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Fahrenheit 451 - Scène nationale de Sénart

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<strong>Fahrenheit</strong> <strong>451</strong>Ray Bradbury - David GéryEXTRAITS DE PRESSEÀ propos <strong>de</strong> Rêve d’Automne[...] Pour jouer Jon Fosse, il faut <strong>de</strong>s comédiens à la hauteur <strong>de</strong> ces engagements, <strong>de</strong>ce théâtre du silence. Des comédiens dont on ne sent pas la chair mais l’âme. Transparentset mystérieux à la fois. Tous remarquablement dirigés par David Géryqui signe une mise en scène douce comme une vague qui meurt sur le sable.Jean-Louis Pinte – FigaroscopeÀ propos <strong>de</strong> Bartleby[...] Dans cette mise en scène subtile, David Géry réussit à faire vivre la nouvelle à lafois en tant qu’œuvre littéraire et livre objet. Les citations <strong>de</strong> la nouvelle qui apparaissentnoir sur blanc illustrent encore un peu plus la délicate osmose Melville-Géry.A.S. Riffaud, La TribuneL’adaptation a du nerf, elle est tendue, concise ; la mise en scène flui<strong>de</strong> s’appuie surle dispositif scénique. David Géry a réuni une distribution puissante. On en prend lamesure avec le bouleversant face à face <strong>de</strong> l’avoué, immense Clau<strong>de</strong> Lévèque et <strong>de</strong>Bartleby, Yann Collette. Armelle Héliot, Le FigaroLe comique kafkaïen et le vertige métaphysique se conjuguent entre les murs du bureau<strong>de</strong> Bartleby comme <strong>de</strong>s pages que l’on tourne. L’ombre et la lumière tracent <strong>de</strong>scalligraphies mystérieuses. Tout est pensé, pesé dans la délicate balance du metteuren scène, David Géry, et <strong>de</strong> ses comédiens, dont le discret burlesque restitue l’ambiancestudieuse, les rivalités et les rituels <strong>de</strong> travail <strong>de</strong> copie dans une étu<strong>de</strong> d’avoué<strong>de</strong> Wall Street au milieu du XIX e siècle. L’ExpressÀ propos <strong>de</strong> William Pig, le cochon qui avait lu Shakespeare[...] David Géry, jeune metteur en scène a le sens du rythme, du plateau et <strong>de</strong> la distribution.Il invente un décor en métal aussi froid que le tableau peint par l’auteur d’unmon<strong>de</strong> amoral, <strong>de</strong>s citernes mobiles s’ouvrent sur un plateau télé ou sur le squattt duphilosophe, tous les personnages existent dans leur démesure : Laurence Roy dansune Lady Beth gourgandine, Jean François Perrier plus vrai que nature en psychanalystefreudien, et surtout Quentin Baillot qui donne une âme et <strong>de</strong> la poésie à unanimal qui n’est pas réputé pour sa délicatesse. Vincent Josse – France InterScène <strong>nationale</strong> <strong>de</strong> Sénart - saison 12 I 13 mis à jour le 04/12/2012 14/15

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