Voir le n°4 - Communauté de Communes du Pays de Falaise

Journal d’information de la Communauté de Communes du Pays de Falaisen° 4 Décembre 2007DossierSystèmed’assainissementnon collectifEtes-vousaux normes ?Page 4Page 5Page 8Zoom sur DamblainvilleL'ESF Ball-TrapLa Table de Guillaume

ActualitésFestival de musiqueen Pays de FalaiseBilan de la 4 e éditionPari gagné pour les organisateurs du festival dont le leitmotiv était d’associeramateurs et professionnels, musiciens et danseurs, enfants et adultes.«Nous avons atteint nos objectifs musicaux» annonce Christophe Guilbert,directeur de l’école de musique du Pays de Falaise. Au-delà des nombreuxconcerts proposés du 12 au 22 juillet, deux spectacles, créés de toutes piècespendant les 10 jours, ont clos le Festival. Le premier réunissait 120 danseurset musiciens d’un orchestre pour les danses symphoniques de West SideStory de Léonard Bernstein. La seconde a mis en scène une quarantained’enfants de 7 à 11 ans pour un conte chanté et dansé sur le thème del’Afrique. De nouveaux projets se dessinent à l’Ecole de musique pour cetterentrée : la création d'un chœur d'enfants (de 7 à 11 ans), d'un orchestre àcordes pour les petits, d'un big-band de jazz avec les plus grands et ledéménagement dans les nouveaux bâtiments à la place de l’anciennepiscine de Falaise en mars 2008.PLHQuel sera l’habitatde demain auPays de Falaise ?Afin d’analyser et d’anticiper sa politique du logement pour les années à venir,les élus de la CDC du Pays de Falaise s’engagent dans un Programme Locald’Habitat (PLH), aux côtés de la Direction Départementale de l’Equipement(DDE). Le PLH est un document qui définit les objectifs et les principes d’habitat,pour répondre aux besoins en logements et favoriser la mixité sociale. «Il permetde mieux connaître le marché et de prévoir de nouvelles orientations» expliqueRoger Leportois, responsable à la DDE de Caen. Ce programme prévoit troisphases validées par un comité de pilotage constitué d’élus de la CDC et desservices de l’état. Le bureau d’études (CDHAT des Territoires des Côtesd'Armor & Habitat et Développement) analyse le marché du logement sur leterritoire (offre/demande, privé/public, population jeune/personnes âgées…).Les élus proposent de nouvelles orientations au cours de la deuxième étape.Les actions peuvent ensuite être réalisées. C'est l'objet de la troisième phase.www.cc_paysdefalaise.frContact : Ecole de musique du Pays de Falaise : 02 31 90 43 45Révolution multimédia à la CDCLe Pays de Falaisesur la toileLa CDC met en ligne son nouveau site internet :www.cc-paysdefalaise.frClair, facile d’accès, le sitepropose cinq principales rubriques :«présentation», «vie communautaire»,«développement communautaire»,«services à la population etenvironnement». Un outil de communicationconçu pour informer, defaçon dynamique, le public sur sesmissions par des vidéos et des illustrations.L’occasion de mieux connaîtrela CDC en quelques clics.Page 3

Vie desCommunesPierre Cautres,Maire de DamblainvillePierre Cautres,maire de Damblainville,ne voit en la CDCque du positif.LES CLÉS DELA COMMUNESituée entre Falaise et Morteaux-Couliboeuf,la commune regrouperabientôt près 230 habitants dès queles nouveaux logements seront occupés.Mission accomplie pour la municipalité quiespérait faire venir du monde en construisantune vingtaine de maisons neuves. Grâce auregroupement scolaire, l’école maternelleaccueille 24 enfants en petite et moyennesection. L’association sportive et culturelledamblainvillaise proposedifférentes activités (vide-grenier et fêtecommunale). Elle a permis l’aménagementd’un terrain de boules, d’un mini terrain defootball…«C’estun ballond’oxygène»PARCOURSHabitant de Damblainville depuis 1983,Pierre Cautres a été élu maire en mars 2001après deux mandats de conseiller municipal.Père de deux enfants, aujourd’hui retraité,il a terminé sa carrière en tant que chef du Centredes impôts à Caen. Parmi ses occupations,le maire de Damblainville consacredu temps à sa missionde trésorier du Centre de loisirsdu SIVOM.A l’heure où la réglementation devient de plus en plus complexe, Pierre Cautres, maire deDamblainville, trouve très avantageux d’être rattaché à la CDC, dont sa commune est membredepuis sa création en 1979.