Atelier 1 : Le baseball récréatif au Québec – Les ... - Publication Sports

Atelier 1 : Le baseball récréatif au Québec – Les prioritésPhilosophie :– Établir le principe de rotation en défensive à chaque frappeur à l’Atome B :- Outaouais : Trop difficile à gérer ;- Laurentides : Mettre un parent responsable des rotations. À partir de 10 ans, les jeunesont plus d’aptitudes. Ils peuvent ainsi jouer à différentes positions ;- Rive-Sud : Ça commence dès la sélection des entraîneurs. Remettre aux nouveauxentraîneurs, un schéma (tableau Excel) leur expliquant et les aidant à la rotation ;- Montréal : Chaque joueur doit jouer au moins une fois au champ extérieur et intérieurau cours d’une partie. Tous les jeunes lancent sauf ceux qui ne le veulent pas. Lors despratiques, on fait la rotation à tous les retraits ;- Laval : Ce sont les joueurs qui gèrent eux-mêmes, à toutes les parties.– Avoir une position sur les comportements non appropriés des entraîneurs de classe B :- Importance de bien encadrer les entraîneurs. On n’encadre pas assez les entraîneurs« imposés » ;- Trop d’importance axée sur la victoire ;- Souvent, ce sont des entraîneurs qui sont obligés de prendre « la poche » sinon il n’y apas d’équipe et ceux-ci se choisissent des adjoints sans expérience ;- Avoir un parent responsable du code d’éthique de l’équipe, celui à qui on achemine nosdoléances ;- Changer notre façon de traiter les méritas. On ne récompense que les équipesgagnantes ;- Quels sont les critères pour la nomination du joueur de l’année ? Trophée de find’année intéressant : joueur ayant le meilleur esprit d’équipe.Offre de service :– Évaluation de la pertinence d’assigner deux officiels à l’Atome B, voire même Moustique B :- Parrainage des jeunes et nouveaux officiels par un arbitre d’expérience et/où un adulte,c’est un investissement important à faire ;- Quoi faire avec des officiels qui croient qu’après deux ou trois ans d’expérience qui neveulent plus arbitrer la classe B ?- Rémunérer les officiels au grade obtenu et non à la division ;- Un arbitre c’est correct, mais à partir d’une date précise en saison. On parraine endébut de saison et l'on profite, en même temps, pour enseigner aux entraîneurs àcomprendre et respecter les décisions des novices.Réglementation :– À la classe B, obligation de retirer le lanceur après 2, 3 ou 4 manches selon la division :- Rive-Sud : Favoriser le « Count Pitch » au lieu des manches.– Réserviste B évoluant dans la classe A ; établir la réglementation :- Rive-Sud : Prendre le « Count Pitch » de la division inférieure.– Utilisation d’une Killarney plate plus large au Moustique et Pee-wee B :- Rive-Sud : Jouer avec le même marbre que « les majeurs » est un non-sens. Çaaccélère le jeu, il y a moins de buts sur balle. Ça aide les jeunes arbitres ;- Québec : Est-ce que Baseball Québec pourrait prendre le mandat de sa fabrication ?– Revoir les barèmes de formation d’équipe A et B :- Consensus : Oui ;

