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Editorial n° 433 - RMI Biladi

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ÉDITOLe président de la République se trouve depuispresqu’une semaine à l’étranger. Il est partijeudi 21 janvier 2010 de Nouakchott pour serendre, en visite officielle, en Turquie et en Iran.A Ankara, il a rencontré, tour à tour, le président etle premier ministre. La délégation d’hommes d’affaireset le ministre chargé du développement économique,qui étaient partis avant lui, n’étaientapparemment pas concernés par l’étape turque. Undétail très important aux yeux de certains observateursqui ont tendance à interpréter cette absencecomme étant un message plus ou moins clair sur lecaractère particulier du déplacement présidentieldans le pays de Moustapha Atatürk : cette visite necomporterait pas de volet économique. Ce qui voudraitpeut-être dire qu’elle serait d’une autre natureayant trait à la sécurité. La Turquie, ce paysatypique est tout de même membre important del’Alliance atlantique (OTAN). Une organisationmilitaire contrôlée par les américains et qui traiteavec notre pays dans le cadre de la sécurité. Se rendredonc en Turquie pourrait donc rapporterquelque chose: l’armement.En Iran, un pays producteur de l’or noir et mis aubanc des accusés par ‘‘ la communauté internationale’’,la visite du président Aziz prend un autresens : le business politique ou économique. Ou bienles deux, ensemble.Officiellement, les deux pays vont signer desconventions de coopération dans les domaines dutransport, du tourisme et l’agriculture, etc. Officieusement,le pouvoir en Mauritanie, qui a ouvertses portes devant la République Islamique d’Iranet qui a gelé ses relations avec l’Etat hébreu, aspireà tirer les dividendes de cette position pas très évidentepar les temps qui courent…En entendant d’y voir plus clair et de pouvoir évaluerles retombées éventuelles de ces déplacementsdu président Aziz, il faut dire que l’opinion publiquene suit pas beaucoup les différentes étapesde ces visites. Même TVM, la très officielle chainenationale, ne trouvait parfois rien à dire à proposdu voyage présidentiel !Quant à l’opinion nationale, elle vit au rythme desdéceptions provoquées par la publication du décretfixant les indemnités de transport et de non logement.Certains syndicats commencent à brandir lamenace de grève, la dernière arme du travailleur.Sur le plan économique, la situation n’est guèreplus brillante : cherté de la vie, faiblesse des récoltes,chômage… Et il vaut mieux, certes, quenous ne parlions pas de la situation politique ousécuritaire.La question qui demeure posée est celle de savoirquelle réponse, autre que le remaniement de sonéquipe gouvernementale, le président Aziz pourrait-ilproposer à tous ces problèmes.Quotidien d’informationset d’analysesBP : 1122 NouakchottTél : 00222 524 02 75 - 00222 524 02 75Fax: 00222 524 02 75e-mail : bbiladi@gmail.comwww.rmibiladi.comDIRECTEUR DE PUBLICATION :Moussa Ould HamedRédacteur en chef :Mohameden Ould MeyneCOMITE DE REDACTION :Mohameden Ould MeyneAbdoulaye Ciré BâZein Ould YedaliCoulibaly NouhoumMohamed Mahmoud Ould TalebMoussa Ould HamedSamba CamaraOuld BladiDISTRIBUTION :Mohamed Lemine Tel: 640 69 76-307 99 00CORRESPONDANT A ATAR:Gueye Ahmet Tel: 640 99 67COLLABORATEURSCheikh SidyaBâ SileyeCharlyMAQUETTE :Cheikh OumarTel: 319 39 63 / E-mail: oumar012@live.frSiége: Immeuble BMCI, 5 eme Etage, Apt: 508TIRAGE : Imprimerie NationaleINSOLITESINSOLITESUn vol de diamantsdéjoué par une quinte de touxL'auteur du vol d'une bague en diamants a été confondulorsque, pris d'une quinte de toux, il a recraché l'objet de sonlarcin au nez des policiers qui l'interrogeaient, rapporte lundila police de Joplin (Missouri), dans le centre des Etats-Unis.L'homme avait dérobé jeudi une bague sertie d'un diamantde deux carats dans le sac à main de sa propriétaire, qui setrouvait dans son véhicule.Cette dernière avait immédiatement déclaré le vol à la police.La police avait alors diffusé des photographies de labague estimée à 20.000 dollars (14.138 euros) dans les bijouteriesde la région.Le voleur, accompagné d'une femme, a ainsi pu être identifiéquelques heures plus tard par le propriétaire de la bijouterieNewton, alors qu'il tentait de lui vendre la bague.Retenu par les employés de la bijouterie en attendant l'arrivéede la police, le voleur a avalé la bague. Il a ainsi réussià la cacher jusqu'à être pris d'une quinte de toux au cours deson interrogatoire.Un avion détournéà cause d'objets religieuxPhiladelphie, États-Unis - Un vol effectuant la liaison NewYork-Louisville jeudi 28 janvier au matin a été détourné desa route vers Philadelphie. Un passager pensait qu'unebombe était à son bord.Un passager a été alarmé lorsqu'un jeune homme de 17 ansa fait apparaître de petites boîtes noires qu'il a attachées àson bras et autour de sa tête.Il s'agissait en réalité de Téfilines, qui contiennent des morceauxde parchemin.Le jeune homme, de confession judaïque, ne faisait que pratiquersa prière du matin. Le personnel de bord, après avoirinterrogé le jeune homme, a tout de même décidé de détournerl'avion de sa route afin d'atterrir à Philadelphie.Aux Pays-Bas, la bicyclettene connaît pas la criseCrise économique ou pas, le marché du cycle reste florissantaux Pays-Bas, terre d'élection de la "petite reine".Il s'est vendu l'an dernier environ 1,3 million de vélos, pourun prix moyen de 713 euros et un chiffre d'affaires globalde 950 millions d'euros, en hausse de quatre pour cent parrapport à 2008, révèle lundi le RAI Vereniging, une associationde cyclistes néerlandais.Les Pays-Bas, pays propice au vélo en raison de son reliefplat, comptent 18.000 km de voies cyclables.En 2007, près d'un employé néerlandais sur quatre s'estrendu au travail à bicyclette.AnnonceL’Association des Amis de Habib Ould Mahfoudh prie les lecteurs qui détiendraientles éditions suivantes des Journaux Le Calame : 52, MauritanieDemain: 18 , Al Bayane: 7 - 12 - 66, de bien vouloir les signalerà la direction du journal.MerciLa statue d’Obamaenfant fait polémique2Jakarta, Indonésie - Alors qu'en décembre 2009 étaitinaugurée une statue de Barack Obama représenté enfant,il semblerait que celle-ci fasse polémique. En effet, ungroupe Facebook lançant une pétition contre celle-ci adéjà recueilli plus de 50.000 signatures.La statue en bronze de Barack Obama trône dans un parcpublic de Jakarta, où le président actuel des États-Unis avécu quelques années.Elle le représente enfant, et pour l'association "Les amisd'Obama" qui l'a financée, elle est un symbole encourageantles jeunes du pays à étudier pour réaliser leursrêves. Mais les Indonésiens ne la voient pas de cettefaçon et ont lancé une pétition sur le site de réseau socialFacebook pour la faire retirer.Le texte de la pétition explique : "Le monument doit êtreretiré immédiatement, pour respecter la dignité de la nationsouveraine".Et de souligner notamment que Barack Obama n'a ni lanationalité indonésienne, ni apporté une contributionconséquente