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Secteur : Chimie Plastique et Caoutchouc A la Une - Tunisie industrie

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Développement d’un nouveau p<strong>la</strong>stique biodégradable produit par des bactériesLe Dr Kevin O'Connor <strong>et</strong> son équipe de l'University College Dublin viennent de développer une nouvelle méthode pour recycler les bouteilles enp<strong>la</strong>stique <strong>et</strong> les embal<strong>la</strong>ges en polystyrène en utilisant des micro-organismes.Les bactéries Pseudomonoas ont en eff<strong>et</strong> <strong>la</strong> capacité de changer le p<strong>la</strong>stique ordinaire (comme les PET - polyéthylène téréphta<strong>la</strong>te) enp<strong>la</strong>stiques biodégradables appelés PHA (acides polyhydroxyalcanoates). Ces PHA sont non seulement biodégradables, mais aussi plusrésistants <strong>et</strong> peuvent être utilisés dans de nombreuses applications médicales comme les stents. Ils ne deviennent cassants qu'à -43,3°C, cequi les rend propres à <strong>la</strong> congé<strong>la</strong>tion <strong>et</strong> peuvent être chauffés jusqu'à 278°C. Ils se décomposent sous l'action d'enzymes produits par les microorganismesprésents dans les composts. Ils peuvent donc être enterrés <strong>et</strong> disparaître avec le temps. Le procédé fonctionne de <strong>la</strong> manièresuivante : le polypropylène est réchauffé afin de le transformer en huile de styrène. C<strong>et</strong>te huile sert de nutriment à des micro-organismes qui, demanière métabolique, <strong>la</strong> changent en acides gras qui s'accumulent dans les bactéries sous forme de PHA. Les bactéries sont ensuite ouvertes<strong>et</strong> les PHA sont convertis en p<strong>la</strong>stique biodégradable. La prochaine étape est d'améliorer <strong>la</strong> productivité en PHA du procédé. Actuellement d'unquart à un tiers des micro-organismes sont remplis de p<strong>la</strong>stique. Le but serait d'atteindre 50 à 60%.http://www.bull<strong>et</strong>ins-electroniques.com/actualites/57905.htmAlgérie-Industrie pharmaceutique : Saïdal investit 230 millions de dol<strong>la</strong>rs pour renforcer sa positionLe numéro un du médicament en Algérie investit 230 millions de dol<strong>la</strong>rs pour renforcer sa position de leader national <strong>et</strong> se développer dans lespays arabes <strong>et</strong> en Afrique subsaharienne.Pionnier dans <strong>la</strong> production de médicaments en Algérie <strong>et</strong> coté à <strong>la</strong> Bourse d’Alger, le groupe public Saïdal compte aussi doubler le nombre deses unités de production de médicaments d’ici à 2015. Sept nouvelles usines vont être construites à travers le pays, chacune étant dévolue à <strong>la</strong>production d’une c<strong>la</strong>sse thérapeutique spécifique (anticancéreux, cardiovascu<strong>la</strong>ires, antidiabétiques…).Le montant estimé de c<strong>et</strong> investissement est d’environ 230 millions de dol<strong>la</strong>rs (174 millions d’euros). Voilà qui devrait perm<strong>et</strong>tre au fleuron del’<strong>industrie</strong> pharmaceutique algérienne d’asseoir son leadership sur le marché local, dont le marché du médicament est en plein boom, avec unecroissance annuelle à deux chiffres.http://www.dev-export.com/d<strong>et</strong>ailsafrique.php?numafrique=1164Marché des cosmétiques en TurquieLa consommation : Un marché estimé à 1.5 Md EUR : Représentant 1% du marché mondial, le marché turc des produits d’hygiène <strong>et</strong> debeauté (environ 1,5 Md EUR, prix public - 800 M EUR prix fabricant) reste modeste pour une popu<strong>la</strong>tion de 70 millions d’habitants. Depuis lesannées 80, qui ont marqué l’ouverture du pays aux importations, <strong>la</strong> consommation a fortement augmenté mais reste orientée majoritairementvers les produits d’hygiène familiale. Tirée par l’augmentation du niveau de vie, <strong>la</strong> demande sur des produits plus sélectifs comme les