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L’edito<br />

Au sujet de la publicité, les avis divergent<br />

dans notre équipe éditoriale. Certains<br />

dénoncent la manipulation qu’exercent les<br />

entreprises par le biais de spots télé tout en<br />

envoyant un sms à l’aide du tout dernier<br />

iPhone. D’autres sont réalistes et acceptent<br />

cette manipulation sans hargne mais avec<br />

une certaine lassitude. Et d’autres<br />

reconnaissent une certaine forme d’art et<br />

saluent la dernière campagne Orange<br />

« Réinventons la connexion ».<br />

Ces avis divergents n’ont pourtant rien à<br />

voir avec une différence d’âge ou de<br />

profession. Nous sommes ce qu’on appelle<br />

des millennials nous ne connaissons pas un<br />

monde sans SIDA, mais nous avons tenu<br />

dans nos mains encore boudinés une<br />

disquette, un walkman tout en sachant<br />

maintenant manipuler avec aisance un<br />

smartphone ou un Macintosh. Nous<br />

sommes étudiants dans une école de<br />

commerce près à se lancer dans la vie<br />

active. Nous pensions tout savoir sur la<br />

publicité, nous avons connu « Tu as poussé<br />

le bouchon un peu trop loin Maurice » ou<br />

encore la pub Tipp-Ex sur Youtube qui<br />

permet d’actionner des pubs alternatives<br />

selon ce qu’on indique dans le moteur de<br />

recherche. Pourtant nous nous sommes<br />

rendu compte que la publicité ne se<br />

modifie pas seulement par les nouveaux<br />

supports technologiques mais également<br />

par l’environnement et l’actualité qui<br />

l’entoure. Dernier exemple en date la<br />

publicité Airbnb au sujet des frontières<br />

(#WeAccept) qui faisait echo au discours<br />

rassembleur (ironie) du Président Trump.<br />

Ainsi peu importe notre avis ou ce que nous<br />

pensions savoir, les faits que nous vous<br />

exposons dans ce numéro spécial vous<br />

permettront, comme ils nous l’ont permis,<br />

de cerner au mieux la publicité de demain<br />

afin de pouvoir l’aborder de manière<br />

efficace dans vos projets futurs.<br />

Cette analyse de la publicité nous a ainsi<br />

aider à écrire cet éditorial : la publicité de<br />

demain en quelques mots c’est l’émotion,<br />

l’implication des consommateurs et la<br />

technologie. A défaut de pouvoir vous<br />

fournir un casque de réalité virtuelle, nous<br />

vous proposons de l’émotion grâce à ces<br />

mots pleines de sincérité et à nos portraits<br />

amusants. Et en plus de cette émotion<br />

débordante nous vous proposons de<br />

l’implication en vous proposant de faire un<br />

tour sur notre site où vous pourrez donner<br />

votre avis et peut être avoir la chance<br />

d’être publié dans le prochain numéro.