- Rive-Sud : Tant que l’on ne jouera pas sur les barèmes, on aura toujours desproblèmes de sousclassement. Au lieu de 1 A et 4 B, on doit avoir 2 A et 3 B ;- Laurentides : difficile dans certaines régions d’avoir 2 A et 3 B, car les équipes Bdeviennent beaucoup trop faibles.– Faire un tour de table sur ce qui se fait en région relativement aux règles de classe B :Buts de la classe B :- Avoir du plaisir ;- Apprendre ;- Revenir l’an prochain ;- Parité de jeu ;- Activité sociale ;- Aucune mention de la notion « gagner ».Pratiques :- Rive-Sud : Pratiques obligatoires, insérées au calendrier de la saison ;- Laurentides : Malheureusement, il n’y a que quatre ou cinq jeunes présents. C’est alorsque la formation des entraîneurs devient essentielle pour que ceux-ci puissent offrir despratiques intéressantes et de qualité pour motiver les troupes ;- Montréal : Pratiques obligatoires le vendredi soir et le samedi matin. Les joueursdoivent participer à une des deux. Les meilleurs joueurs participent à toutes lespratiques.Important de leur faire des propositions, de les impliquer. Il ne faut pas étiqueter lesjoueurs avant qu’ils aient commencé à jouer. Ils vont connaître, assez rapidement etpar eux-mêmes, leurs forces et faiblesses ;- Laurentides : Avoir deux équipes ensemble, ce qui a pour résultat plus de jeunes etd’entraîneurs.Parties :- Rive-Sud : Trop de parties, selon un sondage auprès des parents ;- Laval : Est-ce trop deux parties par semaine, plus les pratiques, plus les tournois ?Fréquence préférée : une partie, une pratique ;- Montréal : Enlever des parties ? Les jeunes veulent jouer ;- Laurentides : Les équipes des villes lointaines ne peuvent se déplacer facilement. Alorstrop de parties, ce n’est pas bon ;- Québec : Déplacer les parties d’une demi-heure plus tard.Baseball féminin :- Québec : Importance d’impliquer des femmes pour être entraîneur ;- Rive-Sud : Comment gérer la condition principale des filles «Jouer avec mes amies » ?Réponses :- 1 ère année, souplesse, 2 e année, on impose les équipes ;- Il ne faut pas perdre de vue que c’est du récréatif. Les fillesvont se faire facilement des amies ;- Il faut essayer de leur faire apprécier le baseball en toutpremier lieu, le sport prend ainsi le dessus.Divers :- Rive-Sud : Sur le site internet de la ligue, il y a une icône « Info-Parents » d’où l'onexplique les principaux règlements ;- Québec : Importance d’impliquer les parents. Il faut aller les chercher ;

- Mauricie : Organisation d’une journée où l’on implique les entraîneurs, les joueurs et lesarbitres ;- Montréal : À la division Novice, il n’existe pas la notion de classement. Ne devrait-onpas l’appliquer à l’Atome et au Moustique ?- Rive-Sud : Le classement de la saison régulière ne veut rien dire. Il n’y a aucunavantage à terminer premier. Les séries de fin de saison sont une nouvelle saison ensoiChampionnats provinciaux B :- Estrie : C’est important ces championnats pour les jeunes. Même si les équipesperdent, les jeunes ont toujours un incitatif à y participer ;- Côte-Nord : Est-ce si important la victoire ? On pourrait proposer un tournoi à la rondeoù les équipes seraient assurées de jouer 4 parties ;- Mauricie : Veux-tu t’amuser (habituellement la division B) ou gagner (habituellement ladivision A) ?- Estrie : Appeler cela ‘festival’ au lieu de ‘championnat’.

Atelier 2 : Rallye Cap1- Que pensez-vous de la venue des festivals Rallye Cap?Les participants sont favorables à cette initiative.De préférence par région ou regroupement de régions.À un coût abordable.Temps des parties 45 minutes par couleur.Festival par couleur de casquettes.2.- Est-ce que la formation des animateurs Rallye Cap est adaptée à la réalité?Essayer d’avoir des formateurs locaux. Association ou région.Uniformiser la façon de jouer dans toute la province.Recevoir les équipements à temps.Formation des animateurs sur le terrain et non en gymnase.Implication des parents, un parent par enfant, quand c’est possible.Identifier les parents bénévoles. Personne ne connaît les responsables. Coût relié pour l’identificationdes parents.3.- Comment gérer la non-obtention d’une casquette?Suivi de l’enfant, bulletin ou épinglettes distinctives, les intervenants semblaient trouver cela un peugros à gérer. Ils veulent mettre l’action sur le divertissement et le jeu.Assouplir ou ne pas assouplir les règles d’évaluation, les intervenants ne veulent pas remettre cela enquestion.Suggestion est faite de jouer du 6 contre 6 pour les jeunes plus avancés dans la couleur descasquettes. Par contre, pas de statistique et pas de classement.En conclusion, les participants adorent le programme et espèrent qu’il va continuer.Il y avait environ 25 personnes à l’atelier.

