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Lormont Actualités n°48

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NUMÉRO 48HIVER 2005/2006Priorité à l’éducation !


NUMERO 48Hiver 2005/200646ENTRE-NOUSInterview de Jean Touzeau, Maire de <strong>Lormont</strong>ENSEMBLEL’ Ame slave : une passion partagéeMes vieux appareils électriques, j’en fais quoi ?La boxe se conjugue aussi au fémininUne association avertie en vaut deuxSouplesse, tonicité, bien-êtreUn musée national dédié à la protection sociale10ENTREPRENDREShurgard : loueur d’espace111213182022DÉCOUVERTEExercices d’incendie à CarrietAILLEURSSport adapté : Pour l’intégration des handicapés mentauxREPORTAGE<strong>Lormont</strong> : une ZEP qui réussitFaire rentrer le livre à la maisonTutorat lectureProfil sportRencontre avec un enseignantDes maths autrementChoristes en herbe3 artistes au cœur de la ZEPLa pause cartableObjectif : Sciences PoMA VILLERendez-vous de fillesUn premier pas vers une police de proximitéIlluminations de NoëlTRIBUNESPRATIQUEDirecteur de la publication :Jean TouzeauRédactrice en chef :Elisabeth CoussotConception, rédaction, photographie :Bernard Brisé, Elisabeth Coussot,Renaud DurieuxComité de rédaction :B. Brisé, E. Coussot, R. Durieux,A. TexierService Communication :Tél. : 05 56 33 27 40 à 43Fax : 05 56 33 27 44E-mail : communication@ville-lormont.frInternet : www.ville-lormont.frConception graphiqueImpression :FCM GraphicDistribution : ZS DiffusionPublicité :FCM Graphic (05 57 77 08 58)Trimestriel tiré à 12.000 exemplairesDistribué gratuitementN°ISSN : 1274-6037Dépôt légal à parution


45<strong>Lormont</strong> Actualités :Le dispositif ZEP (zone d’éducation prioritaire) est fortement critiqué,voire jugé inefficace au niveau national.Faîtes-vous un constat différent à <strong>Lormont</strong> ?>Jean Touzeau, maire de <strong>Lormont</strong> :Le regard que je porte est à l’opposé de celui du ministre del’intérieur, qui veut “déposer le bilan des ZEP”. Ceux qui,depuis Paris, portent des jugements sans véritablement savoirce qui se fait sur le terrain, contribuent à créer un climat délétèrequi pourrait, si nous n’y prenons pas garde, entraînernotre pays dans la spirale de la démotivation et de la démobilisation.En renvoyant une image systématiquement négativeà ceux qui connaissent les plus grandes difficultés sociales,ils les placent dans une logique de rancœur, de rejet et dedégoût.Je qualifie pour ma part la ZEP de <strong>Lormont</strong> de “Zone d’excellencepédagogique”. C’est le fruit d’un formidable travailmené au fil du temps par les enseignants, les directeursd’écoles, les principaux de collèges, les proviseurs de lycéeset tous ceux qui s’impliquent dans les actions autour de l’écoleet de la politique de la ville. La ZEP de <strong>Lormont</strong> est une ZEPdynamique, porteuse de projets et de propositions.Notre démarche part du terrain, des actions de proximité, deconstats et de diagnostics locaux qui révèlent de formidablesréussites : succès de nos lycéens au baccalauréat, accès decertains à Science Po, efforts multipliés pour favoriser l’insertionde tous nos élèves… Parlons donc deZone d’excellence pédagogique ! Evoquonsles réussites ! Valorisons les territoires, lesacteurs et les populations !>LA : Pensez-vous que les ZEP aient lesmoyens de leurs ambitions ?JT : L’évaluation nationale des ZEP met en évidencel’intérêt du dispositif tout en soulignant la faiblesse desmoyens alloués. Ce peu de moyens aboutit à des aménagementsplus proches du droit commun que du dispositif d’exception.Oui, nous avons besoin de moyens pour soutenir lescolaire et aussi le parascolaire, ainsi que tout ce qui peutEcole Romain RollandAccompagnement à la scolaritéEcole Albert Camus,Classe de cours préparatoire.permettre un meilleur accompagnementdes familles.Comme vous avez pu l’observer, legouvernement a, dans un premiertemps, fortement diminué ces moyens :suppression des emplois jeunes, diminutiondes subventions pour les associationstravaillant dans le cadre de la politique de la ville….“La ZEP de <strong>Lormont</strong>est une zone d’excellencepédagogique reconnue.”Quelle a été la réaction immédiate du 1 er Ministre lors desflambées de violence dans les banlieues ? De rétablir les subventionsqu’il avait supprimées... Tout ceci me conforte dansl’idée que la question des moyens est essentielle.Si nous voulons atteindre les objectifs de la politique de laville, il faut nous en donner les moyens : pour permettre untravail individualisé avec les enfants et les jeunes, pouraccentuer leurs chances de réussite, pour conforter le tissuexistant.>LA : Le mois de novembre a été marqué par la révoltedes jeunes des banlieues. Comment expliquez-vous qu’iln’y ait eu que très peu de débordements à <strong>Lormont</strong> ?JT : Si <strong>Lormont</strong> a plutôt bien traversé cette période de grandedifficulté dans les banlieues, c’est grâce à l’implication etau travail de proximité de tous les acteurs de la politique dela ville, des enseignants, des éducateurs, des animateurs, del’accompagnement social et du tissu associatif, un travail defond mené depuis de nombreuses années. Nous essayons à<strong>Lormont</strong> de favoriser les réussites, d’ouvrir des perspectivesaux jeunes. C’est notre démarche, ici, localement, sur le terrain,la seule possible et acceptable, celle qui va dans le sensde plus de liberté, de plus d’égalité, deplus de fraternité, de plus de solidaritéaussi. Je crois beaucoup à ce travail deproximité et de partenariat.J’ai encore constaté aujourd’hui une mobilisationexceptionnelle de notre rive droitelors de la “journée de lutte contre les discriminationspour l’accès à l’emploi et à la formation”.Ces discriminations sont une réalité que personne ne peutcontester : il est plus difficile d’accéder à un travail ou à unstage pour une personne qui s’appelle Abdallah ou Malika.Par une action de conviction, de mobilisation, on peut amenerpeu à peu les acteurs de l’économie, des services publics,des associations à lutter contre ce fléau.>L.A. : Qu’attendez-vous de l’Etat ?J.T. : Trop souvent, la loi de la République n’est pas respectée: des employeurs pratiquent impunément la discriminationà l’embauche, des communes ne respectent pas les 20%minimums de logements sociaux, des jeunes dégradent… Ilfaut que la loi soit respectée par tous.Lorsque la loi est votée, elle s’applique à tous et pour tous.L’Etat connaît ses compétences. C’est à lui qu’il revient d’instituerle respect de la loi, à lui de faire régner l’ordre républicain,avec des méthodes républicaines. Qu’il assume sonrôle sans pour cela provoquer des déferlantesterribles sur nos banlieues.“Nous essayons à <strong>Lormont</strong>d’ouvrir des perspectivesaux jeunes.”Résidence Victor HugoPiscine municipale>L.A. : 2006 se profile. Qu’avez-vous envie desouhaiter aux <strong>Lormont</strong>ais ?J.T. : D’abord, je souhaite à chacun et à chacune d’accéderau bonheur intime, même si je sais qu’il est plus facile àapprocher quand on a la chance de bénéficier de bonnesconditions de vie.Ce que je souhaite à <strong>Lormont</strong>, c’est depouvoir continuer dans la voie danslaquelle on s’est engagé. Notre ville estvraiment une ville de projets, dans tousles domaines de la vie, qui a la chanced’avoir des objectifs à court, moyen etlong terme : éducation avec les nouvellesécoles, logement avec le renouvellement urbain, transportsavec la phase 2 du tramway, développement durable avecl’agenda 21… toutes les orientations de la politique de laville donnent aux <strong>Lormont</strong>ais la possibilité de s’engager dansle projet de ville.


