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FESTIVAL ENCRES VIVESSALON DU LIVRE DE PROVINSSeine-et-Marne, 77, Île-<strong>de</strong>-FranceMichel DRUCKER, parrain <strong>du</strong> festivalORGANISATIONAssociation Encres VivesFestival et <strong>Salon</strong> <strong>du</strong> <strong>livre</strong>Mairie <strong>de</strong> <strong>Provins</strong> - B.P. 20077487 <strong>Provins</strong> Ce<strong>de</strong>xCONTACTinfos@salon<strong>du</strong><strong>livre</strong>provins.fr5 & 6 MARS 2011Samedi : 14h-18h / Dimanche : 10h-18hLes invités d’honneur :Marie DESPLECHINPhilippe GRIMBERTÉric HOLDERNancy HUSTONFouad LAROUIwww.salon<strong>du</strong><strong>livre</strong>provins.frRencontres et dédicaces avec…Plus <strong>de</strong> 100 auteursPlus <strong>de</strong> 50 auteurs et illustrateurs jeunesseDes tables ron<strong>de</strong>s et interviewsDes lectures publiquesCentre culturel Saint-Ayoul10, rue <strong>du</strong> Général Delort, 77160 <strong>Provins</strong>Entrée libre et gratuiteParkingAccessible aux personnes handicapéesLe salon sera animé parFrançois ALQUIER, journaliste culturelRetrouvez ses chroniques surwww.mandor.fr


LES TABLES RONDESDU SALON DU LIVRE DE PROVINSESPACE POLARDIMANCHE 6 MARS 2011En partenariat avec le site www.<strong>livre</strong>sque-<strong>du</strong>-noir.frCette année, <strong>de</strong>ux tables ron<strong>de</strong>s animées par Fabien HÉRISSON :> Qu’est-ce qui motive un écrivain à écrire <strong>du</strong> polar ou <strong>du</strong> thriller ?avec la part<strong>ici</strong>pation <strong>de</strong>s auteurs suivants :Antoine BLOCIER, Luc DOYELLE, Sophie LOUBIÈRE et Frédéric MARS> Critiques et chroniques littéraires : quelle importance pour l’écrivain ?avec la part<strong>ici</strong>pation <strong>de</strong>s auteurs suivants :Jean-Luc BIZIEN, Ingrid DESJOURS et Laurent LUNA---------------------------------------LES LECTURES PUBLIQUESDIMANCHE 6 MARS 2011 – 15h00Mathieu SIMONETLes Carnets blancs, Le Seuil, 2010Faut-il se séparer <strong>de</strong> ses journaux intimes ? Question pour le moins singulière que poseMathieu Simonet dans son premier <strong>livre</strong>. Question à laquelle il répond même à sa façonpuisque voilà plusieurs années qu’il se débarrasse <strong>de</strong> ses carnets intimes, soit en leurconcoctant une disparition fantasque, soit en les confiant à <strong>de</strong>s amis et connaissances, leurlaissant le soin <strong>de</strong> les rayer <strong>de</strong> la carte ou <strong>de</strong> les transformer à leur guise. C’est tout cela etplus encore que raconte Les Carnets blancs. À noter que l’auteur viendra avec <strong>de</strong>s journauxécrits <strong>de</strong>puis 2004 et qu’il proposera au public <strong>de</strong> s’en emparer pour en imaginer ladisparition.


JEAN-LUC BIZIENJean-Luc Bizien est né auCambodge. Il a publié <strong>de</strong> nombreuxouvrages dont Marie Joly (SabineWespieser, 2004) et la sériehistorique La Cour <strong>de</strong>s miracles(Grands Détectives, Éditions 10/18).Il a reçu, entre autres, le prixGérardmer Fantastic'Arts et le Prix<strong>du</strong> Roman d'Aventures en 2002.> L'évangile <strong>de</strong>s ténèbres thrillerEditions <strong>du</strong> Toucan, 2010Pyongyang, Corée <strong>du</strong> Nord. Le<strong>de</strong>rnier pays où le pire n'est pasimaginable... Seth Ballahan, rédacteuren chef d'un quotidien américain,apprend que Michaël Wong, l'un <strong>de</strong>ses collaborateurs, est piégé enCorée <strong>du</strong> Nord. Face à l'absence <strong>de</strong>réaction <strong>de</strong> sa hiérarchie, Ballahanvoit rouge. Contre vents et marées, ildéci<strong>de</strong> <strong>de</strong> secourir le jeune Wong.Dans Pyongyang, la capitale fantômeoù les hommes ne sont que <strong>de</strong>sombres, il cherche <strong>de</strong> l'ai<strong>de</strong> auprès <strong>de</strong>Suzan, ravissante correspondanted'une O.N.G. canadienne. C'est alorsque le Mal absolu surgit : un tueurmonstrueux laisse dans son sillageune longue suite <strong>de</strong> cadavresatrocement mutilés. Paik Dong-Soo,brillant militaire nord-coréen, se lancesur ses traces. Ils se retrouveronttous, à l'issue d'un parcours halluciné,en un lieu oublié. Celui qu'annoncel'Évangile <strong>de</strong>s ténèbres...


JEAN-PHILIPPE BLONDELJean-Philippe Blon<strong>de</strong>l a publié huitromans dont Le Baby-sitter(éditions Buchet Chastel, 2010) - ettrois romans pour adolescents. Ilenseigne aussi l'anglais dans unlycée <strong>de</strong> province. Dans la salleG229, donc.> G229 romanéditions Buchet Chastel, 2011« Je vous ai accordé une salle. Unesalle, vous savez, ça n'a pas <strong>de</strong> prix.C'est la 229, bâtiment G. G229. Allezchercher la clé chez la concierge.Bon, je crois que cet entretien estterminé. Nous nous croiseronssouvent désormais. Bienvenue <strong>ici</strong>. »Je remercie le proviseur, mais il nem'écoute déjà plus. Un proviseur, ça abeaucoup <strong>de</strong> choses à penser. Unprof, non. Un prof, ça ne pense qu'àune chose, ses classes.Puis soudain, il est <strong>de</strong> nouveau là,présent. Il me fixe. Il dit : « Le plus<strong>du</strong>r, dans le métier, vous savez, c'est<strong>de</strong> manier le on et le je. » Je répondsque euh, je ne suis pas sûr <strong>de</strong>comprendre. « C'est une institution,l'école. Vous entrez dans unbulldozer. Il faut arriver à en <strong>de</strong>venirmembre sans perdre son indivi<strong>du</strong>alité.Ce n'est pas aussi facile qu'on le croit,vous verrez. Le on et le je.Réfléchissez-y. Bonne chance ! »À paraître le2 mars 2011(Re)play ! romanEd. Actes Sud junior(à partir <strong>de</strong>13 ans)


FOUAD LAROUIEnseignant <strong>de</strong> littérature àl'université d'Amsterdam,romancier, poète et critiquelittéraire, Fouad Laroui a publié,entre autres, aux Éditions Julliard :Les Dents <strong>du</strong> topographe, De quelamour blessé, Méfiez-vous <strong>de</strong>sparachutistes, La Femme la plusriche <strong>du</strong> Yorkshire, Le jour oùMalika ne s'est pas mariée.> Une année chez les Françaisroman / éditions Julliard, 2010Roman sélectionné pour les prixGoncourt et Renaudot 2010.1969 : les Américains débarquent surla Lune et Mehdi atterrit au lycéeLyautey <strong>de</strong> Casablanca. L'instituteur,impressionné par l'intelligence et laboulimie <strong>de</strong> lecture <strong>de</strong> son jeuneélève, lui a obtenu une bourse dans leprestigieux établissement français.Avec cet humour corrosif qu'on luiconnaît, Fouad Laroui raconte le chocculturel que représente pour le petitMarocain la découverte <strong>du</strong> mo<strong>de</strong> <strong>de</strong>vie <strong>de</strong>s Français : ces gens qui viventdans le luxe, mangent <strong>de</strong>s chosesincomestibles, parlent sans pu<strong>de</strong>ur etlui manifestent un intérêt qu'il necomprend absolument pas. Entre LePetit Chose et Le Petit Nicolas,l'histoire émouvante et cocasse d'unenfant propulsé dans un univers auxantipo<strong>de</strong>s <strong>de</strong> celui <strong>de</strong> sa famille.


DENIS SEZNECDenis Seznec est l'auteur <strong>de</strong> Nous,les Seznec et <strong>de</strong> Seznec, le bagne,tous <strong>de</strong>ux publiés aux ÉditionsRobert Laffont.> L'affaire Seznec en photos : <strong>de</strong>sassises au bagne Documentséditions R. Laffont, 2010Guillaume Seznec a été condamné auxtravaux forcés à perpétuité le 4 novembre1924 pour un crime sans cadavre, sanspreuve, sans témoin et sans aveu. En1927, malgré les doutes écrasantsexprimés sur sa culpabilité, le soutienmassif <strong>de</strong> la presse et <strong>de</strong> l'opinionpublique, il est déporté en Guyane. Il ypassera vingt ans. Aujourd'hui, aux yeux<strong>de</strong>s Français, son nom est <strong>de</strong>venu lesymbole <strong>de</strong> l'erreur jud<strong>ici</strong>aire. Il estégalement associé à l'enfer <strong>du</strong> bagne.Luttant <strong>de</strong>puis quarante ans pour laréhabilitation <strong>de</strong> son grand-père, DenisSeznec a récolté au cours <strong>de</strong> sa contreenquête,en France comme en Guyane,une iconographie exceptionnelle. Cesphotos, dont la plupart sont inédites, sontassemblées <strong>ici</strong> pour la première fois. Lesreportages effectués par la presse <strong>du</strong>rantles premiers temps <strong>de</strong> l'Affaire Seznecmontrent la police et la justice en actiondans ce qui fut le plus important procès <strong>de</strong>l'entre-<strong>de</strong>ux-guerres. Les photographiesprises au bagne sont rarissimes, car nuldocument ne <strong>de</strong>vait en sortir. Celles,nombreuses, publiées dans cet albumtémoignent avec une force parfoisinsupportable <strong>de</strong>s conditions <strong>de</strong> vie <strong>de</strong>sforçats.Ce <strong>livre</strong> raconte la vie d'un homme broyépar une justice aveugle et retrace l'une<strong>de</strong>s plus extraordinaires affairescriminelles <strong>du</strong> XXe siècle. Au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong> ladimension indivi<strong>du</strong>elle <strong>de</strong> l'Affaire Seznec,il constitue aussi un réquisitoire accablantcontre le bagne, cette barbarie organiséeque l'État aura vainement tenté <strong>de</strong> cacheret qui restera une tache indélébile dans lamémoire <strong>du</strong> pays <strong>de</strong>s droits <strong>de</strong> l'homme.


