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Rapport annuel de l’ASFDUSo reiste ich mit SVA-Mitgliedernzu der General Assembly des UWEnach Helsinki im Juni (diese allerdingsin Englisch), nach Bordeaux im Septemberzum zweiten FRABELUS-Treffen(nach Fribourg 2011) und im OktoberDACH-Zeremonie 2012: Bettina Marquis undVerena Welti (Mitte) bedanken sich bei GerhildHansen und Ingrid Nowotny für die gelungenenTage in Wien.zum DACH-Treffen im Rahmen der90-Jahr-Feier des VAÖ in Wien. Nebstden vielen kulturellen Genüssen, dieuns zum Teil zu exklusiven Orten führten,waren diese Treffen auch geprägtvon direkten persönlichen Kontaktenmit Akademikerinnen anderer Länder.Sie erinnern sich: Unser Verband wurdegegründet im Vertrauen darauf, dassFreundschaften unter Akademikerinnenaller Länder einen wichtigen Beitragzum Frieden unter den Völkern beisteuern.Diesen Glauben teile ich und finde,dass es auch eminent wichtig ist, dasssich Schweizer Akademikerinnen zumAusland hin öffnen und im direktenKontakt mit Berufskolleginnen derenSorgen und Nöte, aber auch deren Lebensbedingungenkennenlernen.dans le cadre du 90 e anniversaire del’Association autrichienne VAÖ. Cesréunions nous permettent à chaque foisde découvrir des trésors culturels souventexclusifs, et, en plus, d’avoir deséchanges avec des femmes diplôméesdes universités d’autres pays. Vous voussouvenez que notre association a étéfondée dans l’idée que l’amitié entre desfemmes de tous pays aiderait à sauvegarderla paix dans le monde. Je partagecet espoir et je juge qu’il est très importantque les femmes suisses s’ouvrentau monde et prennent conscience desconditions de vie des femmes d’autrespays, de leurs soucis, mais aussi de leursbonnes pratiques.Notre association suisseLa situation de quelques sectionsme préoccupe, non seulement àcause d’une moyenne d’âge souvent trèsélevée mais aussi du changement dansles habitudes des membres. On ne vaplus écouter une conférence un jourdonné, on n’a plus le sentiment d’appartenanceà un groupe ou même undevoir de fidélité envers les responsablesqui ont préparé un programme ;à la rigueur, l’on vient par amitié pour laprésidente. Plus personne ne connaîtles buts de l’association à laquelle on apourtant adhéré un jour. Les présidentesne tirent leur motivation que de raresbonnes expériences. Elles se contententd’être reconnaissantes lorsque la participationest suffisante.Très réjouissantes, par contre, lesnouvelles de sections qui continuent à3