93 ANSEntouré de ses plus fidèlesamis et compagnons deroute, Jean Borie a fêté ses93 ans à la résidence pourpersonnes âgées VictorHugo. Une nouvelle annéepour cette figureemblématique de <strong>Lormont</strong>dont on ne peut oublierl’engagement actif dansl’animation de la vie localeet plus particulièrementauprès du 3 ème âge.AGENCE POUR L’EMPLOI :UNE NOUVELLE DIRECTRICEIsabelle Barsacq assuredepuis début novembre ladirection de l’agence localepour l’emploi de <strong>Lormont</strong>.Cette jeune femme de 35ans, qui occupait un postesimilaire à Blaye, sesatisfait de poursuivre sacarrière en zone urbaine :“L’agence de <strong>Lormont</strong> netraite que les métiers dubâtiment, un secteur porteurd’emplois, explique-t-elle.De plus, le partenariat estriche et permet un réeltravail en faveur del’insertion.”`CONTRE LESDISCRIMINATIONSLe colloque intitulé " Elus etvilles mobilisés contre lesdiscriminations ethnoraciales,pour l’accès detous à l’emploi et à la formation" a rassemblé aulycée Elie Faure de <strong>Lormont</strong>une centaine d’acteurs. Larive-droite fait figure de sitepilote en la matière, notammentpar son engagementdans un Plan territorial deprévention et de lutte contreles discriminations sur lemarché du travail. Et mêmesi la lutte n’en est qu’à sesbalbutiements, ce n’est quepar l’implication et l’exemplaritéde chacun desacteurs de la ville que latendance pourra s’inverser.L’ AME SLAVE : UNE PASSION PARTAGÉ E>Créée il y a moinsde deux ans, l’associationl’Ame slavecompte aujourd’huiplus de cinquanteadhérents, unis par unmême sens de la fête.L’association se prépared’ailleurs à célébrerla nouvelle année avecles nombreux amateursde culture slaveque compte l’agglomérationbordelaise.Les festivités s’ouvrirontle 13 janvier enprésence de l’écrivainrusse VladimirFedorovski, au cours d’une soirée culturelle où il présentera son nouveau roman “Paris - SaintPetersbourg. Une grand histoire d’amour”. Accueil musical et toast assuré !Quelques trois cents personnes sont attendues le lendemain, toujours à l’invitation de l’Ameslave, pour un dîner musical, folklorique et dansant parrainé par le romancier. Les Poupéesrusses (danseuses traditionnelles) assureront le spectacle tandis que les musiciens du groupeDavaï évolueront de tables en tables, où seront évidemment servis des spécialités russes.Prochain rendez-vous avec l’Ame Slave le 8 mars accueillera le groupe Triade pour la “Fêtede la Femme”.Rencontre avec Vladimir Fedorovski : le 13 janvier à 20h, Espace culturel duBois fleuri. Dîner slave : le 14 janvier à 20h, salle Brassens.Infos et réservation : 06 07 94 23 79MES VIEUX APPAREILS ÉLECTRIQUES, J’EN FAIS QUOI ?>Jeter un équipement électrique ouélectronique n'est plus un acte anodin.En effet, leur élimination estaujourd'hui strictement encadrée parla réglementation. Il n’est donc pluspossible d’abandonner ses déchetsd’équipements électriques et électroniquessur les trottoirs aux côtésd’autres encombrants, encore moinsde les jeter avec les ordures ménagères.Ces déchets, contenant dessubstances toxiques telles que leplomb ou le mercure, sont dangereux et doivent désormais être collectés et traités demanière spécifique.Que faire alors de son aspirateur hors d’usage, de sa vieille télé ou de sa carcasse d’ordinateur? D’abord, sachez que les distributeurs d'équipements ont l'obligation de vous proposerla reprise de votre équipement usagé, lors de l'achat d'un équipement neuf du même type. Lasolution la plus pratique et la plus éco-citoyenne consiste à déposer ses appareils à la déchetteriede Bassens, qui les recycle.Déchetterie de Bassens, rue Franklin - Tél. 05 56 38 32 46Service gratuit 7 jours sur 7 (sauf jours fériés) de 9h à 12h30 et de 13h15 à 18hSe munir au préalable du macaron d’accès, à retirer à l’accueil de la Mairie.6 7LA BOXE SE CONJUGUE AUSSI AU FÉ MININForte d’une vingtaine d’adhérentes, la section boxe anglaisedu Foyer populaire ouvre un créneau réservé aux filles.>A sa création en 1997, la section boxe anglaise du Foyerpopulaire de <strong>Lormont</strong>, comptait déjà quelques filles dont certainesse sont distinguées en championnat de France. En2004, 40% des effectifs de la section étaient féminins. Face àcet intérêt des femmes pour la boxe, Himed Herzi, entraîneur,a eu l’idée de créer un créneau spécial, élargi à la pratiqueloisirs. Depuis septembre, la boxe anglaise féminine est ainsiproposée à la Maison des Sports <strong>Lormont</strong>-Les Iris les mardi etjeudi soir. Aux côtés de jeunes femmes désireuses d’acquérirune excellente condition physique, évoluent quelques sportivesdéjà bien entraînées. Parmi elles, Elorrie, une jeune floiracaisede 18 ans qui à de l’énergie à revendre. Championnede France 2005 en full contact (dans la catégorie des moinsde 18 ans), la boxe est pour elle un nouveau challenge. “J’aibesoin de me défouler, d’évacuer mon énergie et mon agressivité,explique Elorrie. La boxe me fait beaucoup de bien et,LES RESTOS DU CŒUR ROUVERTSL’équipe lormontaise des Restos du cœur répond aux besoinsde nécessiteux toujours aussi nombreux. “Nous avons beaucoupde nouveaux inscrits, beaucoup de mamans isolées et depersonnes avec très peu ou pas du tout de revenus” expliqueDanielle Robert, présidente des restos à <strong>Lormont</strong>. L’équipes’interroge sur le devenir de nombreux habitués avec qui ellea perdu le contact pendant l’été et qui ne sont pas (encore)venus s’inscrire. Si, comme c’est hélas probable, ces personnessont encore dans le besoin, les Restos du cœur de<strong>Lormont</strong> devront, à l’instar des autres Restos de la Rivedroite, composer avec une forte hausse des demandes.Tout l’hiver, Danielle et ses 35 bénévoles apporteront une aideChampionne d’Aquitaine sénior des moins de57 kg, Elorrie disputera les championnats deFrance de boxe anglaise.après un entraînement, je me sens détendue”. Le sport est sonseul loisir auquel elle sacrifie tout son temps (après le travailscolaire). “Mon objectif c’est de combattre en boxe amateuret de gagner. C’est aussi d’atteindre le plus haut niveau etd’évoluer en équipe de France.“ Dotée d’un mental d’acier,Elorrie enchaîne les entraînements, espérant parvenir assezvite à la compétition. Elle travaille sa force physique qu’elleassocie à une bonne hygiène de vie. Car la boxe, c’est unediscipline au quotidien, une véritable école de rigueur, devolonté et de courage. Pratiquée en loisirs, c’est une disciplinetrès complète et parfaitement adaptée aux femmes quisouhaitent joliment s’entretenir tout en se débarrassant dustress de la vie quotidienne !Renseignements : Foyer populaire Tél. 06 71 53 61 67alimentaire mais aussi (et peut-être surtout) un soutien humainà plus de 70 familles en grande difficulté car c’est aussi del’attention et duréconfort que lesbénéficiaires viennentchercher et trouventaux Restos du cœur.Infos :Restos du cœur.Tél. 05 56 06 98 15


