GÉnÉrAtionSinitiAtiVeADATEEP 74savoir prendre <strong>le</strong> car en toute sécuritéSensibiliser <strong>le</strong>s enfants aux règ<strong>le</strong>s <strong>de</strong> sécurité dans <strong>le</strong>s transports scolaires, tel<strong>le</strong> est la mission <strong>de</strong> l’Associationdépartementa<strong>le</strong> pour l’amélioration <strong>de</strong>s transports <strong>de</strong>s élèves <strong>de</strong> l’enseignement public.Chaque matin, 35 000 élèves emprun-<strong>de</strong>s véhicu<strong>le</strong>s. Pour <strong>le</strong>s mettre en œuvre, <strong>le</strong>tent <strong>le</strong>s transports scolaires pour se rendre à<strong>Conseil</strong> <strong>Général</strong> s’appuie sur <strong>le</strong>s compétencesl’éco<strong>le</strong>, au collège ou au lycée. Le <strong>Conseil</strong><strong>de</strong> l’Association départementa<strong>le</strong> pour <strong>le</strong><strong>Général</strong>, compétent pour l’organisation <strong>de</strong>transport <strong>de</strong>s élèves <strong>de</strong> l’enseignement publicces circuits d’autocars, est éga<strong>le</strong>ment respon-(ADATEEP 74). Ses bénévo<strong>le</strong>s assurent l’orga-sab<strong>le</strong> <strong>de</strong> la sécurité dans <strong>le</strong>s véhicu<strong>le</strong>snisation et l’animation <strong>de</strong> séances <strong>de</strong>et aux arrêts. Une sécurité quiprévention <strong>de</strong>s risques dans <strong>le</strong>s établisse-passe par <strong>le</strong> contrô<strong>le</strong> <strong>de</strong>s auto-ments scolaires.cars ou l’aménagementChaque séance se dérou<strong>le</strong> en <strong>de</strong>ux temps.d’aires d’arrêt sécurisées,D’abord la projection d’un film et une dis-mais aussi par un compor-cussion avec <strong>le</strong>s élèves qui examinentt e m e n t a d a p t é d e scol<strong>le</strong>ctivement <strong>le</strong> trajet maison-éco<strong>le</strong>, ouenfants. En ce domaine, laéco<strong>le</strong>-piscine, etc. Ce débat permet <strong>de</strong> relierprévention est fonda-<strong>le</strong>s problèmes <strong>de</strong> sécurité à la citoyenneté,menta<strong>le</strong> dès <strong>le</strong> plusau civisme, au respect <strong>de</strong>s personnes, au rô<strong>le</strong>jeune âge. El<strong>le</strong> se fait<strong>de</strong> chacun dans l’organisation <strong>de</strong> la vie ennotamment par <strong>le</strong> biaiscommun. La séance se poursuit à l’extérieur,d’exercices <strong>de</strong> sensibili-dans un car. Là, <strong>le</strong>s enfants exécutent unesation et d’évacuation rapi<strong>de</strong>manœuvre ordinaire <strong>de</strong> montée et <strong>de</strong> <strong>de</strong>s-foCuSL’ADATEEP 74. Association loi 1901,antenne départementa<strong>le</strong> <strong>de</strong> l’associationnationa<strong>le</strong> ANATEEP.Subventionnée par <strong>le</strong> <strong>Conseil</strong> <strong>Général</strong> etla Préfecture dans <strong>le</strong> cadre du Plan départementald’actions <strong>de</strong> sécurité routière.El<strong>le</strong> fonctionne grâce à une dizaine <strong>de</strong>bénévo<strong>le</strong>s qui assurent <strong>le</strong>s travaux <strong>de</strong>représentation, d’organisation et d’animation.cente en sécurité maximum, dans <strong>le</strong> respectdu personnel et du matériel. Ils effectuentaussi une manœuvre d’évacuation rapi<strong>de</strong> encas <strong>de</strong> danger imminent. Ils sont encadrés par<strong>le</strong>s animateurs <strong>de</strong> l’ADATEEP, mais aussi par <strong>le</strong>conducteur <strong>de</strong> l’autocar, <strong>de</strong>s pompiers et <strong>de</strong>sreprésentants <strong>de</strong>s forces <strong>de</strong> l’ordre (gendarmes,police municipa<strong>le</strong>, police nationa<strong>le</strong>). Lenombre d’élèves qui participent à ces séancesaugmente chaque année, <strong>de</strong> 2 000 en 2002Chaque année, grâce à l’action <strong>de</strong> l’ADATEEP 74, <strong>de</strong> nombreux élèves sont sensibilisés aux règ<strong>le</strong>s <strong>de</strong>sécurité dans <strong>le</strong>s transports scolaires.L’ADATEEP 74 recherche <strong>de</strong>s bénévo<strong>le</strong>sSi vous vous intéressez à la sécurité <strong>de</strong>s enfants, rejoignez l’ADATEEP pour animer <strong>de</strong>sséances <strong>de</strong> prévention. Même quelques heures seront très uti<strong>le</strong>s. Formation assurée parl’association, frais <strong>de</strong> déplacements in<strong>de</strong>mnisés. Présentez-vous directement à l’association<strong>le</strong> jeudi après-midi, 6 avenue <strong>de</strong> la Mandallaz, à Annecy, ou contactez-la au 04 50 45 71 33,ou par courriel : adateep74@wanadoo.fr.on a atteint 6 900 en 2006 !Vio<strong>le</strong>nces conjuga<strong>le</strong>smieux accueilliret accompagner <strong>le</strong>s victimesDes ateliers pratiques et <strong>de</strong>s jeux ont permis aux personnels sociaux <strong>de</strong> bien appréhen<strong>de</strong>r <strong>le</strong> cyc<strong>le</strong> <strong>de</strong> lavio<strong>le</strong>nce pour ensuite mieux adapter <strong>le</strong>urs interventions.Pour mieux accueillir et comprendre<strong>le</strong>s victimes <strong>de</strong> vio<strong>le</strong>nces conjuga<strong>le</strong>s, <strong>le</strong>s personnelsmédico-sociaux du <strong>Conseil</strong> <strong>Général</strong>s’appuient sur une charte et un gui<strong>de</strong> d’entretienmis au point avec la collaboration <strong>de</strong>l’Association Espace Femmes. Ils participentaussi régulièrement à <strong>de</strong>s journées <strong>de</strong> formationsur <strong>le</strong> sujet. La <strong>de</strong>rnière en date s’estdéroulée début juin et a réuni plus <strong>de</strong> 100professionnels, personnels départementauxmais aussi agents <strong>de</strong> la Caisse d’AllocationsFamilia<strong>le</strong>s, du Centre Hospitalier d’Annecy ouéducateurs en prévention spécialisée <strong>de</strong> l’associationPassage. Au programme, laprojection d’un film-témoignage émouvantet <strong>de</strong>s ateliers pratiques <strong>de</strong> mise en situation.Ceux-ci ont permis <strong>de</strong> bien appréhen<strong>de</strong>r <strong>le</strong>cyc<strong>le</strong> <strong>de</strong> la vio<strong>le</strong>nce pour mieux adapter sonintervention. En conclusion <strong>de</strong> la journée, <strong>le</strong>Substitut du procureur du tribunal <strong>de</strong> Gran<strong>de</strong>Instance d’Annecy, Marco Scuccimarra, estvenu présenter <strong>le</strong> nouveau dispositif d’évictiondu domici<strong>le</strong> <strong>de</strong>s auteurs <strong>de</strong> vio<strong>le</strong>ncesconjuga<strong>le</strong>s, qui sera en place sur l’agglomérationannecienne cet automne. Cette mesure,déjà expérimentée sur Thonon, permet d’éloignerl’auteur <strong>de</strong>s vio<strong>le</strong>nces <strong>de</strong> son domici<strong>le</strong>conjugal. L’hébergement se doub<strong>le</strong> d’unaccompagnement social et éventuel<strong>le</strong>mentsanitaire, et d’un suivi psychologique.Objectif : prévenir la récidive et faire prendreconscience à l’auteur <strong>de</strong>s conséquences <strong>de</strong>ses actes sur sa famil<strong>le</strong>. Cette mesure est enprincipe <strong>de</strong> courte durée (2 mois maximum)et intervient en amont du procès.L’hébergement est prévu au CHRS Saint-François-d’Assise à Annecy.pAGe 6 - hAute-SAVoie MAGAzine - nuMÉro 11