au pays. La pétition a d'ores et déjà recueilliplus de 55.000 signatures.Le gouvernement de son côté, embarrassé par une tellepolémique, cherche aujourd'hui une solution quant à savoirsi la statue doit être remplacée, détruite ou déplacée.Une femme de 22 ansenceinte pour la 6e foisBad Steben, Allemagne - Une jeune allemande de 22 anss'apprête à donner naissance à son sixième enfant. Elledétiendra alors le record de la plus jeune maman à avoirautant d'enfants.C'est à l'âge de 14 ans que Daniela rencontre son petitami, aujourd'hui âgé de 26 ans, raconte 7sur7. Un an àpeine après leur coup de foudre, la jeune femme donnenaissance à un premier enfant, aujourd'hui âgé de 7 ans.Depuis, elle n'a cessé de tomber enceinte, ce qui surprendtout de même le papa qui raconte : "Je pensais que Danielaprenait la pilule mais il est à chaque fois apparu quece n'était pas le cas".Ainsi, la jeune famille est aujourd'hui composée de Lisaqui a 7 ans, Leon, 5 ans, Lucas, 4 ans, Lea, 2 ans, et la petitedernière de 1 an, Anna-Soey.L'enfant attendu d'ici peu est un garçon que les parentsont choisi d'appeler Ben.Quant à savoir si la famille compte encore s'agrandiraprès cette naissance, il semblerait que non puisque lepapa a décidé de subir une opération chirurgicale quil'empêchera définitivement d'avoir d'autres enfants.N° <strong>433</strong> du 26 Janvier 2010


3 À LA UNEALLIANCE POPULAIRE PROGRESSISTEDes sources concordantes font état depuis quelquetemps de récriminations, remous et mêmed’un début de dissensions au sein de l’AlliancePopulaire Progressiste (APP), un grand parti,membre de la Coordination des Forcesde l’Opposition Démocratique (CFOD),né d’un regroupement inattendu entrele mouvement social Haratine « El Hor » des années1980 et les Nasséristes, mouvance nationalistearabe. Une sorte de rébellion de certains leadersharatines serait en passe de semer la discordeau sein de la base et remettre en cause le leadershipdu chef historique du mouvement. De leur côté,les Nasséristes du parti, apparemment en phaseavec les chantiers lancés par le président Aziz,notamment la suspension des relationsdiplomatiques avec Israël, œuvraientà la réalisation d’une alliance avec le pouvoir.Entre les deux tendances, le présidentMessaoud continue de jouir d’une grandeaura au sein de l’opinion.Le grand leader historique, Messaoud Ould Boulkheir,président de l’Assemblée Nationale, chefde file des contestateurs du putsch du 6 août 2008et candidat malheureux à l’élection présidentielle du 18juillet dernier, serait ainsi en froid avec plusieurs de seslieutenants. Une « épidémie » de l’incompréhension dansdes relations jadis bien huilées, qui ne souffriraient quede quelques rares exceptions. Le courant des bons rapportsentre l’actuel président de la chambre basse du parlementet le groupe des compagnons étant juste maintenuavec un cercle restreint, des piliers parmi lesquels LadjiTraoré, Secrétaire Général de l’APP, et Mohamed OuldSamba, ancien porte parole du président Sidi MohamedOuld Cheikh Abdallahi, après le coup d’état du 6 août2008.Une réalité nouvelle dont l’illustration est de plus en plusvisible. D’ailleurs la fréquentation très réduite du siègedu parti est un indice suffisant pour refléter l’état des problèmesau sein de l’APP. En effet, ce lieu pourtant habituéà une animation continue, est devenu aujourd’hui peu fréquentéet même désert.Pour remonter à l’origine de ces nouvelles dissensions, ilfaut citer le combat de Messaoud Ould Boulkheir contrele changement anticonstitutionnel du 6 août 2008, conduitpar le général Mohamed Ould Abdel Aziz. Une bataillemenée pendant une année, au sein du défunt Front Nationalpour la Défense de la Démocratie (FNDD). Episodequi a donné à l’action du leader haratine, pour la démocratie,une dimension nationale, bien au-delà de l’aspect socialde la bataille du mouvement El Hor, contrel’esclavage.Ainsi, à l’image d’un autre leader historique de l’opposition,Ahmed Ould Daddah, président du Rassemblementdes Forces Démocratiques (RFD) et chef de file institutionnellede l’opposition, le président de l’Assemblée nationalefait face actuellement à une fronde venue desentrailles de son camp, une contestation interne.Une nouvelle donne qui ne devrait cependant pas remettreRemous et début de dissensionsen cause sa légitimité historique, acquiseà la faveur d’un combat socialet politique qu’il a mené sans relache,durant une vingtaine d’années.Mais, qui le pousse à revoir etmême à corriger la tendance à l’hibernation,à « l’embourgeoisement»notée pendant la courte parenthèse del’exercice du pouvoir, ces dernièresannées, sous le magistère de Sidi MohamedOuld Cheikh Abdallahi.On estime, chez certains cadres haratines,que Messaoud a même troquéla cause particulière de leur couchesociale contre un statut de leader national.Une sorte de corruption quelui avaient servie ses partenaires politiquesau sein du FNDD et qu’ilavait, lui-même, acceptée. Mais ausein de cette coalition politique, onexplique que la majorité des cadresharatines préférait rester du côté decelui qui a le pouvoir afin de pouvoir bénéficier des avantagesqu’il peut leur procurer. En d’autres termes, ces cadresne désiraient pas être sevrés aussi rapidement etperdre tous les avantages liés à une alliance avec les autoritésen place.Il faut ajouter à cela l’attitude plutôt « molle » et même «très conciliante » de la frange nassérienne de l’APP, vis-àvisdu pouvoir de Mohamed Ould Abdel Aziz. Une compréhensionbienveillante dont l’origine se trouve dansl’orientation d’un pouvoir qui a décidé de jouer sur la cordesensible de la fibre nationaliste arabe, en annonçant, engrande pompe, le gel des relations diplomatiques avec Israël,vieille revendication de la quasi-totalité des partis politiquesmauritaniens et d’une rue indignée et révoltée parle traitement que réservent au peuple palestinien les différentsgouvernements qui se succèdent à Tel Aviv.Il faut, à cet effet, rappeler la position neutre adoptée parles députés du parti issus de la frange nassérienne, à l’occasionde la session budgétaire consacrée à la loi des finances,pour l’exercice 2010.Parmi les rangs des contestataires issus de la mouvance «El Hor », on retrouve notamment le célèbre syndicalisteSamory Ould Bey, Secrétaire Général de la Centrale Libredes Travailleurs de Mauritanie (CLTM). Un des animateursd’une tendance qui reproche justement au grandleader historique, Ould Boulkheir, « une rupture progressive» avec la base.Le président de l’Assemblée nationale étant passablementparesseux et donc généralement peu enclin à prendre régulièrementpart aux rencontres politiques marathons, lespiliers du carré des intimes semblent avoir senti le « danger» et la nécessité de reprendre les commandes.Retour sur le terrainDu coup, Messaoud Ould Boulkheir, conscient des implicationsde la situation, décide de renouer avec son vieilamour et redescend sur le terrain politique. Ainsi, depuisquelques jours, il se rendrait régulièrement dans les quartierspopulaires, ces zones