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00.00 Tangram Book Paysage - Maj 29.07.19

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PAYSAGE


TANGRAM ARCHITECTES<br />

<strong>Tangram</strong> est une agence d’architecture, d’urbanisme et<br />

de paysage, fondée en 2009, rassemblant 80 personnes<br />

de 15 nationalités différentes.<br />

Depuis novembre 2018, l’agence s’est installée dans<br />

l’ancien siège des Affaires Maritimes situé dans le quartier<br />

République, dans le secteur Euroméditerranée, au cœur<br />

de Marseille.<br />

Le nom de l’agence s’inspire du jeu du <strong>Tangram</strong> constitué<br />

de formes géométriques élémentaires, dont l’assemblage<br />

patient et la complémentarité font sens par la création<br />

d’une infinité de combinaisons.<br />

L’équipe est constituée de sept pôles travaillant en<br />

étroite collaboration : Urbanisme, <strong>Paysage</strong> & Espace<br />

public, Logement, Hôtel & Equipement public, Tertiaire &<br />

Industriel, Architecture intérieure et Chantier.<br />

Trois spécialités transversales en Recherche & Innovation,<br />

BIM management et Architecture bois complètent<br />

l’équipe pour assurer une progression constante des<br />

réalisations.<br />

La diversité des collaborateurs et des métiers, la culture<br />

et la sensibilité de chacun, les regards croisés sur des<br />

sujets communs permettent de renforcer les concepts au<br />

service du projet.<br />

Les projets de l’agence procèdent d’une analyse fine<br />

des complexités géographiques, historiques, sociales,<br />

urbaines, culturelles et économiques afin d’aboutir à des<br />

réalisations justes et ancrées dans leur site. Parce que ces<br />

études sont utiles aux hommes qui forment et animent<br />

un territoire, l’agence place le curseur au service de la<br />

qualité de vie et de l’intérêt général.<br />

Cet engagement s’exprime, dans la pratique de l’agence,<br />

par la générosité, afin de concevoir un cadre de vie porteur<br />

de sens, respectueux des hommes et des territoires.


DES PROJETS<br />

Acteur de la mutation de Marseille, <strong>Tangram</strong> a apporté<br />

son savoir-faire dans de nombreux projets structurants<br />

parmi lesquels la construction de la station de métro<br />

La Blancarde, la semi-piétonisation du Vieux-Port et la<br />

transformation de l’Hôtel-Dieu en hôtel 5*.<br />

Aujourd’hui, l’agence s’engage plus largement encore<br />

dans le renouveau de la métropole Aix-Marseille<br />

Provence en participant à des projets de grande ampleur<br />

comme l’extension de l’aéroport Marseille Provence,<br />

la transformation de la rocade du Jarret en boulevard<br />

urbain multimodal, la requalification du Cours Lieutaud<br />

et la requalification du centre-ville de Marseille.<br />

En Provence, <strong>Tangram</strong> mène des projets emblématiques<br />

tels que le Sculpture Park de Château La Coste, la<br />

réhabilitation du Campus universitaire d’Aix-en-<br />

Provence, les écoquartiers Joly Jean à Avignon et<br />

Marenda Lacan à Antibes.<br />

En France, l’agence conduit la transformation des<br />

anciennes blanchisseries des Hospices Civils de Lyon<br />

en logements et commerces, la réalisation du groupe<br />

scolaire Simone Veil à Villeurbanne, la réalisation<br />

d’hôtels à Paris, et poursuit des projets d’urbanisme en<br />

Guyane et à la Réunion.<br />

Hors de nos frontières, après avoir mené la construction<br />

de six hôtels de luxe en Asie du Sud-Est et développé<br />

une cité scolaire à Rangoon au Myanmar, <strong>Tangram</strong> mène<br />

plusieurs études d’urbanisme au Ghana et à Madagascar,<br />

et développe un projet hôtelier au Vietnam.<br />

L’agence collabore régulièrement avec de nombreux<br />

confrères, parmi lesquels Tadao Ando, Michel Desvigne,<br />

Christian Devillers, Norman Foster, Sou Fujimoto, Frank<br />

O. Gehry, Jean Nouvel ou Renzo Piano. Ces expériences,<br />

très enrichissantes, permettent à l’équipe d’augmenter<br />

son niveau d’exigence et la qualité de sa production.


PAYSAGE<br />

Le pôle paysage développe des projets de création ou de<br />

requalification d’espaces publics, de parcs et de jardins, privés<br />

ou publics. Constituée de six à huit paysagistes, l’équipe<br />

travaille en relation étroite avec architectes et urbanistes,<br />

pour concevoir les espaces extérieurs des projets de l’agence.<br />

Le pôle collabore également avec d’autres confrères, et<br />

notamment Philippe Starck, Triptyque, Laisné-Roussel ou<br />

encore Architecture Studio.<br />

Dans chaque projet, l’équipe s’attache à révéler les qualités<br />

cachées ou oubliées des lieux. Parce que le paysage n’est pas<br />

l’espace vert, parce que ce n’est pas ce qui reste lorsqu’on a<br />

enlevé les infrastructures et les bâtiments, nous comprenons<br />

notre objet d’étude dans l’acception du dictionnaire, qui définit<br />

le paysage comme l’étendue offerte au regard.<br />

Nous nous inscrivons ainsi dans une démarche globale qui<br />

analyse les lieux comme un système stratifié, fruit d’un<br />

environnement et d’une histoire, d’une donne de départ<br />

physique et géographique, et d’un travail de l’homme.<br />

Le pôle est piloté par Laure de Buzon qui anime le groupe<br />

de travail et assure la cohérence et la continuité des études.<br />

L’équipe a développé de nombreux projets et notamment,<br />

le Vieux-Port, le Rond-Point du Prado, les places du Quatre-<br />

Septembre, des Capucines et de la Blancarde, les Jardins de<br />

l’Hôtel-Dieu à Marseille, le parc de Château La Coste au Puy-<br />

Sainte-Réparade, les espaces publics de l’écoquartier Joly Jean<br />

à Avignon, les places du Château et de la Fontaine à Mandelieu.<br />

Actuellement, le pôle mène les études de la requalification<br />

du Cours Lieutaud, ainsi que, en étroite collaboration avec<br />

l’agence Devillers et Associés, la transformation de la rocade<br />

du Jarret en boulevard urbain. Ces deux projets, complétés<br />

par notre expérience, à Marseille et ailleurs, nous confère une<br />

réelle expertise dans la requalification d’espaces publics.<br />

Nous prenons du plaisir, particulièrement, à intervenir sur<br />

l’espace public. Le sens que nous lui donnons, c’est le sens de<br />

l’intérêt général. C’est, pour nous, une posture dogmatique<br />

et déontologique, qui s’exprime dans notre pratique par la<br />

générosité laissée aux espaces libres, la bienveillance à l’égard<br />

de chaque usage passé, présent et à venir et une forme de<br />

simplicité dans l’aménagement.