parfums<strong>et</strong> les produits de soin reste concentrée autour des pôles urbains. Le budg<strong>et</strong> consacré à <strong>la</strong> consommation de produits cosmétiques, d’environ20 euros/an/hab. (bien inférieur au 155 euros/an/hab. pour <strong>la</strong> moyenne européenne), est dominé par les produits de soins capil<strong>la</strong>ires quireprésentent près de 30% des dépenses cosmétiques. Les produits mass-mark<strong>et</strong> (capil<strong>la</strong>ires, maquil<strong>la</strong>ge, hygiène) restent les marchésdominants en valeur <strong>et</strong> enregistrent des croissances moyennes annuelles de 5-10%. Le créneau des produits de soins spécifiques(dermocosmétique en pharmacie <strong>et</strong> soins en spas ou tha<strong>la</strong>ssothérapie dans les grands hôtels) est en forte croissance. A noter égalementl’émergence d’un marché de soins pour homme.L’offre : Un marché essentiellement d’importation sauf pour les produits d’hygiène : La production turque est historiquement trèsconcentrée sur les produits capil<strong>la</strong>ires (shampoings, <strong>la</strong>ques, colorants) <strong>et</strong> le conditionnement des produits de maquil<strong>la</strong>ge importés en vrac (deFrance <strong>et</strong> d’Italie principalement). Mises à part Evyap, Eczacibasi <strong>et</strong> Kopas, les sociétés turques de cosmétiques ne faisaient pas de recherche<strong>et</strong> développement dans les produits cosmétiques. On observe toutefois ces dernières années l’apparition de nouvelles marques turques,notamment de produits de soins. Les produits locaux se positionnent sur le moyen (Erkul Cosm<strong>et</strong>ics, Tan Alize, Vepa, Alfar, Kopas,) ou bas degamme. Evyap, leader sur le marché des savons, des produits de rasage <strong>et</strong> des crèmes pour le corps se positionne en concurrent sérieux desgroupes internationaux. A noter que <strong>la</strong> Turquie est un des principaux producteurs mondiaux d’essence de rose. Les filiales locales desmultinationales, P&G, L’Oréal <strong>et</strong> Unilever détiennent entre 35 <strong>et</strong> 40% du marché des cosmétiques. L’Oréal importe <strong>la</strong> totalité de ses produits(mis à part les produits capil<strong>la</strong>ires de <strong>la</strong> société locale rach<strong>et</strong>ée en 2007), PG <strong>et</strong> Lever, bien qu’ayant des usines pour les détergents <strong>et</strong> lessavons, importent ou font fabriquer par des sous-traitants locaux leurs cosmétiques. Egalement présent sur le marché, Beiersdorf (Nivéa)travaille en partenariat avec l’entreprise turque Eczacibasi.Ba<strong>la</strong>nce commerciale : Déficitaire sur les cosmétiques, positive sur les produits d’hygiène : Malgré une production locale importante, <strong>la</strong>Turquie reste dépendante de l’extérieur pour les produits cosmétiques dont les importations se sont élevées à 352 MUSD en 2007. Lesimportations de produits cosmétiques <strong>et</strong> d’hygiène ont progressé de 21% en 2007 par rapport à 2006, année qui avait déjà enregistré unehausse de 22% par rapport à 2005. La France demeure le 1er fournisseur de <strong>la</strong> Turquie en produits cosmétiques <strong>et</strong> d’hygiène (119 MUSD),suivie par l’Allemagne, <strong>la</strong> Pologne (importations faites à partir de <strong>la</strong> Pologne par des groupes internationaux) <strong>et</strong> l’Italie. En 2007 <strong>la</strong> France aperdu son statut de principal fournisseur de <strong>la</strong> Turquie pour les produits de maquil<strong>la</strong>ge <strong>et</strong> soins (3304) au profit de l’Allemagne (33 contre 31MUSD) mais conserve toutefois sa position de leader sur <strong>la</strong> souscatégorie crèmes <strong>et</strong> émulsions (24% de part de marché) <strong>et</strong> sur les produitscapil<strong>la</strong>ires. Les exportations turques de produits cosmétiques <strong>et</strong> d’hygiène (592 MUSD en 2007) continuent de progresser (+ 12% entre 2006 <strong>et</strong>2007). Environ 70% des exportations se composent de