89UNE ASSOCIATION AVERTIE EN VAUT DEUX>Le monde associatif est ouvert à tous :il suffit d’être deux et d’avoir un projetcommun pour créer son association. Iln’en reste pas moins qu’une associationest une personne morale, avec des droitset des devoirs que ses dirigeants ne peuventse permettre d’ignorer.Forte de ce constat, la Fédération descomités de quartier de <strong>Lormont</strong> a mis enplace cet automne une première soiréed’information. Le CLAP est ainsi intervenuauprès d’une dizaine de <strong>Lormont</strong>ais quiavaient manifesté leur désir de s’investirdans la vie associative locale.Les participants ont appris que toute associationdéclarée a, entre autre, l’obligationde tenir un “registre spécial” surlequel doivent être consignées toutesmodifications de sa direction ou de sesstatuts. Egalement sensibilisés à la rigueur nécessaire dans latenue des comptes, les participants ont souhaité bénéficierprochainement d’une formation aux pratiques comptables. Laquestion des assurances devrait également faire l’objet d’unesession d’information.La Ville, à travers son nouveau Centre ressources associatif estégalement à la disposition des associations loi 1901 pour lesconseiller dans leur fonctionnement interne.SOUPLESSE, TONICITÉ , BIEN-Ê TREInfos :- Fédération des comités de quartier (Espace citoyenGénicart) Tél : 05 56 06 41 95- CLAP Sud-Ouest (comité de liaison des acteurs de lapromotion) Tél : 05 57 01 56 90- Centre ressources associatif (Espace citoyen Génicart)Tél : 05 56 06 60 40>Chaque lundi depuis deux ans, une quinzaine de seniors se retrouventà la Résidence pour personnes âgées “Victor Hugo” pour uneséance de gymnastique douce. “Enjamber un obstacle dans la rue ourenouer ses cheveux sont des gestes simples. Ils nécessitent cependantune certaine souplesse articulaire. Les ateliers Gym douce aident lesparticipantes à conserver souplesse et tonicité pour rester autonomesau quotidien”, explique Catherine Peltier, animatrice en charge del’activité.La moitié des participantes ne réside pas à la RPA. “Ces ateliers sontaussi l’occasion de rencontre et d’échanges appréciées, à un âge oùbeaucoup sont guettées par l’isolement”, insiste l’animatrice.Effectivement, une solidarité, une complicité même, s’est développéeentre ces dames qui, ensemble, retrouvent le courage de sortir de chezelles.Mise en place par le Centre communal d’action sociale de la Ville de<strong>Lormont</strong> en partenariat et avec la FFEPGV*, l’activité “Gym douce” secomplète de séances mensuelles “Corps - mémoire”, associant pratiquephysique et intellectuelle. A noter que des ateliers spécifiques“Prévention des chutes” seront mis en place début 2006 en partenariatavec la Caisse régionale d’assurance maladie d’Aquitaine et lecomité régional de la FFEPGV.Infos : Centre communal d’action sociale (Espace Montaigne).Tél : 05 57 77 63 60*Fédération française de d’éducation physique et de gymnastique volontaire.UN MUSÉ E NATIONAL DÉ DIÉÀ LA PROTECTION SOCIALE<strong>Lormont</strong> met en avant ses musées !Après le musée des Amis du vieux<strong>Lormont</strong> (Trouvailles archéologiques,histoire classique et moderne, marineet pêche) situé au cœur du bourg ancienet déjà bien connu, il vous reste peutêtreencore à découvrir le Muséenational de l’Assurance maladie…Musée national de la Sécurité sociale8 route de Carbon-Blanc à <strong>Lormont</strong>Ouverture du lundi au vendredi de14h à 18h. Groupes (20 personnes)sur réservation.Visite guidée gratuite.Accès handicapés.Infos : 05 56 06 19 88>Lieu unique en France de conservation du patrimoine retraçant l'histoire de la protectionsociale, ce musée a pris place il y a 15 ans dans le magnifique château Les LauriersDe la charité et de la bienfaisance à l’apparition de la Mutualité, des premières assurancessociales au développement de la Sécurité sociale, le musée apporte une dimension historiqueà cette conquête exemplaire, à travers 9 salles d'exposition. A découvrir notamment : lareconstitution d'un centre de paiement des années 50, une histoire de la médecine ou encorela "salle des machines", des calculatrices manuelles aux premiers ordinateurs.Conçu comme un véritable outil pédagogique, ce musée permet de sensibiliser les jeunesd'aujourd'hui, assurés sociaux de demain, aux atouts et aux enjeux de notre système de protectionsociale. Il rappelle aussi de nombreux souvenirs aux anciens, grâce à des imprimés,manuscrits, matériels et mobiliers qui témoignent des grandes étapes de la construction de laSécurité sociale. C'est un lieu ouvert à tous les curieux !MIEUX VIVRE EN FAISANTDES ÉCONOMIES D’ÉNERGIEParce qu’en matièred’énergie et de ressources,il n’y a pas de petiteséconomies, l’antenne localede la CLCV (consommation,logement et cadre de vie) semobilise pour sensibiliser lesconsommateurs auxéconomies d’énergie.Une première réuniond’information étaitrécemment organisée pourinformer individuellement leslocataires et les propriétairessur l’intérêt de diminuer leurconsommation domestique.D’autres actions auront lieuen 2006.Infos : CLCV 05 56 06 65 27DES COLLÉGIENSRÉCOMPENSÉSSoixante-dix jeunes de 3 èmedu collège Montaigne ontobtenu cette année le brevetdes collèges ou le certificatde formation générale. Pourla première fois, le collègeMontaigne a souhaitéorganiser une manifestationamicale de remise desdiplômes en présence desparents et des enseignants“Il s’agit de donner del’importance à ce premierdiplôme scolaire et devaloriser les élèves et leurtravail”, expliquait à cetteoccasion Didier Arnous, leprincipal. Félicitations auxjeunes diplômés.