E S P A C E P U B L I C<br />

REQUALIFICATION DU CENTRE-VILLE<br />

Marseille (13)<br />

La réflexion sur l’aménagement des espaces publics du centre-ville de<br />

Marseille s’inscrit dans la structure d’ensemble du Plan Guide élaboré<br />

par les agences MDP et <strong>Tangram</strong> en 2015. Elle propose d’étendre la<br />

requalification de la façade maritime, amorcée par le projet du Vieux-<br />

Port, jusqu’aux rues du centre-ville pour leur conférer une identité<br />

géographique singulière et améliorer le partage de l’espace public<br />

en faveur des piétons et de créer un vaste espace cohérent et lisible,<br />

propice à la déambulation.<br />

En préambule des missions de maîtrise d’œuvre, le groupement a<br />

élaboré une charte de qualité urbaine visant à définir les principes de<br />

composition des espaces publics.<br />

Le périmètre opérationnel de la présente mission de maîtrise s’étend<br />

sur 23 secteurs et 72 hectares d’espaces publics visant à piétonniser<br />

22 hectares. Préliminaire nécessaire à la piétonnisation du centreville,<br />

la première tranche de travaux correspond au réaménagement<br />

de la gare de bus de Bir Hakeim / Fabres et à la création d’un pôle bus<br />

Cours Jean Ballard, qui accueille désormais les lignes partant vers<br />

le sud de la ville. Ainsi, la Canebière sera piétonnisée dès l’été 2019<br />

dans sa partie basse : l’actuelle voirie sera reprise en pavé et mise à<br />

niveau des trottoirs actuels afin de jeter les bases d’une aire piétonne<br />

propice à la promenade. Dans ce cadre, l’agence MDP a défini, dans<br />

le cadre des études préliminaires et de la charte de qualité urbaine,<br />

les grands principes d’aménagement sur les 23 secteurs. Par la suite,<br />

<strong>Tangram</strong> a pris en charge la conception des secteurs situés au sud de<br />

la Canebière (Canebière comprise) et le suivi d’exécution des travaux<br />

de l’ensemble du périmètre.<br />

©<strong>Tangram</strong><br />

©AMGraphisme<br />

Année : 2021 - en cours<br />

Maître d’ouvrage : Aix Marseille Provence Métropole<br />

– DGA délégué aux grandes infrastructures<br />

Groupement : Ingérop (mandataire), Michel Desvigne<br />

Paysagiste, <strong>Tangram</strong>, Stéphane Baumeige (architecte<br />

du patrimoine), Latérale (concepteur lumière).<br />

Programme : Requalification des espaces publics de<br />

la Canebière, du cours Jean Ballard et de place Charles<br />

de Gaulle<br />

Surface : 72 ha<br />

Montant des travaux : 60 M€ H.T.


E S P A C E P U B L I C<br />

COURS LIEUTAUD<br />

Marseille (13)<br />

©AMGraphisme<br />

Le Cours Lieutaud ne répond plus, aujourd’hui, aux principes qui<br />

ont prévalu à son dernier réaménagement en 1955, lorsque, à l’ère<br />

du tout-voiture, Marseille coupait ses platanes pour les remplacer<br />

par des voies de circulation. Le principe premier du projet est donc<br />

de profiter de la réduction de l’emprise de la voirie pour restituer<br />

au Cours ses attributs du XIXème siècle : une avenue plantée<br />

d’arbres d’alignement, invitant à la promenade et révélant ainsi un<br />

axe agréable à l’échelle de la ville. L’objectif est de reconquérir cet<br />

espace public pour l’adapter aux enjeux du XXIème siècle.<br />

La qualité originelle du Cours est donc restituée par la restauration<br />

et la mise en valeur des éléments patrimoniaux, par la plantation<br />

de platanes en alignement sur l’ensemble de l’axe et par la création<br />

d’itinéraires continus pour les piétons et les cyclistes.<br />

Au-delà de la requalification urbaine, notre projet vise à réconcilier<br />

un maximum d’usagers pour partager ce projet avec tous. La<br />

répartition des usages sur l’espace public se veut plus équitable<br />

et plus ordonnée. L’espace gagné sur la voirie est partagé<br />

objectivement entre tous : riverains et commerçants ; piétons,<br />

cyclistes, motards et automobilistes.<br />

La forte représentation actuelle du commerce lié aux deux-roues a<br />

créé l’identité commerciale du Cours Lieutaud à l’échelle de la ville,<br />

par un mouvement quasi métonymique. Le projet tend à valoriser<br />

cette singularité commerciale en ordonnant l’exposition des deuxroues<br />

sur une bande délimitée, dans la stricte longueur de la façade.<br />

Cette forte représentativité ne doit néanmoins pas éclipser les<br />

autres usages présents, ni ceux qui pourraient survenir à la faveur<br />

d’une requalification réussie. Nous avons donc conçu notre projet<br />

dans un souci de réversibilité des espaces publics : les bandes<br />

d’exposition commerciales peuvent, sans difficulté, se transformer<br />

en terrasse de café…<br />

Année : 2020 - en cours<br />

Maître d’ouvrage : Aix-Marseille Provence Métropole<br />

Groupement : <strong>Tangram</strong> (mandataire), Donjerkovic,<br />

Latérale, Artelia<br />

Mission : Maitrise d’oeuvre des espaces publics<br />

Programme : Requalification d'espace public<br />

Linéaire : 1.3 km<br />

Montant des travaux : 12 M€ H.T.


1910<br />

2010 2020<br />

©AMGraphisme<br />

©<strong>Tangram</strong>


E S P A C E P U B L I C<br />

COURS LIEUTAUD<br />

Marseille (13)<br />

©<strong>Tangram</strong>


E S P A C E P U B L I C<br />

LE BOULEVARD URBAIN DU JARRET<br />

Marseille (13)<br />

©AMGraphisme<br />

Le Jarret est une rivière, venant du massif de l’Étoile et se jetant dans<br />

l’Huveaune. Busée depuis les grands travaux d’infrastructures de 1955,<br />

elle a disparue du paysage marseillais pour laisser la place à une large<br />

rocade, encombrée et bruyante, ménageant 6 voies de circulation<br />

mais des trottoirs réduits et encombrés. Par sa connexion à l’autoroute<br />

A7 au Nord et à l’autoroute A50 au Sud, la rocade du Jarret constitue<br />

actuellement l’unique itinéraire de contournement de la ville. La<br />

réalisation de la L2 permettra de reporter le trafic de transit sur une<br />

infrastructure ainsi dédiée et aménagée en conséquence, permettant<br />

aux cinq boulevards qui constituent la rocade du Jarret de retrouver<br />

une fonction de desserte inter-quartier. L’opportunité de cette<br />

requalification complète est de transformer radicalement la rocade<br />

en un boulevard urbain en déployant une stratégie de reconquête des<br />

espaces publics fondée sur le développement de nouveaux usages.<br />

Pour ce faire, le projet tend à gommer les stigmates routiers :<br />

suppression du terre-plein central, modification des carrefours<br />

en supprimant le fonctionnement en giratoire percé, création de<br />

larges trottoirs et d’une piste cyclable, augmentation du nombre de<br />

passages piétons, plantations généreuses… Dans le cadre de ce projet,<br />

<strong>Tangram</strong> a pour mission de concevoir, en étroite collaboration avec<br />

l’agence Devillers et Associés, la section comprise entre le boulevard<br />

Chave et l’avenue de la Blancarde. Autour du square Vallier, l’espace<br />

public se dilate, donnant l’occasion d’évoquer la rivière. Un puits, sur<br />

le trottoir, donne à voir la rivière ; un jeu de lumière l’éclaire. Le projet<br />

prend sa source ici pour s’immiscer dans le square, agrandi, largement<br />

végétalisé. Le parvis de la piscine du complexe Vallier est redessiné : le<br />

sol du boulevard s’étire jusqu’au complexe Vallier où se ménage un axe<br />

sportif.<br />

Année : 2020 - en cours<br />

Maître d’ouvrage : Aix-Marseille Provence Métropole, DIFRA<br />

Groupement : Devillers et Associés (mandataire), <strong>Tangram</strong>,<br />

8’18’’, Réussir l’Espace Public, Ingérop<br />

Missions : Conception de la section comprise entre le<br />

boulevard Chave et l’avenue de la Blancarde, Maitrise d’oeuvre<br />

des espaces publics, Suivi d’exécution de l’ensemble du linéaire<br />

Programme : Requalification d’espace public<br />

Surface : 3.6 km<br />

Montant des travaux : 54 M€ H.T.