François ALQUIERà lire > Les chroniques <strong>de</strong> Mandoréd. Laura MareFrançois Alquier est un homme <strong>de</strong> télévision (RFO Guyane, KTO, cinematv.com),<strong>de</strong> radio (RMC, RTL, RTL2, Rire et Chansons, Nostalgie, FunRadio, RFO Guyane…), <strong>de</strong> presse écrite (Addiction, Le magazine <strong>de</strong>sespaces culturels Leclerc, Virgin, Les fiches <strong>du</strong> cinéma, France Guyane,La Semaine Guyanaise…) et <strong>de</strong> site internet musical (MusiqueMag.com). Ilest l’un <strong>de</strong>s rares journaliste-animateur multi fonctions, spécialisé dans laculture <strong>de</strong>puis plus <strong>de</strong> 25 ans. Cette activité lui permet <strong>de</strong> rencontrer <strong>de</strong>spersonnalités <strong>de</strong> la littérature, <strong>de</strong> la chanson, <strong>du</strong> cinéma et <strong>de</strong>s médias engénéral. Depuis le 1er juillet 2006, François Alquier raconte au quotidiensur son blog, Les chroniques <strong>de</strong> Mandor, ses rencontres avec lespersonnalités, <strong>de</strong> la littérature, <strong>de</strong> la chanson, <strong>du</strong> cinéma et <strong>de</strong>s médias engénéral, <strong>de</strong>s gens un peu à part…etc. un peu à part, fascinants,exaspérants, humbles, prétentieux, gentils, cassants, sarcastiques,timi<strong>de</strong>s... mais toujours sensibles. L’idée <strong>de</strong> base était <strong>de</strong> décrire lescoulisses <strong>de</strong> ses interviews. Expliquer ce qu'on ne voit pas avant, pendantet après l’entretien. François Alquier a donc inventé le personnage <strong>de</strong>Mandor, qui est un peu lui-même, en plus excessif sur bien <strong>de</strong>s points.Sous sa propre plume, il s’est métamorphosé en un journaliste un peumaladroit, poltron, un peu fan <strong>de</strong> toutes les personnalités qu'il rencontre,un peu bon vivant, un peu vantard… bref un peu « too much » (ce qu’iln’est évi<strong>de</strong>mment pas dans la vraie vie). S’il se moque <strong>de</strong> quelqu'un, c'est<strong>de</strong> lui. Jamais <strong>de</strong>s artistes. En lisant ce <strong>livre</strong> qui reprend une gran<strong>de</strong> partie<strong>de</strong> ses chroniques (bienveillantes, mais jamais consensuelles), vouscomprendrez pourquoi. Par petites touches bien dosées, il arrive aussi àFrançois Alquier <strong>de</strong> parler <strong>de</strong> sa vie personnelle, <strong>de</strong> son passé (ou la petitehistoire rejoint la gran<strong>de</strong>) et <strong>de</strong> ses blessures pas tout à fait cicatrisées…manière pour lui d’expliquer le pourquoi <strong>du</strong> comment d’une vie à côtoyer «les gens qui font rêver », une vie à capter la lumière <strong>de</strong>s autres. Sont «mandorisés » où apparaissent dans cet ouvrage, notamment, DanielBalavoine, Jean-Louis Murat, Costa Gavras, CharlElie Couture, JamelDebbouze, Raphaël, Guillaume Depardieu, Jean d’Ormesson, LouisChédid, Philippe Katerine, Yannick Noah, Benjamin Biolay, Philippe Labro,Gad Elmaleh, Jérôme Attal, Yann Quéffelec, Laurent Baffie, Gotlib,Christian Jacq, Dany Boon, Arthur H, Youssou N' Dour, Juliette,Christophe, Vincent Delerm, Tatiana <strong>de</strong> Rosnay, Zazie, Jean-JacquesGoldman, Michel Jonasz, Pascal Obispo, Renaud, Nicolas Rey, Éric-Emmanuel Schmitt, Gérard <strong>de</strong> Villiers, Kad Mérad et beaucoup d’autres…


Jérôme ATTALà lire > Folie furieuse : la première histoire d'amour dont vous serez(peut-être) l'héroïneéd. S. MillionRomanEn ouvrant ce <strong>livre</strong>, ça va bar<strong>de</strong>r ! Dès les premières pages, vous ai<strong>de</strong>rezl'héroïne <strong>de</strong> ce roman à faire les bons choix dans sa vie amoureuse ! Desdingues, <strong>de</strong>s revenants et une pelletée <strong>de</strong> chevaliers servants et sanscervelle vous atten<strong>de</strong>nt au tournant ! Trouver un mec valable, c'est <strong>de</strong> laFolie Furieuse ! Au cours <strong>de</strong> vos aventures, vous vous retrouverez sur lascène d'un concert <strong>de</strong> rock, dans un si<strong>de</strong>-car avec Charles Bukowski, vousvous battrez à mains nues avec une baby-sitter désinvolte, vous ai<strong>de</strong>rezun vampire à déjouer un complot international. Et bien d'autres chosesencore, selon vos choix ! Car c'est Vous qui déci<strong>de</strong>z <strong>de</strong> votre <strong>de</strong>stin. AprèsPagaille monstre, Folie furieuse est le roman qui a besoin <strong>de</strong> Vous commePersonne !


Michèle BARRIÈREà lire > Meurtre au café <strong>de</strong> l'arbre sec : roman noiréd. LattèsRomanFévrier 1759. Sur le point <strong>de</strong> confectionner une glace nouvelle au parfumrévolutionnaire, Jean-François Savoisy, tranquille cafetier <strong>de</strong> la rue <strong>de</strong>l'Arbre Sec, entend bien surpasser Procope : consécration et fél<strong>ici</strong>té luisemblent promises. C'est compter sans son épouse qui, intellectuelle dansl'âme, s'est entichée <strong>de</strong>s auteurs licencieux <strong>de</strong> l'époque, tels que Voltaireou Di<strong>de</strong>rot. Lorsque ce <strong>de</strong>rnier lui confie un manuscrit afin d'échapper àses censeurs, Maïette ne sait pas vers quels dangers elle entraîne safamille. Ce qu'elle ignore surtout, c'est que dans l'ombre rô<strong>de</strong>nt <strong>de</strong>uxindivi<strong>du</strong>s, eux aussi à la poursuite d'un manuscrit... Dans ce <strong>de</strong>rnierépiso<strong>de</strong> <strong>de</strong> la saga Savoisy, nous retrouvons avec délice les ingrédientsqui ont fait le succès <strong>de</strong>s précé<strong>de</strong>nts romans : chapons, ravioles, pâtés,persil, épices et hypocras ont la part belle dans cette intrigue où lescadavres ont un étrange goût <strong>de</strong> caramel et où les rencontres sont pour lemoins... inatten<strong>du</strong>es.


Fatima BESNACI-LANCOUà lire > Les harkiséd. Le Cavalier bleuDocumentaire« Les harkis sont <strong>de</strong>s traîtres, <strong>de</strong>s collabos et <strong>de</strong>s mercenaires » « LaFrance a abandonné les harkis en Algérie » « Les <strong>de</strong>scendants <strong>de</strong> harkissont une génération sacrifiée » « L'État français a aujourd'hui reconnu latragédie <strong>de</strong>s harkis » ... Issues <strong>de</strong> la tradition ou <strong>de</strong> l'air <strong>du</strong> temps, mêlantsouvent vrai et faux, les idées reçues sont dans toutes les têtes. L'auteurles prend pour point <strong>de</strong> départ et apporte <strong>ici</strong> un éclairage distancié etapprofondi sur ce que l'on sait ou croit savoir.


Valérie BETTENCOURTà lire > Sombre laguneéd. <strong>du</strong> PréauRomanDans un mon<strong>de</strong> ravagé par <strong>de</strong>s catastrophes naturelles <strong>de</strong> plus en plusviolentes, Venise commence à sombrer dans sa lagune. Toute la ville estévacuée en urgence. Mais d’étranges personnages sont restés cachésdans un somptueux palais gothique au cœur <strong>du</strong> sinistre labyrinthe vénitien: ils ont décidé <strong>de</strong> se laisser engloutir avec la cité et organisent <strong>de</strong>s balscostumés dont le thème change <strong>de</strong> siècle chaque soir. Dans cetteatmosphère baroque et onirique, Marie retrouve Laurent. Ils se sontcroisés dix ans plus tôt et toute la vie <strong>de</strong> Marie en a été bouleversée.Laurent, lui, a totalement oublié cette brève rencontre. Chaque jour, Marieet les autres personnages sombrent un peu plus profondément dans lafolie <strong>de</strong> leur sensuel univers d’amour et <strong>de</strong> mort. De bal en bal, elle donneà Laurent <strong>de</strong>s indices pour qu’il se souvienne d’elle. Et s’il ne retrouve pasla mémoire, elle laissera Venise les emporter tous les <strong>de</strong>ux.