N’oubliez pas de nous suivre sur Facebook,<br />

Twitter, Instagram, Snapchat, Youtube, …


L’histoire<br />

Autrement dit, elle est indispensable pour<br />

une entreprise si cette dernière<br />

veut accroitre la vente d'un produit ou d’un<br />

service.<br />

Actuellement, il existe différents<br />

supports publicitaires traditionnel : la<br />

télévision, la radio, la presse, l'affiche, le<br />

cinéma, les relations publiques …<br />

Mais comment ont évolués les supports<br />

publicitaires traditionnels? Afin de<br />

répondre à cette question, il faut tout<br />

d'abord étudier l'évolution des différents<br />

médias publicitaires jusqu'à la télévision,<br />

puis son apogée jusqu'à nos jours, et<br />

l'apparition des supports web.<br />

La publicité existe depuis l'antiquité. Des<br />

fresques sur des murs grecs représentent la<br />

première forme de publicité visuelle. C’est<br />

au XVe siècle lorsque Johannes Gutenberg<br />

invente l'imprimerie que l’on peut<br />

constater l’apparition des premiers flyers<br />

qui avec le temps remplacèrent les crieurs<br />

publics.<br />

Depuis lors, la publicité est devenue un<br />

facteur déterminant de l'économie, de la<br />

presse et des médias. Ce n'est que, le 29<br />

juillet 1881, que va apparaître pour la<br />

première fois la loi sur la liberté<br />

d'expression, ce qui va permettre la<br />

publicité de la presse écrite et de<br />

l'affichage.<br />

La " réclame " deviendra alors illustrée et<br />

elle a profité de l'évolution de la technique<br />

de l'impression et de la reproduction.<br />

De 1836 à 1839, la presse écrite est le<br />

principal support publicitaire. En 1896, plus<br />

de 37% des recettes du journal<br />

« Figaro »est dues à la publicité. Ce support<br />

était favorisé car créer une affiche<br />

publicitaire coûtait dans les alentours de 12<br />

francs, alors qu'un journal ne coûtait que<br />

50 centimes. De ce fait, un accès à la<br />

publicité de presse est beaucoup plus<br />

simple et bon marché.<br />

À partir de 1926, la première agence de<br />

publicité française créée par Marcel<br />

Germon, va inventer le système de la mise<br />

en forme visuelle et textuelle d'un message<br />

publicitaire afin de le mettre en valeur.<br />

"Les Trente glorieuses " marquent une<br />

forte étape de la publicité due à la mutation<br />

favorable de l’économie. L'exode rurale a<br />

augmenté le niveau de vie et a créé une


hausse de la production qui entraîne<br />

naturellement un effort publicitaire. La<br />

publicité de presse représente 67 % de<br />

l'investissement publicitaire dans les<br />

années 1950. C'est la photographie qui a le<br />

plus développé le domaine publicitaire.<br />

Dans les années 1930, nous voyons<br />

apparaître un nouveau support potentiel<br />

pour le développement de la création<br />

publicitaire : la télévision. À l'époque, les<br />

publicités commerciales de marques<br />

étaient interdites sous les ondes de la<br />

radiodiffusion télévision Française (RTF).<br />

Trente ans plus tard, seuls 2 millions de<br />

foyers sont équipés d'une réceptrice<br />

télévision.<br />

En France c’est en 1959 que la publicité<br />

télévisuelle est autorisée. C'est à cette<br />

même date que débute la publicité en<br />