E S P A C E P U B L I C<br />

LE BOULEVARD URBAIN DU JARRET<br />

Marseille (13)<br />

Salle de spectacle du Dôme<br />

Complexe sportif Vallier<br />

Hopital de la Timone<br />

©Devillers et Associés<br />

©<strong>Tangram</strong>


E S P A C E P U B L I C<br />

PLACES DU CHATEAU ET DE LA FONTAINE<br />

Mandelieu-la-Napoule (06)<br />

Face au Château de la Napoule, les deux places dites<br />

du Château et de la Fontaine sont historiquement<br />

lieés l’une à l’autre mais entrecoupées par la ligne<br />

ferroviaire. Dans ce secteur si touristique, entre la plage<br />

de la Raguette et le Château des Clews, la dimension<br />

patrimoniale de ces deux placettes est obérée par la<br />

multitude d’enseignes commerciales et surtout, par les<br />

terrasses des restaurateurs, qui, petit à petit, limitent les<br />

déplacements piétons et phagocytent les perspectives<br />

vers la porte du Château ou vers le Mont San Peyre.<br />

Le projet a permis de rationaliser les usages, pour que<br />

chacun trouve sa place. L’emprise des terrasses des<br />

restaurants est redéfinie par le calepinage pour laisser<br />

libre la déambulation et pour ménager des vues vers les<br />

éléments singuliers qui forment le paysage et créent<br />

l’identité de la Napoule.<br />

Notre proposition vise également à rendre à ces deux<br />

places une cohérence globale, une qualité d’usage et une<br />

lisibilité d’ensemble. Le sol des deux places revêt ainsi<br />

un même matériau, le porphyre, pour s’accorder aux<br />

façades du Château autant qu’aux rochers affleurants de<br />

l’Esterel.<br />

De nouvelles plantations, des Bigaradiers et un<br />

Jacaranda, animent la place de la Fontaine. Place du<br />

Château, les platanes malades sont remplacés par des<br />

Tilleuls tandis que les platanes sains sont conservés.<br />

La rue de la plage, longeant l'église de la Napoule et<br />

menant à la plage de la Raguette, est requalifiée pour<br />

ménager un parvis face à l'église et reconstituer un sol<br />

unitaire qualitatif en pavés de porphyre.<br />

©<strong>Tangram</strong><br />

©AMGraphisme<br />

Année : 2019 - en cours<br />

Maître d’ouvrage : Ville de Mandelieu<br />

Groupement : Ingérop (mandataire), <strong>Tangram</strong><br />

Mission : Maitrise d’oeuvre des espaces publics<br />

Programme : Requalification d'espace public<br />

Surface : 8 000 m²<br />

Montant des travaux : 6.5 M€ H.T.


E S P A C E P U B L I C<br />

GIENS ET LE PORT DU NIEL<br />

Hyères les Palmiers (83)<br />

La ville de Hyères a confié une étude pré-opérationnelle<br />

de requalification d’espace public sur le hameau de<br />

Giens, de la place Saint-Pierre jusqu’au port du Niel<br />

avec pour objectif la revalorisation patrimoniale et<br />

paysagère du hameau et la réduction du stationnement<br />

de surface afin d’opérer une réorganisation des usages<br />

au profit des piétons, des cycles et des terrasses de<br />

cafés/restaurants.<br />

S’appuyant sur un diagnostic démontrant la qualité<br />

du paysage et la multitude d’éléments patrimoniaux<br />

jalonnant le parcours mais également l’offre<br />

importante de stationnement à moins de 5 minutes<br />

à pied du hameau, l’étude propose des interventions<br />

simples mais néanmoins qualitatives afin de s’inscrire<br />

dans un réalisme opérationnel.<br />

Ainsi, un plateau traversant, pavé en porphyre, est<br />

conçu pour créer un lien fort entre l’église Saint-Pierre<br />

et le square Boualam, dont l’entrée est relocalisée<br />

dans l’axe du parvis de l’église. Considérant le gabarit<br />

et le trafic sur la route du port du Niel, l’étude propose<br />

de créer une chaussée à voie centrale banalisée<br />

permettant de réduire les vitesses et de sécuriser les<br />

déplacements cycles et piétons.<br />

Enfin, l’étude propose une complète requalification du<br />

Port du Niel, supprimant l’ensemble du stationnement<br />

afin de créer une belle promenade le long du plan d’eau<br />

etde réimplanter l’ensemble des activités dans de<br />

nouveaux locaux garants d’une cohérence paysagère.<br />

©<strong>Tangram</strong><br />

Année : 2018 - études<br />

Maître d’ouvrage : Ville de Hyères-les-Palmiers<br />

Groupement : <strong>Tangram</strong> (mandataire), Profil Ingénierie<br />

Mission : Définition du programme de requalification<br />

d’espace public<br />

Programme : Etude pré-opérationnelle de<br />

requalification d’espace public<br />

Surface : NC<br />

Montant des travaux : NC


E S P A C E P U B L I C<br />

U430<br />

Marseille (13)<br />

La voie dite U430, du nom de son emplacement<br />

réservé, rejoint deux infrastructures viaires existantes,<br />

dans les quartiers Est de Marseille, de la traverse<br />

Chanteperdrix au boulevard de Saint Loup.<br />

Pour effectuer cette liaison, notre mission consiste à<br />

requalifier certains segments empruntés et à en créer<br />

d’autres pour les relier entre eux.<br />

La part belle est faite aux vélos et aux piétons, la piste<br />

cyclable est bidirectionnelle sur toute la longueur du<br />

tracé, les trottoirs sont confortables.<br />

Un ouvrage d'art permet à l'infrastructure de passer<br />

sous le chemin des prudhommes, pour apaiser le<br />

hameau de la Vesque, tout en le desservant, par un<br />

escalier<br />

Cet aménagement se situe dans la continuité de la<br />

création de la rue du Professeur Luccionni. Notre<br />

ambition, partagée avec la Maîtrise d’Ouvrage, a été<br />

de poursuivre le travail amorcé sur ce premier tronçon,<br />

pour former un ensemble qualitatif, un aménagement<br />

identifiable et fédérateur.<br />

Mais pour éviter que la monotonie ne l’emporte<br />

sur la cohérence, notre volonté a été de créer des<br />

séquences végétales, sur la base de l'identité des<br />

quartiers traversés, pour donner à voir l’image d’un<br />

arrondissement uni dans la diversité de ses quartiers.<br />

©Zenith Photo<br />

©Jérôme Cabanel<br />

Année : 2016 - réalisé<br />

Maître d’ouvrage : Marseille Provence Métropole,<br />

DIFRA<br />

Groupement : Ingérop (mandataire), <strong>Tangram</strong><br />

Mission : Maitrise d’oeuvre des espaces publics<br />

Programme : Création d’une voie nouvelle<br />

Surface : 400 hectares (1.6 km)<br />

Montant des travaux : 16 M€ H.T.