«Je n’y vois que du positif !». L’avis de Pierre Cautres sur le CDC pourrait se résumer à cette formule.«C’est un ballon d’oxygène» reconnaît le maire, heureux que la CDC assume des compétences de plusen plus compliquées. La Dotation Patrimoine et Voirie a permis à la commune d’aménager une nouvelleroute pour desservir le lotissement communal. Cette somme de 10 500 €, répartie sur 3 ans, a aussicontribué à la réalisation d’une réserve d’incendie de 120 m 3 pour ce lotissement.«Les constructions sont terminées et seront habitées fin 2007 ou début 2008» se réjouit Pierre Cautres.Par ailleurs, la CDC s’est chargée du Service Public d'Assainissement Non Collectif (SPANC) dans 5habitations du hameau «Mesnil Soleil». Quant à la collecte et au traitement des déchets gérés par laCDC, Monsieur le Maire «s’efforce de distribuer le guide pratique du tri auprès des habitants, toutparticulièrement auprès des nouveaux arrivants». Enfin, une personne bénéficie du portage de repas àdomicile organisé par la CDC.“Juridiquement, financièrement, techniquement…Pierre Cautres est convaincude l’intérêt de se regrouper.Je suis certain quenous irons de plus en plusdans cette voie.”Page 4

RéussiteESF Ball-TrapSection de haute volée«Nous figurons parmi les 10 à 20 plus gros clubs de France» annoncefièrement Dominique Lemonnier, trésorier de l’association, et c'est l’uniquestructure de cette taille gérée en association.rapproche des tirs de chasse et le « Compak-sporting », mini-parcours surlequel les sportifs tirent 5 plateaux. Les adhérents peuvent aussi s’adonnerà la Fosse universelle et au DTL (Down The Line). Le club compte dans sesrangs deux élus à la Fédération française de ball-trap, trois arbitresinternationaux, deux entraîneurs formateurs (premier et deuxième degré) etdeux initiateurs de club. Au palmarès de l’association : l’organisation duChampionnat de France en 2004 et de sept sélections nationales permettantde fonder l’équipe de France. Créé sous le nom « Ball-trap d’Eraines » en1972, le club s’est rattaché à l’Entente Sportive Falaisienne (ESF) en 1991. Ilest ouvert le samedi de 14 à 18h de février à septembre et le dimanche de9 à 12h de mars à septembre.Contacts :Dominique Lemonnier au 06 13 92 53 62 ou 02 31 90 88 18La Ferme Saint-Léger à la Hoguette (aux abords de la nationale 158) au02 33 35 85 35 aux heures d’ouverture.Derrière le stand installé à la Ferme Saint-Léger à la Hoguette, près de 250licenciés pratiquent ce sport d’adresse sur l’une des plus importantesinstallations au niveau national. « L’une des 5 ou 6 principales. » Parmi lesdisciplines proposées, le club se distingue grâce aux « Parcours » qui seBase de plein air de Pont d’OuillyInitiativeBain d’activitésCréée à l’initiative de quelques bénévoles en 1982 (1) , la Base de plein airde Pont d’Ouilly s’est développée et la liste de ses activités s’est allongéeau cours du temps. Canoë-Kayak, VTT, escalad’arbres, escalade, tir àl’arc, gîtes et camping de groupe…L’association s’est fixé un double objectif : proposer des animations locales etcontribuer au développement économique et touristique de la région ens’adressant aux groupes, aux particuliers, à un public de tous âges et detous niveaux. La base nautique excelle dans la discipline du kayak,faisant de la commune le premier club normand avec ses 134 adhérents.