Antoine BLOCIERà lire > Camping sauvageéd. KrakoenRomanDes victimes sans défense, sans adresse, sans famille, sans attache...Autant dire <strong>de</strong>s cibles rêvées pour un serial killer cruel et cynique... Untueur énigmatique truci<strong>de</strong> les SDF qui campent sur le quai <strong>du</strong> canal Saint-Martin, repro<strong>du</strong>isant <strong>de</strong>s rites barbares relatés par le professeur SamuelGoldberg dans son traité d'anthropologie. Étrange professeur que son<strong>de</strong>stin a mené vers l'anonymat et la clochardisation. Talula, naufragéevolontaire <strong>du</strong> quai <strong>de</strong> Valmy, se lance sur la piste <strong>du</strong> meurtrier avec l'ai<strong>de</strong><strong>du</strong> Minotaure, un ancien flic <strong>de</strong> choc reconverti dans le privé. Sur fond <strong>de</strong>recherches anthropologiques, s'entrechoquent passé et présent,ascendants et fratrie dans un tourbillon <strong>de</strong> violence et <strong>de</strong> haine. Au fil <strong>de</strong>cette fiction très noire, Antoine Blocier expose le quotidien <strong>de</strong>s exclus,leurs difficultés à survivre dans une société <strong>du</strong> chacun pour soi.


Henri BONTEMPSà lire > Qui a tué Agnès Sorel ?éd. Pavillon noirRoman« Agnès Sorel a été empoisonnée au mercure. » Telle est la conclusionren<strong>du</strong>e en 2005 par le docteur Philippe Charlier et son équipe, aprèsexhumation et examen <strong>de</strong>s restes <strong>de</strong> l’éblouissante maîtresse <strong>du</strong> roiCharles VII. Empoisonnée par qui ? Luc Portier, auteur <strong>de</strong> plusieursrecueils : contes, nouvelles, poésies… et son ami d’enfance HenriBontemps, passionné d’histoire et d’écriture, vont partir en quête <strong>de</strong> lavérité. Ils nous <strong>livre</strong>nt <strong>ici</strong> le fruit <strong>de</strong> leurs investigations historiques, sous laforme d’une véritable enquête pol<strong>ici</strong>ère, menée six siècles après les faits.Une recherche passionnante, servie par une conjoncture historiqueexceptionnelle.


Alma BRAMIà lire > Tant que tu es heureuseéd. Mercure <strong>de</strong> FranceRomanMalgré elle, Franck était au passé. Il ne reviendrait pas, parce qu'ellen'avait plus la place au présent pour l'accueillir. Malgré elle, ses rêves <strong>de</strong>bébé, <strong>de</strong> mariage, d'avenir ne seraient plus liés à lui. Malgré elle, Franckse détachait comme un foetus mal accroché. Elle touchait son ventre tiè<strong>de</strong>,doux. Et plus bas, elle souriait. Eva est seule après sa rupture, coeur etventre vi<strong>de</strong>s. Bien qu'entourée par ses proches, le manque <strong>de</strong> l'autre lasubmerge. À trente-<strong>de</strong>ux ans, elle se replie sur son passé, sera-t-ellecapable d'un futur ? Alma Brami tisse avec force <strong>de</strong>s fils <strong>de</strong> rage, d'espoiret d'amour, pour envelopper Eva et la sauver.


Thierry BRUNà lire > Surhumain : thrilleréd. PlonRomanFlic infiltrée dans les rangs <strong>de</strong> la pègre, Béatrice Rapaic en<strong>du</strong>re sa diff<strong>ici</strong>lecondition <strong>de</strong> femme parmi les mercenaires <strong>du</strong> crime. Le parrain se faitvieux, une guerre <strong>de</strong>s gangs s'annonce. Dans cette ambiancecrépusculaire rô<strong>de</strong> Asano, tueur implacable qui serait doté <strong>de</strong> facultéssurhumaines. Béatrice est envoyée en première ligne pour le détruire.C'est le choc <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux réprouvés. Dans cette confrontation mortelle, entredésir et combat, qui sera la proie <strong>de</strong> l'autre ?


Frédérique CATINAT-LÉGERà lire > Ron<strong>de</strong>s bosses et rêves cabossés : histoires douces amèreséd. <strong>de</strong> l'Off<strong>ici</strong>neNouvellesVingt et une nouvelles autour <strong>de</strong> la naissance lèvent le voile sur l'univers<strong>de</strong> la maternité contemporaine <strong>de</strong>venue « électro-chimique ». Aussiimpersonnel que puisse être le mon<strong>de</strong> dit développé, truffé <strong>de</strong> hautetechnologie, le premier cri d'un enfant restera toujours le signeirrépressible <strong>de</strong> vie et d'espoir et Frédérique Catinat-Léger, sage-femmed'expérience aux nombreuses références, parvient à nous le fairepercevoir. Elle nous campe « ses bosses ron<strong>de</strong>s », portant tout le bonheur<strong>du</strong> mon<strong>de</strong> et à travers son style savoureux : Puisse-t-il en rester, en tête etsur la langue le parfum ind<strong>ici</strong>ble <strong>de</strong>s femmes opulentes, et la saveursucrée <strong>de</strong> leurs petits enfants. Elle nous avait déjà initiés avec «Plongeons dans la mère » et « La mémoire <strong>de</strong> l'Hippocampe ».


Jérôme CAYLAà lire > Mathil<strong>de</strong>éd. Laura MareRomanComme tous les ans avant la pério<strong>de</strong> estivale, Marie vient ouvrir la gran<strong>de</strong>maison familiale située en face <strong>de</strong> la mer. Cette fois-ci, un sentimentétrange l’envahit, la suivant comme une ombre. Elle ne se sent passeule…Pour Marie, le temps s’arrête comme lors d’un rêve. Mais oui, elle asûrement rêvé, s’imaginant <strong>de</strong>s choses impensables dans sa réalité toutecartésienne. Est-elle sotte ! Mais quand bien même, elle aurait juré,pourtant, qu’auprès d’elle s’est manifestée une étrange perception. Pourgar<strong>de</strong>r en l’état une chose aussi fragile qu’un héritage familial, on enrajoute, sans jamais retirer le souvenir d’autrui. Parfois, cela donnel’opportunité à quelques fantômes <strong>de</strong> ressurgir <strong>du</strong> néant où chacun lespensait ensevelis, tombés dans la désuétu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s jours…Moi, je regar<strong>de</strong>vivre cette famille <strong>de</strong>puis <strong>de</strong>s années. Enfin, quand je dis que je regar<strong>de</strong>,cela veut dire que j’accueille ; parce qu’avec les années qui se succè<strong>de</strong>nt,cette maison est <strong>de</strong>venue une entité à part entière, évoluant un peu enmoi-même ou est-ce moi qui me suis fon<strong>du</strong> en elle ?


Marie CHARRELà lire > Une fois ne compte paséd. PlonRomanCharlie dite Charlotte est en colère. Contre son oncle, ce macho qui l'aélevée comme un p'tit mec, à la <strong>du</strong>re. Contre les hommes, aveuglés par sabeauté <strong>de</strong> saltimbanque, qui refusent <strong>de</strong> voir la fille tor<strong>du</strong>e-bricolée qu'elleest. Certaines nuits, elle rêve qu'ils disparaissent : son oncle, les hommes,tous. Seule sur terre, elle serait libre, enfin. Un matin, elle se réveille dansune ville totalement déserte. Ailleurs, au même moment, ils sont trois à voiraussi leur désir <strong>de</strong>venir réalité : Éric a l'occasion <strong>de</strong> réparer ses erreurspassées. Michèle retrouve sa jeunesse. Lorine <strong>de</strong>vient la prestigieusejournaliste qu'elle souhaitait être.


Ariane CHARTONà lire > Le roman d'Hortenseéd. Albin MichelRomanEnchantement était l'un <strong>de</strong>s mots préférés d'Hortense Allart. Au coeur <strong>de</strong>l'époque romantique, nul n'a peut-être su mieux qu'elle vivre la magie <strong>de</strong>l'amour sans crainte <strong>de</strong>s préjugés. Après une liaison avec un jeunemarquis déjà marié, cette jolie blon<strong>de</strong> au profil antique prit le chemin <strong>de</strong>l'Italie pour élever son fils et partir, comme Stendhal, à la quête <strong>du</strong>bonheur. Espoirs et déceptions, solitu<strong>de</strong>, attentes vaines, battements <strong>de</strong>coeur... entre le souvenir <strong>de</strong> son premier amour malheureux et lespassions qu'elle inspira, Hortense fit son é<strong>du</strong>cation sentimentale. Elle selaissa sé<strong>du</strong>ire par Chateaubriand sous le soleil romain. Auprès d'Hortense,sa <strong>de</strong>rnière maîtresse et non la moins ar<strong>de</strong>nte, l'Enchanteur vécut l'un <strong>de</strong>ses plus dél<strong>ici</strong>eux printemps. Hortense plaçait « l'amour et l'indépendanceau-<strong>de</strong>ssus <strong>de</strong> tout ». Près <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux cents ans plus tard, par ses idéesféministes, sa vie libre et son énergie, cette héroïne <strong>du</strong> XIXe siècle estaussi notre contemporaine. Intrigue toute en élégance, documentationsans faille, Ariane Charton réussit <strong>ici</strong> le magnifique portrait d'une femmequi méritait qu'on la porte au grand jour.


