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influence de programmes d'activites intermittentes sur la ...

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INFLUENCE DE PROGRAMMES D’ACTIVITES INTERMITTENTESSUR LA COMPOSITION CORPORELLE ET LA DENSITE MINERALEOSSEUSE CHEZ LES SENIORSMé<strong>la</strong>nie RANCE*, Béatrice MORIO**, Virginie RIMBERT**,Emmanuel VAN PRAAGH*, Yves BOIRIE**, Mario BEDU*, et Pascale DUCHE** Laboratoire inter-universitaire <strong>de</strong> Biologie <strong>de</strong>s Activités Physiques et SportivesUFR STAPS – Université B<strong>la</strong>ise Pascal – CLERMONT-FERRAND - B.P. 10463172 AUBIERE Ce<strong>de</strong>x – 04 73 40 79 76 – me<strong>la</strong>nie_rance@yahoo.fr**Laboratoire <strong>de</strong> Nutrition Humaine - 58, rue Montalembert - B.P.32163009 Clermont-FerrandINTRODUCTIONLe vieillissement humain s’accompagne <strong>de</strong> modifications <strong>de</strong> <strong>la</strong> compositioncorporelle qui se manifestent par une augmentation <strong>de</strong> <strong>la</strong> masse grasse (FM) et unediminution <strong>de</strong> <strong>la</strong> masse maigre (FFM) (Kohrt et coll., 1992 ; Poehlman et coll., 1995).Cette baisse <strong>de</strong> masse maigre est principalement causée par une perte <strong>de</strong> massemuscu<strong>la</strong>ire (Janssen et coll., 2000), mais aussi par une diminution du contenu minéralosseux entraînant alors une baisse <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>de</strong>nsité minérale osseuse (DMO). Cedéconditionnement est attribué aux désadaptations physiologiques et à l’inactivitéphysique visibles avec l’âge (Poehlman et coll., 1995 ; Pollock et coll., 1997).L’objectif <strong>de</strong> cette étu<strong>de</strong> était d’étudier l’<strong>influence</strong> <strong>de</strong> <strong>programmes</strong> simplesd’activités step et marche, <strong>de</strong> type intermittent, <strong>sur</strong> <strong>la</strong> composition corporelle et <strong>la</strong><strong>de</strong>nsité minérale osseuse d’une popu<strong>la</strong>tion senior active, âgée <strong>de</strong> 60 à 75 ans.METHODEAprès visite médicale, 25 seniors mixtes (67±4ans), ont participés à l’étu<strong>de</strong>. Cespersonnes étaient licenciées à <strong>la</strong> FFEPGV et participaient déjà à une heure par semained’activité gymnastique volontaire. La popu<strong>la</strong>tion a alors été divisée en trois groupes enfonction du programme d’activité : marche intermittente (G MI ; n= 8, âge=66±4ans),step intermittent (G SI ; n=8, âge=64±3ans) et contrôle (G C ; n=9, âge=70±4ans).Le programme réalisé pendant 12 semaines, une fois par semaine (ajouté à <strong>la</strong>séance hebdomadaire <strong>de</strong> gymnastique volontaire), était composé <strong>de</strong> séries alternant 30secon<strong>de</strong>s d’exercice (proche FCmax théorique) et 30 secon<strong>de</strong>s <strong>de</strong> récupération active.Le volume d’entraînement a progressé chaque mois (3 séries <strong>de</strong> 10 minutes, puis 3séries 12 minutes, et 2 séries <strong>de</strong> 20 minutes).Avant (T1) et après (T2) le programme, <strong>la</strong> composition corporelle (FM (%) etFFM (%)) a été évaluée par <strong>la</strong> métho<strong>de</strong> <strong>de</strong>s plis cutanés (PC) (Durnin et Womersley,1974), par bio-impédancemétrie (BIA) (50kHz) (Vaché et coll., 1998) et parabsorptiométrie biphotonique à rayons X (DEXA) à l’ai<strong>de</strong> d’une analyse corps entier(appareil HOLOGIC, QDR 4500, USA). La <strong>de</strong>nsité minérale osseuse (DMO) (g/cm²) aégalement été me<strong>sur</strong>ée par DEXA.RESULTATS-DISCUSSIONEn T1, une <strong>influence</strong> <strong>de</strong> <strong>la</strong> métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> me<strong>sur</strong>e <strong>de</strong> <strong>la</strong> composition corporelle a étéobservée <strong>sur</strong> l’échantillon complet. En effet, FM me<strong>sur</strong>ée par BIA (38.4±4.9%) est<strong>sur</strong>estimée (p


<strong>influence</strong> <strong>de</strong> <strong>la</strong> métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> me<strong>sur</strong>e <strong>de</strong> FM n’a été observée. Par contre, une <strong>influence</strong>significative <strong>de</strong> <strong>la</strong> métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> me<strong>sur</strong>e <strong>de</strong> FFM a été mise en évi<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> T1 à T2.L’évolution <strong>de</strong> FFM me<strong>sur</strong>ée par PC a été significativement différente (p

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