Atelier 3 : Une réforme du programme de formation des arbitresLors des stages, il va avoir plus de formation pratique et moins de théorie. Il faut enseigner moins dechoses, mais mieux enseigner. Il aura de la formation en ligne. Le grade 1 va se donner sur deux anssoit la défensive et l’offensive. Pour le grade 2, il se donnera sur trois ans soit la défensive, l’offensiveet la gestion de partie. En ce qui concerne le grade 3, il aura une année d’examen en ligne, un superstage et une autre année d’examen en ligne.Il aura toujours la possibilité de monter plus vite avec la supervision des officiels.En ce qui concerne les formateurs, il aura un colloque obligatoire pour tous les formateurs avec uncolloque à Montréal et un autre à Québec. Ceci va permettre un approfondissement du programmede formateur et aussi la mise à niveau des formateurs.Il aura un stage de formation pour les nouveaux qui se donnera en mars. La formation est pourdonner des outils pour aider à l’enseignement.Les retombés attendus sont une augmentation du nombre d’arbitres, amélioration de la qualité del’arbitrage et une augmentation de la motivation et de l’intérêt pour le stage.Comparaison avec l’OntarioAugmentation de la qualité de l’arbitrage des niveaux 1-2-3, augmentation du nombre d’arbitres deniveau canadien et surtout une augmentation du nombre d’arbitres;De 2003 à 2010 il a eu une augmentation de 76% des niveaux 1 ,50% des niveaux 2 une baisse de9% des niveaux 3 et une augmentation de 40% des niveaux canadien, ce qui donne uneaugmentation du nombre d’arbitres de 46 % au total. Ceci a aussi eu une influence sur le nombre deformateurs qui a augmenté de 75%.Période de questionsUn grade 2 qui a déjà fait deux ans dans l’ancien système va-t-il devenir grade 3 cette année? Nousallons reconnaitre ce que la personne a fait et si on croit que cette personne est prête à devenir grade3 elle pourra faire l’examen en ligne. Il faut aussi que les représentants régionaux fassent le suivi. Ilse pourrait aussi que le grade 2 qui monte grade 3 doit suivre le stage grade 2 et faire l’examen enligne.Dans les anciens stages, le formateur avait 21 points de règlementation à donner. Maintenant il vaen donner moins, mais que la base soit mieux assimilée.Il faut que les règles des petites divisions soient enseignées pendant le stage ainsi que les règles dubaseball de participation.La durée du stage va passer de 18 à 24 heures à 6 heures soit 3 heures théoriques et 3 heurespratiques.En ce qui concerne la formation avec le colloque de cette année, ceci va faire que les idées vont êtrediffusées à tout le monde.On fait quoi avec les arbitres qui sont payés par grades? Ceci va leur amener une démotivationpuisqu’ils vont devoir attendre plus longtemps avant de monter. Il faut faire du cas par casest-ce qu’il va avoir une augmentation au niveau du stage?Statu quo.On fait quoi avec les équivalences? Ceci est du cas par cas.Pourquoi ne pas débuter le grade 3 avec la super clinique?Les raisons sont simples, cette année stage de formateur et aussi les rencontres des formateurs.Pourquoi l’offensive et la défensive grade 1?Ceci est une thématique pour la formation, mais on va continuer à enseigner balle prise retraite saufbonne balle, fausse balle.