Louis-Philippe DALEMBERTà lire > Noires blessureséd. Mercure <strong>de</strong> FranceRomanMamad tente d'ouvrir les yeux, mais il n'y parvient pas. Ses paupières,gorgées <strong>de</strong> sel et <strong>de</strong> sang, refusent d'obéir à son cerveau. Un goûtd'hémoglobine traîne sur ses lèvres sèches et bouffies. Le Blanc estméconnaissable. Une épaisse écume blanchâtre auréole les commissures<strong>de</strong> ses lèvres. Les veines <strong>de</strong> son cou ten<strong>du</strong>es à se rompre. De grossesgouttes <strong>de</strong> sueur perlent sur son front, qu'il essuie <strong>du</strong> revers <strong>de</strong> sa mancheretroussée, entre une calotte et une autre. Mamad n'a plus la force <strong>de</strong>crier. Du regard, il implore pitié. Mais le Blanc cogne tel un forcené, tout encrachant ses injures. Laurent Kala, un Français expatrié, est employé parune ONG qui milite pour la protection <strong>de</strong>s animaux en voie <strong>de</strong> disparition.Benjamin d'une famille nombreuse. Mamad White a connu une enfancediff<strong>ici</strong>le. Il a pensé un temps pouvoir échapper à sa condition précaire,mais le <strong>de</strong>stin en a fait le boy <strong>de</strong> Laurent. Un fait apparemment banalentraîne le Blanc au bord <strong>de</strong> la folie. Le voilà, quelque part dans la jungleafricaine, sur le point <strong>de</strong> tuer son domestique noir. Comment les <strong>de</strong>uxhommes en sont-ils arrivés là ? À la fois grave et plein d'humour, le roman<strong>de</strong> Louis-Philippe Dalembert dresse <strong>de</strong>s portraits émouvants d'hommes et<strong>de</strong> femmes accrochés à leur humanité, au milieu <strong>de</strong>s relents <strong>de</strong> racisme et<strong>de</strong> colonialisme.


Ingrid DESJOURSà lire > Potens : thrilleréd. PlonRomanTrop d'intelligence rendrait-il inhumain ? Potens fait couler beaucoupd'encre. Beaucoup <strong>de</strong> sang aussi. A la suite <strong>du</strong> meurtre barbare <strong>de</strong>Charlotte, une <strong>de</strong> ses membres les plus dépravées, Potens se retrouvedans la ligne <strong>de</strong> mire <strong>de</strong> la psycho-criminologue, Garance Hermosa. Clubpour surdoués, Potens est souvent décrit comme un repaire <strong>de</strong> géniesasociaux et névrosés, parfois décrié et accusé <strong>de</strong> véhiculer <strong>de</strong>s idéauxeugénistes. Infiltrée dans le club, la jeune femme défie un assassin aussihabile que manipulateur. Exercice d'autant plus périlleux qu'un événementtragique la renvoie à un passé qu'elle aurait préféré oublier... Potens :l'intelligence, c'est d'en sortir. Vivant.


Luc DOYELLEà lire > Qui veut la peau <strong>de</strong> Nestor Boyauxéd. Laura MareRoman / Polar humoristiqueLe polar selon Lucius… Méfiez-vous le jour où votre ami <strong>de</strong> toujoursdébarque après dix années <strong>de</strong> silence radio. Prenez gar<strong>de</strong> s’il vouspropose sur un plateau la solution à tous vos problèmes. Mais surtout…restez vigilant si votre ami se nomme NESTOR BOYAUX ! Cesretrouvailles chaleureuses seront les prémices d’une étrange <strong>de</strong>scente auxenfers. Lorsqu’un clochard prend le contrôle <strong>de</strong> votre <strong>de</strong>stinée, que la radiodiffuse <strong>de</strong>s informations surprenantes, et que la maréchaussée se pointe àtous les coins <strong>de</strong> rue, il est temps <strong>de</strong> crier au secours ! Une épopéepolaroï<strong>de</strong> parsemée d’humour et <strong>de</strong> suspense.


Evelyne DRESSà lire > Le ren<strong>de</strong>z-vous <strong>de</strong> Rangoonéd. Alphée-Jean-Paul BertrandRomanThérèse est animatrice à la télé. À trente-trois ans, lasse <strong>de</strong>s fauxsemblants,<strong>de</strong>s préjugés et <strong>de</strong> la superf<strong>ici</strong>alité <strong>de</strong> la vie parisienne, elledéci<strong>de</strong> <strong>de</strong> tout plaquer et prend un billet pour le bout <strong>du</strong> mon<strong>de</strong>. Le bout <strong>du</strong>mon<strong>de</strong>, pour elle, c'est la Birmanie. L'auteur aime se mettre dans la peau<strong>de</strong> ses héroïnes et vivre leur vie le temps <strong>de</strong> son écriture. Elle déci<strong>de</strong> donc<strong>de</strong> partir sans argent, comme son personnage, pour un pays dont elle neconnaît rien. Dès lors, elle bascule dans un univers inouï où les valeurshabituelles sont inversées... Roman d'amour, <strong>de</strong> fantasme, <strong>de</strong> mystère, <strong>de</strong>politique, <strong>de</strong> bouddhisme et d'introspection, Le Ren<strong>de</strong>z-vous <strong>de</strong> Rangoonest aussi une mise en perspective <strong>de</strong> la vie parisienne, au bout <strong>de</strong> laquelleThérèse conclut : « J'aimerais rester dans ce pays où la seule ambition estla survie »...


Arthur DREYFUSà lire > La synthèse <strong>du</strong> camphreéd. GallimardRomanDeux histoires. Celle <strong>de</strong> Félix, dont la passion pour la chimie est contrariéepar l'Occupation. La guerre le séparera <strong>de</strong> son frère, <strong>de</strong> ses parents, lepropulsera sur les sommets <strong>de</strong>s Pyrénées et l'entraînera dans une vieclan<strong>de</strong>stine, puis vers une mort probable en Pologne. Celle d'Ernest, dontl'existence est bouleversée par une rencontre sur Internet. De ce hasardnaîtra une correspondance passionnée, qui l'ai<strong>de</strong>ra à supporter une viesecrète et le transportera <strong>du</strong> Canada à la Flori<strong>de</strong>, vers un amour entier.Deux histoires qui se mêlent. Qu'advient-il quand le passé précipite leprésent ? Quand la réalité dissout l'imaginaire ? Quand vérité et mensongeentrent en fusion ?


Mélanie FAZIà lire > Notre-Dame-aux-Ecailleséd. GallimardNouvellesSaviez-vous qu'à Venise, qui vole <strong>de</strong>s soupirs encourt la vengeance <strong>de</strong> laville ? Connaissez-vous vos plus sensuelles métamorphoses, lorsque vousêtes loup, lorsque vous <strong>de</strong>venez lionne ? Avez-vous déjà pris un fleuvepour amant ? Partez à la découverte <strong>de</strong>s troubles secrets <strong>de</strong> l'âme et <strong>de</strong>slieux les plus hantés : une villa qui palpite <strong>de</strong> vies enfuies, l'océan dontcertains ne reviennent plus tout à fait humains, ou encore ce train <strong>de</strong> nuitqu'empruntent ceux qui cherchent l'oubli... Mais attention : <strong>de</strong> ces voyagesintimes et inquiétants, on ne rentre pas in<strong>de</strong>mne. Deuxième recueil <strong>de</strong>nouvelles <strong>de</strong> Mélanie Fazi, Notre-Dame-aux-Écailles confirme tout sontalent. Elle est assurément l'une <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s voix <strong>du</strong> fantastiquecontemporain.


Michel GIARDà lire > Prendre pied, tenir ou mourir ! : marins en guerreéd. P. GalodéDocumentaireLa France libérée et meurtrie n'en a pas fini pour autant avec la guerre.Direction l'Indochine aux mains <strong>de</strong>s Japonais puis <strong>de</strong>s Chinois pourLeclerc, Massu et leurs hommes. Les renforts viendront plus tard avec <strong>de</strong>jeunes marins sortis <strong>de</strong> l'école <strong>de</strong>s mousses et passés par Siroco. Cesjeunes <strong>de</strong> vingt ans connaîtront la peur, l'amitié, le mal jaune et parfois lamort. Les acteurs <strong>de</strong> ces récits nous restituent leurs émotions et le souffle<strong>de</strong> l'aventure. L'occasion <strong>de</strong> découvrir <strong>de</strong>s facettes méconnues <strong>de</strong> notrehistoire contemporaine, une histoire dont on ne conserve que les gran<strong>de</strong>stêtes <strong>de</strong> chapitre sans appréhen<strong>de</strong>r la réalité quotidienne <strong>de</strong>s plusmo<strong>de</strong>stes combattants.


Marine GUILLIERà lire > Pour l'Arbre...Ici tout est harmonie. Le vent n'est là que pour rafraîchir. La pluie n'est làque pour abreuver. Les lièvres jouent, les feuilles frémissent, les bléson<strong>du</strong>lent dans un cycle perpétuel. L’Arbre, au centre <strong>de</strong> cette peinture,tombé à la tempête <strong>de</strong> 1999, puis relevé un mois plus tard, a survécu.C’est là que je vous emmène. à travers ces quelques feuilles, goûtez lesouffle <strong>du</strong> vent, enivrez-vous <strong>de</strong> couleurs, et d’o<strong>de</strong>urs… Peut-êtreentendrez-vous le chant <strong>de</strong>s oiseaux… Pour l’Arbre ?