PASSPARTOOInstallée quai ChaigneauBichon à <strong>Lormont</strong>, la sociétéPasspartoo propose unelarge gamme de véhiculesconfortables avecchauffeurs professionnels.Pour vos voyages d’affaires,vos vacances ou simplementvos petits déplacements seulou en groupe, Passpartooest une alternative sûre etéconomique aux transportset déplacements surBordeaux et la région.Infos : Passpartoo, 11 quaiChaigneau Bichon à <strong>Lormont</strong>Tél. 05 57 80 19 64ou 06 18 35 04 98MULTI MAXXI SERVICESMulti maxxi services est unesociété spécialisée dans lespetits travaux de bricolageet les travauxd’aménagement intérieur etextérieur nécessaires auxpersonnes âgées ethandicapées. Toutes lesinstallations proposéesrépondent aux normes envigueur.Infos : Multi maxxi services,rue Pierre Mendès Franceà <strong>Lormont</strong>Tél. 05 56 38 85 69SALON AQUIBATA l’occasion du salonAquibat qui se tiendra les22, 23 et 24 février 2006,l’ANPE Aquitaine vouspropose de participer au”Speed Bati”, une mise enrelation de demandeursd’emploi avec desentreprises qui recrutentdans le secteur du bâtiment.Les demandeurs d'emploiintéressés, qualifiés ou nonmais ayant un projetd’emploi dans le bâtiment,peuvent contacter leurANPE.RESTAURANTLe restaurant “La belleEpoque” situé avenue deParis, vous ouvre ses portesle midi du lundi au samediainsi que le mercredi, jeudiet samedi soir. Soirée àthème ou dansante levendredi soir. Une adressesympathique à découvrir.Infos : La belle Epoque,avenue de Paris à <strong>Lormont</strong>Tél. 05 56 31 65 11SHURGARD : LOUEUR D’ ESPACELa société Shurgard est un des grandsdu self-stockage avec plus de 600implantations dans le monde.Le groupe a choisi <strong>Lormont</strong> pour yinstaller une nouvelle unité.>Dans la zone industrielle des 4 Pavillons,en bordure de la route nationale 89, lephare Shurgard matérialise le nouvelemplacement du spécialiste mondial duself-stockage. Après Pessac et Mérignac, legroupe Shurgard Europe a trouvé à<strong>Lormont</strong> les conditions nécessaires à l’implantationd’une troisième unité dans l’agglomérationbordelaise. “La situation géographiqueexceptionnelle a été déterminante,explique Philippe Mouaici, directeurd’exploitation. Notre choix a également été guidé par l’expansion de la rive-droite et lespotentialités qui s’y dessinent”.Shurgard propose des solutions adaptées aux problèmes d’espace et de stockage des particulierscomme des professionnels. Le site de <strong>Lormont</strong>, réparti sur 5000 m 2 , offre 690 piècesde rangement privatif à louer, des pièces de 1 à 20m 2 , qui conjuguent les conditions idéalespour conserver tous les objets, cartons, meubles, outillage, archives... tout ce qui encombre.La durée de location est libre. L’accès aux pièces se fait grâce à un code confidentiel, 24h/24,7j/7.Ouvert depuis le mois de novembre, Shurgard compte déjà une quarantaine de clients,comme cette toulousaine qui s’installe à Bordeaux et trouve ici une solution temporaire pourentreposer son mobilier.Shurgard emploie 6 personnes et développe déjà plusieurs partenariats avec des professionnelsdu déménagement ou de la location de véhicules. Son implantation apporte un nouveaudynamisme à cette zone industrielle des 4 Pavillons appelée à se restructurer autour de nouvellesactivités, essentiellement tertiaires.Shurgard : ZI des 4 pavillons - 33310 <strong>Lormont</strong> - Tél. 05 56 28 80Courriel : lormont@shurgard.fr10EXERCICES D’ INCENDIE À CARRIETLes bâtiments désaffectés de Carriet, voués à la démolition, fournissent aux pompiers d’excellentsterrains d’entraînement et de formation.>Des fumées s’échappent d’un appartement du bâtiment 3,place Paulin de Nole à Carriet. Dehors, les sapeurs-pompierssont prêts à intervenir. Lances, grande échelle, camions, ilsont déployé tout le matériel nécessaire à la maîtrise desflammes. Loin du scénario catastrophe, ce feu est en fait unexercice destiné à la formation de jeunes officiers.Le groupement formation du Service départemental d’incendieet de secours de la Gironde (SDIS 33) organise en effetrégulièrement des stages de mise en situation au profit del’Ecole nationale supérieure des officiers de sapeurs-pompiersde Nainville les Roches. Cette fois-ci, les stagiaires sont unequinzaine à s’exercer en milieu urbain. Encadrés par despompiers professionnels chevronnés, ils apprennent à “lire”ledéveloppement du feu urbain, à comprendre le phénomènephysique pour anticiper sur son évolution, à déterminer l’emplacementdes véhicules ainsi que les points d’attaque.“Travailler en situation réelle est un avantage, déclare lemajor Denis Reneleau, organisateur de formations. Grâce àla bienveillance de la société Domofrance, qui met à la dispositiondu SDIS 33 ses locaux désaffectés avant qu’ils nesoient démolis, nous disposons de conditions idéales pourdispenser nos formations.” Tous les jeunes pompiers sont11donc allés ce jour là au cœur du brasier, en “immersion totale”comme ils disent, avec la chaleur et les bruits qui l’accompagnent.Tous ont vécu ce moment comme un exerciceexceptionnel, qui, pour certains d’entre eux, était une première.Au terme de leur formation, ils seront officiers titulaireset commanderont des équipes. Le combat contre le feu, quireprésente 10% des interventions des sapeurs-pompiers, restesans aucun doute l’une des missions les plus dangereuses etles plus spectaculaires. En 2004, les sapeurs-pompiers de laGironde ont effectué quelque 70.000 interventions et sauvéde très nombreuses vies.


SPORT ADAPTÉ :POUR L’INTÉGRATION DES HANDICAPÉS MENTAUXBasé à Bordeaux, le Comitégirondin de sport adaptéfacilite l’intégration socialeet la réalisation personnelledes déficients mentaux parla pratique sportive et lacompétition. Des liensétroits noués avec les clubspermettent à de plus enplus de sportifs handicapésde trouver leur place parmiles valides.12Reportage“Le sport n’est pas un but,c’est un moyen“ expliqueJean-Claude Ribert, présidentde la ligue aquitaine de sportadapté, “on s’occupe autantdu déficient qui a des performancesque de celui qui n’ena pas”. Si les déficients mentauxont besoin d’une attentionparticulière, d’un accompagnementpermanent, ils ontaussi besoin de trouver leurplace dans la société. Pour cela, poursuit Jean-ClaudeRibert, “ils doivent autant que possible partager les mêmesespaces et les mêmes heures d’entraînement que les valides.Cette volonté partagée avec les clubs permet au comité deproposer vingt pratiques différentes en aquitaine”.“On a beaucoup à apprendre de ces personnes, pour peuqu’on les accueille sans réticence. Elles ont notamment un trèsgrand respect de l’autre” ajoute Robert Arnoud, vice-présidentde la ligue aquitaine, président de l’association de sportsadaptés Alouette Bersol et père de Nathalie. Son expériencepersonnelle illustre tout le bénéfice de la pratique sportivechez les handicapés mentaux : “Pendant plus de 20 ans, mafille est restée enfermée dans son autisme. Le sport adapté,d’abord en natation puis en judo, nous a donné un terraind’échange, de partage. Il a permis à Nathalie de s’ouvrir àd’autres personnes, de gagner en autonomie, de prendre duplaisir. Nathalie va rejoindre la section judo du Club lormontaisdes arts martiaux d’ici peu, elle y partagera l’entraînementdes valides”.La Maison des sports <strong>Lormont</strong> les Iris vientd’accueillir 500 judokas handicapés mentauxà l’occasion des Championnats de France desport adapté. Médaillée d’or lors de ceschampionnats, Nathalie Arnoud (cercle photo)s’apprête à intégrer le Club lormontais desarts martiaux.Serge Champeymont, entraîneur au CLAM et éducateursportif en milieu spécialisé, attend l’arrivée de Nathalie sansappréhension : “Un autre jeune déficient mental est déjà bienintégré parmi les 180 judokas du CLAM. La section judocompte également une dizaine de pratiquants issus d’institutsthérapeutiques éducatifs et pédagogiques. Chacun a sa placeau club.”Infos :- Comité girondin de sport adapté.Tél. 05 56 00 99 70- A.S. Alouette Bersol (Pessac). Tél. : 05 56 40 25 15- Club lormontais des arts martiaux.Tél. 05 56 33 94 00Priorité à l’éducation !<strong>Lormont</strong> est classéedepuis 1983 en zoned’éducation prioritaire(ZEP). Le dispositif,piloté par l’Educationnationale, regroupel’ensemble desétablissementsscolaires, de lamaternelle au lycée,soit quelque 6000élèves. Mise en placepour rétablir l’égalitédes chances entreélèves, la ZEP permetle développement deprojets pédagogiquesinnovants adaptés auxbesoins des enfants.Basée sur unpartenariat étroit,soutenue par laMunicipalité, la ZEPde <strong>Lormont</strong> parvientdepuis plus de vingtans à créer unedynamique communeau service de laréussite scolaire.


