Le médecin aide-major de 1 ère classe BESANCON« Légèrement blessé d’un éclat d’obus à la cuisse dès l’entre en action des compagnies, etcommotionné, a tenu à rester auprès d’elles et n’a cessé pendant plus de trois jours de donner lessoins les plus intelligents et les plus dévoués aux nombreux blessés du régiment, sans penser à sespropres souffrances et sans se soucier du danger, montrant dans ces circonstances une activitécalme, une abnégation et un esprit d’organisation remarquables. »Le brigadier TAUZIET, 4 ème escadron« Excellent gradé, ayant au plus haut degré le sentiment du devoir. Ayant eu deux frères ainés tués àl’ennemi et pouvant obtenir un emploi moins exposé, avait demandé à rester parmi les combattants.A été blessé mortellement le 17 avril 1918. »Le cavalier TRICAUD, 4 ème escadron« Fortement intoxiqué le 17 avril, n’a pas voulu être évacué et a rejoint son poste de combat aussitôtsoigné, donnant ainsi à ses camarades un bel exemple de vaillance et d’énergie. A été blessé lelendemain d’un éclat d’obus. »Ordre 1 er mai 1918Le lieutenant SABAROTS« Ayant pris en pleine action le commandement de sa compagnie dont le commandant venait d’êtreblessé, a assuré avec un calme t une décision remarquables, l’exécution des dispositions prévues. Sacompagnie étant prise sous le feu de nombreuses mitrailleuses et ayant subi de lourdes pertes, aréussi par son attitude résolue à empêcher toute contre-attaque ennemie. »L’adjudant CHIGNIER, 1 er escadron« Sous-officier ancien, ayant au plus haut degré le sentiment du devoir. Après avoir pansé sous lefeu son commandant de compagnie blessé, a assuré la transmission du commandement, la liaisonentre les différentes sections et leur ravitaillement en munitions sans se soucier du bombardement etdu tir de nombreuses mitrailleuses. »Le maréchal des logis GIRARD, 1 er escadron« Chef de section d’un courage et d’un sang-froid remarquables. Dans l’attaque du 3 mai 1918, aentraîné sa section à l’assaut avec la plus belle ardeur. Celle-ci ayant été prise sous un feu violent demitrailleuses, l’a maintenue dans une cohésion et un ordre parfait. »Le brigadier CHAZAUD, 1 er escadron« Son chef de demi-section ayant été blessé, a pris spontanément le commandement et, dans descirconstances difficiles, sous un feu violent, a maintenu la cohésion dans sa troupe avec beaucoupde sang-froid et d’autorité. »Ordre 8 mai 1918Le lieutenant TEZENAS« Commandant d’une compagnie de Dragons, chargée d’enlever une position fortement organisée, aété blessé aux deux jambes au moment où il se portait en avant avec la plus belle ardeur. N’aconsenti à être évacué qu’après avoir assuré le commandement de la compagnie et rendu compte dela situation à son chef de bataillon. »Ordre 19 mai 1918Le capitaine HALTER« Commandant une compagnie de première ligne pendant l’attaque du 3 juin 1918, ayant perdu tousses officiers mis hors de combat, et une partie de ses sous-officiers, a su, avec calme, assurer le11
commandement de ses sections et maintenir intégralement pendant trois jours, la position qui luiavait été confiée. »Le brigadier BONNEL, 4 ème escadron« Chargé d’assurer le ravitaillement en munitions des unités de première ligne, a fait preuve d’uncalme et d’une autorité remarquables, en remplissant sa mission sous un bombardement des plusintenses. Grièvement blessé au cours de l’opération. »Le cavalier COLLOMB, 3 ème escadron« Fusilier-mitrailleur d’élite, courageux et énergique s’est fait remarquer par sa belle attitude aucombat du 3 juin 1918. Sous un feu violent, a dispersé avec son F.M., un groupe allemand quimettait un mortier en position. »Le cavalier LABONNE, 1 er escadron« Brancardier renommé par son courage souriant, déjà cité pour l’attaque du 3 mai, s’est acquis denouveaux titres par son dévouement et son activité pour évacuer les blessés sous le feu, le 3 juin. Aété lui-même blessé sérieusement le 4 juin, au moment où on l’appelait pour transporter uncamarade. »Le brigadier BISSY, 3 ème escadron« Brigadier F.M. d’élite, toujours prêt à s’employer dans les circonstances difficiles : le 3 juin 1918,a occupé avec son F.M. un poste particulièrement exposé, et s’y est maintenu pendant de violentsbombardements. »Le maréchal des logis de KERPEL, 3 ème escadron« Maréchal des logis plein d’entrain ; dans les combats du 3 juin 1918, a été engagé successivementsur plusieurs points de la ligne de feu, et chaque fois a entraîné son unité avec la même vigueur. »Le cavalier ANCENAY, P.M.« Mitrailleur très brave. Le 3 juin 1918, sa section se trouvant dans une situation très critique, aservi sa pièce avec une grande crânerie. A fait preuve du plus beau courage, en revenant en terraindécouvert, en plein jour, jusqu’à 20 mètres d’une mitrailleuse allemande, essayer de reprendre dumatériel laissé par un de ses camarades blessé. Quoique blessé par un éclat d’obus, a néanmoinscontinué son service. »Le cavalier CHASSANG, P.M.« Mitrailleur ayant toujours fait preuve d’un calme et d’un courage à toute épreuve. Faisantfonctions de chef de pièce au combat du 3 juin, a, malgré le feu meurtrier des Allemands, parvenusà 100 mètres de sa pièce, continué son tir, jusqu’au moment où il a reçu l’ordre de se replier. Parson attitude calme et résolue, a constamment maintenu sa pièce dans l’ordre le plus parfait, causédes pertes à l’ennemi et ramené son matériel complet. »Le cavalier VERDIER, P.M.« Agent de liaison de sa section de mitrailleuses au combat du 3 juin 1918, est parti avec la plusbelle crânerie porter un ordre en terrain découvert, sous un feu violent de canons et de mitrailleusesennemis très rapprochés. A eu la mâchoire fracassée par une balle. »Le maréchal des logis PHELIP, 3 ème escadron« Excellent sous-officier ; le 3 juin 1918, au moment où un groupe d’Allemands tentaitd’envelopper sa section, a judicieusement fait placer un F.M. qui a enrayé le mouvement del’ennemi, et a donné ainsi un bel exemple de résolution et d’énergie. »12
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Le cavalier LAPOSTOLLE Georges, 4
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Cavalier LEUPE Henri Marcel Jérôm
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Le cavalier PERSOUD J., 6 ème esca
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Le brigadier SEAUVE Elie, 6 ème es
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Le dragon HENRY Lucien, 6 ème esca