préurbaines qui ont solidementétabli la réputation de popularité de l’homme. Une démarcheà travers laquelle il entend renouer avec la base,histoire de ne pas se laisser déborder, sur le terrain desidées généreuses, par des lieutenants allant vers une rupturede ban, porteuse de gros risques de déchirure.Cette nouvelle bataille contre des « adversaires » inattendusreprésente, actuellement, un enjeu de taille au sein dece grand parti de l’opposition, selon de nombreux observateurs.Voilà pourquoi le vieux lion se remet subitement à rugir.Particulièrement lors de l’ouverture des journées de réflexionde son parti, le mois dernier. Son discours, jugétrop extrémiste, a provoqué le mécontentement de certainscadres qui hésitaient à accompagner les contestatairesdans leur démarche.Il est difficile de prévoir l’issue de la confrontation actuelle,la première du genre, entre Messaoud et ses ancienslieutenants, mais il faut tout de même prendre enconsidération la popularité encore très grande dont bénéficiece leader historique dans les couches haratines.Cheikh SidyaL’UE confirme son feu vert à la reprise de la coopérationLes ministres européens des Affaires étrangères ont confirmé lundi la reprise complète de leur coopération avec laMauritanie, prenant acte du "retour à l'ordre constitutionnel" dans ce pays."L'UE considère qu'une solution consensuellede sortie de la crise politique a été mise en oeuvre" et que "la Mauritanie est retournée à l'ordre constitutionnel",soulignent les ministres dans un texte adopté lundi. Ils ont par conséquent décidé de mettre fin au gel de lacoopération au développement avec la Mauritanie décidée à la suite du coup d'Etat mené en août 2008 par MohamedOuld Abdel Aziz. Le texte invite en même temps la Mauritanie "à engager un dialogue politique approfondi avecelle afin de renforcer la stabilité du pays". Juste après le coup d'Etat, l'UE avait gelé ses programmes d'aide à la Mauritanie,exceptés l'aide humanitaire et l'appui direct à la population. Puis, en avril 2009, elle avait officiellement "suspendu"pour deux ans sa coopération avec la Mauritanie, en exigeant "un retour complet à l'ordre constitutionnel",c'est-à-dire l'arrivée au pouvoir d'un "chef d'Etat légitime".L'UE avait déjà graduellement repris ses interventions en Mauritanie, après la mise en application des accords desortie de crise qui ont conduit à l'organisation d'une élection présidentielle, remportée en juillet 2009 par MohamedOuld Abdel Aziz.N° <strong>433</strong> du 26 Janvier 2010


ACTUALITÉ4SANTÉHOOLIGANISMEEn l’espace de dix mois seulement, le football africainavait tué 190 personnes, de Harare, en juillet 2000, àAccra, le 9 mai 2001 ; en passant par Johannesburg ouLubumbashi, sans oublier le tout récent sort desjoueurs Togolais. Les stades du continent sont-ils devenusdes antichambres de l’enfer. En tout cas c’estun mal dont le traitement interpelle, d’urgence, les décideursafricains.PPartenariat CNAM/prestataires de servicesRelever les prestations sanitaires nationales au niveaupratiqué sur le plan international, évaluer et renforcer lepartenariat entre la Caisse nationale d'assurance maladie(CNAM) et les prestataires de services médicaux et pharmaceutiquesainsi que l'établissement d'un contrat directavec les institutions concernées, constituent le sens donnéà l'atelier organisé ce lundi.A cette occasion, le ministre de la santé, Dr Cheikh ElMoctar Ould Horma Ould Babana, a indiqué que l'assurancemaladie repose sur l'action commune et le fermeengagement de toutes les parties prenantes à mettre enapplication les clauses contractuelles de manière à atteindrel'objectif recherché, à savoir, améliorer les prestationsde santé tout en maîtrisant les dépenses afférentes, afinde garantir la continuité du service sur le long terme.Il a poursuivi en notant qu'en ouvrant aux assurés de laCNAM l'accès à des soins de qualité et à des médicamentsefficaces, ces conventions garantissent, en mêmetemps, aux structures de santé un financement substantielet continu leur permettant d'offrir la qualité demandée, etdonc, de contribuer à la performance du système nationalde santé en général.Le ministre a aussi souligné que la rencontre d'aujourd’hui,prend une dimension particulière, en rapportavec l'adoption de la loi relative à l'extension de la couverturede l'assurance maladie aux salariés des établissementspublics, des sociétés à capitaux publics et d'autrespersonnes morales de droit public révélant que cette extensionconstitue une étape sur la voie de l'assurance maladieuniverselle envisagée au bénéfice de toutes lescatégories de la population mauritanienne.Dans ce cadre, a-t-il enfin indiqué, le département de lasanté s'emploie à acquérir des équipements performants etCes stades qui tuentourtant, aussi passionnés qu’ils puissent être, lesAfricains ne pratiquent pas le hooliganisme dontles Anglais ou les Allemands sont les tristes champions.Pourquoi donc le football fait-il plus de morts enAfrique qu’ailleurs ? L’explication se trouve sans doutedans deux particularités propres à ce continent.La première est l’incompétence des forces de police etleur manque de sang-froid face aux mouvements de foule.Le recours intempestif à l’usage des bombes lacrymogènesn’obéit à aucune règle en matière de maintien del’ordre. Pis : la panique s’empare rapidement des policierset ils tirent à balles réelles pour disperser manifestantsou supporteurs. Exemple : les émeutes de Kabylie,où les forces anti-émeutes, se rendant compte qu’elles nedisposaient pas de balles en caoutchouc, avaient utilisédes balles explosives.La seconde spécificité africaine a trait à la vocation dustade de football, souvent seul cadre disponible pour recevoirdes milliers de personnes.Ailleurs, c’est une structure destinée à accueillir des compétitionssportives ou des manifestations artistiques. Enattirer les hautescompétentes pouraméliorer et généraliserles prestationsde santé, axe fondamentalde la politiqueduGouvernement. "Nous avons bon espoirque cet ateliercontribuera au renforcementdu partenariatentre laCNAM et les prestataires médicaux et pharmaceutiques,en particulier dans deux axes essentiels, en l'occurrence laréduction des évacuations à l'étranger et la lutte contre lespratiques de fraude qui risquent de mettre en péril l'assurancemaladie" a conclu le ministre.Les participants à l'atelier ont écouté ce matin un exposéprésenté par le directeur général de la CNAM sur le rôleet les missions de cette institution et les défis qu'elle rencontredans le cadre de la couverture sanitaire.L’exposé a ensuite passé en revue les principaux défisauxquels fait face la CNAM tels que l'élargissement dusystème de couverture, l'amélioration de la qualité desprestations dispensés au niveau des structures sanitairesnationales, la lenteur des procédures de compensation, lescharges de plus en plus importantes des évacuations sanitairesà l'étranger et le phénomène des pratiques defraude, précisant que pour relever ces défis, il est nécessairede conjuguer les efforts