Il y a beaucoup de règles pour les petits niveaux, on fait quoi avec elles?Il faut donner des outils aux jeunes, mais il faut aussi que d’autres personnes aident les jeunesarbitres. Il faut aussi responsabiliser les officiels à connaitre les règles spécifiques. Lors de laformation, les règles sont dans le manuel.La formation n’est pas la même selon les régions?Il faut une rencontre des formateurs à tous les deux ans pour la mise à jour des formateurs.

Atelier 5 : Baseball en action – La mise en marche.Cet atelier se voulait une rencontre plus d’informations que de discussion.Un constat, ce programme est méconnu des associations. Les associations ne connaissent pasle contenu du programme et ne savent pas qu’il peut y avoir du Baseball en action dans lesécoles sur leur territoire.Certains ont même été surpris de l'existence d'une vidéo corporative et qu’à l’intérieur il étaitquestion du Baseball en action.Un intervenant a demandé à Sylvain, c’est quoi le cartable que tu as dans les mains?Est-ce que je pourrais utiliser ce programme pour faire des activités de baseball avec les jeunesde mon association?Les responsables d’association aimeraient recevoir l’information de la fédération au sujet desécoles qui pratiquent le Baseball en action sur leur territoire.Ils voudraient eux-mêmes recevoir des dépliants et des informations pour faire la promotion duprogramme dans leur milieu.Sylvain leur a expliqué que des démarches ont été où sera fait par Baseball Québec pour vendrece programme dans les écoles. (Avec les profs d’éducation physique).Il a été question que ce programme puisse être mis en place par les Sport-Études. Autrement dit,les jeunes inscrits aux Sport-Études pourraient en faire la promotion.Ajouter des incitatifs pour les écoles et les jeunes qui participent au programme Baseball enaction comme : rabais lors des inscriptions à l’association.Comme les écoles sont souvent près des terrains de baseball, surtout au printemps, organiserdes activités à l’extérieur en collaboration avec les associations.Nous pensons que juste le fait d’avoir un atelier sur ce sujet, cela a fait découvrir un programmeméconnu à Baseball Québec.

Atelier 7: Le grand ChelemSylvain. Poissant présente le Grand Chelem : programme national qui devrait s’appliquer au 8-9ans. Ce programme a pour but d’aider les entraineurs à mettre en place un programme debaseball.Le projet comprend une structure pour 10 pratiques pour les entraineurs (environ 120 élémentstechniques) et une série de messages ou conseils à véhiculer auprès des joueurs.Un journal de bord pour le joueur est structuré en 12 manches, chacune est associée à un joueurde baseball connu. Le joueur se compare à lui-même et fait un bilan de ses activités. Il fait doncson propre suivi de développement. Il dispose également de conseils pratiques.Questions – suggestions – commentairesUn participant s’interroge sur le volet baseball récréatif versus la compétition afin d’obtenir les« stickers » après réussite d’une manche.Suggestion : inclure des photos de filles dans le programme.

Atelier 8 : Formation des entraîneursLa salle était beaucoup trop grande, les gens (entre 20 et 30 personnes) étaientéparpillés sur une trop grande surface. Difficile d’avoir une interaction entre les gens.Marc Vadboncoeur a été égal à lui-même en étant motivé et motivant.C’était un atelier pour diffuser des informations aux entraîneurs, au sujet desprogrammes existants et à ceux à venir.

