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Manger<br />

Niché en bordure de Sèvre<br />

Nantaise et accessible par une<br />

petite route bordée d’arbres et<br />

de verdure, le restaurant renoue<br />

avec son passé. En effet, David<br />

Landreau, aux fourneaux, et son<br />

épouse Marie, au bar et service,<br />

sont revenus prendre les destinées<br />

de « La Table de Buchet ». C’est un<br />

« come back » pour le cuisinier qui,<br />

sous l’impulsion d’anciens clients<br />

et de ses envies, a renfilé le tablier<br />

qu’il avait déjà de décembre 2004 à mai 2014. La restauration<br />

traditionnelle de qualité est de retour à Buchet, après deux<br />

années de disette.<br />

Le site de Buchet.<br />

« Le Buchet », ça se mérite ! Encaissé dans sa petite vallée sévrienne<br />

et proche de la Sèvre Noire, haut lieu touristique apprécié des badauds<br />

du dimanche, le site mérite le déplacement. Manger sur la terrasse<br />

l’été reste un privilège que chacun peut s’offrir. « L’été, c’est la guerre<br />

à la place. » souligne Marie Landreau avec un large sourire. Une guerre<br />

toute pacifique s’entend.<br />

Départ de balades pédestres, délesté d’un trop grand nombre de<br />

voitures, le Buchet se savoure d’une bonne bière bien fraîche (ou<br />

autre liquide, bien sûr !) au retour du pont de Barbin, autre curiosité<br />

vers laquelle les marcheurs peuvent aller. En résumé, deux mots pour<br />

caractériser l’endroit : site remarquable.<br />

La restauration.<br />

Expérimenté, le cuisinier a fait ses gammes culinaires en plusieurs<br />

endroits de France et d’Angleterre : Paris, la côte d’Azur, Londres, Cholet<br />

et… Buchet pendant dix années sur les trente ans d’exercice du métier.<br />

La Table de Buchet<br />

Une pause au bord de la Sèvre<br />

David Landreau s’attache à concevoir une cuisine traditionnelle de<br />

qualité. « Je m’applique à utiliser des produits locaux comme par<br />

exemple les escargots de Saint Paul en Pareds. Les viandes et les<br />

poissons viennent du MIN de Nantes. Ma cuisine, c’est quatre-vingt-dix<br />

pour cent de produits frais ! » dit-il. Le sandre y est conseillé. La mousse<br />