des assurés, des décideurs,des prestataires de services médicaux et des travailleursde la CNAM.Afrique, durantla longue périodede la penséeunique, lestade est devenul’espaceindiqué pourservir de défouloirpolitiqueoù sont lancéssouvent les sloganshostiles aupouvoir enplace. Il procure ainsi une sorte de lieu d’impunité liée àl’anonymat de la foule. Pour le supporteur comme pour lemilitant, c’est un espace d’expression où celle-ci peuts’exercer librement.L’avènement du multipartisme n’a encore, pour l’instant,rien arrangé. En l’absence d’infrastructures adéquates, lestade de football reste, par défaut, le cadre de meetingspopulaires où se déclame le discours politique, s’entretientla mobilisation des opposants, et où commence, parfois,la répression.La violence ne se limite donc plus au tacle d’un défenseurou à l’agression d’un supporteur de l’équipe adverse.Faut-il pour autant désespérer de l’Afrique, de la capacitéde ses états à accueillir de grandes compétitions internationales,ou désespérer de ses forces de police ? Assurémentnon.L’Angola, l’Afrique du Sud, devraient donner à réfléchir.Et décider les responsables à agir.Zeine YedaliADRARRéunion surl'hydraulique dans la wilayaLe wali de l'Adrar, M. Sall Saydou a présidé ce lundi àAtar une réunion avec une mission du ministère de l'hydrauliqueet de l'assainissement en présence des hakemsdes moughataa, des parlementaires ainsi que des mairesdes communes et des chefs de services régionaux de lawilaya.A cette occasion, le wali a passé en revue le développementglobal et la renaissance que le pays connaît appelantl'assistance a adopter un plan d'action qui prend encompte, après les avoir fixées et étudiées, les priorités dudéveloppement régional.Pour sa part, M. Ethmane Ould Kerkoub, inspecteurchargé de l'hydraulique a précisé que la programmationdes interventions du ministère de l'hydraulique et de l'assainissementse fait suivant les critères de fixation des besoins,appelant à plus de transparence et de justice dansla répartition.Les participants ont, au cours de cette rencontre, fixé lespriorités du développement dans des points d'eau au niveaude certaines communes Chinguitty; El Ain Safraa;Aoujeft; El Medah; Maaden El Irvan; N'Terguent; Ouadane;Ain Ahel Taya; Atar; Tawaz et Choum.Ces priorités ont englobé le forage de puits et l'approfondissementd'autres ainsi que l'extension des réseaux enplus des équipements et des puits pastorauxUne délégationde CAMC à NouakchottLe Premier ministre, Dr Moulaye Ould Mohamed Laghdafa reçu en audience, lundi, une délégation de l'entreprisepublique chinoise CAMC, dirigée par sonvice-président, Monsieur Peng Jiping, accompagné deson Directeur général, Monsieur SHEN KESEY et d'ungroupe d'experts, ainsi que du Coordinateur du Projet del'Aéroport International de Nouakchott, Dr Kebir OuldSellami.Il a été question, durant cette audience, des relations decoopération entre les deux pays en matière d'infrastructureset des possibilités de les élargir à des domaines plusimportants, comme la construction des aéroports.Notons que la société d'Etat CAMC est spécialisée, entreautres, dans le domaine des infrastructures aéroportuaires,portuaires et routières et qu'elle est en train d'exécuterde grands projets aéroportuaires en Afrique, enparticulier au Soudan, au Mozambique et au Tchad.Consulteznotre site Weben français :www.rmibiladi.com/fr/N° <strong>433</strong> du 26 Janvier 2010


5 ACTUALITÉLUTTE CONTRE LE TERRORISMEPlus qu’une stratégie politique, la lutte contre d’éventuellesattaques terroristes est devenue une obsessionchez le pouvoir en Mauritanie. Au moment où il mènesa politique de dialogue et d’ouverture à l’égard desgroupes de jihadistes en prison, les forces de sécuriténe baissent pas la garde et continuent de traquer cellesqu’elles estiment menacer la paix dans le pays.Plusieurs personnes, suspectées d’appartenance à lanébuleuse terroriste ou accusées de lui apporter l’aidelogistique ou autre ont été interpellées dans différentscoins du pays et acheminées à Nouakchott, à la directionde la Sûreté nationale.Dimanche dernier, trois à cinq personnes originairesdu Sahara occidental et qui furent, à unmoment donné, combattants du front POLISA-RIO ont été interpellées à l’extrême nord du pays dansune petite localité non loin de Bir Mogreïn. Des élémentsde la sécurité militaire relevant de la 2ème région militaire,habillés en civil, suspectaient le groupe et poursuivaientses membres depuis quelque temps. Au momentde leur arrestation, ils prenaient tranquillement le thé chezune famille de la bourgade. Ils avaient à leur dispositionune voiture tout terrain. Une indication qui n’apporte pasgrand-chose, tant tous les habitants de cette zone désertiquese déplacent en 4X4. Le terrain ici est vaste et difficiled’accès.Les miliaires disposaient apparemment d’informations àmême de les amener à les mettre directement en état d’arrestation.Tout le groupe est embarqué à bord de véhiculesde l’armée. Après une brève enquête, les militaires s’aperçurentque deux éléments du groupe étaient de simples bergersqui poursuivaient leurs troupeaux dans un “Tiris” bienArrestations en cascadesarrosé cette année et traditionnellement propice à l’élevage.Les trois autres membres du groupe, fortement suspectésd’appartenance à la nébuleuse jihadiste ou du moins enrapport étroit avec elle, ont été acheminés le même jour,par avion, à Nouakchott. A l’aéroport de la capitale, ilsétaient attendus par une patrouille de la police anti terroristequi les embarqua à bord de ses véhicules.Ils auraient été emmenés à la direction de la police où ilscontinuent de subir un interrogatoire soutenu dans le secretle plus total.On ne sait pas beaucoup d’informations par rapport àl’identité exacte de ses personnes, ni des accusationsqu’on leur reproche. Des sources journalistiques évoquentun mécontentement chez les représentants du Polisario àNouadhibou qui soutiendraient que ces trois personnessont des sahraouis qui exercent le commerce dans la zoneet qu’ils n’ont aucun rapport avec les groupes terroristes.Cela rappelle un tout petit peu l’histoire des ressortissantsmaliens qui avaient été interpellés, l’année dernière, nonloin de la frontière nord est de la Mauritanie, en train deréparer une voiture en panne dans le désert.Ils furent acheminés dans les mêmes conditions d’urgenceà Nouakchott et présentés au départ comme étant desmembres d’Al Qaeda qui étaient responsables d’attaquescontre l’armée. Après quelques semaines de détention, ils’était avéré que tout ce qu’on leur reprochait était toutsimplement faux. Ils furent libérés par la suite et l’affairea été classée.Quelques jours auparavant, un propriétaire de camionexerçant le transport entre le Guidimagha et la région maliennede Khayes a été arrêté par la police à la frontière.Des éléments de la direction nationale de la Sécurité furentdépêchés dans la région afin de l’interroger. Ilsavaient confisqués avec lui un appareil de téléphoneThouraya et d’autres matériels de transmission etd’écoute. Ils