produits d’hygiène, les savons représentant 45% des exportations totales du secteur.Les principaux débouchés de <strong>la</strong> production turque sont <strong>la</strong> Russie, l’Irak, l’Ukraine <strong>et</strong> l’Iran.http://www.missioneco.org/turquie/documents_new.asp?V=7_PDF_148339Les créations d’entreprise toujours en hausse, mais au ralentiLe nombre de créations d'entreprise a atteint un record en France en 2008 selon des données publiées par l'Insee. Au total, 327.396entreprises ont été créées en 2008, soit une hausse de 1,8 % par rapport à l’année 2007 qui avait déjà enregistré un chiffre record avec321.478 créations d’entreprises. Toutefois, l'Institut national de <strong>la</strong> statistique note une progression bien moins soutenue que l’an dernier <strong>et</strong>même un très n<strong>et</strong> essoufflement en fin d’année. Le dernier trimestre 2008 a ainsi enregistré une baisse du nombre de créations d’entreprises de9 % par rapport au dernier trimestre de l’année 2007. Sur le seul mois de décembre, le nombre de créations d’entreprises a diminué de 8,8 %par rapport à novembre, en données corrigées des variations saisonnières <strong>et</strong> du nombre de jours ouvrables. « Le contexte peu favorable del’économie française en 2008, avec une demande faible <strong>et</strong> un durcissement des conditions de crédits, n’a sans doute pas incité à <strong>la</strong> créationd’entreprises dans nombre de secteurs d’activité » a souligné l'Insee.Malgré tout, le ministre de l'Economie <strong>et</strong> des Finances, le secrétaire d'Etat chargé des entreprises, se sont réjouis de ces chiffres qui reflètent,malgré une conjoncture plus difficile en 2008, « un enracinement de l’esprit d’entreprise en France ». Aujourd’hui, <strong>la</strong> création d’entreprise estdevenu un acte naturel d’alternative au sa<strong>la</strong>riat », a précisé le secrétaire d’Etat. C<strong>et</strong>te fibre entrepreneuriale a été fortement encouragée par <strong>la</strong>création du statut d’auto-entrepreneur par <strong>la</strong> loi de modernisation de l’économie. Opérationnel depuis le 1er janvier dernier, ce nouveau statutperm<strong>et</strong> aux sa<strong>la</strong>riés, chômeurs, r<strong>et</strong>raités ou étudiants de <strong>la</strong>ncer leur propre affaire ou développer une activité à titre principal ou complémentairepour augmenter leurs revenus, en simplifiant encore les démarches administratives. « Elles se réalisent en quelques minutes sur Intern<strong>et</strong> », aainsi expliqué Hervé Novelli. Le dispositif sera étendu aux professions libérales dès le 1er février prochain. Le gouvernement prévoit ainsi4


200.000 nouveaux auto-entrepreneurs en 2009. Sur l'année, le rythme des créations s'est maintenu à un niveau soutenu dans les services auxentreprises, dans l'éducation, <strong>la</strong> santé <strong>et</strong> l’action sociale <strong>et</strong> a fortement progressé dans l'agroalimentaire. En revanche, comme on pouvait s’yattendre, les créations d'entreprises ont diminué dans <strong>la</strong> construction <strong>et</strong> l'immobilier. « L'inquiétude des promoteurs, le recul des ventes delogements neufs <strong>et</strong> des mises en chantier sont autant d'éléments n'incitant pas à entreprendre actuellement dans ces domaines » a expliquél’Insee. Le nombre de création d’entreprises a également diminué dans les secteurs de l'innovation technologique, les activités financières <strong>et</strong>l'<strong>industrie</strong> hors agro-alimentaire, en lien avec le contexte économique de <strong>la</strong> fin de l'année. En 2009, <strong>la</strong> hausse du nombre de créationsd’entreprises devrait se poursuivre. La remontée du chômage incite, en eff<strong>et</strong>, de nombreux demandeurs d'emplois à se m<strong>et</strong>tre à leur compte. «C'est dans les périodes de creux que les hausses sont plus fortes car beaucoup de chômeurs essayent de s'en sortir en créant leur entreprise», souligne l'Observatoire français des conjonctures économiques. Mais, dans