Priorité à l’éducation ! Priorité à l’éducation !LORMONT : UNE ZEP QUI RÉ USSIT14ReportageAPPRENDRE À LIRE15ReportageAprès plus de 20 ans de fonctionnement,l’efficacité desZEP en général est contestée.Une enquête de l’Insee en2005 montre que les moyensaccordés aux ZEP, bien qu’importants,n’ont pas été à lahauteur des objectifs et desambitions. Pourtant, à l’échellelocale, les acteurs s’accordentpour pointer les réussites.>A <strong>Lormont</strong>, 90% des elèves*sont scolarisés en zone d’éducationprioritaire. A défaut depouvoir affirmer que la ZEPrétablit l’égalité des chancesentre les élèves, on peut direqu’elle atteint de bons résultats.La ZEP de <strong>Lormont</strong> est une ZEPà taille humaine. Le lycée ElieFaure en est le pivot aux côtésEcole élémentaire Condorcet,classe de CE2des écoles élémentaires et maternelles, des deux collèges etdu lycée professionnel. Elle s’appuie sur deux enseignantscoordinateurs qui en assure l’animation et bénéficie du soutienattentif de l’Education nationale au travers de l’inspectionacadémique. Une cohérence d’ensemble est recherchée dansles projets mis en place avec une priorité sur les apprentissagesfondamentaux, en particulier la maîtrise de la langue.A <strong>Lormont</strong>, le partenariat est exemplaire, avec la municipalitéqui investit beaucoup dans l’éducation et soutient activementles projets, mais aussi avec les associations et autresCoordonnateurs ZEPMarielle et Stéphane sont les deux enseignantscoordonnateurs de la Zone d’éducation prioritaire. C’est laseule ZEP en Gironde à disposer de 2 personnes pour assurerl’animation et la coordination.“Notre mission c’est coordonner, animer, susciter, faire le lienet soutenir. Nous avons beaucoup de plaisir à travailler ici. Letravail est constructif, les propositions sont riches et variées, ily a un réel esprit et solidarité d’équipe entre les enseignants,soutenu par une mobilisation locale. On se sent ensemble etles enfants viennent avec plaisir à l’école.”institutions : centre médico-social, Maison de la Justice et duDroit, …Si en dépit de la fragilité des équilibres, la ZEP de <strong>Lormont</strong> estune ZEP qui réussit, c’est avant tout le résultat d’un long travailcollectif cohérent et précis, le travail d’acteurs solidaires,décidés, motivés par une ambition partagée : la réussite desélèves.* seul le lycée régional Les Iris est hors périmètre ZEPApprendre à lire est l’undes objectifs essentielsdes premières années descolarisation, un élémentdéterminant dans la réussitede toute scolarité.Favoriser l’apprentissagede la lecture, c’est l’undes enjeux majeurs de laZone d’éducation prioritairede <strong>Lormont</strong>.MATERNELLE ELIE FAURE :FAIRE RENTRER LE LIVRE À LA MAISONCondorcet : John et Noémie (haut)Ecole maternelle Elie Faure :Maëylis et sa maman (gauche)>A l’école Elie Faure, les enfants commencent à s’intéresserà la lecture dès la petite section. L’objectif est de faire découvrirdes livres aux enfants en impliquant les parents. Chaqueenfant emmène à la maison des ouvrages qu’ils manipulentet découvrent avec leurs parents. Les livres reprennent ensuitele chemin de l’école, accompagnés d’une fiche d’appréciationque les parents sont invités à remplir. Les différenteslectures donnent lieu à des activités artistiques en classe.L’action aboutit en fin d’année à une exposition et le livre préférédes enfants et des parents obtient un prix. “Beaucoup deparents pensent qu’en maternelle les enfants sont trop petitspour les livres. Or, il est essentiel de développer dès le plusjeune âge des conditions de fréquentation du livre et de l’écritcomme il est essentiel d’expliquer aux parents le rôle qu’ilsont à jouer dans ce domaine.” explique Marion Spariat,directrice de l’école.ELÉ MENTAIRE CONDORCET :TUTORAT LECTURE>Depuis 5 ans, l’école élémentaire Condorcet met en placeun tutorat lecture entre les élèves de CE2 et les enfants demoyenne et de grande section de l’école maternelleCondorcet. Le dispositif est simple : chaque enfant de CE2choisit un album dont il prépare la lecture pour un “petit” dematernelle, d’abord à la maison, puis en classe sous formed’ateliers. Pour les élèves tuteurs, l’action donne lieu à untravail complet sur la maîtrise de la langue orale et écrite.Pour les petits de maternelle, c’est une invitation à la lecture.Le tutorat favorise la coopération et l’échange de savoirsentre les élèves. Il crée un contexte stimulant de communicationet d'expression orale et écrite, valorise le travail desgrands et suscite la curiosité chez les petits.


Priorité à l’éducation !1617PROFIL SPORTTROIS ARTISTES AU CŒUR DE LA ZEP>Depuis trois ans les éducateurs sportifs de laVille assurent le suivi de l’ensemble des écoliersscolarisés à <strong>Lormont</strong> (CE2, CM1 & CM2) grâceà un livret baptisé “Profil sport”. Les éducateursmunicipaux y évaluent l’intérêt, les aptitudes etle comportement des enfants pour chacun dessports auxquels ils les initient lors des activitésscolaires et périscolaires.“Profil Sport” accompagne les jeunes tout aulong de leurs années collège. Les éducateurssportifs de la Ville retrouvent leurs anciensélèves pour un point sur leurs pratiques sportives,y compris associatives. Ces échanges permettentd’orienter judicieusement les jeunes versles clubs et les activités municipales qui correspondentle mieux à leurs attentes. “Profil sport”a enfin le mérited’atténuer la rupture entre école et collège en assurant,dans la durée, un lien entre des jeunes en pleine adolescenceet des éducateurs qu’ils connaissent bien.RENCONTRE AVEC MARION BELLAGARDE”C’est une chance de travailleren ZEP, les conditions de travaily sont intéressantes et les possibilitéstrès nombreuses. La multitudedes projets, qu’ils soientculturels ou sportifs, est unmoyen d’ouvrir l’école sur l’extérieur,de donner une impulsionsupplémentaire à la classe.Cette année, nous avons choiside travailler autour des spectaclesde l’association Culture etPartage, du Festival de laMarion Bellagarde enseigne à BD, de l’action école etl’école Albert Camus en classe cinéma et de développerde CP. C’est sa deuxième une correspondance avecannée en ZEP.une école du Blayais.L’enseignement en ZEPn’est pas très différent del’enseignement ailleurs. La diversité culturelle des élèvesn’est pas un obstacle et la proportion d’enfants en difficultépas plus lourde. En revanche, le métier d’enseignantprend en ZEP toute sa dimension car il demande un investissementet une motivation autres, qui supposent de necompter ni son temps, ni son énergie” .Des maths autrementDepuis 3 ans, les élèves desixième du collège Montaignerencontrent les écoliers de CM1et de CM2 des écoles Pagnol etCamus pour se défier sur leterrain des mathématiques. Ledéfi maths est un outilpédagogique permettant d’appréhender les mathématiquesautrement. “Le défi maths est l'occasion de travailler engroupe. Cela favorise la cohésion de la classe et entraînel'implication de tous et de chacun, même de ceux pour quiles maths sont une difficulté”, explique Stéphanie Lagrange,professeur de mathématiques. Les élèves rivalisentd’imagination pour élaborer des énoncés qu’ils testent entreeux avant de les soumettre à leurs camarades. C’est euxégalement qui corrigent les résultats.Face au succès de cette action jusqu’ici limitée à quelquesétablissements, le Défi maths se généralise depuis cetteannée à l’ensemble de la ZEP.Choristes en herbeDans le cadre de la ZEP,une petite poignée d’enfantsse retrouve chaque lundi aprèsl’école pour chanter. “Le faiblenombre ne nous permet pas deparler de chorale, mais plutôtde petit ensemble vocal “,explique Julie Hosteins, professeur de formation musicale etde chant choral à l’Ecole municipale de musique de<strong>Lormont</strong>. Les enfants sont ici pour découvrir le chant. C’estaussi l’occasion pour eux de se sensibiliser à la musique.