«Précurseurs dans le kayak-polo, nous détenons 11 titres dechampions de France» soulignent Marcel Lecoq, président etPatrice Volard, directeur de la base. Ce qui a valu au clubune forte implication dans les Championnats européensde Kayak-polo de septembre 2007 qui ont eu lieu àThury-Harcourt. La Base de plein air compteaujourd’hui 14 salariés (plus en saison) et denombreux bénévoles. Agréée par les servicesde la Jeunesse et des Sports etMarcel Lecoq,président de labase de plein airde Pont d’Ouilly.Contact :Base de Plein Air - Foyer rural14690 Pont d’Ouilly. Tél : 02 31 69 86 02ou www.pontdouilly-loisirs.comde l’Education Nationale, l’associationbénéficie des labels«loisirs des préados etados» et «valides-handicapéspour un sportensemble».Son budget annuel s’élève à 536 000 €, subventionné par la Région, leDépartement et la CDC pour deux emplois à hauteur de 10 000 € par an etpar poste. La CDC alloue 120 000 € par an à l’USPF (Union Sportive du Paysde Falaise) pour trois ans, destinés à la formation des bénévoles et à la pratiquesportive des jeunes de moins de 26 ans (30 € par licencié pour 2006/2007et 25 € pour 2007/2008). «Nous sommes convaincus de jouer aussi un rôled’utilité sociale en occupant les jeunes de nos communes, conclut PatriceVolard. Un bon moyen de prévention contre la délinquance.»(1)Sous l’impulsion du maire de l’époque Alain Thomas et de Michel Vaudorne, Président.Page 5

DossierL’assainissementnon collectif :Principede fonctionnementLa ventilationElle permet l’évacuation des gaz defermentation de la fosse toutes eaux :l’entrée d’air s’effectue à partir descanalisations de collecte d’eaux uséesla sortie d’air s’effectue par uneconduite connectée en aval deséquipements de prétraitementLa collecteElle consiste à acheminer leseaux usées domestiques provenantde différents équipements del’habitation vers le prétraitementLe prétraitement(fosse toutes eaux)Il retient les matières solides et lesdéchets flottants. Attention, les eauxen sortie de fosse contiennent encore70% de la pollution initiale.SPANCdes missionsau service de l’environnementPrintemps 2004, la CDC du Pays de Falaiseendosse une nouvelle compétence :le Service Public d’Assainissement Non Collectif (SPANC).Une obligation légale, pour les particuliers, de mettre en conformitéles installations d’assainissement non raccordées à un système collectif.L’enjeu est majeur : protéger l’environnement.13 millions de Français devront remettreaux normes leur système d’assainissementautonome pour préserver les cours d’eauet les nappes phréatiquesLe traitementL’épuration s’effectue dans le sol.L’effluent est dispersé dans le solexistant ou dans des matériauxrapportés.Là, au cours de l’infiltration,les micro-organismes présents dansle sol dégradent la pollution apportée.L’évacuationLes eaux épurées peuventêtre évacuées par :- Infiltration dansle sol (solution à privilégier).- Rejet vers un site naturel ouaménagé (exceptionnel)- Rivière, canal, fossé- Puits d’infiltration(dérogation préfectorale)Obligation légale depuis le 1 er janvier 2006 (1) ,leSPANC, dont la compétence revient à la CDC,concerne environ 3100 foyers (2) du Pays deFalaise situés en dehors d’une zone de raccordementcollectif. «Notre mission prend deuxformes» explique Stéphane Rommé, responsabledu Service Environnement à la CDC.La première vise à contrôler les installations«neuves», sur plan et avant lerecouvrement de l'installation.Julien Anfry, technicienSPANC à la CDC encharge du contrôledes travaux, envoiealors un avistechniquesur l’aptitude du système avant le dépôt dupermis de construire en mairie. La secondeconsiste à vérifier les systèmes autonomes déjàexistants puis à adresser un rapport avec troisniveaux de conclusion : l’installation convient enl’état, exige des améliorations ou nécessited’être refaite. Le diagnostic s’appuie sur l’étatdes ouvrages, du dispositif de traitementépuratoire, de la ventilation… Objectif : définirune technique d’épuration efficace del’ensemble des eaux usées, bien conçue etcorrectement réalisée, pour limiter la pollutionde l’eau en éliminant les eaux usagées.