Bertrand GUILLOTà lire > Hors jeuéd. Le DilettanteRomanAssalti is the name. Jean-Victor Assalti. Ex <strong>de</strong> l’École (un haras pourgagneurs), hâbleur, joueur, dragueur, ce plus-si-jeune loup <strong>de</strong> la com sevoit chassé <strong>de</strong> la hor<strong>de</strong>. Ré<strong>du</strong>it à rien, enten<strong>de</strong>z à suivre <strong>de</strong>s matches et<strong>de</strong>s dames, sur écran et entre les draps, il finit par opter, entre <strong>de</strong>uxrecherches d’emploi, pour la suprême aventure: intégrer les combattantsd’un jeu télé (La Cible). Commence alors le jogging initiatique: tests,farandoles <strong>de</strong>s questions, quiz mutins, trous <strong>de</strong> mémoire et érudition lanceroquette.J.-V. saute toutes les haies, dominateur, suréquipé et coaché àmort par amis et relations. Arrive le jour <strong>de</strong>s premiers essais : sunlights,moiteur et concentration. Passez musca<strong>de</strong>! Le training continue, ponctuéd’une party ou <strong>de</strong>ux, d’échanges, d’impasses et <strong>de</strong> rencontres dont celle,majeure, d’Emma qui l’accompagnera sur le plongeoir le jour J <strong>du</strong> GrandJeu et à qui il réservera un bouquet <strong>de</strong> finaliste ébouriffant. Alors roulez,boli<strong>de</strong>s, dans cette effervescente romance signée Guillot où Dieu est unpodium et Assalti son ultime prophète.


Stéphanie HOCHETà lire > La distribution <strong>de</strong>s lumièreséd. FlammarionRomanÀ première vue, Aurèle est simplement une adolescente dévergondée. Ellene se sépare jamais <strong>de</strong> son frère Jérôme, qui incarne la figure <strong>de</strong> l'idiot. Aucollège <strong>de</strong> Mortissieux, elle suit les cours <strong>de</strong> musique d'Anna Lussing.Anna <strong>de</strong>vient pour Aurèle une obsession, un manque, une cible. PasqualeVillano, un tra<strong>du</strong>cteur italien exilé en France, rencontre Anna, s'éprendd'elle. Et le paiera cher. Roman sur les tentations dangereuses <strong>de</strong>l'adolescence, la cruauté et la can<strong>de</strong>ur, La distribution <strong>de</strong>s lumières met enmouvement <strong>de</strong>s personnages qui s'opposent, se reflètent, s'éblouissent,chacun en proie à une vérité intérieure.


Gérard HUBERT-RICHOUà lire > La <strong>du</strong>chesse amazoneéd. PygmalionRomanN'acceptant pas que son fils ait été évincé <strong>du</strong> trône par le roi Louis-Philippe, la <strong>du</strong>chesse <strong>de</strong> Berry déci<strong>de</strong>, en 1832, <strong>de</strong> reconquérir sonroyaume en tentant <strong>de</strong> soulever Marseille, puis la Vendée, attachée auxBourbons légitimes par tradition. À Paris, le gouvernement s'inquiète. Tousles moyens sont mis en branle pour capturer la rebelle : 60 000 soldats,gendarmes, pol<strong>ici</strong>ers, espions sont concentrés sur la région. On quadrille,on perquisitionne, on menace, on emprisonne. Mais la <strong>du</strong>chesse, signalée<strong>ici</strong> ou là, ne cesse <strong>de</strong> glisser entre les mailles <strong>du</strong> filet, se déplaçant <strong>de</strong> nuit,à pied, à cheval, à dos d'homme, n'hésitant pas à traverser à la nage lesrivières. Les semaines se succè<strong>de</strong>nt tandis que monte la tension. C'estcette folle équipée authentique, pleine d'aventures, <strong>de</strong> suspense et <strong>de</strong>rebondissements, que relate <strong>ici</strong> avec brio Gérard Hubert-Richou. Le visagerayonnant <strong>de</strong> la <strong>du</strong>chesse, tellement sé<strong>du</strong>isante et audacieuse, habité <strong>de</strong>part en part ce roman trépidant.


Anne-Sarah KERTUDOà lire > Est-ce qu'on entend la mer à Paris ? : histoire <strong>de</strong> lapermanence juridique pour les sourdséd. L'HarmattanTémoignageIls sont sourds, ne communiquent que par signes. Nombre d'entre eux nesavent ni lire, ni écrire. L'é<strong>du</strong>cation, l'emploi, la culture ont oublié <strong>de</strong> semettre à leur portée. Pourtant, ils sont là : se marient, divorcent, héritent,achètent <strong>de</strong>s biens immobiliers, sont placés en gar<strong>de</strong> à vue, traversentl'Europe pour venir travailler en France, créent <strong>de</strong>s entreprises ou se fontlicencier... Pour eux, la première permanence juridique en langue <strong>de</strong>ssignes s'est ouverte à Paris en 2002. Anne-Sarah Kertudo, juriste bilingueen langue <strong>de</strong>s signes, a écouté leurs histoires, les a défen<strong>du</strong>s,accompagnés dans leurs procé<strong>du</strong>res. C'est cette expérience extraordinairequ'elle raconte <strong>ici</strong>. On s'amuse, on se révolte à la lecture <strong>de</strong> ces(més)aventures, on constate aussi combien la justice peut avoir <strong>de</strong>réticences à accueillir et traiter équitablement tous ses sujets <strong>de</strong> droit.


Jean-Clau<strong>de</strong> LALUMIÈREà lire > Le front russeéd. Le DilettanteRomanLe grain <strong>de</strong> sable, on croit le connaître, mais il peut prendre bien <strong>de</strong>saspects. Celui qui vient soudainement gripper la carrière <strong>de</strong> fonctionnairediplomatique, benoîte et prévisible, <strong>du</strong> héros <strong>du</strong> Front russe, formé àl’exotisme par une lecture méticuleuse <strong>de</strong> Géo, adopte celle d’un attachécase.Gran<strong>de</strong> chose noire et anguleuse, ca<strong>de</strong>au <strong>de</strong> maman. À l’heure <strong>de</strong>l’entrée en fonctions, un chef <strong>de</strong> service vient y donner <strong>du</strong> genou. Endécoule une lésion au front assortie d’une mutation sèche, aux confins <strong>de</strong>l’empire, sur le « front russe », service voué au « pays en voie <strong>de</strong> création– section Europe <strong>de</strong> l’Est et Sibérie ». Usant <strong>de</strong> cette off<strong>ici</strong>ne diplomatique(située dans le néo-XIIIe, « sorte <strong>de</strong> Broadway faussement high-tech »)comme base opérationnelle, notre homme va répondre à une rare vocation<strong>de</strong> gaffeur lunaire et <strong>de</strong> planificateur <strong>de</strong> catastrophes, plus désopilantes lesunes que les autres, qui renforceront l’exil <strong>de</strong> notre homme sur le « frontrusse », entre Boutinot, le chef <strong>de</strong> service, Aline, fugace maîtresse etquelques collègues improbables. Notre homme, frustré dans son désird’horizon (« J’avais l’impression d’être loin sans être ailleurs »), serésignera à ce bout <strong>de</strong> quai qu’est sa carrière <strong>de</strong> fonctionnaire (« Je vis et ilne se passe rien »). Mot <strong>de</strong> la fin, signé <strong>du</strong> même : « L’histoire d’une vie,c’est toujours l’histoire d’un échec ». Le <strong>livre</strong>, lui, est une vraie réussite…Rire garanti…


Francis LATTUGAà lire > L’échec et matéd. Excom’RomanAprès une carrière (brillante) dans l’audiovisuel public, Francis Lattuga, 68ans, presque 69, pas loin <strong>de</strong> 70….est retraité. Marié, père <strong>de</strong> cinq enfantset grand-père six fois, il est l’heureux propriétaire d’un vieux RenaultScénic <strong>de</strong> 220 000 km qui marche au GPL, d’un vélo <strong>de</strong> type VTT quiaffiche allègrement ses 20 années <strong>de</strong> bons et loyaux services, d’uneton<strong>de</strong>use à gazon, et <strong>de</strong> sa hachette canadienne qui le suit <strong>de</strong>puis sonpassage chez les scouts ! Il est aussi l’auteur <strong>de</strong> plusieurs <strong>livre</strong>s dont celu<strong>ici</strong>,qui vous invite à suivre les pas <strong>de</strong> Paco. « Paco a <strong>du</strong> mal à réaliser qu’ilest seul. Elle n’est pas à ses côtés et sa présence lui manquedouloureusement. Mais comment en sont-ils arrivés là ? C’est vers leLarzac qu’il s’est instinctivement dirigé quand il lui fallut quitter La Maison,mais pourquoi le Larzac ? » Paco, Elle et ….La Maison : trois personnageset une tranche <strong>de</strong> vie que vous propose <strong>de</strong> partager Francis Lattuga, dansce roman sensible et attachant.


Michel LECOURTà lire > La mangeuse d’âmeséd. ABMRomanEn poussant la porte <strong>de</strong> l'ancien presbytère d'un village breton, Emelinedécouvre la mangeuse d'âmes. Sera-t-elle assez pru<strong>de</strong>nte pour luiéchapper ? Qu'est-ce que la mangeuse d'âmes ? Tout simplement lapassion. Elle entraînera Emeline - la perverse, l'opportuniste - dans laquête hasar<strong>de</strong>use d'une énigmatique inconnue et <strong>de</strong>s hommes <strong>de</strong> sa vie.Jusqu'à s'engager dans <strong>de</strong>s liaisons à l'amour incertain, et terriblementrisquées. La rencontre <strong>de</strong> personnages troubles ou cocasses. Le partagecynique <strong>de</strong>s émotions <strong>de</strong>s uns et <strong>de</strong>s autres pour parvenir à ses fins. Maisgare! La mangeuse d'âmes se dissimule <strong>de</strong>rrière la voix basse <strong>du</strong> basson,le chant érotique, la poésie surréaliste, le pinceau <strong>du</strong> peintre, l'objectif <strong>du</strong>photographe d'art, et même la recette <strong>de</strong> cuisine ou le vol majestueux <strong>du</strong>planeur. Un roman <strong>de</strong> détente, un brin amoral. Une fantaisie littéraire, unpot-pourri culturel. Humour et émotion. Dans la même veine suivent quatrerécits confi<strong>de</strong>ntiels.