caricature. La caricature publicitaire<br />

présente un produit banal avec originalité,<br />

il incite l'achat de manière différente par<br />

rapport à une publicité simple qui ne fait<br />

qu’énumérer les qualités d’un produit dans<br />

un cadre idyllique.<br />

En 1979, la presse écrite et quotidienne<br />

reste tout de même au sommet du budget<br />

de la France. Six ans plus tard, en 1985, on<br />

remarque que la presse et la télévision sont<br />

les supports favoris de la publicité, car elle<br />

permet d'avoir un excellent<br />

rapport coût bénéfice. Le secteur<br />

publicitaire représentait alors 0,76% du PIB<br />

français et employait plus de 50 000<br />

personnes dans les années 90.<br />

2000 est l'année de l'explosion d'Internet.<br />

À cette époque, internet représentait plus<br />

de 122 millions d'euros d'investissement en<br />

France. Il est devenu le nouveau support<br />

incontournable de la publicité.<br />

Alors que le marché de la publicité sur<br />

Internet représente actuellement des<br />

milliards de dollars, il n'en était rien en<br />

1994.<br />

Afin de mieux comprendre la publicité sur<br />

le web d'aujourd'hui, il est préférable de<br />

faire un petit retour sur l'histoire de la<br />

première publicité en ligne.<br />

Le 27 octobre 1994, une bannière<br />

publicitaire est intégrée au code du site<br />

HotWired.com, l’un des premiers<br />

magazines en ligne. Sa taille, qui faisait<br />

468×60 pixels, a fixé la norme pour les<br />

futures bannières, jusqu'à ce que la


ésolution des écrans d'ordinateurs évolue.<br />

Cette bannière publicitaire au graphisme<br />

coloré sur fond noir a été réalisée par<br />

l'agence moderne média, plus<br />

particulièrement par Joe McCambley. Il<br />

s'agissait d'une commande pour<br />

l'opérateur de téléphonie<br />

américaine AT&T.<br />

Cette publicité débarque, alors que les sites<br />

d'e-commerce viennent tout juste d'être<br />

déclarés légaux. Au début des années 1990,<br />

le web représentait un marché encore<br />

naissant et peu exploré sur lequel proposer<br />

de nouvelles choses aux utilisateurs<br />

relevait d’un défi quotidien. Il y avait une<br />

volonté d'innover et de tailler ce web brut.<br />

Selon Joe McCambley, dans un revenu sur<br />

l'histoire, la Harvard Business Review :"<br />

nombreux étaient, à cette époque, les<br />

pionniers de la publicité numérique qui<br />

cherchaient non pas comment vendre<br />

quelque chose aux clients, mais plutôt<br />

comment les aider et leur rendre service".<br />

En cliquant sur la bannière l'utilisateur se<br />

retrouve sur un microsite où ils pouvaient<br />

trouver une liste des plus grands musées.<br />

«Nous avons vu notre annonce comme une<br />

sorte d'annonce de service public»,<br />

explique Otto Timmons, qui a aussi travaillé<br />

sur la bannière. À cette époque, l'objectif<br />

principal consistait à montrer<br />

qu'AT&T était capable de faire voyager les<br />

utilisateurs du web à travers le temps et<br />

l'espace via Internet. Parmi les personnes<br />

qui ont vu la bannière, 44% d'entre eux ont<br />

cliqués.<br />

Au fil des années, elle a, selon le célèbre<br />

magazine "Business Insider", rapporté<br />

plusieurs milliards de dollars. Très vite, la<br />

publicité a commencé à envahir Internet.