«Légalement, les gens ont ensuite quatre anspour réaliser les travaux nécessaires».Page 6

Des contrôles obligatoiresMalgré les efforts d’information et de sensibilisation auprès de la populationsur ce sujet (réunions publiques, documentation…), les habitants qui refusentle diagnostic de leur installation, se mettent dans l’illégalité par rapport à l’exigenceréglementaire de la Loi sur l’Eau de décembre 2006. Les coûts de cescontrôles sont de 77 € pour les installations «neuves» et 120 € pour lesinstallations existantes. «La CDC ne fait aucun bénéfice avec le SPANC pourlequel les frais sont calculés, subvention déduite, au plus près du coût derevient pour la collectivité » poursuit Stéphane Rommé. L’aideversée par l’Agence de l’Eau Seine Normandie et le Conseil Général duCalvados pour les contrôles reste valable jusqu’au premier semestre 2008.Tous les diagnostics des installations existantes devront être faits avant cettedate. A ceux qui veulent repousser l’échéance au maximum, la CDC répondqu’elle doit respecter «une égalité de service pour tous avec la mêmefréquence, la même périodicité et le même coût» et précise que le paiementpeut être échelonné sur 4 ans (3) . Enfin la CDC rappelle également que cescontrôles n’auront aucune incidence sur le prix du m 3 d’eau et que les fraisliés à la mise en place de l’assainissement collectif dans une commune sontsouvent beaucoup plus élevés que ceux engendrés par une installationautonome.(1)Suite à la Directive Européenne de 1991, la Loi sur l’Eaude 1992, modifiée en décembre 2006, exige «de protégerles ressources en eau souterraine et superficielle».La Directive Européenne "Cadre de l'Eau" de 2000 vise,quant à elle, «le bon état écologique des eaux pour 2015».(2)Soit environ 30% des foyers présents sur leterritoire de la CDC.(3)60 € la première année, puis 20 €les 3 années suivantes.Schéma simplifié d’un systèmed’assainissement non collectif(illustration à titre indicatif)Page 7

Portraitsd’entreprisesLa Table de GuillaumeFaire tout unplat de la qualitéC’est à Falaise que Michel Reistroffer a dressé laTable de Guillaume. Depuis 1998, le chef d’entrepriseproduit et vend des plats cuisinés de qualité.La Table s’agrandit d’année en année, mais lechef d’entreprise se considère toujours «plusartisan qu’industriel».Que mijote-t-on dans les ateliers de La Table deGuillaume ? Depuis son origine, l’entreprise produitdes tripes à la mode de Caen en bocaux ou enterrine, selon un cahier des charges très rigoureux.Elle a ensuite élargi sa gamme en concoctant desconfits, des pâtés normands, des mousses etfromages de tête. Depuis trois ans, la société aajouté sur la table des confits de foie aux raisins, aupain d’épices, aux pruneaux ou à la rhurbarbe.« Nous nous approvisionnons chez les fournisseurslocaux auxquels nous sommes restés fidèles, expliquele gérant Michel Reistroffer. Nous voulons défendreensemble les couleurs de la Normandie. » Preuvede cet attachement à la qualité, La Table deGuillaume adhère à l’Institut Régional de la QualitéAgroalimentaire (IRQUA), mis en place par laChambre d’Agriculture de Normandie. « Parmi nosquinze références, cinq bénéficient de la marquecollective Gourmandie (1) créée par l’IRQUA pourpromouvoir les produits agro-alimentairesnormands de qualité. »Concours de l’innovationMichel Reistroffer entend aussi jouer la carte del’innovation. Dernier-né de sa gamme, « le sauté depoulet au caramel d’Isigny Aigre Doux » vient deremporter en juin dernier le concours de l’innovationagroalimentaire organisé par le Comitéd’Expansion agro-alimentaire de Normandie.