Atelier 11 : Le 6 contre 6 – L’an 1 et les suivantesQuestionnement de départ :‐ Où est la barrière entre le Baseball récréatif et le 6 vs 6?‐ Philosophie du Baseball récréatif?o Jouero Apprendreo Avoir du plaisir‐ Philosophie du 6 vs 6?Qu’avez-vous vécu avec le 6 vs 6?‐ Qui a joué 6 vs 6 / 9 vs 9o Partagé, moitié-moitié‐ Préjugé : 6 vs 6 n’est pas du vrai baseball‐ Avantage 6 vs 6o Pas de temps morto Jeunes plus actifso Jeunes vont souvent au bâton pendant une partieo Durée des parties : 1h15 / 1h30o Rotations des joueurs en défensive, ils ont la chance de tout expérimentero Possibilité de faire plus d’équipes de filles (demande moins de joueurs)o Plus facile d’accès pour les associations locales• Trouver 6 jeunes = plus facile que d’en trouver 9 joueurso Pour les nouveaux joueurs n’ayant pas fait le programme rallye cap :• Baseball est plus facile à apprendre• Adaptation plus facile pour le jeune‐ Désavantage 6 vs 6 :o Si nous avons 10-11 joueurs, que fait-on? On ne peut faire 2 équipes de 6, maistrop de joueurs pour une équipe de 9o Perte de joueurs pour les associations : si un joueur habitant à la campagne veutjouer au baseball, dois aller dans les associations plus loin de chez lui• Par contre, avec le 6 vs 6, facile d’aller chercher des joueurs pour formerune équipe et jouer avec les associations locales (avantage du 6 vs 6)o Augmentation des coûts d’officiels / des habits pour les jeuneso Diminution de la disponibilité des terrains (plus d’équipes)‐ Avantage 9 vs 9 :o ???o Ajustement plus facile pour en faire du 7 vs 7‐ Conclusion :o 6 vs 6 a plus d’avantages que le 9 vs 9o À noter : adaptation facile lorsqu’on passe du 6 vs 6 (atome B) vers le 9 vs 9(atome A)

Débat :1. Utilisation du T-Ball‐ Le T-Ball avantage le frappeur.o Avec le positionnement des pieds qui détermine la trajectoire de la frappe dufrappeur (ex. balle frappée vers le 3 e but, plus loin pour compléter le relais vers le1 er but = avantage le frappeur)2. Interférence de l’entraîneur‐ souvent l’entraîneur veut gagner (souvent plus que le jeune), ce qui en découle :o anti-baseballo l’entraîneur intervient auprès des joueurs pour :• orientation des pieds au T-Ball pour la trajectoire de la balle frappée• demander de garder la balle suite à une balle frappée afin d’éviter leserreurs et l’avancement des coureurs• contradiction avec ce que l’on demande pendant les pratiques• pratique : fait le jeu : garde la balle pour éviter les erreurs3. Que veut le jeune versus l’entraîneur‐ Jeune :o Bouger, courir, lancer la balle, frapper• C’est ce que les jeunes veulent• Ils n’ont pas le temps de s’ennuyero Peu importe le pointage de la partie‐ Entraîneur (pas tous, mais la majorité) :o Gagnero Compétition‐ Un bon entraîneur devait :o Faire la rotation des joueurso Revenir l’année suivante4. Quand le jeune apprendra-t-il le «vrai» baseball?‐ Ceux ayant plus de potentiel ne passeront pas par l’atome B et donc pas par le 6 contre6.‐ Dépends du potentiel de chacun‐ Métaphore : un musicien apprend ses partitions avant d’apprendre une chanson…o Pareil pour le baseball‐ La marche est haute entre l’atome B et le moustiqueo Présence de lanceur, 9 contre 9, etc.5. Receveur‐ Négatif :o Pas un joueur nécessaireo Ralentis le jeu selon plusieurso Contacts fréquents entre les lanceurs/receveur/coureurs lorsque receveurprésent‐ Positif :o On fait du comme le 6 contre 6, mais on ajoute le receveur, donc on fait du 7contre 7• Mêmes règlements que le 6 contre 6o Les jeunes aiment ça, ils veulent être receveurs

