Massy Ma Ville - n° 148 - Juillet 2010

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18 MASSY Ma V il le Agenda 21 LES JEUNES AUSSI S’ENGAGENT ! trois lycéennes de Vilgénis ont reçu un prix national pour leur Charte de l’Environnement des Jeunes. Le ministère de l’Éducation du Brésil a lancé le projet « Prenons soin de la planète » : une conférence internationale des jeunes sur l’environnement, du 5 au 10 juin à Brasilia. L’Académie de Versailles, associée au projet, a permis la sélection de Léa, élève du lycée Parc de Vilgénis, élue par une assemblée de 60 jeunes le 30 mars dernier lors de la Conférence nationale des jeunes pour l’environnement. Primée avec deux autres lycéennes, Clémence et Julia, et leur professeur de SES, pour la rédaction d’une Charte de l’Environnement des Jeunes, elle s’est rendue au Brésil où l’ensemble des participants a assisté à des ateliers sur le développement durable et rédigé une Charte Environnementale des Jeunes pour l’ONU. GRAnD PRIx DE L’EnVIROnnEMEnt MASSY, SUR TOUS LES FRONTS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE... ARt, éDUCAtIOn Et SEnSIBILISAtIOn “Regards croisés” : 50 photos pour une déambulation dans la ville, spatialisation du son, conférences et travaux avec les enfants, artistes et habitants. “App’art” : conserves de récupération pour décorations florales, éveil artistique. “Chaussettes orphelines” : tapis géant à partir de chaussettes à recycler. Charte de l’éducation à l’environnement et au développement durable, participation au “Jour de la nuit“. GEStIOn éCOLOGIQUE DES ESPACES VERtS Espaces verts écolos : trame verte dans le PLU, marché public à objectif “zéro-phyto”, gestion écologique des espaces, veille sur l’arrosage, participation à la Charte de la biodiversité de la CA Europ’Essonne, lutte biologique intégrée dans les serres municipales. Dimension pédagogique : jardin mellifère et 14 ruches, étiquetage des arbres remarquables, éducation à l’environnement, visite de sites pilotes, formation du personnel. Léa (à g.) et Julia (à dr.), deux des trois lycéennes primées. Encouragées par leur récompense nationale et inspirées par leur séjour, nos trois lycéennes passent maintenant à l’action : « Nous allons entamer une sensibilisation au tri auprès des élèves de notre lycée. D’autres actions suivront », soulignent-elles.
Économie D2RECOVERY FAIT PARLER VOTRE DISQUE DUR Petite entreprise massicoise, D2recovery vous propose de récupérer les données informatiques égarées sur votre disque dur. “Nous sommes très “user friendly” ” Thomas Therial, cogérant Marché en pleine expansion C’est dans les locaux de LaCie, premier producteur mondial de disque dur, implanté en périphérie du quartier d’Atlantis, que la société D2recovery a fait son nid. Elle œuvre dans un domaine méconnu du grand public : la récupération de données. « Nous permettons aux professionnels, comme aux particuliers, de retrouver les contenus perdus sur leur disque dur, que cela soit causé par un virus ou une casse du matériel », présente le cogérant, Thomas Therial. Seule une douzaine de compagnies en France proposent ce type de services : « Nos clients viennent de toute l’Europe et 80% d’entre eux sont des particuliers, le reste des entreprises », poursuit-il. Une tendance que la société souhaite à terme inverser. Thomas Therial l’explique : « Les entreprises bénéficient de fonds plus importants pour payer une récupération de données et ont une meilleure connaissance du sujet ». Priorité à la satisfaction client Car bien que D2recovery soit qualifiée de « lowcost » par ses concurrents, en raison de ses tarifs très attractifs, ses prestations s’échelonnent tout MASSY Ma V il le 19 EntREPRISE MASSICOISE LE SAVIEZ-VOUS ? Deux catégories de problèmes peuvent survenir sur un disque dur. « Un virus ou une erreur de manipulation génèrent un problème logique », détaille Simon, cogérant de D2recovery. La récupération de données peut se faire sans démonter l’appareil. « Un choc produit, lui, un problème matériel », ajoute-t-il. Il faut alors ouvrir le disque avec précautions, en salle blanche : une pièce où l’air est filtré pour éviter poussières et bactéries, et où le technicien travaille en combinaison. de même entre 200 et 400 euros. Un montant qui peut surprendre celui qui souhaite simplement récupérer ses photos de vacances. Le gérant tempère : « Malgré ce prix, nous sommes très “user friendly”. Le client ne paye ni les frais de transport, ni ceux d’analyse. Nous l’informons du nombre de données récupérables. Si cela lui convient, nous allons plus loin. Sinon, nous lui renvoyons gratuitement le disque ». Cette relation privilégiée avec la clientèle constitue la marque de fabrique de D2recovery, qui préfère fournir un coup de pouce et des conseils à l’usager, plutôt que de proposer une solution trop onéreuse. « Nous avons également une charte de confidentialité, appliquée avec rigueur. Les disques sont protégés et nous détruisons les données récupérées dans les 15 jours qui suivent la remise à leur propriétaire », précise Thomas Therial. Des garanties qui ont permis à l’entreprise de gagner en notoriété. Plus de deux cents clients la contactent chaque mois, allant du simple habitant de Massy à des organismes d’Etat, des multinationales de l’aérospatial ou encore… le Stade de France !
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