ContributionEn fait, le caractère spécifique du comportement criminel féminin n’est apparu que récemment à <strong>la</strong> suite <strong>de</strong> l’adoption d’uneapproche féministe dans l’analyse <strong>de</strong> ce comportement ainsi que <strong>de</strong> <strong>la</strong> critique du féminisme – ou <strong>de</strong>s féminismes – àl’égard <strong>de</strong>s théories criminologiques traditionnelles (Smart 1989, Carlen 1992, Facio 1993, Rafter <strong>et</strong> Hei<strong>de</strong>nsohn 1995).Pour certains experts, une telle critique a exercé une influence considérable sur l’évolution <strong>de</strong> toute <strong>la</strong> pensée criminologiquecontemporaine (Larrauri 1994, <strong>de</strong>l Olmo 1998).Aujourd’hui, grâce aux recherches menées dans <strong>de</strong> nombreux pays au cours <strong>de</strong>s 40 <strong>de</strong>rnières années, les femmescommencent à jouir, pour le droit criminel, d’une certaine visibilité en tant que suj<strong>et</strong>s. La discipline n’a pas pour autantabandonné sa logique masculine.On trouve parmi les premiers travaux re<strong>la</strong>tifs à <strong>la</strong> situation <strong>de</strong>s femmes criminelles Sisters in Crime <strong>de</strong> Freda Adler <strong>et</strong>Women and Crime <strong>de</strong> Rita Simon, tous <strong>de</strong>ux publiés en 1975. Ces auteures postu<strong>la</strong>ient que <strong>la</strong> participation <strong>de</strong>s femmesà <strong>la</strong> criminalité serait proportionnelle à leur intégration à <strong>la</strong> vie publique; elles prévoyaient qu’avec le temps les hommes<strong>et</strong> les femmes seraient également représentés dans les statistiques. Comme l’indiquent les données ci-<strong>de</strong>ssous leursprévisions ne se sont pas avérées.Selon le Congrès <strong>de</strong>s Nations unies sur <strong>la</strong> prévention du crime <strong>et</strong> <strong>la</strong> justice pénale, tenu à Vienne en 2000, les femmes nereprésentaient que 5 % <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion carcérale. Qui plus est, plusieurs étu<strong>de</strong>s montrent que <strong>la</strong> criminalité masculine estsupérieure à <strong>la</strong> criminalité féminine dans tous les pays, toutes les communautés, tous les groupes d’âge, pendant toutes lespério<strong>de</strong>s <strong>de</strong> l’histoire pour lesquelles <strong>de</strong>s données sont disponibles, <strong>et</strong> pour tous les crimes à l’exception <strong>de</strong> ceux spécifiquementreliés à <strong>la</strong> condition féminine comme l’avortement, l’infantici<strong>de</strong> <strong>et</strong> <strong>la</strong> prostitution (Janekse<strong>la</strong> 1997).De même, aux États-Unis en 2004, le nombre <strong>de</strong> femmes dans les prisons d’État s’élevait à 5,2 % <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tioncarcérale (Núñez, 2007). Dans l’Union européenne, leur pourcentage se situait entre 4 <strong>et</strong> 8 %. Les chiffres dans les pays<strong>la</strong>tino-américains sont les suivants :Pourcentage <strong>de</strong>s femmes emprisonnées en Amérique <strong>la</strong>tine, 2006Argentine 5 % Équateur 9,5 % Panama 6,6 %Bolivie 7 % El Salvador 5,4 % Pérou 7 %Brésil 6,3 % Guatema<strong>la</strong> 5,3 % Rép. dominicaine 3,3 %Chili 8 % Honduras 3,4 % Uruguay 5 %Colombie 6,4 % Mexico 5 % Venezue<strong>la</strong> 6,6 %Costa Rica 8,1 % Nicaragua 6,4 %Source: Official records from the different countries, rassemblés par Denia Núñez, ILANUD, 2007.Ces chiffres amènent plusieurs interrogations : comment expliquer le faible nombre <strong>de</strong> femmes contrevenantes ?Existerait-il <strong>de</strong>s mécanismes <strong>de</strong> contrôle informels (Larrauri, 1994) efficaces qui freinent les transgressions féminines ?Le mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> socialisation <strong>de</strong>s femmes expliquerait-il leur sous-représentation dans <strong>la</strong> criminalité ? Les re<strong>la</strong>tions hommes/femmes comporteraient-elles <strong>de</strong>s éléments transculturels qui expliquent ce phénomène ? Quels seraient-ils?Fort heureusement, il existe aujourd’hui <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s qui offrent certaines réponses à ces questions <strong>et</strong> à d’autres.Notamment, le proj<strong>et</strong> « Femmes, intégration <strong>et</strong> prison. Analyse <strong>de</strong>s processus d’intégration socioprofessionnelle <strong>de</strong>sfemmes incarcérées en Europe », mieux connu sous le nom <strong>de</strong> l’étu<strong>de</strong> MIP 129 , fruit <strong>de</strong>s efforts <strong>de</strong> six pays européens :l’Allemagne, l’Angl<strong>et</strong>erre, l’Espagne, <strong>la</strong> France, l’Italie <strong>et</strong> <strong>la</strong> Hongrie.Il est surprenant <strong>de</strong> constater les points communs entre les circonstances ayant mené à l’incarcération <strong>de</strong> femmes dansdifférents pays <strong>et</strong> régions du mon<strong>de</strong> aussi différentes que l’Amérique <strong>la</strong>tine <strong>et</strong> l’Europe. Une telle constatation perm<strong>et</strong><strong>de</strong> poser, au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong>s différences <strong>et</strong>hniques, culturelles ou socio-économiques, l’existence <strong>de</strong> modèles re<strong>la</strong>tionnels liés ausexe susceptibles d’expliquer certaines coïnci<strong>de</strong>nces dans le comportement criminel <strong>de</strong>s femmes.129 Les résultats ont été publiés en avril 2005 <strong>et</strong> peuvent être consultés à l’adresse suivante : www.surt.org/mip34 / Rapport international 2010
J<strong>et</strong>ons maintenant un coup d’œil sur les résultats les plus par<strong>la</strong>nts <strong>de</strong> l’étu<strong>de</strong> européenne mentionnée plus haut,qui d’ailleurs ne sont guère différents <strong>de</strong> ceux obtenus par les étu<strong>de</strong>s effectuées dans les prisons pour femmes tanten Amérique <strong>la</strong>tine qu’en In<strong>de</strong> <strong>et</strong> en Égypte par Azao<strong>la</strong> <strong>et</strong> Yacamán 1996, Azao<strong>la</strong> 2001, <strong>de</strong>l Olmo 1998, Núñez 2007,Badr-Eldin 1997 <strong>et</strong> Hartjen 1997.Dans les pays <strong>de</strong> l’Union européenne, tout comme en Amérique <strong>la</strong>tine, <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion carcérale féminine s’est accrueau cours <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>de</strong>rnière décennie à un rythme <strong>de</strong> loin supérieur à celui <strong>de</strong>s hommes. L’étu<strong>de</strong> MIP justifie c<strong>et</strong>te augmentationpar un certain nombre <strong>de</strong> facteurs qui touchent tout particulièrement les femmes qui font l’obj<strong>et</strong> <strong>de</strong> sanctions.Parmi ceux-ci : le chômage croissant, les licenciements en masse principalement <strong>de</strong> jeunes, <strong>de</strong> femmes <strong>et</strong> <strong>de</strong>secteurs <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion les moins intégrés, ainsi que l’insécurité <strong>de</strong> l’emploi, l’absence <strong>de</strong> soutien institutionnel, le basniveau d’éducation, les problèmes <strong>de</strong> logement, les faibles revenus, les ruptures familiales, les familles monoparentales,l’absence <strong>de</strong> réseaux sociaux, les migrations, le trafic <strong>de</strong> drogues, <strong>la</strong> prostitution, l’appartenance à une minorité <strong>et</strong>hnique<strong>et</strong> <strong>de</strong>s variables personnelles importantes telles que l’âge, le sexe, <strong>la</strong> ma<strong>la</strong>die, <strong>la</strong> narcocodépendance, <strong>la</strong> violence <strong>et</strong> lesmauvais traitements.L’étu<strong>de</strong> MIP adopte pour prémisse que les peines d’emprisonnement concernent <strong>de</strong> manière régulière <strong>et</strong> disproportionnéesur <strong>de</strong>s exclus sociaux. L’exclusion sociale, pour <strong>de</strong>s raisons nombreuses <strong>et</strong> variées, résulte <strong>de</strong> <strong>la</strong> négation àun individu d’échanges normaux, <strong>de</strong> pratiques <strong>et</strong> <strong>de</strong> droits généralement en vigueur dans les sociétés mo<strong>de</strong>rnes. Sonttouchés par l’exclusion <strong>de</strong>s individus <strong>et</strong> <strong>de</strong>s groupes, tant dans les zones rurales qu’urbaines, qui d’une façon ou d’uneautre ont fait l’obj<strong>et</strong> <strong>de</strong> discrimination ou <strong>de</strong> ségrégation; l’exclusion souligne les faiblesses <strong>de</strong> l’infrastructure sociale <strong>et</strong>accroît les dangers d’une société à <strong>de</strong>ux vitesses.L’étu<strong>de</strong> européenne signale également que les étu<strong>de</strong>s sur l’exclusion sociale doivent distinguer les sexes <strong>et</strong> prendre encompte, parmi les principales variables, les différences sociales. Le sexe constitue un facteur fondamental <strong>de</strong> l’exclusion.C’est pourquoi l’étu<strong>de</strong> suggère d’améliorer <strong>la</strong> compréhension <strong>de</strong>s facteurs <strong>de</strong> l’exclusion première <strong>de</strong>s femmes,<strong>de</strong>s modèles re<strong>la</strong>tionnels qui <strong>la</strong> régissent, <strong>de</strong>s facteurs qui déterminent l’exclusion subséquente dans les prisons <strong>et</strong>finalement <strong>de</strong> ceux qui constituent un obstacle à <strong>la</strong> réinsertion <strong>de</strong>s femmes dans <strong>la</strong> société. L’étu<strong>de</strong> propose aussid’étudier l’impact <strong>de</strong> l’incarcération sur les femmes selon le niveau <strong>et</strong> le type <strong>de</strong> leur exclusion initiale.L’étu<strong>de</strong> énumère les facteurs les plus courants au sein <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion carcérale féminine : <strong>la</strong> pauvr<strong>et</strong>é, le chômage,<strong>la</strong> condition monoparentale <strong>et</strong> <strong>la</strong> violence conjugale, soit les mêmes facteurs que ceux présents dans les étu<strong>de</strong>s<strong>la</strong>tino-américaines. L’étu<strong>de</strong> fait également apparaître très c<strong>la</strong>irement les liens entre <strong>la</strong> consommation précoce <strong>de</strong> drogues,<strong>la</strong> pauvr<strong>et</strong>é, <strong>la</strong> violence, les sévices auto-infligés <strong>et</strong> le manque <strong>de</strong> ressources. Les femmes les plus susceptibles <strong>de</strong>consommer <strong>de</strong> <strong>la</strong> drogue en bas âge sont celles dont les pères étaient <strong>de</strong>s drogués, celles qui ont été abandonnées <strong>et</strong>celles qui ont subi <strong>de</strong>s violences sexuelles. De 60 à 80 % <strong>de</strong>s femmes incarcérées en Europe sont en eff<strong>et</strong> toxicomanes.Finalement, l’étu<strong>de</strong> abor<strong>de</strong> les liens <strong>de</strong> dépendance <strong>de</strong> certaines femmes à l’égard <strong>de</strong> leur conjoint qui les poussent àparticiper à <strong>de</strong>s actions criminelles soit en tant que couverture soit en tant que complices plus ou moins volontaires.En conclusion, <strong>la</strong> situation <strong>de</strong>s femmes incarcérées est le refl<strong>et</strong> grossi <strong>de</strong>s inégalités (Torres 2005) : l’accès inégal àl’éducation, l’inégalité <strong>de</strong>s sexes <strong>et</strong> <strong>la</strong> ségrégation sociale qui interdisent aux femmes <strong>de</strong>s espaces tant physiques quesymboliques <strong>et</strong> qui se manifestent dans leur exclusion en prison.ContributionBibliographieAdler, Freda (1975): Sisters in crime, New York: McGraw-Hill.Azao<strong>la</strong>, Elena and Cristina José Yacamán (1996): Las mujeres olvidadas. Un estudio sobre <strong>la</strong> situación actual <strong>de</strong> <strong>la</strong>s cárceles <strong>de</strong> mujeres en <strong>la</strong> RepúblicaMexicana, México: El Colegio <strong>de</strong> México – Comisión Nacional <strong>de</strong> Derechos Humanos.Azao<strong>la</strong>, Elena (2001): El <strong>de</strong>lito <strong>de</strong> ser mujer, 2ª ed., México: P<strong>la</strong>za and Valdés – Centro <strong>de</strong> Investigaciones y Estudios Superiores en AntropologíaSocial.Badr-Eldin-Ali (1997): “Female criminality in mo<strong>de</strong>rn Egypt: A general outlook” in <strong>International</strong> Journal of Comparative and Applied Criminal Justice21:267-286.Carlen, Pat (1992): “Criminal women and criminal justice, the limits to, and potential of, feminist and left realist perspectives” in J. Young and R.Mathews edtrs., Issues in realist criminology, London: Sage.Del Olmo, Rosa coord., (1998): Criminalidad y criminalización <strong>de</strong> <strong>la</strong> mujer en <strong>la</strong> región andina, Caracas: Programa <strong>de</strong> <strong>la</strong>s Naciones Unidas para elDesarrollo.Rapport international 2010 / 35
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