Nouvelles technologie<br />

Nous sommes entourés par la technologie.<br />

Difficile de faire un pas sans son<br />

smartphone à la main. Ou de s’abstenir de<br />

faire des recherches Google sur son lieu de<br />

travail.<br />

C'est justement notre addiction ou plutôt à<br />

notre dépendance à la technologie que<br />

celui-ci est devenue incontournable pour la<br />

création. Il faut savoir que la majorité de la<br />

population mondiale est attirée par les<br />

nouvelles innovations notamment en<br />

matière de nouvelles technologies de<br />

l'information et de la communication<br />

(NTIC) connu maintenant derrière le terme<br />

« digital ». Prenons exemple sur la<br />

population française, 80 % de la population<br />

utilise un portable ou un smartphone. Et la<br />

France est au 8e rang des pays qui utilisent<br />

le plus Internet. Ce dernier a connu une<br />

hausse de 65 % si l'on considère l’ensemble<br />

de la France (Dom inclus).<br />

Internet est donc le moyen le plus efficace<br />

pour cibler le plus de personne possible en<br />

vue du nombre d’utilisateur. Néanmoins on<br />

constate que malgré le fait qu’Internet<br />

puisse s’adresser une large audience, les<br />

publicitaires préfèrent cibler des<br />

consommateurs spécifiques. Et la récolte<br />

de données facilite cette action. Les<br />

publicitaires peuvent obtenir les<br />

informations nécessaires sur les<br />

consommateurs comme par exemple ce<br />

qu'ils veulent posséder, ce qu'ils<br />

apprécient, ce qu'ils achètent, ce qu’ils<br />

cherchent … Ainsi il est possible de<br />

posséder des renseignements sur le<br />

comportement en ligne des utilisateurs.<br />

L’engouement pour les réseaux sociaux ne<br />

fait que faciliter cette action. Par exemple,<br />

sur Facebook, devenir « ami » ou bien « fan<br />

» d'une marque, signifie aussi donner<br />

l'accès de nos informations personnelles<br />

aux publicitaires. L’action de « liker »,<br />

permet de ce fait de développer au mieux<br />

leur commerce et de cibler plus<br />

précisément leur clientèle. En parallèle, les<br />

informations que le client divulgue par le<br />

biais des réseaux sociaux lors de notre<br />

inscription guident l'affichage des<br />

publicités. Ce qui est bien sûr un atout pour<br />

une stratégie marketing. En connaissant le<br />

plus précisément possible les habitudes<br />

d’achats et le comportement global de<br />

notre clientèle c’est en réalité savoir ce que<br />

le client souhaite pour trouver au mieux la<br />

réponse à leurs besoins.<br />

Ce ciblage s’effectue aussi dans le domaine<br />

de la télévision, mais cela est moins précis.<br />

Par exemple les publicités de jouets ou de


céréales pour enfants sont principalement<br />

diffusées le matin juste avant le début des<br />

cours. Les publicités sont programmées par<br />

tranche horaire selon les caractéristiques<br />

du public ciblé et des produits à<br />

commercialiser.<br />

D'un côté la mise en valeur des produits<br />

passe aussi par l'utilisation de nouveaux<br />

technologiques. Coca-cola par exemple,<br />

utilise un marketing multicanaux incluant<br />

de nombreux médias et technologies<br />

comme la télévision et les réseaux sociaux.<br />

Les publicités Coca-cola ne sont pas<br />

seulement diffusées à la télévision, mais<br />

cette marque utilise aussi le site officiel de<br />

la marque pour partager sa publicité sur<br />

Internet. C’est l’optimisation des différents<br />

supports existants. Cette utilisation des<br />

multicanaux est essentielle, en vue de leur<br />

stratégie. Elle ne vise personne en<br />

particulier, sa cible est large et sa clientèle<br />

comprend aussi bien les enfants que les<br />

adultes (même s’il existe des gammes<br />

destinées à une cible précise). Son but est<br />

d’être présent dans l’esprit de tous sans<br />

exception.<br />

Selon la stratégie de l’entreprise, il n’est<br />

pas nécessaire de passer par des<br />

multicanaux. Néanmoins la présence sur<br />

Internet est maintenant indispensable pour<br />

l’identité d’une marque. Presque toutes les<br />

entreprises possèdent au moins un site<br />

web ou un compte sur un réseau social.<br />

Ceci peut s’illustrer comme la phase 1 de<br />

l’implantation de la technologie au sein des<br />

relations entre la marque et ses clients.<br />

Être présent sur le web, signifie que<br />

l’entreprise existe.<br />

Cette phase est bien ancrée dans la<br />

stratégie marketing. Les entreprises se<br />

distinguaient par la création d’un site web<br />

ou leur compte Facebook. Mais maintenant<br />

ce n’est plus le cas. La généralisation des<br />

sites ont incités les entreprises à se<br />

différencier davantage au-delà de la<br />

conception du site qui est de plus en plus<br />

professionnel et attrayant. Nous passons<br />

ainsi à la phase 2 : le contenu.<br />

Certes votre entreprise « existe » au niveau<br />

web, maintenant il faut le rendre utile. Le<br />

site doit se concentrer sur les intérêts des<br />

consommateurs, répondre à ses questions<br />

afin de lui expliquer en quoi ce bien ou ce<br />

service lui est bénéfique. Ces réponses se<br />

présentent sous la forme d’articles savants<br />

reprenant toutes les caractéristiques du<br />

bien ou service à vendre. Encore une fois<br />

cette phase semble bien être saisie par<br />

toutes les entreprises. Nous passons ainsi à<br />

la phase 3 qu’on appellera le contenu bis.