E S P A C E P U B L I C<br />

LE VIEUX PORT<br />

Marseille (13)<br />

Transformer le Vieux-Port en un espace public majeur<br />

nécessite d’agir sur tous ses composants.<br />

Ce projet d’aménagement porte tout d’abord sur la<br />

circulation et le fonctionnement des installations du plan<br />

d’eau. Leur modification et amélioration sont la condition<br />

sine qua non d’un espace transformé en véritable<br />

espace public semi-piétonnisé. Libérés des bornes des<br />

sociétés nautiques, les quais deviennent des espaces de<br />

promenades tandis que le quai de la Fraternité s’étend<br />

jusqu’à 45 m de large et offre un espace exceptionnel.<br />

Le projet d’aménagement est aussi celui d’une palette<br />

de matériaux et de mobilier tel que le granit, matériau<br />

emblématique des espaces portuaires.Les formes et<br />

types de pierres servent à délimiter l’espace entre les<br />

différents usagers : d’un côté des dalles larges et claires<br />

pour les piétons et de l’autres, des pavés plus foncés<br />

pour les automobilistes.<br />

Grâce à la recomposition des fonctions nautiques et à<br />

la réduction de la circulation automobile, une voie de<br />

bus en site propre est aménagée tout autour du port.<br />

Une ombrière, grande structure légère et ouverte, vient<br />

s’implanter sur le quai de la Fraternité pour abriter un<br />

certain nombre de programmes à usage collectif.<br />

<strong>Tangram</strong> a participé aux éudes urbaines puis à pris<br />

en charge le suivi d’exécution. Dans le cadre du projet<br />

Vieux-Port, <strong>Tangram</strong> a également conçu les places du<br />

boulevard de ceinture : Place des Capucines et Place du<br />

Quatre Septembre.<br />

©MDP<br />

©Nigel Young<br />

©Leslie Verdet<br />

©Anne-Christine Poujoulat<br />

Année : 2016 (tranche ferme -2013)- réalisé<br />

Maître d’ouvrage : Marseille Provence Métropole<br />

Groupement : Michel Desvigne Paysagiste (mandataire),<br />

Foster + Partners, <strong>Tangram</strong>, Ingérop<br />

Missions : Urbaniste, Maitrise d’oeuvre d’exécution<br />

Programme : Aménagement du centre-ville et semi<br />

piétonisation du Vieux-Port<br />

Surface : 400 hectares<br />

Montant des travaux : 72 M€ H.T.


E S P A C E P U B L I C<br />

LE ROND-POINT DU PRADO<br />

Marseille (13)<br />

L’objectif est de donner une forte identité au lieu et<br />

de renforcer toutes les pratiques piétonnes. La place<br />

des piétons est importante et l’aménagement devra<br />

lui offrir une certaine tendresse : ombrage, mobilier<br />

urbain, kiosque… La vue du ciel du Rond-point du<br />

Prado fait penser à des engrenages, pièces qui<br />

tournent à de vitesses différentes. Le projet définit<br />

des anneaux dédiés à différents types de déplacement<br />

: piéton, vélo, véhicules, et intègre des utilisations<br />

stationnaires, tel que les terrasses et édicules, ainsi<br />

que les arbres et le mobilier. Le projet propose un<br />

espace continu en forme de cercle : la promenade sous<br />

les arbres. Aux points de rencontre des boulevards<br />

avec le cercle du Rond-point du Prado, les véhicules<br />

montent sur le niveau du piéton. Ensuite, l’ensemble<br />

du rond-point est aménagé en plateau unique.<br />

©Zenith Photo<br />

Année : 2015 - réalisé<br />

Maître d’ouvrage : Marseille Provence Métropole<br />

Groupement : Artelia (mandataire), <strong>Tangram</strong><br />

Mission : Maitrise d’oeuvre des espaces publics<br />

Programme : Requalification d’espaces publics<br />

Montant des travaux : 4.8 M€ H.T.


E S P A C E P U B L I C<br />

HAMEAU DES PESQUIERS<br />

Hyères (13)<br />

Commande a été passée par la mairie de Hyères,<br />

à l’automne 2013, pour réaliser une étude de préprogrammation<br />

et d’aménagement visant à mettre en<br />

valeur le site patrimonial du Hameau des Pesquiers.<br />

La phase 1 (diagnostic) a été livrée en décembre 2013.<br />

La phase 2 (schéma directeur et prescription<br />

d’aménagement) a repris en juin 2015 avec pour<br />

objectif assigné par la ville la création d’une résidence<br />

hôtelière patrimoniale au Hameau des Pesquiers.<br />

Nous avons établi un diagnostic très complet du site,<br />

à l’écoute des différents acteurs du territoire, pour<br />

décliner l’ambition dans laquelle se situe ce projet,et<br />

pour fonder sur une légitimité forte et une base solide,<br />

le Schéma Directeur d’Aménagement qui établit les<br />

prescriptions à suivre pour réhabiliter le hameau dans<br />

le respect du patrimoine architectural et paysager.<br />

©<strong>Tangram</strong><br />

Année : 2015 - études<br />

Maître d’ouvrage : CUMPM<br />

Groupement : <strong>Tangram</strong> (mandataire), G2i<br />

Mission : Etudes de pré-programmation<br />

Programme : Réhabilitation du Hameau des Pesquiers à<br />

Hyères


E S P A C E P U B L I C<br />

PLACE DES CAPUCINES<br />

Marseille (13)<br />

La place des Capucines correspond à une ancienne<br />

porte dans les remparts de Louis XVI, dite porte des<br />

Réformés. La place forme une articulation entre le<br />

quartier de Belsunce, anciennement intérieur, et<br />

les larges allées Gambetta dans l’axe de l’église des<br />

Réformés.<br />

Lorsque la conception de la place a commencé, en 2011,<br />

elle était utilisée comme un rond-point et un parking.<br />

Cette place était dégradée, sans considération pour sa<br />

valeur patrimoniale, tant urbaine qu’architecturale.<br />

La proposition d’intervention est simple, il s’agit<br />

de redéfinir l’espace de la voiture pour disposer à<br />

nouveau d’une véritable place, favorisant l’apparition<br />

d’un centre de vie urbain en retrait du boulevard, tout<br />

en valorisant les éléments de patrimoine, tels que la<br />

fontaine du sculpteur Fossati, les beaux bâtiments qui<br />

bordent la place et la perspective paysagère dans l’axe<br />

de l’église des Réformés.<br />

L’ensemble de la place des Capucines, de façade<br />

à façade, a été pavé en calcaire. Un travail fin<br />

de nivellement a été réalisé afin de restituer une<br />

pente unique sur l'ensemble de la place auparavant<br />

largement chahutée, rendant au lieu une lisibilité<br />

urbaine et patrimoniale.<br />

©Hervé Fabre pour Colas<br />

©Zenith Photo<br />

Année : 2013 - réalisé<br />

Maître d’ouvrage : Marseille Provence Métropole<br />

Groupement : Michel Desvigne Paysagiste (mandataire),<br />

Foster + Partners, <strong>Tangram</strong>, Ingérop<br />

Mission : Maitrise d’oeuvre des espaces publics<br />

Programme : Aménagement urbain du centre-ville<br />

Montant des travaux : 1.7 M€ H.T.