un contexte de crise économique, les plus jeunes entreprisessont également les plus fragiles. Ces entreprises sont également trop p<strong>et</strong>ites pour améliorer de manière significative <strong>la</strong> situation de l’emploi.Selon l'Insee, en eff<strong>et</strong>, <strong>la</strong> hausse des créations d'entreprises concerne majoritairement les entreprises ne générant qu'un seul emploi, celui del'entrepreneur. Et le nombre de créations d'entreprises sans sa<strong>la</strong>rié a progressé de 61 % entre 2002 <strong>et</strong> 2008, alors que celui des créations avecau moins un sa<strong>la</strong>rié n'a augmenté que de 10 %. Au total, 87 % des entreprises créées en 2008 n'ont pas de sa<strong>la</strong>rié.Source : http://www.n<strong>et</strong>pme.fr/ http://www.invention-europe.com/Article626571.htmExportations <strong>et</strong> importations chinoises en chute libre en janvierjanvier de 29% sur un an. Lebi<strong>la</strong>n est toutefois resté positifpour le deuxième exportateur de<strong>la</strong> p<strong>la</strong>nète avec un excédentcommercial de 39,11 milliards dedol<strong>la</strong>rs, en hausse de 102% englissement annuel, selon lesstatistiques des Douanes.Les exportations chinoises ontchuté comme jamais en janvier,L'excédent de janvier est prochedu record mensuel établi entandis que les importations novembre (40,1 milliards des'effondraient, sous l'eff<strong>et</strong> de <strong>la</strong>crise économique mondiale. Lesexportations (90,45 milliards dedol<strong>la</strong>rs) <strong>et</strong> de son niveau dedécembre (38,98 milliards dedol<strong>la</strong>rs).dol<strong>la</strong>rs) ont ainsi reculé en Par ailleurs, ces baisses dejanvier de 17,5%, en glissement janvier ont été accentuées parannuel, <strong>et</strong> les importations l'eff<strong>et</strong> "mathématique" du Nouvel(51,34 milliards) de 43,1%, selonles Douanes. La baisse desan lunaire chinois, qui a amputécinq jours de travail par rapport àexportations, qui avait janvier 2008. "Sans ce facteur,commencé en novembre maiss'était limitée à 2,2%, puis 2,8%en décembre, est <strong>la</strong> plus forteles exportations auraient crû de6,8%", ont affirmé les Douanes.Le Nouvel an lunaire, période decontraction depuis plus de dix vacances durant <strong>la</strong>quelleans, selon des analystes. Les l'activité est au plus bas,échanges (importations <strong>et</strong> coïncidait c<strong>et</strong>te année avec le 26exportations) sont en baisse en janvier. En 2008, il était tombéhttp://www.<strong>la</strong>tribune.fr/actualites/economie/international/20090211trib000342498/en février. "Même déformé parl'eff<strong>et</strong> Nouvel an chinois, ce<strong>la</strong>témoigne de <strong>la</strong> détérioration desfondamentaux", a estimé WangQing, analyste chez MorganStanley, cité par l'AFP. "Lafacture des importations abaissé avec celle des matièrespremières <strong>et</strong> de l'énergie", mais"nous pensons pouvoir attribuerce<strong>la</strong> au fait que les producteursécoulent les stocks <strong>et</strong> réduisentleurs achats destinés à <strong>la</strong>fabrication de produitsd'exportations, dans <strong>la</strong>perspective d'une demandefaible", a expliqué MorganStanley. "La forte contractiondes importations reflète leralentissementdesinvestissements intérieurs <strong>et</strong> de<strong>la</strong> demande de biensintermédiaires, <strong>et</strong> signalevraisemb<strong>la</strong>blement <strong>la</strong> poursuitede <strong>la</strong> faiblesse des exportationsà l'avenir", a aussi estimé JingUlrich de JP Morgan. C<strong>et</strong>teéconomiste souligne toutefoisque <strong>la</strong> baisse des exportationschinoises n'est pas "aussisévère que chez certains paysvoisins dépendant davantage deleurs exportations de haut<strong>et</strong>echnologie", comme Taïwan, leJapon ou <strong>la</strong> Corée du Sud.Pékin n'en a pas moins pris desmesures pour soutenir sesexportateurs,commel'augmentationdesremboursements de TVA pourcertains produits à l'exportation,dont