Le sous-lieutenant THOMASSET« Officier énergique et ardent, déjà blessé deux fois. A été blessé une troisième fois, le 3 juin 1918,en entraînant sa section en avant dans un magnifique élan. »Le maréchal des logis PASSOT, 2 ème escadron« Son chef de section ayant été blessé, a pris le commandement avec beaucoup de décision et acontribué par son sang-froid, sa ténacité, son énergie, à conserver intacte la position qu’il étaitchargé de défendre. »L’adjudant CORNAND, 2 ème escadron« Agent de liaison du commandant de compagnie, a assuré son service avec la plus grande activitéet un calme parfait, parcourant en tous sens une zone constamment battue par l’artillerie ennemie,sans aucun souci du danger. »L’aspirant FINAZ« Sérieusement blessé en faisant la reconnaissance de la position à occuper, a donné à ses hommes,un bel exemple de sang-froid et d’énergie. »Le maréchal des logis LARGE« Son chef de section ayant été blessé, a pris le commandement avec beaucoup de décision et acontribué par son sang-froid, sa ténacité, son énergie, à conserver intacte la position qu’il étaitchargé de défendre. »Le sous-lieutenant BERTHBEZE« Pendant le combat du 3 juin 1918, a porté sa section en avant sous un feu violent de mitrailleusespour dégager une section voisine menacée d’enveloppement, et a permis ainsi de rétablir la ligne etde repousser les assaillants. »Le maréchal des logis GAUME, 4 ème escadron« Sous-officier d’un dévouement absolu et d’un grand courage. Pendant l’attaque du 3 juin 1918, amontré dans le commandement de son groupe de combat, une énergie et une froide résolution audessusde tout éloge. »Le cavalier BORGOMANO, 3 ème escadron« cavalier courageux et ardent, toujours volontaire pour les missions périlleuses ; pendant l’attaquedu 3 juin 1918, faisant partie du groupe du commandant et étant disponible, a demandé, dans unmoment critique, à renforcer une section très éprouvée, au point le plus exposé du secteur ; s’estprésenté dans la même journée pour transporter des blessés sous le feu de l’ennemi. »Le maréchal des logis de VIEVILLE, 4 ème escadron« Sous-officier de renseignements d’une ardeur et d’un dévouement inlassables. Le 2 mai, auScherpenberg, a fait des liaisons sous un bombardement des plus violents ; le 3 juin, s’est acquittéde sa mission avec une activité, un sang-froid et une compétence remarquables. Grièvement blessédans l’accomplissement de sa mission. »Le médecin aide-major de 1 ère classe DECORTIEUX« Médecin chef de service d’un dévouement inlassable, d’un courage à toute épreuve. Le 3 juin,pendant l’attaque ennemie, dans u poste de secours à découvert, à proximité de la première ligne,malgré le bombardement le plus intense, et les rafales de mitrailleuses, a donné les premiers soinsaux blessés, les encourageant, les réconfortant par son calme, et en a assuré l’évacuation avec uneactivité et une compétence remarquables. »Ordre 11 juin 191813
Le 4 ème du 2 ème Dragons« Belle unité où tous les cœurs sont animés de la même foi ardente et de la même résolution.Sous l’énergique impulsion de son chef, le capitaine de LIBRAN –toujours prêt à donnerl’exemple- se fait remarquer en toutes circonstances par son activité généreuse et par son espritguerrier.« Le 2 juin 1918, placé à la pointe d’un saillant violemment attaqué, s’est cramponné au terrain et acontribué pour la plus large part au maintien de la position.« Le 10 août, chargé de faire l’avant-garde de la D.C., a brillamment rempli sa mission, poussantses patrouilles jusqu’au contact immédiat de l’ennemi et restant toute la journée en liaison étroiteavec les éléments d’infanterie les plus avancés. »Ordre 11 septembre 1918Le lieutenant BATTISTELLI« Envoyé en reconnaissance le 30 septembre 1918, pour suivre la progression de l’infanterie,dépasser ses éléments les plus avancés et garder le contact avec l’ennemi, a renseigné lecommandement de la façon la plus précise sur les points occupés par les arrière-gardesallemandes. »Le sous-lieutenant de TARRAGON« Le 29 septembre 1918, chargé de suivre la progression des éléments d’infanterie les plus avancés,n’a cessé de donner au commandement les renseignements les plus précis sur l’attaque en cours,montrant en cette circonstance, autant de jugement que d’intelligente activité. »Le maréchal des logis BISSY, 3 ème escadron« Excellent chef de patrouille, ardent et résolu.« Le 30 septembre 1918, a repris le contact de l’ennemi dans la direction d’Hooglede et déterminéavec beaucoup d’adresse l’emplacement de nombreuses mitrailleuses allemandes.« Resté en observation jusqu’à la tombée de la nuit, dans une région soumise à des tirs d’artillerieincessants, a fait parvenir à son les renseignements les plus précieux. »Le maréchal des logis de PONCINS, 1 er escadron« Le 1 er octobre 1918, chef d’une patrouille chargée d’assurer la liaison avec un régimentd’infanterie d’attaque, sur un terrain particulièrement exposé, a rempli sa mission avec beaucoupd’intelligence et de sang-froid malgré les pertes subies par sa patrouille. A eu son cheval tué d’unéclat d’obus. »Le brigadier NIVOLLET, 3 ème escadron« Le 30 septembre 1918, s’est lancé avec sa patrouille à la recherche de l’ennemi, a pénétré dans levillage d’Oostnieuwkerke, à peine évacué par ses arrière-gardes, et, reprenant le contact devantRoulers, s’est avancé jusqu’aux réseaux de fil de fer avec beaucoup d’audace et d’adresse, pourreconnaitre les points d’appui de la ligne allemande. »Le maréchal des logis VOLATRON, 2 ème escadron« Dans la nuit du 1 er au 2 octobre 1918, étant chef de poste, a, à plusieurs reprises, assurépersonnellement la liaison avec une unité voisine, sous un tir d’artillerie incessant, avec un entrainet un dévouement remarquables. »Le cavalier SCHLOESSER, 3 ème escadron« Eclaireur d’élite, d’un admirable entrain en toutes circonstances. Le 30 septembre 1918, envoyéen reconnaissance avec un sous-officier, a pris part d’une façon très active et très heureuse à ladétermination des positions ennemies. »Ordre 8 octobre 191814
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Le cavalier LAPOSTOLLE Georges, 4
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Cavalier LEUPE Henri Marcel Jérôm
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Le cavalier PERSOUD J., 6 ème esca
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Le dragon HENRY Lucien, 6 ème esca