E S P A C E P U B L I C<br />

BOULEVARD RABATAU<br />

Marseille (13)<br />

Le boulevard Rabatau, à Marseille, a subi, depuis 2008,<br />

les affres du chantier souterrain du Tunnel Prado Sud,<br />

tranchées, percées, abattage d’arbres...<br />

Mais même bien avant, la configuration des espaces<br />

était favorable à la voiture plus qu’aux piétons :<br />

trottoirs très réduits, quatre voies de circulation,<br />

stationnements en épi, espaces mal délimités...et sur<br />

ce boulevard pourtant si large, 25 mètres de façade à<br />

façade, à peine 15% étaient dévolus au piéton.<br />

A la suite des travaux du tunnel Prado-Sud, la<br />

Communauté Urbaine Marseille Provence Métropole<br />

a souhaité renversé les proportions pour rendre<br />

au quartier un boulevard apaisé et qualitatif, dans<br />

une optique de requalification de ses espaces<br />

courants. Ainsi, les objectifs légitimes, déterminés<br />

en concertation avec le collectif de riverains, nous<br />

ont permis de dessiner enfin des trottoirs larges et<br />

confortables, de ne conserver que deux voies de<br />

circulation sur les quatre existantes, d’intégrer une<br />

piste cyclable tout en conservant une partie des<br />

stationnements.<br />

La réorganisation fonctionnelle a été pour nous un<br />

vecteur de qualité, nous permettant ainsi de rendre<br />

au boulevard ses attributs d’antan : larges trottoirs<br />

complantés d’alignement de tilleuls. Et cependant,<br />

nous n’avons pas sacrifié la simplicité à la qualité. Les<br />

espaces sont fonctionnels et définis, les matériaux<br />

simples et robustes, dans une logique d’efficacité<br />

pragmatique.<br />

©Gabrielle Voinot<br />

©Zenith Photo<br />

Année : 2015 - réalisé<br />

Maître d’ouvrage : Marseille Provence Métropole<br />

Groupement : Artelia (mandataire), <strong>Tangram</strong><br />

Mission : Maitrise d’oeuvre des espaces publics<br />

Programme : Requalification du boulevard sur 500<br />

mètres linéaires<br />

Montant des travaux : 3 M€ H.T.


E S P A C E P U B L I C<br />

PLACE DU QUATRE SEPTEMBRE<br />

Marseille (13)<br />

Dans le cadre de la requalification du Vieux-Port et<br />

de la réorganisation des flux de circulation, la Place<br />

du Quatre-Septembre a été identifiée pour faire<br />

l'objet d'une requalification complète. Ici, la nécessité<br />

circulatoire a pu faire émerger un véritable projet<br />

de requalification d'espace public - dépassant les<br />

considérations viaires l'ayant initié.<br />

La place fonctionne depuis sa création comme un nœud<br />

de distribution liant le port à toute la façade littorale<br />

sud de la ville. Sa composition classique, en forme de<br />

patte d’oie et d’octogone allongé, fait référence aux<br />

compositions des anciennes portes.<br />

En rationnalisant les flux de circulation, le projet<br />

propose de simplifier les intersections pour redonner<br />

à la place une véritable valeur d’espace public.<br />

L’espace y est hiérarchisé, les arbres sont conservés et<br />

de nouvelles plantations viennent enrichir la richesse<br />

végétale de la place.<br />

La rue est située 30 cm en deçà de la place haute afin<br />

de ménager un véritable espace sécurisé pour les<br />

piétons. Cette bordure de 30 cm, en calcaire, permet<br />

d’empêcher le stationnement illicite sans ajouter<br />

de mobilier superflu et de gérer les flux piétons<br />

sur un passage traversant surélevé : un signal pour<br />

l'automobiliste, le piéton devient prioritaire.<br />

Dans une lecture transversale de la place sont plantés<br />

des Tilleuls de Henry, au port légèrement arrondi. Ce<br />

sont de petits arbres, qui créeront une voute arborée<br />

à l’échelle humaine, sans concurrencer les platanes<br />

existants.<br />

©Zenith Photo<br />

Année : 2013 - réalisé<br />

Maître d’ouvrage : Marseille Provence Métropole<br />

Groupement : Michel Desvigne Paysagiste (mandataire),<br />

Foster + Partners, <strong>Tangram</strong>, Ingérop<br />

Mission : Maitrise d’oeuvre des espaces publics<br />

Programme : Aménagement urbain du centre-ville<br />

Montant des travaux : 1.7 M€ H.T.


E S P A C E P U B L I C<br />

PLACE DE LA BLANCARDE<br />

Marseille (13)<br />

La place de la Blancarde est un pôle d’échange où se<br />

rejoignent train, tram et métro.<br />

La trame urbaine alentour est régulière : la place<br />

s’ouvre vers un grand boulevard rectiligne, le boulevard<br />

Chave, avec, en perspective, lointaine, la Place Jean<br />

Jaurès.<br />

Nous avons conçu pour cet espace public un<br />

aménagement ouvert et généreux avec pour ambition<br />

de confirmer au lieu son rôle d’échange en facilitant les<br />

traversées piétonnes mais également avec la volonté<br />

de rendre plus amène l’attente d’une correspondance<br />

entre deux modes de déplacement : de part et d’autre<br />

du parvis, des séquences jardinées proposent des<br />

assises ombragées, véritables salons urbains.<br />

Les compositions végétales laissent une grande part<br />

aux graminées et aux petits arbustes méditerranéens,<br />

comme la myrte, afin de créer les conditions d'une<br />

animation des jardins à chaque saison.<br />

Un grand platane a été replanté, dans l'axe du<br />

boulevard Chave, comme un repère, à l'échelle de la<br />

ville.<br />

©Gabrielle Voinot<br />

©<strong>Tangram</strong><br />

Année : 2013 - réalisé<br />

Maître d’ouvrage : Marseille Provence Métropole<br />

Groupement : Egis Rail (mandataire), <strong>Tangram</strong><br />

Missions : Maîtrise d’oeuvre des espaces publics de la<br />

station de métro et du parking-relai<br />

Programme : Pôle d’échanges (métros, taxis, bus,<br />

vélos, trams, et connexion SNCF)<br />

Montant des travaux : 12.3 M€ H.T


E S P A C E P U B L I C<br />

PLACE DE LA CITADELLE<br />

Bastia (2B)<br />

Deux espaces composent la place en libérant le front<br />

de mer de tout élément qui gênerait la vue.<br />

La place urbaine, minérale, c’est la partie de la place<br />

au contact de la vieille ville.<br />

Des commerces, des terrasses de café : il y a beaucoup<br />

de monde.<br />

Le lieu est dominé par des fronts bâtis, assez hauts,<br />

très homogènes.<br />

Puis, à l’extrémité nord, la place Vincetti présente une<br />

forme de conque, très agréable.<br />

Une belle courbe de façades, pour adosser l’espace<br />

public, avec un escalier vers la vieille ville, très bien<br />

situé, et joli, dans la « brèche » ouverte entre deux<br />

immeubles.<br />

Ce lieu est très fréquenté.<br />

On y est bien, à l’abri du vent.<br />

©Gabrielle Voinot<br />

©<strong>Tangram</strong><br />

Année : 2005 - réalisé<br />

Maître d’ouvrage : Ville de Bastia<br />

Groupement : Bastia aménagement (mandataire),<br />

<strong>Tangram</strong><br />

Missions : Maitrise d’oeuvre du parking et des<br />

espaces publics<br />

Programme : Création d’un parking souterrain et<br />

requalification d’espace public<br />

Montant des travaux : 4.1 M€ H.T.