décidèrent de l’emmener avec eux à Nouakchott.Certains milieux proches de la police l’accusentdéjà d’avoir toujours apporté l’aide à la nébuleuse AlQaeda et d’être un élément clef de son dispositif en Mauritanie.Il aurait été même, estime-t-on, impliqué dans desactions sanglantes qui ont été perpétrées par ces terroristesen Mauritanie.Autres arrestations qui se sont déroulées dans le mêmecadre: des commerçants qui vivent dans l’une des localitésproches de la capitale du Brakna, Aleg. On les accused’entretenir des relations suspectes avec un sahraoui quitravaille pour le compte de la nébuleuse terroriste et auraitséjourné quelque temps avec eux, en brousse, où il tenaitla garde d’un troupeau de bétails.Sur toutes ses arrestations la police est restée muette etn’a communiqué aucune information sur les gens qu’ellecontinue de garder auprès d’elle.Quoi qu’il en soit l’action de nos forces de l’ordre contrela menace terroriste demeure encore limitée et en retardsur les événements. Car, dans le cas du terrorisme, il fautarriver à pour déjouer les attaques des terroristes avantqu’elles ne se produisent, plutôt de continuer à courir derrièreleurs responsables.Ould BladiDAKHLET NOUADHIBOULe wali à NouamgharLe wali de Dakhlet Nouadhibou, M. Ahmed Vall ouldAhmed Youra a effectué une visite d'information et deprise de contact dans l'arrondissement de Nouamghar.Au cours d'un rassemblement tenu lundi dans les locauxde la commune de Nouamghar, le wali a précisé que cettevisite a pour but de s'informer sur les problèmes des populationsen vue de leur trouver des solutions, et ceconformément à la nouvelle politique suivie par les autoritéssupérieures du pays et qui vise à assurer l'accès descitoyens aux services de base.Il a ajouté que cette politique s'articule sur des points essentielscomme la redistribution équitable des ressourcesdu pays aux populations, la lutte contre la gabegie et lacorruption et l'éradication du phénomène de la sédentarisationanarchique qui est contraire, a-t-il dit, aux objectifsdu développement économique, appelant à mettre unterme à cette manifestation non civilisée.Pour sa part, le maire de la commune de Nouamghar, M.El Weli Ould Ahmed Hamed s'est félicité de cette visiteà laquelle, a-t-il dit, les populations de la commune accordentune impartance particulière, car étant de nature àtrouver des solutions aux problèmes qui se posent à elles.Le wali avait auparavant tenu des rassemblements similairesdans les localités de M'Haijratt, et Belwakh où il aécouté les problèmes des populations, réaffirmant l'intérêtqu'accordent les autorités du pays à ces problèmes.TRARZARéunion à Rossosur les problèmes de l'eauYahya Ould Cheikh Mohamed Vall, wali du Trarza a présidélundi à Rosso une réunion organisée par le ministèrede l'hydraulique et de l'assainissement pour déterminerles priorités dans le domaine des infrastructures hydrauliques,dans le cadre du programme du ministère pour2010-2011.Dans un mot prononcé pour la circonstance, le wali a insistésur l'importance de cette réunion qui s'inscrit, a-t-ildit, dans le cadre des instructions du Président de la République,Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz relativesà la disponibilisation de l'eau potable au profit de tous lescitoyens, servant ainsi le développement durable au niveaude l'ensemble des villages et collectivités urbainesrelevant des communes de la wilaya.M. Ahmed Zeidane Ould Mohamed Mahmoud, directeurdes eaux de surface a précisé que le département de l'hydrauliqueet de l'assainissement oeuvre sans relâche pourexécuter cet ambitieux programme visant à déterminerles priorités et les besoins des populations en matièred'eau, soulignant que cela s'effectue en collaboration avecles autorités administratives et les élus qui connaissentmieux que quiconque ces priorités.Il a ajouté que deux zones seront définies dans la wilaya,en tant que pôles de développement de l'agriculture, del'élevage et du tourisme dans le cadre du développementglobal du milieu rural.MAURITANIE/IRANAziz à TéhéranLe Président de la République,r MohamedOuld Abdel Aziz estarrivé lundi matin àTéhéran pour une visitede quelques joursen République Islamiqued'Iran.Le Président de la Républiquea été accueillià sa descente d'avionpar le ministre iranien de la coopération internationale,M. Mohamed Abass, l'ambassadeur iranien accréditéen Mauritanie avec résidence à Tunis, SEM MohamedTaghi El Mouayid et d'autres hautes personnalités iraniennes.Aussitôt arrivé dans la capitale iranienne, le présidenta eu des entretiens avec plusieurs responsables de laRépubmique islamique dont notamment MohamedRahimi, premier vice-président iranien et MohamedAbbasi, ministre de la coopération internationale.Ces entretiens ont porté sur les domaines de coopérationexistant entre les deux pays et les moyens de lesrenforcer davantageMohamed Ould Abdel Aziz est arrivé lundi à Téhéranen provenance de la Turquie où il venait de terminerune visite officielle de quelques jours.N° <strong>433</strong> du 26 Janvier 2010


ÉCONOMIE6BOURSE DE PARISAUTOMOBILEN° <strong>433</strong> du 26 Janvier 2010Nouveau coup de froidAprès être repassé dans le vert, le CAC 40 a fondu à labaisse sous les 3.800 points ce lundi. Une statistique américainea donné un coup de blues aux investisseurs.La séance s’annonçait difficile, comme en témoignaitl’ouverture en baisse du CAC 40 à - 0,51% (3.801,34points). Après un revirement dans le vert à mi-séance,l’indice parisien est repassé dans le rouge vers 13 heures.Puis à 16 heures, outre-Atlantique, les reventes de logementsaux Etats-Unis sont ressorties en brutale chute endécembre, de 16,7% par rapport au mois précédent, à 5,45millions de transactions en rythme annuel, selon des chiffrespubliés par l’Association nationale des agents immobiliers(NAR), très loin des prévisions des analystes quitablaient sur 5,9 millions.Au final, à la clôture, le CAC retombe de 1,02%, à3.781,8 points, après des séances particulièrement chahutéesla semaine dernière, où la Bourse de Paris avaitperdu 3,6% en trois séances (mercredi, jeudi et vendrediderniers).Dans cette baisse, certaines valeurs bancaires ont résisté.Société Générale a gagné 1,39% à 43 euros et Crédit agricolea pris 1,14% à 12 euros, dopés par une informationde presse évoquant l’ouverture de discussions entre lesdeux établissements en vue de créer une coentreprise dansl’activité de banque de financement et d’investissement.Dexia a bifurqué au dernier moment et a perdu 0,07% à4,46 euros. Axa a finalement cédé 0,38%, à 15,5 euros.Mais BNP Paribas a reculé de 1,77%, à 51,6 euros. DeutscheBank a dégradé la valeur et n’est pas à l’achat maisa relevé son conseil à achat sur Société générale.Par comparaison, Société Générale avait perdu vendredi5,2%, Crédit Agricole reculait (-2,51%) de même queBNP Paribas (-1,89%), Axa (-2,5%) et Dexia (-0,73%).Les seules autres valeurs dans le «vert» sont Accor(+0,04%) et LVMH (+0,04% aussi), porté par un relèvementde Nomura. L’euro a retrouvé des couleurs. La