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du<br />
IVERSITÉ POPULAIRE<br />
THÉÂTRE<br />
ation de logotype<br />
oposition 2<br />
uleurs > Pantone Black / Pantone rouge 186<br />
erche de simplicité, lignes épurées, sobriété<br />
en scène des initiales UPT devant le rideau rouge de théâtre<br />
Université<br />
Populaire<br />
du<br />
Théâtre<br />
L'Université populaire du Théâtre,<br />
le théâtre qui fait réfléchir<br />
Qualité - Dialogue - Gratuité<br />
©Copyright SeeYou LangageDesign - Tel 04 72 42 08 08 - theodora.wingrove@wanadoo.fr • Dossier : Université Populaire du Théâtre/Onfray - maquette Logotype - 12/02/2013 • 4/12<br />
8<br />
José de San Martin<br />
Université<br />
Populaire<br />
Théâtre<br />
Simon Bolivar<br />
Mardi à 20h<br />
13/12<br />
Nombreux sont ceux qui<br />
connaissent Simon Bolivar,<br />
beaucoup moins ceux à<br />
qui le nom de José de San<br />
Martin est familier. L’un,<br />
autant que l’autre, pourtant,<br />
personnifie la libération de<br />
l’Amérique du Sud mettant<br />
fin au joug espagnol à l’orée<br />
du 19 ème siècle. La pièce<br />
raconte le face à face des<br />
deux hommes le 26 juillet<br />
1822 à Guayaquil avant les<br />
opérations finales.<br />
“Les Libertadores”: Simón Bolivar<br />
n’était pas le seul héros<br />
Contre toute attente, l’élément catalyseur<br />
de ce mouvement d’indépendance fut<br />
Napoléon. En détrônant le monarque<br />
espagnol en place pour le remplacer par<br />
son frère Joseph, Napoléon ouvrit une<br />
brèche dans le pouvoir de la métropole<br />
sur ses lointaines colonies et permit à<br />
la révolte de démarrer. Les premières<br />
déclarations d’indépendance en 1810<br />
marquèrent le début de longues années<br />
de guerre – dix ans pour le Mexique,<br />
bien plus encore en Amérique du Sud. Ni<br />
Bolivar ni San Martin n’étaient à l’origine<br />
du mouvement d’indépendance, mais ils<br />
en prirent rapidement la tête. Bolivar<br />
tenta d’abord de libérer son pays de<br />
naissance, le Venezuela, mais se trouva<br />
confronté à une forte résistance. Il partit<br />
alors vers l’ouest et libéra une partie de<br />
la Colombie avant de devoir faire marche<br />
arrière. Ce n’est qu’en 1819 qu’il arriva<br />
enfin à conquérir la Colombie. En y<br />
intégrant peu après le Venezuela, il se<br />
désigna président de la Grande Colombie.<br />
Ce qui devint par la suite l’Équateur fut<br />
également absorbé par cette Grande<br />
Colombie. De son côté José San Martin,<br />
né argentin mais élevé en Espagne, était<br />
revenu dans son pays de naissance pour<br />
prendre part à la guerre d’indépendance.<br />
Après avoir chassé les troupes royales<br />
de la majeure partie de l’Argentine, il<br />
fut empêché par des obstacles militaires<br />
et naturels de libérer le Pérou, perle de<br />
l’empire espagnol en l’Amérique du Sud.<br />
Une seule route possible s’offrait à lui,<br />
celle des Andes, qu’il réussit à franchir<br />
et qui lui permit de libérer le Chili. Il put<br />
ensuite atteindre le Pérou par la mer.<br />
En 1821 il n’avait conquis que les terres<br />
basses, l’Espagne contrôlant encore les<br />
Andes. Lorsque Bolivar et San Martin<br />
se rencontrèrent enfin à Guayaquil, le 26<br />
juillet 1822, la question la plus pressante<br />
était de décider qui achèverait la<br />
libération de l’Amérique du Sud. Seraitce<br />
San Martin, Protecteur du Pérou,<br />
Bolivar, Libérateur du Nord - ou les deux<br />
hommes alliés? Voilà le sujet de Les<br />
Libertadores. Et la raison pour laquelle le<br />
nom de Simón Bolivar résonne à ce jour<br />
davantage dans les mémoires que celui de<br />
José de San Martin. <br />
<br />
Alan Riding<br />
Auteur: Alan Riding<br />
qui participera au débat<br />
Mise en espace: Jean-Claude Idée<br />
Distribution:<br />
Général Simón Bolivar: François Pouron<br />
Général José de San Martin: Adrien Melin<br />
Colonel José Gabriel Perez: Mathieu Alexandre<br />
Major Roberto Canela: Jacques Neefs<br />
Colonel Tomás Guido: Simon Willame<br />
Entrée<br />
gratuite<br />
Réservation vivement<br />
recommandée<br />
02/374.64.84 ou<br />
reservation@ccu.be