P A R C E T J A R D I N<br />

GROUPE SCOLAIRE SIMONE VEIL<br />

Villeurbanne (69)<br />

©AMGraphisme<br />

Courir, grimper, sauter, s’amuser, imaginer ... autant<br />

d’activités indispensables au développement des enfants.<br />

Développée en strate, la cour intérieure propose des espaces<br />

dédiés à ces d’activités développant un parcours éducatif et<br />

un univers ludique et sécurisé dont l’offre s’enrichit au fil de<br />

la scolarité.<br />

Les jeux choisis, en matériaux naturels (bois et cordages)<br />

permettent de développer la motricité, d’initier à l’écologie<br />

et de solliciter l’imaginaire : des grands piquets de bois, des<br />

grandes échasses, des poutres, des mikados géants, des pas<br />

de bucherons, ..., où l’on peut sauter, grimper, s’imaginer<br />

matelot, pirate, cavalier ou princesse...<br />

Des terrains de sport et des pistes d’athlétisme sont<br />

introduites dans les cours du R+2 et du R+3. Dans les cours<br />

accessibles aux élèves du primaire, un soin particulier est<br />

apporté pour ne pas genrer les espaces et permettre un<br />

accueil inclusif de tous les élèves : les terrains de foot ne<br />

prennent pas le pas sur les labyrinthes de billes ou sur les<br />

marelles ; les offres ludiques permettent de jouer ensemble<br />

et tous les enfants jouent côte à côte. De grands bancs sont<br />

ménagés contre les fosses et les bancs de plantation. Les<br />

arbres ne sont pas plantés dans de simples pots : le bac de<br />

plantation est un véritable mobilier, adapté au jeu et aux<br />

discussions entre copains. Ces cours sont complétées par<br />

des jardins suspendus dont les plantations, aux évolutions<br />

diverses, se développent depuis la cour de plain-pied jusqu’au<br />

ciel, donnant à la fonction scolaire toute sa dimension à sa<br />

fonction d’élévation.<br />

Année : 2019 - en cours<br />

Maîtrise d’Ouvrage : Ville de Villeurbanne<br />

Architectes : <strong>Tangram</strong> (mandataire), Amelia Tavella Architectes<br />

Artiste : Pauline Guerrier<br />

Bureau d’étude : QuadriPlus<br />

Programme : Construction d’un groupe scolaire de 15 classes<br />

(9 élémentaires et 6 maternelles), d’un restaurant scolaire et<br />

d’un équipement d’accueil pour jeunes enfants de 42 places<br />

Surface : 3750 m² SDP<br />

Montant des travaux : 9.1 M€ H.T.


P A R C E T J A R D I N<br />

CAMPUS VOYAGE PRIVÉ<br />

Aix-en-Provence (13)<br />

À la façon de tout organisme vivant, notre quête<br />

architecturale et paysagère vise la variété des<br />

parcours, la richesse des multiples interactions<br />

avec l’environnement et les personnes. Aussi, pour<br />

concevoir les espaces extérieurs du Campus Voyage<br />

Privé, notre approche s’est fondée sur l’homme et ses<br />

interactions avec son environnement. Le projet a été<br />

guidé par la recherche d’une hybridation paysage/<br />

architecture dédiée à la performance et au bien-être.<br />

Situé dans la ZAC de la Constance, moteur principal<br />

de la French-Tech Aix-Marseille, le campus abrite 3<br />

bâtiments et un restaurant installé dans la bastide Lou<br />

Deven, datée du XIXème siècle, ancienne propriété du<br />

peintre Joseph Milon.<br />

Le défi est d’offrir une nouvelle façon de travailler,<br />

empreinte de modularité et évolutivité, adapté aux<br />

conditions méditerranéennes.<br />

L’espace se plie pour cadrer le lointain, viser l’horizon,<br />

contempler la Sainte-Victoire, y voir clair. Puis<br />

s’intimise, se voûte pour mieux rassurer une jeune<br />

pousse. Parfouis, brusquement se dilate et s’ouvre sur<br />

un petit bois. Une échappée furtive vers le ciel et la<br />

cime des arbres, un patio...<br />

Les zones de détente et de restauration sont le<br />

prolongement direct des espaces extérieurs, paysagés<br />

ou naturels.<br />

©AMGraphisme<br />

Année 2019 - en cours<br />

Maître d’ouvrage : Groupe Voyage Privé<br />

AMO : Redman<br />

Architecte : <strong>Tangram</strong><br />

Programme : Siège social VPG, un restaurant d’entreprise,<br />

le centre d’entraînement de Provence Rugby et l’association<br />

l’école des XV.<br />

Surface : 7.468m 2 SDP<br />

Montant des travaux : 15 M€ H.T.