monnaieeuropéenne prend 0,12% à 1,4150 dollar. Sur lemarché des matières premières, le baril de «light sweetcrude» pour livraison en mars gagne 0,6% et revient aucontact des 75 dollars. Total a terminé ainsi en repli de1,08%, à 42,7 euros, Vallourec de 0,68%, à 124,1 euros,Technip de 0,55% à 48,6 euros. Ce matin, l’institut GFKa annoncé que la montée du chômage et la reprise laborieusede l’économie continuent de peser sur le moral desménages allemands. Le baromètre de la consommations’est ainsi replié à 3,2 points pour février, contre 3,4points le mois précédent. «Du point de vue de la consommation,2010 s’annonce plus difficile que 2009», estimel’institut. Du côté des statistiques, ce lundi, l’Insee a publiéson enquête trimestrielle de conjoncture dans laconstruction immobilière et dans l’artisanat du bâtimenten janvier. Il en ressort une amélioration de la demande delogments neufs qui s’affiche à -22% en janvier contre -28% en octobre dernier. En revanche, «selon les chefsd’entreprise interrogés en janvier 2010, l’amélioration duclimat conjoncturel marquerait le pas dans l’artisanat dubâtiment», explique l’Insee.Après une séance volatile, les valeurs automobiles sontfinalement à la traîne du classement du jour, ce lundi. Renault,qui a présenté son nouveau fourgon Master (commercialisationprévue en avril 2010), a lâché 1,8%.Peugeot, en hausse en début de séance, a terminé en reculde 2,4%, à 24,3 euros. Le constructeur a annoncé son intentionde viser une part de marché de 8% d’ici à 2015-2016 en Chine, pays prioritaire de sa stratégie decroissance. Peugeot doit aussi présenter sa nouvelle 408ce lundi. Michelin est la lanterne rouge avec un retrait de3,21% des actions ce lundi. Sanofi-Aventis a pesé lourdaussi (-1,81%). Les technologiques ont été sanctionnéesaussi : Alcatel-Lucent a cédé 2,87%, à 2,04 euros, et Capgemini2,4%.Fiat bat le consensus au 4e trimestreFiat a publié des résultats trimestriels supérieurs aux attenteset déclaré que l'évolution de ses résultats en 2010dépendrait de l'évolution des diverses mesures gouvernementalesd'incitation à l'achat de voitures neuves.Le groupe italien, qui détient 20% du capital de l'américainChrysler, a réalisé sur les trois derniers mois de 2009un bénéfice d'exploitation avant éléments exceptionnelsglobal de 488 millions d'euros pour un chiffre d'affairesde 13,6 milliards, en hausse de 3,6%, a-t-il précisé dansun communiqué.Fiat est le premier des grands constructeurs automobileseuropéens à publier ses résultats 2009, un exercice marquépar l'impact des primes à la casse instituées par denombreux gouvernements pour soutenir le marché automobile.Mais certaines de ces primes ont déjà été supprimées,en Allemagne par exemple, et d'autres sontprogressivement réduites, comme c'est le cas en France.Le consensus des estimations d'analystes établi par Fiatlui-même donnait un bénéfice d'exploitation courant trimestrielde 460 millions d'euros. Mais l'administrateurdélégué du groupe, Sergio Marchionne, avait déclaré lasemaine dernière que les résultats seraient supérieurs à lamoyenne des estimations.Pour 2010, qu'il présente comme "une année de transitionet de stabilisation", le groupe de Turin s'attend à unecroissance de ses activités mais à condition, pour sabranche automobile, que des mesures publiques de soutiensoient maintenues. Dans le cas d'un tel maintien, lebénéfice d'exploitation courant devrait être d'environ 1,5milliard d'euros et le chiffre d'affaires devrait augmenterde 3% à 6% pour atteindre 52 à 53 milliards.En revanche, si les mesures de soutien à l'achat de voituresneuves ne sont pas maintenues, le bénéfice d'exploitationhors exceptionnels de la branche de constructionautomobile devrait être amputé de 350 à 400 millionsd'euros, explique le groupe. Ces perspectives correspondentaux propos tenus la semaine dernière par SergioMarchionne et vont dans le sens d'un redressement progressif,estime Michael Tyndall, analyste de Nomura."Mais il a mis un peu d'eau dans son vin en laissant entendreque si les primes à la casse ne sont pas prolongéesle bénéfice d'exploitation pourrait ne pas s'améliorer en2010", ajoute-t-il. L'endettement net de Fiat, lui, devraitse situer sous le seuil de cinq milliards d'euros en 2010;la dette industrielle nette s'élevait à 4,4 milliards fin 2009.ENERGIETotal pourrait fermersa raffinerie de DunkerqueLe groupe Total vaannoncer le 1er févrierla fermeturede sa raffinerie desFlandres à Mardyck,près de Dunkerque(Nord),affirme le journalLa Tribune dans son édition de lundi.Le pétrolier s'apprête à convertir le site en un dépôt decarburant qui emploierait entre 30 et 50 personnes, selonLa Tribune qui cite des «sources concordantes». Environ370 salariés et 450 sous-traitants travaillent actuellementsur le site.Interrogé par l'AFP, un porte-parole de Total a simplementrappelé qu'un comité central extraordinaire (CCE)concernant la raffinerie était convoqué le 1er février etqu'il ne pouvait avant cette date faire aucun commentaire,en raison de «l'obligation de donner la primeur des informationsaux instances représentatives du personnel».«Ce que l'on sait, c'est que la raffinerie va très probablementarrêter la partie raffinage et que le site devrait êtretransformé en lieu de stockage», a indiqué pour sa part àl'AFP Charles Foulard, délégué central CGT du groupe.«Ce sont plus que des bruits à l'intérieur du groupe. ().Ce site devrait être transformé en dépôt pétrolier, avecune autre activité en complément. Tout cela devrait êtreofficialisé le jour du CCE», a-t-il ajouté. «Nous considéronsque cette fermeture est inacceptable et irresponsableet que le gouvernement doit intervenir.»Cette annonce interviendrait dix jours avant la publicationdes bénéfices 2009 de Total, attendus autour de 8milliards d'euros, relève le quotidien, après 13,9 milliardsd'euros en 2008, le plus gros profit jamais enregistré parune entreprise française. Début décembre, Total avait ditétudier différents scénarios pour la raffinerie, parmi lesquelsla fermeture définitive, la vente, un arrêt prolongéou la transformation en dépôt.Pour avoir des informations surla Mauritanie, consultez:www.mauritanidees.fr