ÈVeSInsertionretrouver un emploi grâce au rmaDeux associations récompenséespar la Fondation <strong>de</strong> FranceLe Contrat d’Insertion Revenu Minimum d’Activité (CI/RMA) est l’un <strong>de</strong>s moyens privilégiés par <strong>le</strong><strong>Conseil</strong> <strong>Général</strong> pour favoriser <strong>le</strong> retour à l’emploi <strong>de</strong>s personnes bénéficiaires du RMI. Il permet auxentreprises privées qui <strong>le</strong>s embauchent <strong>de</strong> bénéficier d’une ai<strong>de</strong> en contrepartie <strong>de</strong> la formation qu’ils<strong>le</strong>ur dispensent. Plus <strong>de</strong> 200 contrats <strong>de</strong> ce type ont été signés en trois ans en <strong>Haute</strong>-<strong>Savoie</strong>. Certainsdébouchent sur un emploi fixe, c’est <strong>le</strong> cas d’Anne Frumenti, qui vient <strong>de</strong> retrouver un emploi stab<strong>le</strong>grâce à ce dispositif auprès <strong>de</strong> l’atelier graphique L’Hybri<strong>de</strong> à Annemasse.Anne Frumenti, jeune mère <strong>de</strong> famil<strong>le</strong>d’une trentaine d’années installée dans larégion d’Annemasse, vient <strong>de</strong> décrocher unCDI à l’issue d’un Contrat d’Insertion RevenuMinimum d’Activité (CI-RMA). Enfin unemploi stab<strong>le</strong> et un vrai métier où el<strong>le</strong> pourras’épanouir dans un domaine pour <strong>le</strong>que<strong>le</strong>l<strong>le</strong> avait un intérêt particulier : <strong>le</strong>s artsgraphiques. Titulaire du baccalauréat maissans autre formation, el<strong>le</strong> a enchaîné pendantdix ans <strong>de</strong>s emplois peu qualifiés dansdivers domaines comme <strong>le</strong> nettoyage ou <strong>le</strong>commerce avant <strong>de</strong> se retrouver au chômage,et, privée <strong>de</strong> revenus, contrainte <strong>de</strong> solliciter<strong>le</strong> RMI. En parallè<strong>le</strong> à sa recherche d’emploi,el<strong>le</strong> s’investit dans <strong>de</strong>s activités bénévo<strong>le</strong>s.Bénéficiaire du RMI, Anne Frumenti a retrouvé un emploi stab<strong>le</strong> au sein <strong>de</strong>l’atelier <strong>de</strong> création L’Hybri<strong>de</strong>.Son esprit créatif et son goût pour la décorationl’amènent à participer à la création<strong>de</strong>s décors <strong>de</strong> l’opération pour enfantsFestimômes, organisée par la MJC Centred’Annemasse. C’est là qu’el<strong>le</strong> va croiser sonfutur employeur, Frédéric Gauthier, graphiste,qui s’occupe <strong>de</strong> la réalisation <strong>de</strong>s<strong>document</strong>s <strong>de</strong> communication du festival.Au fil <strong>de</strong>s rencontres et <strong>de</strong>s discussions, il luifait découvrir son activité et l’invite même àfaire <strong>de</strong>s essais dans son atelier. De cescontacts fructueux, l’idée d’une collaborationrégulière germe dans l’esprit <strong>de</strong> FrédéricGauthier. Ne pouvant dans un premiertemps prendre <strong>le</strong> risque d’une embauche auvu <strong>de</strong>s fluctuations <strong>de</strong> son volume d’activité,un compromis esttrouvé sous la formed’un contrat RMA,accessib<strong>le</strong> aux personnesbénéficiairesdu RMI. Signé entre <strong>le</strong><strong>Conseil</strong> <strong>Général</strong> etL’Hybri<strong>de</strong>, la société <strong>de</strong>Frédéric Gauthier, illui permet <strong>de</strong> disposerd’une colla boratricequi pourra prendre encharge une partie duLe CI-RMAContrat d’insertion professionnel<strong>le</strong><strong>de</strong>stiné aux bénéficiaires du RMI.Durée : 18 mois maximum, renouvel<strong>le</strong>mentcompris, à temps partiel oucomp<strong>le</strong>t.Rémunération minimum : SMIC(1 280,07 euros bruts/mois pour untemps p<strong>le</strong>in) versé directement parl’employeur.L’employeur perçoit une ai<strong>de</strong> duDépartement éga<strong>le</strong> au montantdu RMI <strong>de</strong> base pour une personneseu<strong>le</strong> (440,86 euros par mois). Il estexonéré du paiement <strong>de</strong>s cotisationsdues au titre <strong>de</strong>s assurances socia<strong>le</strong>s,acci<strong>de</strong>nts du travail, maladies professionnel<strong>le</strong>set allocations familia<strong>le</strong>s,dans la limite d’un certain montant<strong>de</strong> rémunération.travail <strong>de</strong> l’atelier et contribuer ainsi à développerson activité. En contrepartie, ils’engage à la former au métier d’assistante<strong>de</strong> production. Une formation à la fois théoriqueet pratique au graphisme et à lapublication assistée par ordinateur. À l’issuedu contrat, <strong>le</strong> bilan est très positif et <strong>le</strong>sobjectifs atteints pour l’un comme pourl’autre, surtout pour Anne avec un CDI à laJeunes<strong>le</strong> J’bus ou comment al<strong>le</strong>r à la rencontre <strong>de</strong>sjeunes en milieu ruralclé.foCuSLa Fondation <strong>de</strong> France a récompensé <strong>de</strong>uxprojets haut-savoyards dans <strong>le</strong> cadre <strong>de</strong>s sestrophées « S’unir pour agir ». Ceux-ci valorisent<strong>de</strong>s initiatives qui permettent d’améliorer <strong>le</strong>vivre ensemb<strong>le</strong> et favorisent l’insertion <strong>de</strong>spersonnes fragilisées par la précarité, l’âge, <strong>le</strong>handicap ou la maladie. L’association Karapata été récompensée pour la mise en place d’unehalte-gar<strong>de</strong>rie itinérante, « <strong>le</strong> bébé-bus ». Ilaccueil<strong>le</strong> <strong>le</strong>s enfants <strong>de</strong> 3 mois à 4 ans danscinq communes qui ne disposent pas <strong>de</strong> structuresd’accueil : Chilly, A<strong>le</strong>x, Minzier, Chavano<strong>de</strong>t Dingy-Saint-Clair. Le bébé-bus est aménagéavec un coin repas, un coin change et un espacecouchettes et chaque mairie met à dispositionune sal<strong>le</strong> agréée pour <strong>le</strong>s activités <strong>de</strong> jeux. Ilpeut accueillir jusqu’à 17 enfants. 80 famil<strong>le</strong>sutilisent ce service.L’association Foyer Léman a el<strong>le</strong> été distinguéepour son action auprès <strong>de</strong>s femmes victimes<strong>de</strong> vio<strong>le</strong>nces conjuga<strong>le</strong>s. Le Foyer accueil<strong>le</strong> <strong>le</strong>smères et <strong>le</strong>urs enfants dans <strong>le</strong> but <strong>de</strong> renforcer<strong>le</strong>s compétences parenta<strong>le</strong>s <strong>de</strong> la mère, <strong>de</strong><strong>le</strong>s ai<strong>de</strong>r à