P A R C E T J A R D I N<br />

ANIS<br />

Nice (06)<br />

Dans la ZAC Méridia, à Nice, conçue et orchestrée<br />

par l’agence Devillers et Associés, où l’ambition<br />

environnementale, très forte, va de pair avec une<br />

véritable densité urbaine, le projet ANIS développe 7<br />

000 m² de bureaux et de commerces.<br />

Porté par l'agence Laisné-Roussel, l'immeuble a<br />

été pensé comme un nouveau standard de bureaux<br />

bioclimatiques. Le concept du bâtiment est fondé<br />

sur une flexibilité totale des espaces et propose<br />

ainsi de bouleverser l'organisation des circulations :<br />

habituellement disposées au coeur du bâtiment, elles<br />

viennent ici animer les façades pour une ouverture<br />

totale vers le jardin et l'espace public. Les circulations<br />

verticales desservent ainsi les bureaux via de grandes<br />

terrasses largement plantées, organisées en coursives<br />

et en lieu de travail extérieur.<br />

Nous avons travaillé, avec les architectes, une<br />

végétalisation très pragmatique des façades, loin<br />

des systèmes d’ingénierie complexe déployé pour<br />

concevoir des murs végétalisés, parce que nous avons<br />

la conviction que la simplicité sera le garant de la<br />

pérénnité des végétaux.<br />

Nous avons conçu une palette végétale permettant<br />

l’animation des façades à chaque saison, en conservant<br />

une structure persistante en toute saison et des<br />

floraisons qui s’étalent tout au long de l’année.<br />

©Laisné Roussel<br />

Année : 2019 - en cours<br />

Maître d’ouvrage : Pitch Promotion<br />

Groupement : Laisné-Roussel (mandataire), <strong>Tangram</strong><br />

Mission : Aménagements paysagers<br />

Programme : Construction d’un immeuble de bureaux<br />

en R+8 ( 6.346m² SDP bureaux et 616 m² SDP commerces)<br />

Surface : 400 m² de toiture, 150 bacs en façade, 250 m²<br />

de coeur d’îlot<br />

Montant des travaux : 11 M€ H.T. dont 250 000€ lot<br />

paysage


P A R C E T J A R D I N<br />

PALAZZO MERIDIA<br />

Nice (06)<br />

Egalement situé dans la ZAC Méridia à Nice, un<br />

quartier innovant et durable où l’ensemble des<br />

aménagements, publics ou privés, concourent à la<br />

qualité urbaine et paysagère du nouveau quartier, cet<br />

immeuble de bureaux a été conçu par Architecture<br />

Studio, avec l’ambition d’inventer de nouveaux usages<br />

dans la manière de travailler, d’échanger, de partager,<br />

de se rencontrer.<br />

Une double façade accompagne l’aménagement<br />

de balcons filants devant un linéaire de bureaux,<br />

proposant des lieux de travail extérieurs et des jardins<br />

suspendus. Ces terrasses ont été imaginées comme<br />

des « troisièmes lieux », ouverts et mixtes, propices<br />

aux échanges.<br />

Les jardins du Palazzo Méridia ont été conçus pour<br />

être entièrement comestibles, pour réactiver la<br />

mémoire du terroir agricole de la Plaine du Var,<br />

mais également pour développer un laboratoire<br />

des pratiques innovantes d’agriculture urbaine et<br />

pour encourager, grâce au jardinage, l’émergence<br />

de nouvelles expériences favorisant le bien-être au<br />

travail.<br />

Fort de notre expérience sur le projet ANIS, nous avons<br />

développé un système pragmatique de végétalisation<br />

des façades : les plantes sont installées dans de grandes<br />

jardinières, arrosées par un système de récupération<br />

des eaux de pluie.<br />

©Architecture Studio<br />

Année : 2019 - en cours<br />

Maître d’ouvrage : Nexity Ywood<br />

Groupement : Architecture Studio (mandataire), <strong>Tangram</strong><br />

Mission : Aménagements paysagers<br />

Programme : Construction d’un immeuble de bureaux<br />

en R+9 (8.000 m² SDP)<br />

Surface : 900 m² de toiture, 100 bacs en façade, 250 m² de<br />

coeur d’îlot + 100 m² de dalle plantée<br />

Montant des travaux : 12 M€ H.T. dont 200 000 € lot<br />

paysage.


P A R C E T J A R D I N<br />

6E PAR NATURE<br />

Lyon (69)<br />

Le cœur d’îlot des anciennes blanchisseries des<br />

Hospices Civils de Lyon est un espace aujourd’hui très<br />

minéral et fonctionnel.<br />

Le projet propose de l’ouvrir sur la ville pour lui<br />

conférer l’ambition de l’espace public : le cœur d’îlot<br />

est ouvert, sur le cours Lafayette et sur la rue Germain,<br />

par de larges portails.<br />

Plusieurs cheminements parcourent l’espace et<br />

desservent les différentes fonctions du cœur d’îlot, les<br />

terrasses du restaurant et de la brasserie, la terrasse<br />

du Cogedim Club et du Spa, la cour de la crèche, des<br />

commerces …<br />

Le projet propose également de planter largement<br />

le cœur d’îlot pour y créer les conditions d’un ilot de<br />

fraicheur. Un alignement de Tilleuls argentés, plutôt<br />

hauts, est en accroche du cours Lafayette. Au fil de<br />

la promenade l’échelle de l’alignement se réduit, les<br />

tilleuls se font plus petits, des Tilleuls de Henry, pour<br />

abaisser la voute arborée. Enfin, un bosquet, plus<br />

libre est ménagé, en accroche avec la rue Germain,<br />

pour briser la perspective et définir une échelle plus<br />

domestique.<br />

A la croisée des chemins, une placette permet de<br />

trouver quelques assises, ombragées.<br />

©AMGraphisme<br />

Année : 2019 - en cours<br />

Maîtres d’ouvrage : Altarea Cogedim, Grand Lyon Habitat<br />

Architectes : <strong>Tangram</strong>, Pierre Minassian, architecte associé<br />

Programme : 248 logements (dont 92 logements en<br />

accession, 56 logements en résidence jeunes actifs, 100<br />

logements en résidence seniors), une école de danse, un<br />

espace bien-être, une salle de sport, un pôle médical, une<br />

crèche, un local associatif, des locaux commerciaux et des<br />

parkings<br />

Surfaces : 17.750 m² SDP + 4.825 m² d’espaces verts<br />

Montant des travaux : 21.6 M€ H.T.


P A R C E T J A R D I N<br />

DULWICH COLLEGE<br />

Yangon, Birmanie<br />

Le campus situé à l’Est de Yangon proche de la mer, dans<br />

un environnement humide, est constitué de 8 bâtiments<br />

destinés à une éducation anglaise d’excellence. Dans un<br />

souci d’innovation et de recherche, constant à l’agence,<br />

nous avons travaillé avec les matières locales telles que<br />

la brique, le béton ou encore le bambou, très abondant<br />

au Myanmar, économique et écologique, à haute<br />

performance architecturale et technologique.<br />

Ces matériaux ont été utilisés sous toutes leurs formes et<br />

à différentes échelles afin de créer des univers, ludiques<br />

et accueillants, allant de la maternelle au collège.<br />

Les salles de classe, salles de musique, salles de dessin,<br />

bibliothèque sont pensées pour être des espaces calmes,<br />

neutres, propices à la concentration, avec quelques<br />

touches de couleur, où la qualité de la lumière est une<br />

priorité. Chaque meuble est dessiné sur mesure intégrant<br />

chaque besoin de façon ergonomique.<br />

Pour les espaces communs, un matériau est attribué<br />

à chaque école, à utiliser majoritairement comme<br />

un repère. Le bambou pour la petite école, parfois<br />

sculptural, souvent accueillant et amusant.La brique<br />

pour la moyenne école (fixe ou en mouvement), et le<br />

béton pour les plus grands (exprimant les bases solides<br />

acquises dans cette école).<br />

©AMGraphisme<br />

Année : 2018 - réalisé<br />

Maître d’ouvrage : SPA Project Management<br />

Architecte : <strong>Tangram</strong><br />

Missions : Conception, Architecture Intérieure,<br />

Aménagements paysagers<br />

Programme : Cinq bâtiments d’enseignement, depuis la<br />

maternelle jusqu’au lycée, un bâtiment d’enseignement<br />

artistique, un complexe sportif comprenant 3 gymnases,<br />

une piscine olympique et une piscine d’entrainement, un<br />

internat pour 300 étudiants et 3 terrains de sport extérieurs.<br />

Surface : 40.000 m² SDP<br />

Montant des travaux : 37.2 M€ H.T.


