldéhyde, le saignement peut être interrompuassez rapidement. <strong>Le</strong> N2 rempli de sang est ensuiteretiré de la cavité et remplacé par du N2 de consistancesolide, fraîchement mélangé.<strong>Le</strong>s amputations mortel<strong>les</strong> ont été attribuées àune dévitalisation avec l’agent Toxavit et au <strong>traitement</strong><strong>des</strong> <strong>dents</strong> gangrenées. <strong>Le</strong>s <strong>dents</strong> dévitaliséesont été traitées de la même façon que <strong>les</strong> <strong>dents</strong> vita<strong>les</strong>.<strong>Le</strong>s <strong>dents</strong> gangrenées ont été traitées avec <strong>des</strong>métho<strong>des</strong> différentes. Des amputations mortel<strong>les</strong>simp<strong>les</strong> ont été effectuées d’une manière similaire àune amputation vitale. <strong>Le</strong>s canaux radiculaires (partielsou complets) ont été obturés avec une pâte.Dans certains cas, <strong>les</strong> racines ont été terminées avecune fistule artificielle, réalisée de manière interradiculaire– principalement avec un élévateur Cavit<strong>dans</strong> la muqueuse – et <strong>dans</strong> quelques cas,, après quela muqueuse ait été déplacée avec une fraise à turbine.Toutes <strong>les</strong> mesures <strong>endodontique</strong>s, y compris <strong>les</strong>obturations, ont été effectuées lors d’une seule consultation.Des consultations supplémentaires ontseulement été nécessaires en cas de saignement important,lorsqu’une obturation en composite étaitrequise et <strong>dans</strong> <strong>les</strong> cas de dévitalisation. Dans <strong>les</strong>deux premiers cas, la cavité a été comblée avec unexcédent de N2 ou de l'oxyde de zinc-eugénol, aprèsl'application de N2. L’application de N2 et l’obuturationde la cavité avec un amagalme de scellementimmédiat sans matériaux de revêtement, est toujoursla méthode qui gagne le plus de temps. Dans<strong>des</strong> cas exceptionnels, <strong>des</strong> couronnes en acier inoxydableont été utilisées pour une restaurationdéfinitive.16 Iroots1_2012


echerche _ endo <strong>dents</strong> <strong>primaires</strong> IFig. 10Fig. 11Fig. 12 Fig. 13 Fig. 14_RésultatsUn total de 559 <strong>dents</strong> <strong>primaires</strong> ont été traitées demanière <strong>endodontique</strong> entre 1992 et 1998. J’ai traitéenviron 39 % de ces cas moi-même. Des pulpotomiesont été réalisées sur 460 molaires <strong>primaires</strong>, 29 avecdévitalisation avec l’agent Toxavit, suivies d’une amputationmortelle sur 29 molaires <strong>primaires</strong>. Sur <strong>les</strong> 70molaires <strong>primaires</strong> gangrenées, 37 ont été traitéespar simple amputation mortelle. Dans 22 cas, l’obturationou une amputation mortelle, a été suivied’une fistule artificielle. <strong>Le</strong> <strong>traitement</strong> du canalradiculaire <strong>des</strong> 11 molaires <strong>primaires</strong> gangrenées,a été effectué sans fistule. Ci-<strong>des</strong>sous, l'âgemoyen <strong>des</strong> patients ayant subi une pulpotomie estindiqué :première molaire maxillaire : 7 ans, 6 moisseconde molaire maxillaire : 7 ans, 5 moispremière molaire mandibulaire : 6 ans, 6 moisseconde molaire mandibulaire : 6 ans, 6 moisAprès le premier <strong>traitement</strong>, 11,8 % (n = 66) <strong>des</strong>jeunes patients ne sont pas revenus au cabinet, cequi a laissé seulement 88,2 % du groupe initial depatients (n = 493) pour évaluation au cabinet. Durantla période d’observation, <strong>des</strong> échecs cliniques(douleur, gonflement et fistu<strong>les</strong>) ont été enregistréschez 5,7 % (n = 28) <strong>des</strong> patients. <strong>Le</strong>s symptômes<strong>des</strong> échecs cliniques sont apparus chez78,6 % <strong>des</strong> patients (n = 22), <strong>dans</strong> <strong>les</strong> 23 mois consécutifsau <strong>traitement</strong> . Chez un patient, ces symptômessont apparus seulement plusieurs heuresaprès la dévitalisation suivie d’une amputationmortelle. Sur <strong>les</strong> extractions réalisées, 76,1 pourcent (n = 54) sont apparues 24 mois ou plus aprèsle <strong>traitement</strong>. Des problèmes d’éruption de dentou de détérioration de l’émail sur <strong>les</strong> <strong>dents</strong> permanentes,n’ont pas été observés.En résumé, nous avons observé que le nombre d'extractionset <strong>les</strong> échecs <strong>dans</strong> la période d'observation,étaient deux fois plus élevés pour <strong>les</strong> <strong>dents</strong> nécrotiquescomparé à l’amputation vitale avec <strong>traitement</strong> <strong>des</strong><strong>dents</strong> gangrenées (colonne 1 comparée aux colonnes3 à 5 <strong>dans</strong> le Tableau I)._Discussion<strong>Le</strong> nombre de jeunes patients qui ne sont pasrevenus au cabinet dentaire après le <strong>traitement</strong>peut être attribué à l'inconfort du <strong>traitement</strong>.Toutefois, le DMS III (Troisième étude allemandede santé buccale) a mis en évidence une relationétroite avec le dentiste (« toujours le même dentiste»), plafonnant à 92,5 % chez <strong>les</strong> patients âgésde 12 ans en Allemagne de l’Est, en 1997. 8 Il estpossible qu’un grand nombre de patients ne soientpas revenus au cabinet à cause d’échecs cliniquesqui auraient incité <strong>les</strong> parents à consulter un autredentiste, mais cela n’est guère probable.Huber 9 a analysé 179 amputations vita<strong>les</strong> auN2 chez 105 patients et noté un taux d’échec de9,5 %. L’âge de perte <strong>des</strong> <strong>dents</strong> correspondait àl’âge moyen de l’éruption prémolaire. Au cours decette étude, <strong>les</strong> pulpotomies au N2 présentaientun faible taux d’échec de 4,4 %. Ceci a été confirmépar Einwag, qui rapporte un taux de réussite cliniquede 90 à 100 % 6 pour <strong>des</strong> pulpotomies au N2.Figs. 10–14_10-year-old patient.Pulpotomy of upper first andsecond primary molar.Fig. 10_07.04.1992 :post cavity-preparation :slight bleeding of first molar,moderate bleeding of second molar.Fig. 11_07.04.1992 :post N2-application.Fig. 12_07.04.1992 : pré<strong>traitement</strong>.Fig. 13_07.04.1992 :post treatment (N2, Amalgam-filling).Fig. 14_15.04.1993 :12 months after vital-amputation.roots1_2012I17