Jean-Marc LEFÉBUREà lire > La Craie et la Plume : L'enseignement primaire dans leNogentais au XIXe siècleéd. Le Livre d'histoireQuoi <strong>de</strong> plus stimulant que cet ouvrage <strong>de</strong> Jean-Marc Lefébure consacré àl'enseignement primaire dans le Nogentais au XIXe siècle, si jolimentintitulé La Craie et la Plume ? Alors que les mises en cause <strong>de</strong> lapédagogie off<strong>ici</strong>elle se multiplient dans notre pays, la véritable leçon <strong>de</strong>choses pourrait bien se trouver dans ce témoignage précis et vibrant qui seréfère à « l'authent<strong>ici</strong>té <strong>du</strong> terrain », à une source aussi irréfutable quecelle <strong>de</strong>s archives communales <strong>de</strong> Barbuise et Ferreux-Quincey, Fontaine-Mâcon et La Louptière-Ménard, La Saulsotte et Le Plessis-Barbuise,Marnay-sur-Seine et Montpothier, Nogent-sur-Seine et Pont-sur-Seine,Traînel et Villenauxe-la-Gran<strong>de</strong>. Le bilan <strong>de</strong>s combats qui furent menéspour l'accession <strong>de</strong> tous au savoir dans ces communes <strong>du</strong> Nogentais, estéloquent. Il constitue le cœur même <strong>de</strong> ce <strong>livre</strong>, orné d'illustrations,complété par <strong>de</strong>s Annexes et enrichi d'un In<strong>de</strong>x alphabétique <strong>de</strong>s nomscités. Après avoir brossé le tableau <strong>de</strong> l'enseignement primaire au XIXesiècle en France, puis dans le Nogentais, l'auteur nous invite à mesurerl'ampleur <strong>de</strong> la tâche pour « jeter les bases d'une é<strong>du</strong>cation populaire<strong>du</strong>rable » et, en ce domaine à l'époque, tout est à faire : à Barbuise, oncommence par une « corvée <strong>de</strong> coins » pour l'école (27 avril 1810) et parla récupération <strong>de</strong> « 12 muids <strong>de</strong> chaux » (14 mai), la rétribution <strong>de</strong>l'instituteur étant fixée le 15 août 1812 ; à Ferreux, le 10 octobre 1828,décision off<strong>ici</strong>elle <strong>de</strong> l'ouverture <strong>de</strong> l'école <strong>du</strong> 1er novembre au 1er juillet <strong>de</strong>l'année suivante ; à Mâcon, pas d'école ni <strong>de</strong> mairie en 1822 ; à LaLouptière, nomination d'un instituteur, le 12 décembre 1829 et définition <strong>de</strong>ses attributions (« autorité paternelle, sévère mais douce... ») ; à LaSaulsotte, <strong>de</strong> 1792 à 1835, la classe était faite dans <strong>de</strong>s maisonsparticulières louées à cet effet ; au Plessis-Barbuise, en 1863, la rétribution<strong>de</strong> l'instituteur est fixée à « un franc vingt-cinq centimes par enfant »...Seules la conviction et l'abnégation pouvaient rendre cette épopée <strong>du</strong>savoir possible.


Francis LEVERGNEà lire > Jéd. Le sphinx <strong>de</strong> minuitRomanJ, un slameur accompagné d’un groupe <strong>de</strong> douze mus<strong>ici</strong>ens, remporte unénorme succès sur la scène <strong>du</strong> Zéphyr, la plus gran<strong>de</strong> salle <strong>de</strong> spectacle<strong>de</strong> Paris. Son originalité : il prétend être le fils <strong>de</strong> Dieu re<strong>de</strong>scen<strong>du</strong> surTerre. Imposteur ? Simple illuminé ? Manipulateur ? Habile mag<strong>ici</strong>enréalisant <strong>de</strong> pseudo-miracles ? Faux prophète ? Ou alors, authentiqueEnvoyé <strong>de</strong> Dieu ? Par ses slams, il exhorte les peuples <strong>de</strong> la Terre àmodération et à la fraternité, sous peine d’Apocalypse. Son Message serat-ilenten<strong>du</strong> ?


Claire LHERMEYà lire > Mon <strong>livre</strong> d'heures médiévaléd. EquinoxeLe Livre d'Heures, au Moyen Age, est un <strong>livre</strong> <strong>de</strong> prières pour laïcs.Chaque exemplaire est unique, entièrement écrit et orné à la main. Au fil<strong>du</strong> temps il va disparaître ; l'imprimerie va changer radicalement l'histoire<strong>du</strong> <strong>livre</strong> et les pratiques religieuses évoluent. Reste le besoin c écrire et <strong>de</strong>commenter pour mémoire, ce qui est d'importance sur un support précieux.C'est la naissance <strong>du</strong> Livre d'Or. Ces premiers ouvrages sont <strong>de</strong>s registresoù l'on 'consigne <strong>de</strong>s noms illustres, <strong>de</strong>s faits mémorables. A chacun d'enfaire un objet digne <strong>de</strong> traverser le temps en s'inspirant pourquoi pas <strong>de</strong>schefs-d'œuvre d'autrefois.


Sophie LOUBIÈREà lire > Dans l'oeil noir <strong>du</strong> corbeauéd. le Cherche MidiRomanUne Bridget Jones française et un misanthrope américain amateur <strong>de</strong>bonne chère plongés dans une enquête passionnante Paris. Pour fêter ses40 ans, Anne Darney s'apprête à prendre l'avion à la recherche <strong>de</strong> sonamour <strong>de</strong> jeunesse, Daniel Harlig, histoire <strong>de</strong> s'affranchir d'un souvenir quil'obsè<strong>de</strong> et aura contribué à l'échec <strong>de</strong> toutes ses relations amoureuses.Elle a décidé, plus <strong>de</strong> vingt ans après, <strong>de</strong> retrouver ce garçon américainqui lui avait fait la promesse, un jour, <strong>de</strong> venir la chercher. Mais ce qu'Anneva trouver à San Francisco ne ressemble en rien à une bluette... Pourconnaître toute la vérité sur ce qui lui apparaît vite comme « l'affaire DanielHarlig », il lui faudra convaincre un inspecteur <strong>de</strong> police fraîchementretraité, Bill Rainbow, grand amateur <strong>de</strong> gastronomie dont la corpulencen'est pas sans évoquer celle d'Orson Welles, <strong>de</strong> reprendre <strong>du</strong> service. Enéchange <strong>de</strong> la confection par Anne, cuisinière émérite, d'un repas <strong>de</strong> Noëldigne <strong>du</strong> Festin <strong>de</strong> Babette, Bill va accepter <strong>de</strong> reprendre cette enquête quile mènera à une découverte stupéfiante. Ce roman pol<strong>ici</strong>er psychologiqueet charnel, truffé d'hommages à Alfred Hitchcock, où les secrets intimesenfouis dans le passé se mêlent aux appétits les plus crus, est ancrétotalement dans l'époque, l'action se situant essentiellement aux États-Unis en décembre 2008, en pleine récession mondiale, un mois aprèsl'élection <strong>de</strong> Barack Obama. En bonus, la présence <strong>de</strong> fiches cuisine à lafin <strong>du</strong> roman, reprenant les plats qui composent le festin élaboré par les<strong>de</strong>ux protagonistes <strong>du</strong> <strong>livre</strong> (recettes originales <strong>du</strong> chef Éric Léautey,auteur <strong>de</strong> nombreux ouvrages sur la cuisine et chef <strong>de</strong> la chaîneCuisine.TV).


Habiba MAHANY &Mabrouck RACHEDIà lire > La petite Malikaéd. LattèsRomanVo<strong>ici</strong> la chronique <strong>de</strong> la vie aventureuse <strong>de</strong> Malika, jeune surdouée dansune cité <strong>de</strong> banlieue. Trop mature pour ses copines, trop singulière pourles a<strong>du</strong>ltes, Malika cultive sa différence. Écrit à <strong>de</strong>ux voix et composé envingt-<strong>de</strong>ux tableaux, La Petite Malika est un roman plein <strong>de</strong> fraîcheur et <strong>de</strong>drôlerie qui évoque avec délicatesse la difficulté <strong>de</strong> grandir.


Frédéric MARSà lire > Le sang <strong>du</strong> Christéd. M. LafonRomanAn 30 <strong>de</strong> notre ère, 6 jours avant la Pâque. Dans une ferme située àproximité <strong>de</strong> Jérusalem, un homme est sacrifié selon le rituel réservé àl'agneau pascal par les prêtres <strong>du</strong> Temple. Mais sur son front, on peut voirun triangle marqué au fer et, à côté <strong>du</strong> cadavre calciné, une poterieégyptienne. Ce suppl<strong>ici</strong>é, c'est Jean <strong>de</strong> Gamala, héritier légitime <strong>du</strong> trône<strong>de</strong> David. Un homme qui avait disparu <strong>de</strong>puis plus <strong>de</strong> vingt ans...Soupçonné <strong>du</strong> crime, son frère Jacques - le scribe - tente <strong>de</strong> démasquerpar lui-même le meurtrier. Aidé <strong>de</strong> sa nièce Sara, il piste l'assassin quiensanglante la Judée, alors qu'un autre aspirant au titre <strong>de</strong> roi <strong>de</strong>s Juifsprovoque les autorités juives et romaines : un certain Jésus <strong>de</strong> Nazareth.De Qumran à Tibéria<strong>de</strong>, d'initiation en découvertes, <strong>de</strong> co<strong>de</strong>s en énigmes,Jacques et Sara vont pourchasser jusqu'au pied <strong>de</strong> la Croix celui qui serévélera être le premier tueur en série <strong>de</strong> l'humanité...