P A R C E T J A R D I N<br />

INTERCONTINENTAL HOTEL-DIEU *****<br />

Marseille (13)<br />

L’Hôtel-Dieu, à Marseille, est un bâtiment historique. Un<br />

ancien hôpital, à coté de la Mairie, face au Vieux-Port.<br />

Depuis sa fondation, au XIIème siècle, un ruban de jardins<br />

ceignait l’hôpital. Ces jardins avaient deux fonctions<br />

vitales : premièrement, ils étaient destinés à créer une<br />

barrière physique entre le monde des malades et le<br />

monde des bien-portant, avec, en second, l’ambition de<br />

purifier l’air délétère venant du monde des malades.<br />

Au printemps 2006, La Ville de Marseille a lancé une<br />

compétition entre cinq équipes, pour attribuer ce site<br />

exceptionnel. Le groupe Intercontinental a été désigné<br />

lauréat, pour reconvertir le monument en un hôtel<br />

de luxe, salles de convention, restaurants, spa...et un<br />

ensemble résidentiel.<br />

Les jardins de l’Hôtel-Dieu ont été conçus pour mettre<br />

en valeur le beau bâtiment d’Hardouin-Mansart, pour le<br />

révéler, tout en respectant le plus possible les masses<br />

végétales existantes. Une attention toute particulière a<br />

été portée aux perspectives, vers le port et Notre-Dame,<br />

ou vers le bâtiment, pour les cadrer, les ouvrir ou les<br />

mettre en valeur.<br />

<strong>Tangram</strong>, associé à Anthony Béchu, mandataire, est<br />

intervenu à plusieurs titres : architecte, architecte<br />

d’intérieur, paysagiste.<br />

©AMGraphisme<br />

Année : 2013 - réalisé<br />

Maître d’ouvrage : Altarea Cogedim<br />

Investisseur : Axa Reim France<br />

Exploitant hôtelier : InterContinental Hotels Group<br />

Architectes : A. Béchu, mandataire, <strong>Tangram</strong> Architectes<br />

Missions : Aménagements paysagers, Architecture<br />

Intérieure, Maitrise d’oeuvre d’exécution<br />

Programme : Restructuration de l’Hôtel-Dieu de Marseille<br />

en hôtel 5*<br />

Surface : 23.000 m² SDP (194 chambres),<br />

9.000 m² SDP (logements), parking de 260 places<br />

Montant des travaux : 62 M€ H.T. (H),<br />

13 M€ H.T. (Lgts), dont 3 M€ VRD et paysage


P A R C E T J A R D I N<br />

CHÂTEAU LA COSTE<br />

Le Puy Sainte-Réparade (13)<br />

Dans la belle campagne aixoise, le domaine de Château La<br />

Coste produit du vin : son paysage est sculpté par la vigne<br />

et par le travail séculaire de vignerons attentifs. Les rangs<br />

de vignes étirent des lignes qui semblent distendre les<br />

perspectives, éloignant l’horizon. Le grand paysage se révèle<br />

depuis les côteaux, laissant apparaître par des vues pleines ou<br />

cadrées le massif du Luberon et la colline de La Cride. Sous<br />

l’impulsion du nouveau propriétaire, le domaine de Château<br />

La Coste a entamé une reconversion ambitieuse en installant,<br />

au large des vignes ou au cœur de la pinède, des œuvres d’art<br />

contemporains conçues et réalisées par des architectes et des<br />

artistes de renommée internationale, comme notamment,<br />

Jean Nouvel, Tadao Ando, Franck Gehry, Richard Serra, Andy<br />

Goldsworthy ou encore Louise Bourgeois…<br />

Nous avons conçu les aménagements paysagers du domaine<br />

en faisant preuve de modestie et de discrétion pour révéler<br />

un parcours à travers le paysage et un chemin vers l’art. Les<br />

cheminements sinuent entre les arbres, ils révèlent des<br />

pentes douces, confortables à la marche, ombragées. Un soin<br />

particulier a été apporté à la gestion des eaux de pluie. Dans la<br />

colline, des bassins d’orages sont ménagés, l’eau est retenue<br />

par des tancats en pierre sèche, inspirés des ouvrages romains,<br />

puis circule dans un réseau de noues et de fossés, en amont<br />

du vignoble pour préserver les sols. Un tel domaine, partagé<br />

entre la culture de la terre et la culture de l’esprit, mérite des<br />

traitements d’exception.<br />

©<strong>Tangram</strong> Architectes<br />

© Gabrielle Voinot<br />

Année : 2011 – réalisé<br />

Maître d’ouvrage : SCEA Château La Coste<br />

Concepteur : <strong>Tangram</strong><br />

Programme : Aménagement paysager de l’ensemble<br />

du site d’environ 10.000 m², implantation de<br />

différentes oeuvres d’art, abords immédiats du<br />

pavillon de musique de F.O Gerhy avec création de<br />

gradins<br />

Missions : Aménagements paysagers<br />

Surface : 1.5 hectare<br />

Montant des travaux : 8 M€ H.T


P A R C E T J A R D I N


P A R C E T J A R D I N<br />

LES CHLOROPHYLLES<br />

Marseille (13)<br />

©Gabrielle Voinot<br />

©<strong>Tangram</strong><br />

Le terrain est situé à Marseille, sur le site de Mirabilis, à proximité<br />

du hameau de Sainte-Marthe, un côteau au midi qui domine la<br />

ville, abrité. Permanence de la « campagne » et proximité de la<br />

« ville », double réalité de la nature et de la vie urbaine « intense ».<br />

L’architecture raconte cette dualité, avec des thèmes issus de racines<br />

traditionnelles : une stylistique « provençale » réinterprétée avec<br />

des baies protégées de volets, parois pleines puissantes, toitures<br />

habitées, teintes traditionnelles.<br />

Le projet fait partie d’un ensemble de trois programmes de<br />

logements implantés dans un vaste espace vert planté, où l’eau<br />

s’écoule, où les limites ne sont pas accentuées.<br />

Le bâtiment centre reprend le principe de l’« ilot ouvert » en<br />

améliorant les percées visuelles, en particulier sur la façade Ouest.<br />

Les aménagements paysagers de la résidence sont importants et<br />

abondants, multipliant les jardins non clos, pour favoriser les liaisons<br />

piétonnes dans le quartier.<br />

Les jardins portent une fonction hydraulique : des noues récoltent<br />

les eaux pluviales pour les transporter jusque dans des bassins<br />

de rétention, dont le traitement paysager participe de la qualité<br />

globale de la réalisation. En effet, un soin particulier a été apporté,<br />

en phase conception, pour que les espaces à vocation hydraulique<br />

ne soit pas des espaces sacrifiés mais des lieux, agréables à l’oeil et<br />

supports d’usage. Le végétal est un matériau à part entière, utile,<br />

pour clôturer, faire l’ombre, revêtir. Le goût de l’intimité : plaisir du<br />

mur, des écrans en vantelles, du vu sans être vu. La modestie : un<br />

habitat évitant les décors ostentatoires. L’osmose dedans/dehors :<br />

la vie sur les terrasses, dans le jardin, à l’air libre. Le bâtiment central<br />

développe deux chaînes bâties, l’une est-ouest, l’autre nord-sud,<br />

avec des façades sur voies publiques et sur cœur d’îlot.<br />

Année : 2008 - réalisé<br />

Maître d’ouvrage : Bouwfonds Marignan<br />

Groupement : <strong>Tangram</strong>(mandataire), Ingérop<br />

Missions : Conception, Aménagements paysagers,<br />

Maitrise d’oeuvre d’exécution<br />

Programme : 226 logements dans la ZAC des Hauts<br />

de Sainte-Marthe<br />

Surface : 17 000 m² SDP<br />

Montant des travaux : 20 M€ H.T. dont 3<strong>00.00</strong>0€ lot espaces verts


TANGRAM ARCHITECTES<br />

23 rue des Phocéens - 13002 Marseille<br />

T. 04 91 42 91 38 - F. 04 91 48 01 65<br />

www.tangram-architectes.com<br />

Edition juillet 2019

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