« Ce plat est le résultat d’une association de crème,de vinaigre de cidre, de calvados et de carameld’Isigny, poursuit le gérant. Une saveur d’origineasiatique réalisée avec des produits de la région. »L’entreprise lance actuellement son nouveau produit.« Nous commercialisons à 80% dans la grandedistribution, en Normandie mais aussi dans larégion parisienne et vers l’Union européenne. »L’autre événement d’actualité, c’est l’achat du sitesur lequel l’entreprise était jusqu’alors locataire.Quatre salariés travaillent au côté du gérant. « Unepetite équipe et une bonne ambiance pour faireprogresser et pérenniser l’entreprise. » MichelReistroffer est « tombé dans la marmite » dès sonenfance. Après l’école hôtelière, le chef d’entrepriseoptimiste de nature a poursuivi sa carrière dansl’agroalimentaire. Il est arrivé en Normandie dansles années 70 et ne l’a plus quittée pour le plusgrand plaisir des amateurs de bons produits régionaux.(1)Tripes à la mode de Caen, Poule au cidre, Pâté de porc auPommeau de Normandie, Fromage de tête de porc, Mousse defoie de porc au calvados.ZI Sud - Chemin de la Vallée14700 FALAISETél. : 02 31 40 79 79Michel Reistroffer,chef d’entrepriseLa filière des artisans-boulangersDu pain sur la plancheau Pays de FalaiseIls sont 16 artisans-boulangers à fabriquer notre pain quotidien, laviennoiserie et les pâtisseries sur le Pays de Falaise.Page 8Neuf exercent à Falaise, les sept autres approvisionnent les 52 autres communes :Bons-Tassilly, Ernes, Fresné la Mère, Morteaux-Coulibœuf, Potigny,Villers-Canivet et Ussy. «Une filière qui, au-delà des employeurs,représente 43 salariés à la vente ou en laboratoire. Au total, unesoixantaine de personnes vivent de cette activité » expliqueDaniel Roussel, Président de la Maison de la Boulangerie duCalvados. «Au moins 50% d’entre eux pratiquent le portage àdomicile.» Comme Thierry Chérie, boulanger à Potigny depuis1989. «Sur nos cinq salariés, une vendeuse se consacre aux tournéesà temps plein » précise l’artisan. Chaque jour, la boulangère ambulantestationne son camion dans les communes voisines (SoumontSaint-Quentin, Ouilly le Tesson…) où les habitants viennent la rencontrer. Elledistribue ses produits dans les huches à pain laissées dans différents lieux.Figure de proue des boulangeries du Pays de Falaise, Pierre Serais a décrochéde nombreux prix (Coupe de France de la boulangerie par équipe, trophéesdes sablés à Paris…). D’autres artisans tirent aussi leur épingle du jeucomme Cédric Rocher, lauréat du concours de la galette des rois de Pontd’Ouilly et du concours inter régional du pain d’Avenay.«Les boulangers adhèrent au Programme National Nutrition Santé,rappelle Daniel Roussel. Ils participent à la lutte contre l’hypertensionen diminuant et en veillant aux quantités de sel dans leurpain». Enfin de nombreux apprentis du Centre de Formation desApprentis de Caen sont actuellement formés dans les boulangeriesdu Pays de Falaise, un gage pour la survie de la filière.1 à Bons Tassilly : Serge Adam1 à Ernes : Philippe Lesaulnier9 à Falaise : Laurent Cardine, GérardChauvet, Jean-Luc Delaunay remplaceGuillaume Bâtard, Olivier Goudier,Bruno Jeanne, Philippe Lefebvre, SylviePoulard, Cédric Rocher, Pierre Serais.1 à Fresné la Mère : Christian James1 à Morteaux-Couliboeuf : Patrick Fizelle2 à Potigny : Gérard Breyne,Thierry Chéri1 à Ussy : Cyrille Jussaume1 à Villers-Canivet : Marc Mitshell