En plus des articles explicatifs en lien direct<br />

avec ce que l’entreprise offre, le site<br />

propose des articles qui représentent<br />

l’univers, les valeurs et la qualité de la<br />

marque. Par exemple le site de Generators<br />

Hostels (site de réservation d’auberge de<br />

jeunesses) propose des articles sur les villes<br />

où il est implanté ou encore des<br />

témoignages. Ainsi sous forme déguisé, on<br />

incite le client à consommer chez nous, non<br />

pas en lui proposant un bien ou un service<br />

mais en lui proposant un univers, une<br />

communauté. Ce même principe nous le<br />

retrouvons chez les marques de luxe : nous<br />

n’achetons pas juste un sac Louis Vuitton,<br />

nous achetons notre ticket d’entrée à un<br />

cercle fermé.<br />

Autre moyen d’attirer le consommateur à<br />

acheter, c’est d’associer une marque à une<br />

autre grâce à des jeux en ligne. Sur le site<br />

de la boisson Fanta on peut jouer<br />

gratuitement à Guitar Hero. Le but étant<br />

d’associer ce jeu à la boisson. Dans ce cas,<br />

c’est l’association de deux univers.<br />

Encore une fois, la création d’une<br />

communauté autour de la marque ne<br />

semble plus suffisante pour se distinguer<br />

des autres. Même si l’entreprise dispose du<br />

meilleur rédacteur afin de décrire les<br />

bienfaits d’un produit, nul ne vaut les avis<br />

des consommateurs afin de se décider. Il<br />

est maintenant rare de réserver un hôtel<br />

sans regarder l’avis des consommateurs.<br />

Cette immersion est aussi proposer à l’aide<br />

de caisse de réalité virtuelle qui propose de<br />

manière plus interactif avec une immersion<br />

dans les valeurs d’une marque.<br />

En ce sens, les entreprises ont bien compris<br />

que l’implication du client dans la création<br />

publicitaire est un plus. Par exemple la<br />

marque anglaise « Talktalk » dispose d’un<br />

jeu interactif sur son site où l'on peut créer<br />

des dessins et les soumettre à la marque.<br />

Les meilleurs dessins vont être utilisés dans<br />

le spot de celle-ci. Ainsi comme Apple qui<br />

affiche les photographies de ses utilisateurs<br />

sur les panneaux publicitaires, TalkTalk<br />

inclut les utilisateurs en les faisant<br />

participer à leur campagne publicitaire<br />

Cette volonté de faire participer le<br />

consommateur à la création permet de<br />

crédibiliser la marque. Mais aussi elle<br />

permet de communiquer différemment.<br />

Avant les marques présentaient leur<br />

univers et incitaient les clients potentiels à<br />

faire partie de cette communauté.


Maintenant nous tendons à aller dans<br />

l’autre sens. On constate l’univers du client<br />

et nous démontrons que la marque<br />

correspond à celui-ci.<br />

En ce sens le consommateur trace un<br />

chemin à suivre pour les entreprises. La<br />

considération des valeurs mais aussi des<br />

attentes clients sont de plus en plus<br />

importantes. Les marques doivent être<br />

sensibilisées aux problématiques de la<br />

consommation responsable aussi bien aux<br />

problématiques sociétales afin de ne pas<br />

être déconnectés de la réalité que<br />

subissent les consommateurs. Ainsi les<br />

questions de l’environnement<br />

s’entrecroisent avec la médiatisation des<br />

droits de la femme en passant par la<br />

légalisation du mariage homosexuel. La<br />

publicité doit refléter l’image<br />

d’aujourd’hui, afin de correspondre à<br />

l’évolution du monde. Bien sûr cela n’est<br />

pas fait juste par conviction, c’est surtout le<br />

fait d’apporter une image positive et<br />

progressive à la marque et de donner au<br />

consommateur du sens à l’achat.<br />

La création publicitaire de demain c’est<br />

avant tout anticiper les évolutions<br />

technologiques mais aussi comprendre et<br />

saisir le plus rapidement possible<br />

l’environnement. Ainsi il est nécessaire<br />

d’adapter son produit mais aussi son image<br />

à l’actualité pour ne pas être décalé de ce<br />

qui nous entoure. A l’heure d’Internet,<br />

l’évolution technologique et le changement<br />

de la société doit être pris au sérieux par les<br />

entreprises afin de pouvoir prospérer dans<br />

le temps.

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