“La pratique du chant est plus accessible que celle d’uninstrument”. Cette heure de chant, où nous interprétons deschansons enfantines, est avant tout un moment de plaisir etde détente où l’on travaille la musicalité et la justesse”,ajoute Julie. La petite formation ne demande qu’à sedévelopper… pour devenir un jour la chorale d’enfantsqu’il manque à <strong>Lormont</strong>.Les élèves de toutes les écoles de <strong>Lormont</strong> (et certainscollégiens) bénéficient dans le cadre de la ZEP d’ateliersartistiques. Une pratique qui ouvre aux jeunes denouveaux horizons.>Claude Jacquemart, François Robert et Justine Adenissont respectivement sculpteur, peintre et vidéaste auCentre d’arts de la Ville. L’intervention d’artistes enmilieu scolaire est assez rare. Qu’ils soient mis à la dispositiondes écoles par une commune l’est davantage.Les artistes animent régulièrement des ateliers d’artsplastiques dans le cadre de “classes transplantées” auchâteau des Iris. Dès janvier, ils travailleront avec les élèvesde la maternelle Paul Fort sur la future école telle que lesenfants l’imaginent. Avec d’autres écoles, des ateliers sontégalement programmés dans la perspective du prochain festivalde bandes dessinées.Les enfants préparent avec Claude des œuvres monumentales,destinées à être exposées dans la ville. En prolongementdu “Prix lecture” de la ZEP, les jeunes réalisent avec Justinedes courts métrages documentaires ou d’animation. Lesélèves de 3 ème SEGPA, enfin, reçoivent François à la menuiseriedu collège Lapierre, où ils réalisent des décors dethéâtre.LA PAUSE CARTABLE>Depuis septembre, le centre socialet culturel Génicart propose, en partenariatavec la Ville de <strong>Lormont</strong>, unaccompagnement à la scolarité pourles élèves des écoles Romain Rolland.Cette action qui se déroule chaquesoir après l’école accueille plus d’unecentaine d’enfants et mobilise dixanimateurs. “L'accompagnement à lascolarité fait le lien entre l'école et lafamille qui n'a pas toujours le tempsni les moyens d'aider l'enfant. C'estune passerelle entre l'école et la maison”,explique Muriel, coordinatrice.Ce temps après l’école ne se limite pas à la réalisation desdevoirs. Il s’agit aussi de donner à l’enfant les moyens de sonautonomie, de le valoriser dans son travail et de l’aider à s’organiser.Cela passe par l'aide aux devoirs, mais aussi par desjeux, des animations ou de simples discussions.Les parents apprécient cette aide. Ils y sont associés au maximumet sont même invités à participer à la séance du vendredi.L’objectif est de leur donner confiance pour qu’ils prennentle relais et s’impliquent davantage dans la scolarité de leurenfant.Autant d’ateliers qui contrastent, dans un monde éducatif trèscentré sur l’écoute, par l’importance donnée au regard.La sensibilisation aux arts plastiques développe aussi lescapacités d’expression manuelle, peu enseignée par ailleurs.“ OBJECTIF : SCIENCES PO”Deux bachelières du lycéeElie Faure viennent d’intégrerSciences Po Bordeaux, grâceà leur sérieux et au dispositif“Objectif Sciences Po”. Enréduisant les droits deconcours et en familiarisantces lycéens aux exigences del’Institut “une voie d’accèsoriginale a été trouvée quiévite la discrimination, mêmepositive”.Information en classe et rencontre sur site avec les professeurset étudiants de l’Institut ont achevé de motiver treize lycéens.Camille témoigne : “J’ai découvert Sciences Po lors de laréunion d’information. Sans elle, jamais je n’aurais eu l’idéede me présenter “. Fanny poursuit : “Cours intensifs de culturegénérale et concours blanc pendant les vacances dePâques nous ont permis d’intégrer les contraintes spécifiquesà cette épreuve”.Bilan : deux admises sur treize candidats, soit un taux deréussite trois fois supérieur à la moyenne. Toutes nos félicitationsà Fanny Forest et à Camille Woehrle, pour leur intégrationet aussi pour le modèle de réussite qu’elles offrent auxjeunes lycéens. Les deux étudiantes sont bien décidées àassumer leur rôle de marraines auprès des lycéens désireuxde suivre leurs traces. Francine Burlaud, diplômée deSciences Po et professeur au lycée Elie Faure à l’origine dupartenariat, a déjà entrepris le recrutement des candidats2006. Elle compte bien étoffer dès cette année la formationpréparatoire, afin d’augmenter encore les chances des jeunesde <strong>Lormont</strong>.


BIENVENUE AUXNOUVEAUX LORMONTAISLes nouveaux habitants de<strong>Lormont</strong> sont attendus le 24janvier à 18h30 au collègeMontaigne (rue Montaigne)pour une soirée conviviale.Après une présentationvidéo de la ville et la remised’une valisette de documentation,les participants pourrontinterroger le Maire etson équipe sur tout ce quifait la vie à <strong>Lormont</strong>. La discussionse prolongera demanière informelle autourd’un buffet campagnard.Infos et inscriptions : ServiceParticipation des habitants.Tél. 05 56 33 27 45.CANCER DU SEIN :AIDONS LE DÉPISTAGE29% des <strong>Lormont</strong>aises invitéesont jusqu’ici participéau dépistage organisé parl’Agidéca. Le chiffre est tropfaible en regard des objectifsà atteindre et du nombre defemmes que cette démarchede santé publique concerne.La dernière réunion d’informationorganisée par la Villede <strong>Lormont</strong> et l’Agidéca n’arassemblé que trop peu defemmes et d’acteurs médicosociaux.Le dépistage précoceest pourtant un facteuressentiel dans le traitementde cette maladie. Seule lamobilisation de tous pourrelayer l’information auprèsdu public féminin augmenterales chances de faire reculerle nombre de victimes.Infos : AgidécaTél. 05 57 29 14 60BALCONS ET JARDINSFLEURISComme chaque année, laVille a récompensé lesauteurs des plus beaux balconset jardins fleuris de laVille. 1 er prix des balconsfleuris 2005 : M. PaulDoulcet ; 1er prix des jardinsfleuris 2005 : Mme PauleCamilleri. Merci aux vingtprimés de cette année pourleur contribution à l’embellissementde <strong>Lormont</strong>.RENDEZ-VOUS DE FILLES18>Avec l’opération “Sport cool filles”, la Villerépond aux souhaits des jeunes filles enmatière de pratiques sportives de loisirs,équilibrant ainsi l’offre d’activités offerte auxgarçons et aux filles de la commune.Les jeunes <strong>Lormont</strong>aises sont de plus en plusnombreuses à rejoindre chaque lundi la salleGeorges Brassens pour s’adonner au foot, auhand, au volley, au basket et au badminton.“Sport cool filles” existe depuis quatre ansdéjà et réunit des filles âgées de 11 à 22 ans,de tous les quartiers. Hors de toute compétition,les participantes parviennent sans difficultéà jouer ensemble malgré l’importantedifférence d’âge.Vrai rendez-vous sportif, “Sport cool filles”estaussi un temps de rencontres entre filles,générateur d’échanges et de projets culturels.Une partie des participantes est ainsi allée àla découverte de Paris au cours de l’été dernier,un autre groupe devrait s’y rendre pendantles vacances de Noël.Info : “Sport cool filles” :service jeunesse et sport.Tél. 05 57 77 31 50SKI : GOURETTE EN FÉVRIERDans le cadre des vacances sportives,la Ville de <strong>Lormont</strong> organise du 6 au 11février 2006, un camp ski à Gourette(Pyrénées atlantiques) pour les 11/16ans. Ski de fond, ski de piste, raquettes,snow board seront au programme decette semaine au grand air.Inscriptions à compter du 3 janvier 2006auprès du service Jeunesse et Sports :Tél. 05 57 77 31 50.UN PREMIER PAS VERS UNE POLICE DE PROXIMITÉNantie de moyens nouveaux,la police municipale de <strong>Lormont</strong> joue la carte du dialogue.