I recherche _ endo <strong>dents</strong> <strong>primaires</strong>Bien que cet élément ne soit pas présenté endétail <strong>dans</strong> cette étude, l’anamnèse de la douleursemble négligeable pour déterminer la réussited'une pulpotomie au N2. Des exacerbationsaiguës, souvent observées après une pulpotomieau Ca(OH) 2 , n’ont jamais été observées après unepulpotomie au N2. Dans ce contexte, il est incompréhensibleque <strong>les</strong> universités alleman<strong>des</strong> continuentà défendre <strong>les</strong> pulpotomies auCa(OH) 2 . Àcet égard, <strong>les</strong> lignes directrices britanniques sontplus en avance. 2Il est important pour <strong>les</strong> <strong>cabinets</strong> dentaires que<strong>les</strong> résultats d’un <strong>traitement</strong> soient garantis, quele jeune patient et le dentiste soient à l’aise l’unavec l’autre, que <strong>les</strong> <strong>dents</strong> traitées restent in situjusqu’au développement <strong>des</strong> <strong>dents</strong> permanenteset que <strong>les</strong> <strong>dents</strong> permanentes ne soient pasabîmées.<strong>Le</strong> chirurgien-dentiste Garry 10 décrit parfaitementl’utilisation du N2 pour le <strong>traitement</strong> <strong>endodontique</strong><strong>des</strong> <strong>dents</strong> <strong>primaires</strong> et reflète monopinion personnelle : « Lorsqu’un <strong>traitement</strong> <strong>endodontique</strong>est conseillé pour <strong>les</strong> <strong>dents</strong> <strong>primaires</strong>,le concept de ‘sélection rigoureuse <strong>des</strong> cas’ estsouvent utilisé pour empêcher le dentiste detraiter <strong>les</strong> <strong>dents</strong> gangrenées. La technique mentionnéeici n’exige pas de ‘sélection rigoureuse’pour le <strong>traitement</strong> […]. <strong>Le</strong> but d’une intervention<strong>endodontique</strong> sur <strong>des</strong> <strong>dents</strong> <strong>primaires</strong>, n’est pasd’obtenir <strong>des</strong> images radiographiques qui répondentaux normes utilisées pour le <strong>traitement</strong> <strong>des</strong><strong>dents</strong> adultes, mais de conserver <strong>les</strong> <strong>dents</strong> de laitle plus longtemps possible comme <strong>des</strong> entités propreset <strong>des</strong> soutiens d’espace »._Note de la rédaction : une liste <strong>des</strong> références estdisponible auprès de l’éditeur. Cet article est paru<strong>dans</strong> la version anglaise de roots, numéro 3/2010._contactDr Robert TeeuwenBerliner Ring 10052511 GeilenkirchenAllemagneE-mail: robteeuwen@t-online.derootsADAbonnez-vous dès maintenant !Je m’abonne au magazine suivant pour la somme de 56 €:(4 magazines par an)rootsRenvoyez-nous impérativement votre coupon dûment rempli à l’adresse suivante :Dental Tribune International, 320 rue Saint Honoré, 75001 Paris,ou par fax au + 49 341 48474 173N’oubliez pas d’inclure votre chèque à l’ordre de Dental Tribune International ouenvoyez votre paiement avec Paypal à l’adresse suivante :subscription@dental-tribune.comNom, PrénomSpécialitéEts/Cabinet DentaireAdresseCode postal/Ville/PaysTéléphoneE-mailSignature obligatoireOffre valable pour un 1er abonnement et <strong>dans</strong> la limite <strong>des</strong> stocks disponib<strong>les</strong>. Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier1978, vous disposez d’un droit d’accès et de rectifications aux données vous concernant. Il vous suffit de nous écrire ou envoyer un E-mailà : abonnement@dental-tribune.comVotre abonnement sera renouvelé automatiquement chaque année. Pour annuler ce renouvellement automatique vous devrez nous faire parvenirune demande d'annulation écrite au moins 6 semaines avant la date anniversaire de l'abonnement initial.DENTAL TRIBUNE INTERNATIONALDental Tribune International, 320 rue Saint Honoré, 75001 Paris

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