7INTERNATIONALESLIBANIRAKCrash d’un avion d'Ethiopian AirlinesUn avion de la compagnie Ethiopian Airlines avec 90 personnesà bord s'est abîmé en Méditerranée lundi aux premièresheures peu après son décollage de Beyrouth et ilne semble y avoir aucun rescapé.L'appareil, un Boeing 737-800, a disparu des écrans radarcinq minutes environ après son départ à 02h37 (00h37GMT) pour Addis Abeba, alors qu'un orage s'abattait surla capitale libanaise, ont dit les autorités aéroportuaires.Le président libanais Michel Souleïmane a déclaré que lathèse de l'accident était la plus plausible. "A l'heure actuelle,un sabotage paraît improbable. L'enquête révèlerala cause", a-t-il dit lors d'une conférence de presse.Vingt-quatre corps, dont ceux d'au moins six personnesd'origine éthiopienne, ont été retrouvés pour l'instant prèsde l'épave de l'appareil, qui s'est abîmé en mer à trois kilomètreset demi de la côte et du village de Na'ameh, à10 km au sud de Beyrouth.Certains cadavres ne sont pas reconnaissables et il faudraavoir recours à l'ADN pour permettre de les identifier.Des sièges déchiquetés et des bagages gisent sur la plage,peut-on voir sur les images diffusées à la télévision libanaise.Des habitants disent avoir vu une "boule de feu"tomber du ciel. Il y avait à bord 83 passagers et sept membresd'équipage, a dit à la presse le ministre des Transports,Ghazi al Aridi, qui s'est rendu à l'aéroportinternational Rafic Hariri, où se sont précipitées des famillesde passagers à l'annonce de l'accident.Le président de la compagnie aérienne, Girma Wake, adéclaré que les autorités n'avaient pas fait état de rescapéslorsqu'il s'est entretenu avec elles.Marla Pietton, l'épouse de l'ambassadeur de France auLiban, Denis Pietton, se trouvait dans l'appareil, a annoncéla mission diplomatique française. Cinquante-quatrepassagers libanais et 22 Ethiopiens étaient à bord, ontprécisé les autorités.Des centaines d'Ethiopiens travaillent comme employéde maison au Liban, avec lequel Ethiopian Airlines effectuedes liaisons régulières.La Force intérimaire des Nations unies au Liban, la policeTrois hôtels à Bagdad visés par des attentatschypriote, l'armée britannique et la marine américaine onttoutes dépêché hélicoptères, navires ou plongeurs pourcontribuer aux recherches d'éventuels rescapés.Le gouvernement libanais a décrété un jour de deuil aprèscette catastrophe qui a suscité la colère des familles,compte tenu de la météo au moment du décollage. "Ilsauraient dû retarder le vol d'une heure ou deux pour protégerles passagers. Il y avait de violents éclairs et on saitbien que les éclairs frappent particulièrement les avionsau décollage", a dit un proche d'un passager.Le président de la compagnie a pour sa part estimé quel'équipage n'aurait pas décollé si les conditions ne s'yétaient pas prêtées. "Le temps était mauvais. Mauvais àquel point, je ne serai pas capable de le dire. Mais, à ceque je vois, c'était sans doute un temps surmontable sinonl'équipage n'aurait pas décollé", a-t-il dit à la presse àAddis Abeba. Il a précisé que le contrôle technique del'appareil réalisé le 25 décembre n'avait pas décelé de problèmes.L'avion avait été construit en 2002.Ethiopian Airlines s'est imposé comme un acteur majeurdu transport aérien en Afrique et a récemment étendu sonréseau en Asie. La compagnie a annoncé vendredi la commandede dix Boeing 737-800 de nouvelle générationpour 767 millions de dollars.Des attentats-suicide ont visé trois hôtels fréquentés pardes Occidentaux et des hommes d'affaires à Bagdad lundi,faisant au moins 37 morts et plus de 100 blessés, selondes représentants des forces de sécurité.Les trois déflagrations se sont produites en l'espace d'unequinzaine de minutes, dans le centre de la capitale irakienne,peu avant que la télévision n'annonce l'exécutionpar pendaison du cousin de Saddam Hussein, Ali Hassanal-Majid, dit "Ali le chimique".Ces attentats dont la responsabilité n'a pas été revendiquéedans l'immédiat ont été commis environ six semainesaprès une série d'explosions qui ont fait 127 mortset suscité des critiques à l'encontre des autorités à l'heuredu retrait des forces américaines.Ali al-Dabbagh, porte-parole du gouvernement, a déclaréque les dernières attaques "représentaient une extension"des activités des insurgés liés au régime de Saddam Hussein.Mais il n'est pas allé jusqu'à estimer que les attentatspouvaient avoir été perpétrés en représailles à l'exécutiond'"Ali le chimique". A Washington, la secrétaire d'Etataméricaine Hillary Clinton a condamné ces violences, yvoyant une tentative de perturber les élections législativesprévues le 7 mars prochain en Irak.La première explosion s'est produite vers 15h40 localessur le parking de l'hôtel Sheraton. Plusieurs murs protégeantle bâtiment se sont effondrés et des immeubles voisinsont été endommagés. Deux autres déflagrations ontsuivi quelques minutes plus tard, à proximité des hôtelsBabylon et al-Hamra. Les représentants des forces de sécuritéont déclaré sous couvert de l'anonymat que le bilandevrait s'alourdir. Selon les derniers bilans, 15 des personnesdécédées se trouvaient à l'hôtel al-Hamra, 14 auSheraton et huit, dont deux policiers, au Babylon.Selon le général Qassim al-Moussawi, porte-parole del'armée, ces trois attentats sont l'oeuvre de kamikazes.A l'hôtel al-Hamra, deux hommes à bord d'une voitureont ouvert le feu sur des agents présents au contrôle del'établissement, avant de faire sauter leurs charges explosives,a expliqué un responsable de la police.La police a bouclé le secteur, tandis que des hélicoptèresirakiens survolaient la zone.HAÏTIL’aide internationale s’organisePrès de deux semaines après le séisme dévastateur du 12janvier, les autorités haïtiennes s'attendaient lundi à ceque le bilan des morts dépasse les 150.000 morts, sanscompter ceux toujours coincés sous les décombres. À laquestion de savoir combien de cadavres pourraient êtreencore enfouis, la ministre a jugé que "c'est très difficilede dire, mais le Premier ministre (haïtien) a parlé de200.000Les "pays amis" d'Haïti (États-Unis, France, Espagne,Brésil, Nations unies et Organisation des États américains...)tiennent de leur côté lundi à Montréal une réuniond'urgence pour se concerter, faire le bilan de lasituation et coordonner l'aide. Puis ils réfléchiront à la reconstructiondu pays, l'un des plus pauvres du continent,avec la préparation d'une conférence prévue en mars.Le gouvernement haïtien s'est réjoui dimanche de la réponsede la communauté internationale mais a insisté surla nécessité de voir les promesses de dons se concrétiser.Le chef de la mission de stabilisation de l'ONU en Haïti(Minustah), Edmond Mulet, a affirmé dimanche avoird'énormes besoins en personnel, en soldats, en essence eten véhicules pour faire parvenir l'aide à la population.Le Japon va porter à 70 millions de dollars son aide àHaïti et pourrait envoyer des troupes sur place pour renforcerla mission de l'ONU après le séisme, a rapportélundi l'agence de presse Kyodo.Les yeux restent raqués sur New York où doit se tenir,demain mercredi la réunion extraordinaire du Conseildes droits de l'Homme de l'ONU sur Haïti.Cette session extraordinaire a été demandée par le Brésilet soutenue par 32 des 47 membres du Conseil basé à Genève.Le Conseil des droits de l'Homme a déjà organisé des réunionsd'urgence après le cyclone qui avait frappé la Birmanieen 2008, et sur les conflits au Liban, au Darfour, enRépublique démocratique du Congo, et dans les Territoirespalestiniens.Depuis sa création en 2006, il s'est également réuni ensession extraordinaire au sujet de la faim dans le mondeet de l'impact de la crise financière sur les droits del'Homme.IRANParis demandedes sanctions renforcéesLe secrétaire d'Etat français aux affaires européennes,Pierre Lellouche, a appelé lundi ses partenaires de l'UE àpréparer de nouvelles sanctions contre l'Iran, devenuesselon lui inévitables compte tenu de la position de Téhéransur le nucléaire.'Nous sommes en négociation avec l'Iran depuis six ans,la totalité des propositions des Occidentaux ont été toutesrepoussées et maintenant, si on écoute les porte-paroleiraniens, il est question de passer à un enrichissement de20 %' de l'uranium en Iran, qui correspond au 'seuil demilitarisation', a-t-il déclaré à la presse à l'issue d'une réuniondes ministres des affaires étrangères de l'Union européenne.'Il nous faut être capable d'accompagner le nécessaireprocessus de sanctions', et 'les Européens doivent se préparerà ce processus de sanctions', a ajouté le secrétaired'Etat, dont le pays fait partie du groupe des six puissancesqui gèrent le dossier du nucléaire iranien. M.Lellouche représentait la France à la réunion des chefsde la diplomatie des 27 pays européens, en l'absence deBernard Kouchner, présent à la conférence de Montréalsur Haïti.N° <strong>433</strong> du 26 Janvier 2010