Isabelle MINIÈREà lire > Maison buissonnièreéd. D. MontalantNouvellesIl y a <strong>de</strong>s soirs où rentrer chez soi fait comme une brûlure, une espèce <strong>de</strong>déchirure. Des soirs où l'air <strong>du</strong> <strong>de</strong>hors paraît doux, enveloppant, presquetendre, <strong>de</strong> soirs où l'on voudrait arrêter le temps, rester là, à regar<strong>de</strong>r lesgens, inventer leur vie, oublier la sienne. Quand j'étais enfant, je n'aijamais rêvé d'école buissonnière, j'y allais <strong>de</strong> bon coeur, sans me poser <strong>de</strong>question ; mais au retour... Au retour, déjà, ce pincement au coeur.J'aurais voulu faire maison buissonnière.


Ludovic MISEROLEà lire > Rosalie Lamorlière : Dernière servante <strong>de</strong> Marie-Antoinetteéd. <strong>du</strong> PréauRomanUn <strong>de</strong>stin ! Celui d’une petite provinciale, fille <strong>de</strong> cordonnier, qui va croisercelui <strong>de</strong> la Reine Marie-Antoinette au détour <strong>de</strong>s couloirs sombres etmalodorants <strong>de</strong> la Conciergerie. Une fille <strong>du</strong> peuple qui rencontrera etassistera les puissants d’hier et les parvenus d’une France qui secherche.Tous, ou presque, mourront. Elle, la survivante, apportera sontémoignage bien plus tard. Relation inestimable pour bon nombred’historiens qui, pourtant, n’ont jamais essayé <strong>de</strong> connaître RosalieLamorlière. Ce <strong>livre</strong>, bien que romancé, est la première étu<strong>de</strong> jamaisréalisée sur ce personnage clé, témoin privilégié <strong>de</strong> l’Histoire. Après <strong>de</strong>sannées passées dans les Archives, Ludovic Miserole, passionné d’histoire,vous propose <strong>de</strong> partir à la rencontre <strong>de</strong> celle qui fût et restera à jamais la<strong>de</strong>rnière servante <strong>de</strong> Marie-Antoinette.


Manon MOREAUà lire > Le vestibule <strong>de</strong>s causes per<strong>du</strong>eséd. D. MontalantRomanC’est l’histoire <strong>de</strong> Mara, <strong>de</strong> Robert, <strong>de</strong> Sept Lieues, d’Henrique, <strong>de</strong> Bruce,<strong>de</strong> Clotil<strong>de</strong>, <strong>de</strong> cet homme qu’on appelle Le Breton, <strong>de</strong> Flora et d’Arpad.Un retraité, un joueur <strong>de</strong> guitare, un cow-boy, un exégète <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>Simon, une brunette maigrichonne, un taiseux, une gran<strong>de</strong> bourgeoisefatiguée, un gars que la vie un jour a pris pour un punching-ball… L’histoire<strong>de</strong> gens qui dans leurs existences urbaines n’avaient aucune chance <strong>de</strong> secroiser, mais qui tous, un jour, chaussent <strong>de</strong> grosses chaussures, enfilentun sac à dos, et mettent le cap vers les confins <strong>de</strong> l’Espagne, le bout <strong>du</strong>mon<strong>de</strong>, la fin <strong>de</strong> l’Europe : Saint-Jacques-<strong>de</strong>-Compostelle. Sans se douterque ce chemin vieux comme les contes emporte ceux qui l’arpentent bienplus loin que ce qu’ils pouvaient imaginer.


Stéphane NOLHARTà lire > Blackbookéd. Laura MareRoman2009, Etienne Darc, 40 ans, parisien un poil misogyne, nègre littéraire <strong>de</strong>son état, un brin désabusé par <strong>de</strong>ux divorces, est envoyé à la montagnepar son éditeur, en plein hiver, pour écrire la biographie d’une ex-starlette<strong>de</strong>s 70’. Point <strong>de</strong> départ d’une comédie loufoque où se croisent <strong>de</strong>spersonnages tous plus dérangés les uns que les autres… Chantage,divorce, quiproquos, horloge biologique, maternité, littérature, chutes, égosurdimensionné, meurtre, flic, chien méchant. A travers le regard <strong>de</strong> sonhéros qui va vivre une semaine <strong>de</strong> folie en haute-altitu<strong>de</strong> où rien ne va sedérouler comme prévu, Stéphane Nolhart signe <strong>ici</strong> une comédie burlesque,<strong>de</strong>venant au fil <strong>de</strong>s pages une véritable épopée comique, une raillerie <strong>de</strong> lacondition <strong>de</strong> l’écrivain quadra célibataire d’aujourd’hui, mais aussi unedéclaration d’amour aux femmes et à l’art d’écrire.


Jean-Marc PITTEà lire > Gueule d'angeéd. La TengoRoman« L'ogre vert venait d'accepter la mission que lui confiait le prince rabougri(sauver à sa place une princesse prisonnière d'un dragon), quand lespneus <strong>de</strong> la Kangoo firent crisser les graviers <strong>de</strong> la cour. J'ai attrapé lazapette, j'ai figé l'image sur l'écran et j'ai pris le fusil. Je l'avaispréalablement chargé. J'ai lentement fiait le tour <strong>du</strong> canapé sur lequelj'étais assis. J'ai mis un genou à terre et j'ai posé le double canon sur ledossier en velours grenat. Les graviers ont recommencé à crisser Maiscette fois, c'était les pas <strong>de</strong> Maman et <strong>de</strong> Luc qui provoquaient ce bruit. Laporte s'est ouverte... Maman est entrée la première... J'ai tiré ». Écrit àpartir d'une longue enquête consacrée à un fait divers dont la Normandie aété le théâtre au début <strong>de</strong>s années 2000, Gueule d'Ange retrace leparcours d'un adolescent qui a tué toute sa famille alors même qu'ilsemblait n'avoir aucune prédisposition pour passer à l'acte. Ce roman à lapremière personne tente <strong>de</strong> décrire l'irruption d'un crime hors norme dansle quotidien <strong>de</strong> gens ordinaires.


Laurent RICHIOUDà lire > Des carpes sous les bombeséd. S. MillionRomanLaurent Richioud est un amoureux <strong>de</strong> la nature, <strong>du</strong> rythme <strong>de</strong>s saisons, <strong>de</strong>la mesure <strong>de</strong>s choses, <strong>du</strong> goût <strong>de</strong>s autres. Il voit dans la mo<strong>de</strong>rnité uneimposture, une promesse bien <strong>du</strong>re à régler. Où il ne se sent pas <strong>du</strong> tout àl’aise (comme dans ce jean trop serré). Telles ces carpes sous les bombes(lorsqu’il se retrouve à pêcher près d’un terrain d’entraînement <strong>de</strong> l’armée).À la manière d’un Jean-Paul Dubois (mariné d’un réalisme concret à laMichel Houellebecq), il observe les absurdités <strong>de</strong> la surconsommation (sonami buraliste noyé sous les PLV ou ses difficultés face à unetélécomman<strong>de</strong> universelle mais néanmoins néerlandophone), <strong>de</strong> la coursesécuritaire (ce « Stop » planté en plein chemin <strong>de</strong> nulle part). Il aspire àune vie frugale, à une sobriété heureuse, à revenir simplement à une vieayant plus <strong>de</strong> sens, une vie plus proche <strong>de</strong> la nature (<strong>de</strong> cet ours qui senoie, <strong>de</strong> ces sittelles qui s’envolent…). Dans ce mon<strong>de</strong> déjà engagé danssa finitu<strong>de</strong>, Laurent Richioud en propose un court et calme road-movie,dans sa Berlingo, sur les départementales <strong>de</strong> la France, <strong>de</strong> coin <strong>de</strong> pêcheen petit jardin à cultiver…


Magali SÉGURAà lire > Leïlan Volume 3, Une nuit sans luneséd. MiladyRomanLe jour <strong>de</strong> l'affrontement final approche. Jerry sait maintenant qu'Éléa n'estpas le Champion <strong>de</strong>s Fées qui affrontera l'infâme <strong>du</strong>c Korta. C'est Axel quiva <strong>de</strong>voir jouer ce rôle. Son père, le roi <strong>de</strong> Pandème, était arrivé à cettemême conclusion <strong>de</strong>s années auparavant. Mais craignant pour son fils, illui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> revenir à ses côtés, en Akal, où l'alliance <strong>de</strong>s <strong>de</strong>uxroyaumes a été scellée. Pourtant le peuple <strong>de</strong> Leïlan a besoin d'Axel :Korta met le pays à feu et à sang, obligeant les habitants <strong>de</strong> la ForêtInterdite à se sacrifier avant le Dernier Combat, pour assurer ainsi savictoire contre les Fées. C'est l'heure où les <strong>de</strong>rniers masques tombent. Decruels dilemmes assaillent chacun <strong>de</strong>s héros <strong>de</strong> Leïlan. La situationsemble désespérée, mais les Fées n'ont peut-être pas encore dit leur<strong>de</strong>rnier mot...