>En ville, la sécurité des biens et des personnesest l’affaire de tous. La Police municipale,créée à l'initiative du Maire, dépend deson autorité. Ses missions relèvent de lapolice administrative, de la sécurité et del'assistance.Composée de 5 policiers municipaux, donttrois viennent récemment d’être recrutés(parmi lesquels une jeune femme), l’équipeest chargée d’assurer la surveillance de lavoie publique, le respect de l’ordre, la sécurité,la tranquillité et la salubrité publiquesainsi que le respect des décisions et arrêtésdu maire. Contrairement aux agents de laPolice nationale, les policiers municipaux nesont pas armés et n’ont de compétence quesur le territoire communal.En renforçant ses effectifs et en la dotant demoyens matériels supplémentaires, le Mairesouhaite réorienter l’action de la Police municipalesur des missions de prévention et d’îlotage: un premier pas dans la création d’uneGRAND TRESSAN :LE POINT ANIMATION RÉ OUVERTLa Ville de <strong>Lormont</strong> vientd’ouvrir une nouvelle structured’animation au GrandTressan pour les jeunes duquartier. Ces derniers travaillentsur un projet afind’assurer à terme une partiede l’animation aux côtés desanimateurs municipaux.Accompagnement scolaire,soirées, réalisation de projetsindividuels … les idées sontnombreuses pour faire decette structure très attendueun véritable lieu de vie.Infos : Service jeunesseet sports. Tél. 05 57 77 60 20police de proximité. “Nous souhaitons nousorienter vers une équipe de police qui sillonneles rues, qui aille à la rencontre des habitantset devienne un interlocuteur privilégiéentre l’administration municipale et les quartiers”,explique Pierrette Dupart, adjointe aumaire déléguée à la sécurité.Depuis début novembre, les policiers municipauxpassent une partie de leur journée àarpenter les rues et à se faire connaître :“Nous sommes une police de dialogue etd’écoute, pas une police de répression”explique Virginie Louis, gardien principal. Siles évènements de ces dernières semainescompliquent leur tâche auprès des jeunes, laprésence des policiers municipaux dans lesquartiers reste néanmoins rassurante pourune grande partie de la population. “Letemps et un long travail de terrain permettrontsans doute de renouer un dialogueconstructif et de restaurer la confiance avecles jeunes”, conclue collégialement l’équipe.19LA VILLE S’ILLUMINE> Quelques 220 décorsilluminent la ville depuisdébut décembre. Parmi eux,de nouveaux motifs placéssur le parcours du tramway :sapins blancs sur les stationset giratoires, sapins rougessur le reste du parcours, c’esttoute une forêt de lumièrequi accompagne ainsi lesusagers du tramway, piétonset automobilistes tout aulong de cet axe phare de lacommune.Les quartiers ne sont pasoubliés et profitent selon unerotation étudiée des décorationsdéjà en possession dela commune, comme lesmotifs étoilés aux abords dutramway.A noter enfin le renouvellementdes illuminationsd’arbres jusque sur le nouveauparvis du château desIris.


2021Espace d’expression des groupes politiques conformémentà la loi du 27 Février 2002PS ET APPARENTÉ SLCRPrésident :Alain MoncassinPrésidents :Jean-Claude Feugas2006 une année durable pour notre commune Urgence sociale et démocratique !>La municipalité s’est engagéeen mai 2005 dans unedémarche d’Agenda 21,c'est-à-dire qu'elle s'est engagéeà inclure dans chacun deses actes une réflexion sur lesmoyens à mettre en œuvrepour participer à la préservationde la planète. C'est améliorerle tri sélectif, c'estconstruire en respectant la“haute qualité environnementale”avec des matériaux recyclablespar exemple.Respectueux de l’environnementet du cadre de vie dechacun, nous nous sommesengagés à œuvrer pour ledéveloppement durable.L’année 2006 sera ainsi laconcrétisation de notre engagementdans ce domaine, quitouche toutes les composantesPC ET APPARENTÉ Sde la vie quotidienne : le logement,dont les démolitionsreconstructions doivent nouspermettre d’offrir un meilleurconfort de vie à nombred’entre vous, l’environnement,symbolisé à <strong>Lormont</strong> par larequalification du Parc del’Ermitage ancienne fricheindustrielle, les servicespublics, avec l’ouverture denotre Espace citoyen, ladémocratie participative pourlaquelle la Fédération descomités de quartier nousapporte tout son soutien,l’éducation, avec le début destravaux des deux pôles éducatifsde Carriet, sans oublierbien entendu, la culture autravers de notre projet demédiathèque. C'est aussi etsurtout la santé, qui parceL’autonomie financière des communes encore mise à malqu'elle est au cœur des préoccupationsde chacun, parcequ'elle est bien plus que lesimple accès aux soins seplace au centre du dispositifAgenda 21.C’est un projet ambitieux quenous comptons mener à bienavec la participation du plusgrand nombre. Comme cela aété fait par le Conseil généralsous l'impulsion de PhilippeMadrelle (avec l'organisationà <strong>Lormont</strong> d'un forum Agenda21 départemental auquelvous avez répondu nombreux),nous viendrons versvous pour, ensemble, construirecet agenda et œuvrer pourle mieux vivre ensemble à<strong>Lormont</strong>.Président :Laurent DelagePrésidente :Béatrice Charriautlormontavenir@tiscali.fr>La révolte de la jeunessedes banlieues s’est étendue,nourrie par les provocationsde Sarkozy. Ces jeunes setrompent de cible en s’en prenantà des biens collectifs.Mais leur désarroi révèlel’ampleur des attaques que lemonde du travail a subiesdepuis 20 ans de la part desgouvernements successifs, enLORMONT AVENIRparticulier dans ces quartierspopulaires où le chômageatteint les 40 % !Le gouvernement vient defaire voter l’état d’urgencepour 3 mois, loi datant de laguerre d’Algérie qui permet àun Préfet d’interdire les manifestations,les réunionspubliques, contrôler la presse.Ce gouvernement ne connaîtLes événements récents qui ont marqué la France>et les esprits sont le signede la nécessité à réagir fermementcontre les actes de délinquancecaractérisés contre laRépublique française, ses institutionset sa population.Le Groupe <strong>Lormont</strong> Avenirapporte tout son soutien àl’action menée par notreministre de l’Intérieur pour lalourde tâche que lui incombesa fonction afin de résorberdurablement cette crise sociale,là où d’autres ont échouéavant.Nous constatons que l’actionde Nicolas Sarkozy estemprunte de courage, deque la répression. Non à l’étatd’urgence policier ! Débattonsd’un plan d’urgence sociale(interdiction des licenciements,arrêts des privatisations,embauche massive dansles services publics,…) et decomment construire un mouvementd’ensemble pour l’imposer.ténacité et d’espoir pour ceuxqui vivent la dure réalité desquartiers difficiles.Il est clair, à ce jour, que lelaxisme et la démagogie n’ontplus de raison d’être enFrance.>L’actualité nationale, avecle problème des banlieues, adémontré la responsabilité del’Etat dans son manque desoutien sur des politiques : dela ville, de l’habitat, solidarité,emploi, éducation, justice,etc …Or la majorité de Droite UMPà l’Assemblée Nationale,vient d’adopter la loi desfinances 2006 qui est caractériséepar des décisions antisocialeset sécuritaires.Ce budget de la Nationrépond à des critères de fiscalitéultra libérale, à unelogique européenne de dumpingfiscal. La Droite baisseles impôts des riches, ceux desgrandes entreprises et desactionnaires et met directementen difficulté les ressourcesdes Collectivitéslocales.Alors que les Communesvoient leurs dotations nationaleset européennes diminuersensiblement, beaucoupd’Elus, notamment del’A.M.F.*, ont affirmé leur hostilitéà cette situation qui metles budgets locaux en difficulté,les obligeant à gérer destransferts massifs de chargesdans le cadre de la décentralisation,avec pour conséquencesune pression à labaisse de la dépense descommunes (donc au détrimentdes habitants) et des perspectivesd’aggravation desimpôts locaux.C’est pourquoi les élus sont enpremière ligne de l’affrontementpolitique et social. NotreGroupe veut prendre une partactive afin d’agir pour et avecles habitants, résister auxentreprises de la Droite, maisaussi pour proposer des solutionsalternatives.*A.M.F. Association des Mairesde FrancePrésidente :Christiane MarcGIRONDE MODERNETexte non communiquéPour prendre contact avec un groupe politique élu au Conseil municipal,vous pouvez déposer votre courrier en Mairie ou l’envoyer l’adresse suivante :M/Mme…, Groupe…, Hôtel de Ville - BP n°1 - rue André Dupin - 33305 <strong>Lormont</strong> cedex.