SPORT8CHALLENGE SIDI MOHAMED ABASSLe lycée Saydou Nourou Tall a annoncé, au cours duweek end dernier son retrait de la compétition. Une demandea été formulée à cet effet et transmise au comité depilotage du tournoi. On ignore les raisons de ce retraitquand on sait que la formation de cet établissement occupela troisième place de la poule A. Le classement dutournoi notamment dans les A, C et D sera bouleversé.De nombreux cas de fraude ont été découverts par leséquipes de veille du tournoi.Sur le terrain, la septième journée du challenge Sidi MohamedAbass s’est jouée au cours du week end dernier. Dansla Poule A, lors de la septième Journée, le lycée AbdoulayeDjigo a été étrillé0 à4 par le lycée des Nations.Le lycée ElVowz perd 0 à 3 par Pénalité au profit du lycée Dar El Ouloum,en raison de la non-conformité des documents administratifsd’un de ses joueurs Brahim Othmane.Le lycée l'Ecole et la Vie dispose de 1but à0 celui deCheikh Moussa.Le lycée National s’incline1 à2 devant lelycée Chems Dine. Macth nul de un but partout entrelelycée Riad et celui de Avenir. Au Classement, le lycée desNations est en tête avec18 points suivi du lycée ChemsDine(15) et le lycée National(13 points).Dans la poule B, le lycée Tevrag Zeîna gagne sur tapisvert 3 buts à 0 Par Pénalité au détriment du lycée MotarDaddah pour non Respect de l'heure de la Convocation.Défaite 1 à 2 du lycée Menahil El Ilm devant celui deDioukhamadia. Victoire sur la plus petite des marges 1 à0 du lycée H. M. Kelly devant le Collège Toujounine5.Le lycée H. O. Tall s’incline 0à 1 devant le collègePluie de sanctions, Retrait de Saydou Nourou TallRiyad 3.Le lycée Sebkha s’impose 1 à 0 collège du Ksar.Ce qui permet aux joueurs du cinquième arrondissementde se hisser en tête avec 15 points. A un point, on retrouve,le lycée H. O. Tall(14). Dans la Poule C , le CollègeArafat 6 concède un nul de 3 buts partout face au lycée ElKoudwa. Score nul et vierge entre le lycée Garçons 2 etcelui Ebou Hamed El Gazali. Le lycée Kumballi infligeune raclée de 5 buts à 0 face au lycéeDar Naîm.Le lycée Petit Centre gagne sur tapis vert 3 buts à0 audétriment du lycée Baobab pour la non-conformité desdocuments administratifs de Mamadou Ousmane Gueye. Le lycée Salah Dine prend le meilleur2 buts à0 face aulycée Arafat II.Le lycée Salah Dine, avec 16 points estaux commandes suivi par le lycée Kumballi et le lycéePetit Centre (13).Dans la poule D, le Collège El Mina I a été battu 1 à2 par le lycée Arabe. Nul blanc entre le lycéeArafat I et leCollège deTeyarett I. Victoire par pénalité du lycée ElMina 3 buts à 0 Collège de Sebkha I pour non Respectde l'heure de la Convocation.Le lycée Oumou El Ghouras’incline 0 à2 devant le Collège Riyad I.Le lycée ZemZem est venu à bout 2 buts à0 du lycée Théodore Monod.Le Collège de Riyad I tient le haut du pavé avec 13points(goal average de +7 devançant le lycée El Mina(6)et le lycée Zem Zem(12)6.Signalons que suite aux premières enquêtes et vérificationfaîtes par le comité de pilotage, certaines équipes viennentd’être sanctionnées .Dans la Poule A, le lycée El VowzPerd les matchs Suivants en Faveurs du lycée Cheikh576 jours que “RADIO CITOYENNE” est condamnée au silence !Moussa (2ème Journée),L. S. N. Tall (4ème Journée –Match non comptabilisé),L. National (5ème Journée),L.Abdoulaye Djigo (6ème Journée) et L. Dar El Ouloum(7ème Journée).Dans la Poule B, le lycée Tevragh Zeïna Perd les matchsSuivants en Faveur u lycée Toujounine(2ème Journée);L. Sebkha(3ème Journée) ;L. H. M. Kelly(5ème Journée)L.Menahil El Ilm (6ème Journée) Dans la Poule C, lelycée Ebou Hamed El Gazali Perd les matchs Suivantsen Faveur du lycée Kumballi (1ère Journée) ;L. ElKoudwa (2ème Journée)L. Arafat 2 (4ème Journée)L.Zahara (5ème Journée)L. Petit centre (6ème Journée). Lelycée Baobab Perd les matchs Suivants en Faveur de :L.Salah Dine (1ère Journée)L. Kumballi(2ème Journée)L.El Koudwa(3ème Journée)L. Dar Naîm (4ème Journée –Match non comptabilisé)L. Arafat 2 (5ème Journée)L.Petit centre(7ème Journée)Enfin, dans la Poule D, le lycée Zem Zem Perd lesmatchs Suivants en Faveurs du Collège Riyad 1 (1èreJournée). Le lycée Medina Perds les matchs Suivants enFaveur de :L. Théodore Monod(1ère Journée)C. El Mina1 (2ème Journée)L. Oumou El Ghoura (3ème Journée–Match non comptabilisé)L. Arafat 1 (4ème Journée)C.Teyarett 1(5ème Journée)Le lycée Oumou El Ghoura Perd les matchs Suivants enFaveurs du lycée Théodore Monod (2ème Journée) L.Medina (3ème Journée– Match non comptabilisé)C. ElMina 1 (4ème Journée)L. Arafat 1 (5ème Journée)C.Teyarett 1 (6ème Journée).SALAMTRANSPORTSNouveauNouvelle LigneNouakchott-DakaretDakar-NouakchottDépart Nouakchott: tousles dimanche à 7 heures dumatin.Départ de Dakar: tous leslundi à 23 heures.CAN 2010Renversante AlgérieDimanche, le Ghana a sonné le glas des espoirs de l'Angoladans "sa" Coupe d'Afrique des Nations (CAN) de laCAF. Mais l'excellente prestation des jeunes Ghanéens aété reléguée au second plan par une autre performance dehaute volée, plus tard dans la soirée à Cabinda : la victoirede l'Algérie sur la Côte d'Ivoire, au terme d'une prolongationinsoutenable. Une réalisation superbe d'AsamoahGyan, à la 16ème minute, a mis fin aux ambitions angolaisesdans le tournoi. Le Ghana, organisé et réaliste, aréalisé l'exploit, oubliant sa jeunesse, de mettre fin enquarts de finale de la CAN-2010 au rêve de l'Angola, favoriet dominateur mais éliminé à la régulière (1:0), dimancheà domicile malgré l'enthousiasme de sonpublic.À Cabinda, la confrontation entre deux des représentantsafricains à la prochaine Coupe du Monde de laFIFA a tenu toutes ses promesses. Les Ivoiriens ont menédeux fois au score. Après avoir ouvert la marque tôt dansla partie, ils se font rattraper une première fois cinq minutesavant la pause. À quelques secondes de la fin dutemps réglementaire, Kader Keita redonne l'avantage auxÉléphants, définitivement semble-t-il.Rassemblés par Saydou Nourou T.N° <strong>433</strong> du 26 Janvier 2010

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