Mathieu SIMONETà lire > Les carnets blancséd. SeuilRomanFaut-il se séparer <strong>de</strong> ses journaux intimes ? Les gar<strong>de</strong>r a-t-il un sens si onne les relit jamais ? Il aurait été pour moi inimaginable <strong>de</strong> me séparer <strong>de</strong>mes journaux intimes. Pourtant, dans un geste masochiste, j'imaginaisd'orchestrer pour chaque séparation une forme <strong>de</strong> su<strong>ici</strong><strong>de</strong> : l'un seraitcoulé dans un canal, l'autre serait immolé, un troisième serait planté sur lepic d'une grille. Au début, j'ai effectivement orchestré <strong>de</strong>s sortes <strong>de</strong>"su<strong>ici</strong><strong>de</strong>s", puis j'ai adouci la disparition <strong>de</strong> mes carnets, je les ai déposésdans <strong>de</strong>s oeuvres d'art, dans <strong>de</strong>s bibliothèques, dans <strong>de</strong>s lieux publics. Enparallèle, je les relisais intégralement (ce que je n'aurais pas fait si jen'avais pas su qu'ils allaient ensuite disparaître). Peu à peu, ce projet était<strong>de</strong> moins en moins un geste masochiste, mais au contraire un gestejoyeux, ludique, que je voulais faire partager. J'en parlais à tous ceux queje rencontrais. Certains étaient touchés, et voulaient y part<strong>ici</strong>per. À ceux-là,je donnais un carnet, et leur laissais carte blanche. Une centaine <strong>de</strong>personnes ont part<strong>ici</strong>pé à ce projet. Un couturier a confectionné une robe àpartir <strong>de</strong>s pages d'un <strong>de</strong> mes carnets. Un cuisinier a tenté <strong>de</strong> faire ungâteau. Des enfants ont réalisé une fresque murale. Un carnet rouge a faitun tour <strong>du</strong> mon<strong>de</strong>.» M.S.


Arlette TESTYLERà lire > Les enfants aussi !éd. DelattreTémoignageA Paris, pendant que la population affamée <strong>de</strong>meure préoccupée par lesrestrictions <strong>de</strong> plus en plus draconiennes, la police met une <strong>de</strong>rnière mainà la préparation <strong>de</strong> son opération « Vent Printanier ». Si <strong>de</strong>s résistantsosent désobéir aux lois <strong>de</strong> Vichy, <strong>de</strong>s « collabos » se « nourrissent » <strong>de</strong> ladélation et Arlette, petite fille juive, voit aussitôt son enfance basculer dansle cauchemar... En un éclair, les troupes alleman<strong>de</strong>s et russes ayant faitmain basse sur la Pologne, trois millions <strong>de</strong> Juifs, honnis par unepopulation foncièrement antisémite, se retrouvent murés dans <strong>de</strong>s ghettos.Pour Szlamek, petit garçon « Ju<strong>de</strong> », les dés sont jetés et la déportation<strong>de</strong>vient rapi<strong>de</strong>ment inéluctable... Innocentes victimes <strong>du</strong> cataclysme quis'abat sur le peuple juif, ces « jumeaux <strong>du</strong> désespoir », réussiront-ils àéchapper au funeste <strong>de</strong>stin que la folie meurtrière <strong>de</strong>s nazis a «savamment » programmé ? Dans cet enfer dantesque, par quel heureux etimprobable hasard, les routes d'Arlette à l'Ouest et <strong>de</strong> Szlamek à l'Estd'une Europe occupée, parviendront-elles un jour, à se croiser ?


Bernard THÉPÉNIERà lire > Le moine et le marcheuréd. VolpilièreEssaiLe moine et le marcheur traite <strong>du</strong> religieux et <strong>de</strong> l’initiatique Le personnagecentral porte un nom biblique : Aaron, le même que celui donné au frère <strong>de</strong>Moïse. Habité par le doute mais aussi par un certain myst<strong>ici</strong>sme, Aaronentreprend une sorte <strong>de</strong> pèlerinage qui le con<strong>du</strong>ira sur <strong>de</strong>s lieuxhistoriques <strong>de</strong>s religions <strong>du</strong> <strong>livre</strong> afin <strong>de</strong> les connaître sous un nouveauprisme pour tenter <strong>de</strong> mieux les comprendre. Parcourant ensuite sa régionet retrouvant les lieux sacrés où il aime se ressourcer, il découvrira que sarecherche <strong>de</strong> vérité peut être aussi pro<strong>du</strong>ctive en Bourgogne qu’au Moyen-Orient. Suivant le chemin initiatique <strong>de</strong> la Tradition existant <strong>de</strong>puis la nuit<strong>de</strong>s temps, il sera confronté à la force qu’elle confère à l’homme en quête<strong>de</strong> vérité, à condition <strong>de</strong> puiser dans ses ressources spirituelles et dans saliberté <strong>de</strong> pensée, <strong>de</strong>ux procédés qui se combinent sans se neutraliser.Plongé dans l’inculture spirituelle <strong>de</strong> la société occi<strong>de</strong>ntale mo<strong>de</strong>rne, Aaronva-t-il faire le choix <strong>de</strong> la religion chrétienne, sa culture et la source <strong>de</strong> soninspiration, ou celui <strong>de</strong> la voie initiatique ? L’œuvre est une tentativepermanente <strong>de</strong> synthèse entre ces <strong>de</strong>ux notions et surtout un plaidoyer enfaveur <strong>de</strong> la richesse et <strong>de</strong> la complémentarité <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux conceptshabituellement utilisés dans une stérile et inconciliable opposition. Fondéesur un désir <strong>de</strong> recherche sincère, cette œuvre est une quête <strong>de</strong> sensprofond à la portée <strong>de</strong> l’homme, alors que l’intolérance, les dogmatismes etles fanatismes s’appuyant sur l’ignorance et la violence, fût-elle verbale,ruinent les efforts pour parvenir à la sagesse et à la beauté. Le roman estmis au service <strong>de</strong> l’essai. Les personnages, acteurs d’une démarche etparcourant les chemins <strong>de</strong>s terroirs et <strong>de</strong> l’esprit, construisent une histoirepour donner vie aux idées, sens aux symboles, <strong>de</strong>nsité à l’humain, accèsau divin par ses mystères.


Marie-Laure TOMBINIà lire > Macaronséd. MangoCuisine et recettesDes petits <strong>livre</strong>s pour ne plus être à court d'idées. 30 recettes <strong>de</strong> macaronsà croquer !


Yves UROà lire > Pauline Carton : itinéraire d'une actrice éclectiqueéd. L'HarmattanPauline Carton n'est pas seulement la bonne péremptoire à l'accentparisien et au chignon pointu qui fait un peu partie <strong>de</strong> notre patrimoine. Ellefut la lauréate <strong>du</strong> prix Fémina <strong>de</strong> poésie en 1903 et l'amie fidèle <strong>de</strong> Guitrydont elle commenta minutieusement ses films. C'est aussi une habilecaricaturiste suisse et une mémorialiste précieuse <strong>de</strong>s débuts <strong>du</strong> cinéma et<strong>du</strong> mon<strong>de</strong> <strong>du</strong> théâtre dans Les Théâtre <strong>de</strong> Carton et Histoires <strong>de</strong> Cinéma.Elle intéressa beaucoup Lugné-Poe mais aussi Marcel L'Herbier, Cocteau,Clouzot, Gance, Pabst et surtout Guitry qui l'utilisa dans 24 films. Elletravailla aussi pour Marc Allégret, Autant-Lara, Bernard, Baroncelli,Cavalcanti, Decoin, Delluc, Diamant-Berger, Lindtberg, Rim et Verneuil.Pour Guissart, elle chanta ses célèbres Palétuviers. Elle interpréta aussi<strong>de</strong>s rôles sévères voire cruels et dramatiques. Elle joua, au cinéma, <strong>de</strong>1907 à 1970, et ses 220 films témoignent <strong>de</strong>s problèmes sérieux <strong>de</strong> sonépoque : la guerre <strong>de</strong> 1914, l'affairisme <strong>de</strong> l'époque Stavisky, les bruits <strong>de</strong>bottes précédant la secon<strong>de</strong> guerre mondiale, le débarquement, la guerrefroi<strong>de</strong> et la fin <strong>du</strong> colonialisme.


Isabelle VITTE-BLANCHARDà lire > Invitation au coaching : le mon<strong>de</strong> <strong>de</strong>s possibleséd. Management et société« Paul Charpentier regardait l'immensité <strong>de</strong> la mer s'étendant <strong>de</strong>vant lui etse <strong>de</strong>mandait une fois encore dans quelle galère, il allait s'embarquer. »Dès les premières pages, vous êtes transporté loin <strong>de</strong> chez vous. Le hérosvous amène à cheminer avec lui dans sa découverte <strong>du</strong> coaching. Avantd'être un ouvrage <strong>de</strong> référence présentant les objectifs et les techniques,ce <strong>livre</strong> est un roman qui vous permet d'appréhen<strong>de</strong>r les multi-facettes <strong>du</strong>coaching et les bénéfices que vous pouvez en tirer. Votre vie va êtretransformée. Dorénavant, vous n'entendrez plus le mot coaching sans êtreen éveil. Vous ne prendrez plus une décision comme vous la preniezjusqu'à présent. Vous ne gérerez plus votre temps comme avant. En vousinvitant à voyager, ce <strong>livre</strong> est une bouffée d'air dans votre quotidienprofessionnel. Destiné aux managers, aux cadres en charge <strong>de</strong>sressources humaines au sein d'une entreprise <strong>du</strong> secteur privé comme <strong>de</strong>la fonction publique, aux étudiants en management, à toute personneintéressée par le coaching, ce manuel, conçu comme un roman, fait lepoint sur cette pratique et permet d'en découvrir les multiples facettes.


ZAZà lire > Cœur <strong>de</strong> ténèbres Volume 2, Parjureséd. KantikBD / Dark FantasyWarlock a affaibli la politique <strong>de</strong> l'Empire, si bien que <strong>de</strong>s princes électeurstels que Gondar et Aelred <strong>de</strong> Montfort tentent <strong>de</strong> prendre la place <strong>de</strong>l'empereur. Pendant ce temps, les orcs assiègent l'Est, et l'Enclaveabreuve l'Empire <strong>de</strong> richesses bon marché.

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