l'<strong>industrie</strong> textile a été <strong>la</strong>dernière à bénéficier. Et si "leyuan est revenu au centre del'attention avec <strong>la</strong> nouvelleadministration américaine" quisouhaite son appréciation, <strong>la</strong>Chine devrait se contenter degarder le taux de change de samonnaie à un niveau "stable",indique Sherman Chan deMoody's Economy.com.COSMOPROF : Salon international des parfums <strong>et</strong> descosmétiques03 - 06 Avril 2009 Italie BologneE-mail : sogecos@cosmoprof.it Web : www.cosmoprof.comINTERPLASTICA KIEV : Salon international des technologies,équipements <strong>et</strong> Matières premières pour <strong>la</strong> production <strong>et</strong> leprocess des p<strong>la</strong>stiques <strong>et</strong> des caoutchoucs14 – 17 Avril 2009 KievExpoP<strong>la</strong>za Exhibition Center UkraineWeb :http://www.eventseye.com/fairs/f-interp<strong>la</strong>stica-kiev-10011-0.html E-mail exhibitions@theprimus.comEXPOCOSMETICA : Salon international de <strong>la</strong> cosmétique18 - 20 Avril 2009 PORTUGAL - PortoE-mail : info@exponor.pt Web : www.exponor.ptHANNOVER MESSE : Salon international des <strong>industrie</strong>s <strong>et</strong> destechniques.20 – 24 Avril 2009 Deutsche Messe Hannover AllemagneWeb :http://www.globalfairs.fr/-Hannover-Messe-.htmlE-mail info@messe.deIDENTIPLAST : Colloque sur l'identification <strong>et</strong> le tri desp<strong>la</strong>stiques.20 – 21 Avril 2009 Concert Noble Bruxelles BelgiqueWeb :http://www.eventseye.com/fairs/f-identip<strong>la</strong>st-1283-0.htmlE-mail hanane.taidi@p<strong>la</strong>sticseurope.orgIN-COSMETICS : Salon international de <strong>la</strong> parfumerie <strong>et</strong> descosmétiques21 - 23 Avril 2009 ALLEMAGNE - MunichE-mail : morgane.pruvot@reedexpo.co.ukWeb : www.reedexpo.com5


PLASTICSBEL : Salon international spécialisé dans lesp<strong>la</strong>stiques.21 – 24 Avril 2009 Belexpo - 14, Pobediteley ave. Minsk Bé<strong>la</strong>rusWeb :http://www.eventseye.com/fairs/f-p<strong>la</strong>sticsbel-9612-0.htmlE-mail info@grenexpo.byDUBAI PLAST PRO : Congrès sur les process du p<strong>la</strong>stique <strong>et</strong> lesapplications, Résines, machines, process, marchés <strong>et</strong>applications.27 – 29 Avril 2009 Crowne P<strong>la</strong>za Hotel – Dubai EAUWeb :http://www.eventseye.com/fairs/f-dubai-p<strong>la</strong>st-pro-607-0.html E-mail mbspolymer@bluewin.chhttp://www.animaweb.org/<strong>Une</strong> p<strong>la</strong>teforme multi-pays de développement économique de <strong>la</strong> Méditerranée.http://www.e24.fr/L’économie décryptée, tout de suite.http://www.br<strong>et</strong>agne-innovation.tm.fr/Créée en 1988 par le Conseil Régional de Br<strong>et</strong>agne, Br<strong>et</strong>agne Innovation est une association loi 1901 au service des P<strong>et</strong>ites <strong>et</strong>Moyennes Entreprises. Son but est d’animer <strong>et</strong> de coordonner l’ensemble des acteurs de l’innovation en Br<strong>et</strong>agne <strong>et</strong> de donner uneouverture européenne à ce dispositif. Lieu d'échanges <strong>et</strong> de réflexions, soutenant <strong>et</strong> encourageant les initiatives br<strong>et</strong>onnes en matièrede recherche <strong>et</strong> d’innovation.http://www.p<strong>la</strong>sticseuropr.org/P<strong>la</strong>sticsEurope est l'une des plus importantes associations professionnelles européennes avec des bureaux à Bruxelles, Francfort,Londres, Madrid, Mi<strong>la</strong>n <strong>et</strong> Paris. Elle est en lien avec des associations européennes <strong>et</strong> nationales du p<strong>la</strong>stique, <strong>et</strong> elle a plus de 100entreprises membres, produisant plus de 90% de tous les polymères dans les 27 états membres de l'UE ainsi qu'en Norvège, enSuisse, en Croatie <strong>et</strong> en Turquie.« Pour créer, il suffit d'avoir une grande imagination <strong>et</strong> une pile de vieilleries »Thomas Edison (1847 - 1931)6

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