au chocolat blanc parfumée à l’huile d’olive et aux fruits de saison ne<br />

laisse pas indifférents les amateurs de dessert. « Nous changeons la<br />

carte tous les trois mois et cherchons l’originalité. » complète David<br />

Landreau.<br />

En projet.<br />

D’une capacité de soixante places, le restaurant est ouvert pour le<br />

service du mardi au dimanche, de 12h à 14h et le vendredi soir et<br />

samedi soir de 19h à 21h. Les autres soirs de la semaine, un service<br />

est possible pour un groupe de vingt personnes au minimum et sur<br />

réservation. Les clients disposent de quatre menus allant de 13.90 €<br />

à 31.10 € (voir encadré). Par ailleurs, les badauds peuvent s’offrir une<br />

boisson au bar pendant les horaires d’ouverture.<br />

Le projet envisagé dans un proche avenir consiste à créer une<br />

cuisine ouverte sur la salle de<br />

restauration afin que les clients<br />

puissent voir les cuisiniers<br />

travailler, « pour plus de<br />

transparence », rajoute David<br />

LLandreau. A noter que quatre<br />

personnes œuvrent à la bonne<br />

marche de l’entreprise : deux<br />

en cuisine et deux en service.<br />

Les menus<br />

Le Rubens à 13.90 €<br />

Le sur le pouce à 19.00 €<br />

Le Carla à 23.60 €<br />

L’Axel à 31.10 €<br />

La Table de Buchet<br />

Le Buchet - 85290 Saint Laurent sur Sèvre<br />

02 51 67 19 40 - latabledebuchet@gmail.com<br />

https://www.facebook.com/latabledebuchet/<br />

Le Casse-Croûte Vendéen à Pouzauges<br />

Dix ans déjà !<br />

situé à Pouzauges, au cœur<br />

même du bocage, à dix minutes<br />

du Puy du Fou, le Casse-Croûte<br />

Vendéen est un restaurant familial<br />

au concept unique dans le secteur.<br />

Il allie le goût à la tradition et à la<br />

modernité afin de vous accueillir<br />

dans un cadre rustique et magique.<br />

On y mange une cuisine créative,<br />

subtil mélange entre goût du terroir<br />

et goût du jour en privilégiant tout<br />

simplement la cuisine vendéenne,<br />

délicieuse et surprenante. Irène et Jean-Christophe Enfrein<br />

pilotent le tracteur qui sert de totem au restaurant. Des<br />

herbretais qui ont pris de la hauteur en s’installant à<br />

Pouzauges. Bienvenue dans la grange.<br />

Des Herbiers à Pouzauges.<br />

« On a les quatre fesses herbretaises ! » dit en rigolant Irène Enfrein.<br />

« Jean-Christophe a obtenu un CAP de pâtissier mais a d’abord été<br />

horticulteur, maraîcher, agriculteur. Son emploi du temps ne me<br />

plaisait pas et on ne se voyait pas très souvent. Pour ma part, j’ai<br />

fait des études de comptabilité et j’ai travaillé en service dans une<br />

cafétéria aux Herbiers puis dans une crêperie. Si on voulait avoir une<br />

vie commune, il fallait qu’on travaille ensemble. C’est ce qu’on a fait<br />

en s’installant au Bi-Cook aux Herbiers, une crêperie-grill. On est resté<br />

cinq ans. » Irène est intarissable et l’absence de Jean-Christophe à ce<br />

rendez-vous ne lui pose aucun problème. L’apprentissage sur le tas,<br />

comme elle dit, de la cuisine faite maison – sauf la fressure – a permis<br />

au fil des ans à Jean-Christophe d’acquérir une parfaite maîtrise des<br />

plats préparés, notamment des trois spécialités suivantes qui sont les<br />

plus demandées : la « grouss’ » assiette de dégustation avec « routchi »<br />

d’mogettes ; la poêlée « coin-coin » avec magret de canard et coquilles<br />

Saint-Jacques ; puis la tartine « nousàutes ». Il ne faudrait pas oublier<br />

non plus les fameuses « caillebottes ».<br />

Le casse-croûte vendéen.<br />

Cela a été conçu comme une grange en bois et l’endroit peut accueillir<br />

de cent-vingt à cent-quarante couverts et quatre-vingts en terrasse.<br />

L’été, ça peut aller jusqu’à trois-cents places (occasionnellement) !<br />

C’est dire qu’en cuisine, il ne faut pas chômer ! Douze personnes<br />

travaillent ici en période normale et deux ou trois de plus en été.<br />

Vous entrez donc dans un cadre dans lequel la décoration met en<br />

exergue la culture agricole locale « parce qu’on s’y sent bien. », précise<br />

Irène. Les restaurateurs voulaient un lieu simple, cool et convivial. La<br />

carte, tout en patois, est déjà un bon moment en soi. Faire son choix<br />

permet d’avoir le sourire aux lèvres. Si vous y allez un vendredi soir ou un<br />

dimanche soir, vous verrez le personnel en tenue de soirée paysanne.<br />

Ambiance garantie. Vous pouvez y jeter un coup d’œil sur le site :<br />

www.cassecroute-vendeen.com.<br />

Irène et Jean-Christophe sont là depuis dix ans et se sentent bien<br />

dans leur outil de travail. Dix ans, ça se fête et ils réfléchissent au<br />

jour et à la façon de les marquer. En ce qui concerne les projets, rien<br />

de spécifique en vue sachant qu’ils font un investissement régulier,<br />

environ tous les six mois. Les derniers correspondent à des travaux<br />

en terrasse, en cuisine, dans la déco des sanitaires (eh oui !) et en ce<br />

moment au niveau de la signalétique. Au Casse-croûte vendéen, on y<br />

va seul, en famille, en groupe. L’important, c’est qu’on s’y sente bien.<br />

Boune apetchi.<br />

Le Casse-Croûte Vendéen<br />

31 rue de la Mare – 85700 POUZAUGES<br />

Tél. : 02 51 61 72 80<br />

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