reconstruire une relation d’attachementavec <strong>le</strong>urs enfants et prévenir ainsila dégradation <strong>de</strong>s relations familia<strong>le</strong>s et <strong>le</strong>smesures <strong>de</strong> placement. L’association accueil<strong>le</strong>actuel<strong>le</strong>ment neuf femmes et une vingtained’enfantsRectificatifUne erreur s’est glissée dans <strong>le</strong> magazine 111<strong>de</strong> juil<strong>le</strong>t 2007 dans l’artic<strong>le</strong> au sujet du métierd’assistante familia<strong>le</strong>. En page 36, il fallait lire« Depuis 2005, une formation <strong>de</strong> 300 heuresest obligatoire dont 60 avant l’accueil du premierenfant » et non « une formation <strong>de</strong> 740heures ».Ai<strong>de</strong>r <strong>le</strong>s jeunes et <strong>le</strong>s ado<strong>le</strong>scents àsurmonter <strong>de</strong>s situations <strong>de</strong> rupture avecl’environnement familial, scolaire, professionnelou social pour prévenir la marginalisationet l’exclusion, tel<strong>le</strong>s sont <strong>le</strong>s missions <strong>de</strong>s éducateurs<strong>de</strong> la Prévention Spécialisée. L’essentiel<strong>de</strong> <strong>le</strong>ur démarche consiste à « al<strong>le</strong>r vers » <strong>le</strong>sjeunes, dans <strong>le</strong>ur milieu (rue, bars, lieuxpublics…). pour entrer en contact avec eux etétablir une relation <strong>de</strong> confiance, préalab<strong>le</strong>indispensab<strong>le</strong> à toute action éducative.Habitués à intervenir plutôt dans <strong>de</strong>s quartiersd’habitat social ou <strong>de</strong>s centres-vil<strong>le</strong>s, <strong>le</strong>séducateurs doivent inventer d’autres moyenspour al<strong>le</strong>r à la rencontre <strong>de</strong>s jeunes qui viventen milieu rural. C’est ainsi qu’ils ont créé <strong>le</strong>J’Bus, qui circu<strong>le</strong> sur <strong>le</strong>s routes <strong>de</strong> laCommunauté <strong>de</strong> Commune du Genevois, unvaste territoire regroupant 17 communes. Cemini bus, aménagéen bureau, avec une s p a c e d ’a c c u e i lconvivial, commenceà être bien connu<strong>de</strong>s jeunes <strong>de</strong> ce secteur.Repérab<strong>le</strong> grâceà son logo (un petitbonhomme qui salueen faisant un V), <strong>le</strong>J’Bus est <strong>de</strong>venu <strong>le</strong>trait d’union <strong>de</strong> l’actionéducative.P l u s d e t rent ejeunes <strong>de</strong>s communes <strong>de</strong> Viry, Val<strong>le</strong>iry etCollonges-sous-Salève (sur <strong>le</strong>s 121 jeunes suivisen 2006) ont rencontré régulièrement <strong>le</strong>séducateurs <strong>de</strong> l’association Passage dans celieu d’accueil original.Le J’Bus circu<strong>le</strong> sur <strong>le</strong> secteur <strong>de</strong> la Communauté <strong>de</strong>communes du GenevoisSeniors au volantLes 1 er , 2 et 3 octobre 2007 à la Sal<strong>le</strong> MartinLuther King d’Annemasse, <strong>le</strong>s conducteurs âgés<strong>de</strong> plus <strong>de</strong> 65 ans sont invités à suivre gratuitement<strong>le</strong> stage « Les seniors au volant », organiséen partenariat avec la Prévention Routière. Ilspourront évaluer <strong>le</strong>ur conduite, bénéficier d’unbilan personnalisé et d’une visite médica<strong>le</strong>.Les inscriptions sont ouvertes auprès <strong>de</strong>La Prévention Routière6 rue <strong>de</strong> Rumilly74000 AnnecyTél. 04 50 51 19 87.nuMÉro 11 - hAute-SAVoie MAGAzine - pAGe 7