Le brigadier DESCOURS Marie Georges-André-Henri, du 3 ème escadron« Resté seul avec deux hommes, dont l’un grièvement blessé, à un poste avancé, a continué à fairepasser les grenades sous un feu des plus intenses. »Le brigadier ALTISACCHI Jean-Pierre, du 3 ème escadron« Grièvement blessé à l’épaule, ne s’est laissé panser qu’après épuisement complet. »Le brigadier ROGER Louis Amédée, du 2 ème escadron« Faisant partie d’un poste avancé, attaquant à la grenade, y est resté quoique blessé à la tête, pourencourager ses hommes. »Le cavalier STENGER Joannès Marius, du 1 er escadron« Chargé de porter un pli de la première ligne à la réserve, et atteint d’un éclat d’obus à la tête aucours de cette mission, est revenu sur la première ligne, quoique perdant du sang, pour chercher sonsac avant de se laisser évacuer. »Le maréchal des logis PURCEIGLE Henry Pourçain, de l’escadron à pied« A constamment fait preuve de la plus belle attitude sous le feu notamment le 25 août 1914(Rozelieures) et en Alsace (1915).« S’est fait remarquer par la vigueur avec laquelle il a exécuté plusieurs reconnaissancespérilleuses. »Le maréchal des logis BORGOMANO Filorio, du groupe des 5ème et 6 ème escadrons« Blessé le 25 août 1914, (Rozelieures), a refusé de se laisser soigner pour rester à son poste. »Le brigadier ROCHE, groupe des 5ème et 6 ème escadrons« Blessé le 2 novembre 1914 en transportant un de ses camarades blessé, sur un terrain battu detoutes parts.« Magnifique tenue sous le feu. »Le sous-lieutenant PAGET H., de l’escadron à pied« Officier d’un entrain et d’une énergie remarquables. Très belle conduite au feu, particulièrementau cours d’une période difficile du 25 septembre au 19 octobre 1915. »Le maréchal de logis DUFOUR Maurice, de l’escadron à pied« S’est offert spontanément pendant les nuits des 15, 16 et 17 octobre pour la pose d’un réseau de filde fer en terrain découvert et fortement battu par le feu ennemi (ouvrage Pruneau). »Le brigadier LASSAGNE Emile, de l’escadron à pied« S’est offert spontanément pendant les nuits des 15, 16 et 17 octobre pour la pose d’un réseau de filde fer en terrain découvert et fortement battu par le feu ennemi (ouvrage Pruneau). »Le maréchal des logis fourrier BRUYERE Victor, de l’escadron à pied« Ayant déjà fait preuve en Belgique d’un grand courage, en allant reprendre sous un violentbombardement le corps de son maréchal des logis resté entre les deux lignes. A montré une fois deplus sa belle tenue au feu au cours des opérations de Champagne, du 25 septembre au 19 octobre1915. »Le cavalier BRIAND Léon, de l’escadron à pied« Complètement enseveli par l’explosion d’un obus, et come on lui demandait après l’avoir dégagé,s’il n’était blessé, a répondu en riant : « Oh ! Il n’y a pas de quoi ».41
Le cavalier REVELLO René, de l’escadron à pied« Comme agent de liaison, s’est toujours acquitté avec beaucoup de zèle et de sang-froid desmissions qui lui ont été confiées. A été blessé à son poste le 6 octobre 1915. »Le téléphoniste HERMANVILLE Abel, escadron à pied« Dans la nuit du 13 au 14 octobre, n’a pas hésité malgré un violent bombardement, à réparer leslignes rompues en plusieurs endroits par les éclatements. N’est rentré à son poste qu’après avoirrétabli toutes les communications. »Le maréchal des logis chef REFREGIER René, de l’escadron à pied« Gradé d’un calme et d’un sang-froid à toute épreuve, a déjà donné de nombreuses preuves de sabelle conduite au feu. Blessé à la tête à Luzerne (Belgique) en 1914. A montré une fois de plus sesqualités de soldat au cours des opérations de Champagne du 25 septembre au 19 octobre 1915. »Le brigadier BERTRAND Lucien, de l’escadron à pied« Le 6 octobre 1915, ayant eu plusieurs hommes de son escouade ensevelis par l’explosion d’unobus, a fait preuve d’initiative et de sang-froid dans l’organisation des secours. A réussi dégagerses hommes. »Le brigadier PICHON-BON Marcel, escadron à pied« Dans la nuit du 13 au 14 octobre 1915, les lignes téléphoniques ayant été rompues par lebombardement, a assuré la liaison avec un sang-froid et un courage dignes d’éloges. »Le capitaine de BONNEFOY Gustave Hubert, escadron à pied« Capitaine commandant l’escadron à pied.« A donné un bel exemple de patriotisme, en demandant à venir au front malgré son âge (60 ans). Apris le commandement d’un nouvellement créé, dans des circonstances pénibles et difficiles, et en afait de suite une unit bien en main.« Fait preuve depuis son arrivée d’un entrain et d’une énergie qui ne se sont jamais démentis.« Modèle du devoir pour tous. »Le cavalier LEVET Louis, escadron à pied« Le 2 octobre 1915, au Trou-Bricot, a été blessé grièvement à son poste de combat. »Le cavalier Le GUELAFF Yves, escadron à pied« Le 2 octobre 1915, au Trou-Bricot, a été blessé à son poste de combat. »Le cavalier DOUCERAIN Marcel, escadron à pied« Le 2 octobre 1915, au Trou-Bricot, a été blessé grièvement à son poste de combat, est mort lelendemain à l’ambulance. »Le cavalier BORDERY Claude, escadron à pied« Le 2 octobre 1915, aux tranchées de deuxième ligne, a été tué à son poste de combat. »Le cavalier CROUZILLE Jean, escadron à pied« Le 2 octobre, au Trou-Bricot, a été blessé à son poste de combat. »Le sous-lieutenant FORTOUL Charles Jean Henri, escadron à pied« Officier brave et énergique. A fait preuve de belles qualités militaires en maintes circonstances.Tué à son poste de combat aux tranchées de première ligne, le 14 décembre 1915. »42
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