22ESPACE CITOYEN GÉNICARTL’Espace citoyen Génicart est ouvertau public le lundi de 8h30 à 19h, dumardi au jeudi de 8h30 à 12h30 et de13h30 à 18h et le vendredi de 8h30 à 12h30 et de 13h30à 17h. Cette nouvelle structure accueille les services sport,culture, enfance, petite enfance, prévention, le centre deressources associatif, le service facturation des restaurantsscolaires et l’équipe des correspondants de nuit.Espace citoyen Génicart : Esplanade François MitterrandTél. 05 57 77 60 20 / Fax. 05 57 77 60 21E.mail : espace.citoyen@ville-lormont.frETAT CIVIL ET ELECTIONSLe service Etat civil n’assurera pas de permanence lesweek-ends de Noël (samedi 24) et du Nouvel an (samedi31). Le service Elections sera cependant ouvert le 31décembre de 9h à 12h pour assurer les dernières inscriptions2005. Les personnes qui ne seront pas inscrites surles listes électorales avant la fin de cette année ne pourrontpas voter en 2006. Infos : 05 57 77 63 70.C.C.A.S.Les locaux du Centre communal d’action social de <strong>Lormont</strong>se situent désormais à l’Espace Montaigne, rueMontaigne. Téléphone inchangé : 05 57 77 63 60.VEILLE DE NUITLes correspondants de nuit de <strong>Lormont</strong> assurentune veille active du mardi au samedi, de 17hà minuit. Pour toute difficulté, vous pouvez lesjoindre au 05 57 77 30 35.DON DU SANGLa prochaine collecte de l’Etablissement français du sangaura lieu le mercredi 8 mars 2006 de 16h à 19h, salleAlbert Camus.RECENSEMENT MILITAIREFilles ou garçons, vous devez vous inscrire à la mairie devotre domicile, dès votre 16ème anniversaire ou dans les3 mois qui suivent. Munissez-vous d’une pièce d’identité,du livret de famille de vos parents et, le cas échéant, detout document justifiant de votre nationalité française. Uneattestation de recensement, valable jusqu’à votre 18èmeanniversaire, vous sera délivrée par la mairie. Vous devezla conserver. Ce recensement vous permettra de vous inscrireaux examens et concours (BAC, BEP, permis deconduire…), d’effectuer la Journée d’appel de préparationà la défense et si vous le souhaitez de prolonger cettejournée par un volontariat civil ou militaire.Infos : Centre du service national de BordeauxTél.05 57 85 12 44 - www.defense.gouv.frOBJETS ENCOMBRANTS :RESPECTEZ LES CONSIGNES !Le ramassage des objets encombrants s’effectue le 1 er mercredide chaque mois. Les prochaines collectes auront lieule 4 janvier, 1 er février et 1 er mars 2006. Pour faciliter lacollecte, les objets doivent être déposés surle trottoir la veille (mardi soir). Ce servicegratuit est réservé aux particuliers dans lalimite de 1m 3 par ménage. Il concerne lesdébris de jardin (branches rassemblées en fagots etdéchets de jardin en sacs), les objets encombrants (saufdébris de démolition, produits toxiques, pneus, batteries ethydrocarbures).ANCIENS COMBATTANTSLa section CATM-ACPG-TOE de <strong>Lormont</strong> informe lesanciens combattants des nouvelles dispositions concernantl’obtention de la carte du combattant. Désormais toutespersonnes ayant participé aux combats durant la guerred’Indochine pendant une période minimale de 4 mois,peuvent bénéficier des mêmes conditions que celles ayantparticipé aux guerres d’Algérie, Maroc et Tunisie.Infos : CATM Tél. 05 56 74 22 16RECENSEMENTDepuis janvier 2004, le comptage traditionnel organisétous les huit ou neuf ans est remplacé par des enquêtes derecensement annuelles. À partir du 19 janvier 2006, vousallez recevoir la visite d’un agent recenseur. Il sera identifiablegrâce à une carte officielle tricolore sur laquellefigurent sa photographie et la signature du maire. L’agentrecenseur déposera à votre domicile des documents àremplir ainsi qu’une notice d’information sur le recensementet sur les questions que vous pouvez vous poser. Sivous êtes souvent absent de votre domicile, vous pouvezconfier vos questionnaires remplis, sous enveloppe, à unvoisin qui les remettra à l’agent recenseur. Vous pouvezaussi les retourner directement à votre mairie ou à ladirection régionale de l’Insee. Participer au recensementest un acte civique. Aux termes de la loi du 7 juin 1951modifiée, c’est également une obligation.AIDE À DOMICILEVous avez besoin d’aide pour certains gestes quotidienstels que les repas, les travaux ménagers, l’accompagnement,la toilette… Adhap Services propose des prestationsadaptées aux personnes dépendantes et semi dépendantes.Spécialiste de l’aide à domicile 24h/24, AdhapServices apporte une réponse professionnelle personnaliséeet adaptée à bon nombre de situations.Infos : Adhap Services 140 route de Toulouse 33130 BèglesTél. 05 57 35 95 95MOINS DE PROSPECTUSDans le cadre du plan de prévention de la production dedéchets, le Ministère de l'écologie et du développementdurable met gratuitement à la disposition du public unautocollant à apposer sur sa boîte aux lettres. Il permet àchacun de manifester son souhait de ne pas recevoir lesprospectus, publicités ou journaux gratuits non adressés(exceptées les publications municipales !). Cet autocollantest à retirer à l’accueil de la mairie. Un geste simple quipermet de limiter les quantités de déchets à gérer !… et toujours plus d’infos locales sur www.ville-lormont.fr

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