o Ça fait partie du baseball classiqueo Si les jeunes vont remplacer dans le moustique ou l’atome A, ils savent à quois’attendre du rôle de receveuro Les entraîneurs vont souvent mettre leur pire joueur à la position de receveur,mais le jeune s’améliore beaucoup, car c’est le joueur recevant le plus de lancerset donc, automatiquement, il s’améliorera6. LBAVR, ce qu’ils ont fait :‐ Moyenne des parties :o 5 mancheso durée limitée à 90 minutes• à Laval-Nord :• en 2009, les parties (9 contre 9) duraient en moyenne 1h45o les jeunes allaient seulement 4 x au bâton au maximum• en 2010, les parties (6 contre 6) duraient en moyenne 90 mino les jeunes allaient 6 fois au bâton minimum‐ chacune des présences au bâton se terminait avec un jeu, peu importe le nombre depriseso Plus proactif‐ Points bonis à la défensiveo Comptait dans le pointage finalo Règle originale que BQ avait penséeo Définition : passé les 3 retraits, tous les retraits subséquents comptaient pour unpoint chacun au pointage final de la partieo Très bien été• Les jeunes sautaient partout, c’était le party lorsqu’ils en réussissaient• Axe sur l’importance de la défensive au baseball• Justifie le temps passé en pratique à améliorer la défensive• Pourquoi aurait-on un gant si on axe seulement sur le fait defrapper une balle?• Défensive aussi ou sinon plus importante que l’offensiveo Absurdité : sans cette règle, 2 retraits auraient la même signification que les 5points maximum par manche… ce n’est pas ça le baseballo Points négatifs :• Difficile à appliquer pour le marqueur peu expérimenté• Devrait-il donc y avoir un marqueur pour l’atome B?• Solutions :o Formation adaptée par BQ?o Parrainage?• Beaucoup de variation de règlements pour les officiels‐ Autres règlements appliqués :o 1 lanceur au lieu de 2o Pas de receveuro Pas de jeux possible au marbre si 3 coureurs sur les butso Les retraits au 1 er but devaient se faire à l’aide d’un relais• Démontre l’importance de la défensiveo Essai cette année : tracer une ligne à une distance de 120 pieds

o• Si la balle traversait cette ligne sans avoir touché par terre : circuit• Si un bond avant la ligne et la traverse : 2B automatiqueFrappeur à droit à un nombre de coups illimités de frappe dans le beurre• La présence au bâton doit se terminer par un jeu7. Granby‐ Perdaient beaucoup de joueurs après les années Noviceo Afin de freiner ça, tous les jeunes qui étaient 2 e année Novice, ils les ont faitpasser directement à la division Atome• Augmentation du nombre de joueurs qui revenaient l’année suivante8. Règlements Baseball Québec, 6 contre 6 ?o Irritants : L’attitude de l’entraîneur• On doit les éduquer!o Les changements de position des jeunes en défensives selon l’alignement desfrappeurso Obliger de faire les jeux‐ Ajout à faire?o Le jeu au 1 er but doit se faire à l’aide d’un relaiso Rotation défensive obligatoire à toutes les mancheso Ne pas avoir le droit de courir sur une erreuro Dans Rive-Sud :• Application de la règle suivante :• 2 manches maximales par positions par joueur.CONCLUSION‐ But :ooooFaire jouer les jeunesAmener de la créativité et de l’innovationAider les officiels à s’adapter aux nouveaux règlements• Les officiels ne doivent pas freiner l’avancement• On devrait leur donner des outils afin qu’ils puissent s’adapterPenser aux jeunes : ce qu’ils veulent faire• Et non aux adultes (entraîneurs / parents)‐ Initiatives des régions :o C’est correct de faire l’essai de nouvelles choses• Seulement en aviser les gens de BQ pour définir les règles• Mais faites-en l’expérimentation!Les jeunes doivent avoir du plaisir à jouer au baseball et ils doivent avoir le goût derevenir les années suivantes!

Atelier 13 : Le fonctionnement d’un conseil d’administration associatifMaxime Laviolette et Stéphane Durocher y ont assisté.Ce fut un atelier formidable, animé de façon de maître par Me Legros.Plusieurs questionnements sur tous les sujets.Participants de tout âge et tout sexe. Les dames ont participé de façon exceptionnelle et ont poséde bonnes questions.Je pense que cet atelier a manqué de temps et devra être repris avec un plus grand nombre departicipants.